mercredi, 30 novembre 2016
Pays-Bas : le Parti pour la Liberté de Geert Wilders en tête des sondages
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François Fillon : "Nous sommes dans une perspective d’augmentation de l’accueil des Algériens en France"
« Nous avons beaucoup, beaucoup ouvert notre pays. Nous sommes dans une perspective d’augmentation de l’accueil des Algériens en France ».
« La France n’est pas fermée, écoutez : 200.000 autorisations de séjour par an Jean-Jacques Bourdin ! C’est l’équivalent d’une ville comme Rennes, je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce que ça représente. »
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Clichy (92) : manifestation de 800 musulmans contre la fermeture d’une mosquée
Des fidèles protestent contre la transformation de leur mosquée en médiathèque. Jusqu’à 800 personnes selon la police, plus de 1000 selon les organisateurs, ont manifesté ce samedi devant la mairie de Clichy, dans les Hauts-de-Seine, contre la fermeture du lieu de culte musulman décidée par la municipalité, qui souhaite reconvertir l’espace.
11:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Valérie Boyer avec et sans croix !
Ainsi, au soir de la victoire de François Fillon au second tour de la primaire de la droite et du centre, sa porte-parole, Valérie Boyer, a commis le crime de lèse-laïcité en arborant sur le plateau de France 2 « une grosse croix autour du cou », expliquent Les Inrockuptibles. Je laisse le soin à chacun d’observer la taille de ladite croix – bien modeste en vérité – pour constater à quel point il n’y a pas de quoi effrayer un vampire !
Aussitôt constaté l’outrage aux bonnes mœurs christianophobes, Caroline Fourest s’est donc emparée de sa prose – laquelle mériterait un peu de repos au vu de sa fatigue ! – pour tweeter : « Le retour des signes religieux ostensibles, c’est maintenant… »
Parce que le niqab, le burkini, la barbe plus longue que celle du regrettable Fidel Castro, c’est sans doute moins attentatoire à la pudeur laïque qu’une croix. C’est du folklore, un peu comme les coiffes des Bigoudènes !
Après avoir quitté le plateau de France 2, Valérie Boyer s’est alors expliquée, déclarant qu’elle ne retirait jamais sa croix, ajoutant avec raison : « Ce n’est pas un symbole d’oppression, bien au contraire… »
Cependant, l’« incident majeur » a tellement affolé les réseaux sociaux que l’objet incriminé avait miraculeusement disparu lorsque sa propriétaire est intervenue plus tard sur BFM TV.
Ce renoncement, Valérie Boyer n’aurait pas dû l’accepter car, pour autant que je refuse d’infliger mes convictions religieuses à quiconque ne les partage pas, je ne considère effectivement pas ce symbole comme l’expression d’une menace pour la République laïque. Aussi, la seule croix dont je veuille bien me débarrasser loge en ce moment à l’Élysée !
Usés, sans doute, par des décennies d’humiliations, les catholiques – n’en déplaise à miss LGBT – ont, en effet, décidé de reprendre leur destin en main. Et même si je ne vois pas forcément ce destin avec François Fillon, ce dernier a eu au moins le mérite de ne pas cacher ses convictions religieuses sous le tapis pour séduire l’électorat. Ce qui est déjà une faute en soi pour ces Émile Combes acharnés. Alors, exhiber une croix à la télévision, imaginez la provocation !
Ce charivari provoqué par un petit bout de métal anodin montre, une fois de plus, que la gauche, dans son ensemble, ne veut pas le bien de notre pays puisqu’elle ne veut pas de son Histoire, laquelle est tout de même très chrétienne !
Enfin, il faut être bien ignorant pour invectiver la croix et laisser prospérer le croissant !
Charles Demassieux
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Un gendarme assassiné. Quand rejoindront-ils le mouvement des policiers ?
23 heures, samedi soir, sur une petite route de campagne entre Ussat et Tarascon-sur-Ariège.
Une patrouille de police avec, à son bord, le commandant de la brigade (55 ans) et un gendarme (48 ans) qui terminent leur service et s’apprêtent à regagner leur logis. Alertés par le comportement suspect d’un véhicule, ils appellent immédiatement des renforts et le prennent en chasse.
Le suspect effectue un demi-tour et roule vers leur voiture. Pensant l’intercepter, les gendarmes se mettent en travers de la route et le commandant sort du véhicule. Mal lui en prit : le suspect fonce, le percutant de plein fouet. Le major Rusig décédera quelques heures plus tard.
Oh, bien sûr, au gouvernement, on montre les muscles ! « Le conducteur du véhicule devra répondre devant la justice de cet acte inqualifiable », annonce le résident de l’Élysée.
Son ministricule de l’Intérieur fait part « de sa très vive émotion et de sa grande tristesse ».
Il parle d’« acte odieux [qui] rappelle que, chaque jour, les gendarmes comme les policiers exposent leur vie pour protéger celle des autres ». Il en appelle, comme à chaque funeste occasion, à la justice qui devra faire preuve de « toute la fermeté nécessaire ».
Ce type-là – sur lequel aucun journal ne s’est appesanti concernant sa nationalité ou origine — qui a « délibérément » foncé sur les gendarmes, on va donc leur rappeler pourquoi il a été de nombreuses fois incarcéré.
Viol sur mineur, incendies, cambriolages, vols, rébellion, port d’armes, outrage, violation d’interdiction de séjour en Ardèche, conduite sans permis de conduire. Rien de moins.
Ah, oui, la justice ! Celle qui permet à un délinquant, d’évidence doté de tous les vices et sans la moindre parcelle de repentir, de continuer de commettre ses forfaits ?
La justice, mais quelle justice, quand les médias cherchent par tous les moyens à les minimiser ?
Des « délits plutôt mineurs », selon Le Figaro.
Un individu qui n’appartient « pas au grand banditisme » – c’est censé rassurer ? – selon Libération. Qui va d’ailleurs jusqu’à occulter le flagrant délit puisqu’il n’encourra la réclusion à perpétuité, peine prévue dans le cas « d’homicide volontaire sur militaire ou gendarmerie nationale », que… « s’il est mis en examen et reconnu coupable ». Il pourrait donc être reconnu innocent ?
Quant à francetvinfo, le site parle d’un « suspect »… heureusement neutralisé par le second gendarme !
La justice ? Celle évoquée par un procureur de la République prenant soin de préciser que le coéquipier « l’a mis en joue (le tueur à la voiture) sans faire usage de son arme malgré le contexte » ? Sous-entend-elle – en écho à la vision de Bernard Cazeneuve pour qui un bon policier évite de faire usage de son arme – que le contraire eût été fâcheux ?
Deux gendarmes tués dans l’exercice de leurs fonctions, en 2015. Christian Rusig est la 8e victime en 2016. Qui aurait dû être évitée. Ne reste plus, à Hollande et Cazeneuve, qu’à organiser une énième cérémonie de remise de médaille à titre posthume…
Caroline Artus
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Moselle : l’immigration irrégulière dans le viseur
Les forces de la police aux frontières sont sur le terrain pour contrôler les flux migratoires en Moselle. Un passeur a été interpellé.
En matière d’immigration, la Moselle est un carrefour. Une terre de transit pour ceux qui veulent filer en Angleterre. Une terre d’installation pour d’autres qui rêvent d’obtenir le droit d’asile. Le camp de Blida, à Metz, est la pointe visible de ces flux migratoires. L’endroit a été démantelé mais, déjà, des tentes ont repoussé à proximité. Un mouvement que les autorités tentent d’endiguer à travers un dispositif articulé autour des services de la préfecture et de la police aux frontières.
Pourquoi ?
Sur consigne du ministre de l’Intérieur, le préfet de la Moselle a lancé un plan d’actions qui doit permettre de fluidifier les dispositifs d’accueil des demandeurs d’asile. Le dispositif de premier accueil, installé rue des Alliés à Metz, a rouvert le 25 novembre. Les effectifs du guichet unique d’accueil des demandeurs d’asile de Metz ont été renforcés. Les actions doivent aussi mettre un frein à l’immigration irrégulière et à tous les trafics qui gravitent autour.
Comment ?
Les contrôles se sont intensifiés sur des points de passage ciblés. « Nous avons renforcé notre présence à l’aéroport de Strasbourg et le long des frontières, expose Christian Lajarrige, directeur zonal de la police aux frontières. En Moselle, nous sommes présents au péage de Saint-Avold, ou aux points d’entrée du Luxembourg. Ce dispositif ne concerne pas seulement les voies routières mais aussi les gares ferroviaires, du côté de Forbach et Thionville. » Depuis une semaine environ, les forces de l’ordre sont en nombre au cœur de Metz, non loin du camp de Blida. Un escadron de gendarmes mobiles a été mis à disposition pour mener des surveillances et des contrôles.
Qui ?
Ces actions permettent de vérifier les conditions d’entrée dans l’espace Schengen de ressortissants en provenance, pour la majorité, des pays des Balkans. Pour circuler sur le sol français, un passeport biométrique ne suffit pas : les migrants doivent notamment être en possession d’une somme d’argent correspondant à la durée du séjour. Les contrevenants sont placés en rétention administrative et font l’objet d’une procédure. Le préfet prend ensuite une mesure de placement dans un centre de rétention en vue de leur renvoi au pays, avec souvent interdiction de retour. « Ce qui ne les empêche pas de demander l’asile durant la rétention, indique le directeur de la Paf. Leur demande est étudiée en priorité. » Une trentaine de personnes, la plupart d’origine albanaise, se trouvent actuellement au Centre de rétention administrative de Metz. Des vols à destination du Kosovo et de l’Albanie sont en cours de planification
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Nancy (54) : affrontement entre bandes rivales au village de St Nicolas

« Ils ont sorti des couteaux et une sorte de poing américain », assure un vendeur. « Une vingtaine d’entre eux a essayé d’entrer dans le Village, mais on a fait barrage. Selon moi, la sécurité a été débordée ». Le calme reviendra avec le gaz lacrymogène des renforts policiers. Pas les visiteurs. « J’ai appelé deux fois la police », enchaîne une commerçante qui a vu ses clients en terrasse, s’enfuir en laissant l’argent sur la table. De la monnaie raflée par les « fighters »…
« On ne parle pas ici de terrorisme, mais d’une délinquance locale qu’on ne parvient pas à gérer alors qu’un phénomène de squatters à proximité du Saint-Seb perdure depuis des mois », déplore Sébastien Duchowicz, président des Vitrines de Nancy dans l’attente d’une « réunion d’urgence et d’un protocole strict » sur la sécurisation de la place Charles-III.(…)
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Fusillade du Théatro à Lille : Fayçal Mokhtari aux assises
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Résistance corse à l’islamisation : 3 mois après les évènements de Sisco
Hervé Grandchamp, que les téléspectateurs d’IMedia connaissent bien, a réalisé un remarquable reportage sur la Corse, 3 mois après les événements de Cisco. D’Ajaccio à la plage de Sisco, le reporter multiplie les témoignages pour mieux comprendre l’embrasement des Corses face aux actes de racisme anti-Français qui ont ponctué la vie de l’île depuis Noël 2015. Le document, réalisé pour le compte de la Fondation Polémia et de Jean-Yves Le Gallou, apporte de nombreuses réponses et rétablit la vérité ! Découvrez sans plus attendre, un reportage qui nous plonge au coeur de l’Ile de beauté qui entend conserver son identité et ses spécificités.
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« La source du terrorisme est dans l’enseignement islamique officiel » alerte un général égyptien
Colloque « Origines du terrorisme islamique » à l’Assemblée Nationale, salle Colbert, du 26 novembre 2016, sous le patronage du député Philippe Folliot.
Intervention du général Ahmad Abou Maher, responsable de la lutte contre l’extrémisme religieux dans le gouvernement égyptien du président Abdel Fattah al-Sissi. Il pointe la responsabilité d’al-Azhar, la prestigieuse université islamique, ainsi que des programmes scolaires officiels. Il brandit deux ouvrages programmés dans les collèges-lycées, qui prescrivent la haine des chrétiens : marquer leurs maisons, exiger des vêtements distincts, l’interdiction de construire des églises, la peine de mort contre les apostats
L’Observatoire de l’islamisation (www.islamisation.fr) fut le seul média à couvrir ce colloque sensible, co organisé par l’Organisation Franco-égyptienne pour les droits de l »homme (OFEDH) et l’Union des Nords Africains Chrétiens de France (UNACF). En complément, regarder le passage d’Ahmad Abou Maher à la télévision égyptienne sur ce grave problème de l’enseignement de l’islam à l’école.
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mardi, 29 novembre 2016
Les femmes issues de l'immigration souvent plus vulnérables aux violences conjugales
En 2015, la police a enregistré 2.401 plaintes pour violences conjugales en Région bruxelloise. Ce chiffre ne représente toutefois qu'une partie du phénomène, dans la mesure où toutes les victimes ne portent pas systématiquement plainte.
Selon la secrétaire d'État bruxelloise à l'Égalité des chances, les femmes issues de l'immigration sont moins enclines à signaler ces violences en raison de leur situation. La peur de perdre leur titre de séjour, le manque d'information ou d'un cercle d'amis sur lequel s'appuyer les rendent encore plus vulnérables.
Les femmes qui migrent pour rejoindre leur mari en Belgique à travers le regroupement familial reçoivent normalement une protection. Mais il existe une exception: "Celles qui ne disposent pas encore d'un statut de séjour définitif n'ont pas droit à cette protection. Cela signifie que si ces femmes quittent leur domicile sans signaler à l'Office des étrangers qu'elles sont victimes de violences conjugales, elles peuvent être expulsées", regrette Bianca Debaets.
Un autre problème réside dans la dépendance financière à leur mari. Selon les statistiques, à peine 41% des femmes issues de l'immigration non-européenne travaillent, tandis qu'ils sont 71% des hommes à avoir un emploi.
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Immigration de masse: la peur du peuple est-elle bonne conseillère?
Les appels répétés au respect de la volonté populaire sont entendus par une élue comme des «arguties constitutionnelles». Or il n’est pas question de forme, mais du fonctionnement des institutions et surtout du droit d’initiative, qui est notre liberté essentielle.
Sans se soucier de l’opinion des électeurs
La majorité des citoyens et des cantons a choisi de soumettre l’immigration à une gestion autonome. La prétendue «loi d’application» de l’art. 121a préparée par les Chambres veut dire précisément le contraire. Il est vrai que la procédure n’est pas terminée et qu’on ne connaît ni sa durée ni son issue.
Pour l’instant, il apparaît que les députés s’estiment seuls habilités à identifier l’intérêt général, sans se soucier de l’opinion de leurs électeurs. En démocratie, il ne s’agit pas de savoir qui a tort ou raison sur le fond, question subjective et toujours discutable. Mais il importe de déterminer qui, du peuple ou des représentants, a le dernier mot.
Le Conseil fédéral a manqué de cohérence
Le Conseil fédéral a certes manqué de cohérence et de cohésion. Il devait, ou bien présenter rapidement un projet de loi pour respecter le délai, ou bien attendre l’issue des négociations. Les deux attitudes se défendaient. Mais le Conseil fédéral n’a pris ni l’une ni l’autre. Il a préféré entamer, puis interrompre les pourparlers, pour présenter un projet de loi tardif, qui ne pourra pas entrer en vigueur dans le délai au 9 février 2017, compte tenu du droit de référendum.
Ce projet fut refusé par le Conseil national, qui lui substitua une version toute différente. La représentante du Conseil fédéral avait d’emblée et ouvertement approuvé la proposition d’une mise en œuvre «légère». Elle ne pouvait donc plus guère défendre la position gouvernementale, comme la collégialité lui en faisait le devoir.
Ligne politique d’autant moins lisible
Au surplus, il semble singulier qu’un dossier d’une pareille portée soit confié à trois chefs de département différents, sans que le partage des responsabilités soit clairement établi et rendu public. La ligne politique en paraît d’autant moins lisible.
Le refus d’appliquer le nouvel article 121a s’appuie sur des arguments pseudo-juridiques. Selon les uns, l’initiative serait inexécutable, alors qu’elle implique simplement le retour à la situation légale en vigueur jusqu’en 2009: elle est donc praticable malgré ses inconvénients.
Pour d’autres, elle serait contraire au droit international, thèse manifestement erronée. L’accord de libre circulation lie la Suisse, mais pas pour l’éternité, et chaque partie à une convention bilatérale peut demander de renégocier et résilier licitement le traité, si la démarche échoue.
Les autorités trompent le peuple
Dès le dépôt de l’initiative «Contre l’immigration de masse», chacun savait qu’elle était incompatible avec l’ALC et qu’elle remettait en cause les relations avec l’UE. Mais ni le Conseil fédéral, ni les Chambres n’ont mis en doute la validité de la demande populaire. Le parlement n’a été saisi d’aucune proposition en vue de l’annuler. Quand les autorités valident une initiative et prétendent ensuite qu’elle est inapplicable, elles trompent le peuple.
Les conseillers nationaux ont perdu leur temps à discuter le point de savoir si le droit international l’emporte sur la Constitution fédérale ou l’inverse. Or le problème ne se pose pas, puisque l’art. 121a ne viole en aucune manière les règles internationales sur le droit des traités.
Cela s’appelle un coup d’Etat
Certains prétendent encore que l’initiative des Alpes n’aurait pas été exécutée et qu’il y aurait là un précédent. C’est oublier que la Confédération a, pour réaliser le transfert de la route au rail, construit le plus long tunnel de base au monde et dépensé environ 20 milliards de francs.
On entend aussi dire que le peuple se serait – ou aurait été – trompé et qu’il aurait changé d’avis. Dans ce cas, qu’on soumette sans tarder l’initiative RASA au scrutin. Mais on s’y refuse, jugeant un nouveau vote «dangereux». Il est donc bien question de contrecarrer la volonté populaire. Celle-ci s’est sans doute exercée à mauvais escient, mais en partie par la faute des opposants et du Conseil fédéral, qui ont mené une campagne notoirement insuffisante. Cependant, la peur du peuple est-elle bonne conseillère?
La nature obligatoire d’une votation va tellement de soi qu’elle n’est même pas inscrite dans la Constitution. Mais son efficacité dépend de la bonne foi du législateur. Si celui-ci peut en fait se soustraire à son devoir, faute de juge pour l’y contraindre, la souveraineté populaire est confisquée, la démocratie n’est plus semi-directe et le système devient représentatif.
Lorsqu’un pouvoir abuse de sa position de force pour imposer ses vues, au mépris des institutions, cela s’appelle un coup d’Etat.
Le constitutionnaliste Etienne Grisel est professeur honoraire de l’Université de Lausanne.
Letemps.ch
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Halima Aden, la première prétendante, musulmane et voilée, au titre de Miss Minnesota
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Gironde: Des inscriptions hostiles aux musulmans découvertes sur une mosquée
Une plainte déposée ce lundi
Ces inscriptions ont été constatées par des fidèles dans la matinée sur un mur latéral de l’édifice, a expliqué le président de l’association des musulmans de Mérignac, Hassan Belmajdoub, qui a indiqué avoir averti la municipalité et les autorités. Une plainte devrait être déposée lundi, a-t-il précisé.
« Nous avons des caméras de surveillance sur lesquelles nous avons pu voir un individu qui a escaladé le mur des voisins un peu après minuit », a-t-il expliqué. « Nous condamnons ces inscriptions racistes et islamophobes. C’est un acte, certes isolé, mais lâche et ignoble, en particulier en ce jour d’élection », a-t-il ajouté, en référence au vote de la primaire de la droite et du centre.
Alain Anziani, sénateur-maire PS de Mérignac, a lui aussi dénoncé ces inscriptions : « C’est aussi sans doute lié au scrutin de ce jour, avec une volonté d’affirmer des idées négatives et d’exclusion », a-t-il déploré.
« On n’a besoin de personne pour dénoncer les salafistes »
Pour le président de l’Observatoire contre l’islamophobie et secrétaire général du Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, « on n’a besoin de personne pour dénoncer les salafistes, nous-mêmes nous dénonçons ceux qui portent atteinte à la République et qui prônent la violence », a-t-il dit. Il a dénoncé des actes « qui ont un effet inverse sur les jeunes musulmans qui considèrent ainsi qu’ils sont victimes d’islamophobie ».
La Direction départementale de la sécurité publique (DDSP), chargée de l’enquête, a indiqué que la Police scientifique s’était rendue sur place.
En août 2015, cette même mosquée avait essuyé un jet de cocktail Molotov qui avait provoqué un début d’incendie sur le portail, rapidement maîtrisé par des fidèles.
E.P. avec AFP
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Lille: Les auteurs de la fusillade du Theatro passent aux Assises
Le drame avait relancé le débat sur la circulation des armes lourdes. Le procès de la fusillade du Theatro de Lille s’ouvre lundi aux assises du Nord, plus de quatre ans après les faits.
Deux hommes seront dans le box des accusés : Fayçal Mokhtari, 36 ans, tireur présumé, et son ami Djelloul Cherifi, 28 ans. Le premier est accusé d’avoir tiré au fusil kalachnikov sur l’entrée de la boîte de nuit lilloise d’où le duo venait d’être refoulé, tuant deux personnes et en blessant six autres.
Interpellés en Espagne
Les faits s’étaient produits vers 3h00 du matin le 1er juillet 2012. Les tirs, qui ont duré une trentaine de secondes, ont tué une employée de 25 ans, Sabrina Vasseur, une esthéticienne qui tenait le vestiaire pour arrondir ses fins de mois, et Hamza Belaïdi un Algérien de 26 ans travaillant pour un bailleur social.
Les accusés ont été interpellés cinq jours après les faits à Figueras, en Espagne, alors qu’ils avaient espéré gagner le Maghreb.
Le procès doit se tenir jusqu’au 6 décembre. Pour les jurés, il s’agira notamment de déterminer s’il y a eu ou non préméditation de la part du tireur présumé et de son complice, qui risquent la réclusion criminelle à perpétuité.
Préméditation, ou « violence irrationnelle »
L’accusation fait valoir que Fayçal Mokhtari a proféré des menaces avant de retourner à sa voiture, pour y prendre la kalachnikov. Une action en deux temps qui prouve la préméditation, explique à l’agence AFP Me Blandine Lejeune, avocate de la famille de Hamza Belaïdi : « Ce n’est pas “Je veux rentrer dans une boîte, il y a une altercation, je sors un couteau et je frappe”. C’est “Je repars en disant je vais revenir et je vais vous buter et je reviens avec une kalach et je tire en rafale” ».
De son côté, Me Éric Plouvier, l’avocat de Fayçal Mokhtari, assure que son client « s’expliquera sur la violence parfaitement irrationnelle qui a été la sienne », en réaction aux « coups de matraque » qu’il aurait reçus devant le Theatro.
Mais la personnalité du principal suspect pèsera lourd dans les débats, car Fayçal Mokhtari était déjà bien connu des services de police, et de la justice qui l’avait condamné pour un double braquage en région parisienne.
Un policier, qui l’avait croisé quelques mois avant la fusillade dans une affaire liée au trafic de stupéfiants, confie d’ailleurs à 20 Minutes qu’il avait prévenu l’accusé : « Je lui ai dit qu’un jour on le retrouverait avec une balle dans la tête, ou qu’il tuerait quelqu’un ».
Olivier Aballain, avec G.D.
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Prison de Valence: deux détenus menacent un surveillant et prennent ses clés
Une mutinerie a été soulevée dans la prison de Valence, dans la Drôme. Selon un communiqué du ministère de la Justice, les faits débutent à la mi-journée, plus précisément à 12h30.
Deux détenus du quartier de la maison centrale de la prison menacent un surveillant de la prison avec un couteau. Leur injonction: ils demandent au fonctionnaire de leur donner ses clés. Une fois le sésame remis, les prisonniers se sont enfermés à l’étage.
De grands moyens policiers déployés
Il n’y a pas eu de prise d’otages car l’ensemble du personnel a pu quitter l’étage en question à temps. Les détenus ont ensuite mis le feu à au moins trois cellules.
La Chancellerie précise également le dispositif policier dépêché sur place pour faire face à la situation. Une cellule de crise a été mise en place au sein de la direction de l’administration pénitentiaire. Les équipes régionales d’intervention et de sécurité (ERIS) ont aussi été envoyées sur les lieux. Les forces de sécurité intérieure ont sécurisé le bâtiment et des pompiers sont présents.
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Des lycéens exigent plus d’autorité et de sécurité
Des lycéens ont, en effet, dénoncé le laxisme de la direction face à l’attitude agressive de certains élèves. « Sanctions, sanctions ! » ont-ils ainsi scandé devant les grilles de l’établissement. « Il y a des vols, des agressions, des provocations et la direction ne sanctionne pas. Certains enseignants sont à bout, on a peur qu’ils quittent l’établissement », a déploré un des porte-parole du mouvement.
« Des élèves ont fouillé dans le sac d’un enseignant, ont balancé ses clés. Ils lancent des bouts de gomme, des cailloux, des chaises en classe. Les toilettes ont été dégradées, tout comme une imprimante », a énuméré un autre lycéen.
« Nous avons écrit une lettre à la direction pour que des mesures soient prises », a expliqué une jeune fille qui affirme ne pas se sentir en sécurité dans l’établissement.
On demande que les fautifs soient sanctionnés. Or, ce n’est pas le cas aujourd’hui,a expliqué un de ses camarades.
La direction est consternée par de telles revendications. « Ma conviction est que la réponse aux problèmes se fait par le dialogue et non en coupant des têtes », explique-t-elle. « L’école doit être inclusive et bienveillante. Ça me fait très peur que des élèves demandent ainsi des sanctions à l’encontre d’autres élèves. »
De son côté, l’inspecteur d’académie concède qu’il a « rarement vu des élèves demander des sanctions à l’encontre de leurs camarades ».
La situation est devenue si absurde que ce sont désormais des mineurs qui en viennent à demander aux adultes de mieux les protéger dans l’enceinte scolaire. L’école est tellement frappée par l’inversion des valeurs et par ce dogme qui érige les agresseurs en victimes qu’elle est dans l’incapacité de protéger les véritables victimes et de sanctionner les agresseurs, qui se sentent dorénavant tout-puissants.
Pétri de mythologie antifasciste à quatre sous, la direction rejoue la partition des Justes en réprimant ce qu’elle considère comme de la délation au lieu de réprimer ceux qui terrorisent son lycée.
La direction refuse d’exercer l’autorité pour laquelle elle est rémunérée, prenant le parti des coupables et n’assurant pas la sécurité de ceux qui subissent, arborant ce principe pervers de bienveillance à l’endroit des délinquants qui est toujours, au fond, une malveillance à l’endroit des élèves respectueux.
Il paraît que la lutte contre le harcèlement scolaire est désormais une priorité pour l’Éducation nationale.
Il serait peut-être souhaitable que les directions d’établissement soient, elles aussi, sensibilisées à cette question.
Thomas Clavel
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lundi, 28 novembre 2016
Rhône : les migrants manifestent contre leur cantine
C’est une scène surréaliste qui s’est déroulée samedi après-midi.
A Châtillon dans la vallée de l'Azergues, 36 migrants soudanais sont hébergés dans l’Institut Lonjaret depuis un mois et leur arrivée de la jungle de Calais.
Mais leurs conditions d’hébergement ne semblent pas leur plaire. Une dizaine d’entre eux ont donc manifesté pour se plaindre de la qualité de la cantine.
Le calme est finalement revenu très vite selon le Progrès.
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Le Parti Populaire veut stopper l'immigration non européenne
Les adhérents du Parti Populaire ont approuvé dimanche à l'unanimité un nouveau manifeste lors de leur congrès annuel, a indiqué le président du PP, Mischaël Modrikamen, sur son compte Facebook.
Le rassemblement de la formation politique, organisé à Anhée en province de Namur, a été ouvert par un discours du président du parti "Debout la France" Nicolas Dupont-Aignan, qui a annoncé en mars dernier sa candidature à l'élection présidentielle française de 2017.
Adoption
Les membres du PP présents ont ensuite procédé, après une introduction par le député fédéral Aldo Carcaci, à l'examen du nouveau manifeste. Ce dernier a été adopté à l'unanimité.
Propositions
Dans ce document, le PP propose notamment l'élection directe par les citoyens des présidents des tribunaux, procureurs et commissaires de police-chefs de zone tous les 5 ans, la mise sur pied d'une garde civile composée de 50.000 volontaires armés pour surveiller les endroits stratégiques, ou encore la fermeture des frontières à l'immigration non européenne.
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Tentative d'incendie contre une église dans le Nord: Cazeneuve condamne « avec une extrême fermeté »
Bernard Cazeneuve a indiqué samedi dans un communiqué condamner avec « une extrême fermeté la tentative d’incendie, accompagnée de dégradations, qui a visé hier l’église Saint-Nicolas-de-Zuydcoote », près de Dunkerque.
Selon La Voix du Nord, l’incendie a été déclenché par des vandales, qui s’en sont également pris au mobilier. Les pompiers ont été alertés par une femme qui fleurissait une tombe dans le cimetière voisin.
Statue décapitée
« Il appartiendra à l’enquête de déterminer les circonstances exactes de cet incendie. Tout sera mis en oeuvre pour que les auteurs de ces actes odieux soient interpellés, traduits en justice et punis », souligne encore le communiqué du ministère de l’Intérieur.
Le maire, qui a décidé de porter plainte a déclaré à France 3 Régions « C’est un déchaînement de violence assez rare, qu’on a du mal à imaginer dans une église et dans un village comme Zuydcoote, avec toute une mise en scène pour décapiter une statue. Les gens ici sont choqués ».
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Icham et Samir avaient déjà été condamnés 6 et 7 fois
Ces terroristes voulaient frapper la France le 1er décembre, téléguidés par un donneur d'ordre retranché en zone syro-irakienne. Ils ont été interpellés dans la nuit de samedi à dimanche dernier à Strasbourg et Marseille.
- Yassine B, Français de 37 ans, animateur dans une école et inconnu des services,
- Icham M, Français de 37 ans, manutentionnaire ayant déjà six condamnations pour des faits de droit commun,
- Samir B., épicier franco-tunisien de 35 ans condamné à sept reprises
- Zakaria M, franco-marocain de 35 ans sans emploi et inconnu des services.
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dimanche, 27 novembre 2016
Italie : la prison pour les propriétaires qui refusent d’abandonner leur maison aux immigrés ?
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Turquie: Erdogan menace d'ouvrir les frontières aux migrants vers l'Europe
« Ecoutez-moi bien. Si vous allez plus loin, ces frontières s’ouvriront, mettez-vous ça dans la tête », a-t-il déclaré lors d’un discours à Istanbul. Ankara et Bruxelles ont conclu en mars dernier un pacte qui a permis d’endiguer le flux de réfugiés vers les îles grecques.
« Nous considérons l’accord entre la Turquie et l’Union européenne comme un succès commun et la poursuite de cet accord est dans l’intérêt de tous les acteurs (…). Des menaces des deux côtés n’avancent à rien », a réagi la porte-parole de la chancelière Angela Merkel.
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Attentats déjoués: une "attaque de grande envergure" a été évitée, assure Hollande
« Je veux féliciter les services de renseignement, les policiers, magistrats qui ont permis le démantèlement de ce réseau, qui nous a prémunis contre une attaque d’une grande envergure », a déclaré le chef de l’Etat, insistant sur « l’efficacité de ce travail quotidien ».
Les forces de l’ordre, que François Hollande a qualifié de « sentinelles de la République », « pour le seul mois de novembre, les services antiterroristes ont procédé à l’arrestation de 43 individus dont 28 ont été déférés devant la justice ». Ce vendredi, les cinq individus interpellés le week-end dernier sont présentés à un juge. Ils sont soupçonnés de s’être et d’avoir voulu se procurer des armes en vue d’une attaque terroriste sur le sol français.
Lors d’un hommage appuyé aux forces de l’ordre, François Hollande a déclaré que l’engagement dans la police est « plus qu’un choix de carrière, c’est un engagement digne d’éloges », dans un moment particulier avec une menace terroriste élevée. « Vous êtes les gardiens de la sécurité et donc de la liberté des Français », a -t-il poursuivi.
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Procès Fiona: la mère Cécile Bourgeon condamnée à 5 ans de prison, Berkane Makhlouf à 20 ans
Le verdict est tombé après dix jours d’un procès tendu. La cour d’assises de Riom, dans le Puy-de-Dôme, a condamné ce vendredi soir Cécile Bourgeon à 5 ans de prison et son ex-compagnon Berkane Makhlouf à 20 ans, assortis d’une peine de sûreté des deux-tiers. La mère de la petite fille a été jugée non-coupable de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner mais coupable de non-assistance à personne en danger et de recel de cadavre. Berkane Makhlouf est lui jugé coupable de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner et de recel de cadavre.
Un « couple infernal »
Lors du dernier jour de procès, ce vendredi, l’avocat général avait requis une peine de trente ans de réclusion criminelle contre Cécile Bourgeon, la mère de Fiona, et Berkane Makhlouf, son compagnon, accusés d’avoir porté des coups mortels à la petite fille. L’avocat général a renvoyé dos à dos les deux accusés, qualifiés de « couple infernal ».
« Il n’est pas nécessaire que je puisse identifier qui a fait quoi, peu importe importe si l’un a mis trois coups et l’un un seul coup, les deux ne font plus qu’un », a estimé l’avocat général Raphaël Sanesi de Gentile, qui avait également réclamé pour Cécile Bourgeon un retrait total de son autorité parentale sur ses deux autres enfants et dix ans d’interdiction de ses droits civiques, civils et de famille.« Fiona, elle sait que je l’ai pas frappée (…) Je fais confiance à la justice », ont été les dernières paroles de Berkane Makhlouf, tandis que Cécile Bourgeon n’avait quant à elle « rien à ajouter ».
Le corps de la petite fille jamais retrouvé
Âgée de 5 ans, Fiona avait été signalée disparue le 12 mai 2013 à Clermont-Ferrand. La mère de l’enfant et son ex-compagnon, âgés de 29 et 35 ans, avaient alors fait croire à un enlèvement, avant d’avouer sa mort. Cécile Bourgeon avait raconté s’être assoupie dans un parc, exténuée par sa grossesse. Le corps de la petite fille n’a jamais été retrouvé malgré plusieurs campagnes de fouilles.
D’après la juge d’instruction chargée de l’enquête, Fiona serait morte après un « enchaînement fatal de violences ». Pour son dernier jour d’école, la petite fille était apparue sans énergie, la mine grise et les yeux cernés, selon un témoin de l’établissement scolaire. Le lendemain, elle portait un bandeau visant à cacher un hématome au niveau de la tempe de son visage partiellement tuméfié.
Tous deux étaient accusés de violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur mineure de moins de 15 ans, par ascendant ou par personne ayant autorité et en réunion, de non-assistance à personne en danger et de recel ou dissimulation de cadavre.
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Pourquoi les écoles françaises vont-elles aussi mal ?
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Ces imams qui prêchent la guerre islamiste dans les mosquées françaises
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Nord : église vandalisée et incendiée à Zuydcoote
C’est une femme qui se rendait au cimetière qui a aperçu la fumée sortante de l’église. Grâce à elle, de plus importants dégâts ont certainement été évités. Ce vendredi 25 novembre, entre midi et 13 h, l’édifice religieux de Zuydcoote a été complètement saccagé. Le ou les auteurs des faits se sont introduits dans le bâtiment, ouvert au public à cette heure de la journée, pour se livrer à un acte de destruction gratuit. Tableau renversé, mobilier détruit et statues renversées : rien n’a été épargné. « La statue de Bernadette est complètement détruite. Celle de Marie est fichue. Je les avais restaurés il y a quelques années, ces statues avaient de la valeur », témoigne Anita Denaes, gardienne des lieux depuis 10 ans. Le tabernacle a également été détruit, mais le ciboire qu’il protégeait est intact. C’est la première fois qu’un tel acte arrive dans la commune. Pour les paroissiens, le choc est immense. « C’est de la méchanceté gratuite. Visiblement, rien n’a été dérobé. Le but, c’était de casser. » En quittant les lieux, les auteurs ont allumé un feu à l’aide de journaux qui se trouvaient sur place, détruisant un banc de l’église. Heureusement, les pompiers ont rapidement pu éteindre l’incendie qui ne s’est pas propagé. Les lieux ont été sécurisés depuis. Une enquête est ouverte et confiée à la brigade de recherches de Dunkerque-Hoymille. Les gendarmes ont investi les lieux une grande partie de l’après-midi pour y relever indices et empreintes qui aideront l’enquête. Une plainte a été déposée par la mairie, propriétaire des lieux. Le diocèse devrait également en faire de même. Samedi soir, une messe funéraire était prévue dans l’église. Elle devra être reportée. L’église devrait être fermée pour plusieurs jours, voire plusieurs semaines.








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Juppé va-t-il encore prétendre que l’islam est compatible avec la République ?
Qui a prononcé cet avertissement prémonitoire ? Le père Charles de Foucauld (dans une lettre adressée à René Bazin), assassiné il y a juste cent ans, le 1er décembre 1916, par des musulmans. Il ajoutait : « Si nous n’avons pas su faire de ces peuples [les Arabes] des Français, alors ils nous chasseront. »
Le musulman considère l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans sont destinés à être, tôt ou tard, subjugués par lui ou ses descendants. Sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti.
Alain Juppé devrait méditer ces paroles pleines de bon sens et se rendre compte que c’est l’islam qui menace notre civilisation, non pas avec « ses » terroristes mais avec « ses » croyants, et cela depuis des siècles et des siècles, car c’est la volonté d’Allah, dictée par son prophète Mahomet.
N’a-t-il pas sur la conscience une part de responsabilité dans l’assassinat des sept moines trappistes de Tibhirine, en 1996 ? Lui qui est intervenu, selon le témoignage de Charles Pasqua, alors qu’il était Premier ministre, pour que cessent les négociations entre le préfet du Var et officier du SDECE, Jean-Charles Marchiani, et les terroristes islamistes algériens du GIA, alors qu’elles avaient une chance d’aboutir, et cela uniquement par orgueil, parce qu’il n’avait pas été « prévenu » ?
N’est-il pas un fervent partisan de l’entrée de la Turquie du dictateur Erdoğan au sein de l’Union européenne ?
Ministre des Affaires étrangères, en 2011, ne s’est-il pas rendu en Égypte afin de soutenir les Frères musulmans après la chute d’Hosni Moubarak, et ne compose-t-il pas, à présent, avec les islamistes de l’Association des musulmans de Gironde.
Se souvient-il de son discours, à Alger, le 1er février 2016 ? : « La France est riche de sa diversité. Les binationaux sont une passerelle entre nos deux pays. La déchéance de nationalité = efficacité zéro. Le regroupement familial est un droit et l’Europe aura sans doute besoin d’un apport de main-d’œuvre étrangère… »
Il devrait également prendre connaissance, s’il ne l’a déjà fait, des « Vingt principes pour comprendre l’islam » par Hassan al-Banna, fondateur des Frères musulmans :
C’est une organisation complète qui englobe tous les aspects de la vie, c’est tout à la fois un État et une nation, ou encore un gouvernement et une communauté. C’est également une morale et une force ou encore le pardon de la justice, etc., mais c’est surtout une lutte dans la voie de Dieu et un appel, ou encore une armée et une pensée.Alain Juppé prétend-il toujours que l’islam est compatible avec la République française ? Il n’est malheureusement pas le seul à fermer les yeux…
Les lois du Coran sont immuables et universelles, elles ne peuvent être ni critiquées, ni modifiées, puisqu’elles parviennent de Dieu par Mahomet.
Manuel Gomez
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Primaires : le spectacle que nous imposent les candidats est insupportable
Loin des débats de fond relatifs aux véritables enjeux du scrutin à venir, nous assistons à une politique spectacle qui détourne les électeurs d’une réalité simple. Quel que soit le résultat des primaires dites de la droite et du centre, ou de celles qui auront lieu à gauche de l’échiquier politique, tous n’auront qu’un programme au lendemain du premier tour : faire « barrage » au Front national.
Ainsi, nous risquons d’avoir une fois de plus à la tête de l’État un Président qui s’alignera sur la politique décidée par l’oligarchie bruxelloise mise en place par les traités internationaux, renonçant à redonner à la France la souveraineté sans laquelle aucune politique ne sera possible. De facto, en croyant désigner leur futur Président, les électeurs français ne feront qu’élire une sorte de « délégué » européen, conduisant une politique contraire à la volonté du peuple et aux intérêts de la France, fût-ce au détriment de ses belles promesses.
Laisser croire aux Français que l’on va résoudre leurs problèmes sans poser la question de la remise en cause du traité de Lisbonne revient à leur mentir de manière éhontée, voire coupable. Nous assistons pourtant, sans surprise, à cette mascarade consistant à débattre de sujets dont on sait pertinemment qu’en vertu du principe de subsidiarité aucun État membre ne peut plus s’emparer, seule la Commission européenne composée de commissaires non élus ayant le pouvoir de décider de notre destin.
Par conséquent, la seule préoccupation des électeurs, pour peu qu’ils aient suffisament d’esprit critique, doit se poser en ces termes : qui est à même de redonner à la fonction présidentielle sa vocation originelle, et à la France sa souveraineté sans laquelle aucune politique n’est possible ?
Seule Marine Le Pen s’est engagée à organiser un référendum sur la question de la sortie de l’Union européenne. C’est le seul moyen de redonner au peuple la souveraineté qui lui a été confisquée malgré la consultation de 2005 ayant abouti au rejet du traité de Rome, et dont on l’a privé de manière sournoise quelques années plus tard en imposant le traité de Lisbonne par la voie parlementaire, avec les conséquences dramatiques que l’on connaît.
D’aucuns feront preuve de catastrophisme, oubliant que l’Europe des nations reste la seule voie possible, se détournant de toute réalité, en particulier de celle qui consiste à constater l’échec de ce modèle européen corrompu dont l’implosion n’est qu’une question de temps. Cela relève de la propagande pure et simple et ne repose que sur la volonté d’une minorité puissante estimant que l’expression de la majorité est un concept dépassé.
Ne nous laissons plus tromper par les appareils politiciens que sont les partis européistes à qui nous devons la situation catastrophique de la France. Reprenons le pouvoir sur cette oligarchie. C’est sans doute notre dernière chance…
Sébastien Jallamion
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