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mercredi, 09 novembre 2016

Grogne des policiers: rassemblements à Melun et à Grenoble

Même si leur mouvement de colère a refflué ces derniers jours, plusieurs manifestations de policiers ont eu lieu lundi, à Melun où environ 200 d’entre eux se sont rassemblés dans le calme, et à Grenoble où une centaine ont répondu à l’appel.


A Melun, le rassemblement avait lieu lundi soir devant le siège de la direction départementale de la sécurité publique, « en tenue civile et sans véhicule sérigraphié », a précisé une source policière à l’AFP. Un policier faisant partie du mouvement a comptabilisé « 280 fonctionnaires », dont certains tenaient des panneaux exprimant leur soutien à leurs collègues de Saint-Pierre-lès-Nemours, après qu’une policière a été violemment percutée par une voiture volée dans cette commune de Seine-et Marne la semaine dernière. Les deux occupants du véhicule ont depuis été mis en examen et écroués.

A Grenoble, 100 personnes se sont rassemblées dans le calme lundi midi devant la préfecture de l’Isère, selon une source policière.
Le mouvement de grogne des policiers est né après une violente attaque aux cocktails Molotov de quatre policiers à Viry-Châtillon, dans l’Essonne. Deux d’entre eux ont été grièvement brûlés. Ce mouvement a fait tache d’huile avec des manifestations dans plusieurs villes de France depuis le 17 octobre avant de connaître un reflux avec encore des rassemblements ponctuels. Le 26 octobre, le ministre de l’Intérieur a annoncé une enveloppe de 250 millions d’euros et des mesures concernant notamment la légitime défense.

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Ile-de-France: des commerçants asiatiques agressés par de faux policiers

Une bande de trois malfaiteurs a violemment agressé, séquestré et dépouillé quelque 19 commerçants installés en région parisienne. Les auteurs présumés des faits ont été arrêtés ce lundi, vers 6h du matin, et placés en garde à vue, rapporte Le Parisien.


Les braquages ont commencé en septembre 2015. Le modus operandi était toujours le même: les braqueurs ciblaient des commerçants d’origine asiatique et se faisaient passer pour des policiers en uniforme. Sous couvert d’un prétexte fallacieux – un contrôle d’identité -, ils séquestraient et ligotaient leurs victimes, avant de dérober leur recette.

Ce type de cambriolages, perpétré par de faux policiers, n’est pas nouveau. En février dernier, la police judiciaire d’Evry a ouvert une enquête pour des faits similaires, dans le département de l’Essonne, rappelle Le Parisien. Pour autant, rien n’indique que le gang d’alors, dont les membres n’ont jamais été identifiés, présente un lien avec les trois suspects interpellés.

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Une tonne de cannabis saisie sur le viaduc de Millau

Dans l’Aveyron, les douaniers ont repéré un camion immatriculé en Espagne. Il était 2h40 ce lundi matin, quand ils décident de le contrôler, sur cette route prisée par les trafiquants de drogues des Pays-Bas à l’Espagne, révèle France Info


C’est dans une remorque frigorifique que la tonne de cannabis a été retrouvée. Les douaniers ont aussi découvert 10 000 euros en liquide dans la cabine du chauffeur. 

Le chauffeur a été placé en garde à vue. L’enquête a été confiée au à la police judiciaire de Toulouse.

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Grève massive des infirmiers pour dénoncer les agressions et les insultes quotidiennes

 

 
Les fédérations FO, CGT, SUD et CFTC de la fonction publique hospitalière, mais aussi, fait rare, une vingtaine d’organisations infirmières salariées, libérales ou étudiantes, ont choisi la même date pour tirer la sonnette d’alarme. Ce mardi, le personnel hospitalier est donc appelé à la grève générale. 

A Paris, un cortège doit s’élancer vers 10h30 de Montparnasse en direction du ministère de la Santé dans le 7e arrondissement, où seront reçues des délégations.

« Etranglement budgétaire », manque de personnel, augmentation de l’activité, cadences infernales… Les revendications sont nombreuses et partagées.

Au moins cinq suicides cet été

 

Cet été, les suicides de plusieurs soignants, dont au moins cinq infirmiers, ont mis en lumière une souffrance grandissante, affirment les syndicalistes. 

Interrogée sur RTL, Marisol Touraine a redit lundi soir qu’elle présenterait « d’ici la fin du mois ou au début du mois de décembre au plus tard (…) une stratégie pour améliorer les conditions de travail, pour entendre la souffrance ou le mal-être lorsqu’ils sont là » chez les soignants.

Et la ministre de rappeler que « depuis 2012, l’hôpital c’est 10 milliards d’euros de plus ».

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Suisse : La commission des Etats durcit la proposition sur l'immigration

Les employeurs doivent d'abord convoquer les candidats indigènes à un entretien d'embauche et justifier ensuite un refus de les engager.


 



Les employeurs doivent être contraints à inviter à un entretien les candidats indigènes à un emploi et justifier ensuite un refus de les engager. Tel est le durcissement proposé par la commission du Conseil des Etats sur l'initiative sur "l'immigration de masse".
C'est la proposition du sénateur Philipp Müller (PLR/AG) qui s'est imposée par 6 voix contre 2 avec 5 abstentions, a annoncé lundi soir devant la presse le président de la commission des institutions politiques du Conseil des Etats, Peter Föhn (UDC/SZ).

Le Conseil national préconise une simple communication aux offices régionaux de placement, au lieu de convoquer les candidats à un entretien d'embauche. Cette mesure ne va pas assez loin pour la majorité de la commission.


Eviter la pression européenne


Elle a préféré la solution de l'Argovien: le respect des accords bilatéraux y est explicité. "Nous avons fait en sorte d'avoir une solution qui puisse le moins possible être mise sous pression de la part de l'Union européenne", a expliqué Philipp Müller.

S'ils ne parviennent du premier coup à embaucher une personne habitant en Suisse, les employeurs devraient non seulement annoncer des postes vacants aux offices régionaux de placement, mais également inviter les candidats à se présenter. En cas de refus de les embaucher, les employeurs devraient se justifier auprès des autorités.

Ces mesures ne concerneraient que les professions ou les régions touchées par un taux de chômage au-dessus de la moyenne. Elles seraient limitées dans le temps. Selon Philipp Müller, seuls quelques milliers de travailleurs étrangers seraient concernés par ce durcissement.


Marge de manoeuvre élargie


Ce concept ne respecte pas suffisamment l'article constitutionnel, a critiqué Pirmin Bischof (PDC/SO), au nom de sa minorité. "La zone grise est plus vaste que ce que l'on pense. Le but est que la Suisse puisse utiliser toute la marge de manoeuvre disponible", a-t-il justifié.

Sa proposition, rejetée de justesse par 6 voix contre 7 face au concept Müller, veut supprimer le veto que l'UE peut utiliser en cas de mesure non conforme aux accords sur la libre circulation des personnes. Si le comité rejette les mesures supplémentaires proposées, le Conseil fédéral devrait en référer au Parlement dans un délai de 60 jours. Ce dernier pourrait alors proposer d'autres dispositions.

Pour le reste, sa solution reprend les mesures proposées par Philipp Müller, mais sans le caractère obligatoire. Elle prévoit des exceptions: les paysans ou les restaurants ou les hôtels pourraient continuer à recruter à l'étranger, pour autant que ces personnes ne restent pas plus de neuf mois en Suisse.

Finalement, ce concept veut permettre aux cantons de proposer des mesures valables uniquement sur leur territoire. Pirmin Bischof dit s'être inspiré de la préférence nationale valable dans le canton de Genève pour toutes les entreprises étatiques. Ces mesures violent pourtant la libre circulation des personnes. "L'UE a déjà averti qu'elle n'accepterait pas cette solution au niveau national", a rappelé Philipp Müller.


UDC inflexible


L'UDC rejette ces deux propositions. "Il faut mettre en oeuvre l'article constitutionnel tel qu'il a été voté par le peuple", a défendu son représentant, le Schwyzois Peter Föhn, qui a déposé une minorité en ce sens.

Au vote d'ensemble, le projet a été soutenu par 6 voix contre 2 et 5 abstentions. Le Conseil des Etats s'emparera du dossier lors de la session d'hiver.


Réactions


Pour l'Union syndicale suisse (USS), il est positif qu'une solution compatible avec les accords bilatéraux soit proposée, estime son chef économiste Daniel Lampart. Dommage toutefois qu'aucune mesure n'ait été décidée pour les employés âgés.

La solution proposée va dans la bonne direction et elle est préférable à la version "light" du National, a réagi Jean-François Rime, président de l'union des arts et métiers (usam). Convoquer des candidats ne posera pas de problème aux PME, même si elles auront des efforts à faire, concède-t-il.

L'Union patronale suisse (UPS) se montre plus sceptique et estime que la charge administrative sera impossible à maîtriser.

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Allemagne : un projet choc pour stopper l’immigration

 

 



 
 Christian Hofer: Ce qui montre à quel point l'Allemagne et Merkel ont perdu le contrôle de la situation, malgré la propagande niaise servie par nos médias. Et n'en doutez pas, de telles mesures se feront encore une fois avec notre argent, même si nous nous sommes opposés dès le début à cette imbécilité.
 
Bien évidemment, n'attendez aucune excuse de la part de ces gens surpayés, arrogants et stupides à souhait. Leur statut de "représentants du Bien" les exonère de toute autocritique.
 
Mais c'est une position qui n'est guère une surprise pour ceux qui nous lisent puisque des politiciens allemands évoquaient déjà l'expulsion des migrants hors d'Allemagne dans l'un de nos articles. Toutes les personnes de droite patriotes savaient pertinemment que cette situation était une immense gabegie.
 
Quant aux autres, ce sont les mêmes qui se prétendent "progressistes" et bien plus "intelligents" que la méchante droite, imposant une morale strictement réservée au bien-être des migrants, fussent-ils délinquants ou économiques. On constate à présent dans les faits "leurs facultés à réfléchir".
 
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Après avoir accueilli plus d’un million d’immigrés, le gouvernement allemand dit vouloir intercepter les clandestins en Méditerranée pour les renvoyer dans des centres d’accueil en Tunisie ou en Égypte. 
 

Belgique : quatre hommes d’origine irakienne condamnés à 7 ans de prison pour le viol collectif d’une mineure

 

 Le tribunal correctionnel de Bruges a condamné lundi quatre hommes d’origine irakienne à sept ans d’emprisonnement pour le viol collectif d’une jeune fille de 17 ans à Ostende. Trois mineurs sont également impliqués. L’agression sexuelle commise sur la jeune fille a eu lieu à la fin du mois de novembre 2015.
Le parquet avait requis cinq ans d’emprisonnement pour les trois autres prévenus. « La différence culturelle a joué un rôle, mais ce n’est pas une excuse », avait déclaré leur avocate Nina Van Eeckhaut. Les prévenus avaient exprimé des regrets.

Des photos de l’agression sexuelle avaient été retrouvées dans le téléphone d’un des prévenus. Les faits avaient été commis sous l’influence de l’alcool dans une habitation à Ostende. La victime était la petite amie d’un des auteurs.

La police locale d’Ostende avait pu rapidement identifier les auteurs des faits. Il s’agissait de sept personnes d’origine irakienne. Quatre d’entre eux avaient été placés sous mandat d’arrêt. L’un d’eux, un demandeur d’asile, avait toutefois bénéficié d’une libération conditionnelle après plusieurs mois de détention préventive. Ce jeune homme âgé de 20 ans aurait demandé lors des faits aux autres suspects de mettre fin à l’agression. Le ministère public avait demandé une peine de prison de quatre ans à l’encontre de cet homme.

Le tribunal a finalement condamné les quatre hommes à une peine effective de sept ans d’emprisonnement. Ceux-ci sont également privés pendant dix ans de leurs droits civils. Le demandeur d’asile n’a pas fait l’objet d’une arrestation immédiate car il se trouve actuellement dans un centre fermé dans le cadre d’une procédure d’asile.

Les condamnés doivent verser à titre provisoire 12.000 euros de dommages et intérêts. Le tribunal a désigné un expert pour évaluer le montant exact des dommages. Les parents de la jeune fille ont chacun reçu 3.500 euros.

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Suisse : la jeunesse suisse de souche glisse vers la droite conservatrice

 

 
Les jeunes Suisses de souche votent de plus en plus à droite et sont davantage politisés. L’étude met en relief une différence d’opinion politique entre les naturalisés (les « Secondos ») et les enfants de Suisses de souche.

Publiée vendredi, une étude menée dans le cadre du projet Young Adult Survey Switzerland (YASS) du Département de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) dresse le portrait-robot des jeunes adultes. Ainsi, le sondage effectué auprès de Suisses âgés de 19 à 20 ans montre que 36% d’entre eux se déclarent politiquement à droite, 36% au centre et 28% à gauche. Cette tendance se dessine depuis plusieurs années. En 2006, lors d’une précédente étude, la part des jeunes de gauche s’élevait encore à 41%.
L’immigration en général, l’asile en particulier, représentent la principale préoccupation des Suisses de 16 à 25 ans, selon le sondage réalisé par l’Institut gfs.bern. Alors que près d’un jeune sur cinq s’en souciait en 2010, ils sont presque un sur deux aujourd’hui. Les thèmes des étrangers et des réfugiés étaient déjà en tête de la liste des principaux problèmes des jeunes en Suisse l’an dernier. RTS

 Depuis 2005, cette tendance est devenue stable, et peut s’expliquer par le glissement général de la société vers la droite. «Ce déplacement peut aussi s’expliquer par un climat d’insécurité, instauré, entre autres, par les crises économiques et migratoires, ajoute le sociologue de l’UNIGE Sandro Cattacin, l’un des auteurs de l’étude. On observe chez ces jeunes un fort attachement à des valeurs anciennes, comme l’ordre, les traditions et la religion.» Il ne s’agit donc pas d’un virage vers la droite libérale, mais bien vers la droite conservatrice.

Le sentiment d’insécurité varie en fonction du niveau de formation. «La Suisse a beaucoup promu la formation duale. Or, ceux qui choisissent la voie de l’apprentissage appartiennent à une classe qui doit davantage renoncer à ses rêves, comme celui de faire une belle carrière, souligne Sandro Cattacin. Leur futur est plus incertain et génère davantage de peurs.» Ces jeunes-là auraient donc plus tendance à partager les idées de droite, tandis que ceux possédant un niveau de formation supérieure se situent plus à gauche. […]

Les opinions entre secondos et enfants de Suisses ont également tendance à diverger: les premiers sont plus orientés à gauche que les seconds. «Cela vient du fait que les immigrés appartiennent souvent à la classe ouvrière», explique Sandro Cattacin. Les naturalisés ont moins tendance à soutenir des idées xénophobes (14%), tandis qu’elles se répandent chez 49% des natifs. En revanche, on observe le phénomène inverse en ce qui concerne l’homophobie: 52% des secondos n’acceptent guère l’homosexualité, contre 28% des natifs.

Les racines religieuses des pays d’origine des naturalisés, où l’homosexualité est moins tolérée, peuvent l’expliquer.

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Allemagne : Nora, une Suissesse, vante le «courage» des jihadistes

 

 


Sur le plateau d’ARD hier soir, Nora Illi du Comité central islamique de Suisse était invitée au principal talk-show politique du pays.

Une émission, présentée tous les dimanches soirs sur la chaîne publique allemande ARD, s’est penchée ce dimanche sur la question de la radicalisation des jeunes. Une des cinq invités était Nora Illi, représentante du Comité central islamique de Suisse.
Portant un niqab et se disant «fascinée par la diversité de l’islam», Nora Illi a affirmé pendant l’émission que les jeunes partant faire le jihad en Syrie devraient être loués pour leur «courage civil».



«Par exemple, une jeune femme qui se sent exclue de la société peut voir la Syrie comme une terre promise, comme la seule issue», a-t-elle affirmé, suscitant immédiatement les critiques des autres invités puis celles des téléspectateurs sur les réseaux sociaux.
«C’est de la propagande, on ne peut pas dire cela à la télévision publique», a protesté Ahmad Mansour, un expert de l’islam invité dans l’émission aux côtés d’un père dont la fille a rejoint l’organisation de l’État islamique (EI), d’un imam et d’un homme politique du parti chrétien-démocrate (CDU).

Sur Twitter, ce thème était parmi les plus débattus du réseau social en Allemagne. «Une invitée d’un talk-show encourage la guerre sainte à la télévision publique et je paie la redevance télévisuelle pour ça – c’est triste», a réagi un utilisateur, Jakub Santur. Le député CDU Sebastian Steineke a jugé «dangereux que quelqu’un puisse défendre l’islam radical sur une telle plateforme».

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Hongrie: la politique antimigrants d'Orban défiée par l'extrême droite

 

 

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban poursuit sa bataille contre Bruxelles en demandant mardi au parlement d'inscrire sa politique hostile aux demandeurs d'asile dans la Constitution, mais il pourrait être mis en difficulté dans ce vote qui exige une majorité renforcée.

Le puissant parti d'extrême droite Jobbik semble en effet décidé à négocier chèrement son soutien à la révision de la loi fondamentale que le dirigeant souverainiste veut faire adopter pour rendre illégale, en droit hongrois, la relocalisation par l'UE de réfugiés en Hongrie. 

Le parti Fidesz de M. Orban ne bénéficie plus au parlement de la majorité des deux tiers requise afin de modifier la Constitution et il a besoin de l'appui d'autres parlementaires pour ce vote prévu mardi matin. 

Un vote du parlement hongrois dont "le résultat n'est pas joué à l'avance" constitue une première en six ans de gouvernement Orban, estime le site d'information indépendant Index.hu. Un rejet de l'amendement serait également un camouflet législatif pour le chef de l'exécutif. 

L'initiative a été prise par le Premier ministre dans la foulée de son référendum invalidé contre le mécanisme européen de répartition des réfugiés, début octobre. 

Alors que cette consultation n'a pas atteint le quorum nécessaire pour avoir force légale -- 50% des inscrits --, le Premier ministre y voit un plébiscite pour sa politique antimigrants car le non aux réinstallations de réfugiés a recueilli 98,3% des voix exprimées. 
Viktor Orban estime légitime de graver le vote de ces 3,3 millions d'électeurs --sur 8,2 millions d'inscrits-- dans la Constitution. 
Le Fidesz compte 131 parlementaires avec ses alliés chrétiens-démocrates, et il lui manque deux voix pour obtenir la majorité des deux tiers requise à cet effet. 

Alors que les 38 députés des partis de gauche ne soutiendront pas l'amendement, les 24 députés du Jobbik, qui partagent l'hostilité du gouvernement vis-à-vis des étrangers, ont trouvé une occasion inespérée de faire pression sur la majorité.


- 'Défi à Bruxelles' - 


L'extrême droite hongroise est un sérieux concurrent pour le Fidesz dans la perspective des prochaines législatives prévues en 2018. 
Comme préalable à son soutien, le dirigeant du Jobbik Gabor Vona exige que le gouvernement cesse d'accorder des permis de résidence aux riches investisseurs extra-européens. 

Depuis 2013, la Hongrie a émis plus de 10.000 obligations d'Etat, d'une valeur nominale de 300.000 euros, ouvrant droit à un permis de résidence et à la possibilité de voyager au sein de l'espace Schengen. La plupart d'entre elles ont été acquises par des Russes, des Chinois et ressortissants de pays du Moyen-Orient. 

Ce régime est vigoureusement combattu par le Jobbik, qui estime notamment qu'il représente un danger pour la sécurité de l'Etat. "Ni les riches migrants, ni les riches terroristes ne doivent pouvoir venir (en Hongrie)", a souligné M. Vona récemment. 
M. Orban a semblé d'abord pris au dépourvu par cette bravade du Jobbik, disant qu'il "allait envisager" la suggestion du parti, avant de déclarer qu'il "ne voulait pas céder au chantage".  
Le gouvernement a ensuite bâti une ligne de défense consistant à accuser l'extrême droite de sacrifier l'intérêt national --le vote de l'amendement-- pour des motifs politiciens. 

Le projet d'amendement constitutionnel établit que "les populations étrangères ne peuvent pas être réinstallées en Hongrie" et que les ressortissants de pays tiers à l'UE ne peuvent vivre en Hongrie que sur la base de requêtes individuelles, examinées par les autorités. 
"L'amendement n'aura pas vraiment d'impact juridique, pas plus qu'il n'entrerait en conflit avec la législation européenne, les étrangers n'entrant déjà en Hongrie que sur une base individuelle", estime Bulcsu Hunyadi, analyste de l'institut Political Capital. 

"C'est un instrument de politique intérieure, pour donner l'image d'un défi à Bruxelles", selon l'analyste Kornelia Magyar de l'institut Progressive Policy Institute (PPI). 

Le Premier ministre, qui depuis deux ans n'a cessé d'amplifier une campagne aux accents xénophobes contre l'immigration extra-européenne, refuse d'accueillir les 2.300 demandeurs d'asile qui lui sont dévolus dans le cadre du plan européen de répartition dans l'UE de 160.000 demandeurs d'asile adopté par les 28 il y a un an.  

Sourcel

Mgr Robert Sarah : « Vous êtes envahis par d’autres cultures, d’autres peuples, qui vont progressivement vous dominer »

 

 
Le Cardinal Sarah, qui vient de publier « La Force du silence » aux éditions Fayard, était en France pour quelques jours. Boulevard Voltaire l’a rencontré.
(…)
On vous sent inquiet pour le monde occidental. Qu’est-ce qui vous inquiète ?
– Vous savez, la plus grande inquiétude c’est que l’Europe a perdu le sens de ses origines. Elle a perdu ses racines. Or, un arbre qui n’a pas de racines, il meurt. Et j’ai peur que l’occident meure. Il y a beaucoup de signes. Plus de natalité. Et vous êtes envahis, quand même, par d’autres cultures, d’autres peuples, qui vont progressivement vous dominer en nombre et changer totalement votre culture, vos convictions, vos valeurs. Il y a également, voyez-vous, cette angoisse, qu’il n’y a que la technique, que l’argent qui compte. Il n’y a pas d’autre valeur…

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mardi, 08 novembre 2016

Brest (29) : un passant violemment agressé pour une simple cigarette refusée

 

 
Un homme de 39 ans a été violemment agressé par un adolescent à qui il avait refusé une cigarette, ce samedi soir, à Brest.



Mauvaise rencontre, samedi soir, pour cet homme de 39 ans qui traversait tranquillement la place de la Liberté, à Brest. Il a été abordé par un jeune qui voulait une cigarette. Le passant a refusé. Le jeune n’a pas accepté.

Il s’en est pris violemment au piéton, en le frappant plusieurs fois au visage. En tombant sous les coups de son agresseur, le malheureux s’est aussi fait une double fracture de la malléole. Un agent de Bibus a vu toute la scène et a appelé les secours et la police. […]

Conduite à l’hôpital, la victime s’est fait poser une dizaine de points de suture au visage. Grâce au précieux témoignage de l’agent de Bibus, un adolescent a été interpellé, le soir même, à 23 h, dans le quartier de Lambézellec. […]

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25 novembre 2016 à Paris : conférence de Jean-Yves Le Gallou – « Immigration, la catastrophe »


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A ce sujet, lisez la revue Civitas :

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A travers un grand entretien avec Jean-Yves Le Gallou, le dossier de cette revue est consacré à une problématique de première importance : l’immigration massive qui déferle sur notre pays et tout le continent européen.
 
L’écrivain Jean Raspail publie, en 1973, le roman « Le Camp des Saints » qui raconte comment des bateaux usés recouverts d’immigrés du tiers-monde s’échouant sur les plages européennes sonnent la fin de la civilisation européenne. Au nom des droits de l’homme, toutes les hautes autorités morales et religieuses ne réagissent pas, prises à leur propre piège. Après un interminable périple, les navires s’échouent sur la Côte d’Azur et sont l’avant-garde du tiers-monde qui envahit “pacifiquement” l’Occident.” 
 
Loin d’y trouver salutaire matière à réflexion, les politiciens du moment balayent l’ouvrage d’un revers de main et les journalistes parlent d’un brûlot raciste. A la télévision, dans les années 80, le comédien Roger Hanin, beau-frère du président François Mitterrand, va jusqu’à comparer Le Camp des Saints à Mein Kampf pour tenter de mettre fin à un débat sur l’immigration. La reductio ad Hitlerum était déjà l’arme des fossoyeurs de la France. La cinquième colonne n’est pas une nouveauté.
 
Quarante ans ont passé. Nous y voilà. Et parmi la caste politique, même à la tête d’un grand parti considéré comme représentant “l’opposition nationale”, on s’obstine à nier que le grand remplacement est en cours.  A Civitas, nous prenons le parti de vous dire la vérité, si effrayante soit-elle, en espérant qu’elle provoque un ultime sursaut sans lequel aucune délivrance ne nous sera accordée.

 Pour commander ce numéro: Lien



ou par poste à Civitas, 17 rue des Chasseurs, 95100 Argenteuil,  au prix de 10€ (port inclus) – chèque à l’ordre de Civitas

Léo Kersauzie

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«Daech et la Fondation Clinton financées depuis une même source»

 

 
Capture d’écran 2016-11-04 à 22.20.16Dans un entretien accordé à la chaîne russe RT, le lanceur d'alerte Julian Assange se prononce sur les récentes révélations concernant les couriels d'Hillary Clinton et sur le financement sous-terrain du groupe djihadiste Daech.
 
Dans un email datant de 2014, Hillary Clinton s'adresse à John Podesta, alors conseiller de Barack Obama (à présent le chef de la campagne électorale d'Hillary Clinton, ndlr), et l'appelle à « faire pression » sur le Qatar et l'Arabie saoudite, « qui apportent clandestinement un soutien financier et logistique à Daech et à d'autres groupes sunnites radicaux », rappelle le lancer d'alerte.
Il a également indique que le courriel de la candidate démocrate contenait des informations sur le plus important contrat en matière de vente d'armes conclu par les États-Unis avec l'Arabie saoudite, dont le montant s'élevait selon certaines estimations à 80 milliards de dollars.
 
Concernant les liens entre la Fondation Clinton et le financement clandestin de l'État islamique, M. Assange affirme que le groupe terroriste a été créé grâce à un versement de fonds provenant des mêmes personnes que celles qui soutient actuellement l'ONG de la candidate démocrate. Auparavant, le site WikiLeaks a publié une partie des courriels confidentiels de John Podesta contenant des citations d'interventions privées d'Hillary Clinton qui ont eu lieu en 2013-2014. Un discours crucial a été prononcé par Clinton lors d'une rencontre avec des banquiers durant laquelle elle a indiqué qu'elle suivait deux lignes politiques, « publique et privée, qui sont totalement différentes ». 
 

Contrevenir au Halal : un acte de dissidence ? Alain de Peretti sera présent au 2e Forum de la Dissidence !

 

 
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Président de Vigilance Halal, Alain de Peretti est vétérinaire. Il sera présent, le 19 novembre, à l’Espace Cap 15, à l’issue du 2e Forum de la Dissidence organisé par Polémia. Il y parlera de la dissidence face au Halal et à l’Aïd, au sein de la table-ronde : « Face à l’islamisation et à l’implantation de migrants ». 
 
MEDIAS PRESSE INFO.« Le Halal s’est bien inséré dans la logique de la mal-bouffe et de la distribution de masse », indiquiez-vous à l’issue d’une émission de télévision (TVL, 18 juin 2014). Dans quelle mesure le mode de consommation « halal », qui fait appel à un abattage rituel suivant des règles islamiques, constitue-t-il un danger pour l’identité française ?
 
Alain de Peretti. Le halal réalise la jonction entre l’affairisme mercantile et l’obscurantisme religieux. Formidable outil financier au service de l’islam, il maintient les populations musulmanes vivant hors des terres d’islam dans un apartheid volontaire, théorisé dans des documents émanant de l’ISESCO. Le halal est le cheval de Troie de la charia, qui est parfaitement incompatible avec notre identité, en introduisant, entre autres, une notion de pur et d’impur, à rebours de notre héritage chrétien.
 
MEDIAS PRESSE INFO. Vous participerez, le 19 novembre, au 2e Forum de la Dissidence organisé par Polémia. En quoi s’opposer aujourd’hui à cette consommation de viande halal est-il un acte de dissidence ? 
 
Alain de Peretti. La viande halal n’est qu’une petite partie de la notion de halal qui définit tout ce qui autorisé par la charia et recouvre tous les aspects de la vie même les plus triviaux. La viande halal par l’aspect violence envers les animaux et les risques sanitaires induits par cette technique possède une force pédagogique extraordinaire auprès d’un public très divers. L’incompatibilité avec notre mode de vie devient évidente et permets de démontrer également le “grand remplacement” dont il est la conséquence. Plus outre la démonstration de l’islamophilie de nos élites est un acte de dissidence majeur.
 
MEDIAS PRESSE INFO. « 60% de la viande en France est aujourd’hui abattue suivant ce rite », estimiez-vous il y a deux ans au micro d’une émission télévisuelle. Comment réagissent les autorités publiques face à l’augmentation de cette viande sur nos marchés alimentaires français ? Comment se fait-il que le consommateur soit de facto obligé d’acheter ces produits, dont la consommation peut s’avérer dangereuse ?
 
Alain de Peretti. Les autorités publiques sont dans la déni total, par lâcheté ou idéologie. Tout est caché: “dormez braves gens”! Sous prétexte de laïcité et de liberté religieuse on laisse des pratiques exotiques se développer au mépris de tous les règlements, on refuse l’étiquetage pour ne pas …stigmatiser! Ce serait pourtant un premier pas et c’est faisable très facilement.
 
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MEDIAS PRESSE INFO. Vigilance Halal souhaite intervenir auprès des instances juridiques pour faire part des dérives éventuelles que peut engendrer cette consommation devenue de plus en plus coutumière. A l’occasion du Forum de Polémia, quel témoignage, quelles réponses, votre association peut-elle apporter ?
 
Alain de Peretti. Nous faisons plus que souhaiter ! Depuis la création de VH nous avons mis en route une vingtaine de procédures, partant du principe maurrassien “d’utiliser tous les moyens même légaux”. Les lois et règlements sont systématiquement bafoués pour rendre la vie facile à l’islam et de ce fait la matière est surabondante… Cela coûte cher mais grâce à un réseau de donateurs fidèles et motives nous pouvons y faire face. Cela demande du temps et de l’opiniâtreté car sur ces sujets brûlants les magistrats bottent en touche, mais nous progressons et avons même en vue une procédure de carence au niveau européen, car il n’est jamais, pour l’instant, répondu aux arguments purement techniques que nous développons. Dernièrement dans une procédure au Conseil d’Etat concernant l’Aïd el Kebir, le mémoire en réponse du ministère de l’Agriculture avoue de façon claire que les mesures que nous préconisons, pourtant hyperclassiques en matière sanitaire, ne peuvent être appliqués en raison de probables troubles à l’ordre public. Quel aveu et quelle démonstration du manque de “modération”de ces populations don’t l’immense majorité vivrait un islam paisible et républicano-compatible! Nous avons également pu démontrer que l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République.
 
MEDIAS PRESSE INFO. Dans une perspective de complémentarité à l’action juridique que des associations comme la vôtre peuvent mener, comment les Français peuvent-ils concrètement s’opposer à l’imposition d’un mode d’alimentation qui ne s’inscrit pas dans leur culture ?
 
Alain de Peretti. Il faut arrêter de subir et surtout ne rien attendre des “autorités” publiques. Il faut se bouger, gentiment; poliment mais fermement pour instituer ce que j’appelle un “communautarisme bérêt baguette” .Nous avons mis en place pour cela un réseau de bouchers qui s’engagent à ne vendre que de la viande non halal ou casher, avec un site de géolocalisation qui s’appelle “suivez le coq”, et bientôt également pour les restaurateurs. Questionnez les cantines de vos enfants et exigez la traçabilité, boycottez la grande distribution qui nous “mène en barquettes”, votre boucher, s’il travaille bien sait d’où viennent ses bêtes. Au restaurant posez la question également, bref à temps et à contre temps, soyons des dissidents car si la dissidence doit s’organiser en réseaux, elle passé également par un engagement individuel.
 
Médias Presse Info rappelle aussi cette réalité confirmée par la Ligue de Défense Juive : le marché du halal en France est contrôlé par des Juifs sionistes…
 

La mosquée « Annour » inaugurée

 

 

La mosquée située à Moissy-Cramayel, ouvrait ses portes en mai dernier. Elle était inaugurée, samedi dernier.

 « Annour », en arabe, signifie « La lumière ». « Et la lumière, dans la religion musulmane, c’est ce qui guide les fidèles vers la voie du bonheur », explique Louison Walid Rahma, vice-président de l’ACEMM (Association Culturelle et Éducative des Musulmans de Moissy). La mosquée « El nour » implantée près de la piscine, à Moissy-Cramayel. était donc inaugurée dans la convivialité, samedi dernier. En tout, le bâtiment développement durable s’étend sur 1 500 m2 et respecte les normes d’accessibilité. Deux millions d’euros ont été nécessaires à sa construction.

Un investissement entièrement financé par les dons.« Avoir un lieu de culte à Moissy me paraît important, surtout en ce moment, analyse Line Magne (PS), la maire. C’est un lieu d’échange au sein duquel l’imam, dont chacun vante les mérites, prône des valeurs d’ouverture et de tolérance. ». La particularité de cette mosquée ? L’école coranique La petite plume qui loue les locaux de la partie culturelle du nouveau lieu de culte et qui accueille 70 élèves. L’enseignement des langues arabe, française et anglaise y est approfondi.

Sénart compte actuellement trois mosquées : à Combs-la-Ville, à Savigny-le-Temple et à Moissy-Cramayel. L’ouverture d’un lieu de culte est également en projet à Lieusaint.

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La solution pour endiguer les flux de migrants : retour en Afrique !

 

 





L’invasion migratoire devient un véritable casse-tête pour des politiciens européens démagogues en recherche de réélection et de popularité. Quant aux peuples européens, ils deviennent de plus en plus hostiles à ces vagues migratoires qui submergent leur pays.

Le discours immigrationniste à outrance ne fait plus recette : seul le pape François, accroché à ses illusions humanitaristes et philanthropiques à sens unique, l’utilise encore !
 
Féru des droits de l’homme et du droit d’asile, Thomas de Maizière, le ministre de l’Intérieur allemand du gouvernement de la chancelière vendue au mondialisme, Angela Merkel, a pourtant recadré, un peu, son message immigrationniste qui cadrait de moins en moins avec les aspirations des Germains. Pour faire face à cette immigration sauvage, il a donc lancé une proposition inusitée dans son milieu progressiste mais rabâchée depuis des lustres par les partis identitaires et nationalistes : les migrants « qui sont sauvés en Méditerranée doivent être ramenés en Afrique. »
 
Car selon lui, mais là-aussi les opposants à l’immigration-invasion le disent et le redisent depuis des années, cela décapiterait les organisations criminelles des trafiquants d’êtres humains : « Éliminer la propective de rejoindre l’Europe pourrait les décourager de risquer leur vie en affrontant un voyage dangereux. »
 
Pas fou dans ce monde politiquement correct auquel il est risqué de trop contrevenir, Thomas de Maizières ne ferme pas la porte totalement aux migrants : une fois ramenés en Tunisie, en Égypte ou autres pays d’Afrique du Nord, les migrants pourraient alors faire avancer leur demande d’asile qui, si elle aboutissait, leur consentirait de rejoindre l’Europe, sans danger.
Poussée par des partis identitaires en progression électorale grâce à leur discours anti-immigration, voici une petite avancée allemande contre l’invasion…
 
Francesca de Villasmundo
 

Suisse : Pas de surveillance préventive des mosquées

 

 



Le patron du Service de renseignement affirme que Winterthour n'est pas un cas isolé mais qu'il ne peut pourtant pas agir en amont.

 «Il n'y a pas de base légale qui permette au SRC d'opérer une surveillance généralisée des mosquées et des imams en Suisse», affirme le directeur du SRC Markus Seiler dans une interview au quotidien Aargauer Zeitung publiée lundi. De plus, «les mosquées, leurs imams et les organisations ne sont pas en eux-mêmes le problème».

La menace viendrait «le plus souvent de l'entourage», poursuit Markus Seiler. Le SRC peut agir préventivement lorsque des indices concrets d'une telle menace sont établis.


Pas un cas isolé


Et le chef du renseignement de prévenir: le cas de la mosquée An'Nour à Winterthour (ZH) n'est pas isolé. «Il existe d'autres réseaux du même type en Suisse.» Markus Seiler ne souhaite toutefois pas les nommer.

La police cantonale zurichoise a mené mercredi dernier une perquisition dans la mosquée An'Nour (lumière en arabe). Un imam éthiopien, qui avait appelé au meurtre des musulmans non pratiquants, et un membre présumé du comité de l'association ont été placés en détention préventive. Ils sont soupçonnés de provocation au crime et à la violence. Deux autres suspects arrêtés ont été relâchés.

La mosquée a également été suspendue par la Fédération des organisations islamiques. Elle a fait à plusieurs reprises la «une» des médias. Plusieurs jeunes, qui l'auraient fréquentée, seraient partis rejoindre l'Etat islamique (EI) en Syrie.

Dans l'entretien, M. Seiler se contente de dire que le SRC a «connaissance des événements» entourant la mosquée. Mais il refuse de préciser si son service y a pris part, et si oui dans quelle mesure.


SRC à la base


Selon lui, la «majeure partie» des quelque 60 cas arrivés sur la table du Ministère public de la Confédération liés au terrorisme ont été initiés totalement ou en partie par des enquêtes du SRC.

Avec l'entrée en vigueur de la nouvelle loi sur le renseignement, le 1er septembre 2017, le SRC pourra surveiller une personne à son insu, aussi dans sa sphère privée. Mais il n'y aura pas de surveillance de masse, assure Markus Seiler.

La Suisse fait, «à raison, une différence entre l'extrémisme violent et l'extrémisme politique». Les opinions ne sont pas punissables. Ce qui est pertinent, ce sont les actes, conclut-il.

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Cantin et Rousies (59) : l’AFPA ne fait pas qu’héberger les migrants, elle les forme aussi

 

La semaine dernière, cinquante migrants ont été accueillis dans les locaux de l’AFPA du Douaisis.La structure leur propose, en plus du logement, d’apprendre le français, et même un métier. Leur première demi-journée de formation (en langue) débutera le 7 novembre. En attendant, de bonnes volontés se manifestent dans le village. […]




Ces formations entrent dans le cadre du programme PILOT (pour programme d’insertion par le logement, l’orientation et le travail) déployé de manière expérimentale à Cantin et dans le centre AFPA de Rousies, près de Maubeuge. Fruit d’une collaboration entre l’État, le Fonds d’assurance formation du travail temporaire (FAF.TT) et l’AFPA, PILOT se déploie donc en deux phases: alors que les élèves ne sont que demandeurs d’asiles, ils suivent des cours de français et sont suivis par l’ADOMA pour la procédure officielle.[…]

Pour l’instant, soixante et onze migrants de Cantin et Rousies sont inscrits pour le programme. «  Il reste des places, assure Pascale Dartois. Nous en avons prévu quatre-vingt-quinze en tout.  » Et s’il porte ses fruits, PILOT pourrait être déployé plus largement, avance le préfet Michel Lalande. 

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Allemagne: La visite d’une église est interdite pour des écoliers, mais celle de la mosquée est obligatoire

 

 






Une classe de troisième a été interdite de visiter une église catholique dans le cadre d'une excursion. Dans le même temps, les parents d'un élève qui refusaient que leur enfant visite une mosquée ont été amendés. La liberté de religion en 2016.
 
Pendant des années, l'excursion pour la Communion à l'Eglise catholique locale des élèves de troisième année de l'école élémentaire de Ebersberg a été une tradition chère à la municipalité. Cependant, au printemps prochain, cette excursion sera annulée. Le directeur interdit la visite de l'église durant les heures de cours et justifie son interdiction en déclarant qu'il n'est pas admissible d'amener des élèves et des parents, qui ne font pas partie de la foi catholique, à subir, à cause de cette visite, un dilemme de conscience personnel et de détresse.
 
Toutefois, toute la thématique devient absurde, avec la décision simultanée d'une école dans le nord de l'Allemagne à Rendsburg. Il y avait là, dans le cadre de l'enseignement de la géographie (!) une visite d'une mosquée. Un écolier de 13 ans a refusé de participer à la visite pour des «raisons idéologiques». Même ses parents ont refusé de se soumettre à la pression de la direction scolaire. Ils craignent un «endoctrinement religieux» de leur enfant. Ils refusent le paiement de l'amende qui s'élève à 300 euros.
 
Cette mosquée gérée par une association, laquelle est surveillée par les services secrets allemands, n'est pas inquiétante pour le Département. De plus; même la participation de l'étudiant à un cours de remplacement dans une autre classe ne doit pas être acceptée selon le Département.
 
Dès lors, pendant que les visites dans les églises catholiques conduisent les personnes à "des dilemmes de consciences et de détresse", les visites des mosquées sont par contre forcées et sous la contrainte.
 
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
 

Hauts-de-France: un jeune homme de 19 ans tué par balle à Courcelles-lès-Lens

 

 Dimanche en fin de matinée, dans un quartier résidentiel de Courcelles-lès-Lens, « le jeune homme était avec son père devant leur domicile en train de bricoler sur un véhicule. Un autre véhicule est arrivé, il y a eu plusieurs coups de feu », a indiqué le parquet de Béthune, confirmant une information de La Voix du Nord
« Le fils est touché à la poitrine, il s’effondre et quand les secours arrivent, il est déjà en arrêt cardiaque et ils ne peuvent pas le réanimer », a ajouté cette source.

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Paris: ils agressent et scalpent un membre d'un gang rival

 

 
L’agression a été d’une rare brutalité. Trois personnes ont été interpellées dans le cadre d’un règlement de compte entre deux gangs rivaux survenu en avril dernier, rue Pajol, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Au terme de la garde à vue, deux suspects ont été placés en détention provisoire, rapporte Le Parisien
Les auteurs présumés des faits ont fait subir un véritable calvaire à leur victime. L’homme, âgé de 18 ans, a été frappé à l’arme blanche aux jambes et à la tête. Il souffrait d’une fracture ouverte à une jambe et présentait d’importante plaies à un pied et à une oreille. Il a par ailleurs été partiellement scalpé. Le jeune homme a été retrouvé en pleine rue, gisant dans son sang.

L’enquête a révélé que la victime, originaire d’Evry (Essonne), faisait partie d’une bande issue de la communauté sri-lankaise, appelée les Tamoul Saathan. Les agresseurs présumés, âgés de 21, 30 et 33 ans, sont eux membres d’un gang rival, les Red Kosty. Connue des services de police, la victime s’est vu prescrire 100 jours d’ITT suite à son hospitalisation en urgence.

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« Djihadosphère » : Ines Madani se faisait passer pour un homme pour recruter des femmes

 

 

Cette jeune fille de 19 ans est soupçonnée d’avoir séduit sur Internet sa future complice pour déposer une voiture piégée à Paris, début septembre.




Elles n’auraient jamais dû se rencontrer. Ines Madani, jeune fille solitaire et tourmentée de 19 ans originaire de Seine-Saint-Denis, et Ornella Gilligmann, une mère de famille de 29 ans vivant dans le Loiret, ont fait connaissance sur les réseaux sociaux. Dans la nuit du 3 au 4 septembre, les deux femmes ont déposé une voiture remplie de bonbonnes de gaz en plein Paris après avoir prêté allégeance à l’organisation État islamique (EI). […]

Durant sa garde à vue, Ines Madani livre quelques informations contradictoires aux policiers avant de se murer dans le silence. Ornella Gilligmann, à l’inverse, veut s’expliquer : elle affirme avoir participé à ce projet terroriste par amour pour un djihadiste rencontré trois mois plus tôt sur Internet. Incarcérée à Fleury-Mérogis, la jeune femme l’ignore toujours : son amant virtuel n’a sans doute jamais existé. Les enquêteurs pensent qu’il s’agissait d’une mystification visant à la recruter. […]

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Saint-Quentin : la mosquée, bien plus qu’un lieu de culte

 

 






Le préfet a rencontré les responsables musulmans de Saint-Quentin, saluant le dynamisme, le rôle social, culturel et interreligieux de la mosquée. 
 
La visite d’un représentant de l’État dans une mosquée n’est pas un geste anodin. En allant à la rencontre de la communauté musulmane de Saint-Quentin vendredi, le préfet Nicolas Basselier a souhaité mettre en avant le dynamisme et l’ouverture aux autres de la mosquée Es-Salam.

Situé dans le quartier de Vermand, l’endroit ne se résume pas à un lieu de prière même si la salle principale peut accueillir jusqu’à 500 fidèles les jours de fêtes religieuses. Au cours d’un long échange, les responsables ont présenté les activités de la mosquée qui se veulent « interreligieuses ». « On se mobilise pour la collecte de la banque alimentaire, on participe au parcours du cœur et au Téléthon, a illustré l’une des bénévoles. La femme a une forte place, on réfléchit au sens de la famille et de la société. »

Soutien scolaire et cours d’arabe

Cette dimension sociale se traduit également par du soutien scolaire, une ludothèque et des cours d’arabe ouverts à tous. « Il y a de nombreux non musulmans qui viennent prendre des cours le week-end », indique Lotfi Hamzaoui, président de l’association du culte musulman. Ce dernier n’est pas dupe et sait que la religion souffre d’un déficit d’image en raison du contexte actuelle.

Là dessus, les musulmans saint-quentinois se montrent pédagogues, expliquant à qui veut l’entendre qu’ils n’ont rien à voir avec ces barbares qui tuent au nom d’Allah. « Dans toutes les mosquées de France, les prêches se terminent par les mots paix, prospérité et richesse sur notre pays, continue le président. Et notre pays, c’est la France. »

« Ça fait partie du paysage de la ville »

Il y a trente ans, la communauté se réunissait dans le sous-sol d’une église du quartier mis à disposition. « Nos parents avaient comme volonté d’être ensemble et d’exclure toute notion de nationalité. C’est pour cela qu’il n’y a qu’une mosquée à Saint-Quentin », rappelle l’une des bénévoles.

Après avoir racheté un ancien supermarché, la mosquée s’est construite sur ce site avant de s’agrandir progressivement. « La plupart des gens trouvent que ça embellit le quartier. Ça fait partie du paysage de la ville maintenant. Et ça met plus en confiance de voir ce beau bâtiment que du temps où on se réunissait dans les caves », complète le président.

Olivier De Saint Riquier
 

La mosquée sera de plus en plus souvent ouverte au public

 

 
 


Le lieu de culte, inauguré samedi, peut accueillir 1 200 fidèles.

Fini les préfabriqués. Les musulmans de Moissy-Cramayel peuvent désormais prier dans une mosquée digne ce nom, située rue de Noisement. Ouverte en mai, la mosquée des Lumières a été inaugurée samedi matin par les élus et les représentants de l'Etat qui ont tous souligné, alors qu'approche la commémoration du 13 novembre, l'importance du dialogue et du respect des différences. « La meilleure réponse aux extrémistes, c'est d'ouvrir une mosquée, a insisté le député (PS) Olivier Faure. C'est montrer que l'islam a toute sa place en France. »

« Nous ancrons cet ouvrage dans le paysage, malgré les préjugés et les appréhensions, a souligné Abdelaziz Abderrahmane, président de l'Association culturelle et éducative des musulmans de Moissy. Il est indispensable de faire tomber les méfiances. Cet endroit est un lieu de partage de tous les citoyens. » La mosquée et son école ont d'ailleurs été ouvertes samedi après-midi au public. Une opération que les responsables de la mosquée souhaitent renouveler fréquemment.

Construite en quatre ans grâce aux 1,9 M€ récoltés auprès des fidèles à Moissy et dans toute la France, la mosquée, grande de 950 m2, reçoit chaque vendredi 600 personnes. Elle peut en accueillir 1 200.
 

« Nous avons eu une église dès le XIIe siècle, puis un temple, puis une pagode, a résumé Line Magne, maire (PS) de Moissy. Bienvenue à la mosquée. »

 Faustine Léo

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Croisilles (62) : le quotidien des migrants, entre demandes d’asile, selfies avec la préfète

 

Avec Fabienne Buccio, préfète du Pas-de-Calais, Pascal Brice, le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra), était, samedi matin, au centre d’accueil et d’orientation à Croisilles pour rencontrer les trente-six migrants soudanais. Tous vont déposer une demande d’asile en France. […]

 




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Véronique Sanson tacle l'islam dans son nouvel album

 

 C'est le titre d'un article du Point, un peu modifié :
$_35"Dans son titre phare "Dignes, dingues, donc...", la chanteuse, qui a toujours été engagée, raille l'islam qu'elle trouve sectaire (...)
 
On la sait féministe, engagée, talentueuse et surtout libre. Elle nous le prouve une fois de plus dans un nouvel album réussi où l'artiste raille gentiment au passage la religion musulmane, dans le titre évocateur Dignes, dingues, donc... Comme pour sonner les cloches d'un islam qu'elle juge trop passéiste ou moralisateur. « Fais pas ci, fais pas ça/L'enfer te mangera/Dis pas ci, dis pas ça/Tapette sur les doigts », chante Véronique Sanson avec délectation.
 
Dans une interview accordée à RTL, l'artiste s'est expliquée sur la genèse de ce coup de canif. « Ça m'est venu en voyant les prières de rue à la télé. Et je voyais tous les gens habillés pareils. On a l'impression que c'est faux, qu'ils ont besoin de se déguiser pour se faire respecter, alors qu'ils n'ont pas besoin ! (...) Et je trouve que depuis 1 400 ans, l'islam a fait beaucoup de trucs pas terribles."
 
Vous l'aurez compris, c'est en réalité à la religion catholique que Véronique Sanson s'en prend. C'est beaucoup moins dangereux et plus convenu que de s'en prendre à l'islam surtout après les multiples attentats que la France a connu, et qui n'ont rien à voir avec l'islam.
 
Véronique Sanson s'était pourtant essayée à la critique de l'islam en 1989 dans une chanson intitulée Allah (photo) mais les menaces de mort qu'elle avait reçues l'ont visiblement ramenée à la raison puisqu'elle a retiré cette chanson de son répertoire en 2006...
 

L’hostilité récurrente du FN à la structuration de l’espace politique entre LR et le FN

 

 
Communiqué de presse de Karim Ouchikh, Président du SIEL, Conseiller régional Ile-de-France, Conseiller municipal de Gonesse :
Images-9"Le SIEL quitte officiellement le Rassemblement Bleu Marine
A l’occasion de son Comité Directeur qui s’est tenu le 5 novembre 2016, le SIEL a constaté l’entendue des désaccords qui l’opposent actuellement à la direction nationale du FN, parmi lesquels : 

- l’hostilité récurrente du FN aux ambitions louables du SIEL visant à structurer l’espace politique abritant, entre LR et le FN, la « Droite hors les murs » afin d’élargir à droite la base électorale de Marine Le Pen ;

- le refus du FN de faire faire vivre politiquement le Rassemblement Bleu Marine, structure fantôme qui ne s’est jamais réunie depuis 2012 : les patriotes de toutes sensibilités aspirant à rejoindre Marine Le Pen n’auront donc malheureusement pas trouvé avec ce RBM défaillant un espace de dialogue et de réflexion propre à créer les complémentarités politiques et les synergies électorales escomptées ; 

- la violation répétée par le FN de l’accord de partenariat politique signé en 2012, lequel prend fin en juin 2017 : au refus d’honorer loyalement ses obligations financières vis-à-vis du SIEL, s’ajoutent la paralysie organisée des relations FN/SIEL dans les départements et son refus inexplicable d’investir les candidats SIEL aux législatives de 2017.

Ces différentes entraves sont directement imputables à Florian Philippot qui a toujours œuvré à consolider son emprise idéologique sur le Rassemblement Bleu Marine en marginalisant méthodiquement, avec le  SIEL, un parti politique dont la ligne idéologique (de droite de convictions) contredisait manifestement ses ambitions politiques à l’intérieur du FN comme au sein du RBM.
Le SIEL s’est employé inlassablement à aplanir ces divergences fondamentales, sans recevoir malheureusement le moindre écho à ses multiples marques de bonne volonté.
Déplorant cette situation de blocage qui constitue un véritable gâchis politique pour la famille patriote, le SIEL entend néanmoins, - compte tenu de la gravité des périls qui accablent la France -, maintenir son soutien à la candidature de Marine Le Pen à l’élection présidentielle de 2017 au regard de l’offre politique actuelle.

En considération de cette impasse politique éminemment dommageable, qui ne porte en rien atteinte à la complicité et à l’amitié éprouvées à l’égard des adhérents, cadres et élus du FN, le SIEL a adopté les trois motions suivantes :

1. Le SIEL quitte le Rassemblement Bleu Marine, structure politique fantôme qui n’a jamais fonctionné en pratique depuis sa constitution, en prenant acte du refus du FN d’en assurer toute véritable expression à l’avenir.

Motion approuvée à 94% des membres du Comité directeur.

2.  Animé avant tout par l’intérêt supérieur du pays, le SIEL confirme, en l’état de l’offre politique actuelle, son soutien à la candidature de Marine Le Pen à l’élection présidentielle de 2017. 

Motion approuvée à 96% des membres du Comité directeur.

3. Compte tenu du refus injustifié du FN de consentir à son partenaire la moindre investiture aux législatives de 2017, le SIEL présentera des candidats dans le cadre d’un rassemblement patriotique à vocation majoritaire. 

Motion approuvée à 100% des membres du Comité directeur."
 
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Gouvernement Obama : la “préférence musulmane” dès 2008…

 

 

Ce qui suit est tiré du site Atlantico qui a publié le 3 novembre un entretien avec Roland Hureaux lequel commente de toutes récentes informations fournies par Wikileaks… Nous sommes en septembre 2018 : Obama n’est pas encore élu – il le sera le 8 novembre suivant – mais il prépare ses équipes…
Ce sont des informations très graves qui nous parviennent d’Amérique au travers de Wikileaks ou de Fox News. Les courriels interceptés, ce ne sont pas des opinions, ce sont des faits – que je découvre avec vous. Les preuves représentées par les courriels échangés au sein de l’entourage d’Obama entre Prêta Banal (qui avait servi dans l’administration Clinton dans les années 1990) et John Podesta, secrétaire général de la Maison Blanche sous Bill Clinton et actuel directeur de campagne de Hillary, contiennent des instructions pour recruter des Américains d’origine arabe mais seulement des musulmans, en excluant les chrétiens d’Orient donc. Dans un courriel daté du 29 septembre 2008, elle écrit : « J’ai exclu [de la liste] ceux qui sont d’origine arabo-américaine mais qui ne sont pas musulmans ». Cela en violation de la Constitution américaine, qui stipule : « aucun questionnaire portant sur la religion ne sera imposé pour juger de l’aptitude d’un candidat à l’exercice de fonctions ou charges publiques aux États-Unis ». Instruction d’autant plus paradoxale qu’elle émane d’une ancienne présidente de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale, passée au service de Bill Clinton puis de Barack Obama. Nous sommes à la fin de 2008, elle prépare la future administration Obama, sachant qu’aux États-Unis, du fait du spoil system, les changements à la tête de l’exécutif sous un nouveau Président sont plus étendus qu’en France […] S’agissant du recrutement de cadres pour l’administration, on pouvait penser que les chrétiens, peu suspects de collusion avec les islamistes, auraient été un élément plus sûr. Or ils ont été systématiquement écartés […]

Source 

La Conférence des évêques de France piégée par l’UOIF

 

 





Le conseil permanent de la Conférence des évêques de France a publié, le 13 octobre, une lettre intitulée « Dans un monde qui change, retrouver le sens du politique ». En résumé, ce texte plaide pour une redéfinition du contrat social et du contrat républicain « permettant à tous les Français de vivre ensemble sur le sol du territoire national, ce qui ne semble plus aller de soi ». « Il convient donc pour l’avenir de notre société de redéfinir ce que c’est d’être citoyen français. » Sans être vraiment nommée, c’est bien de la difficulté de l’intégration de l’islam dans la République qu’il s’agit. Pour nos évêques c’est donc la République et la nation qui ont le devoir de s’adapter aux cultures et religions importées, dont l’islam, et non l’inverse.

Devant tant de béatitude, il fallait s’attendre à une récupération par l’islam politique. C’est ainsi que le Conseil théologique musulman de France, celui des « Frères musulmans » de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), a écrit le 1er novembre à la Conférence des évêques de France pour saluer son magnifique plaidoyer du vivre ensemble et lui proposer de jeter les bases des états généraux du vivre ensemble.

Ce qui est intéressant c’est le contenu très politique de cette réponse, qui piège les évêques de France. Pour expliquer notre mal-vivre ensemble sont évoquées : d’abord la violence des conflits dans le monde « qui ne sont pas circonscrits, s’exportent et créent de la méfiance jusque dans les contrées les plus lointaines », que certains jouent « à les attiser à des fins, semble t-il, purement électoralistes »… Ensuite, le conflit en Syrie avec ses migrants qu’il est nécessaire d’accueillir religieusement (surtout s’ils sont musulmans, car rien n’est dit sur les chrétiens d’Orient), « car l’homme est un éternel voyageur ». Merci pour les terroristes infiltrés. Certains de nos responsables politiques sont également stigmatisés, qui manquent aux obligations de leur charge en ne magnifiant pas l’unité des enfants de notre peuple. 

Autrement dit, haro sur ceux qui dénoncent et combattent les dérives de l’islam radical dans notre pays. Mais c’est aussi la faute à Robert Ménard et ses panneaux dénonçant l’invasion des migrants dans sa commune, des états-major russe et américain, dont les déclarations font penser que nous sommes à la veille d’un conflit militaire mondial, et enfin de la laïcité qui n’a pas vocation à lutter contre les religions ni à « régenter la manière de s’accoutrer des Français ». Ce serait « un coup fatal porté à la stabilité et au vivre ensemble ». Nous y voilà, des menaces voilées contre ceux qui voudraient interdire le burkini ou le port du voile islamique dans l’espace public. Non, rien de politique dans tout cela, évidemment. Le conseil permanent de la Conférence des évêques de France se retrouve ainsi mal à l’aise. Soit il répond à cette demande œcuménique et sera taxé de connivence avec les Frères musulmans et de semer la zizanie au sein de l’islam en France, soit il n’y répond pas et sera traité de sectaire et manquant de sincérité, ne considérant pas l’UOIF comme un interlocuteur valable. Dans les deux cas, il est piégé. Politique et religion ne font pas bon ménage. Par ailleurs, nos évêques ne semblent pas vouloir prendre en considération le sondage réalisé le 16 septembre 2016 par l’institut IFOP pour le Journal du dimanche, indiquant que près d’un tiers des musulmans français (28 %) estiment que leurs valeurs sont « incompatibles » avec celles de la République.

 Philippe Franceschi

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