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samedi, 19 novembre 2016

Immigration, 1500 ivoiriens arrivent chaque mois aux portes de l’Italie, révèle le ministère de l’intérieur

 

 
 


1500 immigrants  ivoiriens sont enregistrés chaque mois aux portes de l’Italie, a révélé le ministère de l’intérieur mercredi à Yamoussoukro (centre).

Selon Vincent Irié  Tohbi, adjoint du directeur de cabinet du ministre Hamed Bakayoko, lors d’un séminaire de formation des préfets et forces de l’ordre sur le thème. « La prévention de l’insécurité et nouvelles menaces: Importance de l’implication des populations », «chaque mois, il y a 1.500 Ivoiriens qui arrivent aux portes de l’Italie. Ces chiffres ont été donnés par les autorités Italiennes. »

Par ailleurs et selon des informations en notre possession, des immigrés ivoiriens transiteraient par Daloa (centre-ouest) et également par San Pedro (Sud-ouest) via la Libye pour rejoindre l’Europe.

S’ils sont si nombreux à tenter de rallier le vieux continent pour un mieux-être général, en Côte d’Ivoire, quitter le pays pour construire un avenir ailleurs figure jusqu’à ce jour parmi les premiers souhaits d’un grand nombre d’ivoiriens.

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vendredi, 18 novembre 2016

Haine raciale: amende de 5.000 euros requise contre Geert Wilders

 

 La Haye - Le ministère public a requis jeudi une amende de 5.000 euros à l'encontre du député néerlandais d'extrême droite Geert Wilders, l'accusant d'avoir "insulté les Marocains" et d'avoir semé la discorde parmi les citoyens.
 
"Nous demandons au tribunal de condamner M. Wilders pour insulte à un groupe, incitation à la haine et discrimination, et requérons une amende de 5.000 euros", a déclaré le représentant du ministère public, Wouter Bos, s'adressant aux trois juges. 
Il n'a pas demandé la peine maximale de 22.250 euros, estimant qu'il y avait de "pires déclarations imaginables" que celles faites par le député controversé. 
 
Les commentaires du politicien "étaient insultants envers les Marocains comme groupe de population" et portaient la marque de "sentiments fortement négatifs" contre eux, a dit M. Bos. 
Ni l'élu, qui snobe son procès depuis fin octobre, ni son avocat n'étaient présents lors de la présentation du réquisitoire par le ministère public. 
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'au 25 novembre, porte sur ses propos tenus lors d'une soirée après les élections municipales de mars 2014 à La Haye. 
Il avait demandé à ses militants s'ils voulaient "plus ou moins de Marocains dans (leur) ville et aux Pays-Bas". 
Face à une foule scandant "Moins ! Moins ! Moins !", il avait répondu dans un sourire : "Nous allons nous en charger". 
Dans ses déclarations, M. Wilders "a fait une claire distinction entre les Marocains et les autres citoyens néerlandais", a indiqué une autre représentante du ministère public Sabina van der Kallen. 
"Une demande de peine pour avoir posé une question à propos d'un des plus grands problèmes aux Pays-Bas", a réagi Geert Wilders sur Twitter en cours d'audience jeudi. 
"Délirant. Je n'y paierai pas attention", a ajouté l'homme politique, qui divise dans un pays se targuant de tolérance multiculturelle. 
Depuis le début du procès, le député dénonce une "parodie de justice" destinée à le réduire au silence en amont des élections législatives prévues pour mars. Il a répété à plusieurs reprises n'avoir "aucun regret" après avoir dit ce que "des millions de citoyens néerlandais pensent". 
Le verdict est attendu pour le 9 décembre. 
Il s'agit du second procès de ce genre pour Geert Wilders. Il avait été relaxé en 2011, le tribunal ayant conclu que ses remarques visaient une religion, et non un groupe spécifique de personnes.

L’immigration, vous n’en voulez pas ? Vous l’aurez quand même

 

 
Le préfet de la région Ile-de-France, Jean-François Carenco, est catégorique :
« Je vais installer des centres. Beaucoup gueulent (sic) pour la forme. Je m’en fous (sic). Les gens ont peur de tout. On verra qui râlera vraiment lorsque ce sera fait et combien de temps ».
Il existe ou existera 79 centres d’hébergement dans toute l’Ile-de-France. Le département des Yvelines devrait en compter cinq ou six.
Plus globalement, le préfet de région se dit prêt à 
« passer outre l’avis des maires. Les réunions qu’ils ont eues avec le préfet des Yvelines n’ayant pas abouti. »
Jean-François Carenco veut avancer 
« le plus vite possible. Je peux utiliser des anciens hôtels, des anciennes casernes de gendarmerie, faire installer des structures modulaires ». « L’Europe va très mal, mais elle attire. Et si d’autres migrants arrivent, nous les prendrons. Nous étudions d’ailleurs la possibilité de créer un troisième sas pour les recevoir, en plus de celui d’Ivry et de Paris à l’ancienne gare Dubois (XVIIIe). Le flux risque d’augmenter ? Ce n’est pas un problème. Le monde est comme ça ».
Le préfet dévoile la suite de son plan. L’idée est de vider Paris puis de transférer les migrants vers les centres de la grande couronne pour ensuite les répartir en province. 
« Il s’agit de jeunes hommes plutôt en bonne santé. Ils apprennent vite et sont motivés. Beaucoup ont travaillé dans le bâtiment. Peut-être pourront-ils servir la construction du Grand Paris ? »
Mais rassurez-vous, il n'y a pas de grand remplacement !

Tunisie: quatre jihadistes présumés arrêtés pour planification d'attentats

Un groupe de jihadistes présumés, composé de trois hommes et une jeune fille, « planifiait des attentats contre un centre commercial et un poste de la Garde nationale (gendarmerie) à Tunis », a déclaré ce mercredi le ministère de l’Intérieur. Ils ont été arrêtés par la police judiciaire de Ben Arous, dans la banlieue sud de Tunis. 

Les jihadistes présumés communiquaient entre eux via le réseau social Facebook, selon lui. Le groupe envisageait également d’assassiner des personnalités de la politique, des médias et des services de sécurité.

La Tunisie, pays en état d’urgence depuis presque un an

Depuis la révolution de 2011, la Tunisie fait face à l’essor d’une mouvance jihadiste armée, responsable de la mort de plus d’une centaine de soldats et de policiers, mais aussi d’une vingtaine de civils et de 59 touristes étrangers selon des chiffres des ministères de l’Intérieur et de la Défense.
    
Ces derniers jours, cinq caches d’armes ont été découvertes dans une région frontalière de la Libye. Des dizaines de fusils et d’importantes quantités de munitions ont été saisies. Frappé par une série d’attentats sanglants en 2015, le pays est en outre sous état d’urgence depuis bientôt un an.

Saint-Mard (77) : 680 téléviseurs volés pour une valeur de 1 million d’euros

« Ce sont des primo-délinquants », glisse un officier. Il n’empêche. Douze hommes âgés de 30 à 45 ans ont été arrêtés ce mardi matin par une centaine de gendarmes de la Seine-et-Marne. Ils sont soupçonnés d’avoir volé et écoulé 680 télévisions très haut de gamme dans les locaux de la plate-forme de transports ID Logistics à Saint-Mard. Le préjudice est évalué à 1 M€.[…]


 
Les mis en cause sont originaires de Seine-Saint-Denis et de Villiers-le-Bel, Gonesse et du Plessis-Bouchard (Val-d’Oise). Aucun n’avait jamais eu affaire à la justice. Personne ne demeure en Seine-et-Marne. Selon les enquêteurs, les voleurs auraient profité de complicités internes dans l’entreprise IDLogistics.
 
Ce mercredi soir, dix des douze hommes interpellés étaient toujours en garde à vue, interrogés par les gendarmes de la brigade de recherches de Meaux. Les deux autres ont été entendus en audition libre. L’enquête se poursuit sous l’autorité d’une juge d’instruction du tribunal de Meaux. La magistrate avait confié les investigations aux militaires début octobre.
 

RAPPEL : samedi 26 novembre, TOUS À PÉRONNE (80)

 

 

jeudi, 17 novembre 2016

Affaire Sid Ahmed Ghlam: quatre interpellations dans les Yvelines et le Val-d'Oise

 

Quatre personnes ont été interpellées ce mardi matin dans les Yvelines et le Val-d’Oise. Ces hommes ont entre 28 et 39 ans. Ils sont soupçonnés d’avoir apporté un soutien logistique à Sid Ahmed Ghlam. Ce jeune étudiant de 24 ans est soupçonné d’avoir préparé des attentats contre au moins une église en France et d’être lié au meurtre d’Aurélie Châtelain commis à Villejuif, dans le Val-de-Marne.

Ce dernier avait été arrêté en avril 2015. L’attentat piloté depuis la Syrie par le groupe jihadiste Etat islamique (EI) avait échoué, mais il avait toutefois fait une victime, une professeure de fitness, Aurélie Châtelain, retrouvée morte dans sa voiture. Les investigations ont déjà permis de mettre en examen quatre complices présumés, soupçonnés d’avoir participé à la fourniture d’armes et de gilets pare-balles.

Il se tire une balle dans la jambe

 

Le 19 avril 2015, Sid Ahmed Ghlam appelle le Samu après s’être tiré une balle dans la jambe. A leur arrivée, les policiers trouvent le jeune homme dans une rue de Paris. Dans sa voiture et sa chambre, ils découvrent quatre kalachnikovs, deux armes de poing et des gilets pare-balles.

L’analyse de son matériel informatique montre que l’Algérien, signalé pour ses velléités de départ en Syrie, projetait d’attaquer le jour de son arrestation, un dimanche, une église à Villejuif, en banlieue parisienne, trois mois après les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher.

Abdelhamid Abaaoud, un organisateur des attentats parisiens du 13 novembre 2015, est soupçonné d’avoir incité Sid Ahmed Ghlam à commettre un attentat contre une église.

Agé de 25 ans, Sid Ahmed Ghlam a affirmé aux enquêteurs avoir effectivement été missionné depuis les zones turco-syriennes pour commettre un attentat après deux voyages en Turquie, fin 2014 et début 2015, mais il nie le meurtre d’Aurélie Châtelain et a multiplié les versions.

Au contraire, des indices impliquent Sid Ahmed Ghlam dans ce meurtre: l’ADN de la victime a été trouvé sur la parka qu’il portait et l’expertise balistique a montré que la balle mortelle a probablement été tirée depuis son pistolet.

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Assad: Trump sera un « allié naturel » de Damas s'il lutte contre le « terrorisme »

Le chef de l’Etat syrien Bachar al-Assad a affirmé que le président américain élu Donald Trump serait « un allié naturel » s’il luttait contre le terrorisme, dans un entretien diffusé mardi soir par la télévision publique portugaise RTP.

« Nous ne pouvons rien dire sur ce qu’il va faire, mais disons que s’il va lutter contre le terrorisme, bien sûr nous allons être alliés, des alliés naturels de la même manière que nous le sommes avec les Russes, les Iraniens et beaucoup d’autres pays qui veulent défaire le terrorisme », a dit Bachar al-Assad à la RTP.

 

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L’islamisation du monde

 

 
Contrairement à ce qu’on dit aujourd’hui sur l’Islamisme (les Médias, les Politiques et leur « bien pensance »), je pense qu’au final, ce sera plus grave et perfide à la fois.
 

Les musulmans prendront leur temps pour coloniser et islamiser l’Europe, puis l’Asie, l’Afrique et finalement le monde entier.
Les attentats commis par des islamistes terroristes vont prendre fin progressivement. Quelques illuminés sèmeront encore la terreur, ici ou là, tueront au nom d’Allah des innocents juifs et chrétiens, mais cette impopularité dessert la cause musulmane et le but recherché de l’Islam. Les musulmans dits « modérés » condamnent ces actes terroristes, mais ne rêvent que d’une chose, vivre dans un monde ou la seule religion sera la leur.

Insidieusement, petit à petit, l’Islam nous envahira, nous convertira. Les musulmans s’insèreront dans la vie politique (comme Belkacem, El Khomri, et bien d’autres), dans les médias, le monde culturel, dans l’administration, la police et l’armée, l’enseignement et bien évidemment dans les nombreuses associations (de défense de … non, de propagande), où ils sont souvent majoritaires.

Cela n’a rien de grave en soit, toutes les religions peuvent être représentées dans la vie publique, chrétiens, juifs, musulmans, etc. Il n’y a aucun problème à cela, sauf que nous sommes dans un état, en France, dont la laïcité depuis la loi de 1905 est primordiale, obligatoire et sans appel. Or les musulmans refusent cela, ils veulent progressivement imposer leurs règles de vie, leurs coutumes religieuses ; leurs rites islamiques préemptent sur tout, sur les lois de la République et sur toute vie publique.

Il nous a fallu des décennies, même des siècles pour nous débarrasser « difficilement » de l’emprise de l’église sur l’état, et obtenir enfin une République libre et laïque.

Nous ne servons plus de poisson dans les cantines (scolaires ou d’entreprise) le vendredi, les crucifix ont disparus des lieux publics (tribunaux, écoles …), les fêtes saintes catholiques sont devenues de simples jours de congé, les juifs, les catholiques, les protestants suivent leurs rites religieux en toute discrétion, les représentants de l’église s’habillent désormais en civil, les cloches, ben… oui, les cloches sonnent encore les mâtines et l’angélus dans quelques villages, mais aux demandes de plus en plus nombreuses des socialos anticléricaux, ces cloches ne sonneront plus que les heures. Mais cela n’est pas bien grave !

Par contre, ENORME RETOUR EN ARRIERE : l’Islam nous dévore.
Le porc est interdit dans les cantines, des horaires sont aménagés dans les piscines pour les musulmanes, de plus en plus de restaurants ne servent que de la viande Halal, les prières musulmanes dans la rue sont courantes, l’appel à la prière du muezzin par hautparleur est fréquent dans de nombreux quartiers, des salles de prière musulmane dans les entreprises ou à l’hôpital fleurissent, le Ramadan pose de nombreux problèmes dans la vie publique, le burkini (signe religieux ostentatoire) envahit nos plages, sans parler bien sûr des signes religieux, ou plutôt provocateurs -violents et agressifs- dans les rues et nous envahissant, tels que voile islamique, burqa, niqab …

Et bientôt soyez-en sûr, la mixité filles et garçons sera supprimée dans nos écoles, et dans bien d’autres lieux publics. Regardez ce qui se passe avec les chauffeurs musulmans de bus parisiens ! Les crèches de Noël dans les lieux publics sont interdites, et bientôt elles le seront aussi dans votre jardin. Tout signe extérieur de notre culture chrétienne sera condamné, mais l’Islam autorisé. Les cours d’histoire à l’école, de morale, de civisme sont adaptés à la culture musulmane, pour ne pas choquer ces pauvres immigrés (du Maghreb, d’Afrique ou du Moyen Orient).
Je pense que bientôt, les noms de communes avec le mot « SAINT » seront modifiés. Saint- Etienne deviendra « Etienne », et puis « Brieuc », « Denis », etc.

Tant de choses changeront dans les décennies à venir, en France . Ce que je viens d’exprimer vous fait rire aux larmes ? Eh bien riez braves gens, vous ne serez plus de ce monde pour connaître çà (moi non plus !),mais je garantis que l’Islamisation de la France et de l’Europe se fera progressivement, mais irréversiblement.

La déchristianisation suit son cours, l’islamisation le sien !!!
Une des principales raisons à cela, est la haine viscérale de la gauche française envers les catholiques ; l’anticléricalisme est profondément ancré dans cette population socialo-communiste depuis plus d’un siècle. Et comment se débarrasser de cette religion qui n’en finit pas de mourir ? En implantant dans le pays une autre religion, plus agressive, et qui la vaincra en peu de temps.

Cette haine envers les catholiques, je la ressens tous les jours dans mon entourage, et pas forcément de la part de gens athées (comme je le suis d’ailleurs), mais souvent chez d’autres croyants notamment les protestants (qui sont très nombreux dans ma région et qui votent majoritairement à gauche), et bien sûr chez les musulmans !
Et la chose la plus absurde, ce sont ces nombreux catholiques « de gauche », assez stupides pour cautionner un gouvernement …. qui fait tout pour les éradiquer !!!

Il n’est pas question d’interdire telle ou telle religion, du moment qu’elle est pratiquée dans l’intimité, de façon discrète, et sans jamais interférer dans la vie publique, surtout en France qui se veut un état laïc

Le problème des musulmans est leur désir de conquête, d’invasion du monde, comme ils le font d’ailleurs depuis des siècles, mais aujourd’hui le terrain est favorable et propice : faiblesse de certains états, repentance des anciens pays colonisateurs, multitude d’associations antiracistes et des droits de l’homme, ouverture des frontières, subordination des pays occidentaux aux riches pays arabes (Qatar, Arabie Saoudite, etc) …

Les vêtements qu’exhibent les musulmanes dans la rue ou sur la plage, n’ont rien à voir avec la pratique « religieuse » de l’Islam, mais une réelle PROVOCATION politique visant à imposer dans nos pays occidentaux leurs pratiques, rites et leur culture. Mais ceci répondant néanmoins aux prêches de Mahomet (l’auteur de cet abject Coran), pour envahir et convertir le monde à l’Islam… de gré ou de force.
Soyons réalistes.

Le monde de demain sera islamisé à 90%. Il n’y a plus rien à faire, il est trop tard. Ce que les musulmans n’ont pas réussi à faire par leurs conquêtes guerrières, il le feront par invasions pacifistes, avec quelques massacres de temps à autre, histoire de bien faire comprendre aux populations qu’ils sont les plus forts et que rien ne peut les arrêter.

Je suis heureux de ne plus avoir à vivre assez longtemps pour connaître cette époque … disons vers 2050 ?

Vincent Godefroy 


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Attentats : et maintenant, le cynisme des politiques et des boutiquiers !

 

 

C’est un colosse aux airs de Kersauson, une masse, fort non pas comme un Turc mais peut-être comme un Serbe : Joseph Anticevic, 47 ans, veuf depuis le 13 novembre 2015 d’une femme tant aimée. Un père éperdu et perdu avec ses deux enfants adolescents depuis que des fous d’Allah ont fait de sa vie un enfer de cauchemars.
Joseph Anticevic était au Bataclan ce soir-là avec son épouse. Un an après, Libération l’interroge. Il dit son présent, fait de ce moment qui ne passe pas et sans doute ne passera jamais : « Je me revois en train de marcher sur les cadavres pour m’enfuir. Le plus dur, ce n’est pas la vision, mais la sensation. Marcher sur des corps, le sang jusqu’au mollet, cette sensation est horrible. »

  Comme tous ceux qui ont laissé des proches dans le carnage de ce soir-là, il dit : « Mon problème, c’est d’avoir survécu. ». De penser qu’il aurait pu s’échapper par ici et pas par là, que son épouse, alors, aurait peut-être survécu. La main tenue et puis lâchée dans la fuite, l’autre qui ne suit pas, qui trébuche, le corps qu’on retrouve 96 heures plus tard… Qui peut se débrouiller de cela ?

Joseph Anticevic a déménagé avec ses deux enfants. Quitté Paris pour le soleil du midi, pour fuir les peurs de la ville surtout. Il tient pour ses deux enfants parce qu’il le faut bien. Son entreprise, c’était leur projet, à sa femme et lui. Seul, il n’y trouve plus aucun goût.
Alors, voir les flonflons, les Sting, les caméras pour la réouverture du Bataclan, ça ne passe pas. « Je tourne en rond depuis une semaine. Cette idée que des gens puissent faire la fête à l’endroit où elle a été assassinée, je ne peux pas le supporter. J’ai la rage », dit-il. Il voulait même s’amener là avec une pancarte : « Bon concert, amusez-vous bien. »
 
La réouverture de la salle de concert, les terrasses refaites à neuf, c’est l’indécence de la vie qui reprend. Un coup de Kärcher© pour effacer les traces, un coup de peinture et ça repart. The show must go on car c’est ainsi que va la vie, mais pour les victimes, le cauchemar continue. Après la douleur indicible, il leur faut maintenant affronter les boutiquiers et les persécutions administratives. Victimes deux fois. Et puis, surtout, supporter la lâcheté des politiques : « Cette haine que j’essaie de contenir de toutes mes forces à chaque instant, je ne peux pas la cracher, je ferais peur à tant de monde. Mon discours dérange. » Le baratin sur « la fraternité » et « le vivre ensemble » lui est insupportable : « Comment supporter ces pseudo-excuses socio­-économiques qu’on trouve à ces fachos qui ne veulent pas de notre façon de vivre ? Ils m’ont tout volé. Celle que j’aimais, celui que j’étais. »
Mais, chut ! Prenez votre pilule, Monsieur Anticevic… 

Tranquille… ça va se calmer, vous allez voir.

Hasard de la presse, paraît ce même jour sur le site du Point le récit d’un « policier musulman du renseignement ». Il était au Stade de France ce jour-là. « Spécialiste de la radicalisation islamiste », il alertait depuis longtemps sur ce qui allait arriver. Pourtant, sa direction l’a, depuis, muté en raison de son « zèle antisalafiste », dit-il.
Je deviens gênant de par mes relations dans les institutions officielles ou communautaires qui m’alertent de la part belle que la République fait aux salafs malgré les discours officiels.
Depuis, je constate que de trop nombreuses victimes ont perdu la vie, et c’est à elles et à leurs familles que je pense. La police a plus que jamais l’obligation de résultat. Reste à savoir si le chemin pris par nos services de renseignement et ceux qui les dirigent est le bon.
Assurément non, mais on ne saurait affronter le réel en période d’élections.

Marie Delarue

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Djihadistes expérimentés cherchent emploi. Étudient toute possibilité

 

 

Avec la chute désormais inéluctable de l’État islamique, la question du retour des djihadistes va devenir une réalité. Lorsque ceux-ci auront estimé avoir tué suffisamment de chrétiens et autres koufars pour rentrer au pays et jouir paisiblement d’un repos bien mérité, il va bien falloir s’en occuper. 

Certes, côté soins, la Sécu, bonne fille, prendra en charge les blessés et leur garantira une pension d’invalidité, comme ce fut le cas pour Mohamed el-Ayouni qui, après être revenu du djihad avec un bras et un œil en moins, a obtenu une pension d’adulte handicapé. Après tout, ils ont raté le paradis d’un poil, sont désormais sans travail et sont français comme vous et moi. Toutes choses qui méritent d’être indemnisées. 

Mais les autres ? Les estimations actuelles avancent le nombre d’environ 2.300 Français ou résidents étrangers en France ayant rejoint Daech en Syrie et en Irak. La France reste le premier pays contributeur d’Europe occidentale. Si l’unanimité de la classe politique s’accorde sur la nécessité de les mettre hors d’état de nuire, les possibilités juridiques restent étroites. La France n’envisageant pas de créer des camps de rétention sur le modèle de Guantánamo, ceux qui n’ont pas commis de crime sur le territoire seront vite remis dans la nature. 

Le rapport du député Pietrasanta, sorti en 2015 et qui s’interroge sur cette problématique, va ainsi devenir d’actualité.
Nul trace d’un retrait possible de la nationalité ou de l’exclusion du territoire parmi ses préconisations, mais plutôt aide et volontariat. Ainsi, que faire des djihadistes ? Eh bien, mais c’est simple : avant tout les aider à trouver du boulot !
 « La déradicalisation doit pouvoir aider l’individu en question à s’immerger dans un milieu social qui puisse lui apporter des liens et le sentiment de ne pas être isolé. Il s’agit d’une véritable tâche de resocialisation. » Noble objectif, qui impose un « retour à la vie normale et à l’insertion socio-éducative ou socio-économique »

Donc, priorité aux djihadistes en recherche d’emploi. Naturellement, pour convaincre suffisamment les patrons d’accueillir à bras ouverts dans leur entreprise les guerriers du Prophète, il restera à combattre cette tendance fâcheuse que pourraient avoir certains des djihadistes à vouloir les décapiter, comme ce fut le cas en Isère avec Yassin Salhi (encore qu’elle puisse peut-être intéresser la CGT).

La nécessité d’une formation préalable et d’un entourage compétent, ferme et empathique, prend donc toute sa pertinence : la déradicalisation en milieu ouvert doit, notamment, s’appuyer sur des structures pluridisciplinaires (psychiatres, psychologues, éducateurs spécialisés). Il s’agit de « créer une nouvelle équipe d’intervention autour de la personne afin que celle-ci expérimente d’autres modes coopératifs, le but du séjour étant d’amener la personne à une autonomisation et une réinsertion socio-éducative/socio-économique ».

Ce bel apostolat de la reconversion engendrera, donc, une foultitude d’emplois collatéraux : spécialistes ès islam chez Pôle emploi, dans la magistrature, dans l’enseignement, dans la police, coaching psychologique… Bref, les Tobie Nathan et autres ethno-psychiatres pourront s’éclater ! Psychologues, sociologues, ethnologues, théologiens, caresseurs de hamsters, tous ont de grandes heures devant eux. Le marché est juteux. Les plus recherchés seront, assurément, les repentis qui devront être professionnalisés afin de multiplier leurs interventions, notamment auprès des plus jeunes.

Mais attention : cette intégration au marché du travail imposera « de lutter avec fermeté contre les discriminations » (sic). Au sexe, à la maladie, à l’âge, à l’obésité, à la couleur de peau, à l’allure ou aux inclinations sexuelles s’ajoute donc, désormais, le djihadisme. Ce n’est pas parce que l’on tue des gens que l’on doit être stigmatisé ! Important. Il faudra, donc, être impitoyable avec les dirigeants qui ne percevraient pas suffisamment tout l’apport qu’un djihadiste peut apporter à l’entreprise, notamment en termes de relations humaines.

 Philippe Joutier

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L’islam est incompatible avec la République : il doit être mis sous tutelle !

 

 


La place de l’islam en France interroge notre société depuis bien des années. Ayant grandi dans une famille musulmane, avant d’embrasser la foi catholique à l’âge adulte, sans pour autant nourrir la moindre animosité de principe à l’égard de la religion de mes parents, je mesure avec objectivité et discernement, plus que tout autre peut-être, à quel point l’islam contemporain s’est éloigné, en France, de la pratique religieuse discrète de ses fidèles d’autrefois.

Sortons un instant des salons parisiens et observons la réalité brutale, dans nos quartiers, nos villes et villages, là où précisément les populations de confession musulmane sont bien souvent massivement concentrées !

Les langues d’origine, essentiellement l’arabe, sont parlées ouvertement dans la rue, dans les stades de football ou dans l’enceinte de nos administrations. Des accoutrements vestimentaires exotiques s’acclimatent sous nos cieux (djellabas, boubous, hijab, niqab, burqa, burkinis) et chassent de nos horizons les tenues européennes les plus ordinaires. Les commerces de proximité traditionnels disparaissent au profit de commerces communautaires dont l’aménagement intérieur et la qualité de l’offre commerciale se distinguent fréquemment par leur indigence confondante. L’alimentation halal s’impose dans les cantines scolaires et envahit les rayons des centres commerciaux. Les indices attestant d’allégeances identitaires qui se nouent par-delà nos frontières sont partout perceptibles : antennes paraboliques drainant des programmes étrangers, participation aux scrutins électoraux des patries d’origine, prestataires de voyages et entreprises de pompes funèbres chargés de transporter les vivants et les morts vers leurs terres ancestrales…

Dans l’espace public, les habitudes de vie en société se modifient insensiblement : l’observance rigoureuse des rituels et des fêtes religieuses tend à s’imposer à tous ; reléguées à un statut outrageusement discriminatoire, les femmes sont dissimulées pour échapper à une concupiscence masculine perpétuellement redoutée et sont enfermées dans un univers domestique étouffant ; un discours dominant, sexiste et trop souvent antisémite se diffuse insidieusement, singulièrement dans les banlieues ; les autres confessions pratiquent leurs rites mais toujours de manière confidentielle, à l’abri des regards ; les conversions religieuses, plus que jamais taboues, se réalisent dans une discrétion absolue ; les animaux de compagnie, jugés impurs, se font plus rares sur la voie publique ; une autocensure des professeurs se glisse imperceptiblement dans l’enseignement de certaines matières scolaires « sensibles »…

Les exemples de cette islamisation rampante de nos territoires abondent malheureusement : ils témoignent pareillement de l’impossible assimilation de populations qui occupent notre sol en des proportions toujours plus importantes mais aussi, et surtout, de l’installation progressive en France d’une contre-société puissante, liberticide et obscurantiste, qui enracine des coutumes et des modes de vie radicalement étrangers à nos traditions séculaires.
Avec toujours le même point d’aboutissement tragique : 
l’appauvrissement des sens, des cœurs et des esprits… 
 Le chaos migratoire qui frappe notre continent ces dernières années amplifie la présence, en France, d’une religion conquérante et décomplexée qui ne se réduit pas à la seule foi intime de ses fidèles : enfermant l’individu du berceau au linceul dans un carcan pesant de rites religieux et de standards culturels divers, l’islam est aussi un système politico-juridique anxiogène qui refuse de soustraire l’espace public à son emprise totalitaire et qui soumet l’individu au poids considérable d’une communauté repliée sur elle-même. Un modèle de société alternatif revendique, ainsi, toute sa place en France, un modèle de civilisation irréformable théologiquement qui n’hésite plus, désormais, à s’opposer frontalement aux principes fondamentaux qui structurent l’univers de pensée européen : dignité de la personne humaine, égalité entre l’homme et la femme, liberté de conscience, autonomie de l’individu, liberté religieuse, sécularisation de l’espace public…
Force est de constater, aujourd’hui, que l’islam politique compromet gravement la cohésion culturelle de notre corps social, suscite parmi nos compatriotes des angoisses identitaires durables et menace les fondements historiques de la civilisation française. À vue humaine, l’islam politique n’est en rien soluble dans la République : il doit donc être mis durablement sous tutelle de la République pour conjurer ses effets profondément déstabilisateurs.
En pratique, la République se devra de prohiber l’expression publique des marqueurs identitaires de l’islam (signes religieux ostensibles, tenues vestimentaires prosélytes, abattage rituel) sans avoir à étendre ces interdits aux autres religions présentes sur notre territoire qui, du christianisme au judaïsme, ne présentent aucune menace particulière pour la France ; dans le même temps, l’exercice du culte musulman devra être administré par les pouvoirs publics jusqu’à la parfaite adaptation de ses fidèles aux mœurs et coutumes françaises, ce qui impliquera, d’ici cette échéance lointaine, l’interdiction d’édifier sur notre sol de nouvelles mosquées ou tous autres instituts de culture musulmane, la fin de tout financement étranger du culte musulman, la fermeture immédiate des mosquées portant atteinte à l’ordre public, la sélection des imams formés en France par le seul ministère de l’Intérieur auquel seront soumis les prêches préalablement à leur lecture en langue française, l’expulsion des imams déviants…
Pour organiser l’encadrement d’une religion qui requiert un tel traitement différencié, l’État imposera aux fidèles musulmans la création d’une instance nouvelle, véritablement représentative de l’islam en France, appelée à devenir son unique interlocuteur.
Cette entreprise de sauvegarde identitaire de notre modèle de civilisation, délibérément autoritaire, n’a de sens que si celui-ci redevient le creuset culturel d’une assimilation réussie, ce qui suppose qu’il soit parfaitement identifié dans notre conscience collective et surtout partagé par tous. Sur ce point, il faut bien admettre que le modèle républicain actuel, passablement confus, n’est guère attractif, tant il prospère sur un vide culturel, spirituel et moral entretenu de longue date par une idéologie dominante insipide, à la fois laïciste et multiculturaliste. Une vérité historique intangible doit être ici rappelée : les religions ne sont pas toutes égales entre elles sur notre sol, au regard de la mémoire de la civilisation française.

Le rappel de la prééminence du fait culturel chrétien, inséparable des autres racines gréco-latine et humaniste qui composent l’héritage français, sera ainsi la clé qui permettra de « réenchanter » un modèle de société aujourd’hui à bout de souffle. Un travail d’introspection collectif qui permettra en somme (sans intention d’ériger sur notre sol le moindre État confessionnel) de redéfinir le cadre identitaire charnel de la France que chaque fidèle musulman sera tenu de respecter fidèlement ! Ceux qui refuseraient de se plier à cette nouvelle donne culturelle seraient alors amenés à regagner aussitôt leurs pays d’origine avec lesquels seraient organisées, par ailleurs, les modalités pratiques de cette politique inédite de remigration.

L’inscription des racines culturelles chrétiennes de la France dans le préambule de la Constitution de 1958, la refonte de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, la prise en compte dans notre conscience politique nationale d’un privilège de civilisation reconnu à la religion chrétienne, le traitement cultuel différencié de l’islam… autant de chantiers législatifs que nous avons à mener à bien très rapidement pour relever sans état d’âme le défi de l’islam en France ; une entreprise politique ambitieuse qui serait toutefois vouée à l’échec si, dans le même temps, nous ne parvenions pas en pratique à enrayer définitivement le phénomène migratoire et à recouvrer la maîtrise authentique de nos attributs de souveraineté.
Entre ceux qui considèrent naïvement que l’islam est compatible avec la République et ceux qui ne tirent aucune conséquence pratique à leur défiance de principe à l’égard de cette religion, ou ceux encore qui invoquent une improbable identité heureuse de la France pour prôner une politique irresponsable d’accommodements confessionnels, j’avoue ma profonde insatisfaction. Le courage de dire la vérité sur l’islam et la volonté politique de se hisser à la hauteur des enjeux de ce temps sont, en définitive, les deux vertus qui manquent cruellement dans le débat actuel, à l’approche pourtant d’échéances électorales qui s’annoncent décisives pour l’avenir du pays…

 Karim Ouchikh

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mercredi, 16 novembre 2016

Autriche : une adolescente agressée par six jeunes

 

 
Patricia, une adolescente de 17 ans est tout à tour frappée par six autres jeunes car elle aurait arraché un voile islamique. La jeune fille soufre d’une double fracture de la mâchoire. Le chef du gang est un tchétchène dénommé Ahmed Kumas déjà connu des services de police pour de multiples menaces de mort.



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Immigration, la catastrophe – Conférence de Jean-Yves Le Gallou à Paris

 

 
Jean-Yves Le Gallou donnera une conférence le 25 novembre 2016 à Paris, intitulée : « Immigration, la catastrophe ».
L’introduction de la conférence sera assurée par Thierry Bouzard, responsable Civitas Île-de-France.
Entrée : 5 euros.
Adresse :
1, rue d’Argenteuil
75001 Paris
Métro : Pyramides, Palais-Royal


Jean-Yves Le Gallou a publié cette année l’ouvrage Immigration : la catastrophe. Que faire ?

Après quarante ans de déni organisé, la réalité s’impose.
L’Europe est en train de mourir d’un projet idéologique : le mondialisme immigrationniste marchand, le « MIM », facilité par la trahison de ses élites politiques, économiques, judiciaires, médiatiques. 

L’Europe est envahie, elle finance, organise et veut rendre défintif ce grand remplacement de population.


Pourtant, malgré l’arsenal législatif et l’appareil judiciaire mis en place pour appuyer cette politique et son soutien médiatique, l’Europe vient de subir un échec planétaire.

Si la première puissance de la planète est capable de trouver une solution, pourquoi pas la France ?

Jean-Yves Le Gallou viendra l’expliquer à Civitas lors de la conférence du 25 novembre prochain.

Cette conférence sera suivie d’une présentation de la campagne Civitas en cours contre l’implantation de clandestins en France et en particulier à Paris et région parisienne.


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Morbihan: une sexagénaire agressée sexuellement par un adolescent

 

 
Jeudi dernier vers 18 heures, alors qu’une sexagénaire déchargeait ses courses devant sa maison, à Arzon dans le Morbihan, un jeune Soudanais de 16 ans arrivé de Calais, est venu à sa rencontre, a raconté le procureur de la République de Vannes.
  
Dans un anglais approximatif, la dame et le jeune, hébergé dans un centre d’accueil pour mineurs de la commune, ont échangé des banalités avant que ce dernier ne lui donne un baiser. Après cinq baisers, la femme, excédée, s’est dégagée. Le jeune lui a alors touché le sein gauche, avant de mimer une masturbation et de s’enfuir en courant. 


L’agression sexuelle a provoqué une polémique dans la commune

 

La victime « n’a pas eu peur » mais a porté plainte, a rapporté le procureur. Placé en garde à vue, le jeune Soudanais a été remis en liberté. Il est convoqué en mars 2017 devant le juge des enfants en vue de sa mise en examen pour agression sexuelle.
  
L’agression a donné lieu à une polémique sur les réseaux sociaux, alimentée par des sites internet et des mouvements politiques hostiles à l’accueil des migrants. Ils ont relayé un appel à manifester lundi devant la mairie de la commune pour s’opposer à l’accueil des migrants.


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Altercation après un baiser en public: un jeune de 20 ans entre la vie et la mort

Ce vendredi peu avant 18 heures, une altercation a éclaté entre un groupe de cinq jeunes et un couple de quadragénaires qui venait d’échanger un baiser à un arrêt de bus, à Lyon. 


Un autre jeune de 20 ans s’est alors interposé « pour calmer » la situation, qui a dégénéré et des coups ont été échangés, selon une source proche de l’enquête. Peu après, dans le bus, ce dernier a été violemment frappé à la tête à coups de béquille et gravement blessé. Opéré durant le week-end, ses jours étaient « toujours en danger » ce lundi matin, selon la source policière.

Un adolescent a été interpellé peu après les faits, avant d’être mis hors de cause et relâché. Samedi, tandis que les enquêteurs de la Sûreté départementale du Rhône, chargés de l’enquête, exploitaient des images de vidéosurveillance, ceux-ci ont reconnu l’auteur présumé des faits dans les allées du centre commercial et l’ont interpellé.
  
Le jeune homme de 17 ans, sans domicile fixe et déjà connu de la police, a avoué les faits au cours de sa garde à vue et a été présenté ce lundi matin au parquet des mineurs de Lyon.


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Allemagne: 200 perquisitions menées pour démanteler un réseau de Daesh

 

 Ce mardi matin, la police allemande est mobilisée pour mener 200 perquisitions dans dix Länder, en Allemagne. La presse allemande et le ministère de l’intérieur allemand annoncent qu’il s’agit d’un démantèlement d’un réseau lié à Daesh. 

190 habitations et bureaux sont fouillés, notamment dans les grandes villes du pays telles que Berlin ou Hambourg. Ces locaux appartiennent à une organisation salafiste nommée « La vraie religion », interdite par le ministre fédéral de l’intérieur. Elle est soupçonnée d’avoir incité 140 personnes à rejoindre les rangs de Daesh.

« La vraie religion », organisation salafiste controversée

 

« La vraie religion » compte plusieurs centaines de membres. C’est la deuxième fois seulement depuis 2001, que les autorités allemandes prennent une telle décision: à l’époque, un groupuscule appelé « L’Etat du califat », agissant depuis Cologne, avait lui aussi été interdit en raison de son idéologie extrémiste.
  
Le mouvement visé ce mardi est dans le collimateur des autorités allemandes en raison d’opérations controversées de distribution de corans dans des zones piétonnières de plusieurs villes, associées au recrutement de volontaires pour le « jihad ».


9.200 islamistes radiaux présents en Allemagne

 

« Le message que nous envoyons aujourd’hui est de dire qu’il n’y a pas de place en Allemagne pour les islamistes », a déclaré le ministre de l’Intérieur. « Nous ne voulons pas de terrorisme en Allemagne, nous ne voulons qu’il y ait de la propagande en faveur du terrorisme en Allemagne ou qu’il soit exporté depuis l’Allemagne », a-t-il ajouté.
  
Le renseignement intérieur évalue à environ 9.200 le nombre d’islamistes radicaux présents en Allemagne et à 1.200 celui des plus déterminés d’entre eux susceptibles de pouvoir commettre des attentats.
  
Les autorités allemandes ont accru la pression ces derniers temps sur les milieux salafistes. La justice allemande avait arrêté il y a une semaine cinq personnes soupçonnées d’avoir monté un réseau de recrutement pour le compte de Daesh, dont une présentée par le gouvernement comme étant un des principaux relais du groupe jihadiste dans le pays.


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Bataclan : un an après, le fossé s’agrandit entre la France et la non-France

 

 


Tout, ou presque, a été dit et écrit sur les raisons profondes qui ont pu pousser un commando islamiste à pénétrer dans une salle de concert pour massacrer des Français innocents, il y a de cela tout juste un an. Certains d’entre eux, comme vous le savez, étaient des Français ou des Belges de papiers. Des gens qui ont été éduqués, nourris et choyés en Europe occidentale. Pourtant, ils nous haïssaient du plus profond de leur âme. Depuis, rien n’a changé. Ou plutôt si : de plus en plus de jeunes issus de l’immigration se reconnaissent dans leur combat, désireux de nous détruire. 
Pionniers d’un phénomène ancien, Khaled Kelkal et Mohammed Merah sont désormais les martyrs de cette non-France qui a pris conscience qu’elle pouvait semer les graines du chaos chez nous.
Depuis cette date, nous avons connu de nouveaux attentats, parfois très coûteux en vies humaines, comme ce fut le cas à Nice ; parfois éminemment symboliques… Les attentats de Saint-Étienne-du-Rouvray et de Magnanville ont frappé les esprits, prouvant que les terroristes islamistes ne reculaient devant rien, s’attaquant à des inconscients français puissants tels que les forces de l’ordre et l’Église catholique. Il ne servait à rien de crier « Plus jamais ça » après la tuerie qui a décimé la rédaction de Charlie Hebdo, comme il ne servirait à rien, aujourd’hui, de commémorer en faisant fi d’un passé qui tarderait à se dissiper des esprits.

Les discours des sociologues, anthropologues et autres gauchistes adeptes des « bourdieuseries », qui font office de catéchisme politiquement correct aux serpents à sornettes qui écument les plateaux de télévision, ont fait long feu. 

Les Français n’en peuvent plus de ces émissions qui ressemblent à des séances de thérapies de groupe pour bobos déconnectés du réel. Ils sentent confusément qu’une partie de la France a fait sécession, solidaire des très médiatiques tueurs fanatisés acquis à une vision guerrière de l’islam.
 Disons-le : les terroristes ont bénéficié de complicités actives sur l’ensemble du territoire national. Certaines cités sont devenues, au fil du temps, de véritables ambassades de l’État islamique en France et en Belgique, tant par adhésion sincère aux idéaux que défend l’organisation terroriste que par défi lancé à la France et à la Belgique des juges, des professeurs et des éducateurs spécialisés.
Planques, garages, voitures, commissions, armes : ils ont été protégés par leurs séides sur place. Véritables centres de radicalisation, les prisons françaises transforment des caïds violents en assassins qui se purifieront par le djihad. C’est ainsi : nous devons nous préparer à de longues années de lutte contre ceux qui rêvent de rejouer le match retour de la guerre d’Algérie, appelant à l’insurrection armée contre notre civilisation, notre nation, notre culture et notre histoire. L’inaction politique permet aux mosquées des prêcheurs de haine de prospérer et aux islamistes médiatiques de profiter de la peur pour pratiquer un ignoble chantage.
Marwan Muhammad (Collectif contre l’islamophobie en France) ou Tariq Ramadan veulent que la France devienne une terre musulmane. Ils n’essayent pas de nous assassiner avec des kalachnikov mais en utilisant les armes dialectiques que la gauche libérale, aussi paresseuse intellectuellement que lâche, leur a concédées lamentablement. Ensemble, ils représentent un danger mortel pour l’Europe et la France. Un an après le Bataclan, et plus que jamais, nous devons identifier les maux qui nous rongent : l’immigration et son corollaire qu’est l’islamisation.

 Gabriel Robin

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Jean-Frédéric Poisson : « Je suis le seul à dire que l’islam pose problème à la République ! »

 

 Dans un article récent de La Vie, on lit que vous êtes inclassable, à la fois d’extrême droite et de gauche. Vous le revendiquez ?

Je suis un chrétien social ; si ça se classe nulle part, tant pis. La colonne vertébrale de mon engagement politique, c’est le respect de la vie, de la conception à la mort naturelle. Ce qui ne veut pas dire que je me désintéresse, bien sûr, de ce qui se passe dans l’intervalle ! On me dit que lutter contre l’avortement, c’est d’extrême droite. Je me souviens que le Parti communiste, il y a 50 ans, fustigeait l’avortement comme un « confort bourgeois ». En fonction des sujets que je défends, je peux me situer d’un côté ou de l’autre de l’échiquier, je suis de temps en temps d’accord avec les frondeurs socialistes – sur le travail dominical, sur le TAFTA, sur la loi Travail, sur le dialogue social – et je suis, globalement, davantage d’accord avec Marion Maréchal-Le Pen qu’avec NKM, je l’ai redit sur le plateau de LCI il y a quelques jours.


Puisqu’on en parle et puisque vous vous êtes récemment réjoui de l’élection de Trump, il est actuellement un candidat hors système que tout le monde se plaît à considérer comme le Trump français : Marine Le Pen. Et pourtant, lors du dernier débat sur les primaires, vous l’avez renvoyée dos à dos avec Hollande. Cela ne vous dérange pas de soutenir Trump mais ça vous dérange de soutenir Marine Le Pen ?

 
Ça n’a rien à voir. Marine Le Pen est dans le système, son parti est comme les autres. Les thèmes conservateurs qui étaient autrefois dans le logiciel du FN ont été mis de côté. Ça commence par la question du respect de la vie avant la naissance. Et je vois une dérive extrêmement dangereuse sur la laïcité, la conception de l’éducation… Est-ce que cela disqualifie le FN lorsqu’il parle d’autres sujets ? Non. Si je parle volontiers avec Robert Ménard, c’est que je reconnais la manière dont il veut traiter les problèmes endémiques de sa ville, sur des sujets que le FN porte dans le débat public depuis longtemps et qui n’ont pas été écoutés à tort : le sentiment d’abandon, de dissolution, de disparition de l’identité française ou de la France tout court… je reconnais au FN cette légitimité-là. Mais j’ai également porté ces éléments-là dans le débat, notamment lors du premier débat des primaires.
Par ailleurs, pour diriger un pays, il faut lui assurer un minimum de tranquillité. Le FN ne me paraît pas en mesure de le garantir. C’est à la fois de son fait et pas de son fait, mais c’est comme ça.
Enfin, lorsque Marine Le Pen publie la liste des parlementaires de l’opposition avec lesquels elle travaillerait volontiers, je n’y suis pas.
Tout mis bout à bout, je dis que je ne voterai jamais pour François Hollande qui a mis la France à genoux, mais il faudrait des conditions programmatiques aujourd’hui peu probables pour que je vote Marine Le Pen. Monsieur Philippot, qui fixe aujourd’hui la ligne du FN, a une vision de la France aux antipodes de la mienne.
D’ailleurs, il ne rate pas, lui-même, une occasion de le répéter. Sophie Montel, qui milite pour l’avortement, m’a traité sur Twitter de « sale petit antisémite haineux ». Mais je ne prétends pas qu’au FN, il n’y ait pas des gens attachés à la vision que je porte. Je les sais mal à l’aise en ce moment, ils s’interrogent beaucoup, car la ligne a changé. 


Marine Le Pen est la seule, néanmoins, à promettre d’abroger la loi Taubira. Et, en 2012, elle s’était attiré les foudres médiatiques pour avoir osé parler d’« avortement de confort ».

 
Ce que vous dites est vrai, mais malheureusement, c’est du passé. Nous parlons des élections de 2017, pas de celles de 2012. Alain Juppé, en 1995, prônait une immigration zéro et le renforcement de la justice. Ce n’est pas le passé qui m’intéresse, mais l’avenir.
Pour évoquer un de ces sujets que le FN porte dans le débat public, que comptez-vous faire concernant « les migrants » ?
Si on n’est pas capable de les accueillir dignement, il ne faut pas les accueillir ! Parce que ce n’est pas leur intérêt, et parce que ce n’est pas non plus l’intérêt des Français. La position du pape François a évolué et je suis ravi de cette évolution, parce que quand il nous demande d’ouvrir nos cœurs à la charité, il fait son métier de pape, mais moi je suis un responsable politique, je dois veiller à ce que les conditions d’exercice de la charité demeurent possibles. Dans l’esprit des chrétiens sociaux dont je suis, on s’enrichit à accueillir quelqu’un quand on le peut. Mais quand on ne peut pas, il ne faut pas le faire car on ne s’enrichit plus, on se détruit. 


Pardon d’insister, mais quand bien même la France, sur le plan économique, pourrait les accueillir « dignement », quand bien même, sur le plan sécuritaire, il n’y aurait pas une menace terroriste aussi prégnante, ce raz de marée migratoire ne troublerait-il pas le chrétien que vous êtes ? Le cardinal Sarah a dit, récemment au micro de Boulevard Voltaire, qu’il craignait que l’Europe ne meure, il s’inquiétait de la submersion de notre culture par d’autres cultures…


Si, bien sûr. Et je suis le seul à dire que l’islam pose problème à la République. Pas seulement le radicalisme islamique… l’islam ! Et j’observe que même Marine Le Pen ne le dit plus. Donc, elle est d’accord avec Alain Juppé. Il faut poser les problèmes en vérité, et c’est une vérité. Je réclame l’installation du droit du sang, je veux qu’on stoppe l’immigration – légale ou pas – et qu’on lance un programme de codéveloppement avec les pays d’origine. C’est mon programme.


Le vote du premier tour approche. Avez-vous vécu le ralliement de Sens commun à François Fillon comme une trahison ou vous y attendiez-vous ?

 
C’est terrible, quand on s’appelle Sens commun, de prôner le vote utile à un premier tour d’élections primaires ! Sens commun confond premier et deuxième tour, la conciliation avec la conviction. François Fillon va être donc récompensé pour tout ce qu’il n’a pas fait quand il était Premier ministre ? C’est injuste. Je n’ai donc pas vécu le choix de Sens commun comme une trahison mais comme une injustice.

Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel

 Jean-Frédéric Poisson

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Saint-Germain-en-Laye Le permis de construire de la mosquée accordé

 

 

Après 7 ans d'attente, la communauté musulmane de Saint-Germain-en-Laye va pouvoir construite sa mosquée rue Saint-Léger. Le permis vient d'être accordé par la Ville.

 Saint-Germain-en-Laye disposera bientôt d’un nouveau lieu de culte. En effet, la communauté musulmane vient d’apprendre que le permis de construire de son projet de mosquée a été accordé par Emmanuel Lamy, le maire LR.



« C’est une étape, il y a encore beaucoup de travail »

 

« C’est une excellente nouvelle, explique Salick Sall, le président de l’association Mosaïque qui porte le projet depuis le début. Cela fait sept ans que nous travaillons sur le dossier. C’est une étape. Il y a encore du chemin et beaucoup de travail. Maintenant, nous allons pouvoir nous consacrer au projet de construction avec le lancement de la partie technique et de toutes les études pour définir le prix total du projet. Avec cette mosquée, les musulmans de Saint-Germain-en-Laye vont pouvoir disposer d’un lieu digne. Nous espérons bien pouvoir commencer les travaux en 2017.»

Une mosquée pour 200 personnes

 

Aujourd’hui, les fidèles se réunissent dans une salle située boulevard Charles Gounod au Bel-Air.  La future mosquée sera construite sur un terrain, d’environ 400 mètres carrés, situé au 90 rue Saint-Léger acquis par l’association Mosaïque pour 400 000 euros en 2013. Le bâtiment devrait comprendre deux salles de prière, une pour les hommes au rez-de-chaussée et une seconde à l’étage pour les femmes. La capacité d’accueil serait d’environ 200 personnes, trop peu pour réunir tous les fidèles à l’occasion de grands rassemblements comme l’Aïd el-Kébir ou la fin du ramadan.
« C’est une mosquée de proximité, indique Salick Sall. Pour les grands événements, nous continuerons à nous réunir dans une autre salle sur la commune comme nous le faisons aujourd’hui. »

« Je peux comprendre certaines peurs »

 

Le président de Mosaïque  s’attend à ce que cette nouvelle qui réjouit la communauté musulmane ne soit pas accueillie avec le même enthousiasme par tous les Saint-Germanois.
« Oui, il va y avoir des réactions épidermiques. On a vécu une déferlante en 2013 quand les gens ont appris que nous avions acheté la maison. Effectivement, cette déferlante on va aussi l’avoir aujourd’hui. Ma position, c’est toujours d’essayer d’expliquer, de dialoguer avec les gens. Mais,  il ne faut pas oublier que nous sommes dans un état de droit et que nous sommes dans notre droit. Je peux comprendre certaines peurs, vu les événements qui se sont déroulés dans notre pays dernièrement. Nous sommes ouverts au dialogue, à l’explication à essayer de rassurer et de travailler avec tout le monde. »
En 2013, alors que l’association Mosaïque était sur les rangs pour acheter un terrain de la Ville situé sous le viaduc pour y construire une mosquée, la nouvelle avait déchaîné les passions et déclenché une véritable levée de boucliers au sein d’une partie de la population. L’affaire avait finalement capoté après la décision de la mairie de ne pas donner suite et de ne pas vendre le terrain devant accueillir le projet.  Ce projet, dont le dossier est consultable en mairie, pourrait bien s’inviter au prochain conseil municipal qui se déroulera le mercredi 16 novembre.
 

Alain Wagner : « Le gouvernement est activement en train de favoriser l’implantation de l’islam sur le territoire »

 

 

Alain Wagner est juriste, membre de l’Union de Défense des Citoyens et Contribuables. Il participera au 2e Forum de la dissidence Polémia, à l’issue de la table-ronde sur le thème de la « Dissidence face à l’islamisation ». Il y parlera de la résistance face à la construction de mosquées.

Nouvelles de France. Toute l’action de l’Union de défense des citoyens et contribuables est destinée à faire en sorte que l’argent public ne soit pas détourné vers le financement d’institutions d’obédience musulmane. Face à des élus qui encouragent, pour des motifs qu’ils assurent être d’ordre culturel, la construction de mosquées (1), quels sont les moyens d’un tel collectif pour freiner ce type d’initiatives ? L’Union de défense des citoyens et contribuables a-t-elle connu des succès dans ses combats ?

Alain Wagner. Notre action ne se limite pas aux problèmes liés à la mauvaise utilisation de l’argent public, ce n’est qu’un des volets de nos activités. Nous intervenons également pour contrer les projets qui contribuent à la propagation de la charia en France (comme le halal) et nous avons une activité d’information et d’alerte menée au profit de tous nos concitoyens afin qu’ils se rendent compte de la gravité des actions de certains de leurs élus.

La prétendue activité « culturelle » des mosquées est le faux-nez habituel de la violation de la loi de 1905 qui interdit le financement public des cultes. Les gouvernements successifs, et particulièrement celui de Nicolas Sarkozy, ont mis en place une politique de financement de l’infrastructure d’endoctrinement islamique au point qu’on peut quasiment la qualifier de politique officielle. C’est le Figaro qui constatait il y a quelques années déjà que 30% du financement des constructions des mosquées françaises était issu des finances publiques, il est malheureusement à craindre, en ces temps de course au clientélisme électoral musulman, que la situation se soit encore dégradée.

Face à ces élus constructeurs de mosquées, les moyens de l’UDCC sont faibles, car évidemment dépourvus de financements publics, nous dépendons uniquement de nos propres moyens et de l’énergie de nos membres. Toutefois il est à noter que nous avons réussi à accrocher quelques belles pièces à notre tableau de chasse. Nous avons fait capoter à Paris le projet d’Institut des Cultures d’Islam de Bertrand Delanoë (30 millions d’euros pour deux mosquées camouflées en centres culturels dans le 18ème arrondissement) et le projet de Grande Mosquée de Bordeaux pour laquelle Alain Juppé projetait de donner, pour 1 euro par an, un terrain de 11000 m² préalablement acheté au prix fort avec l’argent des contribuables Bordelais. Projet de mosquée porté par Tareq Oubrou de la branche française des Frères Musulmans (UOIF), un personnage sulfureux entretenant d’étonnantes relations avec le candidat à la présidentielle.

Nouvelles de France. A l’issue du 2nd Forum de la Dissidence organisé par la fondation Polémia, vous interviendrez sur le thème de la construction des Mosquées. La construction de mosquées – qui semble se développer en dépit du contexte actuel-  auxquelles sont souvent adjointes des écoles coraniques – dans la tradition des madrasas, ne constitue-t-il pas un risque de développement d’écoles religieuses clandestines ? 

Alain Wagner. Quel risque ? Le contenu des enseignements islamique délivré dans les établissements « officiels » est-il différent ce qui pourrait être enseigné dans les écoles clandestines ? Faudrait-il encore pour en avoir une idée qu’il y ait un quelconque contrôle des contenus de la doctrine islamique en France. Ce qui n’est pas le cas !

Il faut se rendre compte que 80% des projets « éducatifs » musulmans en France sont menés par les Frères Musulmans (l’UOIF) dont on aurait du mal à dire qu’ils sont autre chose que des promoteurs infatigables de la charia. De très nombreuses mosquées ont des activités d’enseignement islamique, soit de manière assumée, soit sous couvert de cours d’arabe ou de soutien scolaire, mais bien peu de nos concitoyens se rendent compte que la matière réellement enseignée, c’est la charia, sa connaissance, ses règles et sa pratique dans la vie quotidienne.

Dans l’état actuel des choses, l’honnêteté oblige à dire que toutes les mosquées, les centres culturels et les écoles islamiques sont des centres de diffusion de la charia implantés sur notre territoire sous couvert d’activités religieuses ou culturelles. C’est évidemment inacceptable et c’est pour cela que nous sensibilisons les gens et que nous luttons contre leur édification.

Nouvelles de France. A l’heure où certains citoyens écopent de six mois de prison avec sursis pour avoir déposé des lardons auprès d’une Mosquée (2), le gouvernement semble faire peu de cas de l’opposition de la société civile à l’épanouissement des mosquées sur leur territoire… Cette opposition est donc devenue un véritable acte de dissidence ? 

Alain Wagner. Votre constat est parfaitement exact. Non seulement le gouvernement se moque totalement de l’avis des français mais, pire encore, il est activement en train de favoriser l’implantation de l’islam sur le territoire. Les gouvernements successifs, et ce depuis les années 70, mettent en œuvre des accords passés avec les pays musulmans visant à développer la présence de l’islam et la libre pratique du mode de vie musulman (c’est à dire régi par la charia) dans notre pays. De ces accords sont nés les concepts de « société multiculturelle » et de « diversité » dans lesquels nous baignons aujourd’hui. C’est également à cause d’eux que l’assimilation en tant que perspective pour les immigrés s’installant en France a été abandonnée par l’Etat. Situation que vivent également tous les pays d’Europe de l’Ouest, signataires des mêmes accords. Mais c’est une très longue histoire que je n’ai pas le temps de résumer ici.

Le projet visant mailler le territoire Français de mosquées est objectivement aujourd’hui un projet d’Etat mis en œuvre de manière conjointe et en coopération avec l’OCI (Organisation de la Coopération Islamique, organisation politico-religieuse regroupant les 57 pays musulmans du monde), s’opposer à la réalisation de ce projet est donc effectivement une action de dissidence.
Révéler la vérité et la véritable nature l’infrastructure de propagation de la charia qui opère aujourd’hui impunément en masquant ses activités subversives sous les appellations « religion » et « culture », termes repris par tous les médias et l’ensemble de la classe politique, est un acte de dissidence.

Dans 1984, Georges Orwell écrivait : « A une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire », il semble bien que l’on en soit arrivé là.

Nouvelles de France. Actuellement, les députés qui osent souligner que « l’État encourage l’islamisation de notre société » risquent des sanctions (3). Comment un collectif issu de la société civile peut espérer obtenir une écoute attentive de la part de l’Etat ? Votre association a-t-elle déjà fait l’objet de sanctions ou de pressions ?

Alain Wagner. A vrai dire nous n’espérons aucunement avoir une écoute quelconque de l’Etat, nous ne croyons plus au Père Noël non plus d’ailleurs. Comme expliqué précédemment, c’est l’Etat ainsi que l’ensemble ou presque de la classe politique qui est le problème, et de plus en plus maintenant que les organisations musulmanes ont compris qu’elles pouvaient monnayer le vote musulman. Nous utilisons donc ce qui reste de droit en France ainsi que les mesures de coercition médiatique pour contraindre les élus à renoncer aux financement de mosquées ou pour faire arrêter les projets de constructions islamiques.

Nous n’avons pas encore fait l’objet de sanctions parce que nous avons pour ligne de coller très rigoureusement à la loi. Notre méthode consiste à exiger l’application stricte de la loi et du droit et, par chance, ce n’est pas encore un délit en France même quand on s’attaque à un projet de mosquée.

Nouvelles de France. Au Parlement, plusieurs textes et mesures visant à fermer les mosquées dites « radicales » se sont vus rejetés en Séance. Des refus de propositions de loi (4) aux rejets d’amendements (5), comment se fait-il que dans le contexte d’une telle prégnance d’un terrorisme islamique ces propositions ne soient pas adoptées ? 

Alain Wagner. Pour répondre à cette dernière question je vais adopter une forme ludique : je vais énumérer une suite de mots et vous pourrez ainsi choisir vous-même le contenu de la réponse.
Lâcheté, corruption, ignorance, clientélisme, instructions du parti, politiquement correct, aveuglement, idéologie, culpabilité post-coloniale, pressions diverses des acteurs défendant les intérêts musulmans, stupidité, carriérisme, intérêts économiques, conformisme, incapacité à assumer une responsabilité, peur des réactions musulmanes.

Voilà, vous choisissez ce que vous voulez et vous avez votre réponse.

Je terminerai sur une remarque concernant l’appellation « radicales » concernant certaines mosquées. Le terme « radical » ne veut rien dire. D’ailleurs, vous remarquerez que personne n’est capable de définir ce qu’est la radicalité islamique au-delà du côté un peu énervé ou imprudent de certains prêcheurs dans l’exposé de leur doctrine à leurs ouailles.

Cette incapacité à désigner clairement ce qui pose problème avec l’islam, outre l’ignorance crasse de nos élus concernant le sujet, est le fait que c’est la doctrine islamique elle-même qui pose problème, puisqu’elle contient la charia qui promeut la violence et est incompatible avec toutes les valeurs et principes de la République. Donc commencer à trier le bon grain de l’ivraie dans la doctrine islamique c’est le premier pas dans un processus inexorable amenant logiquement à l’interdiction des enseignements islamiques sur le territoire et probablement la fermeture de toutes les mosquées. Et donc, personne ne veut faire ce premier pas par peur panique des conséquences prévisibles en termes d’émeutes ou pire encore, d’insurrection musulmane généralisée.
On en est là aujourd’hui en France…

Alain Wagner : "Le gouvernement est activement en train de favoriser l’implantation de l’islam sur le territoire"
 
Alain Wagner : « Le gouvernement est activement en train de favoriser l’implantation de l’islam sur le territoire »
Samedi 19 novembre 2016, Polémia vous invite à entrer en résistance ! De 13h30 à 19h, l’Institut vous attend nombreux à l’Espace Cap 15, 13 rue de Grenelle (Paris XV).
Inscrivez-vous dès maintenant sur la plateforme en ligne et prenez des nouvelles de la résistance sur nos réseaux en ligne (Polémia / @_polemia / Facebook : Polémia).

Notes :

(1) http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/alpes-de-haute-provence/sisteron-nouvelle-mosquee-construction-1109959.html

(2) http://www.leparisien.fr/faits-divers/il-depose-des-lardons-devant-une-mosquee-apres-l-assassinat-du-pere-hamel-30-07-2016-6005741.php

(3) http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/couacs/2015/10/22/25005-20151022ARTFIG00112-bompard-menace-de-sanctions-pour-avoir-evoque-le-grand-remplacement-a-l-assemblee.php

(4)  http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion3156.asp

(5) http://www.breizh-info.com/2016/07/22/46885/etat-durgence-lamendement-facilitant-fermeture-mosquees-radicales-a-t-ete-rejete

 Eric Martin

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mardi, 15 novembre 2016

Les Bulgares élisent un président prorusse et anti-immigration

 

 

Roumen Radev, candidat de l'opposition socialiste jugé enclin à favoriser un rapprochement avec Moscou, a remporté dimanche le deuxième tour décisif des élections présidentielles en Bulgarie.

 M. Radev, un ancien commandant en chef des forces aériennes, a obtenu 59,4 % des voix contre 36,2 % pour sa rivale Tsetska Tsatcheva, la présidente du Parlement. Il obtient donc un mandat de cinq ans, qui entre en vigueur dès le 22 janvier. 

À 53 ans, M. Radev, surnommé le « général rouge », est un novice en politique. Il est favorable à une levée des sanctions économiques que l'Union européenne (UE) a imposées à la Russie, dont la Bulgarie dépend largement dans le domaine de l'énergie.
Le nouveau président, sans étiquette, mais soutenu par les partis socialistes, est anti-immigration et prorusse. Selon lui, « la Crimée est de fait russe ».

Mme Tsacheva, la candidate défaite du parti conservateur au pouvoir, Citoyens pour le développement européen en Bulgarie (GERB), voulait, quant à elle, une relation durable et stable avec l'UE. Elle a surtout été critiquée pour son manque de charisme au cours de la campagne électorale.

Le scrutin était également considéré comme un test de popularité pour le premier ministre, Boïko Borissov, également du GERB, dont les efforts en matière de lutte anticorruption et de réforme du secteur public ont été jugés trop lents.

M. Borissov, qui a tenté en vain de former une majorité parlementaire, avait déjà menacé de démissionner si sa candidate ne remportait pas l'élection.

« C'est aux gens de décider : s'ils désirent une crise politique, ils l'auront », a-t-il martelé à Sofia en votant.

En fin de journée, M. Borissov, dont le mandat devait prendre fin en 2018, a annoncé qu'il quitterait son poste.

« Demain ou après-demain, au premier jour ouvrable du parlement, je déposerai ma démission », a-t-il déclaré.

La démission du premier ministre pourrait entraîner des élections législatives hâtives et plonger le pays dans l'incertitude.

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L’islam éjecté de la SNCF

 

 
Après des années de tolérance, le groupe ferroviaire a durci ses positions ces derniers mois. Une dizaine de cheminots fichés S auraient été déplacés.

Religion et entreprise ne font pas nécessairement bon ménage. Lundi 7 novembre, Myriam El Khomri a présenté aux partenaires sociaux le Guide du fait religieux en entreprise. Ce document, d’une trentaine de pages, se veut « la » référence en matière de gestion du fait religieux dans le cadre de l’exercice de ses fonctions. Il doit être mis en ligne sur le site du gouvernement d’ici le 20 novembre afin d’offrir des réponses concrètes aux managers et aux salariés face à ces problématiques.

À la SNCF, la question religieuse divise depuis de nombreuses années. La position de l’entreprise sur la question prête d’ailleurs à confusion. « Il y a une dizaine d’années, à l’approche de la campagne présidentielle de 2007, une politique d’emploi axée sur les banlieues a été développée » explique Rémi Aufrere, secrétaire général adjoint du syndicat CFDT Cheminots. Un manuel de la diversité a été diffusé. Il évoquait la possibilité de faire sa prière dans les locaux de l’entreprise. « On a sombré dans cette mode de prendre les diversités au sens large et adopté une tolérance regrettable », déplore le syndicaliste.
  

Durcissement des positions


Par la suite, la position de la SNCF s’est durcie. En 2015, un guide à l’intention des managers et responsables des ressources humaines est publié. Il traite des « principes de la laïcité et de neutralité au sein du groupe public ferroviaire » et clarifie la position de l’entreprise sur le sujet. « Nous sommes confrontés à une augmentation du fait religieux, bien qu’il n’y ait pas de crispation forte notable, témoigne le directeur du service de presse de la SNCF, Loïc Leuliette. Il est important d’adopter une position stricte. Dans les établissements publics, le principe de laïcité s’applique. Il faut donner les clés aux managers pour qu’ils puissent gérer le problème. »

Pour Rémi Aufrere, le Guide du fait religieux, proposé le 7 novembre, constitue une aide réelle, car « la SNCF n’est pas hermétique à la société et il n’est pas facile quand on est manager de proximité de s’armer pour répondre “non” à une demande, en raison de la laïcité ». S’agissant de l’exercice du culte en entreprise, la CFDT considère qu’il est « hors de question » de mettre à disposition des salles de prière pour les salariés. « Depuis deux,trois ans, nous faisons face à certains de nos collègues qui se radicalisent, et ce n’est pas acceptable. Une dizaine de cheminots fichés S ont été déplacés », confie-t-il.

Le syndicat prône l’application totale et inconditionnelle du principe de laïcité et de neutralité. « Nous sommes opposés à toute démonstration de prosélytisme, renchérit le secrétaire général adjoint. Ce qui inclut les kippas, les foulards, tous les signes religieux ostentatoires. Nous considérons que la liberté religieuse n’est pas supérieure à la liberté politique. On ne peut pas accepter qu’un salarié fasse sa prière pendant le temps de pause, et refuser qu’un autre soutienne ostensiblement un parti politique ». Il reproche, par ailleurs à d’autres syndicats, comme le syndicat Sud Rail d’encourager le communautarisme en « acceptant l’adhésion collective de groupes de personnes issues de l’immigration ».


Sud Rail et la stricte laïcité


Sud Rail rejette ces accusations. « L’allégation selon laquelle nous ferions des adhésions de groupe est fausse. Nous accueillons les personnes de tous sexes, de toutes origines et de tous âges. » Le syndicat revendique son attachement à une laïcité stricte. Mais il considère que la question religieuse n’est que marginale au sein de la SNCF. Il ne trouve donc aucune utilité au nouveau guide.

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Police : la colère s’étend

 

 Sous les cendres toujours fumantes de la grogne des policiers nationaux est en train de sourdre celle des policiers municipaux et des agents de sécurité privés. Moins spectaculaires parce que moins nombreux, moins visibles et surtout moins influents, ces acteurs de la sécurité intérieure n’en considèrent pas moins qu’ils sont les grands oubliés des mesures qui ont été prises pour améliorer, a minima et à crédit, les conditions statutaires et de travail des policiers et des gendarmes. Ainsi, depuis le début du mois de novembre, plusieurs syndicats des branches privées de la sécurité ont-ils appelé leurs adhérents à des mouvements de grève. Dans un contexte où ils sont, eux aussi, particulièrement sollicités, ils demandent, à leur tour, des augmentations de salaire ainsi que l’amélioration des conditions d’exercice de leurs missions.

Ce malaise qui ronge l’ensemble des acteurs de la sécurité, qu’ils soient agents de l’État, des collectivités territoriales ou du secteur privé, montre une fois encore combien c’est d’une véritable refondation qu’a besoin ce domaine régalien qu’est celui de la sécurité intérieure en France.

C’est par un autre biais que le think tank Terra Nova, proche du Parti socialiste, aborde cette problématique. Le titre de son dernier rapport, « Police-population : comment rétablir durablement la confiance ? », part en effet du constat que les relations entre la police et la population française ne seraient pas vraiment bonnes, et qu’il conviendrait, pour améliorer la situation et relégitimer l’action des forces de l’ordre, d’aller vers une police « généraliste, territoriale et de contact »

On ne peut s’empêcher, à la lecture de ces propositions, de voir resurgir la fameuse police de proximité chère aux gouvernements socialistes qui se sont succédé ces dernières années, et qui cherchèrent à imposer une pratique policière, le plus souvent en parfait décalage avec les réalités du terrain.
 Mais, tout d’abord, ne convient-il pas de s’interroger sur le constat de Terra Nova selon lequel les relations police-population seraient mauvaises ? Les derniers sondages de popularité de la police en France faisaient apparaître des scores (entre 92 et 94 %) à faire pâlir d’envie n’importe quel homme politique. Par ailleurs, même en dehors de périodes exceptionnelles, telles que nous en vivons actuellement, ces indices de popularité se sont toujours situés aux alentours de 70 %. La question de la confiance n’est-elle donc pas à poser au système politique en place, et à celles et ceux qui le font fonctionner, plus qu’aux services de police et de gendarmerie qui agissent sur ordre ?

En réalité, c’est bien de la légitimité de ceux qui gouvernent qu’il est question. Dans leur immense majorité, les policiers et la population sont d’accord sur les remèdes qu’il conviendrait d’apporter. Reconquérir les territoires perdus de la République, sanctionner efficacement et effectivement les criminels, réinstaurer l’autorité de l’État dans tous les secteurs de la vie publique et sociale, doter notre pays de tous les moyens juridiques indispensables afin de donner aux juges et aux forces de l’ordre les moyens de leurs missions. Voilà quelles sont les priorités aujourd’hui. Pour la police de proximité, revue et corrigée par Terra Nova, attendons que la paix publique soit enfin rétablie, que le terrorisme et la criminalité soient éradiqués et que tous nos quartiers aient réintégré le giron de la République.

lundi, 14 novembre 2016

La nouvelle mosquée d’Annecy sera-t-elle financée par l’Église catholique ?

 

 

Les cloches de volée de la basilique Saint-Joseph des Fins à Annecy arrêteront-elles, l’année prochaine, de sonner le merveilleux plénum auquel étaient habitués les riverains, afin de ne pas troubler les fidèles de la nouvelle mosquée Emir Abdel-Kader ? En France, dans l’Église catholique, avec la dhimmitude extrême de notre épiscopat, il faut s’attendre à tout. À Annecy, justement, au pied de cette basilique dont la construction a été achevée en 1941, au temps où la France était encore catholique, cette nouvelle mosquée-cathédrale est en train de s’élever sur un terrain cédé par le diocèse pour un franc symbolique ou presque. C’était en 1978. L’évêque d’alors n’avait rien trouvé de mieux que d’offrir un terrain à une association musulmane pour qu’elle puisse y édifier la seconde mosquée de France après celle de Paris ! 

Cette petite mosquée avait pour voisine immédiate la basilique. Depuis, l’islamisation de la société française ayant fait son chemin, la mosquée est devenue trop petite pour accueillir les fidèles de Mahomet. l’association Le Nouvel Avenir — dont le nom devrait nous inquiéter — a donc déposé un permis de construire en 2002 pour sa nouvelle mosquée. Pas moins de quatre recours on été déposés devant le tribunal administratif par les riverains. La bataille juridique vient de s’achever, les juges grenoblois étant allés jusqu’à condamner les protestataires à 12.000 euros pour abus de procédure !

Reste, maintenant, à trouver le million nécessaire à l’achèvement des travaux. 

En 1978, l’imam avait déclaré à la télévision que « c’est avec l’aide de tous les chrétiens et toutes les paroisses qu’on a pu construire cette mosquée ». Aujourd’hui, le président de Nouvel Avenir, Ahmed Karboua, a avoué sur France 3 qu’il accepterait volontiers un financement étranger « puisque la plupart des mosquées construites en France reçoivent une bonne partie de leur financement des pays arabes. Les dons des fidèles ne suffisent pas pour financer le million et demi d’euros que coûtera, au final, notre mosquée. »
  Mais la généreuse idiotie de l’Église aidera peut-être encore Le Nouvel Avenir à pouvoir inaugurer Emir Abdel-Kader, comme elle avait aidé – ironie du sort – la mosquée Yahia de Saint-Étienne-du-Rouvray en lui offrant, en 2000, le terrain où allait prospérer les idées qui allaient conduire deux de ses fidèles à égorger le père Hamel… C’est vraiment le diable qui se mord la queue. Mais ce n’est pas grave. Avez-vous entendu les évêques réunis à Lourdes protester contre les actes antichrétiens qui ont augmenté de 40 % entre janvier et septembre 2016 ? Ont-ils réagi aux multiples incendies d’églises, dont le dernier qui, début novembre, a partiellement détruit l’église de La Mothe-Saint-Héray dans les Deux-Sèvres ?

Dans le dernier numéro de Valeurs actuelles, Denis Tillinac supplie les catholiques français de se réveiller. De réapprendre à assister à la messe. Mais encore faut-il que nos évêques partent en mission : celle de redonner à la France le chemin de la catholicité. Par exemple, par le biais d’une véritable catéchèse qui permette aux enfants d’apprendre le b.a.-ba de leur religion. Mais pour ne prendre que l’exemple du diocèse d’Annecy qui dispose d’un prêtre pour 4.500 habitants, comment redonner à nos jeunes le désir de se donner à Dieu ? 

Avant d’aider une autre religion à s’exprimer à l’ombre de nos églises, et même si celles-ci sont désertes, nos éminences et autres nosseigneurs feraient bien de remettre de l’ordre dans leur bergerie.

 Floris de Bonneville

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Les "tribunaux islamiques" britanniques dans le collimateur

 

 
La charia ou loi islamique appliquée au Royaume-Uni? L'idée a de quoi surprendre mais c'est pourtant le cas depuis 1982. Un usage sur lequel les parlementaires britanniques ont décidé de se pencher après des accusations de discrimination envers les femmes.
Le premier tribunal ou conseil de la charia est apparu en 1982 à Londres, sous le gouvernement de Margaret Thatcher, promotrice du désengagement de l'État dans de nombreux domaines dont celui de la médiation lors de conflits familiaux, déléguée aux organisations confessionnelles.

Ces "charia courts" sont censés régler principalement les divorces islamiques qui constituent 90% des affaires traitées.

Très peu de données sont disponibles sur ces tribunaux. Le pays en compterait aujourd'hui entre 30, selon une étude de l'université de Reading, et 85, selon le cercle de réflexion britannique Civitas. Il peut s'agir d'une unité réunissant des spécialistes de l'islam rattachée à une mosquée, d'organismes informels ou même d'un imam seul.
Censés faciliter la résolution de conflits familiaux et parfois commerciaux au sein de la communauté musulmane, le fonctionnement opaque de ces conseils de la charia est critiqué tandis que les accusations de discrimination contre les femmes se multiplient.

Au point que deux enquêtes, l'une indépendante initiée par le gouvernement et l'autre parlementaire, ont été ouvertes en mai et juin pour voir s'ils sont compatibles avec la loi britannique.
Ces enquêtes doivent se pencher sur leur fonctionnement et de possibles pratiques discriminatoires, notamment sur le refus d'octroyer des divorces religieux à des femmes victimes de violences conjugales.


- Rendre les mariages civils obligatoires -


Au Royaume-Uni, qui n'est pas un Etat laïc, "des tribunaux religieux existent depuis des centaines d'années", a rappelé dans un témoignage écrit à la commission parlementaire Amin Al-Astewani, professeur de droit à l'université de Lancaster.

Qu'il s'agisse des instances catholiques au sein des diocèses, des conseils de la charia ou du Beth Din des juifs, leurs décisions ne sont pas juridiquement contraignantes, a-t-il expliqué, mais elles représentent une forte contrainte morale et sociale pour les personnes qui y ont recours.

Pour Shaista Gohir, la présidente du réseau des femmes musulmanes au Royaume-Uni, les conseils de la charia sont utiles aux musulmanes mais doivent être étroitement encadrés "par un code de conduite stricte".

Auditionnée par la commission parlementaire, elle a appelé à rendre obligatoire les mariages civils avant tout mariage religieux, alors que 40% des femmes qui contactent son organisation d'aide aux musulmanes ne sont mariées que religieusement.

Pour d'autres féministes musulmanes, ils constituent "un système judiciaire parallèle" et doivent être "interdits". Une lettre ouverte allant dans ce sens a été signée en juillet par plus de 200 organisations nationales et étrangères de défense des femmes.
Un projet de loi pour limiter leur champ d'action est actuellement à l'étude à la chambre des Communes.

"Ces tribunaux de la charia sont discriminatoires, préjudiciables aux droits des femmes et ils approuvent et légitiment la violence", notamment les viols au sein du couple, a déclaré à l'AFP Maryam Namazie, porte-parole de la campagne One Law for All (Une loi pour tous) qui prône leur interdiction.

"Avant 1982, les musulmanes britanniques obtenaient des divorces sans ces tribunaux", a-t-elle fait valoir. Elle a également dénoncé leur liens avec "la mouvance islamiste transnationale".

Un avis partagé par la politologue suisse Elham Manea qui a enquêté pendant quatre ans sur ce phénomène et en a tiré un livre: "Women and Sharia Law".

"Les groupes islamistes à l'origine de la création de ces conseils ont bénéficié d'un soutien tacite de l'establishment britannique" qui "hésite à interférer dans ce qu'il considère être des affaires internes à la communauté musulmane", a-t-elle dit à l'AFP.

En attendant les conclusions des enquêtes en cours, la grande mosquée de Londres tente de les dénombrer et d'organiser le fonctionnement des "charia courts" en les rassemblant au sein d'une nouvelle organisation, le comité pour le Royaume-Uni des conseils de la charia (UK Board of Sharia Councils) qui en compte, pour l'heure, 15.

Georges Dallemagne: "La mosquée salafiste fermée à Molenbeek appelle des dons sur le net"

 

 
Le député à la chambre Georges Dallemagne (cdH) était invité sur le plateau d'"A votre avis" pour parler de la lutte contre le terrorisme en Belgique.

En première partie d'émission, Jan Jambon a annoncé que des policiers étaient en train d'être formés, et qu'il y aurait bientôt 1600 policiers supplémentaires sur le terrain. Mais pour Georges Dallemagne, la lutte contre les terrorisme en Belgique est uniquement basée sur le volet répressif. Il estime qu'il faut investir beaucoup plus dans la prévention, comme par exemple dans les mosquées salafistes bruxelloise. A ce niveau là, "on avance très, très, très modestement", affirme Georges Dallemagne.
Il y a 30 mosquées salafistes à Bruxelles
Le député fédéral a évoqué la fermeture de la mosquée Loqman de Molenbeek. "On sait qu'à Bruxelles, il y a 30 mosquées salafistes, ce sont des chiffres de la Sûreté de l'Etat, explique Georges Dallemagne. On en a fermé une pour raison urbanistique. Cela veut dire qu'elle peut ré-ouvrir dès qu'elle sera en ordre au niveau urbanistique. On ne l'a pas fermée pour des raisons de lien avec le terrorisme. Or, on sait que dans cette mosquée se sont rencontrés Mohamed Abrini (l'homme au chapeau), Ayoub El-Khazzani (le terroriste du Thalys), Chakib Akrouh (commando des terrasses à Paris)". Selon le député cdH, la mosquée serait même toujours en activité. "Ce matin, je suis allé sur internet pour consulter le site de cette mosquée, et ce site et toujours ouvert, a constaté Georges Dallemagne. La mosquée fait même un appel aux dons: il y a en grand sur le site le numéro de compte pour pouvoir aider la mosquée à se mettre en ordre sur le plan urbanistique, mais aussi pour financer des activités dont on sait qu'elles sont liées au terrorisme ".
 

Du Trocadéro à l'Arc de Triomphe, les policiers ont manifesté une nouvelle fois

 

 
Un mois de protestation. Une centaine de policiers ont manifesté vendredi soir à Paris, du parvis du Trocadéro à l’Arc de Triomphe, pour exprimer leur « colère » En civil, portant souvent un brassard orange, les policiers, accompagnés de proches, et malgré le froid, s’étaient réunis vers 21h30 pour manifester une nouvelle fois après l’agression de quatre policiers aux cocktails Molotov le 8 octobre à Viry-Châtillon, en Essonne, près de la cité de la Grande Borne.
Partis du parvis du Trocadéro, qui surplombe le Champs de Mars, ils ont entonné à plusieurs reprises la Marseillaise, ils ont marché jusqu’à l’avenue des Champs-Elysées qu’ils ont remontée jusqu’à l’Arc de Triomphe, aux cris de « policiers en colère, citoyens solidaires », et « Hollande t’es foutu, la police est dans la rue ». Un enfant tenait une pancarte sur laquelle il était écrit: « mon papa n’est pas une cible ». Sur une autre on lisait: « la police protège le peuple, qui protège la police? »

« Le plan annoncé » par le gouvernement fin octobre pour répondre à la grogne « est insuffisant », « la mobilisation ne fait que commencer », a assuré à l’AFP Guillaume, l’un des organisateurs, qui travaille dans une BAC en banlieue parisienne. Un autre policier, Aziz, masqué, a défendu un « mouvement apolitique et asyndical ».

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L'anthropologue algérien Malek Chebel est mort

L’anthropologue des religions et psychanalyste algérien Malek Chebel, défenseur d’un « islam des Lumières », est décédé ce samedi matin d’un cancer à l’âge de 63 ans, a-t-on appris auprès de sa famille. Il sera enterré en Algérie, après probablement une cérémonie en région parisienne lundi, a indiqué son fils Mikaïl Chebel.


Né en 1953 en Algérie, Malek Chebel, spécialiste de l’islam, était l’auteur de nombreux ouvrages et a donné des conférences dans des universités de plusieurs pays, notamment en France et aux Etats-Unis.

Parmi ses livres, « L’islam pour les nuls » et « Le Coran pour les nuls » s’étaient arrachés dans les librairies après les attentats de janvier 2015. Il a aussi traduit le Coran et publié, entre autres, « Mohammed, prophète de l’islam », « L’islam et la raison », « L’Erotisme arabe »,  ou « L’islam en 100 questions ».
En 2008, Malek Chebel avait été décoré chevalier de la Légion d’honneur par Nicolas Sarkozy, alors président. « Grâce à vous, la France découvre, ou redécouvre, un islam qui connaît et aime la vie, le désir, l’amour, la sexualité », avait alors déclaré l’ancien président.

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Salah Abdeslam s'est radicalisé en prison, assure son ancien avocat

 

 
Salah Abdeslam, seul survivant des commandos des attentats du 13 novembre à Paris, s’est radicalisé en prison, a affirmé samedi son ancien avocat belge au quotidien néerlandais De Volkskrant, à la veille du premier anniversaire des attaques qui ont fait 130 morts. 
« Il porte une barbe, il est devenu un vrai fondamentaliste alors qu’il n’était qu’un jeune des rues avec des baskets Nike », a affirmé l’avocat belge Sven Mary, qui a représenté Salah Abdeslam pendant plusieurs mois, cité par le quotidien néerlandais.

Convaincu que le suspect-clé des attentats, muré dans son silence, ne collaborera pas avec la police, Sven Mary et son collègue Frank Berton avaient renoncé début octobre à le défendre.

Pour l’avocat, les conditions de détention de Salah Abdeslam expliquent sa radicalisation et son silence face aux questions de la justice. 

« Une torture psychologique »

 

Dans sa cellule de Fleury-Mérogis, en banlieue parisienne, Salah Abdeslam est détenu à l’isolement et sous vidéosurveillance 24h/24. « On ne l’a pas torturé physiquement », ajoute l’avocat, qualifiant de nouveau les conditions de détention de « torture psychologique ».

Abdeslam avait tenté de faire suspendre ce dispositif inédit en France, mais le Conseil d’Etat avait estimé que « le caractère exceptionnel des faits terroristes » pour lesquels il est poursuivi impliquait « que toutes les précautions soient prises ».
Ce Français de Belgique de 27 ans a été selon les enquêteurs au coeur des préparatifs des attentats les plus meurtriers jamais commis en France. Après quatre mois de cavale à Bruxelles, il a été arrêté le 18 mars avant d’être remis le 27 avril à la justice française, qui l’a mis en examen notamment pour assassinats terroristes.

« Plus radicalisé que déradicalisé »

 

Lors de cette première comparution, il avait assuré au juge vouloir « s’expliquer ultérieurement ». Mais, convoqué ensuite trois fois, il a toujours fait valoir son droit au silence.

A la mi-octobre, son frère Mohamed lui avait demandé de s’exprimer, ajoutant alors : « j’ai parfois même l’impression qu’il est quelque part encore plus radicalisé que déradicalisé ».
Mercredi, le parquet fédéral belge avait affirmé à l’AFP que la cellule jihadiste à l’origine des attentats de Paris et de Bruxelles avait pris ses ordres « très haut » dans le commandement de l’organisation Etat islamique.

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