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jeudi, 08 septembre 2016

Montpellier : l’imam conteste la perquisition

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La fouille de nuit visait le domicile de M. Khattabi, responsable religieux de la mosquée Aïcha à Montpellier.

L'intéressé s'en était ému sur Facebook dès le lendemain matin. Mohamed Khattabi, assigné à résidence à son domicile en novembre, avait également eu la surprise de voir débarquer la police chez lui pour une perquisition. Une visite effectuée de nuit dont le responsable religieux de la mosquée Aïcha conteste les fondements légaux.

 Il conteste les fondements légaux de la perquisition

Ce mardi 6 septembre, devant le tribunal administratif, son avocate a déploré l'absence de précision de l'arrêté préfectoral pris le 22 novembre. "Il est indiqué 'sans délais', il n'y a pas d'horaire. Aucune motivation ne nous satisfait", a-t-elle indiqué. Selon le rapporteur public, la visite policière nocturne était toutefois justifiée par "l'urgence" de la situation post-attentats.

Le magistrat a estimé qu'il s'agissait d'une "mesure préventive", que l'issue négative de la perquisition n'était "pas de nature à établir l'erreur de fait". Aucun élément relevant de l'apologie du terrorisme n'avait été trouvé au domicile de Mohamed Khattabi. L'examen de certains documents avait toutefois débouché sur une procédure pour fraude aux allocations sociales qui allait conduire à la condamnation de l'imam qui a fait appel.

Midi libre

La Grande-Bretagne érige une barrière de 4 m pour contenir les migrants à Calais

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La Grande-Bretagne envisage d’ériger un "nouveau grand mur" à Calais afin d’endiguer, autant que possible, le flux migratoire qui bat son plein en Europe.

Il est prévu que ce mur, ou plutôt cette barrière de 4 mètres de hauteur, s'étendrait à environ un kilomètre, dans le but d'assurer un haut niveau de sécurité dans cette région frontalière, affirme Robert Goodwill, le ministre britannique de l'Immigration.

"Nous comptons nous y mettre sous peu. Nous avons déjà installé la clôture. Maintenant, on est sur le point d'ériger un mur", souligne M. Goodwill. Rappelons au passage que cette semaine, des chauffeurs de camions, des marchands, des fermiers et des agents de police ont bloqué l'axe principal qui mène à Calais. Ils ont manifesté, tout en appelant le gouvernement à détruire le camp des réfugiés situé aux environs immédiats de Calais et qui abrite à présent, selon certaines estimations, au moins 9.000 migrants. D'après le journal The Daily Telegraph, le lancement définitif de la construction du mur est prévu pour le début de ce mois et pourrait revenir aux contribuables britanniques à deux millions de livres sterling (environ 2,4 millions d'euros, ndlr).

Le mur serait placé de l'autre côté de la voie rapide qui mène au port de transbordement afin d'empêcher les migrants de se glisser dans des camions et de perturber ainsi le trafic routier.

Selon les dernières estimations, le nombre de migrants atteindra d'ici fin mars 327.000 personnes, au plus bas mot. M. Goodwill insiste sur le fait que le gouvernement britannique est tenu de réduire ce flux à des dizaines de mille. "Le grand défi à relever, c'est de ramener l'immigration à un niveau stable, c'est-à-dire à des dizaines de milles", conclut-il.

Sputniknews

Burkini : le tribunal de Bastia ne suit pas le Conseil d'Etat

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Le tribunal administratif de Bastia a validé, mardi 6 septembre, l'arrêté pris par le maire de Sisco, interdisant toute tenue religieuse ostentatoire sur les plages de cette commune de Haute-Corse.

Le juge, se référant à la récente décision du Conseil d'Etat suspendant un arrêté comparable, estime qu'

"en l'espèce, compte tenu des récents événements (...) la présence (...) d'une femme portant un costume de bain de la nature de ceux visés par l'arrêté (...) serait (...) de nature à générer des risques avérés d'atteinte à l'ordre public qu'il appartient au maire de prévenir".

Michel Janva

Le salon beige

Charles Beigbeder • « Face aux provocations communautaristes, privilégions la culture de France !

Signataire du Manifeste pour l’union des droites, Charles Beigbeder explique à Boulevard Voltaire pourquoi il faut réconcilier la France avec son histoire

 

Une chance pour la France ? Ça dépend…

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La communauté chinoise a manifesté son ras-le-bol des agressions dont elle est victime. Les drapeaux nationaux étaient largement présents dimanche, dans un cortège digne, à l’image de l’intégration des personnes de cette immigration, peu souvent sur le devant de la scène. Victimes, parce que riches, ou soupçonnés de l’être : ils travaillent, certes, très souvent dans des entreprises communautaires, mais sans trouble à l’ordre public et sans la moindre revendication légale, religieuse ou culinaire. Leurs enfants travaillent et sont statistiquement plus en réussite au bac que les enfants issus des autres sources de l’immigration, et même que la population générale. Ces gens n’apparaissent pas de manière disproportionnée dans les faits divers, respectent scrupuleusement les lois et les usages de la République et n’ont jamais récriminé contre la laïcité.

La presse a couvert cette manifestation « communautaire » sans débordement, sans voiture brûlée, sans vitrine brisée, en réussissant l’exploit de ne jamais mentionner les profils, très majoritairement identifiés, des agresseurs dont sont victimes les Asiatiques : histoire de ne pas stigmatiser. Les agresseurs sont donc « français ». Pire : la presse a longuement parlé des « Chinois », de la « communauté asiatique », qui sont pourtant eux aussi « français » : à croire que le souci de ne pas stigmatiser est à géométrie variable, mais ça, on le savait. À croire, également, que la presse peut se permettre de pointer du doigt des communautés particulières sans risque juridique, mais pas toutes.

Enfin, ce n’est pas nouveau, voici déjà plusieurs années que les affrontements communautaires sont légion dans certains quartiers, à Belleville notamment. L’extrait de L’Express ci-dessous date du 21 juin 2010 :

Dans la communauté asiatique, d’autres résidents sont plus directs. Pour eux, l’origine des problèmes est toute connue. Une commerçante n’y va pas par quatre chemins. Selon elle, « les femmes asiatiques sont souvent victimes d’agressions de Noirs ou d’Arabes ». Le mot est lâché, il ne fait aucun doute, pour elle, qu’il existe un « racisme anti-chinois ».

Qu’a fait SOS Racisme pendant ces six longues années passées à percevoir largement des subventions pour ce type de lutte ? Rien.

Les combats officiels contre le racisme se limitent, pour parler pudiquement, à ceux dont sont victimes les Français et les étrangers originaires d’Afrique du Nord et d’Afrique subsaharienne. Et à l’engagement contre l’islamophobie. Pour ne pas dire : à la promotion de l’islam. Les Français d’origine asiatique sont comme les Français blancs : ils n’ont même pas l’honneur de simplement exister.

Il est de bon ton, chez les socialistes, mondialistes et autre promoteurs de l’immigration débridée, de raconter à tout va que l’immigration est une chance pour la France, mais il est très concrètement légitime pour les autres de leur répondre : « Ça dépend de qui on parle. »

Pierre Duriot

Boulevard Voltaire



Osny : nos prisons sont des poudrières islamistes !

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La présence de nombreux détenus islamistes dans nos prisons devait aboutir à un drame. À Osny, dans le Val-d’Oise, le drame a été évité de justesse. Jusqu’à la prochaine fois. Dimanche 4 septembre, au moment du départ en promenade, un détenu a agressé un surveillant avec un poinçon. L’homme a échappé de peu à la mort, la gorge transpercée par l’arme qui est passée à 2 millimètres de sa carotide. Un de ses collègues, également blessé au bras, s’est porté à son secours. L’auteur des faits aurait eu le temps de badigeonner la porte de sa cellule avec le sang de sa victime et de lever les mains en signe de prière. Le parquet antiterroriste de Paris a ouvert une information judiciaire pour tentative d’assassinat en lien avec une entreprise terroriste.

Cela devait arriver parce que nos prisons, à la capacité insuffisante, sont surpeuplées et qu’il est impossible d’y isoler les détenus dangereux. Cela devait arriver parce que les détenus sont largement issus des rangs de l’islam et pratiquent leur religion en prison. Cela devait arriver parce que la haine ne s’arrête pas aux barreaux d’une cellule et que les surveillants, aux conditions de travail dégradées, sont en contact permanent avec ces fous. Cela devait arriver parce que les détenus islamistes se soutiennent et se concertent les uns les autres et réussissent à organiser ce genre d’attentat. Et parce que les prisons sont des passoires où pénètrent quotidiennement armes, téléphones et drogues.

Une fois encore se pose la question de mettre hors d’état de nuire des individus aux profils variés, détenus pour des causes très différentes les unes des autres, dont les seuls points communs sont d’être des racailles de bas étage et de se reconnaître dans un islam « des prisons » dont la pauvreté théologique ne doit pas masquer la violence intrinsèque. Tous les détenus ne sont pas fichés « S », tous ne sont pas poursuivis pour des actes terroristes, tous n’ont pas revendiqué leur appartenance à l’islam à l’occasion des crimes et délits qu’on leur reproche. Mais tous sont entassés dans les mêmes lieux. On constate le résultat.

Depuis des mois, voire des années, les responsables syndicaux tiennent un discours alarmiste qui tranche avec la béate satisfaction des pouvoirs publics. Ils exposent, comme Jean-François Forget — secrétaire général de l’UFAP-UNSA —, que les prisons sont de véritables poudrières. Et ils se fâchent : « Ces individus ne doivent pas se rencontrer, et il faut qu’il y ait au moins trois surveillants par détenu. Mais l’on préfère mettre en place des programmes qui n’ont ni queue ni tête. Nous sommes fatigués de ce mot de “déradicalisation” qui ne veut rien dire. » « À Osny », poursuit-il, « ces détenus reçoivent des massages de masseurs professionnels et des cours d’escrime… »

La réponse à ce cri d’alarme ne viendra ni de nouveaux gadgets tendance Taubira, ni même de la construction de nouvelles prisons – pourtant indispensables. Elle ne peut procéder que de l’isolement individuel dans des établissements dédiés de tous les individus dangereux, de préférence loin du territoire métropolitain. Ce qui pose des problèmes de droit difficiles : sur quels critères, pour quelle durée, avec quel budget ? Et l’état de notre droit ne le permet pas. La réponse n’est pas technique, elle est politique. Hautement sensible, mais indispensable. Quel responsable politique aura le courage et la lucidité de proposer un tel projet, sans formules toutes faites ni démagogie ?

François Teutsch

Boulevard Voltaire



Forges-les-bains (91) : un futur centre pour migrants incendié

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Paris Vox – Dans la nuit du 5 au 6 août, futur centre qui devait accueillir une centaine d’immigrés clandestins à partir d’Octobre a été détruit par un incendie qui s’est déclaré aux alentours de 2h30 du matin.   Le projet d’ouverture de ce centre d’une capacité

Parisvox

Ph. de Villiers : « Les cloches sonneront-elles encore demain ? La vérité sur l’islamisation de la France »

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Après le succès de son ouvrage paru en 2015, Le moment est venu de dire ce que j’ai vu, qui s’est vendu à 180.000 exemplaires, l’ancien ministre a décidé de continuer sur sa lancée. Il va sortir la suite de ce « best-seller » le 12 octobre, chez Albin Michel, avec un titre qui ne manquera pas de faire parler : Les cloches sonneront-elles encore demain ? Il est déjà disponible en précommande sur le site Internet d’Amazon.

L’islamisation est galopante, les hommes politiques l’accompagnent. Monsieur Valls a dit, face à la radicalisation, il faut, je cite, “un islam fort”. A chaque fois qu’il y a un attentat, on cherche « les islamophobes » pour les culpabiliser. Il y a un moment donné où les Français n’accepteront plus cela. Et donc l’islamisation de la France va provoquer un phénomène de résistance.

On n’y est pas pour l’instant. Tout le monde se terre, tout le monde se tapit. On a peur parce qu’il y a une judiciarisation des pensées et des arrière-pensées, mais le temps va venir où le laïcisme d’un coté et l’islamisation de l’autre vont réveiller la France chrétienne. Aujourd’hui, les autorités politiques, spirituelles, morales sont toutes orientées vers « l’Accueil de l’Autre » et le Vivre-Ensemble, c’est à dire en fait la fin de l’Europe, la fin de l’Europe chrétienne. Pour être chrétien aujourd’hui il faut « faire rentrer des migrants ». Ce qui veut dire « faire rentrer l’islam ».

Ce sont des inconscients. Ils se trompent. Aujourd’hui, la première des charités, c’est de fixer là où ils sont ceux qui ne doivent pas être des migrants, parce que ce n’est pas faire leur bonheur que de les déraciner. On leur vend du rêve et le rêve se termine par un cauchemar. Parmi les migrants, évidemment, il y a les terroristes dissimulés. Donc la première de toutes les charités, c’est l’enracinement. Et la deuxième charité, c’est de se préoccuper de son voisin, et de se préoccuper de sa famille. Il y a une famille qui est la famille des familles et qui s’appelle la nation. [...]

Nous sommes au début d’une guerre, c’est une guerre sur notre territoire, c’est la guerre parce que l’islam nous fait la guerre. Et je ne leur en veux même pas parce que c’est dans le Coran, ils appliquent le Coran, c’est une lecture littérale du Coran. Dans le Coran, il est dit : il y a le Dar-al-islam, où est la paix, c’est à dire là où ils sont, en Orient, où ils éradiquent les derniers lambeaux de christianisme, ce qu’ils appellent les Nazaréens. Et puis il y a le Dar-el-harb, qui est le territoire de la guerre, là où il faut porter le djihad parce que le monde entier doit se soumettre à Allah.

C’est dans le Coran. Et ils appliquent le Coran. Et face à des gens qui appliquent le Coran, on a des inconscients et des collabos de toutes sortes, comme toujours, ce que l’on appelle aujourd’hui, ce que les islamistes appellent des dhimmis, et les dhimmis, sont condamnés à la dhimmitude, Houellebecq avait raison, il a sorti son livre, Soumission, le jour des attentats de Charlie Hebdo.

Sortie en librairie le 12 octobre

Amazon & Le Rouge et le Noir

Fdesouche

Paris: le futur centre humanitaire pour migrants ouvrira mi-octobre

Le futur centre humanitaire pour migrants, situé dans le nord de Paris, ouvrira mi-octobre et accueillera 400 personnes. Un second centre verra le jour "d'ici la fin de l'année" à Ivry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, a annoncé ce mardi Anne Hidalgo.

L’immigration nous coûte deux fois le budget de la Défense

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C’est toute la France qui subit quotidiennement les ravages d’une immigration incontrôlée, que nos élites s’acharnent encore à définir comme une chance et une richesse pour la France.

Sans nos chers immigrés, notre pays ne serait qu’un champ de ruines, comme chacun sait.

On aimerait que nos apôtres de l’immigration de masse, nous expliquent par quel miracle des populations qui ne sont pas capables de mettre leur propre pays en valeur, notamment en Afrique, le plus riche continent de la planète par son sous-sol, peuvent venir nous enrichir et nous apporter leurs lumières. Avec son milliard d’habitants, depuis la nuit des temps, l’Afrique n’a toujours rien inventé. Ca, c’est une vérité incontestable !

Ils arrivent sans diplômes et illettrés pour la plupart, vont grossir le flot des assistés, mais ils seraient indispensables à une économie moderne ?

Pour mémoire, sur le 1,5 million de réfugiés arrivés en Allemagne depuis le début 2015, seulement 30.000 ont trouvé un emploi. Ne parlant pas allemand, la majorité vit de l’assistanat, avec les innombrables problèmes d’insécurité que l’on connaît. Coût annuel : 10 milliards d’euros débloqués par Angela Merkel. Le patronat allemand, qui a cru au Père Noël en 2015, ne cesse de déchanter sur cette main d’œuvre soi-disant bon marché.

En vérité, l’immigration nous coûte deux fois plus cher en social que sa contribution au PIB, mais c’est la propagande tiers-mondiste qui impose SA vérité au peuple français. Et que 81% des Français soient opposés à l’accueil des migrants, selon un sondage RTL, importe peu à nos élites qui règnent sans partage, au mépris de la démocratie la plus élémentaire.

L’immigration est un boulet économique, plusieurs études l’ont démontré, qui, de plus, lézarde chaque jour la cohésion nationale. Le coût de l’immigration, c’est 1000 euros par an et par Français, deux fois le budget Défense.

A Toulouse c’est un policier agressé au couteau par un Français d’origine algérienne qui tente de l’égorger, connu des services de police, “mais non fiché S”. Ouf ! Ce n’est donc pas un terroriste qui braille “Allah Akbar” en sortant son couteau à égorger, c’est un simple déséquilibré…Cazeneuve peut être rassuré.

A Cisco, ce sont des jeunes Corses agressés sur la plage par une famille maghrébine.

A Tremblay-en France, c’est un restaurateur cloué au pilori et qui risque de tout perdre, suite à une altercation avec deux clientes voilées.

En Seine-Saint-Denis, les agressions contre les Asiatiques sont quotidiennes.

Mais c’est Calais qui décroche le pompon en matière de violences d’origine immigrée. Dans l’Enfer calaisien tout empire.

Le plus grand bidonville d’Europe, est devenu une zone de non droit, où les riverains vivent dans la peur quotidienne, les vols, les agressions, les émeutes et la crasse permanente. Selon le représentant du collectif  “Les Calaisiens en Colère”, “Calais et sa jungle sont devenues la poubelle de la France.”

L’image de la région est dévastée, l’économie est ravagée. 400 commerçants ont porté plainte contre l’Etat suite à une baisse de 40% de leur chiffre d’affaire.

Dans un quotidien, Xavier F. agriculteur, déclare qu’une quarantaine d’arbres fruitiers, noyers et pommiers, ont été coupés sur sa propriété par les migrants. Il y a sur ses terres, 50 à 100 migrants chaque nuit, armés de bâtons, de machettes et de scies, et qu’il chasse à coups de fusil en tirant en l’air. Sur 80 hectares de culture avec son voisin, 13 ont été perdus par les vols et les dégradations. Coût : 35000 euros. 27 heures passées à nettoyer les champs des détritus ! Une vingtaine d’agriculteurs connaissent le même calvaire. L’argent du contribuable, c’est pour les migrants, pas pour les riverains qui ont le tort d’être chez eux.

Citoyens, policiers, commerçants, agriculteurs et routiers sont à bout. L’Etat ne fait rien. Le démantèlement du camp sud de la jungle, qui devait solutionner une partie du problème, n’a fait que le déplacer. Ce sont maintenant plus de 10000 migrants qui s’entassent dans ce bidonville devenu incontrôlable.

Les multiples plaintes pour agressions sont classées sans suite. On mesure ainsi l’hypocrisie sans limite de nos élites, qui s’acharnent sur le restaurateur de Tremblay-en France, pour une simple altercation avec des clientes voilées, mais qui détournent le regard dès qu’il s’agit des graves exactions des migrants de la jungle calaisienne. Cela s’appelle trahir le peuple français. Le coupable c’est toujours le natif, au nom de la discrimination positive !

Ce que réclament les Calaisiens et les acteurs locaux, c’est un couvre-feu de 22 heures à 6 heures, pour sécuriser les personnes et les biens. Mais silence radio du côté de l’Etat.

Voilà ce qu’est la véritable richesse de l’immigration. Voilà ce qu’est la véritable société multiculturelle, voilà ce qu’est le véritable vivre ensemble. Et on entend encore des bisounours nous vendre leur identité heureuse alors que tout le pays court à la catastrophe.

Quarante années de laxisme et de trahisons nous ont menés au désastre. Ce n’est pas le terrorisme qui va détruire la société, c’est l’immigration de masse.

Et pendant ce temps là, Pierre Moscovici, du haut de sa tour d’ivoire bruxelloise, ose faire cette déclaration aussi cynique qu’hallucinante : “Les dépenses en faveur des réfugiés relancent l’économie européenne.”. Qu’il aille dire ça aux commerçants calaisiens !

Accueillons donc 2 millions de migrants et la croissance repartira à 5% ! Avec 1 milliard d’Africains qui crèvent de faim, on a un réservoir de croissance illimitée selon la théorie de Moscovici.

Il y a en Europe 22 millions de chômeurs, 2,7 millions de sans abris, 84 millions de pauvres et même 123 millions si on place le curseur pauvreté à 60% du salaire médian. ( Eurostat ). Mais il faut continuer de charger la barque !

Des centaines de bidonvilles défigurent nos villes, les Français ne veulent plus d’immigrés, mais visiblement, pour Moscovici, c’est un détail.

L’Europe de nos illuminés, c’est le tombeau de la civilisation européenne. A Bruxelles, ils sont tous devenus fous.

Jacques Guillemain

Riposte laïque

Evry : une école coranique clandestine fermée

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La mairie d'Evry et la préfecture de l'Essonne ont émis un arrêté commun pour fermer les locaux occupés par l'association "Tous ensemble" et suspendre les activités de celle-ci, soupçonnée d'y avoir installé une école coranique clandestine.

Selon le maire d'Evry Francis Chouat et la préfète de l'Essonne Josiane Chevalier, tout laisse à penser que les activités proposées par l'association aux enfants "mineurs, y compris d'âge maternel", cachaient en fait un enseignement coranique clandestin, rapporte Le Parisien. Selon le quotidien, citant des témoins, plusieurs dizaines d'enfants de 3 à 6 ans participaient à des cours donnés en trois langues (français, arabe et anglais). Un enseignement qui se faisait sans aval ni supervision de la mosquée d'Evry, qui déclare n'avoir eu aucune connaissance de l'existence de cette structure. Pour Francis Chouat, "c'est une école coranique qui ne dit pas son nom. Quand on ne dit pas clairement les choses, cela pose un problème".

En outre, "Tous ensemble" faisait office de garderie sans avoir aucune autorisation ni agrément en la matière, rendant cette activité illégale. L'association fait provisoirement l'objet d'une suspension administrative liée principalement à un besoin de mise aux normes de ses locaux, occupant trois étages de la Tour Baudelaire à Evry, notamment en matière de sécurité incendie. Elle n'est sous le coup d'aucune autre enquête en cours. La semaine dernière, une autre école coranique non déclarée avait été découverte dans une mosquée de Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).

Christophe Guirard

Rtl.fr

Ce samedi 10 septembre, venez danser pour fêter les 17 ans de NATION !

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Au programme :

  • Projection vidéo

  • Lecture des messages de soutien

  • Interventions sur l’anniversaire de NATION mais aussi sur la fermeture de Caterpillar

  • Verre de l’amitié

  • Soirée dansante

Militants, sympathisants, venez rencontrer vos camarades dans une soirée conviviale et de camaraderie ! Venez en famille ou avec des amis.

L’entrée est gratuite mais l’inscription est obligatoire soit via vos cadres soit via secretariat@nation.be

Il est possible d’organiser du co-voiturage pour ceux qui aimeraient venir mais n’ont pas de véhicules.

Les portes ouvriront à 18h !

 

mercredi, 07 septembre 2016

Manipulation grossière d’I-Télé sur la bataille d’Alep

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Un reportage de début août sur la préparation de l’offensive des groupes djihadistes enclavés dans la partie orientale d’Alep comporte plusieurs inexactitudes, dont une grossière manipulation par l’image. Au début de la vidéo, les rebelles islamistes qui contrôlent cette zone de la ville sont présentés comme « des rebelles pro occidentaux ».  Il faut savoir que ces djihadistes lancent depuis ces quartiers des roquettes ayant tué des dizaines de civils des quartiers alépins contrôlés par le régime, notamment chrétiens. L’expert Fabrice Balanche explique que « les djihadistes et les salafistes dominent de façon écrasante la «rébellion», en particulier à Alep. » (Cité dans Le Figaro). 

Ensuite, I-Télé fait un lien direct entre le brisement du « siège d’Alep » par ces groupes et la reprise de l’aide humanitaire qui pourrait enfin accéder à ces quartiers. Les images des rebelles islamistes agitant le drapeau noir du djihad, en liesse, sont suivies d’images de véhicules humanitaires chargés de vivres. Les téléspectateurs sont donc enclins à se réjouir que des rebelles « pro occidentaux » permettent de rétablir l’aide humanitaire pour les civils. Sauf que les images présentées montrent un convoi humanitaire déployant les drapeaux russes, libanais et celui du régime…avec ce commentaire « des camions chargées de nourriture ont enfin pu accéder aux zones assiégées ».

I Télévision en flagrant délit de manipulation, un cas d’école de désinformation par l’image en temps de guerre si bien analysé en son temps par Vladimir Volkoff. 

Islamisation.fr

Une école coranique clandestine fermée par le maire d’Evry

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Fermeture. Le maire d’Evry, Francis Chouat, a fait fermer, vendredi 2 septembre, une école coranique cachée derrière un centre d’accueil pour enfants. Après une découverte similaire au sein de la mosquée Al-Islah de Villiers-sur-Marne le 31 août dernier, ces institutions clandestines seraient-elles les premières d’une longue lignée ?

Une école clandestine d’Evry a été fermée, vendredi 2 septembre, sur ordre de la préfecture de l’Essonne et du maire d’Evry. En effet, après une enquête de leurs services, les deux institutions ont décidé de faire fermer cette école qui se présentait comme « un centre d’accueil de loisirs et d’activités dites scolaires à l’attention de mineurs ».

Cela faisait plus d’un an que cette structure clandestine était dans le viseur de l’édile d’Evry. Et pour cause, l’association Tous ensemble qui l’avait mise en place, exerçait son activité « dans le dos de la mosquée d’Evry » qui propose, elle, des activités d’éducation au Coran en toute légalité.  « En soi, ce n’est pas un problème, mais une école coranique qui se cache, ça cache quelque chose » a conclu le maire d’Evry. De plus, aucune demande d’agrément n’avait été faite auprès de la préfecture.

Tout ce qui n’est pas à visage découvert doit être justifié et conforme

Francis Chouat  désire désormais apporter une attention particulière à ce type d’affaires. « Nous avons eu plus tendance à relativiser ces phénomènes qu’à les juger insupportables. Il aura fallu des traumatismes à répétition pour que l’on sorte de l’ambiguïté » a-t-il admis.

C’est dans cette optique que le maire d’Evry souhaite « appliquer cette démarche » à deux autres structures afin « d’être dans la clarté la plus totale ».  « J’ai décidé que tout ce qui n’est pas à visage découvert doit être justifié et conforme .A Evry, on ne se cache pas », une confession qui sonne la nouvelle politique du maire de la ville.

Valeurs actuelles

Calais, Marseille : la France sombre dans le chaos

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Deux personnes ont été tuées dans des réglements de compte à Marseille alors que la situation à Calais s'aggrave de jour en jour. Pour Xavier Saintcol, l'ensemble de la classe politique a fait du mot «délinquance» un nouveau tabou.


Xavier Saintcol est juriste.


Nous vivons une période étrange. Bien sûr le terrorisme a frappé la France à cinq reprises en 18 mois: 7 et 9 janvier, 13 novembre 2015, 14 et 21 juillet 2016. 250 personnes ont été tuées.

Mais au-delà de ces tragédies épouvantables, la violence et la barbarie se répandent dans l'indifférence générale, noyées dans le maelström de l'actualité. L'hécatombe se poursuit à Marseille: deux meurtres supplémentaires dans la nuit de lundi à mardi. Cela porte à 25 le nombre des tués depuis le début de l'année dans la cité phocéenne livrée à la loi des gangs.

Mais il y a pire. Le 30 août, dans la même ville, un retraité de 80 ans, Eugène, qui effectuait sa promenade quotidienne en face de chez lui, a été dépouillé de sa chaîne en or et roué de coups jusqu'à la mort, sans que ce lynchage n'indigne ni ne fasse réagir. On pourrait aussi parler de ce couple de personnes âgées, de 77 ans, dans le Maine-et-Loire, agressé à son domicile, dont l'homme, victime de sept coups de couteau, s'en est sorti par miracle. Dimanche des milliers de personnes d'origine chinoise ont manifesté pour protester contre les persécutions dont leur communauté fait l'objet, à la suite du meurtre de l'un des leurs, dans le silence des intellectuels et des associations antiracistes. La violence, dirigée contre les personnes, surtout en état de faiblesse, donne le sentiment de se banaliser insidieusement.

La situation du Calaisis amplifie ce sentiment d'impuissance de l'autorité que ressentent les Français. Près de 10 000 personnes en situation illégale, n'ayant pas le droit de demeurer sur le territoire français, ont développé une zone de non droit livrée à la violence, aux trafics de personnes humaine, aux meurtres et à la violence anti-policière, mettant en place une économie parallèle dans un climat d'impuissance radicale de l'Etat, allant jusqu'à couper des arbres pour bloquer le trafic autoroutier. D'ailleurs, s'il est principalement question du Calaisis, on ne peut ignorer que ce genre de situation de bidonvilles insalubres se répand ailleurs, par exemple à Paris.

Ces événements ont un lien entre eux: ils reflètent le déclin de l'autorité, de l'Etat de droit en France et la montée de la barbarie.

On aimerait connaître les chiffres de la délinquance. Dans les années 2002 à 2012, les statistiques des dépôts de plainte étaient rendus publiques chaque mois par le gouvernement dans un climat de transparence. Bien sûr, ces statistiques n'étaient pas parfaites, mais au moins les Français avaient le sentiment d'un suivi du nombre de cambriolages, meurtres, attaques à main armée, violences gratuites... Aujourd'hui, ces données font l'objet d'une relative discrétion en dehors d'un bilan annuel aussitôt oublié après avoir été diffusé. D'ailleurs, en dehors de la presse écrite régionale, l'insécurité qui empoisonne la vie des Français n'occupe plus qu'une place marginale sur les écrans de télévision et les émissions de radio. Un mot d'ordre semble être tombé sur ces sujets: silence! La question est redevenue taboue: surtout, ne jamais en parler pour tenter de la faire oublier.

Elle n'intéresse même plus la classe politique française, noyée dans ses postures, ses haines et ses ambitions carriéristes. Les candidats à la primaire de droite en parlent à peine, comme si la question risquait de salir les mains ou de renvoyer aux échecs des uns et des autres. Même l'extrême droite n'en fait plus comme jadis ses choux gras. Tout se passe comme si la France dite d'en haut, la France de la politique nationale et médiatisée, de l'extrême droite à l'extrême gauche, avait délibérément choisi de laisser «la vile multitude» - la France des quartiers sensibles, du monde rural et des zones urbaines, des enfants et des personnes âgées en état de faiblesse - seule avec ses misères du quotidien. Il est tout de même étonnant que les questions de sécurité soient à tel point ignorées des plus hautes autorité de l'Etat. Le mot «délinquance» a-t-il jamais été, même une fois, prononcé par un chef de l'Etat qui parle quasiment tous les jours? La gauche, engoncée dans ses oripeaux idéologiques, veut éviter toute stigmatisation des «classes dangereuses» et baigne plus que jamais dans l'angélisme et le culte de l'excuse. La droite et l'extrême droite ont jugé plus efficace, en termes électoralistes, d'enfourcher le combat «identitaire» plutôt que celui de l'autorité de l'Etat. Dès lors, la sécurité dans la vie quotidienne n'intéresse plus personne et les Français les plus humbles, les plus fragiles, les plus exposés à la barbarie quotidienne, se sentent abandonnés par le monde politique alors que la France sombre imperceptiblement dans une zone de chaos banalisé.

Le Figaro

Les subventions de l’UE pour les chômeurs : données aux immigrés

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Cela se passe en Italie mais cela pourrait se passer dans n’importe quel pays d’Europe inféodé aux diktats des officines immigrationnistes et autres lobbies anti-racistes et anti-blancs!

La région Piémont a décidé de financer, dans la région de Biella, des cours professionnels pour les chômeurs avec les fonds alloués par l’Union Européenne mais elle a également décidé de favoriser les immigrés : à ces derniers elle accorde une prime de 400€ afin qu’ils assistent au moins à 2/3 des cours, aux Italiens, rien du tout.

C’est ça l’égalitarisme et la solidarité tant vantés par les bonnes consciences cléricales et laïques !

« Le travail est la chose la plus importante de la vie, dénonce Michele Mosca, secrétaire provincial de la Ligue du Nord. Et pourtant dans ce secteur ils réussissent à discriminer les Italiens, en faisant du favoritisme envers les étrangers. »

« Désormais la politique bien-pensante de notre pays nous fait assister tous les jours à des situations honteuses », déclare à son tour un conseiller municipal de la même formation politique.

Mais ces déclarations ne changeront rien à ce scandale. En Italie, il fait bon être un immigré au chômage.

Francesca de Villasmundo

Mpi

Les Britanniques fustigent l'immigration, notamment turque

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Selon un sondage, la Turquie se classe au dernier rang des nationalités que les Britanniques souhaitent accueillir sur leur territoire.

Les Britanniques semblent très majoritairement réfractaires à toute hausse de l'immigration. C'est du moins ce que révèle une enquête réalisée par l'institut de sondages YouGov qui a interrogé 1.668 adultes à la fin du mois d'août. Soixante-dix pour cent d'entre eux déclarent qu'il y a eu trop d'immigration dans le royaume ces dix dernières années.

Une tendance qui rejoint les débats qui ont animé le Royaume-Uni lors de la campagne en faveur du Brexit, adopté à 51,9% des voix le 23 juin 2016. La critique de l'immigration était en effet un des thèmes fers de lance des partisans de la sortie de l'Union européenne. 

 

Les sondés de YouGov ont ensuite été appelés à donner leur avis sur les nationalités qu'ils souhaiteraient ou non voir accueillies au Royaume-Uni. Et si les Anglo-Saxons sont massivement les bienvenus (États-Unis, Canada, Australie, Irlande), 53% des sondés fustigent l'immigration turque, 24% estimant qu'aucun membre de ce pays ne devrait plus venir vivre au Royaume-Uni. Les Turcs apparaissent donc en bas de cet étrange «classement», précédés par les Roumains et les Nigérians. 

 Un effet post-attentat ?

En comparaison la France et l'Allemagne se situent au milieu de la liste des pays proposés avec respectivement 49 et 52% d'opinion favorable.

Comme le souligne Quartz, la stigmatisation de la Turquie par les Britanniques est des plus surprenantes. Et ce d'autant plus que la population turque en Grande-Bretagne est sur le déclin. Elle ne représentait que 72.000 habitants en 2015, très loin des Polonais qui avec 831.000 habitants devancent maintenant les Indiens, selon les chiffres de l'Office for national statistics.

 

Quartz analyse ce rejet de la Turquie par la crainte pré-Brexit de voir le pays rejoindre l'Union européenne. Les décisions du gouvernement turc concernant la crise des réfugiés alimenteraient également les fantasmes. Une xénophobie ambiante sur laquelle le site américain conclut:

«Ceux qui se sentent le plus menacés par l'immigration sur leur île craignent l'islamisme radical et les attaques terroristes qui lui sont associés, ils sont tout simplement effrayés par leur plus proche voisin musulman

Marichesse

Le sort de la « jungle » de Calais lié à l’ouverture du camp parisien

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Le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, a promis, vendredi 2 septembre, d’évacuer la « jungle » de Calais « avant la fin de l’année ». Lundi 5 septembre, son entourage évoquait l’idée d’une opération concomitante à l’ouverture du camp humanitaire parisien, fin septembre ou début octobre.

Sur la question des migrants, Paris et Calais sont en prise directe. Mener ces deux opérations de front éviterait un afflux massif de migrants calaisiens cherchant un hébergement à Paris. Cela limiterait aussi les départs vers la « jungle » de Calais des migrants que l’Etat ne souhaite pas héberger en province à l’issue des cinq jours passés dans le camp d’accueil parisien. Notamment ceux qui, d’après les règles européennes, devraient faire leur demande d’asile dans le premier pays d’Europe qu’ils ont foulé.

Mais, pour lancer le démantèlement de la « jungle », le ministre de l’intérieur a besoin de deux conditions. D’une part, il lui faut l’aval du Conseil d’Etat pour fermer les commerces informels de la zone nord du camp, puisque, le 12 août, le tribunal administratif de Lille ne lui a pas reconnu ce droit. D’autre part, il a besoin de plus de 6 000 places d’hébergement disponibles dans d’autres régions de France en centres d’accueil et d’orientation.

L’Etat souhaite en effet éviter que les migrants ne s’installent dans les campements voisins, comme cela s’était produit au lendemain du démantèlement de la zone sud en février dernier. Une partie des exilés délogés se sont entassés dans la zone nord et les autres ont rejoint les petits campements du littoral, de la Bretagne à Rotterdam.

 Si M. Cazeneuve assure aujourd’hui avoir toujours voulu démanteler le plus grand campement de France, il avait d’abord été question, en mai, après le démantèlement de la moitié sud de la jungle, d’aménager la zone nord. Après que toutes les télévisions du monde eurent filmé la démolition des cabanes et la réinstallation de familles en zone nord, il n’était plus vraiment question, alors, de détruire le bidonville.

Blocage de l’autoroute

L’opposition de la maire de Calais à ces projets d’aménagement a sans doute pesé dans la décision récente du ministre. Aujourd’hui, la population du camp a atteint des records : 6 900 migrants selon l’Etat, 9 000 selon des associations, provoquant des appels multiples au démantèlement total de la part d’acteurs économiques et politiques locaux.

La journée de lundi 5 septembre, à Calais, a été marquée par des manifestations des acteurs économiques. Le blocage de l’autoroute aurait même été prolongé « [s’il n’y avait] pas eu confirmation du démantèlement rapide de la jungle », a déclaré David Sagnard, président départemental de la Fédération nationale des transporteurs routiers, à l’issue du mouvement. Les routiers éprouvent des difficultés croissantes à travailler, car les attaques des migrants sont de plus en plus violentes contre les camions.

Si une partie des migrants a renoncé à rejoindre l’Angleterre, les nouveaux venus tentent leur chance. D’autant que, malgré les démentis des autorités, et en dépit du renforcement de la présence policière, chaque nuit, un certain nombre d’entre eux parviennent à passer en Grande-Bretagne.

Maryline Baumard
 
Le Monde


Nouvelle évacuation d’un campement de centaines de migrants à Paris

Alors que la maire de Paris, Anne Hidalgo, présente mardi 6 septembre le centre d’accueil humanitaire qui doit ouvrir prochainement dans la capitale, un campement où vivaient plusieurs centaines de personnes dans le nord de la ville était en cours d’évacuation dans la matinée. Les migrants qui s’étaient installés dans des tentes sur le terre-plein de l’avenue de Flandres, dans le 19e arrondissement, ont commencé à monter dans un premier bus, vers 9 h 30, encadrés par des CRS.

Sac sur le dos et matelas de fortune sous le bras, Asam, 21 ans, originaire du Soudan, disait ne « pas comprendre ». « Je suis seul, sans famille, je ne sais pas où ils nous emmènent, je veux rester ici », s’inquiétait le jeune homme. Sur l’avenue, la circulation avait été bloquée.

Sites d’accueil temporaire humanitaire

Depuis juin 2015, plus d’une vingtaine d’évacuations et de « mises à l’abri » des migrants dans des centres d’hébergement, des gymnases ou des chambres d’hôtels, ont eu lieu dans la capitale. Les pouvoirs publics cherchent désormais à intervenir le plus en amont possible, lorsqu’un campement s’installe dans la capitale, pour éviter qu’il ne grossisse.

Fin août, des associations engagées dans l’accueil des migrants ont demandé qu’il soit « mis fin aux évacuations de campements » en l’absence d’hébergement disponible « ainsi qu’aux notifications d’obligation de quitter le territoire aux exilés souhaitant demander l’asile ». Les associations souhaitent l’ouverture de sites d’accueil temporaire humanitaire dans plusieurs métropoles régionales pour éviter la saturation de la capitale.

Anne Hidalgo, maire de Paris, sera présente au Monde Festival à la table ronde « Accueil des réfugiés : des maires s’engagent », le samedi 17 septembre avec Giusi Nicolini maire de Lampedusa, et Pascal Brice.

Chronique de la taqyia : diplôme de non-radicalisation

 

D'Yves Daoudal :

Unknown-55"Certaines universités françaises, depuis l’an dernier, délivrent aux musulmans qui veulent être officiellement imams ou aumôniers dans les hôpitaux et les prisons, un « diplôme universitaire » qui garantit que son possesseur est un musulman républicain pur porc. Enfin, purement... laïque. Et, contrairement à d’autres DU, ceux-là sont subventionnés par l’Etat.

Naturellement, l’intitulé du diplôme en question, qui est clairement un diplôme de « non-radicalisation », ne fait aucune référence à l’islam. Ainsi à Rennes il s’appelle « Religion, droit et vie sociale ». Bien entendu il est ouvert à tous, mais seuls des musulmans suivent les cours, puisqu’il s’agit d’obtenir un diplôme certifiant que l’on n’est pas radicalisé… A Toulouse il s’appelle « Droit et religions »…

On apprend qu’en janvier prochain l’Université Paris II-Assas va ouvrir à… Melun, avec le soutien du ministère de l'Intérieur, une classe pour une trentaine d’« étudiants » voulant acquérir un tel diplôme, dont on ne connaît pas encore le nom. Je trouve quant à moi que « diplôme universitaire de taqyia » conviendrait bien.

« Ces cours devront être un espace de dialogue. Il ne faut surtout pas stigmatiser cette religion (…) Je vais choisir des enseignants représentant différents courants», dit Frédéric Debove, le directeur de l’institut de droit et d’économie de Melun…"

Michel Janva

Le salon beige

L'ONU met en garde contre les populistes

Droits de l'hommeLe haut-commissaire aux droits de l'homme a fustigé Trump et Wilders.

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Le haut-commissaire de l'ONU aux droits de l'homme a vivement critiqué lundi les responsables politiques populistes, citant notamment Donald Trump et le dirigeant néerlandais d'extrême droite Geert Wilders. Il a appelé à arrêter de tels «démagogues».

S'exprimant de La Haye, le Jordanien Zeid Ra'ad Al Hussein a déclaré qu'il était un homme musulman, dont le rôle était de «défendre et de promouvoir les droits de l'homme de chacun, partout».

«Et je suis en colère, aussi, à cause des mensonges et des demi-vérités, des manipulations et de la propagation de la peur de Geert Wilders, a-t-il dit lors de l'inauguration de la fondation pour la paix, la justice et la sécurité de La Haye.

Le mois dernier, le parti néerlandais d'extrême droite PVV a lancé sa campagne pour les législatives de mars 2017 en affirmant vouloir «fermer toutes les mosquées» et «interdire le Coran» en cas de victoire.

Un passé qui n'a jamais existé

Le parti pour la liberté (PVV), en tête dans les sondages, souhaite également «désislamiser» le pays notamment en fermant les frontières et centres de demandeurs d'asile, en interdisant l'arrivée de migrants originaires de pays musulmans, le port du foulard dans la fonction publique et le retour aux Pays-Bas de personnes parties en Syrie.

Le chef de l'ONU des droits de l'homme s'en est vivement pris aux propositions du PVV. Il a assuré que Geert Wilders avait beaucoup de choses en commun avec le candidat républicain à l'élection présidentielle américaine Donald Trump, le premier ministre hongrois Victor Orban, la dirigeante du parti d'extrême droite français, Marine Le Pen (Front national), et l'ex-dirigeant du parti britannique europhobe Nigel Farage.

Il a également affirmé qu'ils partageaient tous des similarités avec l'idéologie prônée par l'Etat islamique (EI). «Ils cherchent tous, à des degrés divers, à réanimer un passé, sous une forme merveilleuse et si pure, où les champs ensoleillés sont habités par des peuples unis par l'ethnicité ou la religion», a-t-il expliquant, soulignant que ce passé «qui très probablement, en réalité, n'a jamais existé où que ce soit, jamais».

Tdg.ch

Allemagne: Victoire des identitaires, défaite d’Angela Merkel battue dans son fief sur sa politique immigrationniste

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C’est dans une région de l’ex RDA, ex-partie communiste de l’Allemagne, fief d’Angela Merkel avec sa circonscription de Stralsund, que le parti AfD identitaire a enregistré un  fulgurant succès électoral, dimanche, en arrivant deuxième aux élections régionales de Mecklembourg-Poméranie occidentale. La CDU d’Angela Merkel en ressort une nouvelle fois désavouée et humiliée.
Le parti AFD, créé seulement en 2013, vient d’infliger un éclatant revers à la chancelière allemande qui l’année dernière avait ouvert les portes de l’Union européenne à l’immigration clandestine musulmane. Une humiliation infligée dans une région de l’ex-RDA communiste, dont est issue la chancelière allemande.

Le parti AFD de Frauke Petri, avec 22% des voix, surgi de nouveau sur la scène politique allemande, à travers ce land, derrière les sociaux-démocrates du SPD qui arrivent en tête dans le Mecklembourg-Poméranie occidentale avec moins de 30% des voix, perdant 6 points par rapport à 2011. La gauche ex-communistes de Die Linke, tombent à 12,5% en perdant prés de 6 points dans ce qui était un de leurs bastions. les partis gauchistes immigrationnistes sont balayés du parlement régional. Le FDP, ainsi que les Verts n’arrivent respectivement pas à 5%.

C’est surtout un cinglant démenti à la politique invasive de l’Union européenne par l’Allemagne, dont la chancelière allemande s’est faite la championne, puisque son parti la CDU n’arrive qu’en troisième position avec 19% des voix, derrière l’AFD. Ceci dans un contexte de matraquage médiatique contre le parti AFD qualifié de populiste. Qualificatif qui prend valeur d’insulte dans ce débat où les perdants détenaient la vedette. Une nouvelle victoire des identitaires parmi les pays membres de l’Union européenne, qui s’annonce de bon augure pour les présidentielles de 2017 en France, ce qu’à bien compris Nicolas Sarkozy qui tente de fagociter les voix identitaires de France alors qu’il a fait tout le contraire lorsqu’il détenait les rênes du pouvoir. Marine Le Pen, quant à elle se réjouit: « Ce qui était impossible hier est devenu possible: les patriotes de l’AFD balaient le parti d’Angela Merkel. »

« Le pompom, c’est qu’on laisse la CDU de Merkel derrière nous […] et peut-être même est-ce le début de la fin pour la chancelière Merkel », s’est félicité Leif-Erik Holm, chef de file de l’AFD dans cette région.

De revers en revers à un an des législatives (élections générales) en Allemagne:

L’AFD est désormais représenté dans 9 des 16 régions (länder) avec ses succès électoraux dans trois régions au printemps, dont son record de 24% en Saxe-Anhalt (ex-RDA). Le scrutin de dimanche est de bon augure, il faudra surveiller celui de Berlin le 18 septembre prochain. Pour Angela Merkel, c’est un des plus retentissants revers, puisque trois ans après sa création, l’AfD démontre qu’il gagne du terrain en Allemagne, partout où les électeurs ont l’opportunité de s’exprimer depuis l’appel d’Angela Merkel aux immigrés du monde islamique. Ce n’est pas le premier revers non plus du front immigrationniste en Europe, du Brexit aux élections présidentielles en Autriche, en passant par la Pologne, la Hongrie et les pays du du Nord européen, partout où les populations ont eu l’opportunité de s’exprimer, les Européens ont plébiscité le respect de leur identité, de leur civilisation et leur désapprobation d’une immigration de masse à caractère islamique. 

Le patron du SPD et vice-chancelier Sigmar Gabriel, bien qu’arrivé en tête, ne se fait pas la moindre illusion:  « comment faire pour que la colère et les inquiétudes des gens ne se retrouvent pas dans l’AfD » s’est-il affolé, insultant l’électorat.

Le secrétaire général de la CDU, Peter Tauber, déplore une « amère » défaite  et essaie de tromper les électeurs ou de se consoler en qualifiant de protestataire le vote AfD. Un argument éculé ressorti à chaque revers par les adversaires de la civilisation chrétienne en Europe. 

Les identitaires font ainsi une entrée en grande pompe au Parlement régional pour leur première participation à un scrutin dans ce Land de l’ex-RDA, un an après la décision de la chancelière d’ouvrir grand les portes de l’Allemagne aux clandestins.

Et si le rideau de fer avait empêché les Allemands de l’Est de se détester ?

emiliedefresne@medias-presse.info

Mpi

"Le début de la fin pour l'ère Merkel"

 

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Le parti allemand d'extrême droite anti-migrants AfD a déjà devancé la CDU, le parti politique de la chancelière allemande Angela Merkel, lors d'une élection régionale. L'extrême droite parviendra-t-elle à détrôner la dame de fer?

Le parti allemand d'extrême droite anti-migrants AfD a remporté sur la CDU, le parti politique de la chancelière allemande Angela Merkel, lors de l'élection régionale en Mecklembourg-Poméranie occidentale (nord-est), dimanche 4 septembre.

Ces résultats ont suscité différentes réactions au sein de la famille politique allemande. Interrogés par Sputnik, des hommes politiques allemands se sont exprimés à ce sujet. Ainsi, le Leif-Erik Holm, chef de file du parti d’extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD), s'est montré plus qu'optimiste. "Maintenant à la CDU aussi ils vont comprendre qu’on ne peut pas continuer la politique migratoire de la chancelière, ils vont réfléchir sur ce qu’ils doivent faire. C'est peut-être le début de la fin pour la chancelière Merkel", a-t-il lancé, emporté par l'émotion. Mathias Brodkorb, le ministre de l'Enseignement, de la Science et de la Culture de Mecklenburg-Vorpommern et également député SPD, estime aussi que la plus grande erreur de la chancelière allemande résidait dans son attitude à l'égard de la crise migratoire. M.Brodkorb s'est également souvenu de la déclaration d'Angela Merkel lorsqu'elle a martelé que si sa ligne politique n'était pas soutenue, ce ne serait plus son pays. "Je la trouve trop dure. Cela me rappelle la République démocratique allemande en 1953, lorsque Bertolt Brecht a dit au gouvernement: "Si le peuple ne vous convient pas, vous devriez en chercher un autre". Il est également d'avis que dans une société démocratique, le dirigeant devrait penser davantage aux besoins et aux craintes de son peuple. Björn Höcke, le chef de la fraction de l'ADF dans le parlement de la Thuringe pense également que la chancelière a eu tort de mener une telle politique migratoire. "La politique à l'égard des réfugiés, même s'il est difficile d'appeler cela une +politique+, a été plutôt l'ouverture incontrôlée des frontières. Ici s'ajoute le thème de l'éducation. Bien sûr que cette élection était également un vote sur l'avenir d'Angela Merkel en tant que chancelière", a-t-il conclu. D'après lui, outre la politique migratoire, les sanctions antirusses seraient aussi une grosse erreur de la chancelière allemande. "Ces sanctions sont nuisibles pour notre pays, notamment pour les PME. Nous devons les suspendre le plus vite possible.", confie-t-il. Lors de l'élection régionale en Mecklembourg-Poméranie occidentale, l'Union chrétienne-démocrate (CDU), le parti d'Angela Merkel, a seulement remporté 19% des voix, tandis que 20,8% des électeurs ont dit "oui" au parti d’extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD). Les sociaux-démocrates du SPD sont arrivés en tête avec 30,6% des voix. Die Linke, la Gauche allemande, a notamment collecté 13,2% des voix tandis que les Verts terminent le top 5 avec 4,8% des voix.

Sputniknews

La joie de l’extrême droite allemande après sa percée aux élections régionales

 

Un an après la décision d’Angela Merkel d’ouvrir l’Allemagne aux réfugiés, le parti populiste antimigrants AfD a remporté un succès électoral important dans une région de l’ex-RDA communiste, infligeant un camouflet au parti de la chancelière à un an des législatives.

Si les sociaux-démocrates du SPD arrivent en tête dans le Mecklembourg-Poméranie-Occidentale avec environ 30 % des voix, soit cinq points de moins qu’en 2011, c’est avant tout l’AfD qui a le cœur à la fête.

Avec environ 21 %, selon des résultats préliminaires dimanche, ce parti né en 2013 devance nettement la CDU de Mme Merkel, pourtant élue de la région, qui se classe troisième avec un peu plus de 19 % des voix.

La problématique de l’intégration du million de demandeurs d’asile arrivés l’an dernier en Allemagne a monopolisé la campagne électorale. Selon un sondage de la chaîne de télévision ZDF un électeur sur deux a jugé ce thème crucial.

Le Monde

mardi, 06 septembre 2016

Suisse: Une nouvelle votation réclamée sur l’immigration par l’UDC

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Peut-on faire dire tout ce que l’on veut à la Constitution? C’est la question qui se pose après la décision de la Commission des institutions politiques du Conseil national à propos de la gestion de l’immigration. Vendredi, cette Commission a proposé une solution ultralight pour appliquer l’initiative UDC «Contre l’immigration de masse», qui, après le vote populaire de 2014, fait de facto partie de la Constitution suisse.

Or les élus n’entendent pas introduire, conformément au texte, de contingents ni de plafonds pour limiter la main-d’œuvre en provenance de l’UE. Aussi bien l’UDC que les pro-européens de RASA demandent que la question soit tranchée par un nouveau vote populaire. Le plus remonté par cette non-application de l’initiative, c’est le ténor de l’UDC Christoph Blocher. Il pilonne ses cousins PLR dans le Tages-Anzeiger. «Pour le PLR, l’UE est plus importante que le peuple suisse.

Il craint la dénonciation des accords bilatéraux bien que l’UE n’y ait aucun intérêt. Le PLR, c’est le parti des poules mouillées.» Son parti va-t-il lancer le référendum sur la loi d’application? Blocher n’en voit pas l’intérêt car aucune solution ne serait proposée. Il menace, en revanche, de lancer une nouvelle initiative fédérale pour dénoncer les Bilatérales si le Parlement adopte la solution douce de la Commission du National.

Lesobservateurs.ch

A Mantes-la-ville le maire Front national se bat pour mettre la police à la place de la mosquée

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Bras-de-fer à Mantes-la-ville dans les Yvelines, où le maire Front national, Cyril Nauth, veut récupérer les locaux de l’ancienne trésorerie, destinés par l’ancienne municipalité au culte musulman, pour y installer les locaux de la police municipale. Cette installation du culte musulman dans les locaux de la Trésorerie, en pleine Zone de Sécurité Prioritaire, explique probablement le succès du FN lors des dernières municipales…

C’est le troisième round devant la justice administrative pour le maire FN de Mantes-la-Ville (Yvelines) qui veut préempter un local, destiné par la précédente municipalité à devenir un lieu de culte musulman, afin d’ y installer sa police municipale: le tribunal de Versailles, saisi vendredi sur le fond, tranchera le 16 septembre.

Au cœur de la bataille judiciaire : l’ancienne trésorerie municipale, un local inoccupé d’au moins 500 m2. L’Association des musulmans de Mantes-sud (AMMS) a racheté ces locaux en octobre 2015 à la communauté d’agglomération de Mantes-en-Yvelines. La salle de prière accueillerait actuellement  300 fidèles.

A l’accusation de l’imam qui dénonçait « une discrimination caractérisée et permanente.» Cyril Nauth, le nouveau maire de la ville rétorquait: « Mensonge. Je ne mène pas un combat contre l’Islam, mais contre ce projet précis.» A la place, le maire ambitionne «d’offrir à la population un projet d’intérêt général, dans ce quartier en zone de sécurité prioritaire (ZSP)» : un poste de police municipale. 

Les Zones de Sécurité Prioritaires, voilà un concept nouveau qui était inconnu il y a quelques années encore, avant l’afflux des masses migratoires.

Le culte musulman détient également un autre lieu de culte dans la même ville, fréquenté par un millier de ses fidèles selon le chiffre donné par le président de l’association AMMS. 

Le lieu de culte a été installé par l’ancienne municipalité dans une zone de sécurité prioritaire, amplement occupée par des personnes issues de l’immigration musulmane… Un lieu, selon toute logique, où la police serait beaucoup mieux indiquée qu’une mosquée dans le contexte des attentats et agressions islamiques qui se multiplient en France. Mais le Conseil d’Etat en répondant au vœu des Frères musulmans par l’interdiction des lois anti-burkini sur les plages, a donné l’exemple de ce qui est prioritaire en matière de lois, entre la liberté des musulmans et la sécurité de l’ensemble de la population. Sur le plan judiciaire local, le Tribunal administratif a déjà donné deux fois raison à l’association musulmane de Mantes-la-Ville. Ceci étant l’appel des deux précédents verdicts.

Rappel: Eric Zemmour rappelle que le Conseil d’Etat avait aussi empêché de suspendre le regroupement familial et d’interdire les familles polygames

emiliedefresne@medias-presse.info

Mpi

Un détenu radicalisé blesse 2 gardiens à la maison d'arrêt d'Osny

Un détenu en unité de prévention de la radicalisation a blessé deux surveillants pénitentiaires à la maison d’arrêt d’Osny dans le Val-d’Oise, ce dimanche 4 septembre, selon un communiqué de la Direction de l’administration pénitentiaire du ministère de la Justice.

Dans l’après-midi, le détenu a agressé avec une arme artisanale le surveillant venu le chercher à l’issue de la promenade, le blessant au thorax et à la gorge. L’homme a également blessé le second surveillant posté à l’entrée de la cour, venu secourir son collègue. Tous deux ont pu quitter la coursive et ont été secourus. Ils ont été transportés à l’hôpital, leurs jours ne sont pas en danger.

Quant au détenu, il a ensuite tenté d’agresser les unités d’intervention de l’Administration pénitentiaire qui l’ont rapidement maîtrisé à l’aide d’une balle de caoutchouc. Il a été transporté à l’hôpital puis placé en garde à vue pour tentative d’homicide volontaire.

Boulevard Voltaire



Robert Ménard s'indigne à nouveau de la proportion d'élèves musulmans à Béziers

Le maire de Béziers Robert Ménard a une fois de plus évoqué la proportion des enfants de confession musulmane, lundi 5 septembre, dans une classe de sa ville de Béziers. Sur LCI, l’élu de l’Hérault proche du FN a déclaré: 

« Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91% d’enfants musulmans, évidemment que c’est un problème, il y a des seuils de tolérance »

Il avait déjà suscité la polémique en mai 2015 en évoquant « 64,6% d’enfants musulmans scolarisés dans les écoles publiques de Béziers, une estimation basée sur « les chiffres de (la) mairie ». Une enquête avait été ouverte pour vérifier l’existence éventuelle de fichiers illégaux à la mairie, avant d’être classée sans suite. Dans un tweet le jour de la rentrée des classes, le 1er septembre dernier, Robert Ménard avait déjà écrit: 

Le maire de Béziers, élu en 2014 avec le soutien du FN, a rappelé que pour lui,

« Marine Le Pen est la seule qui incarne la possibilité qu’on change de politique (…). Les gens en ont ras-le-bol de l’immigration, des clandestins », a-t-il assuré, ajoutant que « l’islam et la chrétienté n’ont pas le même statut dans notre pays et ne doivent pas l’avoir ».   

 

Boulevard Voltaire



Alain Juppé et son mentor Tareq Oubrou, l’islamiste pur jus

Il est une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux et notamment sur Riposte Laïque et le Salon Beige auxquels d’ailleurs je vous recommande vivement de vous abonner. Cette vidéo de 16 minutes est le résultat du beau travail d’investigation et de montage de Joachim Veliocas, animateur du site islamisation.fr qui démontre l’islamophilie incontestable d’Alain Juppé. Un penchant qu’il essaye de dissimuler depuis qu’il s’est porté candidat aux primaires de la Présidentielle. L’art de la taqiya, en somme, vu par le maire de Bordeaux.

On y voit tout d’abord Alain Juppé annoncer que ses bombardiers lancés sur la Libye de Khadafi vont pourvoir redonner à ce pays la liberté et la démocratie (sic). « C’est un investissement pour l’avenir parce qu’une Libye démocratique, c’est un pays qui va se développer ». Un tel visionnaire peut-il diriger la France ? Vient ensuite l’épisode de la Grande Mosquée de Bordeaux à qui il a concédé un immense terrain en bordure de la Gironde. « Il est normal que les musulmans de la région puissent pratiquer leur culte dans une mosquée moderne ». Peu lui importe que la loi de 1905 soit toujours en vigueur. A la fin de cette vidéo, Benoist Apparu, son porte-parole, va même insister au micro de J.-J. Bourdin, sur l’évidente obligation que la République doit avoir pour non seulement financer les mosquées, mais en encourager la construction. « Quitte à réviser la loi de 1905 » !

Après avoir déclaré, en 2011 que l’islamisme était parfaitement compatible avec la démocratie, le maire de Bordeaux remettait la Légion d’Honneur à son imam préféré parce que celui-ci est le symbôle d’un islam modéré. Oubliant que la devise de l’UOIF dont est membre le récipiendaire n’est rien d’autre que « Le coran est notre constitution ».

Mais Tareq Oubrou ira beaucoup plus loin lors d’un colloque sur Hassan al-Banna, fondateur des Frères Musulmans dont il fait partie, en se déclarant pour le califat. A l’époque, en février 2011, le Califat Islamique n’existait pas encore, mais Tareq Oubrou l’appelait de ses vœux.

« Il faut un Califat politique car Mahomet était lui-même un chef d’état. D’ailleurs, l’islam n’est pas une religion. C’est un mode de vie. L’islam touche à tous les domaines de la vie. Comme le veut le Coran, C’est un Etat, c’est un pays, dans le sens géographique, c’est à dire qu’il regroupe toute la communauté dans une géographie où il n’y a pas de frontières. La frontière entre deux pays musulmans est une hérésie méprisable par l’Islam… La politique des Musulmans ce n’est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge… Nous, frères musulmans, nous sommes des salafistes affirmant que la pouvoir d’Allah est au dessus de tout pouvoir. »

Tareq Oubrou le modéré poursuivit sa conférence en affirmant que « tout homme qui réfute un seul verset du Coran n’est pas musulman. Allah nous a demandé de construire des familles, des sociétés, des états islamiques. Et il faut comprendre que construire un état islamique prend ses siècles ».

Pensait-il alors à la France ? Pensait-t-il alors à nous convertir de force, un jour ou l’autre, avec la bénédiction d’hommes politiques comme Alain Juppé, Benoist Apparu et tant d’autres ?

L’art de la dissimulation, du mensonge, de la taqiya, auquel notre indulgence ne nous permet pas de croire peut nous coûter très cher. J’attends avec impatience la décision des juges sur ce malheureux restaurateur de Tremblay-en-France qui s’est fait piéger par deux provocatrices envoyées par cette organisation très contestée du CCIF. Après la soumission du Conseil d’Etat sur l’affaire du Burkini, elle nous montre à quel point nous sommes devenus aveugles.

Selon Robert Ménard, être français c'est être "blanc" et "catholique"

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Le maire de Béziers poursuit sa dérive à l'extrême droite. Sur LCI ce lundi matin, il a affirmé qu'être français c'était être "Européen, blanc et catholique" et a ressorti des statistiques ethniques qui avaient fait polémique l'an dernier.

Robert Ménard a, encore, fait du Robert Ménard ce lundi matin. Sur LCI, le maire de Béziers élu en 2014 avec le soutien du Front national, a affirmé qu'être français c'était être "Européen, blanc et catholique". Une sortie aux relents racistes qui risque de faire des remous. 

L'origine de cette saillie? Sur le plateau de la chaîne d'information en continu, l'édile était interrogé sur un tweet controversé publié lors de la rentrée des classes où il expliquait que ce jour était, selon lui, la preuve "la plus éclatante du "grand remplacement". Une allusion à une théorie développée par l'écrivain d'extrême droite Renaud Camus qui décrit la substitution de la population française par une population non-européenne, principalement venue d'Afrique noire et du Maghreb. 

Un tweet assumé par Robert Ménard, donc, et qui va même plus loin. Beaucoup plus loin. Face à la journaliste qui lui demande si être français c'est être "blanc", le maire de Béziers explique que "être français c'est aussi, comme le disait le général De Gaulle, être Européen, blanc et catholique, bien sûr". 

S'il ne précise pas à quelle phrase il fait allusion, Robert Ménard pourrait faire référence à une citation attribuée à Charles De Gaulle par Alain Peyrefitte, son biographe, et qu'il aurait prononcé le 5 mars 1959, en pleine guerre d'Algérie: "Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne". Problème: comme le souligne Le Monde, à part dans les écrits d'Alain Peyrefitte, aucun autre trace ne permet d'authentifier ce texte. 

Le retour des statistiques ethniques (illégales)

L'édile revient ensuite sur la rentrée scolaire et sort un chiffre de "91% d'enfants musulmans" dans une classe du centre-ville de Béziers: "Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91% d'enfants musulmans. Évidemment que c'est un problème. Il y a des seuils de tolérance. On n'ose pas le dire : 91% d'enfants musulmans. Vous ne mettez pas les vôtres dans cette école-là, vous demandez une dérogation à la carte scolaire et vous allez dans le privé. C'est ça la réalité".

Un chiffre sorti du chapeau par le maire de Béziers, qui n'a pas expliqué comment il l'avait calculé, et qui s'apparente à des statistiques ethniques, une pratique interdite en France. En mai 2015, Robert Ménard s'était retrouvé au coeur d'une polémique après avoir évoqué sur le plateau de Mots croisés un chiffrage des enfants musulmans dans sa ville.  

S'il n'a pas expliqué comment il en était arrivé à ce chiffre, Robert Ménard a cependant détaillé comment il faisait pour reconnaître un musulman d'un non-musulman. Cette fois-ci, il se base non pas sur le prénom, mais sur le "visage" puisqu'un musulman est forcément arabe. Face à la journaliste, il assure en effet que "je sais que vous n'êtes pas musulmane [...] C'est drôle, vous n'êtes pas arabe. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise : ça se voit. Ça se voit sur votre visage. Pardon". 

Geoffrey Bonnefoy

L'Express