Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 08 novembre 2010

Le n°20 de Synthèse nationale est paru...

Couv SN n°20 (1).jpg

Synthèse nationale n°20

 120 pages - 12,00 €

Au sommaire :

 

Éditorial de Roland Hélie : La sécession nécessaire…  
Contre l’Europe de Bruxelles : Appel national à la sécession
Arnaud Raffard de Brienne : Union européenne et immigration…  
Robert Spieler : Actes « racistes » et « néo-nazis » en Alsace, rappel d’une étonnante manipulation…
Un entretien avec Robert Spieler publié par la revue espagnole Identitad
Coclès : Copernic, histoire d’une manipulation…
La revue des blogs…
Pieter Kerstens : Le droit de grève, c’est bien. La liberté du travail, c’est bien  mieux !
L’Oncle Sam est contagieux : il est même dangereux
Tribune libre à Christian Perez, Président du Parti populiste : La condition de la victoire…
Marc Rousset : Nous vivons la fin de l’Empire romain !
Immigration extra-européenne et identité : les erreurs de la Nouvelle Droite et de l’Église catholique romaine...
Roland Hélie : Ils veulent assassiner Tarek Aziz !
Philippe Randa : Les gerfauts de la retraite vieillesse
Lionel Baland : Le Jobbik ou la nostalgie de la Grande Hongrie…
Hongrie : la répression anti-nationaliste pour cacher les manœuvres anti-nationales d’un pouvoir mondialiste…
Marc Vidal : Mémoire d’un jeune européen…
Luc Barbulesco : Tibherine : Théos anaïtios
Francis Bergeron : 2011, l’année Hergé  
Philippe Randa :  La ténébreuse affaire Dreyfus, le dernier livre du Dr Bernard Plouvier

 

Synthèse nationale est en vente à la Librairie Primatice (10, rue Primatice 75013 Paris - métro Place d'Italie).

 

Abonnez-vous à Synthèse nationale :

6 numéros : 50,00 € -  étranger : 60,00 € - soutien : 100,00 €

Chèque à l'ordre de Synthèse nationale

 

Pour continuer à amplifier notre audience, nous avons besoin de la fidélité de nos lecteurs. Pour nous aider, abonnez-vous. Cliquez ici.

mardi, 02 novembre 2010

Jeudi 11 novembre prochain : 4ème journée nationale et identitaire à Paris. Un eentretien entre Franck Abed, écrivain, et Roland Hélie...


Franck ABED reçoit Roland HELIE
envoyé par GENERATIONFA. - L'actualité du moment en vidéo.

jeudi, 21 octobre 2010

Jean Alcader : le vrai visage de l'islam...

Jean Alcader, participera jeudi 11 novembre à la 4ème Journée nationale et identitaire organisée au Forum de Grenelle (5, rue de la Croix-Nivert Paris XVème - métro Cambronne) par Synthèse nationale.

mardi, 12 octobre 2010

Le sacrilège est-il passible d'une condamnation dans la République ?

1330595612.jpgPar Coclès

La Droite strasbourgeoise

La vidéo de cet internaute de Bischheim qui brûle un exemplaire du Coran avant d'uriner sur les flammes a provoqué un tollé parmi les musulmans alsaciens. Elle est toujours visible sur le Net.  Le délégué général de la mosquée de Strasbourg a annoncé son intention de porter plainte pour incitation à la haine raciale. Le parquet a suivi. Le prévenu, provocateur assurément, risque 3 années de prison.

Dans l'atmosphère qui prévaut ces temps-ci en Alsace où le vandalisme funéraire alterne avec les agressions visant des juifs ou des musulmans, on se plaît à mettre dans le même sac délits racistes et sacrilèges.

Une loi concordataire prévoit, c'est vrai, trois ans de prison pour de tels faits. Mais d'une part, elle est tombée en désuétude depuis des lustres et, d'autre part, on ne sache pas que malgré les efforts constants que font certains pour inclure l'islam dans le concordat, il soit au nombre des quatre confessions protégées par lui. Si par malheur il y était inclus on voit par avance l'usage qu'il ferait de ce privilège.

La qualification "raciste" d'un tel acte témoigne de la confusion des esprits. Sauf le respect que l'on ne doit pas aux névrosés obsessionnels  qui voient le racisme s'infiltrer partout, on ne savait pas que l'islam, religion universaliste, témoignait de l'appartenance de ses membres à une "race" particulière (qui par ailleurs n'existe pas comme nous le répète une rumeur insistante).

S'en prendre à des musulmans, des juifs, des chrétiens et des athées ou profaner leurs tombes, cela peut effectivement relever du racisme, mais s'en prendre au Coran, à la Torah ou aux Évangiles ne relève en rien d'un quelconque racisme et ne saurait tomber sous le coup de la loi.

Critiquer un groupe ethnique, essentialisé pour ce faire, à raison de son apparence, de ses origines, de ses moeurs ou de ses croyances, ce n'est pas la même chose que de soumettre une religion à l'examen critique, voire de ridiculiser ses croyances, et les catholiques en savent quelque chose, eux qui sont pris pour cible chaque jour que Dieu fait par tout les faux rebelles (qui ne s'en prennent qu'à ce qui est déjà à terre).

En disant cela nous ne prenons pas le parti de l'internaute Bischheimois dont nous trouvons le geste d'autant plus déplacé qu'il le met au niveau d'un vulgaire taliban ou de ce pasteur américain cinglé qui défrayait la chronique il y a une dizaine de jours (on se demande bien pourquoi d'ailleurs). Nous ne faisons que nous interroger, car enfin admettre le caractère sacré du Coran, c'est admettre celui de la Bible, de la Torah, puis pour faire bon mesure, afin de ne pas exclure ce qui serait discriminer, du Bhagavad Gita, du Livre des Morts, et pourquoi pas de l'Iliade, du Capital, ou du Da Vinci Code...

"La liberté de croire ne saurait arrêter celle de se moquer." (Elisabeth Lévy). La République, tant qu'elle est laïque, n'a pas à se soucier du caractère sacré ou non d'un livre. Pour elle, ils se valent tous et c'est à chacun, en son for intérieur ou publiquement, d'en évaluer la pertinence. Si il fallait conserver une seule chose dans l'héritage des Lumières ce serait bien cette conquête qui est à l'origine de nombreuses libertés concrètes.

Les musulmans se disent outragés par le geste de ce jeune homme comme ils le furent par les caricatures de Mahomet. Mais son autodafé ne relevant ni de la haine, ni du racisme, c'est au nom d'un blasphème qui ne dit pas son nom qu'on l'inculpe. Un délit qui n'existe pas dans notre République, et c'est heureux.

En France les religieux de tout acabit ont fini par se faire une raison et les musulmans qui rechignent, c'est le moins qu'on puisse dire, à cette acceptation témoignent certes de leur fidélité à leurs moeurs mais non de l'esprit républicain de tolérance auquel ils se disent soit disant attachés. Il serait grave qu'à force d'extensions démesurées du concept de racisme on en vienne à accepter d'inclure dans sa définition des actes et des pensées qui ne tombent que sous le coup du mauvais goût, de la provocation et de la stupidité.

La République s'apprête-elle à des "accommodements raisonnables" pour faire leur place à des concessions dont personne ne sait où elles s'arrêteraient ? On sait trop bien que sur ses terres historiques l'islam punit de mort ceux qui prennent des libertés avec le Coran et son prophète et ce n'est pas demain la veille que l'on y reconnaîtra le droit au blasphème.

Si l'islam en France veut devenir l'islam de France, il faudra bien qu'il s'y fasse. Dans cette affaire le profanateur déclare : "On est en France et on peut brûler un livre de Winnie l'ourson comme le Coran" et l'autorité musulmane de rétorquer : "Si on ne réagit pas on autorise les gens à brûler un livre saint." Un véritable dialogue de sourd qui témoigne d'un décalage de civilisation.

La France pourrait être une chance pour l'islam. Une opportunité pour qu'il s'adapte à la société moderne dans ce qu'elle a de moins contestable.

Après l'affaire du chevalier François-Jean Lefebvre de La Barre, exécuté pour avoir mutilé une statue du Christ, il a fallu aux catholiques 150 ans pour s'adapter aux conditions de la modernité, et ceci aux prix de rudes combats. L'islam débarque dans un monde constitué qui semble douter de ses valeurs, où tout combat pour la laïcité apparaît comme une exclusion et un racisme. Bien sûr,  aucun croyant n'aime voir son credo ridiculisé ou ce qu'il tient pour sacré, profané. C'est pourtant le prix à payer pour recevoir le baptême républicain. Les juifs, les protestants, les catholiques sont d'accord là dessus. L'islam devrait-il faire exception ?

 

PS : on lire avec profit l'excellent article paru dans Causeur sur ce sujet brûlant.

jeudi, 16 septembre 2010

Charia et lapidation : les propos scandaleux du trésorier d’une mosquée de Roubaix.


Qui a peur de l'islam, Roubaix (extrait)
envoyé par leblog2roubaix. -

La polémique est en train d’enfler après la diffusion, vendredi 10 septembre sur France 4, du documentaire de John-Paul Lepers Qui a peur de l’islam ?

Le journaliste a voulu comprendre la peur que pouvait inspirer l’islam en France. Malgré sa grande ouverture d’esprit, Lepers n’a pas pu cacher sa crainte dans certaines circonstances, comme lorsqu’un des responsables de la mosquée Abou Bakr de Roubaix, Rachid Gacem (son trésorier), lui a lancé qu’il était favorable à la lapidation en pays musulman (car c’est la loi divine), ainsi qu’au fait de couper la main aux voleurs, et que « si la France devient demain majoritairement musulmane, la charia devra s’appliquer« .

 

Par ailleurs, selon les responsables de la mosquée, si l’on a lu et compris le Coran, l’on devient nécessairement musulman. De tels propos seront de nouveau tenus par d’autres protagonistes du film. John-Paul Lepers, qui dit avoir parcouru le Coran, et qui n’est pas devenu musulman pour autant, l’a donc sans doute mal lu… Autre propos tendancieux : « Chez nous les Algériens, la religion et la tradition se rejoignent. » Lepers fait remarquer à son interlocuteur qu’il est Français. Celui-ci corrige alors : « Chez nous, d’origine algérienne… » Mais le sentiment d’être Français n’est pas flagrant. Malgré ses propos bel et bien inquiétants, Rachid Gacem considère que c’est à cause des médias qu’on a peur de l’islam.

 

Le président du collectif des associations musulmanes de Roubaix a condamné les propos tenus par les responsables de l’association cultuelle Abou Bakr (qui est adhérente de son collectif). Mais il a également tenu à interroger le montage du journaliste de la Télé Libre : « Il appartient toutefois de savoir dans quelles circonstances ces propos ont été tenus. On se trouve parfois piégé devant les caméras et par le montage des séquences d’une émission. »

 

De son côté, Pierre Dubois, premier adjoint au maire PS de Roubaix et grand défenseur d’une politique d’ouverture à l’égard des religions, s’il a vivement apprécié le film de Lepers, s’est néanmoins dit surpris des propos de Rachid Gacem : « J’ai eu l’occasion de le rencontrer lors de réunions de travail pour la construction de la nouvelle mosquée Abou Bakr. Il n’avait jamais émis de telles prises de position. Il appartient à l’association concernée de prendre ses responsabilités. En tout cas, il n’y a aucune raison pour que la réflexion roubaisienne entamée avec le collectif des associations musulmanes sur la façon de vivre l’islam dans un état laïque soit interrompue. »

 

Républicain laïc convaincu, John-Paul Lepers s’est souvent heurté, de Roubaix à Marseille, à des hommes et des femmes qui ne se résolvent pas à cantonner leur religion dans la sphère intime. Il a discuté avec de jeunes salafistes, a assisté à une conférence de Tariq Ramadan (qui a refusé de le rencontrer), a parlé de ce leader charismatique avec Mohamed Sifaoui, et s’est finalement entretenu avec le recteur de la mosquée de Bordeaux Tareq Obrou, un homme plein de sagesse selon le journaliste.

 

Malgré les craintes qu’il ne manquera pas de susciter, le film de Lepers témoigne d’une heureuse tentative de dialogue.

 

Le périple en camping-car de John-Paul Lepers commence à Roubaix…

Source Français de France

lundi, 14 juin 2010

Le drapeau d'une mairie brûlé

54208674_p.jpgSource Le Figaro

 

Le drapeau français accroché sur la façade de la mairie de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) a été brûlé dans la nuit et remplacé par un drapeau algérien, a-t-on appris de source policière. Dimanche soir, l'équipe nationale d'Algérie a été battue par la Slovénie, lors de la Coupe du monde de football.

Les faits ont été découverts ce matin à l'ouverture de la mairie, a précisé cette source. Contactée, la mairie a annoncé avoir immédiatement déposé plainte.

La Chancellerie travaille actuellement à
la rédaction d'un décret qui pourrait être publié avant l'été pour punir les outrages au drapeau tricolore. Michèle Alliot-Marie a souhaité que la justice puisse punir les outrages au drapeau tricolore à la suite de la polémique soulevée par la publication d'une photo montrant un homme semblant utiliser l'emblème français comme papier toilette.

Aujourd'hui, outrager publiquement les symboles de la République que sont l'hymne national ou le drapeau tricolore constitue bien un délit, mais uniquement lorsque le méfait est produit « au cours d'une manifestation organisée ou réglementée par les autorités publiques». Le coupable encourt jusqu'à 7.500 euros d'amende et plusieurs mois d'emprisonnement dans certaines circonstances.

À l'avenir, porter atteinte au drapeau français, même en dehors d'une manifestation, pourrait faire l'objet d'une contravention de 5e classe, au même titre par exemple, qu'une partie des violences volontaires (qui ne provoquent pas d'interruption de travail). L'auteur de l'atteinte pourrait risquer une amende allant jusqu'à 3.000 euros en cas de récidive, si le décret ne prévoit pas de spécificité. Les contraventions de 5e classe peuvent également être l'occasion, pour le tribunal de police qui statue, de prononcer des peines complémentaires, comme un stage de ci­toyenneté obligatoire.

mercredi, 12 mai 2010

Revue de presse, aux portes de Caen : Avec sa future mosquée, l’islam régional franchit un cap

506018620.jpg

A Hérouville-Saint-Clair, la future mosquée est toujours en construction

Petit à petit, l’islam bas-normand se structure.

Dans un quartier un peu excentré d’Hérouville-Saint-Clair, entre un lotissement, une route passante et un petit bois, une mosquée sort de terre, lentement, mois après mois. Si les fonds le permettent, en 2011, l’Association islamique et culturelle du Calvados (AICC) inaugurera ce vaste lieu dédié à la religion musulmane, doté d’un minaret de 13 mètres et unique en Basse-Normandie.

25 000 Bas-Normands musulmans

“Actuellement, nous pouvons accueillir près de 600 fidèles dans notre salle de prière”, explique dans son bureau exigu Khalid Mounir, le président du Conseil régional du culte musulman (CRCM) de Basse-Normandie, lié à l’Union des organisations islamiques de France (UOIF). “Lors de la prière, certains doivent se mettre dans les couloirs ou les bureaux pour prier”. La mosquée est plus qu’attendue. Une maquette de cette dernière trône d’ailleurs en bonne place dans la salle de prière actuelle située dans le quartier de la Grande Delle. En dessous, une fente pour glisser de l’argent et un écriteau rappellent aux fidèles l’utilité de leur générosité.

“On avance au rythme des dons”, explique Khalid Mounir. A chaque Ramadan, ce sont ainsi plus de 120 000 € que l’AICC récolte pour continuer la construction d’un ensemble qui va coûter plus de 1,5 million d’euros, “uniquement financé par les fidèles d’Hérouville et du Calvados”.

A l’intérieur, à côté des lieux de prière, on trouvera une bibliothèque et des salles de cours pour enfants, adultes et non-musulmans. Au programme : “théologie et formation à l’islam, mais aussi ouverture sur les autres religions et philosophie”. A l’heure actuelle, 120 enfants de la banlieue caennaise suivent déjà des enseignements auprès de l’AICC.

 

En Basse-Normandie, il s’agira d’une grande première pour une région qui compterait environ 25 000 musulmans dont près de 15 000 dans le Calvados et une grande proportion de jeunes. Au sein de cette communauté, audelà des différentes nationalités qui la composent, on retrouve une vingtaine d’imams et plusieurs salles de prières : une salle turque à Ifs, deux autres à Caen et plusieurs autres de moindre importance dans l’Orne, mais aussi à Cherbourg. Quant aux quelques dizaines de pratiquants musulmans saint-lois, ils ne disposent pas pour l’instant de salle de prière digne de ce nom. “Certains viennent à Hérouville le vendredi pour la prière”.

Dialogue entre les religions

Discrète, la communauté musulmane bas-normande n’hésite pas à pointer du doigt certains signes “d’islamophobie”. En 2009, les ins- criptions nazies découvertes sur certaines tombes de soldats marocains morts pour la France au cimetière militaire de Montjoie- Saint-Martin, ont troublé. “Ces actes représentent avant tout un manque de respect, à la fois contre l’être humain et la France”, estime le président du CRCM. Pour tenter d’apaiser les peurs et les préjugés, les musulmans de la région participent régulièrement, depuis de nombreuses années, à des rencontres interreligieuses. “Nous avons également fait visiter notre mosquée à des non-musulmans, des élèves et des étudiants. Nous désirons qu’elle soit un lieu ouvert, un lieu d’échanges et de rencontres”. Car derrière cette volonté d’ouverture, les musulmans ont le sentiment que “l’islam continue à faire peur” alors que, selon le représentant des musulmans bas-normands, il “n’a pas les mêmes droits que les autres cultes”, citant la présence d’aumôniers dans les prisons ou les hôpitaux.

Malgré ces regrets, l’émergence d’une véritable mosquée prouve que les mentalités changent. Thomas Blachère La future mosquée de l’Association islamique et culturelle du Calvados (AICC) à Hérouville-Saint-Clair est en construction depuis 2006. Si tout se passe comme prévu, elle sera achevée en 2011. Ce sera alors la première mosquée à voir le jour en Basse-Normandie.

Thomas Blachère

La Manche Libre

vendredi, 12 février 2010

Le drame des collabos, c'est qu'ils sont fiers de collaborer...

EDIFIANT :

 

Un prêtre finance la construction de la plus grande mosquée d’Allemagne...

 

Source Zaman France

 

Alors que le vote suisse sur l’interdiction des minarets marquait un signe de rejet identitaire, les manifestations de solidarité interreligieuse tendent à se multiplier en Europe.

 

En Allemagne, deux hommes de confessions différentes ont entrepris de financer la construction de la plus grande mosquée du pays. Un dialogue interreligieux qui va, dans les actes, bien au-delà de l’échange de vœux pieux. Prêtre catholique, le père Franz Meurer habite un quartier défavorisé de Cologne, où vit une importante communauté étrangère, essentiellement musulmane. Récemment, il a lancé au sein de sa paroisse une collecte de fonds pour la construction d’une mosquée, la plus grande d’Allemagne, dans une ville notamment célèbre pour sa cathédrale. Navid Kermani est lui aussi un habitant de Cologne. D’origine iranienne, cet écrivain de talent s’est vu récemment décerner un prix national pour ses efforts visant à promouvoir le dialogue interreligieux. Lors de la cérémonie, l’écrivain a annoncé qu’il ferait don au père Meurer d’une partie des 45 000 € qui lui ont été remis.

 

Fraternité abrahamique

 

L’écrivain partage le Prix allemand de la Culture avec le cardinal Karl Lehmann, Peter Steinacker, ancien chef de l’Eglise luthérienne de la région de Hesse, et Salomon Korn, vice-président du Conseil des juifs allemands. S’adressant au père Meurer, Navid Kemani a déclaré : « Non seulement votre Eglise catholique est tolérante et accepte des musulmans désireux de construire une mosquée […], mais encore vos paroissiens donnent-ils de leur argent pour que des hommes d’une autre foi que la leur puissent eux aussi pratiquer leur religion ». Le jury a voulu récompenser des personnes qui ont œuvré à la promotion de « la coexistence pacifique des trois grandes religions abrahamiques — le christianisme, le judaïsme et l'islam », a souligné le Premier ministre de Hesse, Roland Koch.

 

L’initiative du père Meurer vient rappeler qu’en Europe cette manifestation de solidarité interreligieuse n’est pas un phénomène isolé. Par la voix de leurs dignitaires, les religions abrahamiques semblent se soutenir les unes les autres, unies dans un même but : manifester la présence du religieux dans des sociétés de plus en plus sécularisées. En octobre 2008, l’Eglise écossaise anglicane soutenait officiellement la création de tribunaux islamiques dans le pays. Peu avant le vote suisse, les deux plus importantes organisations juives de Suisse s’étaient déclarées « résolument » opposées à l’interdiction des minarets. Enfin, Mgr Michel Santier, évêque de Créteil, a dénoncé ce 1er février le caractère inique du projet de loi sur la burqa, et mis en garde contre l’adoption de « décisions » qui pourraient « conduire à stigmatiser les croyants musulmans ».

dimanche, 07 février 2010

Sondage sur l'identité des Français...

1245743090.jpg

Source Le Point

Une écrasante majorité de Français (82 %) pensent qu'il existe une "identité nationale française" et 75 % se disent "fiers" d'être Français, selon un sondage TNS Sofres pour le ministère de l'Immigration présenté vendredi. L'enquête reprend les questions posées par le ministère dans le cadre du "grand débat sur l'identité nationale" lancé le 2 novembre par Éric Besson. Elle a été présentée lors d'une conférence de presse par Brice Teinturier, directeur chez TNS Sofres, et par le ministre de l'Immigration.

À la question "existe-t-il à vos yeux une identité française?", 63 % répondent "oui, tout à fait" et 19 % "oui, plutôt". Ils sont 11 % à répondre "non pas vraiment" et 5 % "non pas du tout". 2 % n'ont pas d'opinion. À 48 %, les sondés se déclarent "très fiers" d'être Français", "assez fiers" (27 %), "pas spécialement fiers" (20 %) et "pas fiers du tout" (5 %). Ils sont aussi 39 % à se dire "Français uniquement", 32 % "Français et citoyen de l'Union européenne", 13 % "citoyen du monde", 1 % "citoyen d'un autre pays uniquement".

Des convictions avant tout

Pour 74 %, l'identité française a tendance à "s"affaiblir", et cela à cause de l'immigration (30 %), la perte des valeurs (20 %), la diversité culturelle et ethnique (18 %), la religion (13 %) et des raisons politiques (11 %). S'agissant des acteurs et institutions qui doivent contribuer à valoriser l'identité nationale, l'école arrive largement en tête (80 %), suivie de la famille (61 %). L'histoire (44 %), la culture, la langue et les traditions (38 %), la géographie et les éléments culturels (langue culture) arrivent en priorité de ce qui fait dire aux sondés qu'il existe une identité nationale française.

En se définissant, les Français mettent en avant leurs "convictions" et leurs valeurs (52 %), loin devant la nationalité (43 %), les origines familiales (29 %), la langue (26 %), le rapport à la religion (22 %), ou les origines géographiques (21 %). La langue (94 %), la culture (94 %), la liberté d'expression (93 %), l'histoire de la France, l'égalité entre les hommes et les femmes (83 %) et le système de protection sociale (83 %) sont considérés comme les éléments les plus importants de représentation de la France. Ce sondage a été réalisé du 20 au 26 janvier auprès d'un échantillon de 1.000 personnes.

jeudi, 07 janvier 2010

Les réponses d’Arnaud Raffard de Brienne aux lecteurs de Fdesouche

4205793067_f86a17941b_o.gifUn entretien avec Arnaud Raffard de Brienne sur son dernier livre "La désinformation autour de l'immigration" (Editions Folfer) publié par FDESOUCHE :

Tout d’abord je souhaite remercier les nombreux intervenants de leur intérêt et de leurs nombreuses questions et remarques souvent très pertinentes sur le sujet qui nous intéresse. Il m’était évidemment impossible de répondre à la totalité des questions, mais j’ai essayé, dans la mesure du possible, d’inclure dans mes réponses, des éléments pouvant répondre à une grande partie des questions.

Merci encore à François Desouche pour cette initiative salutaire et pour la liberté d’expression qu’il autorise.

Ne faudrait-il pas édulcorer les propos touchant à l’immigration pour avoir quelque chance de percer le mur du silence et d’accéder aux grands médias ?

Je ne le pense pas pour deux raisons très simples. La première est qu’il n’est plus temps de tergiverser et de tourner autour du pot et c’est d’ailleurs bien la langue de bois qui est l’une des causes majeures de la situation actuelle comme je m’efforce de le démontrer. La situation actuelle revêt une urgence particulière et sur ce point tout au moins, une majorité de nos concitoyens commencent à s’éveiller doucement.

Ensuite l’appareil médiatique et politique, sans parler des élites auto-proclamées, ne s’y trompe pas : ou vous êtes dans le « Système » ou vous n’y êtes pas. Je ne connais pas une seule exception, pas même le cas d’Eric Zemmour, journaliste courageux qui fait un excellent travail mais qui demeure totalement sous contrôle.

Une seule preuve : jamais, je m’y engage ici, jamais il n’appellera à voter pour des hommes et des femmes politiques susceptibles de s’inscrire en rupture avec le système général qui nous a entrainé où nous en sommes. Il critique, conteste, démontre, interviewe, avec talent c’est vrai, mais restera toujours dans le giron d’une classe politique qui nous a amené où nous en sommes. C’est la caution rebelle et la soupape de sécurité du la nomenklatura au pouvoir. Mais, je le répète, avec beaucoup de talent et de courage il énonce de nombreuses vérités. La question n’est pas là.

Non, il n’est pas possible de faire comprendre les choses en ne les nommant pas. Toutes les stratégies d’entrisme n’ont servi qu’à brouiller les pistes sans jamais faire preuve de leur efficacité. Seule la position verticale autorise un espoir de d’amélioration de la situation. D’ailleurs, nous n’en serions évidemment pas là si le terrorisme intellectuel avait été moindre et le courage de nos concitoyens plus affirmé.

Corrélation entre l’avortement et l’immigration ?

Cette corrélation était loin d’être évidente il y à deux ou trois décennies. Quand je l’affirmais à cette époque, mes interlocuteurs posaient bien souvent sur moi un regard condescendant ou, au contraire, démentaient avec virulence un rapprochement qui leur semblait abusif. Aujourd’hui, nier tout lien entre la loi libéralisant l’avortement et l’abaissement démographique de la France et des pays occidentaux de façon générale représente une position difficilement tenable. Et ne pas comprendre qu’un pays à faible démographie devient inéluctablement la destination de populations à fort taux de natalité tournerait à la mauvaise foi.

La nature a horreur du vide, de même que les espaces. Le résultat de la folle utopie de prétendue libération de la femme est là : nos jeunes égéries qui s’époumonaient à scander « notre corps nous appartient » sont aujourd’hui bien souvent devenues d’opulentes quinquagénaires solitaires, vivant dans une société vieillissante dont la jeunesse vient d’ailleurs. Cela c’est la dure réalité et elle ne manque jamais de succéder à l’utopie et aux rêveries douceâtres.

D’ailleurs le camp de l’utopie a encore de belles heures devant lui puisque la situation désastreuse de notre pays, perçue par tous les hommes de bonne volonté, lui échappe encore et il continue à réclamer toujours plus de libéralisation de l’avortement et davantage d’immigration. Ils continueront jusqu’à l’abîme car il ne faut pas perdre de vue que l’utopie est une maladie de l’esprit et n’est aucunement corrélée au QI.

Que faire pour en sortir ? Que faire pour la jeunesse ? Quel avenir pour elle ?

Si j’avais une solution toute faite, je ne me priverai pas de la livrer. La situation est extrêmement difficile mais pas encore perdue. Je me méfie par nature des solutions toutes faites, des « yaka-faukon » et des chefs providentiels ne faisant souvent qu’assouvir un besoin reconnaissance.

Tout n’est que question d’attitude, d’engagement au quotidien, de sincérité et de désintéressement. Il s’agit beaucoup plus d’une attitude et d’une éthique que d’intellectualisme ou de théories plus ou moins vaseuses. Chacun a, chaque jour, la possibilité d’agir à sa manière et à son niveau. Se former et lire me semble, en premier lieu un impératif nécessaire mais non suffisant. C’est toutefois le préalable indispensable à une action tournée vers les autres : créer un blog et l’alimenter régulièrement, discuter, réagir à un article, une émission, interpeller un député par courrier, faire vivre des entreprises et artisans partageant nos convictions, etc. Mille petits gestes de la vie quotidienne auront infiniment plus d’efficacité que de grandes tirades prétentieuses.

Rien de bien spectaculaire, bien sûr, nous ne sommes pas dans la geste héroïque, mais je ne vois pas d’autre possibilité.

Le deuxième point consiste à mettre ses actes en cohérences avec ses pensées. Agir au quotidien en harmonie avec ses valeurs, renoncer aux mirages de la société mercantile et de loisirs pour consacrer une partie de sa vie au bien commun et à l’avenir de ses proches et de son peuple, voilà qui peut donner un sens à des vies parfois perçues comme un peu vaines.

Un peuple dont les meilleurs de ses fils (et filles évidemment) n’auraient pas une demi heure par jour à consacrer à sa défense et à son salut mérite-t-il de survivre ? Voici une question à méditer.

Immigration imposée mais pourquoi ?

L’important est déjà d’être bien au clair avec cette affirmation selon laquelle l’immigration nous a été imposée et c’est le fondement même de mon livre dans lequel je pense apporter un nombre suffisant de preuves. Vocabulaire perverti, lois liberticides, référendums refusés, diabolisation de tout ce qui touche à l’identité… la liste semble interminable de la débauche de moyens mise au service d’une facilitation de l’immigration et d’une répression de sa contestation. L’hypothèse d’une immigration phénomène naturel n’est pas tenable un instant devant l’avalanche de preuves dont nous disposons.

Je démonte tous les arguments du type « on les a fait venir », « ils paieront nos retraites », « ils font le travail que ne veulent pas faire les Français » qui ne sont que de grossiers mensonges destinés à endormir nos concitoyens. Ni vous ni moi ne les ont fait venir. Une petite partie d’entre eux est venue à l’appel d’un patronat sans scrupules qui se payait ainsi un salariat docile et à bas prix. Mais, comme chacun sait, depuis 1974 l’immigration ne se fait plus vraiment au titre du travail. Ils ne paieront pas plus nos retraites pour des raisons que j’explique dans mon livre. Quant au travail que les Français ne voulaient pas faire, l’affirmation est incomplète : ils ont fait le travail que les Français ne voulaient pas faire au salaire de misère qui leur était proposé.

Alors, pourquoi cette immigration imposée ? Tout simplement parce que le multiracialisme est l’un des éléments fondamentaux de la mondialisation dont on sait que, dans l’esprit de ses promoteurs, elle ne pourra s’asseoir que sur les ruines des ordres établis. La dissolution des homogénéités ethniques, l’affadissement des religions, la disparition des frontières et la subversion des cultures et de tous les particularismes sont les étapes indispensables à l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial, consécration ultime de la puissance financières de quelques-uns sur des masses bigarrées, déculturées et agnostiques.

Un ami décédé prématurément, Yann Moncomble, avait publié une série d’ouvrages dans lesquels il décortiquait l’activité des « machins » mondialistes tels que la Trilatérale, Le Concil on Foreign Relations et le Bilderberg pour ne citer que les plus importants. Quand, en 1980, j’avais organisé une conférence pour que cette auteur puisse présenter son livre « La Trilatérale et les secrets du mondialisme », les mots « mondialisation », « mondialisme » ou l’expression « nouvel ordre mondial » ne se retrouvaient dans aucun journal, ni débat, ni dans aucun dictionnaire et quasiment aucun de nos concitoyens ne les avaient jamais entendus.

Aujourd’hui que nous sommes, depuis environ deux décennies dans la phase ouverte du projet mondialiste, ces mots se retrouvent chaque jour dans tous les médias. Les masques sont tombés depuis environ deux décennies et les tenants du mondialisme ont réussi à faire passer leur projet fou comme inéluctable et même bénéfique pour l’ensemble de l’humanité.

Donc à la question « pourquoi une immigration imposée ? », la réponse la plus concise qui soit pourrait être : toute nation homogène sur les plans ethnique, religieux et culturel constitue un obstacle insurmontable à la mise en œuvre d’une supranationalité imposée.

Jean-Marie Le Pen a-t-il été un homme particulièrement clairvoyant ? Sa position sur l’immigration est-elle raciste ?

Tout d’abord, rappelons que le racisme, selon une définition moderne qualifie une idéologie affirmant une hiérarchisation des races. D’année en année les dictionnaires modifient cette définition et la renforcent en rajoutant des notions d’hostilité et de mépris à l’égard de certaines races.

Jean-Marie Le Pen est un homme, qu’on le veuille ou non, qui aura marqué son époque. Est-il raciste ? Je n’en sais rien, mais en tout cas rien de ce qu’il a fait, dit ou écrit ne répond à la définition du racisme. Cette affirmation surprendra ceux qui sont encore, souvent à leur détriment, soumis à la pensée unique véhiculée par les médias mais je demeure persuadé que pas un de nos dirigeants de bon niveau ne pense le contraire en son for intérieur. L’aveu récent de Lionel Jospin est à ce sujet significatif puisqu’il a avoué que la gauche n’a jamais eu réellement peur de Le Pen mais qu’il fallait faire semblant. Je n’ai pas la citation exacte sous la main mais en voilà l’esprit.

N’oublions pas les gigantesques montages politico-médiatiques suite à l’attentat de la rue Copernic et au montage de Carpentras. Au premier rang des cortèges, écharpes tricolores au vent et visages compassés, nos prétendus représentants du peuple devaient sans doute se mordre les joues pour ne pas rire. Ont-ils éprouvé quelques états d’âme certains matins devant le miroir de leur salle de bains ? On souhaiterait y croire.

« L’idéologie du Front National », comme écrivent et disent les journaleux s’appuie essentiellement sur la notion de préférence nationale, notion de bon sens appliquée à peu près partout dans le monde sauf à l’intérieur de nos nations décadentes. Je conseille à ceux qui douteraient de cette affirmation de tenter l’expérience d’essayer d’obtenir logement social, allocations familiales et de santé, scolarisation et revenu minimum en Chine, en Algérie, aux Etats-Unis et dans la plupart des pays du monde. Ceux qui sont vraiment joueurs peuvent même tenter l’aventure en qualité d’immigrant illégal. On leur écrira.

Pourquoi donc si Le Pen n’est pas raciste est-il l’objet, depuis plusieurs décennies sans discontinuer, d’une telle accusation, d’une pareille haine, d’une diffamation constante et d’un traitement aussi discriminatoire ? Tout simplement parce qu’il défend la seule alternative possible au projet mondialiste des dirigeants connus ou occultes. La préférence nationale, la défense prioritaire des siens et de son territoire, qui constituent les principes essentiels à la survie d’un groupe sont à l’opposé de l’utopie mondialiste qui prône la dissolution de l’existant en vue d’un monde nouveau et quel monde ! Entre sa vision et la leur il n’y à pas de quartier car elles sont totalement antinomiques. Tout le reste n’est qu’habillage, faux-semblants, débats truqués et calomnies…

La France deviendra-t-elle inéluctablement africaine, musulmane ?

La démographie est une science reposant sur la statistique. Elle comporte ses marges d’erreur mais ne peut se tromper dans ses grandes tendances. Dans l’état actuel de la législation et du laxisme qui fait que celle-ci n’est même pas appliquée, en tenant compte des indices de fécondité de la population de souche et de celles des populations importées : oui la France deviendra inéluctablement à dominante africaine et de confession musulmane. Rappelons quand même que Nicolas Sarkozy a avoué à Philippe de Villiers « Vous avez les intuitions et nous avons les chiffres. La France deviendra majoritairement musulmane ».

Cela, c’est la prévision mécanique, arithmétique pourrait-on dire et elle est malheureusement incontournable sauf situation de rupture. Comme je l’écris, la rupture ne proviendra vraisemblablement pas du fait des Français de souche mais leur sera peut-être imposée. Les centaines de milliards engloutis depuis tant d’années le sont dans l’espoir de conjurer le pire mais avec bien peu de succès à ce jour.

Dans un chapitre sur le métissage, j’affirme que les incantations permanentes de nos « élites » en faveur du métissage résonnent comme un retentissant aveu d’échec doublé d’une panique devant les prémices d’un avenir pénible. Le message subliminal pourrait se traduire par « Métissez-vous, métissez-vous vite, disparaissez avant que la communautarisation ne produise ses effets ravageurs.

Abdiquons notre identité, nos caractéristiques ethniques, nos différences dans un grand magma indifférencié. Peut-être ainsi la situation deviendra-t-elle moins dangereuse ». Puis, au second degré, cet autre message subliminal : « Métissez-vous car cela fera rapidement disparaître les traces de toutes nos erreurs. Nous nous sommes trompés sur tout : la main-d’œuvre moins chère et ses inconvénients ultérieurs, l’assimilation, l’intégration, le « vivre ensemble »… tout a échoué. Alors faisons disparaître les traces de notre calamiteuse incurie avant de subir la légitime colère des Français dont on commence à percevoir les prémices ».

Enfin, pour réponde à deux des internautes, oui bien sûr que j’ai lu le livre de Guillaume Faye, La colonisation de l’Europe, livre incontournable pour tous ceux de nos compatriotes qui s’interrogent sur leur destin. Guillaume Faye imagine un sursaut des nos concitoyens mais j’avoue personnellement que je ne le suis pas sur ce terrain.

Imaginer qu’un peuple qui a laissé Paris, Marseille, Lyon ou tant d’autres villes devenir ce qu’elles sont devenues puisse un jour se réveiller me semble bien optimiste. Un peuple qui accepte sans broncher de nourrir une immigration pléthorique entrée au titre du regroupement familial alors qu’il peine de plus en plus à élever correctement ses propres enfants et à assumer sa propre vie et son avenir peut-il demain se muer en chantre de l’identité retrouvée et acteur de son destin ? A chacun sa réponse.

Ces considérations à vue humaine n’empêchent en rien la légitime et même nécessaire espérance des croyants.

Y-à-t’il un éventuel lien entre le projet Eurabia décrit par Bat Ye’or et la doctrine immigrationniste ?

Un lien, forcément, mais pas forcément un lien de subordination au sens où l’on pourrait l’entendre. Je ne vois pas la doctrine immigrationniste comme découlant du projet Eurabia mais plutôt l’inverse.

Pour répondre à un certain nombre d’internautes aux questions du type « qui est derrière tout cela ? », « quel intérêt ont-ils à nous précipiter vers le chaos ? » etc., je rappelle la complexité du problème et le nombre important de motivations et causalités imbriquées.

L’idéologie immigrationniste s’étend par cercles concentriques, dans la bonne tradition des idéaux maçonniques. Le premier cercle, celui des initiés œuvrant pour un monde globalisé, mondialisé et métissé sur lequel ils étendront leur pouvoir absolu et totalitaire. C’est le refus de Dieu, la volonté de puissance proprement luciférienne et la négation des principes intangibles de l’ordre naturel et de la condition humaine. Dans ce premier cercle se côtoient financiers internationaux et illuminés.

Puis dans un enchevêtrement de cercles concentriques, nous retrouvons toutes les tonalités de l’utopie, donc de l’erreur, de l’altruisme et de sentiments chrétiens pervertis.

Ces deux grands axes sont soutenus par l’ignorance, la naïveté, de bons sentiments fourvoyés, une méconnaissance des enjeux, la lâcheté aussi, l’arrivisme, le peur de se démarquer, etc. d’une majorité de citoyens. La presse est là pour les formater et leur faire ânonner ce qu’ils doivent ânonner.

Si je voulais résumer à l’extrême, il y à une petite minorité qui sait où elle va et ce qu’elle veut, une majorité de suiveurs qui confortent leur vision du monde pour toutes les raisons évoquées ci-dessus et parmi la minorité lucide, une importante fraction résignée au silence par calcul ou crainte.

Pour revenir à notre sujet, le projet Eurabia s’inscrit dans la deuxième strate des origines de l’idéologie immigrationniste, celle de l’utopie. Eurabia est un moyen limité dans le temps et l’espace d’abaisser la puissance européenne avant que les tenants de la mondialisation ne s’occupent de la puissance arabe. Faisons un parallèle avec le rideau de fer. A quoi a-t-il servi au final ? Je me souviens d’un livre de Guillaume Faye, Le système à tuer les peuples, dans lequel il prédisait que derrière l’imposante Armée rouge et le dramatique danger communiste, bien réel, se dissimulait une puissance autrement redoutable destiné à dissoudre les nations. Ce n’était pas trop mal vu car avec le temps, il me semble que le Coca Cola l’ait emporté sur la vodka…

Ce type de projet intermédiaire se retrouve dans la prise de position des Etats-Unis à l’égard du conflit des Balkans, par exemple. Ces projets intermédiaires ne changent rien au but final.

Connaît-on l’importance de la délinquance immigrée extra-européenne en regard de l’européenne ?

Je me permets de citer un passage de mon livre sur le sujet qui, je l’espère, répondra assez clairement à la question :

« En effet, en 2006, Pascal Clément, alors garde des Sceaux, révélait, à l’occasion d’une conférence de presse que 50% de la population carcérale est de confession musulmane. Ce chiffre effrayant se trouve largement dépassé par les travaux d’une sociologue d’origine iranienne, Farhad Khos Rokhrvar, directrice d’études à l’école des hautes études en sciences sociales (EHES) qui écrivait : « L’ampleur du phénomène a été la grande surprise de mon enquête : les musulmans forment la grande majorité de la population carcérale française. 50 à 80% des détenus dans les établissements proches de grands centres urbains et de quartiers sensibles sont musulmans. »

Rappelons que les musulmans représentent 7 à 8% de la population française. Pour ce qui concerne l’aspect ethnique de la population carcérale, les langues commencent à se délier au point que Sophie de Menton a pu déclarer sur Radio Monte Carlo, qu’il y avait en prison 85% de Noirs et d’Arabes. Pour ce qui est de savoir qui remplira les futurs établissements pénitentiaires, modèles ou non, nous en avons donc finalement une idée assez précise, malgré les silences officiels. » (p. 30-31)

vendredi, 11 décembre 2009

L’UOIF ET L’IDENTITE EUROPEENNE

Source Le nouveau NH Michel Dantan

Le Président de l’UOIF (l’Union des organisations islamique de France) s’est invité par l’intermédiaire du journal Le Monde au débat qui actuellement a lieu sur l’identité française, mais en élargissant son propos à l’Europe. Sous le titre « L’Islam en Europe, un conflit d’identité ? » l’auteur de l’article avec un art consommé du sophisme s’appuye sur le mythe d’Al Andalous pour démontrer que les valeurs de l’Islam, et celles fondatrices de l’Europe ne font qu’un. En fait, sans l’avouer franchement, mais lisible à travers les lignes, c’est à la subversion des secondes par les premières que songe le président de l’UOIF quand il parle de l’avenir de l’Europe.

" Au sujet de la dimension chrétienne de l’Europe, le pape Benoît XVI a déclaré que l’Europe devait mettre en valeur ses racines chrétiennes et renforcer son sentiment d’appartenance à une civilisation commune afin de mieux relever les défis à venir. En ce qui nous concerne, nous, musulmans d’Europe, nous ne devons avoir aucune objection à ce que cet héritage chrétien de l’Europe soit mis en valeur. Mais il n’en demeure pas moins qu’il serait injuste qu’on puisse occulter les huit siècles de présence musulmane dans le sud de l’Europe qui ont grandement contribué à la renaissance de l’Europe. Nous, musulmans d’Europe, devons être fiers de cette identité qui est enrichie par les valeurs universelles de notre religion. Rien dans ces valeurs ne constitue un obstacle à cet épanouissement recherché. Je suis convaincu que l’Europe a besoin de nous, comme elle a besoin de chacun de ses citoyens. Ce besoin n’est pas uniquement de main-d’oeuvre économique, comme ce fut le cas au début des années 1960, mais aussi dans le domaine artistique et culturel. Notre communauté de foi devrait enrichir l’Histoire européenne, comme elle l’avait déjà fait durant plus de huit cents ans, où l’islam et l’Europe se sont épousés à Cordoue, à Séville, et à Grenade. " (extrait de l’article).

Affirmer que les valeurs de l’islam ne sont pas incompatibles avec les valeurs fondatrices de l’identité européenne, mais qu’elles leur seraient complémentaires, voir même porteuses d’un avenir européen commun, telle est donc la thèse que Fouad Alaoui le Président de l’UOIF tente de défendre dans les colonnes du journal le Monde, daté du 4 décembre dernier (1). Pour ce faire, Fouad Alaoui évoque le mythe d’Al Andalous (2), cet âge d’or que les espagnols auraient connus sous l’occupation des dynasties arabo musulmanes Omeyade, Almoravides et Almohades qui de 711 à 1492 se sont succédées sur une grande partie de leur territoire. Si sur le plan des arts, des sciences et de la culture, ces huit siècles se traduisirent par d’incontestables réussites, notamment sur le plan architectural comme à Cordoue, Séville ou Grenade, ou celui encore de l’agriculture avec l’introduction de nouveaux systèmes d’irrigation dans les campagnes andalouses, il n’en demeure pas moins qu’ils sont restés inscrits dans la mémoire collective des espagnols comme autant de siècles de servitude que leurs ancêtres passèrent leur temps à combattre. Ce n’est pas l’Al Andalous que les espagnols célèbrent, mais la Reconquête qui s’achèvera par la chute de Grenade et l’expulsion des morisques un siècle et demi plus tard. La référence à cette période mythifiée de l’Al Andalous qui revient sans cesse dans les discours des prpagandistes musulmans pour démontrer aux non musulmans comment l’Islam s’est révélé capable dans le passé médiéval de l’Espagne de faire prospérer les arts et la culture à partir de ses propres valeurs, montre à contrario leur incapacité à trouver dans l’histoire moderne un quelconque modèle de régime islamique qui soit un tant soit peu présentable au regard des standards qui permettent de juger du caractère civilisé et démocratique d’un état. Le Président de l’UOIF a donc bon jeu de convoquer l’histoire d’Al Andalous en la présentant pour les besoins de la cause comme ayant été celle de huit siècles d’harmonie entre les trois religions, ce qu’en vérité la réalité a toujouirs démentie, dés lors que le statut des chrétiens était celui de dhimmis soumis aux normes juridiques et religieuses du conquérant. Mais personne n’ira y voir de plus prés, surtout pas les progressistes de tout poils, près à prendre pour argent comptant n’importe quel truisme révisionniste, pourvu qu’il contribue à faire table rase du passé chrétien de l’Europe. Le mariage dont parle l’auteur dans son article, fut en fait celui d’un long divorce qui dura huit siècles, ceux d’une guerre interminable entre deux civilisations irréconciliables.

(1) Voir l’article 

(2) Al Andalous désigne l’ensemble des territoires ibériques soumis à la domination musulmane.

lundi, 30 novembre 2009

France : la presse collaborationniste s'en donne à coeur joie...

 De beaux exemples de soumission à l'islamisation de la part de la presse aux ordres... les JT de 13 h 00 (TF1 et France 2) du 30 novembre 2009

Source Yanndarc

samedi, 14 novembre 2009

Rien n'est perdu lorsque l'extrême droite prend l'affaire en main...

Revue de presse :

 

Les autorités autrichiennes veulent combattre l'"abus"du droit d'asile

 

Source LE MONDE - 13 11 2009

 

Arigona Zogaj s'est vu refuser l'asile en Autriche. Jeudi 12 novembre, la jeune Kosovare, âgée de 17 ans, a appris qu'elle serait expulsée du territoire autrichien, où elle est arrivée en 2002, et devra regagner son pays d'origine en compagnie de sa mère et de deux de ses frères et soeurs.

 

Un mois après l'adoption, par le Parlement autrichien, d'une loi plus restrictive sur le droit d'asile, le "cas Zogaj" (prononcez Tzogaï) est un exemple. Pour la droite et l'extrême droite, il faut dissuader les abus commis par des étrangers qui cherchent à s'installer dans un pays prospère, en se faisant passer pour des réfugiés persécutés. Aux yeux de la gauche, des Verts et d'une partie de l'église catholique, cette affaire pâtit du climat xénophobe qui s'est renforcé depuis quinze ans en Autriche, sous la pression constante des forces d'extrême droite et de leurs relais dans la presse populaire.

 

C'est en lisant l'influent tabloïd Kronen Zeitung, qui en avait eu la primeur, que l'avocat de la famille Zogaj a été informé du verdict, dont il veut faire appel. Le chef du Parti de la liberté (FPÖ), Heinz-Christian Strache, principal leader de l'extrême droite, a aussitôt mis au défi la ministre de l'intérieur Maria Fekter, du parti conservateur ÖVP : "Maintenant, il faut être conséquent et procéder à l'expulsion", a-t-il lancé.

 

"Nous y croirons lorsque les Zogaj seront vraiment expulsés au-delà de l'espace Schengen", a renchéri son rival Martin Struz, secrétaire général de l'Alliance pour l'avenir de l'Autriche (BZÖ), la formation dissidente du FPÖ fondée en 2005 par le défunt Jörg Haider. Mme Fekter elle-même avait déjà signalé, en janvier 2009, qu'elle appliquerait la loi sans se laisser attendrir par "les yeux de biche" d'Arigona.

 

Propagande d'extrême droite

 

Comme sa mère, la jeune fille a plusieurs fois menacé de se suicider pour échapper à l'expulsion. Son père et ses deux frères aînés sont retournés contre leur gré au Kosovo, tandis que les deux plus jeunes enfants de la fratrie, avaient été autorisés à revenir provisoirement auprès de leur mère. "C'est une catastrophe humaine", soupire Josef Friedl, un prêtre catholique de Haute-Autriche qui avait accepté de cacher pendant des semaines Arigona, à l'automne 2007, et continue de soutenir financièrement la famille.

 

Mais le curé se plaint de lutter à contre-courant : "On a malheureusement réussi à créer une mentalité qui cherche des boucs-émissaires. C'est devenu plus brutal et plus dur", confie-t-il au quotidien libéral Der Standard. Les Zogaj ont perdu le capital de sympathie dont ils bénéficiaient il y a deux ans, lorsque la commune de Haute-Autriche où réside Arigona appuyait à l'unanimité ses démarches.

 

Les péripéties de ce feuilleton ont lassé l'opinion, travaillée par la propagande du FPÖ, qui a fait de la surveillance des étrangers son thème porteur et sait exploiter les statistiques de la police : les non-Autrichiens sont 10,3 % de la population, mais 27 % des personnes soupçonnées de délit en 2008.

 

"L'ÖVP assume la même posture, et la social-démocratie (qui gouverne avec la droite) est comme le lapin devant le serpent, terrifiée de perdre des voix", déclare au Monde la députée Alev Korun, chargée de l'intégration chez les Verts. Mais ces derniers ne recueillent guère que 10 % des intentions de vote, contre 26 % pour l'ensemble de l'extrême droite. 26 % est aussi la proportion d'Autrichiens, selon une étude de l'université d'Innsbruck, qui peuvent être qualifiés de "xénophobes".

 

Joëlle Stolz

vendredi, 25 septembre 2009

Boulogne-Billancourt : l'Arabie saoudite au secours de la mosquée.

renault_billancourt_2.jpgLes musulmans de Boulogne peinent à financer leur projet de mosquée. Un coup de pouce de l’Arabie saoudite pourrait débloquer la situation.

 

Source Le Parisien

Jérôme Bernatas | 19.09.2009, 07h00

 

Depuis le début de l’été, les ouvriers s’affairent sur la friche située à l’angle des rues Yves-Kermen et du Vieux-Pont-de-Sèvres. Ils ne se consacrent pas encore au chantier de la future mosquée, mais creusent les fondations et les parkings de l’ensemble de bureaux voisin. « J’avais approuvé un projet d’immeuble pour accueillir la communauté musulmane quand j’étais maire, rappelle Jean-Pierre Fourcade, sénateur (UMP), aujourd’hui dans l’opposition municipale.

 

Le principe, c’est que la commune met à disposition le terrain contre un loyer symbolique. Reste le problème du financement. »

« L’ambassadeur à Paris a reçu une demande de subvention qu’il observe avec intérêt »

Et en la matière, comme souvent, le projet piétine. Le bâtiment cinq étages sur 700 m 2 est chiffré à 4,5 millions d’euros. Pour l’instant, les fidèles qui arpentent inlassablement les marchés boulonnais depuis plus de deux ans ont récolté environ un million d’euros. Mais une manne venue de l’étranger, du gouvernement d’Arabie saoudite plus précisément, pourrait bien débloquer la situation. « L’ambassadeur à Paris a reçu une demande de subvention qu’il observe avec intérêt », assure un proche du dossier. Abdesselem Mabrouk, président du centre culturel et cultuel mahométan de Boulogne-Billancourt, ne souhaite pas confirmer. « Nous sollicitons de l’aide auprès des mosquées du monde entier, d’Arabie saoudite, de Tunisie… élude-t-il. Et quand quelqu’un nous donne de l’argent, on ne lui demande pas dans quel pays il habite. » La perspective que les responsables musulmans souhaitent généralement écarter, c’est que les Etats étrangers signant un chèque envoient ensuite leurs imams prêcher selon leurs règles.

 

En tout cas, et même si Abdesselem Mabrouk se veut rassurant sur les délais, le temps commence à presser pour réaliser cet édifice religieux. Les grues ne se trouvent plus qu’à quelques dizaines de mètres du hangar prêté par Renault, dans lequel se réunissent les musulmans depuis 2004. « Nous avons mis ce local à la disposition de la ville à titre provisoire », rappelle la marque au losange.

 

L’avancée des aménagements sur le Trapèze impose de trouver rapidement une issue. « Il est indispensable que ces gens aient un lieu de culte et qu’on sorte de cette solution temporaire de relogement », martèle Pierre Gaborit, ancien conseiller municipal (PS). Le maire (UMP), Pierre-Christophe Baguet, n’a pu être joint hier à ce sujet. « Il est regrettable qu’il ait fallu attendre les intérêts d’opérations immobilières pour qu’on se préoccupe d’un lieu cultuel et culturel digne de ce nom pour des personnes qui ont largement contribué à l’histoire de Billancourt et de l’industrie automobile française », se désole Sylvain Canet, du MoDem.

mercredi, 26 août 2009

LE GRAND RENDEZ-VOUS NATIONAL ET IDENTITAIRE DE L'AUTOMNE...

DSCF1907.jpg

 

LA 3ème JOURNEE DE SYNTHESE NATIONALE

 

Mercredi 11 novembre 2009, de 14 h 00 à 18 h 30, à Paris (Forum de Grenelle - 5, rue de la Croix Nivert 75015 - métro Cambronne), se déroulera la 3ème journée nationale et identitaire organisée à l'occasion du 3ème anniversaire de la revue Synthèse nationale.

Ont déjà annoncé leur participation à cette journée :

- Gabriel Adinolfi, écrivain et journaliste (Rome)
- Francis Bergeron, écrivain
- Hilde De Lobel, représentante du Vlaams belang (Anvers)
- Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
- Carl Lang, Président du Parti de la France
- Annick Martin, secrétaire générale du MNR
- Philippe Randa, écrivain et éditeur
- Jean-Claude Rolinat, écrivain et journaliste
- Robert Spieler, délégué général de la NDP
- Nicolas Tandler, écrivain et journaliste
- Pierre Vial, président de Terre et Peuple.

Les collaborateurs de la revue seront présents...

De nombreux stands de librairies, associations, mouvements, blogs sont prévus.

PAF : 10,00 euros.

Nous vous donnerons régulièrement des informations sur la préparation de cette journée.

Retenez cette date, venez nombreux...

Renseignements : synthesenationale@club-internet.fr

vendredi, 03 juillet 2009

L’Iran, la France, la démocratie et l’ennemi principal...

Robert Spieler 4.jpgpar Robert Spieler

Délégué général de la

Nouvelle Droite Populaire

 

Il paraît que les résultats des élections iraniennes ont été truqués au profit d’Ahmadinejab. C’est tout à fait probable, même si les manifestations de la jeunesse évoluée de Téhéran en faveur de son rival Moussavi ne traduisent sans doute pas les inclinaisons de l’Iran rural qui reste largement archaïque et ultra conservateur.

 

La position politique ou émotionnelle de l’Europe, qui soutient Moussavi, est tout simplement absurde. Obama l’a très justement relevé. Il n’existe en réalité guère de différence, en politique étrangère, entre les deux hommes, issus des mêmes terreaux islamistes, Moussavi ayant été le bras droit de Khomeiny durant de longues années. Peut-être éviterait-il certaines provocations verbales de son adversaire, mais pour le reste, c’est blanc bonnet et bonnet blanc…

 

L’Iran est il l’ennemi de l’Europe ?

 

L’Iran est un grand pays, issu d’une grande civilisation. Son malheur est qu’il fut conquis par l’islam. Ceci dit, l’Iran ne menace pas l’Europe, contrairement à la Turquie dont la prétention à vouloir intégrer l’Union Européenne serait mortelle pour nous.

 

L’Iran veut acquérir les attributs d’une grande puissance, dont l’arme nucléaire, destinée par définition à n’être jamais utilisée. Et alors ? Que les Etats-Unis, la France ou Israël, qui disposent de l’arme, s’autorisent à vouloir empêcher un pays majeur de l’acquérir, procède d’une arrogance certaine. L’Iran est sans doute l’ennemi des Etats-Unis et d’Israël, mais certainement pas l’ennemi principal de l’Europe.

 

L’ennemi principal de l’Europe.

 

S’il fallait désigner des pays réellement dangereux, par leur instabilité ou la folie de leurs dirigeants, il conviendrait de citer le Pakistan et la Corée du Nord, qui disposent tous deux de l’arme atomique. Encore que… S’il venait à Kim-Jong-Il l’aimable fantaisie de vouloir envoyer un missile nucléaire en direction du Japon, celui-ci serait probablement intercepté et la Corée du Nord vitrifiée. Le Pakistan représente un danger d’une nature différente. Il est très improbable, si les islamistes en prenaient le contrôle, qu’ils puissent se servir de l’arme atomique. Il semble, en effet, selon certaines sources, que Washington disposerait des clés permettant de verrouiller le dispositif atomique du Pakistan. Ceci dit, la fabrication de bombes dites « sales », c'est-à-dire de bombes classiques diffusant des matières radioactives pourrait être à la portée de terroristes islamistes disposant des ressources d’un Etat nucléarisé.

 

S’il me fallait désigner l’ennemi principal de la France et de l’Europe, pour reprendre le concept développé par Carl Schmitt et Julien Freund, je citerais sans hésiter la Turquie.

 

Sa volonté, encouragée par les Américains, d’intégrer l’Union Européenne, procède d’une redoutable et sournoise entreprise de conquête que les Turcs n’ont pu mener à terme au XVIIème siècle, grâce à l’héroïsme des combattants européens devant Vienne. Ce qu’ils n’ont pu réussir hier, ils le peuvent aujourd’hui, grâce à  l’appui de la honteuse clique de collabos qui dirige l’Europe.

 

La bombe démographique conquérante de la Turquie est infiniment plus dangereuse pour l’Europe que la bombe atomique iranienne…

 

A propos de la démocratie en France

 

L’Iran n’est certes pas une démocratie modèle. Mais ceux qui s’autorisent, en France, de donner des leçons de démocratie au monde entier le font avec une impudeur et une arrogance insupportables. Voilà un système qui interdit la représentation de 40% des Français, qui met en place des modes de scrutins qui varient au gré des intérêts de la coterie de gauche et de droite qui se partage le pouvoir, en charcutant allègrement les circonscriptions ou les cantons, si nécessaire. Un système qui ne sollicite pas l’avis du Peuple ou qui n’en tient pas compte les rares fois où il est consulté. Un système qui refuse d’organiser des référendums sur des sujets capitaux, tels l’immigration ou l’intégration de la Turquie. Et qui s’étonne que le Peuple, sollicité par référendum sur un sujet sans intérêt, ne réponde pas à la question posée, mais dise non à cette parodie de démocratie, en sanctionnant ceux qui l’ont organisée.

 

La République Française est décidément une république bananière où des élites se reproduisant par clonage disposent de tous les pouvoirs, politiques, judiciaires et médiatiques.

Une république bananière et donneuse de leçons…

 

Pas de collaboration avec le Système ! Rassemblement et résistance !

 

dimanche, 07 juin 2009

“Je suis totalement d’accord avec le discours du président Obama, y compris sur la question du voile”, a expliqué le président Sarkozy, samedi 6 juin à Caen.

burqa5-150x150.jpgSource ALTERMEDIA

“Je suis totalement d’accord avec le discours du président Obama, y compris sur la question du voile”, a expliqué le président Sarkozy, samedi 6 juin à Caen.

Dans un discours sur l’islam prononcé au Caire deux jours plus tôt, M. Obama, se prenant pour leur chef, avait dit qu’ “il importe que les pays occidentaux évitent d’empêcher les musulmans de pratiquer leur religion comme ils le souhaitent, par exemple en dictant ce qu’une musulmane devrait porter”.

Plus obamaniaque que lui tu meurs !

M. Sarkozy s’est en outre vanté d’avoir beaucoup fait lorsqu’il était ministre de l’intérieur “pour que les musulmans puissent vivre leur foi comme n’importe quelle religion”. Or en l’espèce chacun mesure que le port du voile n’est pas le signe d’un pratique pieuse mais un signe de conquête politique. Il est pour les occidentaux le signe d’un statut inférieur de la femme ce qui est inacceptable.

Sarkozy légitime le voile dans les entreprise ou même le port de la burqa

L’entourage de Nicolas Sarkozy conscient que cette déclaration irresponsable du Président de la République ouvre la voie à m’importe quoi (comme par exemple le voile dans les entreprises, la burqa, le burqini et autres farfeluteries vestimentaires dans les lieux publics ), a tenu à préciser immédiatement : “Il est bien évident que le président de la République n’est pas pour le port du voile à l’école. C’est ce qu’impose la loi.”

Une déclaration identicide

Avec les mosquées qui se construisent tous les jours avec de l’argent public, avec la discrimination islamophile qui se met en place, cette déclaration prouve la direction identicide que nous invite à emprunter Sarkozy.

dimanche, 03 mai 2009

Revue de presse : LA NAISSANCE D’UNE NOUVELLE DROITE ?

510557488.jpg

SOURCE : LE NOUVEAU NH

Pour 1er mai, Jean-Marie Le Pen a renoué avec le discours que tenait le Front national dans les années 90. Il a martelé la préférence nationale « totale, intégrale, maximale », Il a également réclamé « une réforme souhaitable et nécessaire, celle du code de la nationalité, pour supprimer l’acquisition automatique de la nationalité, donc supprimer le droit du sol, pour refuser toute naturalisation qui ne soit pas assortie d’un abandon de la nationalité d’origine ».Il a aussi accusé, Sarkozy « d’avoir choisi des hommes de gauche pour mener une politique de gauche, mondialiste et xénophile ».

Un retour aux sources pour certains, la preuve que le Front national n’a pas changé pour les autres. Face à la crise et son cortège de « mauvaises nouvelles », à un mois des élections Européennes, le président du FN a fait un discours de circonstance. Il ne pouvait pas faire moins, si le FN espère reprendre la main et récupérer ses électeurs.

Bien qu’il fasse semblant de ne pas s’émouvoir plus que cela, de l’opposition qui s’est développée à l’occasion des élections présidentielles de 2007, (Valmy, la dalle d’Argenteuil, l’affiche avec la beurette, la " confiscation " de la succession) , le Front national a perdu le leadership, qu’il détenait sur la Droite nationale depuis trois décennies. Nombres de formations politiques jusque-là confinées dans l’ombre du FN ont profité de son changement de stratégie pour s’affranchir de sa tutelle et oser proposer une recomposition, pour une droite nationale, sociale, populaire et sans Le Pen...

Une nouvelle "Euro droite" ?

La recomposition de cette droite pourrait se faire autour d’un combat, dont Jean-Marie Le Pen, pourtant connu pour son " flair politique ", n’a pas fait mention lors de son discours : l’islamisation de l’Europe.

Alors que partout en Europe on assiste à la progression des forces politiques qui veulent une Europe européenne, et dénoncent les exigences des associations musulmanes, le Front national a " choisi " de faire l’impasse sur le sujet, se contentant de marquer son opposition à l’entrée de la Turquie dans l’UE.

Un " front " européen est en train de se constituer sous l’impulsion du porte-parole du Vlaams belang, Filip Dewinter. Le 9 mai prochain doit se dérouler à Cologne, à l’initiative des Allemands du comité Pro Köln, une grande mobilisation pour dire non à la construction de ce qui doit être la plus grande mosquée d’Europe. Cette initiative est soutenue par la plupart des mouvements identitaires européens.

Le FPOë autrichien, la Ligue du Nord italienne, le Vlaams belang, mais aussi des Espagnols et des Anglais, la France sera représentée par Annick Martin, Robert Spieler et Carl Lang, qui doivent conduire une délégation d’élus et de militants du MNR, de la NDP et du PdF.

Ce refus de l’islamisation de l’Europe, d’où le Front national semble être absent, pourrait bien se révéler être, dans les mois et les années à venir, le combat fédérateur d’une nouvelle droite .

 

mardi, 14 avril 2009

VIP au Bourget : Tareq Oubrou, Dieudonné et Alain Soral au congrès de l’UOIF

ramadandieudosoral.jpgLE BOURGET (NOVOpress) - L’humoriste Dieudonné et Alain Soral, président d’Egalité & Réconciliation et conseiller de Jean-Marie Le Pen durant la dernière campagne présidentielle, ont été les véritables vedettes du congrès de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) qui s’est tenu le week-end dernier au Bourget (Seine-Saint-Denis). L’occasion pour eux de discuter avec l’islamiste Tariq Ramadan (à gauche sur la photo).

L’hebdomadaire Minute révèle par ailleurs dans sa prochaine édition du 15 avril qu’Alain Soral et Tareq Oubrou se sont entretenus dans le salon des VIP avant leur prochaine rencontre qui aura lieu à Bordeaux le samedi 18 avril.

Contacté lundi soir par Novopress, Bruno Larebière, président du Collectif contre la Grande Mosquée de Bordeaux, déclare : « cela confirme que la personnalité doucereuse que Tareq Oubrou affiche à Bordeaux n’est que de façade ».

« Dieudonné et Alain Soral étaient au Bourget en tant que leaders d’une liste “antisioniste“ aux élections européennes en Ile-de-France. C’est à ce titre qu’ils ont été invités, à ce titre qu’ils ont été encouragés, est-ce à ce titre que l’imam Oubrou, qui prétend vouloir faire un “islam de France“, leur apporte son soutien ? » s’interroge M. Larebière qui poursuit : « Si Tareq Oubrou veut importer à Bordeaux le conflit proche-oriental, qui ne nous concerne en rien et ne peut que semer le trouble dans notre ville, qu’il ait au moins le courage de le dire. Il est décidément temps que la municipalité bordelaise rompe tout contact et cesse tout projet avec lui. »

vendredi, 10 avril 2009

SYNTHESE NATIONALE N°13 (mars-avril 2009) EST SORTI !

1-Couv_SN_13[1].JPG

 

Au sommaire de ce numéro 13 :

 

La résistance sera européenne ou ne sera pas… l’éditorial de Roland Hélie

Pour en finir avec les poncifs sur l’immigration… Philippe Randa

Les Grandes écoles jouent la diversité… Arnaud Raffard de Brienne

Cologne : Pro Köln s’oppose à la construction de la mosquée… Lionel Baland

Proche Orient : la partition comme solution… Jean-Claude Rolinat

Oncle Sam est dans le comas… Pieter Kerstens

Nathalie Artaud du nouveau à LO… Patrick Parment

Petit mémento à l’usage de ceux qui veulent être élus ou réélus… Robert Spieler

Une rencontre avec Gabriele Adinolfi, un des fondateurs de Terza posizione

L’incroyable confession négative de Richard Millet… Francis Bergeron

Et de nombreux autres articles, débats, rubriques et annonces…

 

120 pages, 12,00 Euros

 

Synthèse nationale est en vente à la Librairie Primatice 10, rue Primatice Paris XIIIème (métro Place d’Italie)

 

Avez-vous pensé à vous abonner ?

 

Abonnez-vous à la revue politique, culturelle, nationale et identitaire. Bulletin d’abonnement.

mercredi, 25 février 2009

Revue de presse : Une école musulmane en projet à Chelles...

Source : Le Parisien

422577_2_150x113.jpgLes responsables de la mosquée recherchent encore le site et les financements. Mais l’idée d’installer un établissement scolaire musulman dans la ville fait son chemin.

De réunions d’information en appels aux dons, le projet de créer à Chelles un groupe scolaire privé musulman commence à s’ébruiter en Seine-et-Marne et dans tout l’Est francilien. Depuis novembre, les responsables de la mosquée courent les marchés et les salles de prière pour exposer leur plan : construire ex nihilo un établissement abritant des classes de primaire, de collège et de lycée, ouvert à tous mais dispensant aussi des cours traditionnels sur les valeurs de l’islam.

« Il s’agit de construire une école du même type que celles qui existent, en nombre et avec succès, chez les catholiques, note Edouard Le Breton, l’avocat de la mosquée. L’ambition est que ce groupe scolaire soit, à terme, complet et sous contrat avec l’Education nationale. »

Encore embryonnaire, le concept séduit bien au-delà des frontières chelloises. « Nous avons reçu des réponses par milliers, avec des dons très variables, de l’euro symbolique à 5 000 €, indique Driss Ghinimi, le président de l’association gestionnaire de la mosquée. Des couples encore non mariés nous appellent même pour pré-inscrire leurs futurs enfants ! » Sur Internet, les forums de discussion sont truffés de commentaires : « Il nous faut des écoles musulmanes, lit-on sur Islamoncoeur. Sinon, à l’école soi-disant laïque, on rabâche les fêtes chrétiennes, Noël, Pâques… Ensuite, les enfants ne comprennent plus rien à la maison ! »

« Des couples encore non mariés nous appellent même pour pré-inscrire leurs futurs enfants ! »

Pour l’heure, la mosquée de Chelles, elle-même à peine achevée, n’en est qu’au stade de la recherche de financements… et d’un site. « Nous avons deux possibilités de terrains, l’un public, l’autre privé, note, laconique, Driss Ghinimi. Rien n’est encore abouti. » Selon Jean-Paul Planchou, le maire (PS) de Chelles, « deux rendez-vous » ont été organisés depuis un an avec les représentants musulmans. « Il s’agit d’un projet privé sur lequel la municipalité n’a pas à se prononcer », indique l’édile, soulignant que la prospection concerne « l’ensemble du territoire de la communauté d’agglomération Marne et Chantereine ». Un terrain proche de la route de Claye, à la sortie de Chelles, semble recueillir la préférence des responsables.

Quant à la date d’inauguration de ce groupe scolaire, le mystère plane encore. « Idéalement, nous voudrions ouvrir demain, sourit le président. Mais il reste trop d’incertitudes pour avancer une date. »

A plus court terme, la mosquée pourrait créer, prochainement, des classes de maternelles dans un bâtiment proche du lieu de culte, voire dans les pièces attenantes à la salle de prière.

 

mercredi, 11 février 2009

Diversité xénophile au Parti socialiste...

diversite2-150x150.jpgAltermedia - Dix jeunes socialistes appartenant “à des générations qui ont grandi dans la diversité” ont appelé le PS à “ montrer un nouveau visage ” aux élections européennes de juin à travers “ le soutien à des candidatures différentes, transparentes, inédites ”.

Dans un communiqué, ces responsables ou militants rappellent les critères internes de désignation fixés par la première secrétaire du PS Martine Aubry pour les Européennes de juin, “renouvellement”, “diversité” et “non-cumul des mandats”, et invitent le PS à concrétiser “enfin cette impulsion”.

“Nous sommes pour une diversité qui soit issue du terrain et du militantisme, non du fait du prince et des effets de cour”, affirment-ils.

Pour eux, qui appartiennent à “des générations qui ont grandi dans la diversité”, “le concept même de génération +black-blanc-beur+ n’a plus de sens tant le métissage est partie intégrante de notre culture”.

“Faire la place à cette génération dans les instances politiques, c’est automatiquement accepter cette France du réel”, jugent-ils.

Les signataires comptent notamment plusieurs membres de conseils fédéraux: Nicolas Cadène (Gard), El Guerrab M’jid (Cantal), Anthony Pitalier (Dordogne), Kamel Chibli (Ariège), Mustapha Mousalli (Cher) et Akli Mellouli (Val-de-Marne), également au Conseil national.

vendredi, 16 janvier 2009

Revue de presse : Des musulmans refusent de combattre...

images.jpgSource : Le Figaro

 

Plusieurs soldats musulmans ont refusé de combattre en Afghanistan, invoquant leur confession, selon des informations du blog de Libération  "Secret défense", confirmées par l'armée de terre.


Il s'agit de jeunes musulmans qui ne voulaient pas aller combattre d'autres musulmans en Afghanistan, écrit le journaliste de Libération Jean-Dominique Merchet sur son blog. "Le refus de partir en mission pour raisons confessionnelles est un micro-phénomène qui concerne moins de cinq cas par an", a dit le colonel Benoît Royal, chef du Service d'information et de relations publiques de l'armée de terre (SIRPA-Terre), interrogé par l'AFP.


Il traduit selon lui, "au-delà de la raison invoquée par les soldats, une erreur de compréhension du sens de leur engagement qui consiste à porter les armes de la France pour défendre ses intérêts et ses valeurs en tous temps et en tous lieux". Toujours selon le colonel Royal, "une procédure disciplinaire est systématiquement engagée en cas de refus de partir en opération, aboutissant dans la plupart des cas à une résiliation de contrat".


Le blog de Libération précise qu'un cas a été signalé en dernier lieu en octobre au 1er régiment d'infanterie de Sarrebourg (Moselle). Le soldat est toutefois revenu sur sa décision après avoir rencontré un aumônier musulman des armées.

Tombé malade alors qu'il devait partir au stage de préparation, le soldat ne sera toutefois par envoyé en Afghanistan comme prévu le mois prochain, information également confirmée par le colonel Royal.


Le nombre de militaires français de confession musulmane est inconnu, rappelle "Secret Défense", la loi française interdisant toute comptabilisation de la religion.

jeudi, 27 novembre 2008

Filip Dewinter interrogé lors de la 2ème journée de Synthèse nationale :

Filip Dewinter interrogé par le site lyonnais Yanndarc lors la 2ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale

La 2ème journée nationale et identitaire : UN NOUVEAU SUCCES POUR SYNTHESE NATIONALE !

anniversaire synthèse 2 136.jpg

 

Malgré la neige, les grèves à la SNCF, et surtout malgré la crise de confiance qui sévit actuellement au sein de notre famille politique, la 2ème journée nationale et identitaire organisée dimanche à Paris a été une belle réussite pour notre association et pour notre revue.

 

Près de 400 personnes sont passées tout au long de la journée. Elles purent visiter les stands (Flash, Terre et Peuple, Terres celtiques, Cercle Franco-hispanique, Editions du Lore, Diffusia, France Résistance, Fier de l’être, la NDP, différents mouvements nationaux, Primatice et plusieurs librairies nationalistes et anti-conformistes…) et rencontrer l’ensemble des intervenants et collaborateurs présents (Patrick Parment, Arnaud Raffard de Brienne, Anne Kling, Jean-Claude Rolinat, Nicolas Tandler, Lionel Baland, Philippe Randa, Pieter Kerstens…) de Synthèse nationale. Les trois tables rondes qui se sont succédées, pour lesquelles chacun s'accordait à reconnaître la remarquable qualité des interventions, et les discours des responsables politiques européens, tels Utta Schrembs (Pro Deutschland) et, bien sûr, Filip Dewinter, député d’Anvers et porte-parole du Vlaams belang, ont suscité l’enthousiasme des participants.

 

Il en fut de même lorsque Pierre Descaves, ancien député et conseiller régional de Picardie, lut, au début de son intervention, le message d’amitié que nous a adressé Carl Lang. Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, fut aussi longuement applaudi lorsqu’il appela à l’unité de la résistance face à l’invasion et contre les nouveaux collabos de cette invasion. Robert Spieler nous fit part aussi du message de Pierre Vial, qui ne pouvait être des nôtres en raison d'un déplacement à l'étranger.

 

Notons aussi les brillantes interventions d’André Gandillon, rédacteur en chef de Militant, de Maître Frédéric Pichon, Président d’Europae gentes, et de Laurent Leclerc, responsable de Dreux identité française, que nous remercions pour leurs contributions à la réussite des tables rondes.

 

Il revenait à Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, de conclure cette journée en appelant les militants présents à se préparer aux combats de demain :  « L’heure viendra vite où nous devrons procéder au réveil des forces vives du mouvement national. Bientôt, le vent soufflera à nouveau dans les voiles et nous devrons être prêts. Nous devrons redresser nos bannières, que celles-ci soient frappées de la croix celtique ou du trident, du marteau de Thor ou du Sacré-Cœur, de la flamme tricolore ou de la feuille de chêne, peu importe, nous devrons nous retrouver tous pour le grand combat qui commencera pour imposer cette belle idée de l’Europe de la puissance, une Europe de la puissance respectueuse des nations et des peuples qui la composent, une Europe de la puissance seule capable de nous redonner notre fierté, notre liberté et notre grandeur ».

 

Merci à tous les volontaires (les hôtesses au stand d'abonnements, le bar et  la restauration - qui remportèrent un vif succès -, le service d'ordre, la sono, l'accueil...) qui ont contribué à la bonne réussite de cette journée. Très rapidement, nous publierons les photos et les films réalisés à cette occasion. 

lundi, 17 novembre 2008

Synthèse nationale n°11 (novembre décembre 2008) sortira mercredi...

1-Couv_SN_11.JPG

 

Au sommaire :

 

Redressons nos bannières !

Éditorial de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Un dossier sur la crise…

Avec des articles de Patrick Parment et Pieter Kerstens

Les élections américaines

Un article d’Éric Lhuilier et une tribune de Anne Kling

Le système Sarko

passé au crible par François Ferrier

Quelle Europe ?

Américaine ? Européenne ? par Robert Spieler

Joerg Haider, un mythe est né

Le reportage de Lionel Baland

la révolution d’octobre …

A propos de son 90éme anniversaire par Jean-Claude Pérez

Québec, une mémoire identitaire

récupérée par la gauche par Jean-Claude Rolinat

Le droit musulman

Le voile et le droit judiciaire par Elise Eliesseievna

Un hommage à Jean-Pierre Stirbois

20 ans après sa disparition, par Francis Bergeron

 

Des articles de Nicolas Tandler, Pierre Legrand, Nicolas Bonal, Philippe Randa…

La revue des blogs…

 

Synthèse nationale n°11 sera en vente, dimanche prochain, 23 novembre, au Forum de Grenelle (5, rue de la Croix Nivert 75015 Paris) à la 2ème journée nationale et identitaire...

120 pages, 12,00 €

SN n°11 nov déc 2008 tract.pdf

lundi, 06 octobre 2008

AVEZ-VOUS PENSE A VOUS ABONNER A LA REVUE SYNTHESE NATIONALE ?

1-Couv_SN_10[1].JPG

Synthèse nationale n°10

Septembre-octobre 2008

 LA FIN DU NOUVEL ORDRE MONDIAL ? Editorial de Roland Hélie

OSSETIE : CONFLIT EXEMPLAIRE Patrick Parment

POUR UNE ARMEE AUTHENTIQUEMENT POPULAIRE Ulric Hellier

ALEXANDRE SOLJENITSYNE ET NOUS Nicolas Tandler

LES SOUCIS DE L'ONCLE SAM Pieter Kerstens

AUTRICHE : LES NATIONALISTES SONT DE RETOUR Lionel Baland

LE DERNIER BELGE EST PRIE D'ETEINDRE LA LUMIERE AVANT DE PARTIR Jean-Claude Rolinat

QU'AVONS-NOUS DE COMMUN AVEC NOS ELUS ? Pierre Descaves

LES DELIRES XENOPHILES DE L'UNION EUROPEENNE Arnaud Raffard de Brienne

Les chroniques de Philippe Randa, Robert Spieler, Ursule  Minoret-Levrault...

DIMANCHE 23 NOVEMBRE, à Paris, deuxième journée de Synthèse nationale...

 Commandez-le à : Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance seulement) : 12,00 €

ABONNEZ-VOUS : SN Bulletin abonnement.pdf

mercredi, 02 juillet 2008

Le numéro 9 (juillet – août 2008) de Synthèse nationale est sorti…

1-Couv_SN_9.jpg
Au sommaire :
 

La cause a besoin de toutes les bonnes volontés…  éditorial de Roland Hélie

Défendre la famille Française : Une priorité nationale ! François Ferrier

Libérons les énergies françaises ! Jean-Philippe Wagner

Nous sommes tous des Afrikaners  Jean-Claude Rolinat

1er juin 2008 : création de la Nouvelle Droite Populaire Guirec Sèvres

Un mois d’actualité à travers les réactions nationales et identitaires

En Italie, l’Union des droites est possible… Lionel Baland 

Entretien avec Jean Robin, propos recueillis par Fabrice Dutilleul

« Des fleuves de sang » le fameux discours d’Enoch Powell prononcé le 20 avril 1968

L’inévitable se produira immanquablement aux USA Pieter Kerstens

La revue des blogs

Métapédia, un wiki pour les nationaux…  Propos recueillis par Pierre-Marie Le Diberder

La démocratie, c’est la décadence Ursule Minoret-Levrault

Municipales 2014 : l’autre scénario… Une fiction de Romain Vincent

Slavoj Zizek : l’homme qui ne croit pas aux vertus du capitalisme et de l’ordre américain

Le surpeuplement en question  Francis Verdavoine-Bourget

ABONNEZ-VOUS !  Tract SN 9 juillet août 2008.pdf

 

Le n°9 de Synthèse nationale sera disponible à la librairie Primatice (10, rue Primatice Paris XIIIème) à partir de vendredi après midi....

mercredi, 25 juin 2008

Discrimination positive : Tais-toi, l’AGRIF !

Article de Jeanne Smits publié dans le quotidien Présent

images.jpg2 500 euros de dommages et intérêts. Dans l’affaire qui oppose l’AGRIF (Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) au patron de L’Oréal, Jean-Paul Agon, la XVIIe chambre correctionnelle du tribunal de Paris est bien entrée en voie de condamnation… mais pour « poursuite abusive ». Une association antiraciste qui ose défendre l’égalité des droits des Français et des étrangers, qui ose demander raison d’une politique d’embauche défavorable aux autochtones mérite d’être punie. Pour qu’elle ne recommence pas, surtout. Pour qu’elle se taise.

Jean-Paul Agon, piqué à vif par la condamnation d’une de ses filiales, les Laboratoires Garnier, pour « discrimination à l’embauche », avait déclaré au Monde le 13 juillet 2007 qu’à L’Oréal, lorsqu’on rencontre « un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche ». Mouloud plutôt que François…

Cette phrase vous choque-t-elle ? Il semble qu’elle ait choqué aussi l’Agence France-Presse, qui, rendant compte du jugement déboutant l’AGRIF de ses poursuites, a préféré carrément la passer sous silence. Sa dépêche ne retient que celle-ci : la réponse de Jean-Paul Agon à la question de savoir si L’Oréal faisait de la discrimination positive. « Oui, d’une certaine manière. Et nous l’assumons. »

Lors de l’audience (voir notre compte-rendu dans Présent du 17 mai dernier), aussi bien l’avocat de Jean-Paul Agon, Jean Veil (fils de Simone) que celui du Monde s’étaient montrés gênés aux entournures, évitant de revendiquer un « droit » à la discrimination positive, inquiets de se voir condamner pour ce qui révèle objectivement un appel à la différence de traitement entre plusieurs catégories de la population.

Les juges de la XVIIe n’ont point eu de ces prudences. Pour eux, Jean-Paul Agon avait fait plutôt preuve d’« une volonté de rétablir un équilibre qui se trouve compromis, en favorisant ceux qui sont ordinairement victimes de discriminations prohibées ».

En quelques mots, le tribunal a fracassé le principe de l’égalité devant la loi. C’est à ce prix seulement qu’on peut justifier la discrimination positive. A ce prix que l’on peut blanchir celui qui préfère Mouloud à François, tout en punissant toujours celui qui voudrait donner plus de chances à François qu’à Mouloud.

Le jugement n’a rien de politiquement étonnant : il s’inscrit dans le droit fil de la volonté présidentielle. Et, sur le plan juridique, dans une parfaite conformité avec un droit européen qui devient de plus en plus présent.

Le prix de la non-conformité de l’AGRIF à ce nouveau principe a donc été fixé à 2 500 euros. On n’a pas le droit de dénoncer une politique de « l’action positive », surtout lorsqu’elle est menée par une entreprise comme L’Oréal. Tabou !

(Mais ajoutons que L’Oréal craignait tout de même pour son image. A preuve, la présence d’une chargée de la communication du groupe au procès, venue distribuer à la presse qui n’était pas là des communiqués pour expliquer et minimiser la portée des propos de son patron… C’est que L’Oréal a aussi des clients et clientes d’origine française !)

L’AGRIF, cela va de soi, fait appel.

• AGRIF, 70, boulevard Saint-Germain, 75005 Paris.

 

Exigences musulmanes : une de plus !

Revue de presse : Le Blog de Yann Redekker 

NUIT2.jpgBourgoin-Jallieu dans l'Isère devient un des nouveaux lieu d'affichage de la totale intolérance de la religion musulmane en France par rapport aux autres religions et principalement les religions chrétiennes. Un père de famille musulman a fait un scandale afin qu'un crucifix accroché au fond du mur de la chambre où sa fille était soignée soit retiré. Et, hélas, le personnel s'est exécuté.

Le problème est que la clinique en question s'appelle Saint-Vincent de Paul et quelle est ouvertement catholique...

L'opération était programmée et donc le père tout musulman qu'il est devait bien être au courant de la chose... Une preuve parmi tant d'autre de l'incompatibilité manifeste de la France, de sa société avec celle que souhaite nous imposer les musulmans.

Ces multiples agressions et demandes ubuesques (à mon sens) de la part de la communauté musulmane (piscines, cantines, centre hospitaliers, écoles...) vont faire prendre conscience aux Français du véritable danger pour l'avenir de notre pays et des pays voisins car cela ne concerne pas que la France. A force de céder face à toutes les exigences des musulmans on finira - comme l'a demandé l'évêque anglican de Canterbury ! - par appliquer la charia !

Est-ce vraiment ce que nous souhaitons pour nos enfants ?