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vendredi, 20 mai 2016

Mayotte : la chasse aux comoriens

Le Gouvernement au pied du mur.

Près de 500 étrangers ont été chassés de leur domicile par les habitants de Mayotte et ont donc passé dehors les nuits de dimanche, lundi et mardi. Mayotte est ainsi devenue, d’un point de vue africain, la honte de la politique française mais aussi de l’idéologie française, cette idéologie de la bienveillance qui refuse de sécuriser les frontières au nom du grand remplacement des peuples et de la charité laïque humanitaire, à moins que ce ne soit à Mayotte encore pire, la survivance d’une logique ou d’un raisonnement néo-colonialiste encore en cours en 2016.

Depuis dimanche, la place de la République de Mamoudzou (chef-lieu de cette île de l’océan Indien) est occupée par des centaines de familles, la plupart d’origine comorienne, qui ont été délogées de force par des collectifs d’habitants des communes du sud et du nord de Mayotte. Ces collectifs ont appelé toute la semaine dernière à « chasser les étrangers de leurs villages » (selon les propos mêmes du tract du collectif du village de Kani-Kéli), accusant l’immigration clandestine de vols, agressions et meurtres au quotidien (selon le collectif des citoyens de la commune de Bouéni).

Dans un communiqué commun mardi soir, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, et la ministre des Outre-mer, George Pau-Langevin ont condamné les violences commises ces derniers jours à Mayotte à l’encontre de familles, ayant par ailleurs conduit à la destruction de leurs habitations. Ils ne se sont pas remis en question car si effectivement de tels comportements n’ont pas leur place dans la République, le laxisme migratoire ne doit pas non plus y avoir force de loi. Faute d’avoir, depuis des années, voulu trouver des solutions rationnelles au problème comorien, le gouvernement décharge sa haine sur les Mahorais eux-mêmes en déclarant que tous les individus impliqués, dont l’enquête devra établir l’identité, devront rendre compte de leurs actes devant la justice.

A Mayotte, pendant des années, les gouvernements successifs ont laissé prospérer la délinquance, les zones grises, les bidonvilles, les incivilités et autres comportements de voyous, par une politique choisie, délibérée, entérinée pendant des années pour tardivement s’en prendre au bon sens du peuple mahorais en le menaçant. Les choses sont en tout cas claires : le gouvernement français à Mayotte a délibérément laissé pourrir la situation pour ne désigner qu’un seul coupable : le peuple Mahorais. C’était en gros tous les dérapages de l’ancien préfet Seymour Morsy allant même dans son pot de départ prophétiser l’arrivée d’un bœuf au « palais » préfectoral, confondant dans son point de vue animal Monsieur Le Boeuf avec Monsieur Frédéric Veau, nommé nouveau préfet du cent et unième département français.

527 personnes sont donc officiellement expulsées par les Mahorais et sont dans l’attente d’un relogement d’urgence, selon le dernier recensement effectué sur la place de la République. La Croix-Rouge est présente et a fait don d’une citerne d’eau potable, de nombreux habitants de Mayotte ont apporté nourriture, médicaments et produits de première nécessité pour enfants. En outre, un médecin bénévole est venu porter secours aux personnes expulsées.

En brousse, des véhicules appartenant à des leaders des collectifs d’habitants ayant expulsé des familles de la commune de Bouéni (sud de l’île) ont été brûlés au cours de la nuit de lundi à mardi. Mais cela n’empêche pas du tout la détermination de la population. D’autres expulsions sont en effet prévues dimanche à M’tsamboro (nord de Mayotte) et le 5 juin à Kani-Kéli (sud de l’île).

Les ministres de l’Intérieur et des Outre-mer ont précisé que 221 gendarmes et 499 policiers, renforcés par 102 gendarmes mobiles, soit 822 policiers et gendarmes au total étaient mobilisés pour rétablir l’ordre républicain, afin de mettre fin à ces exactions  et protéger l’ensemble de la population de Mayotte.  Il faut le dire et le répéter : l’immigration est responsable de tous les maux du département : délinquance, chômage (36%), surcharge dans les écoles, dégradation des services de santé à moins que… à moins que… pour ce gouvernement, Mayotte n’est jamais vraiment été un territoire français mais alors qui va poser la question qui fâche, la vraie question celle du rattachement de Mayotte aux Comores ?

La situation de Mayotte continue  d’être de plus en plus explosive.  De fait, l’exaspération de la population mahoraise face à l’insécurité, les vols et une immigration totalement hors de contrôle est à son comble.  Il serait grand temps de voir l’État prendre la problématique de l’immigration comorienne  comme il se doit. Or, ne nous voilons pas la face : cela suppose de mettre sur la table et de rouvrir l’épais dossier de l’indépendance des Comores, de l’escroquerie du vote séparé des îles dans le cadre d’urgence de l’ONU. L’État français, les élus locaux, la population, les autorités comoriennes, tous ont laissé faire, laissé passer depuis 20 ans la dégradation d’aujourd’hui et la venue de la guerre civile, chacun y trouvant son compte. La « bombe à retardement » de Mayotte évoquée par Mansour Kamardine alors qu’il était député, explose car la situation de Mayotte, ce sont des terrains squattés, des écoles saturées, un hôpital à l’agonie, de l’environnement pillé, de l’argent mis sans arrêt sur la table immédiatement dilapidé, une image de l’île et de ses traditions d’hospitalité particulièrement dégradée , l’exode et une insécurité devenue intolérable.

De ce qui arrive à Mayotte, la France ne peut donc s’en prendre qu’à elle-même, à l’inaction des gouvernements de tous bords , toute la drauche réunie qui n’a jamais su ou voulu prendre le problème de l’immigration comorienne à Mayotte, pour ce qu’elle est : une crise politique internationale qui a débouché sur une crise humanitaire majeure. C’est donc après le Ministère de l’Intérieur le quai d’Orsay qu’il faut réactiver sur le dossier mahorais. .

Nous avons été l’un des rares médias à évoquer la nouvelle loi sur l’immigration votée en catimini par nos députés . Cette loi votée en mars dernier (le 7 mars 2016) a comme nous l’avions fait remarqué élargi le droit du sol dans une proportion jamais atteinte dans notre constitution puisqu’elle instaure un nouveau droit du sol, le droit du sol par fratrie. Un ressortissant étranger peut maintenant acquérir la nationalité française à sa majorité sans être né en France mais uniquement parce qu’il y aurait vécu depuis l’âge de 6 ans (après avoir effectué toute sa scolarité) ou parce qu’il y aurait des frères ou des sœurs ayant la nationalité française. A ce titre, c’est presque toutes les Comores ou en tout cas Anjouan dans sa quasi totalité qui dans quelques mois sera devenue française par la fratrie. Mais au fait, qu’en disent les Comores ?

Michel Lhomme

Source : Metamag

Un rapport Europol inquiétant : 800 000 immigrés prêts à partir de Libye

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Le trafic de migrants vers l’Europe en 2015 a rapporté aux réseaux criminels entre 4,5 et 6,5 milliards d’euros, selon un rapport Europol-Interpol. Le million de migrants illégalement entré dans l’Union Européenne aurait ainsi payé aux trafiquants entre 2850 et 5800 euros en moyenne pour leur voyage.

90% du flux de migrants qui tâchent d’entrer dans l’union européenne, lit-on encore dans le rapport, est facilité, organisé et géré par des membres de réseaux criminels. Selon l’étude, cette réalité est comparable à une multinationale du crime qui implique des personnes originaires de plus de 100 pays, avec une structure formée par des responsables qui coordonnent les activités le long des routes migratoires et des organisateurs qui gèrent le trafic au niveau local à travers contacts personnels et « facilitateurs » de bas niveau. Les trafiquants suspectés font habituellement partie du milieu criminel,

Les immigrés qui voyagent vers l’UE, sont ainsi vulnérables et susceptibles d’exploitation sexuel ou de travail illicite, et sont utilisés pour payer leur dette avec les trafiquants. Si, selon Europol, « il n’est pas montré de liens systématiques entre terrorisme et migration, un risque existe, en augmentation, que les terroristes puissent utiliser le flux migratoire pour rentrer dans l’Union Européenne, cas déjà vérifié plusieurs fois à la suite des attentats qui ont bouleversé l’Europe dans les mois passés».

Selon le rapport Europol, pour 2016, une autre augmentation du nombre de migrants voulant atteindre l’UE est prévue : «Dans la seule Libye, ils sont environ 800.000 à attendre leur départ.»

UE: l’accord sur les visas avec la Turquie augmente le risque d’attentats.

La Commission européenne, de son côté , a averti que la suppression des visas pour l’entrée des citoyens turcs dans l’ UE – une partie de l’accord controversé entre Bruxelles et Ankara sur les migrants – «pourrait augmenter le risque d’infiltrations terroristes et de nouveaux attentats » dans le Vieux Continent». Selon un rapport de la Commission, des terroristes étrangers tenteraient d’obtenir des passeports turcs pour pouvoir atteindre l’Europe dès que les visas ne seront plus nécessaires.

Selon l’accord avec l’UE, en effet, les 75 millions de Turcs pourront entrer dans la zone Schengen pour une période maximum de 90 jours, en possession de passeports  biométriques à partir de la fin juin . Le tout, cependant, si Ankara modifie sa loi antiterrorisme actuelle. Or, aujourd’hui la Turquie a encore affirmé ,pour la énième fois, ne pas vouloir le faire par la voix du ministre des affaires étrangères Mevlut Cavusoglu : «Nous dire de changer notre loi antiterrorisme au moment où nous sommes en train de combattre contre le PKK et Daesh équivaut à soutenir le terrorisme. Nous n’accepterons jamais de diktat de ce genre. »

Jean Pierinot

Source : Metamag

Terrorisme / Les djihadistes infiltrent les aéroports

Ennemi infiltré. L’information a été passée sous silence dans les media français, pourtant elle est de taille. Un Marocain, Aziz Zaghnane est suspecté d’être le chef de Daech en Espagne. Arrêté début mai dans la banlieue de Madrid, l’individu profitait visiblement de son statut de directeur Marketing d’une filiale d’Adecco de ressources humaines pour recruter pour le djihad. Pierre Bergerault

Aziz Zaghnane était l’employé modèle. Depuis 11 ans dans la société Lee Hecht Harrison en Espagne, il avait un poste de haut cadre : directeur Marketing. Il était connu pour être un chasseur de tête hors pair… Et l’Etat Islamique ne s’est pas trompé puisqu’il était justement chargé de trouver des individus candidats au djihad. Pour sa mission, Aziz Zaghnane avait tous les atouts… En effet, il disposait de la base de données pléthorique de son entreprise pour choisir ses recrues parmi les noms à consonance musulmane. Il était également très en pointe sur les réseaux sociaux, un support sur lequel Daech se plaît à communiquer. Quoi qu’il en soit, les collègues d’Aziz Zaghnane n’avaient aucun soupçon quant à sa loyauté. Pourtant, les renseignements le suivaient depuis près de 4 ans. Le SNGAF, syndicat des navigants du Groupe Air France, a publié un communiqué mercredi pour s’insurger contre la perméabilité des bases de données. En effet, une autre filiale d’Adecco, Altedia, est en charge des salariés d’Air France volontaires pour bénéficier du plan de départ. Des données que l’on peut supposer accessibles à l’ensemble des salariés du Groupe Adecco… comme le redoute Patrick Henry Haye, secrétaire de section du SNGAF.

[SON ]

Altedia, la filiale d’Adecco ne travaille pas uniquement pour Air France… mais pour de nombreux groupes français comme Aéroports de Paris, La poste ou la SNCF. On imagine alors aisément l’ampleur de la base de données… mais également l’importance d’une sécurisation rigoureuse des données. Comme le rappelle Patrick Henry Haye, c’est une nouvelle démonstration de l’ubiquité des services de recrutement de Daech.

[SON ]

Les répercussions réelles de l’affaire ne sont pas encore connues mais un tel cas révèle encore une fois que les djihadistes peuvent être infiltrés partout…

Source : Tvlibertés

Une « Forteresse Europe » contre le danger islamiste

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Pierre Cassen est fondateur de Riposte Laïque, et fut co-organisateur, entre autres, de l’Apéro saucisson-pinard et des Assises internationales sur l’islamisation de nos pays. Il a animé de nombreuses manifestations et des rassemblements. Depuis plus de dix ans, il consacre l’essentiel de son combat à la lutte contre l’islamisation de notre pays et de l’Europe, et anime de nombreuses conférences, souvent tournées vers l’action. À ce titre, il revient de Prague, et répond aux questionsde Philippe Randa, durecteur d’EuroLibertés.

Vous venez de participer dans les locaux du Parlement tchèque à « une initiative européenne de lutte contre l’invasion migratoire et l’islamisation de nos pays »… Qui l’a organisée ? Quels étaient les participants ?

Cette initiative a une histoire. Nous avons rencontré Tatjana Festerling, porte-parole de Pegida Allemagne qui revenait d’un entretien à TVLibertés, grâce à l’entregent de Jean-Yves Le Gallou. Le contact entre elle, Christine Tassin et moi a été excellent, et Tatjana nous a demandés si nous serions d’accord pour venir à Prague, le 13 mai, afin de participer à une réunion de résistants européens. C’est le genre de proposition qui ne se refuse pas, et nous nous sommes donc rendus disponibles.

Quelles ont été les décisions prises et les projets futurs décidés à cette occasion ?

L’initiative avait lieu au cœur du Parlement tchèque. Les rôles avaient été répartis entre le parti tchèque Usvit (Aube pour la Démocratie directe), qui compte huit députés, et Pegida Allemagne, qui est la tête de pont de la Résistance européenne, surtout à Dresde, d’où est issue Tatjana. La volonté était de créer une structure européenne, « Forteresse Europe », avec tous ceux qui avaient envie de se lancer dans cette aventure. Au total, pour le moment, quatorze pays, majoritairement de l’Est, mais aussi, outre les Allemands, les Anglais, les Espagnols, les Italiens, les Autrichiens et nous, les Français. Notre pays était représenté par Christine Tassin et moi, au nom de Résistance républicaine – Riposte Laïque, et par Karim Ouchikh, président du SIEL (Souveraineté, identité et libertés). Après que chacun a pu prendre la parole, les organisateurs ont proposé à chaque représentant national de signer une pétition s’opposant à la logique des quotas de migrants imposés par l’Union européenne. L’objectif annoncé est de recueillir 1 million de signatures pour contraindre l’UE à ouvrir un débat parlementaire sur cette question. Nous avons respecté cette première initiative, privilégiant le cadre unitaire. Pour nous, l’essentiel était qu’un outil européen se mette en place, et donc que des actions communes, au niveau Vieux Continent, puissent se développer au plus vite. Avec la force militante de Pegida Allemagne aux commandes, et le savoir-faire de chaque pays représenté, il y a un potentiel prometteur, et nous sommes heureux d’avoir été conviés à cet événement.

Les pays d’Europe de l’Est sont-ils confrontés de la même manière que ceux de l’Ouest aux invasions migratoires et comment appréhendent-ils le danger djihadiste ? Craignent-ils des attentats similaires à ceux qui viennent de frapper la France et la Belgique récemment ?

Il y avait deux mondes, effectivement, ce vendredi, dans le Parlement européen. Les pays de l’ouest de l’Europe, déjà fortement islamisés, et les pays de l’Est, qui ne sont pas du tout confrontés à cette situation, mais ne veulent surtout pas y être. D’où la pétition pour refuser les quotas. Les pays de l’Est, à ce jour, ne vivent absolument pas dans la crainte d’un attentat. Certains pensent que seul l’Est pourra sauver la culture européenne, et que l’ouest est mal parti, même s’ils sont solidaires de nos combats. Par contre chose inquiétante, nous avons entendu le témoignage d’un militant de l’Usvit, qui a raconté au public l’offensive d’une jeune collégienne musulmane voilée dans une école, à Prague, et les nombreux soutiens dont elle bénéficie, scissionnant la société tchèque. C’est Creil, 27 ans après…

Quelles sont vos impressions sur la République Tchèque après votre séjour ?

Nous ne sommes restés que trois jours, et ne pouvons prétendre avoir tout vu de la réalité tchèque, n’étant demeurés qu’à Prague. On voit que la capitale est toujours une ville européenne. Les élèves que nous avons croisés dans les rues sont tous blancs, et par ailleurs paraissent fort bien élevés, et respectueux des enseignants. Naturellement, le centre-ville, autour du Pont Charles, est superbe. Gros point noir, les tags. J’avoue ne pas comprendre que dans une ville aussi touristique, ils soient aussi omniprésents, y compris sur la façade du musée Kafka (voir photo). Peut-être un Jack Lang tchèque ? Vous ne vous sentez jamais menacé, sur le qui-vive, ce qui est loin d’être le cas dans nombre de capitales d’Europe de l’Ouest, Paris en premier. On peut manifester librement à Prague. Nous avons vu un groupuscule nationaliste, un samedi, jour des 700 ans de la naissance du Roi Charles IV, tenir une réunion en plein centre-ville, à cinquante personnes. Pas de policiers, pas de gauchistes, pas de racailles. Il n’y a pas de chômage de masse, et il paraît y avoir du travail pour tout le monde. Nous avons vu de nombreuses usines en activité avec des hautes cheminées envoyant leur fumée dans le ciel, preuve qu’il y a toujours des ouvriers dans ce pays… et pas trop d’écolos ! Le salaire moyen tourne entre 800 et 1000 euros. La situation française passionne beaucoup les Tchèques, admirateurs de notre pays, et désespérés qu’il soit devenu un des maillons faibles de l’Europe. Ils cherchent à comprendre ce qui nous arrive, et paraissent décidés à ne pas se laisser envahir, ni islamisés.

Source : Eurolibertés

Le pape François va recevoir l'imam de la prestigieuse mosquée sunnite Al-Azhar

Le pape François va recevoir lundi pour la première fois au Vatican le cheikh Ahmed Al-Tayeb, grand imam d'Al-Azhar, plus haute autorité de l'islam sunnite dans le monde, a annoncé jeudi le porte-parole du Vatican.

"Cette audience est en préparation et elle est prévue pour lundi", a déclaré à l'AFP Federico Lombardi, sans donner plus de précisions sur l'entrevue avec le grand imam de cette institution sunnite basée au Caire.
Il n'y avait encore jamais eu de rencontre entre un pape et un grand imam d'Al-Azhar.

L'audience marquera aussi la fin du dégel entre l'institution sunnite et le Saint-Siège, dont les rapports sont très délicats depuis les propos controversés de Benoît XVI lors d'un discours à Ratisbonne (Allemagne) en 2006.

Les relations avaient même été complètement interrompues en 2011, la grande université du Caire ayant réagi avec force à une prise de position publique du pontife allemand après un attentat meurtrier contre une église copte orthodoxe d'Alexandrie. Le dialogue a repris petit à petit après l'arrivée de François, avec l'envoi d'émissaires de part et d'autre.

En mars 2014, un représentant de la mosquée, Mahmoud Azab, avait ainsi participé à une initiative interconfessionnelle pour lancer un réseau de lutte contre toutes les formes d'esclavage moderne et de traite des personnes.
"Le dialogue n'a jamais été coupé, il était juste suspendu", avait-il alors assuré.

Source : Lorientlejour

L’organisation Etat islamique perd du terrain mais reste influente

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Selon des sources occidentales, l’organisation Etat islamique aurait perdu près de la moitié de son territoire. Appuyé par les raids de la coalition, les forces irakiennes parviennent à regagner du terrain. Mais l’organisation terroriste vient de prouver qu’elle est capable de mener de sanglants attentats en Irak, ou encore des raids éclairs, pas plus tard que le 12 mai dernier, sur certains quartiers de Ramadi. Pour les militaires français engagés au Moyen-Orient et dans le golfe Arabo-Persique dans l’opération Chammal, la contribution française aux frappes de la coalition, la lutte contre Daech est affaire de patience.

La guerre contre l’organisation Etat islamique (EI) est avant tout une guerre de renseignement et un exercice de patience. Comme l’explique le colonel Denis, adjoint au renseignement de l’opération française Chammal, « il faut compter un à deux mois pour transformer un point d’intérêt en un objectif qui sera frappé par un avion. Donc il faut accumuler beaucoup de renseignements, notamment de vidéos de drones ».

Des dizaines d’heures à tourner au-dessus d’une maison suspecte, observer une usine, une mosquée pour être sûr de ce qui se cache réellement à cet endroit. « Les membres de Daech utilisent beaucoup les mosquées comme zone de rassemblement ou zone de cache d’armes, parce qu’ils savent très bien que nous ne frappons pas les mosquées. Et actuellement, ils se déplacent avec femmes et enfants », explique le colonel.

L’EI a perdu 30 000 combattants depuis le début des frappes de la coalition

 

Selon la coalition, l’EI a perdu 30 000 combattants depuis le début des frappes. Le flux de combattants étrangers a quasiment été divisé par deux, assure une source militaire française. Même dans les villes placées sous sa coupe, l’EI commence à perdre de l’influence, assurent les militaires français. « Nous avons également, même au sein de Daech, des cas de désertion, des tensions entre les combattants étrangers et les Irakiens », affirme le colonel Denis.

La coalition affirme que l’EI a abandonné 40% de son territoire de 2014, mais l’organisation tient toujours fermement ses bastions de Mossoul et Raqqa. « On a essayé de se spécialiser sur leur zone de Raqqa, explique le colonel Denis. On frappe également tout ce qui sert à la vie de Daech, notamment à la fourniture de ses revenus [comme les] plusieurs centaines de micro-raffineries dispersées sur le paysage. » Selon une source militaire française, près de 600 camions-citernes auraient été détruits afin d’endiguer le commerce du pétrole de contrebande.

Olivier Fourt

Source : Rfi

La route de l’Adriatique est ouverte aux migrants

Une bateau, le Talay 1, chargé de « réfugiés », battant pavillon turc, est arrivé à Santa Maria de Leuca, à l’extrême pointe du talon de la botte italienne, début mai ! Maintenant l’invasion de l’Europe, via la péninsule, passera par l’Adriatique. Et par des bateaux plus modernes.

Au large des côtes de Lampedusa, il était habituel de voir des radeaux pneumatiques remplis de clandestins à l’assaut du monde occidental. L’embarcation qui a abordé à Santa Maria est différente. Sur la route de l’Adriatique, les bateaux sont solides, soumis à un contrat entre armateur et passeur. Ils partent de l’Albanie pour arriver en Italie. Chargés de clandestins. C’est la nouvelle voie pour l’immigration depuis la fermeture des frontières macédoniennes et hongroises.

Du bateau d’hier sont descendus 52 migrants afghans, pakistanais, syriens et somaliens. Parmi eux 21 mineurs, 8 femmes et 23 hommes. Un ennui mécanique a obligé le passeur à appeler les secours. Et ainsi la police maritime a découvert tous ces clandestins qui seraient débarqués illégalement sur le territoire italien. Le passeur a été arrêté et les immigrés transférés au Centre d’accueil d’Otrante.

Du Kosovo, voisin de l’Albanie, sont partis pour rejoindre Daech quelques 350 militants islamiques. Qui pourront bien facilement embarquer sur ces embarcations qui de Pristina l’albanaise arrivent à Santa Maria l’italienne.

Un danger terroriste qui ne fait que croître sans freiner pour autant les frénésies d’ouverture de la bien-pensance universelle…

Francesca de Villasmundo

Source : MPI

Pour Jacques Toubon, les pieds-noirs étaient des immigrés !

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À la lecture du rapport « Les droits fondamentaux des étrangers en France », on comprend mieux pourquoi Jacques Toubon a été désigné Défenseur des droits, sous un gouvernement socialiste, par décret en Conseil des ministres après avis des commissions parlementaires.

Aussi gaulliste que Mélenchon est monarchiste, Jacques Toubon défend sur 305 pages la folle politique migratoire qui conduit la France à la ruine. Libération s’en est même réjoui ouvertement dans un article daté du 9 mai dernier, appelant notre très laxiste gouvernement à prendre exemple sur Jacques Toubon !

« L’idée de traiter différemment les personnes n’ayant pas la nationalité française, de leur accorder moins de droits qu’aux nationaux est si usuelle et convenue qu’elle laisserait croire que la question de la légitimité d’une telle distinction est dépourvue de toute utilité et de tout intérêt », écrit nerveusement l’ancien ministre de la Culture. Oui, cela est usuel car consubstantiel à toute République. Cette citation démontre tout le caractère antirépublicain de ces hommes politiques qui nient la nation.

Une République distingue ses citoyens de ses non-citoyens. Certains droits fondamentaux sont accordés à tous les hommes : le droit à un procès équitable, notamment. Mais la citoyenneté accorde des droits spécifiques, des privilèges, à ses nationaux. Ainsi, le droit de vote n’est pour l’instant offert qu’aux personnes de nationalité française. Ce qui, vous en conviendrez, est parfaitement légitime.

Plus loin, pour tordre le cou à certains « mythes » qui circuleraient sur l’immigration contemporaine, Jacques Toubon devient carrément abject : « Aucune période de l’histoire de l’immigration, aussi intense soit-elle, n’a modifié le socle des valeurs républicains communes. Ni le million de rapatriés et harkis au début des années 60, pas plus que tous les Portugais, Espagnols, Italiens, Algériens, Marocains, Tunisiens, venus – pour travailler – dans les années 60 et 70. Ni les immigrés subsahariens que l’indépendance des États africains a conduits en Europe. »

Sans aucune espèce de décence, le Défenseur des droits confond les pieds-noirs (parfaitement français) et les harkis (qui ont mérité de devenir français par le sang versé) avec immigrés récents. Un délire suffisant pour invalider l’intégralité de ce tissu d’âneries. Les rapatriés, comme leur nom l’indiquait, n’étaient en aucun cas des immigrés.

Logique, au fond, que le Défenseur des droits estime que l’immigration clandestine ne puisse exister que dans l’imagination fertile de cerveaux malades. Jacques Toubon explique, en effet, que le terme « réfugié » est à double tranchant, voire discriminatoire, car il pourrait « inciter à distinguer, une fois de plus, les “bons” réfugiés, ceux qui pourraient prétendre à une protection au titre de l’asile, des “mauvais” migrants, dits économiques ». On rit. Et pour ce qui concerne les différents terroristes rentrés, ou revenus, en Europe par les filières des « migrants » ?

Signe d’une déconnexion totale avec la France historique, Jacques Toubon suggère de faciliter les demandes de titres de séjour pour les prisonniers. Une double peine pour le pays, forcé de recevoir un immigré clandestin doublé d’un délinquant, et parfois d’un criminel. Au moment où la France ne peut plus accueillir d’immigration supplémentaire, ses élites l’offrent sur un plateau à toutes les prédations. L’universalisme de Jacques Toubon est un néant libre-échangiste, surtout pas un humanisme.

Gabriel Robin

Source : Le blog de Thomas Joly

Européens, sortez de la culpabilité !

Discours de Dresde de Jean-Yves Le Gallou à l’occasion de la réunion de Forteresse Europe le 16 mai 2016.

 

Après les horreurs et sur les ruines de la seconde guerre mondiale le peuple allemand a été culpabilisé. Et plus le temps qui nous sépare de la seconde guerre mondiale s’écoule plus la culpabilisation s’étend et s’intensifie. Les pères ont été culpabilisés. Puis les fils. Puis les petits fils. Et maintenant les arrières petits fils. Jusqu’à quand. ?

Progressivement cette culpabilisation allemande a été étendue aux autres peuples européens. Eux aussi jugés coupables. Coupables de ne pas avoir assez résisté durant la seconde guerre mondiale. Coupables aussi de la colonisation. Coupable enfin de l’esclavage. Coupables, toujours coupables.

Cette culpabilisation touche même le peuple suisse qui a été neutre de 1939 à 1945, qui n’a jamais eu de colonies ni pratiqué l’esclavage !

Qu’importe car cette culpabilisation a perdu toute raison. Cette culpabilisation est le fruit d’une rééducation totalitaire. Elle s’appuie sur le système scolaire pour décérébrer les jeunes enfants et les médias de propagande – ce que vous appelez la « Lugenpresse » – pour domestique les adultes.

C’est cette culpabilisation qui contraint les peuples européens à accepter d’être toujours plus envahis : des Îles ioniennes au Cap nord, de Gibraltar à la Baltique. C’est cette culpabilisation qui conduit les Européens à accepter d’être africanisés et islamisés.

Ce grand remplacement de nos peuples et de notre civilisation ne doit pas conduire les Européens à s’opposer les uns aux autres mais à s’unir pour défendre leur civilisation commune, la civilisation européenne. Une civilisation dont ils doivent être fiers.

Je suis Français. C’est-à-dire que je suis un Européen d’expression française. Je suis fier de l’histoire et de la culture de mon pays. Mais je connais aussi tout ce que je partage avec mes frères européens. A commencer par cet héritage grec, romain, celte et germanique qui nourrit notre imaginaire. Je suis fier de Paris, de Versailles et de l’esprit français mais je sais ce que je dois en tant qu’Européen aux autres nations : par exemple que serait la musique européenne sans la famille Bach, l’immense Beethoven et le génial Wagner qui a mis en scène toute une mythologie européenne ? Et que serait la philosophie sans Kant, Hegel, Nietzsche et Heidegger ? Si j’étais Allemand, je serai fier d’appartenir à un peuple qui a tant donné à notre Europe.

Peuples européens, ne nous opposons pas sur des broutilles matérielles, des querelles économiques et monétaires, unissons-nous pour défendre notre civilisation. Unissons-nous pour rester nous-mêmes face à l’invasion qui tend à nous submerger.

Source : Institut Illiade

Découvrez le projet de la mosquée sur le site de l'ancienne gare de Baulers

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Le centre culturel et islamique voudrait quitter le nº6 de la rue Henri Pauwels, devenu trop petit. Il convoite aujourd’hui le bâtiment technique de la SNCB, situé à proximité de la gare de Baulers.

Une mosquée sur le site de l’ancienne gare du Baulers : voilà le projet du centre culturel et islamique de Nivelles. Sa volonté est de «  créer une école de langue arabe et de religion avec une infrastructure adéquate, créer des salles de prières et prévoir un bureau et une salle pour l’accueil  ». Cela, tout en garantissant un accès aux personnes à mobilité réduite «  grâce à la répartition des pièces sur un seul étage  ». Contrairement au lieu de culte actuel, situé au nº6 de la rue Henri Pauwels, le bâtiment convoité permettrait «  l’aménagement d’un parking et de places supplémentaires dans le voisinage  ». Le centre culturel et islamique souligne aussi d’autres avantages, tels que l’absence de voisin proche et la proximité avec le centre-ville de Nivelles.

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Le bâtiment est mis en vente par la SNCB. Celle-ci attend des offres à partir de 140.000 euros. C’est donc une somme importante pour laquelle le centre culturel et islamique aura besoin du soutien de ses fidèles. Sans compter que des travaux seront nécessaires : «  Les murs ainsi que le toit de l’immeuble sont en bon état, l’intérieur est à rénover entièrement. » Abandonné, le bâtiment a en effet été la cible des vandales et squatteurs.

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S.B

La capitale.be

jeudi, 19 mai 2016

Samedi 21 mai : Thomas Joly à Marseille

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Source : Synthèse Nationale

Musique : Le grand remplacement : Les Brigandes

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Livre : POURQUOI ? La Syrie baasiste plutôt que l'Etat islamique...

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Synthèse nationale lance une nouvelle collection : la collection "POURQUOI ?". Alors, pourquoi cette collection ? Pour donner aux militants et sympathisants de la cause nationale des arguments dans le combat qu'ils mènent quotidiennement pour rétablir la vérité face au rouleau compresseur de la presse asservie à la pensée dominante. Chaque livre de cette collection sera consacré à un sujet d'actualité et développera des arguments permettant d'aider à une meilleure compréhension de celui-ci. Ces ouvrages sont collectifs et, fidèles à la vocation qui est celle de Synthèse nationale, ils donnent la parole à des personnalités qui connaissent bien les problèmes abordés.

Ainsi, le premier tome, qui sortira à l'occasion de la journée lilloise de Synthèse nationale du dimanche 24 avril prochain, sera consacré au conflit qui ensanglante la Syrie depuis quelques années. Son titre : "La Syrie baasiste plutôt que l'Etat islamique...". Vous retrouverez des contributeurs réguliers de Synthèse nationale, comme Georges Feltin-Tracol, Jean-Claude Rolinat, Serge Ayoub, Nicolas Tandler, ainsi que des personnalités qui connaissent bien le problème pour l'avoir suivit de près comme Elisa Bureau, responsable de SOS Chrétiens d'Orient, Emmanuel Albach, ancien combattant volontaire français aux côtés des Phalangistes libanais en 1976, Martial Roudier, de l'excellent site Languedoc-info qui nous tient régulièrement informés sur l'évolution du conflit ou Stéphane Wulleman qui vient d'effectuer plusieurs voyages en Syrie, et quelques autres.

Vous pouvez dès maintenant commander ce livre (160 pages, 20 €) à Synthèse nationale. Un outil indispensable pour mieux comprendre les source et la réalité de cette guerre importé en Syrie par l'étranger et dont l'Europe supporte de plus en plus mal les conséquences dramatiques.

Commander l'ouvrage ici

Black M a menti, son grand-père n'a jamais combattu en 39-45

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Suite à l’annulation de son concert à Verdun, Black M avait communiqué sur sa page Facebook : « Une terre pour laquelle mon grand-père Alpha Mamoudou Diallo, d’origine guinéenne, a combattu lors de la guerre 39-45 au sein des Tirailleurs Sénégalais » avant de dénoncer « une polémique incompréhensible et inquiétante ».

Contacté par téléphone Pascal Guy est formel : historien et spécialiste du Ier Empire, qui a en sa qualité de chercheur a une carte d’accès aux archives militaires de Vincennes : « Il n’y a pas d’Alpha Mamoudou Diallo guinéen incorporé dans les troupes coloniales ».

Le chercheur ajoute qu’après avoir fait des recherches minutieuses avec toutes les orthographes possibles, et en supprimant le prénom « Alpha Mamoudou », seuls deux Guinéens (qui donc n’ont pas « Alpha » dans leur prénom) figurent dans les archives militaire l’un est trop agé née 1888, quand l’autre né en 1905 à été démobilisé en 1941 et n’a donc pas participé à la libération de la France.

Le chercheur explique que ces archives sont publiques et qu’il est possible pour chacun de faire la recherche soi-même.

Les médias auraient-ils pris le post Facebook de Black M pour argent comptant sans la moindre vérification ? Partout, dans presque tous les médias, des journalistes annonçaient sans aucune précaution la qualité d’ancien combattant du grand-père de Black M comme argument pour démontrer l’injustice qui était faite au rappeur.

Source : Le Blog de Thomas Joly

Vienne (Autriche) : Une « patrouille islamique » lynche un homme tentant de protéger sa femme et sa fille

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A Vienne, en Autriche, une patrouille islamique décidée à faire respecter l’application de la charia [La loi islamique, NDLR] a violemment passé à tabac un homme tentant de protéger sa femme et sa fille qui “refusaient de rentrer chez elles” sur ordre des miliciens musulmans.

Le journal britannique The Daily Express rapporte : Un tribunal a entendu le groupe composé de jeunes hommes et se faisant appeler “Les Loups”. Ils s’étaient approchés de l’épouse de la victime, de sa fille et des amies de cette dernière.

Ils avaient déclaré aux filles, âgées de 14 à 16 ans, qu’elles se comportaient de façon “inappropriée” et leur avaient ordonné de “rentrer à la maison”.

Le groupe a notamment dit à l’épouse : “Nous, et seulement nous, allons ramener les filles à la maison. Ce sont les filles de notre pays.”

Terrifiée, la mère a téléphoné à son mari, qui est rapidement arrivé sur les lieux avant d’affronter le groupe. En réponse, ils l’ont sauvagement battu tandis que sa famille regardait la scène, impuissante.

Un passant qui a tenté de venir au secours de la victime a également été attaqué.

Trois individus ont été identifiés et condamnés à des peines de 8 à 10 mois de prison.

Source : Le blog de Thomas Joly

Manifestation contre l'invasion migratoire à Dieppe le 2 juillet !

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Paris – Migrants : France Terre d’asile tonne contre l’engorgement du système

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L’association France Terre d’asile a tapé du poing sur la table mercredi en annonçant qu’elle suspendait, à Paris, la prise des rendez-vous en préfecture, pour dénoncer un engorgement « invraisemblable » de l’accès à la demande d’asile.

« On ne peut pas travailler dans ces conditions, nous fermons jusqu’à nouvel ordre », a annoncé à l’AFP Pierre Henry, le directeur général de l’association, en précisant que le centre chargé du pré-accueil des candidats à l’asile resterait fermé au moins mercredi et jeudi.

En cause: l’engorgement de la procédure, depuis l’entrée en vigueur, le 1er novembre, de la nouvelle loi sur l’asile, pourtant censée fluidifier le système avec la mise en place d’un « guichet unique » regroupant les services de la préfecture et de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii). (…)

- « 200 euros au marché noir » -
L’association avait dans un premier temps essayé de donner des rendez-vous pour cette étape de « pré-enregistrement ». Mais ces « tickets bleus » se revendaient « 200 euros au marché noir », explique une salariée. Et les délais d’attente ont vite atteint plusieurs mois.
Depuis les files s’allongent, avec « des tensions » et « parfois des bagarres », qui font craindre « pour la sécurité des migrants et des salariés », selon M. Henry.

« On ne peut pas gérer la sécurité sur la voie publique », ajoute le responsable, qui s’est résolu mercredi à appeler la police lorsque des remous ont éclaté dans la file d’attente.

« Cela fait trois semaines que je suis ici, je dors sur place, mais je n’ai pas réussi à entrer », explique Fareez, un Afghan, dans la file de quelque 300 personnes. A ses pieds, cartons, couvertures et duvets témoignent d’un campement sauvage à même le trottoir.
Son voisin, un Mauritanien se présentant sous le prénom d’Ali, assure attendre depuis cinq jours. A l’ouverture des portes, « c’est le plus fort qui entre », selon lui.
Le problème est que le système « a été formaté pour 8.000 demandes par an » mais que, malgré les efforts de la préfecture,

« on est sur un rythme de 30.000 à 40.000″, déplore Pierre Henry. (…)

Source : Fdesouche

Nouvelle mosquée : la mairie attend la demande d’autorisation d’ouverture

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Une nouvelle mosquée sera installée au quartier de Beauval à Meaux, dans les locaux de l’ancien bazar Gigastore. Elle devrait être inaugurée pour le 6 juin ou 7 juin, début prévu du ramadan. La mairie n’a cependant pas encore reçu de demande d’autorisation d’ouverture au public.

Le nouveau centre cultuel, situé à l’angle du boulevard du Chevalier-Bayard, dans le secteur de la Verrière à Beauval, portera le nom de Bilal et disposera d’une surface de 1 500 m² au rez-de-chaussée, réservée à la prière des hommes, et de 500 m² au sous-sol, réservée à celle des femmes. Des activités culturelles s’y tiendront également et seront proposées petit à petit : soutien scolaire, cours d’arabe, conférences et projets humanitaires.

Les responsables prévoient l’ouverture pour début juin, au moment du ramadan. Pour Hadj, un habitant de Beauval, la nouvelle installation permettra aux nombreux fidèles meldois d’exercer leur culte « dans de meilleures conditions et en sécurité ». Karim, un autre fidèle, se souvient : « Lors de la dernière fête de l’Aïd, certains fidèles étaient obligés de prier dehors ».

De son côté, la mairie de Meaux assure « attendre le dossier ERP (Etablissement recevant du public) » pour se prononcer : « La commission de sécurité doit être consultée avant la délivrance d’autorisation d’ouverture par arrêté du maire ». 

L’une des plus grandes mosquées du département

Le projet a été porté par un collectif de trois associations meldoises : El Qualam, la section de Meaux de Dignité internationale et Musulmans de Beauval. Mohammed Mellouk, le président du collectif, explique : « Avec la fermeture du foyer Adoma, en juillet 2015, pour des raisons de sécurité et les travaux d’agrandissement à la mosquée de Collinet-Dunant, de nombreux fidèles ne peuvent plus venir prier le vendredi soir malgré l’installation d’un espace provisoire dans un entrepôt de la zone industrielle ». Le nouveau lieu de culte permettra d’accueillir entre 1 000 et 2 000 personnes et sera l’un des plus grands de Seine-et-Marne.

« L’achat et les travaux de la mosquée dont le coût est estimé à 1 million d’euros seront financés intégralement par les dons des fidèles. Aucun financement étranger ne sera accepté à l’exception d’un don de 10 000 euros du roi du Maroc, Mohammed VI » assure Mohammed Mellouk. Depuis le début du projet, il y a un an et demi, 70 000 euros ont été récoltés et ont permis de verser un premier acompte. Les responsables se sont donnés deux ans pour réunir la somme permettant d’acquérir l’ancien magasin qu’ils louent actuellement.  « Les comptes sont et seront totalement transparents et certifiés par un commissaire aux comptes » indique le dirigeant.

Source : magjournal77

Retour des contrôles aux frontières plébiscité

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Un sondage montre qu’une majorité de Suisses veut préserver les bilatérales, tout en contrôlant les frontières et en restreignant la libre circulation. Décryptage d’un dilemme

Pour le maintien des accords bilatéraux, pour des contrôles aux frontières et pour une libre circulation avec des restrictions: le sondage Sophia, réalisé par l’Institut de recherches économiques et sociales M.I.S Trend pour le compte de l’Hebdo, livre des résultats contrastés. Sollicitée dans le cadre du Forum des 100, organisé par l’hebdomadaire et consacré cette année aux nouvelles frontières, l’étude recueille l’avis du grand public et celui de leaders d’opinion actifs dans les domaines économiques, politiques, culturels ou scientifiques. Un échantillon représentatif de la population suisse, composé de 1290 personnes issues des trois régions linguistiques, a ainsi été interrogé en ligne entre le 22 mars et le 4 avril. Les 380 leaders ont quant à eux été consultés durant le mois de mars.

Parmi les sujets relatifs à la mondialisation, thème central du sondage, les questions liées à la migration et aux relations avec l’Union européenne attirent l’attention. Rétablir des contrôles systématiques aux frontières comme c’est le cas dans certains pays d’Europe?

70% de la population se révèle «assez» voire «tout à fait d’accord» avec cette pratique. Chez les leaders, le chiffre baisse à 52%. Formulée une première fois à propos de l’UE, la proposition suscite le même engouement concernant la Suisse plus spécifiquement: 69% de plébiscite dans la population et 51% chez les leaders. «Seule l’appartenance politique permet de comprendre ces résultats, précise Mathias Humery, chercheur et coauteur du sondage. La droite est quasi unanime à approuver les contrôles (87% pour l’UE et 85% pour la Suisse) alors que la gauche est partagée (50% et 48%).»

Clivage gauche droite

On retrouve ce même clivage dans la volonté de maintenir la libre circulation avec des restrictions, plutôt que de la conserver telle quelle. Largement débattue suite à l’acceptation de l’initiative UDC contre l’immigration de masse, le 9 février 2014, l’idée récolte l’approbation de 53% de la population et de 46% des leaders. A droite, les deux groupes sondés souhaitent des restrictions dans les mêmes proportions (57% du grand public et 58% des leaders). Au sein de la population de gauche, les avis sont partagés à parfaite égalité, alors que chez les leaders, une majorité de 71% entend maintenir le statu quo. Seuls 28% souhaitent des aménagements.

Selon Mathias Humery, le contexte migratoire particulièrement tendu et les récents attentats de Paris et Bruxelles ont certainement influencé les résultats. «Les personnes réagissent à l’instinct et n’ont pas conscience des implications qu’entraînerait un retour systématique des contrôles aux frontières. Face à la menace terroriste et aux flux migratoires, le besoin de protection prend le dessus.» En particulier au Tessin où près de 75% des sondés, population et leaders confondus, approuvent la pratique.

Contrôler chaque frontière: «une illusion»

Une analyse partagée par Etienne Piguet, spécialiste des migrations et professeur à l’Université de Neuchâtel, guère étonné par les résultats. «On assiste à un retour en grâce de la frontière, 10 ans après l’euphorie de la libre circulation. La population recherche le risque zéro. Pourtant, vouloir contrôler chaque centimètre de frontière est une illusion.» En février dernier, l’institut Prognos avait estimé le coût d’une fermeture de Schengen à 470 milliards de francs en 10 ans pour les pays de l’UE. Réalisée pour le compte de la Fondation Bertelsmann, l’étude soulignait les conséquences en termes de personnel, de stockage et d’infrastructures. Et de files d’attente interminables.

Pour Cesla Amarelle, conseillère nationale socialiste, les résultats du sondage réalisé pour l’Hebdo sont à l’image du «brouillage politique» qui règne dans le domaine de l’asile. «La Suisse est prisonnière d’une croyance politique, profondément ancrée historiquement, qui fait de la frontière une variable d’ajustement des flux migratoires. Or, on réalise que cette conception est dépassée. Aujourd’hui, la frontière n’a plus le même sens physiquement. Les personnes passent à travers quoi qu’il arrive.»

A Berne, les tentatives de l’UDC pour introduire des contrôles généralisés – avec l’aide de l’armée si nécessaire – se multiplient. En décembre dernier, le Conseil des Etats a rejeté une motion du Schwytzois, Alex Kuprecht, demandant que le Conseil fédéral réagisse dans l’urgence et mette en place des contrôles stationnaires.

S’il reconnaît qu’une surveillance systématique de toutes les personnes qui passent la frontière n’est pas réaliste, Martin Baltisser, secrétaire général de l’UDC, plaide pour un renforcement des contrôles afin d’endiguer l’immigration clandestine et les activités de bandes criminelles de passeurs. «En particulier sur certains points stratégiques comme dans les trains en provenance d’Italie. Les autorités doivent prendre leurs responsabilités et donner un signal politique fort.» Comment concilier ce durcissement avec le maintien des accords bilatéraux? «Une marge de manœuvre existe, l’intérêt de conserver les bilatérales est mutuel.»

Prédisposition favorable aux bilatérales

Paradoxalement, 54% de la population estime qu’il «faut sauver les accords bilatéraux même si cela implique de ne pas respecter le vote» sur l’immigration de masse. Deux études réalisées par M.I.S Trend, avant et après le 9 février 2014, soulignaient déjà cette tendance. A la question, «que choisiriez-vous entre l’application de quotas pour limiter la main-d’œuvre étrangère et le maintien des accords bilatéraux», 69,9% des sondés s’étaient prononcés en faveur des bilatérales en décembre 2014. Un an et demi plus tôt, en mai 2012, 67% des personnes interrogées déclaraient déjà vouloir poursuivre dans la voie bilatérale.

Pour Pascal Sciarini, directeur du département de science politique de l’Université de Genève, les résultats du sondage Sophia illustrent la situation inextricable dans laquelle se trouve le Conseil fédéral à savoir devoir appliquer l’initiative UDC tout en préservant les accords avec l’UE.

«Il n’est pas forcément contradictoire d’être à la fois pour un contrôle de l’immigration et plus favorable aux bilatérales qu’à la mise en œuvre de l’initiative contre l’immigration de masse. La deuxième question impose un choix, contrairement à la première.» S’ils montrent une prédisposition favorable aux bilatérales, les résultats ne garantissent pas le succès d’un second vote populaire dont les termes ne sont pas encore connus. L’initiative RASA, par exemple, qui cherche à sortir de l’impasse en annulant le vote du 9 février, n’est donc pas gagnée.

Source : letemps.ch

Un « ami des chrétiens » assassiné au Pakistan

Khurram Zaki, bloggeur musulman chiite, a payé de sa vie ses prises de position courageuses.

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Khurram Zaki dirigeait le site Let us build Pakistan, consacré à l’actualité politique et religieuse de son pays. Plusieurs photos le présentent en compagnie de membres du clergé chrétien pakistanais, lors de processions religieuses. Il arrivait même qu’il porte la croix en ces occasions, un geste lourd de conséquences pour un musulman : dans l’islam, le Christ n’a jamais été crucifié. Khurram Zaki était lui-même issu d’une minorité persécutée dans son pays, les chiites, et il dénonçait régulièrement les exactions commises à l’encontre des chrétiens.

Il défiait un mollah

Le bloggeur avait été rendu célèbre pour une manifestation organisée devant la Mosquée rouge, sanctuaire islamique au cœur d’Islamabad. Le rassemblement visait Abdel Aziz, le directeur de la mosquée, qui avait refusé de condamner les attentats des talibans de Peshawar le 16 décembre 2014 : l’assassinat de 150 étudiants, surtout des adolescents, d’une école miliaire dans le Nord-Ouest du pays. Le site du bloggeur dénonçait aussi bien les irrégularités démocratiques de son pays que l’extrémisme religieux : deux problèmes indissociables et qui empêchaient, selon lui, les Pakistanais de bâtir leur société.

La signature des terroristes

Le samedi 7 mai dernier, il dînait dans un restaurant de Karachi lorsque des terroristes l’ont mitraillé. Deux de ses amis, assis avec lui ont été blessés. Le groupe taliban « Hakeemullah » a revendiqué l’assassinat. En 2015 déjà, l’activiste Sabeen Mahmud, connue pour avoir critiqué le prêcheur de la Mosquée rouge avait été assassinée alors qu’elle conduisait sa voiture.

« Nous avons perdu beaucoup d’amis »

Le métier de journaliste est risqué au Pakistan, souligne Irfan Mufti, directeur de l’ONG South Asia Partnership Pakistan à Asianews. « Nous avons perdu beaucoup d’amis, témoigne-t-il. Les défenseurs des droits de l’homme sont menacés, les journalistes sont attaqués depuis de nombreuses années. Cet état a failli à nous protéger ; peut-être est-il devenu une victime de sa complaisance. »

Demande de justice

À la suite de l’enterrement de Khurram Zaki, des manifestations ont eu lieu pour réclamer justice, sans résultat pour le moment. L’impunité des criminels est un nouveau signe inquiétant, souligne une autre militante pakistanaise, Saeeda Deep qui constate que ses compatriotes semblent apathiques, silencieux, imperméables au dialogue : « Il devient impossible d’avoir une discussion fondée sur la logique », déplore-t-elle.

Le gouvernement juge "préoccupantes" les violences à Mayotte

Les récentes violences contre les immigrés sur l'île de Mayotte sont "extrêmement préoccupantes", a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement français, Stéphane Le Foll.

François Hollande et le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve ont évoqué lors du conseil des ministres les incidents survenus dans ce département d'outre-mer où se multiplient notamment les incendies contre des habitations d'immigrés clandestins.

"On est dans une situation qui est extrêmement préoccupante", a déclaré le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

"Il y a là avec l'immigration en provenance des Comores un sujet sur lequel le statu quo ne peut pas être accepté", a-t-il ajouté devant la presse. "Il faut maintenant prendre toutes le dispositions nécessaires pour éviter que nous passions à une forme encore plus aggravée de violences dans ce département.

Dans un communiqué commun publié mardi, les ministres de l'Intérieur et des Outre-mers Bernard Cazeneuve et George Pau-Langevin estiment que "de tels comportements n'ont pas leur place dans la République."

"Tous les individus impliqués, dont l'enquête devra établir l’identité, devront rendre compte de leurs actes devant la justice", ajoutent-ils.

Les ministres annoncent en outre, pour la fin mai "un plan d'actions contre l'insécurité et l'immigration clandestine" à Mayotte, où Bernard Cazeneuve doit se rendre prochainement.

(Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse)

Source : Reuters

 

Immigration clandestine : le voilier était en escale à Saint-Quay-Portrieux depuis une semaine

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Retour à Saint-Quay-Portrieux dans les Côtes d'Armor après l'arrestation de quatre passeurs. Ils organisaient des voyages vers la Grande-Bretagne à bord de voiliers depuis des ports normands et bretons.

Le "Sozo One" est amarré au bout du ponton numéro 7 sur le port de plaisance de Saint-Quay-Portrieux. Un petit drapeau français flotte en haut d'un de ses mâts. Le voilier sera prochainement sorti de l'eau à l'aide d'une grue. Il était surveillé nuit et jour depuis son arrivée une semaine auparavant.

Sept migrants ukrainiens à bord

Vendredi, lorsque les gendarmes débarquent avec leur grosse vedette, il y a sept migrants ukrainiens à bord. Tous espèrent rejoindre la Grande- Bretagne. Ils ont sans doute déboursé plusieurs milliers d'euros chacun avant d'embarquer. Tous ont finalement été arrêtés puis relâchés avec une obligation de quitter la France. Leurs passeurs ukrainiens, deux skippers et deux organisateurs présumés de la filière, eux, sont en détention provisoire. Arrêtés à Saint-Quay-Portrieux et Plérin le même jour, ils ont été mis en examen pour "aide à l'entrée, à la circulation ou au séjour irréguliers d'étrangers, en bande organisée", a indiqué le procureur de la république de Rennes, Nicolas Jacquet.

Saint-Quay-Portrieux : un port accessible jour et nuit

La nouvelle a fait le tour des pontons depuis vendredi. "On ne s'attend pas à voir ça ici même si on sait que ça existe", explique un plaisancier qui rentre d'une croisière de 15 jours en Manche avec sa femme. "Le port est surveillé mais accessible jour et nuit, il y a toujours de l'eau, pas de contrainte de marée. Celui qui cache du monde à bord est finalement assez tranquille et il n'y a pas de pointage à la sortie du port".

Des traversées depuis des ports bretons et normands

Cette filière d'immigration clandestine au mode opératoire assez inhabituel était dans le collimateur des enquêteurs depuis de longs mois. Les migrants ukrainiens étaient pris en charge par le réseau depuis leur pays puis acheminés en France par voie routière. Ils étaient ensuite convoyés en Grande-Bretagne par voiliers, au départ de ports bretons et normands. "Cette structure, active depuis 2012, a organisé a minima une vingtaine de passages de clandestins", a précisé Nicolas Jacquet.

Johan Moison

Source : Francebleu

Projet de construction d'une grande mosquée.

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Le quartier de Gerland subit une transformation historique qui verra passer le nombre de ses habitants de 25 000 à 45 000 à l'orée 2020.


Devant ce constat et par mesure d'anticipation, les membres de l'association ont décidé de s'investir, depuis 2011, dans un nouveau projet de construction d'une grande mosquée.


Cette décision n'a pas été facile à prendre car nous savions ce qu'il en coûtait de nous lancer dans un tel projet.
Mais les faits nous ont donné raison,car aujourd'hui notre Mosquée ne peut plus accueillir dans des conditions satisfaisantes d'hygiène et de sécurité tous les fidèles.


Nous sommes donc mis en quête d'un terrain qui nous permettrait de construire cette nouvelle mosquée. Cette recherche a été difficile car le quartier est prisé des promoteurs immobiliers.


Nous avons identifié un terrain de 500 m² appartenant à la ville de Lyon, avec une possibilité d'acquisition future d'une parcelle de 300 mètres carrés supplémentaires. Nous nous sommes mis d'accord avec les autorités et avons obtenu un accord écrit en ce sens.


Aujourd'hui, nous sommes dans l'attente d'une signature d'un compromis de vente.
Sur ce terrain nous espérons construire notre Mosquée qui pourrait accueillir, à terme, plus de 600 fidèles.


À travers ce projet, les membres de l'association El-Feth  ne cherchent que la satisfaction d'Allah, Le Très Haut, Le Très Généreux...


À côté de l'aide financière, que vous pourriez nous apporter, nous restons bien sûr ouvert à tout conseils et savoir-faire permettant  d'accélérer notre entreprise.

Source : Mosquée de Gerland

Belge, tu ne comptes plus !

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Ce matin, RTL expliquait que le CPAS de Charleroi avait reçu 650.000 € pour loger des « réfugiés ». Cet argent devait servir à leur trouver des logements et à les faire suivre par des assistants sociaux.

Lorsqu’on sait le nombre de SDF qui écument la ville et lorsqu’on sait le nombre de familles « de souche » qui attendent pendant des semaines d’avoir des contacts avec les services sociaux, cette information montre à quel point, les Belges de souche sont devenus des citoyens de seconde zone sur leur propre territoire !

Plus que jamais, illégaux dehors !

NATION

Source : Nation.be

Réfugiés syriens: 79 demandes refusées pour des raisons de sécurité

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Un total de 79 personnes ont été refusées jusqu'ici pour des raisons de sécurité dans le processus d'accueil de 25 000 réfugiés syriens au Canada, selon des données obtenues par La Presse. Et ce nombre pourrait augmenter, alors que plusieurs dossiers dits « complexes » demeurent à l'étude.

Ces 79 personnes étaient incluses dans quelque 19 demandes d'asile qui ont été déclinées « notamment pour des raisons de sécurité », a déclaré une porte-parole d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) en réponse à nos questions.

Les refus, a précisé le Ministère, étaient justifiés par l'article 34 de la Loi sur l'immigration, qui prévoit une interdiction de territoire pour les personnes qui posent une menace pour le Canada. Les menaces incluent l'espionnage, le terrorisme et la « subversion contre toute institution démocratique, au sens où cette expression s'entend au Canada ». Le gouvernement canadien doit avoir des « motifs raisonnables de croire qu'ils sont survenus, surviennent ou peuvent survenir ».

IRCC a indiqué que tous ces refus sont survenus à l'extérieur du pays.

 Ottawa a longtemps évité de fournir ces chiffres, car pour atteindre son objectif d'accueillir 25 000 réfugiés en seulement quelques mois, le gouvernement Trudeau a plutôt mis de côté les dossiers qui soulevaient des questions, plutôt que de se prononcer immédiatement sur leur sort.

« Ceci nous a permis de traiter un très grand nombre de dossiers en quelques mois », a expliqué une porte-parole d'IRCC, Nancy Caron.

« Nous avions indiqué que nous réévaluerions les dossiers plus complexes dans les mois à venir. En ce moment, IRCC est en train de réévaluer ces cas. Ceux qui ne respectent pas les critères d'admissibilité seront refusés », a ajouté Mme Caron.

Peu de détails

Le Ministère a donné très peu de détails sur les motifs et les circonstances qui ont mené à ces 79 refus, sauf pour dire qu'ils ont eu lieu « entre le 4 novembre 2015 et le 26 avril 2016 » et que les décisions ont été prises « selon l'article 34 de la Loi sur l'immigration et la protection des réfugiés ».

Il a de plus été incapable de fournir le nombre de demandes qui sont toujours à l'étude, de même que le nombre total de dossiers qui ont été mis de côté.

Le gouvernement avait accepté 27 000 réfugiés syriens en date du 8 mai, depuis le lancement du processus accéléré en novembre. Un total de 16 167 dossiers sont toujours en cours de traitement, dont près de la moitié proviennent du Liban.

À noter qu'aucun incident majeur de sécurité en lien avec l'arrivée de ces réfugiés n'a été rapporté au Canada au cours des derniers mois. De tels risques avaient été évoqués par des opposants de la démarche du gouvernement Trudeau, dont l'opposition conservatrice.

Hugo de Grandpré

Source : Lapresse.ca

Une mosquée ravagée par un incendie criminel près de Melbourne en Australie

Mercredi vers 2h du matin, un incendie criminel selon les premiers éléments de l’enquête, a complètement détruit une mosquée située dans la ville de Geelong à 75 km de Melbourne. A leur arrivée, les pompiers n’ont pas pu contenir les flammes. Fort heureusement, aucun blessé n’est à déplorer.

L’imam Mohammad Ramzan qui réside tout près de la mosquée se dit « choqué » par cet incendie. « Au cours des 23 dernières années, nous avons jamais reçu de menace », confie l’imam au Guardian. « C’est un quartier très calme et agréable », poursuit-il avant d’appeler au calme, promettant que la mosquée sera reconstruite et que la communauté gardera son sang froid et répondra à la haine par la tolérance et la paix.

Selon la presse locale, au cours des six derniers mois, plusieurs églises ont été la cible d’incendies à caractère criminel. A ce stade, aucun lien n’est fait entre ces différents incendies.

Source : des domes et des minarets

A Geelong, la 2ème plus grande ville de l’Etat de Victoria en Australie, la communauté musulmane est sous le choc. Un incendie a complètement détruit hier, leur mosquée construite à l’emplacement d’une ancienne église, rapporte un média local.

L’incendie s’est déclaré à 2h10 du matin (heure locale). Des témoins ont expliqué avoir entendu une forte détonation avant que le feu ne prenne possession du bâtiment. Les pompiers arrivés sur place n’ont pas pu pénétrer dans le bâtiment en raison de l’effondrement du toi de l’édifice et de crainte que le tout le reste ne suive. L’imam de la mosquée, sa femme et leurs 3 enfants qui dormaient dans une pièce attenante à la mosquée sont sortis indemne de l’incendie.

Passée la stupeur, l’incompréhension s’est installée quant à l’origine de l’incendie au sein de la communauté musulmane de Geelong. La détonation avant le départ du feu semble accréditer la thèse criminelle. Mais l’imam de la mosquée a confié à une télévision locale n’avoir jamais reçu de menaces ou encore de commentaires sur la présence de la mosquée. « Nous avons jamais eu aucun souci, aucun problème, aucune tension. Nous avons plutôt reçu des encouragements d’amour » ,a confié l’imam qui s’étonne même de la vague de sympathie provoquée par l’incendie. Des personnes se sont présentées d’elles-mêmes pour offrir leur aide. Des membres des autres communautés comme l’église anglicane a offert de laisser les locaux de leur église pour la prière du vendredi.

Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les causes de l’incendie et retrouver le ou les auteurs. Mais le chef de la police indique d’ores et déjà que l’incendie de la mosquée pourrait ne pas être lié à l’islam. Il explique qu’il pourrait être lié à une série d’incendie visant les églises de la ville et que le ou les auteurs pourraient avoir confondu cette mosquée avec une église. Quant à l’après-incendie, l’imam a confié que la mosquée serait reconstruite. « Nous allons la reconstruire. Que ce soit accidentel ou d’origine criminel, cet incendie ne pourra pas ébranler notre détermination » tranche l’imam.



...Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/44644/australie-...

A Geelong, la 2ème plus grande ville de l’Etat de Victoria en Australie, la communauté musulmane est sous le choc. Un incendie a complètement détruit hier, leur mosquée construite à l’emplacement d’une ancienne église, rapporte un média local.

L’incendie s’est déclaré à 2h10 du matin (heure locale). Des témoins ont expliqué avoir entendu une forte détonation avant que le feu ne prenne possession du bâtiment. Les pompiers arrivés sur place n’ont pas pu pénétrer dans le bâtiment en raison de l’effondrement du toi de l’édifice et de crainte que le tout le reste ne suive. L’imam de la mosquée, sa femme et leurs 3 enfants qui dormaient dans une pièce attenante à la mosquée sont sortis indemne de l’incendie.

Passée la stupeur, l’incompréhension s’est installée quant à l’origine de l’incendie au sein de la communauté musulmane de Geelong. La détonation avant le départ du feu semble accréditer la thèse criminelle. Mais l’imam de la mosquée a confié à une télévision locale n’avoir jamais reçu de menaces ou encore de commentaires sur la présence de la mosquée. « Nous avons jamais eu aucun souci, aucun problème, aucune tension. Nous avons plutôt reçu des encouragements d’amour » ,a confié l’imam qui s’étonne même de la vague de sympathie provoquée par l’incendie. Des personnes se sont présentées d’elles-mêmes pour offrir leur aide. Des membres des autres communautés comme l’église anglicane a offert de laisser les locaux de leur église pour la prière du vendredi.

Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les causes de l’incendie et retrouver le ou les auteurs. Mais le chef de la police indique d’ores et déjà que l’incendie de la mosquée pourrait ne pas être lié à l’islam. Il explique qu’il pourrait être lié à une série d’incendie visant les églises de la ville et que le ou les auteurs pourraient avoir confondu cette mosquée avec une église. Quant à l’après-incendie, l’imam a confié que la mosquée serait reconstruite. « Nous allons la reconstruire. Que ce soit accidentel ou d’origine criminel, cet incendie ne pourra pas ébranler notre détermination » tranche l’imam.



...Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/44644/australie-...

mercredi, 18 mai 2016

Connaissez vous l'histoire du Parti des Forces Nouvelles ? (1974-1984)

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Novembre 1974. A peine un an après la dissolution d’Ordre nouveau, au moment où la France se retrouve plongée dans le centre-mou giscardien, un nouveau parti nationaliste voit le jour. C’est le Parti des Forces nouvelles.

Pendant 10 ans, ce parti va incarner une droite nationale dynamique, moderne, adaptée aux réalités de son époque. Le PFN a été, pour toute une génération de militants, l’un de laboratoires de ce qui allait devenir par la suite, de la fin des années 80 jusqu’à aujourd’hui, le grand retour de la Droite nationale sur le devant  la scène politique française.

En ce quarantième anniversaire de la création du PFN, il nous a semblé intéressant de consacrer ce numéro 4 des Cahiers d’Histoire du Nationalisme à cette aventure qui marqua notre famille d’idée et qui continue à susciter bien des passions…

Nombreuses illustrations, reprise des textes fondamentaux :

■ Pour une nation nouvelle (1974),

■ Propositions pour une nouvelle droite politique (1979),

■ Perspectives d’actions (1982).

200 pages, 20 € (+ 3 € de port) à commander à :

Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

Chèque à l'ordre de Synthèse nationale

Vous pouvez aussi le commander ici

Bulletin de commande

Les réfugiés, pour la plupart des illettrés, dit un ministre

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La plupart des réfugiés voulant entrer en Australie ne savent pas lire, ni écrire, ni compter, a soutenu le ministre australien de l'Immigration dans des propos jugés xénophobes par l'opposition.

Peter Dutton était interrogé sur les propositions des travaillistes, à l'approche des élections du 2 juillet, de porter de 13 700 à 27 000 le quota de réfugiés que l'Australie acceptera chaque année. Les Verts plaident quant à eux pour le chiffre de 50 000.

«La plupart des gens ne sauront pas compter, ni lire, ni écrire dans leur propre langue, sans même parler de l'anglais, ce qui est un problème», a déclaré mardi soir le ministre à la chaîne Sky News.

«Il ne fait aucun doute que ces gens voudront des emplois en Australie», a-t-il poursuivi. «La plupart seraient au chômage et se languiraient dans les files d'attente de chômeurs ou de Medicare (l'assurance maladie)... Cela représenterait un coût énorme et il ne sert à rien d'édulcorer cette réalité.»

Source : tvanouvelles

Hervé Mariton : Hollande veut assurer le bon déroulement du concert de Black M ? Ahurissant !

François Hollande a annoncé ce mardi matin qu’il était prêt à aider la mairie de Verdun à assurer le bon déroulement du concert de Black M si celui-ci était reprogrammé. Réaction d’Hervé Mariton, qui avait demandé la démission du secrétaire d’État aux Anciens combattants.

Et si le pape rencontrait la vraie « France périphérique » ?

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Le pape, selon La Croix, se rendra en France après l’élection présidentielle : Paris et sa banlieue, Lourdes, et peut-être Marseille. Les catholiques français ne peuvent que s’en réjouir. D’abord parce que la visite d’un pape est toujours pour eux une joie. Ensuite parce qu’il semble, au vu de ses déclarations récentes au même journal, que le Saint-Père connaisse mal la France.

La France, dit-il, « exagère la laïcité ». « Si une femme musulmane veut porter le voile, elle doit pouvoir le faire. » La laïcité serait en effet bien cruelle de forcer un pauvre sikh à ôter son turban, un malheureux bonze à enlever sa robe orange. Alors, n’est-ce pas, « si une femme musulmane veut porter le voile, elle doit pouvoir le faire ». Sauf qu’une chose est le principe, une autre le contexte : certaines, à l’inverse, voudraient ne pas le porter, mais ne peuvent pas le faire. Et la prolifération, la généralisation, la multiplication autoritaire de ce voile marginalise ces dernières un peu plus chaque jour. Le pape, s’il le savait, ne cautionnerait certainement pas cette aliénation de la femme.

On peut reprocher à la laïcité française d’exagérer, on peut surtout lui reprocher de ne pas gérer. Fébrile et impuissante, elle tente sans succès de faire rentrer dans la camisole qu’un catholicisme docile avait bien voulu enfiler un islam autrement impérieux, qui ne s’embarrasse pas de nuances subtiles entre le temporel et le spirituel. Et les coutures craquent de partout. Ce qu’elle ravaude dans un coin lâche dans un autre. Le voile n’a pas l’exotisme pimpant du turban sikh, ni la discrétion pacifique d’une croix autour du cou.

« L’Europe, oui, a des racines chrétiennes », dit-il encore, « mais quand j’entends parler des racines chrétiennes de l’Europe, j’en redoute parfois la tonalité, qui peut être triomphaliste ou vengeresse. Cela devient alors du colonialisme. » Ainsi parle le père qui se sent investi du devoir de rabattre le caquet de ses enfants pleins de morgue, écrasant leur prochain de leurs certitudes.

Mais la réalité est tout autre. Ses ouailles françaises sont raillées par les médias, bafouées par le gouvernement, tiennent lieu de tête de Turc à « l’élite » en général. Au point que beaucoup ne croient plus en eux et sont rongés par le doute. Celui qui se noie fait rarement montre de « triomphalisme », trop occupé à garder la tête hors de l’eau. Si les chrétiens sont arrogants, c’est à la manière de Poil de Carotte, de façon très très discrète. Et, comme tous les souffre-douleur, ils aimeraient parfois se jeter dans les bras de leur père pour être consolés, raffermis, défendus.

« L’Europe connaît un grave problème de dénatalité. […] Un vide démographique s’installe. En France, toutefois, grâce à la politique familiale, cette tendance est atténuée. » De quelle politique familiale parle-t-il ? Démembrée, charcutée, en lambeaux… elle n’est plus qu’un ancien souvenir.

Ce pape exhorte à aller « aux périphéries ». Il sait tendre lui-même la main aux marginaux, y compris aux « marginaux » du politiquement correct, comme le montrent son geste vers la fraternité Saint-Pie-X ou, dans un autre genre, son soutien au cardinal Barbarin. Mais il faut qu’il n’ait parlé et échangé qu’avec le cœur du système dominant pour avoir fait sienne cette vision de la France. Puisse-t-il rencontrer réellement, lors de sa visite, la France périphérique et l’écouter, loin du village Potemkine que l’on voudra lui présenter.

Gabrielle Cluzel

Source : Boulevard Voltaire