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jeudi, 12 mai 2016

Yannick Moreau : 500.000 travailleurs détachés en France : vive la concurrence déloyale !

Yannick Moreau, député de Vendée, est le porte-parole du collectif Franc-Parler, qui propose aujourd’hui un amendement Molière à la loi Travail. Cet amendement vise à imposer aux travailleurs détachés de parler français. Explications.

Source : Boulevard Voltaire

Être islamiste, c’est avoir une motivation « politique » ou être cinglé !

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Avec France 3, pas de surprise, il y a toujours une part de politiquement correct. Le journal du 12/13 heures du 10 mai n’a pas failli à sa tradition…

Un reportage était consacré à l’attaque, en Allemagne, de voyageurs par un homme armé d’un couteau :

Un mort et trois blessés. Un homme a poignardé, mardi 10 mai à l’aube, des passants dans la gare de Grafing, une petite ville située à une trentaine de kilomètres au sud-est de Munich (Bavière, Allemagne). L’agresseur, un Allemand de 27 ans, a été arrêté. « Il a fait des déclarations sur place qui renvoient à une motivation politique, a priori islamiste », a expliqué le parquet. Des témoins, cités par des médias locaux, racontent en effet que l’agresseur a crié « Allahou akbar » (« Allah est le plus grand »). Mais cette hypothèse n’est pas la seule. Selon le correspondant en Allemagne de France 2, Amaury Guibert, des médias allemands rapportent que l’homme qui a attaqué au couteau des voyageurs en gare de Grafing était suivi en psychiatrie et se droguait.

Il y a deux actes de pure désinformation dans ce reportage…

Le premier : « Une motivation politique, a priori islamiste. » J’ignorais qu’une motivation islamiste relevait du domaine politique, pensant naïvement qu’elle était du domaine du religieux… Pourquoi cette omission ? Car, en évoquant le religieux, ils se trouvaient dans l’obligation de mentionner le mot islam… Or, ce mot est tabou en Europe. Rappelez-vous notre Président bien aimé qui parle, lors des attentats, de terrorisme sans mentionner l’islamisme.

Le deuxième a déjà beaucoup servi dans notre pays pour cacher l’intention confessionnelle : « L’homme était suivi par un psychiatre. » Vous ne pouvez pas avoir oublié l’attentat de Saint-Quentin-Fallavier, lorsqu’un terroriste islamiste, Yassin Salhi, avait voulu perpétrer le 26 juin 2015 un attentat dans une usine de production de gaz industriel. Ce jour-là, il avait fait monter son employeur dans sa camionnette, l’avait assommé d’un coup de cric puis, après l’avoir étranglé d’une seule main, selon ses dires, il l’avait tranquillement décapité en arrivant à l’usine d’Air Product. Puis, toujours aussi tranquillement, il avait posé la tête de sa victime sur la clôture du bâtiment à coté d’un drapeau de Daech.

Dans ce cas comme dans de nombreux autres, les données psychiatriques furent privilégiées. Le professeur Daniel Zagury, expert psychiatre, exposa : « Son geste est celui d’un timoré, d’un employé solitaire, susceptible et peu assuré, qui a accumulé les tensions et se sent humilié par ses supérieurs… C’est une explosivité émotionnelle qui s’est brutalement manifestée. » Circulez, il n’y a rien à voir ! Six mois plus tard, Yassin se suicidait en prison.

Il sera important d’étudier, dans les prochains jours, comment va évoluer l’affaire en Bavière, mais il ne serait pas étonnant que le « surmenage » de l’agresseur soit, pour le parquet allemand, l’élément déclencheur de ces attaques. Et s’il était impossible de mettre sur le compte de la démence l’acte lui-même, il resterait la solution, pour le gouvernement allemand, de la prise de drogue, un moyen, là aussi, de minimiser son statut de musulman. « Allahou akbar » reviendrait alors à exprimer un mal-être, une addiction à la drogue ou un banal mobile politique.

Merci à France 3 ! Grâce à cette chaîne, je réalise que l’horrible extermination des Arméniens par les Turcs n’était qu’une simple action politique.

J.-P. Fabre Bernadac

Source : Boulevard Voltaire

 

Colonel Xavier Pierson : « Si la France est un pays de mécréants, qu’il aille chanter ailleurs ! »

Le colonel Xavier Pierson a été directeur du Mémorial de Verdun de 2005 à 2015. Il réagit au choix du rappeur Black M – qui, dans un de ses textes, traite la France de « pays de kouffars (mécréants) » – pour chanter à la commémoration de la bataille de Verdun.

 

Source : Boulevard Voltaire

Mantes-la-Jolie : la police enquête sur la future mosquée du Val-Fourré

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Une lettre anonyme adressée au procureur de Versailles pourrait agiter le Val-Fourré à Mantes-la-Jolie. Ce jeudi, des responsables de l’association musulmane Othmane sont convoqués à la brigade financière de la PJ de Versailles.

Les enquêteurs travaillent sur de possibles malversations au sein de l’association, qui gère la construction de cette imposante mosquée située dans la cité sensible. Selon plusieurs sources policières, c’est un courrier anonyme qui a permis de déclencher l’ouverture d’une enquête. Les investigations ont été confiées à la police judiciaire en raison de la complexité de ce sujet très sensible.

Avec une capacité estimée de 4 000 à 5 000 fidèles, la mosquée Othmane sera, à terme, l’une des plus grandes de France. Mais son chantier traîne en longueur depuis des années ce qui a fini par exaspérer les musulmans et les élus de Mantes-la-Jolie, conscients du caractère explosif du dossier.

Et rapidement, aux interrogations sur l’inertie du chantier, a succédé une certaine suspicion quant à l’utilisation des millions d’euros de dons des fidèles. C’est ce point précis qui intéresse les enquêteurs. Ces derniers mois, le Maroc a fini par se mêler à l’affaire, proposant de racheter la mosquée afin d’accélérer les travaux. En contrepartie, le royaume souhaiterait récupérer l’association Othmane. Une situation qui suscite, depuis, de très vives tensions au sein même de l’association. Des empoignades physiques et verbales qui ont entraîné plusieurs signalements aux autorités. Et peut-être l’envoi de ce fameux courrier…

Mehdi Gherdane

Source : Le Parisien

Ecquevilly : la mosquée, sous surveillance depuis des années, perquisitionnée

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« Au fil des ans cette mosquée est devenue une vitrine salafiste au niveau régional. On est passé d’une petite salle de prière à un hub salafiste dans l’ouest parisien. » Selon un musulman qui connaît bien le dossier, c’est bien sa supposée orientation salafiste qui est à l’origine de la perquisition administrative de la mosquée Malik Ibn Anas d’Ecquevilly qui a eu lieu mardi soir.

En effet, la mosquée Tariq Ibn Ziyad des Mureaux et le siège de l’association musulmane El Feth de Mantes-la-Ville ont été également perquisitionnés ces derniers mois.

Contactés les représentants de la mosquée n’ont pas donné suite à nos demandes et la préfecture n’a pas souhaité s’exprimer sur le résultat de ces perquisitions.

Hendrik Delaire

Source : Le Parisien

Manifestation anti-migrants à Calais: le général Piquemal jugé jeudi à Boulogne-sur-Mer

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Le général en retraite Christian Piquemal, qui avait été interpellé après avoir bravé le 6 février l’interdiction par les autorités d’un rassemblement hostile aux migrants organisé par l’extrême droite à Calais, sera jugé jeudi à Boulogne-sur-Mer.

Agé de 75 ans, l’ancien grand patron de la Légion étrangère de 1994 à 1999 est poursuivi pour «organisation d’une manifestation interdite sur la voie publique» et «participation sans arme à un attroupement qui ne s’est pas dissout après sommation de se disperser».

Les deux délits sont passibles de, respectivement, six mois de prison et 7.500 euros d’amende et un an de prison et 15.000 euros d’amende.

Organisé à l’appel du mouvement islamophobe Pegida, le rassemblement avait attiré une centaine de personnes, qui avaient scandé des slogans tels que «on est chez nous!» ou «migrants dehors!». Après plusieurs appels à la dispersion, les gendarmes avaient chargé les manifestants. Vingt personnes avaient été interpellées.

De source judiciaire, l’ancien militaire, qui comparaîtra libre, est considéré comme «l’organisateur de fait» et le «leader» de la manifestation. Pour son avocat Me Dominique Mattéi, si «M. Piquemal a bien participé à la manifestation», il est «évident» qu’il n’en est «pas l’organisateur». «Pour le condamner là-dessus, il faudra le prouver et on ne pourra pas se réfugier derrière sa prétendue notoriété», a-t-il dit à l’AFP.

L’arrestation de l’ex-militaire avait suscité de nombreuses réactions venues principalement de l’extrême droite. «Un grand serviteur de la France traité plus durement qu’un délinquant: une cruelle preuve de l’inversion totale des valeurs», avait notamment écrit la présidente du Front National Marine Le Pen sur son compte Twitter.

 

Quelques jours après son interpellation, une manifestation de soutien organisée par les milieux d’extrême droite, également interdite, avait été organisée et s’était soldée par quatre interpellations.

Dans un communiqué, l’ex-militaire, s’est dit «ému et touché» par «les nombreuses marques de sympathie» qu’il a reçues depuis son arrestation. «Aussi sensible que je puisse être à ces témoignages de soutien (...) je dois rappeler que je me présenterai à cette audience en ma qualité de +simple citoyen+», a-t-il écrit.

M. Piquemal devait initialement être jugé en comparution immédiate le 8 février, mais son procès avait été reporté en raison d’un état de santé «incompatible avec une comparution immédiate», selon le parquet.

Sur Facebook, quelque 300 personnes ont déjà prévu de participer à un événement intitulé «mobilisation le 12 mai en soutien au général Piquemal» devant le Palais de justice de Boulogne-sur-Mer, créé par David van Hemelryck, le meneur du collectif «Hollande démission».

Source : Libération

Melun : projection-débat du film sur l’immigration maghrébine

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Venez assister ce jeudi soir à la projection du documentaire « Les marcheurs, chronique des années beurs », de Samia Chala, qui animera ensuite un débat avec le public autour de ce mouvement collectif, « la marche pour l’égalité », constitué pour beaucoup des enfants issus de la 1re vague d’immigration maghrébine.

Une initiative du service démocratie de proximité et vie associative de Melun, dans le cadre des Cinés-débats (après « Mémoire d’immigrés » diffusé le 21 avril dernier).

Ce jeudi à 19 heures au Conservatoire des Deux Muses, avenue Pompidou à Melun. Réservations au 01.64.52.95.67. ou sur democratieproximite@ville-melun.fr

Source : Le Parisien

Metz : les propos de l’imam sèment le trouble au Printemps des religions

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Président du conseil régional du culte musulman, l’imam Amine Nejdi était l’un des six invités du Printemps des religions à Metz. Les Profanes, opposés à ce débat, ont diffusé certaines de ses déclarations ultraconservatrices.

« La pornographie favorise directement ou indirectement la recrudescence des divorces, l’augmentation de l’homosexualité, de la bisexualité, de la sodomie, de la prostitution, du sida. » Ces propos sont tirés d’un article sur l’érotisation de la société, issu du site alwassam, nourri par des proches de la mosquée de Tomblaine. Amine Nejdi en est l’imam. Il est aussi président du conseil régional du culte musulman de Lorraine depuis 2003. Dans une autre citation, il rappelle « la prééminence masculine » sur la femme.

Ils ont été relayés dès lundi soir par Vincent Morel, au nom des Profanes, à la veille du second Printemps des religions organisé par la préfecture de Moselle à l’hôtel de ville de Metz. Mardi après-midi, ils avaient fait le tour des réseaux et enflammé la blogosphère. Pour Vincent Borel, il s’agissait de protester contre l’invitation de l’imam par l’État.

ET LES JEDIS ? — Il a d’ailleurs diffusé, dans son communiqué, d’autres citations ultraconservatrices du même tonneau, de responsables d’autres religions, pour ne pas prêter le flanc à une critique envers l’islam. Dans la foulée, un groupe de Profanes a manifesté gentiment devant l’hôtel de ville de Metz, pour rappeler l’État à son devoir de neutralité. Les mêmes, déguisés en Jedis, ont rappelé l’existence de leur Ordre, inspiré de Starwars, pour protester contre les critères de choix des invités. « Pourquoi, dans ce débat, aucun athée, aucune femme, aucun agnostique ? »

QUI D’AUTRE ? — Dans le Grand Salon, la polémique autour de l’imam a fait chou blanc. Certains élus messins sont montés au créneau. Les proches du maire et le préfet ont promis de vérifier les sources des Profanes. « Si nous ne l’avions pas invité, il y aurait eu un malaise » , confie un proche du maire.

Amine Nejdi, lui, répond d’abord par une pirouette. « C’est un texte d’une rédactrice, il y a huit ans, remis à jour en 2012, inspiré d’un livre de Jean-Claude Guillebaud. » Il finit par en assumer la responsabilité. « Il y a écrit "directement ou indirectement". Les sources de l’homosexualité sont multifactorielles… »

ET LA FRATERNITÉ ? — Avant de trouver une meilleure défense : « Cela fait vingt-huit ans que je suis sur le terrain, vingt ans que je fais des vidéos… » sans que personne n’ait, jusque-là, trouvé à redire. « Il faut distinguer ce genre de déclaration et l’homophobie, qui est de l’intolérance. J’ai des fidèles homosexuels, je n’ai aucun jugement de valeur à porter sur eux. » Il invite les Profanes à en discuter autour d’un thé, dans sa mosquée, près de Nancy.

Et le Printemps des religions dans tout ça ? La fraternité, le thème de 2016, n’a pas fait le plein. L’évêque de Metz, le doyen des prêtres orthodoxes de l’Est, un pasteur parisien, le grand rabbin de Moselle, un moine bouddhiste et… l’imam ont parlé durant deux heures devant une petite centaine de personnes.

mercredi, 11 mai 2016

Autisme, Dogmes, Mensonges & Utopies !

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Durant des décennies, le Royaume-Uni avec l’IRA et l’Espagne avec l’ETA ont connu un terrorisme ayant pour obectif essentiel l’avènement d’Etats indépendants.

Si les attentats commis par ces deux organisations avaient pour cibles des objectifs militaires dans leur grande majorité, nombreux furent les civils, victimes innocentes de tueries ou d’explosions aveugles dont le but était de mettre en péril les institutions des états.

La France a été confrontée elle aussi à d’innombrables attentats durant la période 1956-1963 lors de la guerre d’Algérie et ensuite 30 ans plus tard à ceux commis par le FIS et le GIA.

On ne peut donc pas prétendre que ces Etats et leurs gouvernements successifs ignorent les causes et les conséquences du terrorisme, d’autant plus que les services de renseignements, de l’armée et de la police avaient été mobilisés de longues années contre ce fléau. En outre, et depuis longtemps, différents systèmes de protection et de sécurité ont été installés dans le domaine public.

Tout ceci n’a pas empêché les attentats de Madrid à la gare Atocha en 2004, ni ceux du métro de Londres en 2005, capitale qui comptait plusieurs dizaines de milliers de caméras.

Le mensonge et la crédulité s’accouplent pour former l’opinion

Alors, malgré ces mesures prétendues « sécuritaires », la France a vécu les assassinats de Mohammed Merah en 2012, puis à Bruxelles ce fut la tuerie du musée juif par Medhi Nemmouche en juillet 2014, ensuite le massacre de Charlie Hebdo à Paris en janvier 2015, suivi de différents assassinats en province, pour aboutir au vendredi « noir » 13 novembre 2015 à Paris qui totalisa 130 victimes et des centaines de blessés.

Pourtant, des dizaines de milliers de policiers, CRS et militaires étaient mobilisés par les plans « Vigipirate » et « Sentinelle », sans compter les milliers de vigiles chargés de fouiller les sacs et colis suspects. Et que dire de la multitude de caméras installées partout entre 2005 et 2015 ? Tout ça pour ça ?

Le point d’orgue de cette succession macabre fut atteint le 22 mars 2016 à Bruxelles avec les attentats à l’aéroport et dans le métro : 35 morts et plus de 300 blessés, dont 25 sont toujours en soins « intensifs ».

Mais comment expliquer cette litanie de massacres d’innocents civils, alors même que ni l’armée ni la police présentent en tous lieux n’ont pu empêcher ceux-ci ?

A quoi servent toutes ces caméras, yeux virtuels de Big Brother ?

Quel fut le rôle des services de renseignements et d’espionnage ? Où est donc resté le principe de « précaution » ?

A posteriori, on pourrait dire : « Police partout, sécurité nulle part ! » et un observateur attentif de l’évolution de la délinquance et de la criminalité de conclure : « la Justice baisse les bras, la Police ferme les yeux… »

Niqabs, burqas, qamis et tutti quanti

On remarquera que les assassinats, les tueries et les attentats commis ces dernières années en Espagne, au Royaume-Uni, en France et en Belgique (où 23 suspects sont encore dans la nature) ont été revendiqués au nom de « Allah le Tout-Puissant ».

Pas de revendication pour l’indépendance de la Catalogne, de l’Ecosse, de la Bretagne ou de la Flandre….

Ces massacres sont destinés à répandre la terreur parmi les populations décadentes, afin qu’elles fassent pression sur leurs gouvernements respectifs pour faire cesser les actes hostiles et les campagnes militaires en terre d’ISLAM.

Et la réponse à ces attentats, des ministres qui nous gouvernent,  se résume à des marches imbéciles au nom de « Charlie », à des attroupements de moutons en larmes, aux dépôts de gerbes répétitives, à des manifestations graphiques et à l’implantation de milliers de bougies (face au temple bruxellois du capitalisme apatride)….. Toutes sortes d’expressions de peuples en déclin, soumis et incapables de sursaut, car décérébrés et manipulés par un Pouvoir impotent et incompétent.

Une nation qui se respecte, venge ses morts et ne pleurniche pas !

On ne fait pas la guerre en dentelle, ni avec des Kleenex

Cela fait déjà de nombreuses années que des criminologues et des experts du terrorisme rédigent des notes de synthèse à l’usage des ministres et des administrations en charge de la sécurité publique. Des milliers de rapports ont été transmis depuis les attentats du RER en 1995. Différents diagnostics ont été établis. Des décèlements précoces et des « modus operandi » ont été proposés.

Malgré tous ces avertissements, les Pouvoirs (de droite ou de gôche) n’en ont pas tenu compte, ont opéré des bouleversements dans les services concernés, ont multiplié les strates administratives et opérationnelles au point d’en arriver –en France comme en Belgique- à un véritable mille-feuille pour ce qui concerne la sécurité  intérieure, impliquant des dizaines de hauts responsables pour chaque réunion majeure.

Et ces politiciens abrutis voudraient maintenant créer un organe regroupant l’ensemble des 28 pays d’Europe, ce qui pour un Etat-Major ayant « déclaré  la guerre à DAESH », reviendrait à convoquer des centaines de participants pour chacune de leurs palabres ! Les djihadistes doivent en pleurer de rire.

Ces pourriticards n’ont pas pu, pas su ou pas voulu anticiper, prévenir et déjouer ces massacres, dont le sang tache leur conscience. Leur suffisance n’égale que leur impéritie.

Les terroristes ont de beaux jours devant eux, d’autant plus que la majorité des chefs d’Etats et de gouvernements européens évoluent encore dans leur bulle droits-de-l’hommiste, persuadés que les chimères multiculturelles de la société du « Vivrensemble » et du « Padamalgam » sont l’alpha et l’oméga de notre société ! Totalement déconnectés de la réalité, ces éminences qui nous dirigent nous conduisent vers le chaos et un choc sanglant de civilisations.

Il est grand temps de porter le fer et le feu dans les tanières de l’Islam des wahhabites et des takfiristes, de rétablir l’ordre public dans les Zones de Sécurité Prioritaires et de stopper l’immigration/invasion.

Il n’est pas trop tard pour modifier une législation inadaptée à l’état de guerre et de réinstaurer une Cour de Sûreté de l’Etat.

Il est urgent de réactiver des services de contre-terrorisme et de rétablir la peine de mort.

Sinon, on n’en terminera pas avec le cancer islamiste qui propage ses métastases de plus en plus mortelles au fil du temps qui passe.

La mort pour les assassins. La vie pour les innocents !

Pieter Kerstens

Source : Altermedia

Un record de 40 millions de personnes déplacées par la guerre dans le monde

Un record de 40 millions de personnes étaient déplacées en 2015 dans le monde à cause de la guerre, dont plus de la moitié en Syrie, Yémen et Irak, selon un rapport publié mercredi. En 2015, il y a eu 8,6 millions de nouveaux déplacés en raison de conflits armés, dont 4,8 millions au Moyen Orient et en Afrique du Nord, pour atteindre un total de 40,8 millions, indique l’Observatoire des situations de déplacement interne (IDMC).

« Ce chiffre est le plus élevé jamais enregistré et représente le double du nombre de réfugiés dans le monde », déplore Jan Egeland, secrétaire général du Conseil norvégien pour les réfugiés qui a cosigné le rapport de l’IDMC, un observatoire basé à Genève.

La tendance « s’est accélérée depuis le début des printemps arabes fin 2010 et l’émergence du groupe État islamique », aussi appelé Daesh, note le rapport annuel. C’est la quatrième année consécutive que le nombre de déplacés en interne atteint un nouveau record.

La Syrie, le Yémen et l’Irak comptabilisent plus de la moitié des personnes déplacées par les conflits en 2015. Viennent ensuite l’Afghanistan, la Centrafrique, la Colombie, la République démocratique du Congo, le Nigeria, le Sud Soudan et l’Ukraine.

Le rapport indique par ailleurs que 19,2 millions de personnes étaient déplacées en 2015 à cause de catastrophes naturelles avec l’Inde, la Chine et le Népal en première ligne. En cumulé, les conflits et les catastrophes naturelles ont fait 27,8 millions de nouveaux déplacés en interne en 2015.

« Ce chiffre équivaut aux populations de New York, Londres, Paris et du Caire réunies, emportant dans leur fuite et souvent dans la panique, le peu de choses qu’elles peuvent transporter, et se lançant dans un périple teinté d’incertitude. Autrement dit, environ 66.000 personnes ont dû abandonner leur foyer chaque jour en 2015 », souligne Jan Egeland.

Source : Boulevard Voltaire

Nigeria: des enfants meurent dans les geôles des islamistes présumés selon Amnesty

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Amnesty International a demandé mercredi aux autorités nigérianes de fermer un centre de détention réservé aux membres présumés du groupe islamiste Boko Haram après la mort en détention de 150 personnes, dont des enfants et des bébés.

Dans un nouveau rapport publié mercredi, Amnesty dénonce la mort d'au moins 149 personnes dans ce centre de détention, dont 12 enfants, presque tous de moins de cinq ans, le plus jeune ayant cinq mois.


"La découverte de la mort de bébés et de jeunes enfants dans des conditions atroces, alors qu'ils se trouvaient dans un centre de détention militaire, est à la fois poignant et horrifiant", a déclaré Netsanet Belay, le directeur Afrique d'Amnesty.


"Nous avons déjà dénoncé à plusieurs reprises le taux de mortalité alarmant parmi les détenus des casernes de Giwa. Ces nouvelles révélations démontrent que cet endroit est associé à la mort, autant pour les adultes que pour les enfants", a-t-il poursuivi.
"Il ne peut y avoir ni excuses ni délais. Le centre de détention des casernes de Giwa doit fermer immédiatement, et tous les détenus doivent être libérés ou remis aux autorités civiles", a-t-il insisté.


Selon le nouveau rapport d'Amnesty, intitulé "Ce que vous allez voir va vous faire pleurer: Vie et mort dans les casernes de Giwa", d'anciens détenus et des témoins rapportent que des détenus sont morts de faim, de maladie, de déshydratation ou des suites de blessures.
Quelque 1.200 personnes, dont 120 enfants, étaient détenus dans ce centre en mars. Les conditions de détention, dans ce centre surpeuplé, ont empiré, malgré les critiques formulées par le passé, dénonce le rapport, à cause notamment de l'insurrection armée en cours contre Boko Haram, qui a entraîné des arrestations de masse.


- Des corps dans des bennes à ordures -


Les maladies, telles que la varicelle et la diarrhée, se propagent rapidement dans les trois cellules pour femmes, où celles-ci sont entassées avec leurs enfants et leurs bébés, rapportent des témoins cités.


Le nombre de détenus par cellule est passé de 25, l'année dernière, à 250 cette année, poursuit le rapport.


"Il y a beaucoup d'enfants avec nous dans les cellules, âgés d'un mois à un an. La cellule est tellement bondée qu'on ne peut pas se tourner de droite à gauche en dormant", décrit une femme.


L'armée nigériane n'a pas nié détenir des enfants. Le 12 février, l'armée a annoncé avoir relâché 275 détenus dont 50 enfants qui avaient été soupçonnés de "terrorisme ou insurrection".


Amnesty dénonce le manque de procès, pour les suspects, et le fait qu'aucun d'entre eux n'aient accès à un avocat pendant leur détention, ce qui représente une violation des lois nigériane et internationale.


Des fossoyeurs de Gwange, le plus grand cimetière de Maiduguri, avaient déjà rapporté à l'AFP, en février, avoir enterré sur place des civils morts dans les casernes de Giwa.
Selon ce nouveau rapport, 136 hommes sont morts, en plus des 12 enfants, depuis janvier, et les corps des morts de Giwa ont été transportés à Gwange dans des bennes à ordures, "deux ou trois fois par semaine".


Amnesty a déjà dénoncé l'exécution, par l'armée, de plus de 600 détenus qui avaient fui Giwa en mars 2014 après une attaque de Boko Haram.


En juin dernier, l'organisation a considéré que certains commandants de l'armée nigériane étaient passibles de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, dans la lutte contre Boko Haram.


Le président nigérian Muhammadu Buhari a promis de se pencher sur ces accusations et il a assuré que son gouvernement "ne tolèrerait pas l'impunité et les violations des droits de l'homme".


Mais selon Amnesty, "aucune mesure n'a été prise pour l'instant afin de mettre en place des enquêtes indépendantes, impartiales et efficaces ou de lancer des poursuites pour les crimes commis".

Source : Le Parisien

« Gloire à Allah » sur les bus londoniens… Et ça ne fait que commencer !

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Et ce qui devait arriver arriva : à peine les Londoniens viennent-ils d’élire un maire musulman que promotion de l’islam et interrogation sur la liberté de mouvement de la femme musulmane battent leur plein.

Promotion de l’islam, d’abord. Sous couvert de campagne humanitaire envers les réfugiés syriens, le lendemain même de l’élection de Sadiq Khan, l’association Islamic Relief, une ONG d’aide internationale, avec l’accord de la société londonienne, va placarder les flancs de 640 bus d’un énorme « Subhan Allah ». En français : Gloire à Allah. Pendant deux mois, c’est-à-dire durant toute la durée du ramadan. Aucun risque, dans ces conditions, d’échapper aux nouveaux repères…

Prosélytisme islamique, vous dit votre bon sens ? Pas du tout. « Transport for London » se défend de tout motif religieux. Son de cloche identique pour le président de Relief en personne, Imran Madden, selon lequel il s’agit seulement de « changer le climat ambiant autour de la société musulmane britannique et la perception négative de l’aide internationale ». Indiquant au passage l’incroyable générosité de la communauté en question, laquelle, durant le ramadan, vient en aide aux pauvres (mais du monde entier), versant 126 millions d’euros aux organismes de bienfaisance. On ne demande pas lesquels.

Des bus islamisés à Londres, mais pas seulement… Manchester, Leicester, Birmingham, Bradford ne seront pas en reste. Quand on sait que le père du nouveau maire exerçait le métier de conducteur de bus, la démarche revêt (belle ironie) « une résonance particulière ». Ainsi l’analyse The Independent. Et ce ne sont pas les révélations du site canadien Point de bascule qui rassureront. En effet, l’organisation Islamic Relief a vu ses comptes fermés il y a quelque temps par UBS (banque suisse) en raison de ses liens avec des structures terroristes et de la proximité du président du conseil de direction avec les Frères musulmans. Bref, la publicité de Islamic Relief « signe le début d’une nouvelle ère d’expression pour la foi chrétienne devenue non grata », analyse Simon Calvert (Christian Institute), s’exprimant dans le Daily Mail. Pour tout dire, le début de la fin de l’Europe chrétienne.

La liberté de mouvement de la femme musulmane, ensuite. Le 8 mai, jour de l’élection de Sadiq Khan, les Anglais n’en ont pas cru leurs oreilles. Edward Stourton, dans son émission de BBC Radio 4 consacrée à l’éthique et aux faits religieux, posait à ses auditeurs cette incroyable question : « Les femmes musulmanes doivent-elles être autorisées à se déplacer à plus de 80 km de chez elles sans un chaperon homme ? » Quel progrès, au XXIe siècle, de demander aux citoyens ce qu’ils pensent d’un phénomène qui n’a plus cours en Occident depuis des lustres ! Quelle parfaite conscience, aussi, de la condition inférieure de la femme dans la religion musulmane quand, par ailleurs, les mêmes médias ne tarissent pas d’éloges à son égard…

Enfin, l’élection d’un musulman à la tête de Londres change-t-elle vraiment la donne, les dirigeants anglais pratiquant, depuis bien longtemps, une politique immigrationniste et communautariste ? Non, changement et régression de civilisation s’avèrent simplement… beaucoup plus rapides.

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire

Lutte contre le terrorisme : Manuel Valls n’a toujours rien compris…

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La France a de l’argent à perdre, chacun le constate devant la folle amélioration du niveau de vie de nos compatriotes. Du moins, c’est ce que semble croire le gouvernement socialiste et son sémillant Premier ministre Manuel Valls. Ainsi, le croisé de la laïcité offensive a décidé de s’occuper prioritairement d’un sujet religieux : la radicalisation. Entendons bien, d’ailleurs, qu’il se refuse à lutter contre l’islamisme. Certainement quelques fanatiques hindous ont-ils envahi le territoire national.

Mais au-delà de ces pudeurs sémantiques, certes révélatrices, il faut indiquer que les 40 millions d’euros que le gouvernement veut dépenser pour « déradicaliser » n’auront d’autres conséquences que de renforcer une noria d’experts douteux dont l’efficacité et l’idéologie sont constamment mises en doute. Un plan national de lutte contre le terrorisme, dont l’annonce majeure revient à viser la réinsertion sociale d’anciens des fronts syriens et irakiens, prête à confusion. Et ajoutons, à notable injustice, que les militaires français abandonnés par l’État auraient certainement apprécié une telle attention, tant pécuniaire que médiatique.

Allons plus loin. En proposant une telle mesure, Manuel Valls indique qu’il n’a décidément rien compris au phénomène djihadiste puisqu’il le considère sous l’angle des inégalités sociales voire territoriales. L’islamisme n’aurait rien à voir là-dedans, et l’invasion de personnes issues d’une civilisation en tout point opposée au génie européen non plus. Fermez le ban et croisez les doigts pour que les maisons des jeunes et de la culture transforment d’anciens bourreaux du peuple syrien en sympathiques artistes. Voilà l’équation à laquelle les Français devraient croire.

Il faut le dire clairement : les jeunes gens partis au Proche Orient rejoindre les rangs de l’État islamique, d’Al-Qaïda ou d’autres excroissances des Frères musulmans participent à des massacres de masse. Et l’on se demande comment les « experts » veulent calculer l’horreur : ont-ils décapité, traîné des cadavres, torturé des soldats ou des civils, participé à l’embrigadement des enfants des zones pauvres ? Ce sont des dizaines d’année en prison que doivent passer ces fossoyeurs de l’image de la France dans la région, pour notre propre sécurité, mais aussi pour le mal qu’ils ont fait subir à toute notre nation et à nos alliés historiques dans la région.

La question de leur nationalité doit aussi être posée. Il faut pour cela que la France se dégage enfin de conventions internationales qui disposent de la nationalité comme d’un contrat juridique en niant toute dimension de reconnaissance de la nation. En somme, le législateur ne peut pas, à lui seul, octroyer aussi facilement la nationalité française sans accord de la communauté nationale. Cette dernière rejette les djihadistes sans s’émouvoir de leurs excuses avariées : quartiers, réseaux sociaux, etc. Il y a urgence à prendre la mesure de la guerre qu’ils nous mènent.

Yann Bompard

Source : Boulevard Voltaire

 

Chute des actes antisémites et antimusulmans. Pour les chrétiens, on repassera

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C’est une dépêche AFP. Comme toutes ses consœurs, elle a sauté de site en site, par ricochet, dupliquée à la virgule près parce qu’il ne faudrait quand même pas trop se fouler : « Le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a annoncé, lundi soir, que les actes antisémites et antimusulmans ont baissé de 80 % au premier trimestre 2016, par rapport à la même période, l’an dernier. »

« La vigilance […] commence à porter ses fruits », a précisé Bernard Cazeneuve. Voilà une bonne nouvelle. On applaudit des deux mains. Mais comme le lycéen anxieux qui ne se trouve pas sur la liste le jour des résultats du bac, on reste là, bras ballants, vaguement interdit : Bah… oukonest ? et les actes antichrétiens, alors ?

On a dû perdre la feuille. Ou bien on l’a laissée dans la photocopieuse. Maryse, tu vas voir ?

Pourtant, Bernard Cazeneuve semblait avoir prévu la colonne, à côté de celle des autres, sur son grand tableau Excel : « À chaque fois qu’il y a un acte antisémite, raciste, antimusulman, antichrétien, les préfets déposent plainte auprès des procureurs de la République. Il y a donc une fermeté absolue. »

Mais in fine… rien. Nada. Peau de balle. Pffft, tellement négligeables qu’il ne les a même pas évoqués ?

On serait tenté, évidemment, de parler des 130 « croisés » du 13 novembre, comme les ont appelés, dans leur revendication, les islamistes. Si les malheureux ne se sentaient pas tous franchement « chrétiens », leurs bourreaux eux, les ont ciblés comme tels.

Alors là, soyons très clairs, inutile de bassiner Cazeneuve : le 13 novembre ne fait pas partie du premier trimestre 2016. Quand on fait des stat’, il faut être précis.

On pourrait, naturellement, lui glisser que le préfet et le procureur sont superflus pour se faire une idée. Qu’il suffit de lire la presse locale. Lorsque l’on rentre le mot « vandalisée », « incendiée » ou « profanée » à côté de celui d’« église », Google ne sait plus où donner de la tête : Saint-Martin à Aubière, Saint-Didier à Bruyères-le-Châtel, Notre-Dame à Quézac, Saint-Louis à Fontainebleau, Saint-Jacques à Montauban, Sainte-Croix à Saint-Lô, Sainte-Marie-Magdeleine à Plan-de-Cuques, Notre-Dame à Goupillières… la liste, en ce début d’année, est loin d’être exhaustive. Départs de feu, jets de pierre, portes fracturées, tabernacles forcés, hosties jetées à terre, vitraux brisés, murs tagués, statues renversées, les « actes » sont d’inégale intensité, et leurs auteurs divers. Mais on aimerait, eux aussi, les comparer à ceux de l’an passé. Alors quoi ? Pourquoi Bernard Cazeneuve reste-t-il coi ? Parce qu’il fait la méthode Coué – celle de Pierre Moscovici, autrement appelée « prophétie autoréalisatrice » – « Toute idée qui se grave dans notre esprit tend à devenir une réalité dans l’ordre du possible », dixit Wikipédia – et qu’il y croit.

Si les racines chrétiennes sont niées, ces églises anciennes n’ont donc pas droit de cité, hé hé, puisqu’elles n’ont jamais existé. Encore fallait-il y penser.

À moins que Bernard Cazeneuve n’en ait tout simplement rien à cirer. Attendu qu’électoralement, cela n’a pour lui aucun intérêt.

Gabrielle Cluzel

Source : Boulevard Voltaire

Terrorisme : Ali Valls et ses 80 mesures !

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Comme il est traditionnellement dit, ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et en peu de mots. La preuve par Xavier Raufer, criminologue interrogé hier en nos colonnes sur ce qu’il faut bien nommer l’islamisme de combat.

De cet entretien, deux faits majeurs sont à retenir. Le premier consiste à nommer l’ennemi. Si tous les musulmans de France ne sont pas terroristes, il n’empêche que les terroristes sévissant actuellement en nos contrées sont tous musulmans. Le second ? Le mille-feuille administratif de nos services, composé d’une coordination de coordinateurs censés coordonner un putain de paquet de coordonnées. Le tout généralement dans le vide et, la plupart du temps, ignorant du sujet qui nous occupe.

De son côté, le CFCM (Conseil français du culte musulman) se contente de cinq mesures majeures, plutôt pertinentes – après tout, cette instance n’est-elle pas concernée au premier chef ? – visant à déradicaliser une jeunesse en totale perte de repères moraux, sociaux et religieux. À ce titre, un récent documentaire de Canal+ donnait une assez bonne idée des lascars en question : des djihadistes à la mode Simpson et télé-réalité… ou quand, mondialisation oblige, l’islamisation rampante de la France se trouve en voie d’américanisation massive ; la preuve par le fast-food halal ?

Avec notre gouvernement, c’est déjà plus ardu. « C’est vrai qu’on a un peu tâtonné », admet Manuel Valls. Bien la peine d’avoir trois ministres franco-marocains au gouvernement ; même nos amis algériens finissent par s’en agacer. Et l’homme qui revendique haut et fort son « indéfectible attachement » à Israël, et assurait naguère, à propos d’autres binationaux (nos djihadistes en question), « qu’expliquer, c’était déjà un peu vouloir excuser », de plancher sur le sujet avec la sortie d’un plan d’action contre la radicalisation et le terrorisme et les… quatre-vingts mesures y afférentes !

Et là, pour citer à nouveau Xavier Raufer, le moins qu’on puisse prétendre est que « l’ennemi » n’y est que chichement nommé, hormis quelques vagues références à « l’islam » ou « l’islamisme ». Pour le reste, un délice. Un régal, quelque part entre Francis Blanche et Pierre Dac, Jean Yanne et Laurent Gerra. Extraits choisis :

Garantir le déploiement des prochaines tranches annuelles de renforcement et la diversification des moyens humains des services spécialisés de renseignement au service de la lutte antiterroriste (Mesure 1). Bref, une politique découpée en tranches, comme le jambon.

Créer une grille d’indicateurs de sortie de la radicalisation (Mesure 11). Un Portugais, stagiaire en parpaings ou grillage, devrait pouvoir faire l’affaire.

Affaiblir et détruire les capacités militaires des groupes djihadistes (Mesure 29). Penser à appeler le général Piquemal.

Mettre l’action diplomatique au service de la prévention de la radicalisation (Mesure 31). Pourquoi se priver des talents de Bernard Kouchner ?

Diffuser sans délai, par voie d’instruction à tous les services déconcentrés de l’État, le nouveau guide interministériel de prévention de la radicalisation (Mesure 36). Après traduction en français, on imagine…

Constituer des équipes mobiles à l’échelle interrégionale pour apporter un appui dans la prise en charge des personnes radicalisées ou en voie de radicalisation (Mesure 51). Voilà qui pourrait enfin relancer l’industrie du tourisme.

Lutter contre l’enfermement algorithmique (Mesure 59). Moi pas comprendre. Ou alors que trop bien…

Consolider les plans de continuité ministériels (Mesure 80). Tu l’as dit, bouffi. Pardon… Manuel !

Nous voilà donc parés et rhabillés pour l’hiver jusqu’au dernier bouton de guêtre. Bravo, les gars ! Le regretté Ferdinand Lop n’aurait pas fait mieux.

Nicolas Gauthier

Source : Boulevard Voltaire

Grand Remplacement ? Arrêtez de vous plaindre !

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Ça suffit. Vous me fatiguez.

Le maire de Londres est musulman.

Signe du Grand Remplacement ? Vraiment ?

Et si c’était simplement le signe qu’aucun autre candidat ne fit une meilleure campagne ? Vous avez déjà entendu parler de concurrence libre ?

Et vous vous offusquez, mais pouvez-vous me citer le dernier maire de Londres qui fut AUTHENTIQUEMENT et OSTENSIBLEMENT chrétien, et pas juste « non musulman » ?

La mondialisation tue les emplois.

Vraiment ?

Qu’est-ce qui vous empêche de passer de l’autre côté du miroir, c’est-à-dire d’en profiter ? Qu’est-ce qui vous empêche de monter une boîte, puis deux, puis trois, de trouver de formidables talents à Bombay, à Shenzhen, à Toronto, à Limoges, de les faire travailler ensemble et de faire naître vos idées ?

C’est tellement plus confortable d’être du côté des perdants et de geindre, n’est-ce pas ? Vous avez essayé et ça n’a pas fonctionné ? Recommencez !

On importe des immigrés extra-européens par centaines de milliers.

Le Grand Remplacement est imbattable. Vraiment ?

Pourtant, l’arme fatale contre le Grand Remplacement, Messieurs – pardon d’être cru -, elle est entre vos jambes.

Regardez-vous, qui vous lamentez sur les banlieues où le taux de procréation s’emballe, au lieu de tout simplement vous mettre à l’ouvrage avec Madame ! Les générations de nos parents recevaient les 9, 10, 11 enfants que le Ciel leur envoyait. Qu’avez-vous fait de votre virilité ? N’avez-vous pas honte ?

Les Français furent l’un des peuples les plus courageux au monde. Courageux au-delà de tout ce qui était imaginable (relisez ce qu’écrivirent certains officiers allemands confrontés à la soldatesque française en 1914).

Les Français furent l’un des peuples les plus inventifs au monde, l’un des peuples les plus industriels, l’un des peuples les plus voyageurs, découvrant le monde et s’installant partout sur la planète.

Les Français furent chrétiens, catholiques. Tellement catholiques qu’on fit de notre terre la fille aînée de l’Église. Tellement catholiques que, chez nous, l’on ne couronne pas les rois mais on les sacre, Monsieur ! On en fait des figures d’évêques, Monsieur ! On les oint ! Et ils touchaient les écrouelles. Et Dieu te guérissait.

Aujourd’hui, ceux qui se croient patriotes se rassemblent, frileux, derrière le mot « laïcité », syndrome de Stockholm du chrétien apostat qui croit qu’il va sauver sa maison en couchant avec l’ennemi, qui d’un compas et d’une équerre lui fit perdre sa foi catholique.

Français, n’espère rien pour ton pays, ta terre, ta nation si tu ne retrouves pas, humble comme un enfant, la foi de tes ancêtres. Rien ne pousse dans un potager ruiné, vierge de toute semence.

Français, mes frères, mes sœurs, nous avons tant fait ensemble. Nous avons inventé l’ars francorum que d’aucuns insultent en l’appelant « le gothique ». Nous avons été Racine qui écrit Phèdre. Nous avons été Couperin qui faisait jaillir des pluies enchanteresses des orgues de Versailles. Nous inventâmes un certain 11 septembre la droite et la gauche, pour une sombre histoire de veto ! Nous fûmes Napoléon après avoir été Bonaparte. Nous fûmes les communistes qui résistaient, qui mouraient en héros après s’être fourvoyés dans un pacte germano-soviétique où ils faillirent perdre l’honneur. Nous fûmes aussi de Gaulle qui, par quelques tours de magie, nous fit entrer dans le camp des vainqueurs et obtenir un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU.

Et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, nous nous tournons vers les politiques, à chaque fois pleins d’espoir, comme les veaux regardent un par un les employés de l’abattoir, se demandant lequel leur rouvrira les portes.

Aujourd’hui, nous prétendons qu’une guerre civile pourra tout arranger, parce que nous n’avons rien appris de l’Histoire et que nous avons oublié ce que guerre veut dire.

Aujourd’hui, nous nous battons entre nous, au lieu de monter sur nos chevaux pour conquérir le monde.

Français, mes frères, mes sœurs, souvenez-vous de nous.

Robin de La Roche

Source : Boulevard Voltaire

Le président turc Erdogan sera présent à l’inauguration de la méga-mosquée Westermoskee aux Pays-Bas

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La Turquie vient d’annoncer la participation officielle du président Recep Tayyip Erdogan à la cérémonie d’inauguration d’une des plus grandes mosquées d’Europe qui ouvrira ses portes au cours du ramadan 2016 – à cheval, cette année, sur juin et juillet – dans un quartier ouest d’Amsterdam. La capitale des Pays-Bas accueillera ainsi de manière solennelle et fortement symbolique la « Westermoskee », construite sur le modèle de Sainte-Sophie à Istanbul, au bord d’un canal, avec une capacité de 2.500 places.
 
Le dôme de l’édifice fait 25 mètres de haut et le minaret culmine à 42 mètres – orgueilleuse réplique aux clochers chrétiens qui sont de plus en plus désertés dans un des pays les plus sécularisés d’Europe.
 
La construction de l’immense bâtiment, qui compte neuf dômes mineurs et qui abritera les œuvres de maîtres calligraphes turcs, est l’aboutissement d’un projet né au début des années 1990 dans un contexte de controverse et d’opposition, les résidents locaux s’étant opposés à son implantation. A quoi se sont ajoutés des problèmes architecturaux et même des allégations de corruption. 

Erdogan à l’inauguration de la Westermoskee, un événement significatif

 C’est l’importante communauté turque d’Amsterdam qui a mené le projet dont on voit aujourd’hui qu’il ne se borne pas à la mise en place d’un bâtiment où des croyants musulmans puissent librement exercer leur culte. La venue du président Erdogan donne une autre coloration à l’événement – lui qui a réussi, au moyen de la crise des réfugiés et des migrants, à imposer sa volonté à l’Union européenne. A telle enseigne que le Spectator l’a nommé, dans son édition du 7 mai dernier, « L’homme le plus puissant d’Europe ».
 
Certains commentateurs osent même affirmer qu’Erdogan cherche à établir un « empire ottoman » en Europe – au-delà de la simple reconquête de terres un temps musulmanes lors des plus fortes avancées de l’islam dans ce continent qui s’est toujours défini, pour reprendre la thèse du cardinal Ratzinger, par sa résistance aux poussées islamiques.
 
Certes la Turquie s’affirme laïque mais elle a toujours, depuis l’instauration de la République, favorisé l’islam comme faisant partie de son identité culturelle, et Erdogan lui-même est issu d’un parti islamiste. C’est donc en toute logique qu’il se rendra aux Pays-Bas pour l’inauguration d’une mosquée. 

Le président turc montrera son pouvoir en visitant la méga-mosquée des Pays-Bas

 Avec 75 millions d’habitants et un vivier de millions d’autres Turcs ethniques d’au-delà de ses frontières, mais qui peuvent prétendre à la nationalité, la Turquie représente un poids considérable face à l’Europe et peut-être demain au sein de l’Union européenne au sein de laquelle elle tente de pénétrer malgré d’importantes divergences idéologiques par rapport à l’UE : logique de puissance et de pouvoir plus que d’identité de vues.
 
Son importante « diaspora » en Allemagne et aux Pays-Bas s’est constituée en communautés fortes et qui n’hésitent pas à vivre de manière parallèle par rapport aux autochtones.
 
L’érection d’une méga-mosquée n’est qu’une illustration de ce fait, montrant la vitalité islamique qui est aussi forte de l’apostasie de l’Occident. 

Anne Dolhein

Source : Réinformation.tv

Belgique : plus d’un million d’euros collectés en trois jours pour la future grande mosquée de Saint-Nicolas

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La plus grande mosquée de la Flandre verra le jour à Saint-Nicolas (Sint-Niklaas) à 24 km d’Anvers. Un projet ambitueux de 2,8 millions d’euros pour les quelques 10.000 musulmans de la ville flamande. Le weekend passé (du 6 au 8 mai), l’association qui gère la principale mosquée, El Houda organisait un gala au profit de la future mosquée. En trois jours, le compteur affichait 1.024.483 euros. Du jamais vu !

Jusque tard dans la soirée du dimanche, 500 personnes étaient encore à l’intérieur de la mosquée pour célébrer ce grand moment d’intense émotion. « C’est un miracle », commente Younes Ouchan, un des responsables de la mosquée.

Des dons sous forme d’argent mais aussi des bijoux. Les femmes ont été particulièrement généreuses, en témoignent les photos postées sur la page Facebook de la mosquée. Un généreux donateur a même proposé comme don un terrain d’une valeur de 50.000 euros.

Source : Des domes et des minarets

En Pologne, pas d’amalgame entre prévoyance et xénophobie

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L'écrivain et homme politique polonais Miroslaw Orzechowski a raconté à Sputnik ce que pensent les Polonais de l'accueil des migrants et quelles mesures les autorités du pays vont prendre afin de régler ce problème.

Récemment, 65 migrants d'un centre d'accueil grec et 35 migrants d'un centre d'accueil italien ont déposé leurs requêtes pour venir s'installer en Pologne. Mais leurs demandes ont été annulées car les requérants n'ont pas pu passer l'examen auprès des services de renseignement. La Pologne a déclaré qu'elle n'avait pas reçu assez d'informations sur chaque candidat de la part des services de renseignement.

Selon l'écrivain et homme politique polonais Miroslaw Orzechowski, il ne s'agit pas d'une phobie des Polonais.

"En fait, c'est plutôt bien. Ceux qui souhaitent vivre en Pologne doivent être examinés conformément aux standards, parce que dans le contexte de ce qui se passe en Europe, les réfugiés représentent souvent une menace. Il ne s'agit pas d'une phobie des Polonais, je dirais plutôt que c'est une forme de prévoyance qui servira d'exemple aux autres. Nous avons notre propre culture, nos traditions et notre foi et nous souhaitons préserver tout cela. Nous avons peur que l'ordre établi soit détruit, mais ce désir n'est pas basé sur le chauvinisme", a-t-il déclaré à Sputnik, commentant la décision des autorités de son pays.

M. Orzechowski a estimé que les cas d'agression à l'encontre de réfugiés qui ont lieu presque tous les jours en Europe pouvaient être le résultat de provocations. Selon lui, bien que les Polonais soient en majorité catholiques, cela ne veut pas dire qu'ils sont des saints. "Nous sommes remplis de miséricorde, de compassion envers les autres du moment que notre sécurité est garantie", a-t-il précisé. L'homme politique a également fait remarquer qu'en Pologne il ne s'agissait pas de cas d'attaques d'étrangers semblables à celles qui avaient eu lieu en Allemagne.

L'interlocuteur de Sputnik a souligné qu'il ne fallait pas mélanger la prudence des Polonais et xénophobie. "En Pologne, nous avons des musulmans ainsi que des orthodoxes et des protestants qui cohabitent avec nous depuis des siècles sans aucun problème. D'autre part, le phénomène de migration, cet exode des habitants des pays du Proche Orient et de l'Afrique du Nord est quelque chose de foncièrement nouveau pour nous", a-t-il constaté.

Selon M.Orzechowski, les troubles causées par les migrants en Europe ont sensibilisé les Polonais à la question de l'immigration. "Même dans les conversations domestiques transparait la peur que cela puisse arriver chez nous aussi. Je mettrais à côté les accusations de chauvinisme et je parlerais plutôt de prévoyance", a-t-il insisté.

D'après lui, la question de l'immigration devrait prendre une place toujours plus important dans les débats au sein de la société polonaise, qu'elle soit religieuse ou civile. "Le fait que nous ayons décidé de regarder ce problème de près montre bien que nous voulons assurer la sécurité de nos familles", a-t-il conclu.

Selon l'agence Frontex, chargée de gérer la coopération opérationnelle aux frontières de l'UE, 1,8 million de migrants sont arrivés dans l'Union européenne en 2015.

 La plupart d'entre eux arrivent en Turquie puis en Grèce pour continuer leur voyage vers le nord à la recherche d'un eldorado européen. L'agence reconnaît que le chiffre présenté est considérablement sous-estimé, car il est impossible d'enregistrer tous les cas de franchissements des frontières.

L'Onu a déjà qualifié la crise migratoire que le Vieux continent traverse depuis 2015 de plus importante depuis la Seconde Guerre mondiale. Selon les données fournies par l'agence Frontex, 1,83 million de réfugiés ont traversé de façon illicite les frontières de l'Europe.

Source : Sputniknews

La langue étrangère la plus étudiée en Suède? Le suédois!

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Une étude du site Duolingo a détecté les tendances actuelles d'apprentissage des langues étrangères.

Le site Web Duolingo, qui fournit des applications pour mobiles destinées à l'apprentissage des langues étrangères, a identifié la langue la plus étudiée parmi les 19 qu'il propose. Pour réaliser cette étude, Duilinguo a étudié les activités linguistiques de 120 millions de ses utilisateurs.

L'anglais est la langue la plus étudiée dans le monde et ce n'est pas surprenant. C'est la première langue la plus étudiée dans 116 pays, ce qui fait 53% de tous les utilisateurs de Duolingo. Pour les utilisateurs de quelques pays, l'anglais est la seule langue possible à étudier par l'intermédiaire de Duolingo, par exemple pour les Thaïlandais.

Selon l'étude de Duolingo, la seconde langue la plus étudiée est le français. Elle est la première langue la plus populaire dans 35 pays et la seconde la plus populaire dans 77 pays. Le français est suivi par l'espagnol, l'allemand et le portugais.

Si tout cela parait évident, l'étude a détecté quelques bizarreries. La langue étrangère la plus populaire en Suède est… le suédois, du fait de l'immigration. Selon la chercheuse de Duolingo Bozena Pajak, un résidant suédois sur six est né en dehors du pays. La situation est identique dans d'autres pays avec un taux élevé d'immigration comme les Etats-Unis ou le Norvège, où un grand nombre d'habitants apprennent la langue officielle du pays.

Source : Sputniknews

Islam, femmes, homosexuels, sexe… les propos révoltants d’un imam de Nancy

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La présence de l’imam de la mosquée de Nancy-Tomblaine (Meurthe-et-Moselle) lors d’un événement sur la «fraternité» entre les religions organisé par la préfecture de la Moselle fait polémique. Sur son site internet,  Amine NejdI a des propos radicaux sur les femmes, la pornographie, les homosexuels et le sexe.

Plusieurs élus messins et des associations s’insurgent de la présence annoncée de l’imam de la moquée de Nancy-Tomblaine et président du conseil régional du culte musulman de Lorraine ce mardi 10 mai lors d’une journée consacrée à la «fraternité» des religions qui se déroule à l’hôtel de ville de Metz, co-organisée par la préfecture du département et la ville. Sur son site internet, des propos sur les femmes, l’homosexualité ou encore les pratiques sexuelles plus que discutables.

Selon lui, «la pornographie favorise directement ou indirectement la recrudescence des divorces, l’augmentation de l’homosexualité, de la bisexualité, de la sodomie, de la prostitution, du sida» peut-on lire sur son site internet. Dans les mentions légales de ce site internet, on peut lire que l’imam de la mosquée de Nancy-Tomblaine en est le «rédacteur en chef» mais les articles ne sont pas signés. Toujours sur la pornographie, il estime que les pères de famille qui consomment des films pour adultes peuvent potentiellement abuser de leurs propres enfants. «(…) C’est pourquoi de nombreux pères de famille consommant de la pornographie en viennent à abuser sexuellement de leurs enfants» peut-on lire sur ce site édité par l’association gérante de la mosquée de Nancy-Tomblaine.

Dans un autre post publié sur ce blog, on peut lire  que «si la femme pouvait savoir qu’elle trouverait dans la prééminence masculine sa propre protection sociale, psychique, physique, culturelle, sa liberté et son individualité dans la société musulmane, elle se rendra compte que la non-musulmane n’a pas cette chance puisque dès la majorité, celle-ci doit se prendre en charge seule, se passer de protecteur et travailler sans relâche pour assurer son bien-être».

- Des élues demandent au maire de Metz d’annuler sa prise de parole -

A propos de la sexualité, l’imam assure que «ce sont les rapports complets (avec pénétration du vagin) qui sont prohibés, sinon, l’homme peut jouir de son épouse sur tout son corps, même entre les jambes s’il évite « l’endroit de l’écoulement du sang »dans un article consacré à la sexualité des couples musulmans.

L’association Les Profanes qui défend la laïcité dans les départements concordataires d’Alsace et de Moselle a dénoncé dans un communiqué les propos de l’imam nancéien. «Ces idées d'un autre âge rappellent cruellement la position des principales religions monothéistes à l'encontre des droits des femmes et des minorités sexuelles.» dénonce son porte-parole Vincent Morel en demandant à la préfecture de Moselle et à la mairie de Metz de ne plus organiser ce type de rencontres entre religions.

Dans un courrier adressé au maire (PS) de Metz et au préfet de Moselle, deux élues (Les Républicains) et UDI ont dénoncé la présence de cet imam à la manifestation. «Notre stupéfaction est totale et nous préférons penser que ces propos étaient méconnus des organisateurs de cette manifestation» écrivent Marine Nicolas (LR) et Nathalie-Colin Oesterlé (UDI). Les élus ont demandé au maire de ne «pas accorder de tribune à un responsable religieux dont les propos sont incompatibles avec nos valeurs républicaines».

Pour le président de l’association LGBT Couleurs Gaies, Mathieu-Gatipon Bachette est «consterné» et estime que la présence de cet imam est «parfaitement inapproprié». 

Source : Loractu

Etats-Unis : Trump prêt à faire une exception pour le musulman Sadiq Khan, maire de Londres

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Donald Trump, en tête de la primaire républicaine dans la course à la Maison Blanche, n'avait certainement pas prévu l'élection du maire de Londres Sadiq Khan au moment de sa proposition controversée pour barrer l'entrée des musulmans aux Etats-Unis.

Interrogé ce mardi par le New York Times, le magnat de l'immobilier se dit «prêt à faire une exception pour Sadiq Khan».

«Il y aura toujours des exceptions» a répondu Donald Trump à une question du New York Times. La question portait sur l'application qu'il ferait de sa proposition d'interdire l'entrée des musulmans aux Etats-Unis concernant Sadiq Khan. Ce fils d'immigrés pakistanais, musulman, a été élu maire de Londres vendredi. Le milliardaire américain a même ajouté qu'il «serait très heureux de rencontrer Sadiq Khan» rapporte le quotidien. «Je suis très heureux de son élection... Je pense que c'est une très bonne chose et qu'il fera du bon travail».

Le 7 décembre dernier, Donald Trump était pourtant à l'origine d'un scandale international en appelant dans un communiqué à un arrêt temporaire des entrées des musulmans aux Etats-Unis. En meeting en Caroline du Sud, Donald Trump avait déclaré : «J'ai des amis musulmans, ce sont des gens très bien, mais ils savent qu'il y a un problème, et on ne peut plus le tolérer». Le milliardaire affirmait que «de nombreux musulmans sont favorables au djihad violent contre les Américains ou qu'ils préfèrent vivre en vertu de la charia (loi islamique) plutôt que de la Constitution américaine».

V.F.

Source : Le Parisien

Des affiches "à la gloire d'Allah" font tiquer les Britanniques

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À partir du 23 mai, le slogan sera écrit sur les légendaires bus rouges londoniens ainsi que sur les transports dans d’autres villes de Grande Bretagne.

L'initiative de décorer les bus de slogans religieux intervient quelques jours après l'élection de Sadiq Khan, premier maire musulman de Londres. Selon l'association londonienne Relief, à qui revient l'idée, la campagne devra contribuer à présenter l'islam sous une bonne lumière et inciter aux dons pour les réfugiés syriens.

Lancée à l'approche du ramadan, la campagne prévoit que la publicité sera affichée sur des centaines de bus de Londres, Manchester, Leicester, Birmingham et Bradford.

Alors que la campagne a reçu un soutien de la part d'imminents musulmans britanniques, dont le joueur de cricket Moheen Ali, la décision de la compagnie des transports londoniens Transport for London (TfL) n'est toutefois pas exempte de critiques.

La baronne Hussein-Ece, elle-même musulmane, a écrit sur son compte Twitter:

"Je ne vois pas le but de la campagne +La gloire d'Allah+. À mon avis, la question de la religion doit être privée".

La TfL quant à elle, a fait savoir qu'elle n'acceptait pas les affiches politiques sur son réseau, mais les campagnes religieuses sont cependant autorisées.
Simon Calvert, porte-parole de l'Institut chrétien, a dit espérer que la compagne "marquera le début d'une nouvelle ère de plus grande expression de la foi chrétienne, qui semble être devenue persona non grata".

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Source : Sputniknews

Déradicalisation : l'autorité à l'école et la fin du clientélisme, les deux vraies solutions

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Manuel Valls a annoncé la création d'un centre de déradicalisation «dans chaque région» d'ici fin 2017. Pour Fabrice Balanche, le Premier ministre oublie que l'islamisme a été nourri par la complaisance de la gauche à l'égard du communautarisme.

Malgré les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, le gouvernement français tente de maintenir un cordon sanitaire entre le terrorisme qui frappe la France, la situation au Moyen-Orient et la complaisance à l'égard de l'Islam politique sur la scène intérieure.

Les djihadistes qui ont frappé Paris en 2015 et ensuite Bruxelles le 22 mars 2016, ont été formatés par l'idéologie salafiste sponsorisée par l'Arabie saoudite, financés par des «donateurs privés» du Golfe et soutenus militairement par la Turquie, pays par lequel ils transitent sans problème. Lorsque le président François Hollande a décoré de la légion d'honneur le Prince héritier saoudien Mohamed Ben Nayef, des voix se sont élevées pour dénoncer la remise de cette distinction dans le contexte post-attentat. Mais le Premier ministre français est venu asséner: «La France doit assumer sa relation stratégique avec l'Arabie saoudite». Ainsi, pour conserver un de ses meilleurs clients en matière d'armement, la France doit s'abstenir de toute critique à l'égard du système politique saoudien et de ses liaisons dangereuses avec les islamistes radicaux. La responsabilité de l'Arabie saoudite dans la promotion du salafisme est constamment éludée par la plupart des gouvernements occidentaux, alors qu'il faudrait lui enjoindre de désalafiser ses programmes scolaires et l'empêcher de former chaque année des dizaines milliers d'imam radicaux qui se répandent à travers le monde, y compris en France, pour prêcher la haine des «kafer» (les «infidèles» et plus généralement les non-salafistes).

S'il est si difficile de traiter les sources étrangères du mal. Les autorités françaises pourraient au moins s'attaquer aux causes internes. Malheureusement l'Islam radical, qu'il s'agisse des salafistes ou des Frères musulmans, bénéficie du soutien influent au sein de l'hexagone d'un groupe d'intellectuels islamo-gauchistes. Ces derniers ont réalisé la synthèse entre Edward Saïd et Saïd Qutob. Pour eux, le terrorisme islamique ne serait que la conséquence de l'autocratisme qui règne dans le monde arabe, particulièrement l'Egypte, l'Algérie et la Syrie. Les vieux trotskystes apportent ainsi leur expérience militante et leur bagage idéologique aux islamistes. Le discours porte et parvient à convaincre nos politiciens soucieux de gagner le vote «musulman» en vue des élections.

Dans une interview accordée au Monde le 2 avril 2016, la philosophe Elisabeth Badinter dénonce la complaisance de la gauche française à l'égard de l'islamisme: «La gauche est coupée en deux pour des raisons idéologiques respectables et des motivations politiques qui le sont moins». Au nom du droit à la différence, certains pensent que toutes les cultures et les traditions se valent et par conséquent que nous n'avions rien à leur imposer. Le port du niqab, la ségrégation et l'inégalité des sexes, le refus de se soumettre aux lois de la République, sous prétexte que seules les lois de Dieu sont acceptables, seraient donc licites sur le territoire. Quant aux motivations politiques qui le sont moins, la philosophe fait bien sûr référence à certains édiles qui promettent la construction d'une mosquée ou des repas halal dans les cantines scolaires en échange des «voix musulmanes».

En 2012, le candidat socialiste à l'élection présidentielle, François Hollande, a bénéficié de 86% des voix des électeurs musulmans selon une enquête de l'IFOP. Ce survote en sa faveur lui a clairement permis de l'emporter face à Nicolas Sarkozy. Les millions d'électeurs musulmans sont devenus une réserve de voix indispensable pour le Parti Socialiste, depuis que le vote populaire «gaulois» bénéficie davantage aux candidats du Front National. Car au sein de la population française dite «de souche», le Parti Socialiste ne compte plus que sur des fonctionnaires et les bourgeois bohèmes des centres villes. Le même calcul a été fait par le Parti Socialiste belge qui a obtenu en 2004, le vote des immigrés aux élections municipales, lui permettant ainsi de l'emporter dans les grandes villes comme Bruxelles et Anvers aux élections de 2006. La politique politicienne utilise le communautarisme à court terme et méprise les réelles politiques d'intégration qui exige du long terme et l'intelligence de se poser les vraies questions quant à l'intégration des populations musulmanes. L'islamisme radical et la ghettoïsation ne sont pas que le résultat des difficultés économiques. Les politiques d'intégration doivent tenir compte davantage de la dimension culturelle et se montrer ferme sur les valeurs de la République auxquelles doivent adhérer les musulmans comme tous les autres citoyens.

La lutte contre l'islamisme doit commencer par l'école qui fut longtemps le creuset de la nation. Depuis les années 1980, l'alliance des «nouvelles pratiques pédagogiques» et du laxisme détruisent le système éducatif dans les zones populaires et plus particulièrement celles où se concentrent les populations immigrées. Dans les «banlieues de la République», selon l'expression de l'islamologue Gilles Kepel, un enseignement au rabais est dispensé et toute discipline bannie dans le but de désamorcer les conflits. Si l'objectif théorique était de promouvoir une autre forme d'apprentissage pour éviter l'échec scolaire des populations socialement défavorisées, le résultat est aux antipodes puisque le phénomène n'a fait que s'amplifier. Car, un enseignement inadapté ne permet pas d'accéder aux emplois de l'économie post-industrielle. Les quartiers communautarisés sont ainsi devenus les espaces d'une économie parallèle où le «tombé du camion», les trafics de drogue et d'armes se côtoient.

Les prédicateurs salafistes justifient les délits de cette jeunesse perdue, en leur faisant croire qu'elle est victime d'un système visant explicitement à marginaliser les musulmans. Malheureusement cette victimisation est relayée par le discours bien-pensant de la gauche. En refusant de rétablir l'autorité de l'Etat et l'école de la République dans ces territoires en perdition, les partis républicains font le lit du populisme d'extrême droite et de l'islamisme radical: les deux faces de la décadence du modèle républicain français.

Fabrice Balanche

Fabrice Balanche, Maître de conférences à l'Université Lyon 2, chercheur invité au Washington Institute.

Source : Le Figaro

 

Islamisation : le ver est dans le fruit

Dernièrement, dans une note confidentielle (mais diffusée par tous les médias), la Préfecture de police faisait part de son inquiétude face au nombre croissant de radicalisations et de manifestations religieuses de la part de policiers musulmans au sein de ses services.

La note concluait en affirmant que cette radicalisation ne con­cernait pas les cadres. Nous voilà rassurés !

Le constat est sans aucun doute le même dans l’armée et les entreprises de services publics comme la SNCF, la RATP, La Poste, l’administration pénitentiaire, ou les aéroports.

Pour l’instant la situation reste anecdotique : un chauffeur de bus refuse de s’asseoir sur le siège occupé précédemment par une femme machiniste. Ou alors un policier musulman patrouille dans les rues de Saint-Denis et croise une femme affublée d’une burqa. Il choisit de ne pas verbaliser par solidarité ethnique et religieuse ou par crainte des représailles de la famille de la contrevenante.

Mais qu’en sera-t-il lorsqu’un jour, les musulmans seront majoritaires dans les entreprises de service ? Et ce jour n’est peut-être pas si éloigné.

Comme on le sait, le taux de natalité dans les familles musulmanes est nettement plus important que dans les familles françaises de souche. Par conséquent de plus en plus de jeunes musulmans se retrouvent sur le marché du travail. Et ce sont les entreprises d’État et de services qui leur offrent le plus facilement du travail.
Alors, les conséquences ne manqueront pas de se faire sentir.

Durant le mois du Ramadan, il faudra s’attendre à une France qui tournera au ralenti. C’est d’ailleurs déjà le cas dans certaines entreprises.

Beaucoup plus grave, il suffira d’un ordre de grève venu de l’étranger pour que la France soit paralysée avec, parallèlement, une insurrection dans la police et l’armée.

Alors, la France sera privée de transport, d’électricité, de gaz et de communication. Les aéroports seront fermés, la police et l’armée ne bougeront pas de leurs casernes et les gardiens de prisons ouvriront les portes aux délinquants.

Dans cette hypothèse (certes un peu apocalyptique), comment réagira la grande masse des musulmans qu’on nomme musulmans modérés ?

Lors des derniers attentats en France et en Belgique, a-t-on vu des manifestations spontanées de musulmans modérés pour condamner cette barbarie ?

Au contraire, le devoir d’hospitalité envers tout musulman, même s’il s’agit de terroristes, a fonctionné à plein.

Pire, dans les banlieues à majorité musulmane, les terroristes ont été traités comme des héros. Un député belge affirme même qu’on a dansé dans certains lieux à l’annonce des attentats.

Un jour viendra où l’ensemble de la communauté musulmane aura à choisir entre le soutien à une République démocratique ou la soumission à des lois religieuses dignes d’une dictature…

J’ai bien peur que le choix ne soit le même que celui du policier de Saint-Denis…

Source : Les 4 vérités

Les Frères Musulmans dans le texte : ce que veulent les islamistes.

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Présentation de l’éditeur:

Le but des Frères Musulmans est de créer un état islamique mondial. Nous, les musulmans, nous immigrons partout et il y aura encore un long chemin avant de prendre le contrôle de l’Europe” 

Muhammed Mahdi Akef, Guide suprême des Frères Musulmans de 2004 à 2010.

Arrivés par les urnes au pouvoir en Tunisie (2011) et en Egypte (2012) l’organisation des Frères Musulmans a investi la scène médiatique. De nombreuses erreurs d’analyses sur sa nature profonde ont conduit les occidentaux à les percevoir comme de simples conservateurs, s’accommodant des règles des démocraties modernes.

Cette étude vise à présenter les textes importants des idéologues de la confrérie islamiste qui structurent sa pensée et donc son action. Les écrits de son fondateur Hassan al-Banna (1906-1949)  dont La Voie du Jihâd, de son dauphin Sayyed Qutb (1906-1966), et des Guides suprêmes qui se sont succédés jusqu’à aujourd’hui, ne laissent aucun doute sur ses projets de domination politique à vocation universelle, et de sujétion à l’endroit des minorités. Des textes inédits sont enfin traduits en français.

Leurs ramifications en Europe, notamment en France à travers l’UOIF dont nous retranscrivons les prêches radicaux de leurs prédicateurs, doivent susciter une prise de conscience urgente, étant les principaux bâtisseurs de grandes mosquées sur notre sol.

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L’auteur:
Joachim Véliocas dirige l’Observatoire de l’islamisation (www.islamisation.fr). Il est analyste pour l’institut Wikistrat.  Son dernier livre, Ces Maires qui courtisent l’islamisme (Tatamis, 2015), a pointé les complicités politiques  avec le totalitarisme vert.

En librairie le 20 mars. Déjà en vente en ligne sur http://editionstatamis.com ou Fnac.com


Les Frères Musulmans dans le texte (livre) par joachimv

Source : islamisation.fr

 

mardi, 10 mai 2016

Arzano. Cent pour un toit incite les immigrés expulsables à rester en France

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Cent pour un toit est une association loi 1901, basée à Redene. Son objet ? Venir en aide aux immigrés déboutés du droit d’asile. Or ces personnes  n’ont plus rien à faire sur le territoire français et devraient être expulsées. Ses statuts stipulent que l’association s’est constituée en 2015 pour « aider toute personne et/ou famille privée d’accès à ses droits fondamentaux tels qu’ils sont énoncés dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, ratifiée par la France ; souscrire à l’affirmation qu’il n’y a pas d’étrangers sur terre et défendre la libre circulation des personnes ; s’engager à respecter les principes énoncés dans la DUDH ce qui signifie aider toute personne sur son territoire à accéder à ses droits fondamentaux (se nourrir, se loger, se soigner, s’éduquer etc.) ; constituer une force d’interpellation des pouvoirs publics sur l’insuffisance et le manque de logements ou d’hébergements, être aussi une source d’information des acteurs locaux et des citoyens ; ne poursuivre aucun but lucratif et agir sans distinction politique ou spirituelle.»

Cent pour un toit –  association basée dans le pays de Quimperlé – affirme donc dans ses statuts que la France appartient au monde entier, puisque « il n y a pas d’étrangers sur terre ». Elle veut constituer des groupes de cent personnes. Chacune doit mettre chaque mois un minimum de 5€ dans la caisse donateurs, soit 500 euros par groupe, pour prendre en charge un loyer, pour loger des immigrés clandestins. Des immigrés clandestins à qui la France permet, même en étant débouté du droit d’asile, de contester administrativement la décision.

Un rapport de la Cour des Comptes de 2015 épinglait d’ailleurs la gestion par la France des déboutés du droit d’asile, puisque 96% de ces individus resteraient en France, au mépris des droits nationaux des citoyens français. Par ailleurs, le coût de l’immigration clandestine en France représenterait une charge annuelle de plus d’un milliard d’euros, comme l’a démontré Jean-Paul Gourévitch dans une étude menée pour Contribuables Associés.

Depuis mi-2015, Cent pour un toit, qui ne compte que quelques dizaines d’adhérents pour le moment (et 212 j’aime sur facebook), a bénéficié de nombreux articles favorables dans la presse régionale subventionnée. Les bénévoles de l’association, parmi lesquels on retrouve notamment des membres de la Ligue des Droits de l’Homme, d’Emmaus ou de Diwan,  usent de leurs réseaux personnels ou professionnels et sollicitent municipalités et collectivités pour appuyer leur démarche. « Ce genre d’association contribue clairement à l’augmentation du sentiment anti-immigré » nous livre un proche de l’opposition au sein de la ville de Quimperlé. « Ils délivrent un message fort à ces personnes en leur disant : venez chez nous en toute illégalité, et nous nous battrons pour que vous restiez même si vous n’en avez plus le droit . Il faudrait qu’on arrête de mettre de l’huile sur le feu alors que les Français sont très partagés sur la question de l’immigration ».

Elle a trouvé cependant des relais dans certaines équipes pédagogiques d’établissements scolaires catholiques. Celles-ci, en invitant l’association à débattre il y a quelques mois, ont rompu l’obligation de neutralité politique dans la vie scolaire.

Source : Breizh-info

Comme chaque année, Paris a honoré Jeanne d'Arc

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Dimanche matin l'Action française a organisé la première manifestation de l'Opéra à la Place des Pyramides.

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Plus tard, ce fut le tour du Parti nationaliste français.

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Des responsables venus de toute l'Europe ont participé à cette manifestation.

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En fin de matinée, une délégation de la Dissidence française s'est rendue devant la statue.

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En début d'après-midi Civitas avait appelé à un rassemblement unitaire suivit par un défilé qui rassembla plusieurs milliers de patriotes.

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Synthèse nationale soutenait cette heureuse initiative de Civitas (intervention de Roland Hélie)

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Le Parti de la France était présent en force.

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Ainsi que le Renouveau français.

Le défilé s'est terminé vers 17 h devant la statue de Jeanne d'Arc par des discours de Pierre Hilard, Alain Escada et de M l'Abbé Beauvais.

Source : Synthèse Nationale

Allemagne: une attaque au couteau a un mobile "a priori islamiste"

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Une attaque au couteau, qui a fait un mort et trois blessés, dans une gare proche de Munich (sud) mardi à l'aube a un mobile "a priori islamiste", a indiqué à l'AFP un porte-parole du Parquet de Munich.
L'agresseur, un Allemand de 27 ans qui a été arrêté, "a fait des déclarations sur place qui renvoient à une motivation politique, a priori islamiste", a-t-il expliqué, précisant que l'une des personnes avait succombé à ses blessures.

Source : Le Parisien

 
 

Selon des médias locaux citant des témoins, l'agresseur a crié "Allah akbar" ("Allah est grand").

Molenbeek français, le label lancé par l'extrême droite ne plaît pas à la commune

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Un groupuscule français d’extrême droite « Génération Identitaire » distribue depuis une semaine le label « Molenbeek français » à certaines villes de France. Une façon négative de mettre Molenbeek en avant qui est n’est pas au goût, et on le comprend, de cette commune de la région bruxelloise.

«  J’en ai entendu parler ce week-end sur les réseaux sociaux comme Twitter. J’ai demandé à notre service juridique d’étudier la possibilité de mener une action. Le sujet sera mis mercredi sur la table du Collège. Nous allons tenter de mener une action mais sans vouloir leur donner trop de publicité car c’est ce qu’ils attendent  », commente la bourgmestre Françoise Schepmans (MR).

Ce label « Molenbeek français », du groupe d’extrême droite « Génération Identitaire » est inspiré d’une déclaration du ministre français de la Ville Patrick Kanner, qui avait affirmé en mars, «  qu’il y a aujourd’hui, une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé à Molenbeek. »

«  Ce label, c’est n’importe quoi. Comme nous avions des élus français ce week-end à Molenbeek, j’en ai parlé avec eux. Ils m’ont dit que cela se limitait à quelques affiches. Sans plus », poursuit-elle. «  Cela vient d’un groupe d’extrême droite. Cela fait partie de leur identité. J’ai été davantage choquée par des articles de presse ou des émissions de télévisions de médias étrangers qui venaient à Molenbeek avec une idée de ce qu’ils allaient écrire et ils avaient juste besoin de nous comme support. Peu importe ce qu’on pouvait raconter, ils ne changeaient pas d’idée  », conclut Françoise Schepmans.

Isabelle Anneet

Source : Lacapitale.be