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mardi, 17 mai 2016

Verdun 2016 : la victoire des identitaires ?

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Pour Isabelle Kersimon, la défense aveugle de BalckM est révélatrice d'une vision essentialiste de l'individu. Sous couvert d'antiracisme, une certaine gauche entérine la vision racialiste des «Indigènes de la République».

L'épisode pathétique de la programmation de BlackM à Verdun aura entre autres révélé l'effondrement des principes républicains dans l'imaginaire de l'antiracisme représenté par ceux qui se sont exprimés sur le sujet.

On aura pu constater que, pour l'élu municipal socialiste de la préfecture de la Meuse, les qualificatifs de «youpins», «pédés» et «kouffars» (Europe 1, 12 mai) sont entrés dans le nouveau dictionnaire d'une France que les autorités pensaient agonisante, mais dont le soulèvement populaire a rappelé les hautes valeurs, la principale étant nommée décence, n'en déplaise aux crieurs de morale et au Front national à qui ces mêmes crieurs ont attribué la paternité de cette indignation. Peut-être Samuel Hazard a-t-il reçu des mails injurieux, racistes, des mails qui ressemblent à ces insultes et à ces menaces délétères qui font le quotidien des réseaux sociaux. Il s'en relèvera et nul ne l'empêchera de porter plainte pour incitation à la haine lorsque le délit sera manifeste.

On aura assisté, consterné, à des procès iniques en extrême droitisme, souillant la mémoire des morts et le souvenir des familles, tandis que l'annulation de l'événement résulte non pas de l'action «de hordes de nazis négrophobes emmenés par le FN», mais du retrait d'une subvention accordée initialement et de la plainte déposée par la famille d'un ancien combattant. On aura au passage remarqué que la responsabilité de cette initiative festive n'a été assumée par personne.

On aura observé que les accusations orwelliennes en racisme, en fascisme, en totalitarisme, proférées à l'encontre de tous ceux que l'idée de danser sur les ossuaires révulsait, aura peut-être jeté dans les bras du Front national des Français excédés qui avaient salué la cantatrice, également noire, Jessye Norman lors du Bicentenaire de la Révolution.

On aura constaté que, si tout homme peut accéder au repentir, voire à la rédemption, M. Diallo, alias BlackM, ne s'est jamais désolidarisé ni des propos contenus à foison et récurrents, loin de simples «dérapages», dans les chansons de Sexion d'Assaut, ni des membres dudit groupe, puisqu'il part en tournée avec le dénommé Lefa cet été. Il n'a pas renoncé aux droits d'auteur. Il n'a pas investi ses gains dans des luttes contre ces discours de haine en réalité construits (le pouvoir aux juifs intouchables, la décadence morale des non-croyants, le viol comme conséquence logique de la colonisation et des moeurs des jeunes filles). En 2014, il écrit un rap intitulé «Jemaa El Fna» au refrain suivant: «Sous-estimer le Black, ne fais plus jamais ça / Sinon j'te fais payer le triple comme à Jemaa El Fna». Jemaa El Fna est une célèbre place publique de Marrakech. C'est là que, le 28 avril 2011, un attentat djihadiste à la bombe, perpétré dans un café réputé fréquenté par des «chrétiens», coûta la vie à 17 personnes, dont 8 Français.

On aura observé qu'avoir un devancier mort pour la France - traumatisme largement partagé - serait une condition nécessaire et suffisante pour être républicain et fréquentable. Rappelons que Serge Ayoub, autrement nommé Batskin, chef du groupuscule fasciste auto-dissous Troisième Voie et d'origine libanaise, a sans doute aussi, si l'on en croit le site gouvernemental recensant les victimes militaires du conflit, au moins un ancêtre tombé au champ d'honneur. Cela l'autorise-t-il?

On aura compris que, dorénavant, si l'on est agressé parce que l'on est noir, on peut aussi être louangé et défendu pour cette seule même raison, quoi que l'on profère. Ainsi, nombre internautes se sont-ils hâtés de visiter la page Facebook de Christiane Taubira, qui n'a plus aucune responsabilité nationale et donc, logiquement, pas grand-chose à annoncer officiellement sur ce sujet. Pourquoi cet afflux, sinon parce que, outre son talent pour la versification lourdingue, elle aussi est noire?

Jean de La Fontaine écrivait, dans «Les Animaux malades de la Peste»: «Selon que vous serez puissant ou misérable / Les jugements de cour vous rendront blancs ou noirs.». Nos autorités politiques et de nombreux confrères l'auront quant à eux inversé, entérinant la vision racialiste des «Indigènes de la République» et de ses meilleurs ennemis identitaires: «Selon que vous serez blanc ou noir / Les jugements de cour vous rendront coupable ou fréquentable.»

Isabelle Kersimon

Isabelle Kersimon est journaliste. Elle est l'auteur de, Islamophobie: la contre-enquête (Plein Jour, 288p, 19€, octobre 2014).

Source : Le Figaro

Verdun, BlackM : la nuit de l'inculture

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Pour Vincent Trémolet de Villers, l'affaire BlackM est révélatrice d'une époque de «profanation intégrale» où il n'y a plus ni silence ni recueillement.

Il faut n'avoir jamais arpenté le paysage lunaire où reposent les villages martyrs: Beaumont, Fleury, Cumières… pour envisager de commémorer la bataille de Verdun par un concert de rap. Il faut n'avoir jamais lu une page de Barbusse - «chacun sait qu'il va apporter sa tête, sa poitrine, son ventre, son corps entier, tout nu, aux fusils braqués d'avance» - pour dire comme Black M, le chanteur invité, «on va s'amuser». Il faut ne rien connaître des paroles de poilus - «c'est vraiment une vision de mort, de destruction acharnée, ce ravin. Des morts partout, dans toutes les positions».  - pour affirmer comme notre secrétaire d'État aux Anciens Combattants que la vague d'indignation qu'a provoquée l'organisation de ce concert est «un premier pas vers le fascisme». C'est avoir oublié, enfin, que Verdun, c'est 300.000 morts français et allemands dont 100.000 sans sépulture et que seul «le silence des consécrateurs convenait au repos des hommes qui avaient accepté en silence, qui avaient souffert en silence, qui étaient morts en silence» (Montherlant). Plongés dans la nuit de l'inculture, nous devons donc supporter les provocations, les approximations, les manipulations du gouvernement (contre lequel sur ces sujets l'opposition se montre bien timide et laisse le champ libre au Front national). Comme si le souvenir des soldats morts au combat était un moyen de «faire plaisir aux jeunes» et l'Histoire, un outil sondagier circonstanciel. La France a ainsi voté une résolution de l'Unesco déniant tout lien historique entre les juifs et le mur occidental (le mur des Lamentations), voire le temple de Jérusalem!

Nous avons entendu un ancien ministre de l'Économie devenu commissaire européen affirmer qu'il ne croyait pas «aux racines chrétiennes de l'Europe» transformant ainsi une réalité indiscutable en acte de foi. Nous avons supporté les mots sidérants d'un secrétaire d'État chargé de la mémoire de nos soldats traitant de «fascistes» ceux qui par les maigres moyens des réseaux sociaux ont voulu empêcher de voir transformer l'ossuaire de Douaumont en arrière-plan d'un divertissement de masse. Tout cela n'empêche pas l'inculture de se montrer arrogante. Nous recueillons les fruits d'un enseignement moral sans fondement, sans hiérarchie, sans profondeur, où le seul impératif est de traquer le «fascisme» renaissant et le retour d'un «ordre moral nauséabond». Un antiracisme hors-sol qui surveille, punit et ne comprend plus rien.

Selon cette grille, la civilisation était du côté de Black M et la barbarie du côté des lecteurs de Ceux de 14. C'était un Noir contre les Blancs, un jeune contre des vieux, la modernité contre les réacs. Que le chanteur s'en soit pris autrefois aux «youpins», aux «pédés», aux «kouffars» (les mécréants dans la terminologie de Daech) ne comptait pas. Les mêmes qui traquent «les dérapages» et curent comme un coquillage l'esprit d'Éric Zemmour pour y trouver une pensée criminelle ont pris la défense du rappeur, victime selon eux «du politiquement correct» . Il fallait vraiment être un pinailleur pour ne pas accepter l'évidence: Black M à Verdun, c'est bien, puisque Robert Ménard et Marion Maréchal-Le Pen sont contre!

«Tout est culture», proclamait Jack Lang il y a vingt-cinq ans, le tag comme une fresque de Piero della Francesca. «Tout est histoire», proclamons-nous aujourd'hui, et rien ne distingue la «plainte d'un blessé dans la nuit glaciale et pluvieuse» (Genevoix) et les rythmes d'un morceau de rap. Les faits, les hommes, les lieux, les dates sont des outils jetables pour politiciens et communicants. Dans nos temps de «profanation intégrale» (Alain Finkielkraut), il n'y a plus ni silence ni recueillement. Ni dignité, même. Tout se vaut et tout se vautre dans la médiocrité.

«On oubliera, écrit Roland Dorgelès dans Les Croix de bois. Les voiles de deuil, comme des feuilles mortes, tomberont. L'image du soldat disparu s'effacera lentement dans le cœur consolé de ceux qui l'aimaient tant. Et tous les morts mourront pour la deuxième fois…»

Vincent Tremolet de Villers

Vincent Trémolet de Villers est rédacteur en chef des pages Débats/Opinions du Figaro et de Figarovox.

Source : Le Figaro

L'immigration musulmane apporte le chaos dans nos sociétés occidentales

Aldo Sterone, ex-musulman algérien, a fuit son pays qu'il trouvait invivable. Dans ces deux vidéos, il met en garde les Européens et les Québecois contre l'arrivée massive de musulmans. Ces derniers, fuyant leur pays que l'islam a rendu insupportable, cherchent refuge chez nous.  Pourtant, ils ne respectent pas nos valeurs qui ont permis le développement harmonieux de nos démocraties. Leur but est de transformer nos sociétés en sociétés musulmanes ... et donc insupportables. Nos élites tolèrent leurs comportements inadmissibles au nom du vivre-ensemble. Situation absurde et révoltante!

Source : association suisse vigilance islam

La France, numero un de la censure sur Facebook !

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Cocorico ! À en croire les informations fournies par le site Statista.com, largement reprises jeudi par Le Journal du Net, la France remporte haut la main le championnat du monde de censure sur le réseau social Facebook.

Avec, toujours selon les mêmes sources, près de quarante mille requêtes d’origine gouvernementale (37.900 pour être précis) adressées au bureau des doléances de sa seigneurie Zuckerberg pour la seule année 2015, requêtes, on l’aura compris, réclamant l’effaçage de pages en quasi-totalité consacrées à la célébration du terrorisme islamique et à la promotion de la conquête en cours, notre Gouvernement laisse loin au-dessous de lui sur le podium deux petits joueurs tels que l’Inde et la Turquie (6.574 requêtes seulement pour cette dernière. Pitoyable !).

Quand on pense que certains l’accusent de ne rien faire. Il ne fait pas rien, notre Gouvernement, bande de mauvaises langues, mauvais esprits ! Voyez comme il agit, comme il s’active, se démène dans notre dos !

Croyez-vous qu’on se fait réélire sans rien faire ? sans mensonges, sans promesses à crédit, sans cadeaux ?

L’important pour des incapables, incapables d’agir sur la réalité autrement qu’en précipitant le chaos, est de la maquiller outrageusement, si possible de l’escamoter carrément. 

Tordre à son avantage jusqu’à la retourner une réalité qui dérange, voire l’escamoter complètement, sont dans certains régimes des procédés éprouvés de gouvernement.

« Cachez-leur cette réalité que nos électeurs ne sauraient voir ! » Parce qu’il est implicite, le message est clair. »Mettez-leur du Festival de Cannes et du foute à la place, donnez-leur du Baupin et des jeux, ça fera l’affaire ! ». “La rue Michel” comme on dit…, et avec un peu de chance — et encore beaucoup, beaucoup d’efforts et de dissimulation — la réélection !

On se doute bien, que tout mal inspiré qu’il est, mal entouré, mal conseillé — par quel miracle un homme si mal avisé se révélerait-il adroit dans le choix de son entourage ? — le petit homme de l’Élysée sait bien, sent bien, qu’il ne saurait décemment compter sur une nouvelle élection par défaut.

L’avenir s’avance avec ses gros sabots. La méthode rouée, vous connaissez ? Le « ça va mieux ! », « l’embellie », la « baisse du chômage », et cætera, n’en sont que les premiers effets, les premiers résultats… Tout cela ne fait que commencer. Ah çà ! Français, vous allez être étonnés ! Vous allez voir ce que vous allez voir, entendre ce que vous allez entendre ! Vous n’imaginez pas ce que vous êtes capables de gober ! On va vous en donner pour vos impôts ! 

Il est de plus en plus évident que notre petit Président et son équipe vont privilégier la propagande, débridée, leur unique levier… l’actionner “à tire-larigot” (comme diront les jeunes sitôt qu’ils auront appris ce mot), non plus au débit régulier du robinet de ces dernières années, si diligemment alimenté par les médias subventionnés, mais par raz-de-marée, toute retenue levée, toute digue arasée, jusqu’à vous submerger de mensonges les plus éhontés, les plus éclatantes contre-vérités…

Rien à perdre, tout à gagner ! Taïaut ! Les dés sont jetés, ils sont pipés, ils sont pipeau ! Dans le viseur, dans les visées, une élection par désinformation, dissimulations, bidonnages et traficotages accumulés… une élection par des faux.

Maxime Sentence

Source : Boulevard Voltaire

Sept ans, seulement, pour le meurtre d’un Français en Egypte

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Sept ans, sans réflexion, pour le meurtre d’un Français dans un commissariat d’Egypte. Le temps d’un malheur, comme si Eric Lang n’était qu’un simple miroir. Peut-être celui de la lâcheté de nos élites progressistes, qui ne se sont pas trop émues de cette affaire à l’époque, en 2013, mais qui crient au loup quand le peuple s’insurge contre la venue d’un rappeur aux mœurs patriotiques discutables à Verdun, dans la foulée des commémorations de la bataille. Et ce, quelle que soit la « grande importance » du dossier pour les autorités françaises, affirmaient-elles à propos d’Eric Lang.

Disons franchement qu’il intéressait bien moins le microcosme parisien – qui dicte les tendances idéologiques et morales de la nation – qu’un réalisateur jadis menacé d’extradition depuis la Suisse vers les Etats-Unis pour y répondre d’un viol sur une mineure de treize ans. Tout le monde n’est pas Polanski !

Eric Lang fut battu à mort par six codétenus dans la cellule d’un commissariat où il était retenu depuis une semaine en garde à vue, « après avoir été arrêté dans la rue parce qu’il n’avait pas de pièce d’identité et que son passeport, apporté plus tard aux policiers, ne portait pas de visa de séjour valide, selon les autorités. » (source : Le Parisien)

S’il prenait l’envie aux policiers français d’imiter les méthodes musclées de leurs collègues égyptiens avec les illégaux de notre pays, gageons que les associations antiracistes et autres officines des droits – sélectifs ! – de l’Homme auraient rameuté du monde pour protester !

Les responsables du meurtre d’Eric Lang – à coups de barre de fer et de câble électrique : c’est un vrai BHV, les geôles égyptiennes ! – viennent donc d’être reconnus coupables et condamnés à sept ans de prison.

Alors, si, peut-être, la peine est un peu légère pour un assassinat, si les autorités égyptiennes, comme le pense la famille de la victime, sont impliquées, on ne va certainement pas les froisser face à un tel verdict. L’Egypte nous achète si généreusement nos armes et le client est roi !

Où sont les droit-de-l’hommistes pour hurler tous en chœur à l’injustice ? C’est vrai que l’information est toute fraîche mais je doute qu’une réaction collective d’ampleur voie le jour. Non, il est beaucoup plus important de condamner les agissements d’une Police « assassine » freinant la libre expression altermondialiste des casseurs, qui se manifeste pourtant pas d’innocentes destructions et des tabassages de flics !

En 2005, Zied Benna et Bouna Traoré, eux, avaient eu le droit à des funérailles qui enflammèrent la France pendant plusieurs jours, alors qu’ils s’étaient tués seuls, malgré ce que prétendent certaines légendes urbaines.

Comble de l’ironie de cette triste histoire : la libération de ce professeur de français, âgé de 49 ans, avait été ordonnée à l’époque par un juge égyptien, sept jours plus tôt !

Charles Demassieux

Source : Boulevard Voltaire

De Ian Brossat au White Flight : la fin des quartiers populaires en Europe ?

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Deux actualités se télescopent ces jours-ci. Elles concernent les deux plus grandes capitales européennes, Paris et Londres, confrontées à des phénomènes similaires : augmentation constante des prix de l’immobilier et immigration massive. On a largement commenté l’ouvrage La France Périphérique du géographe Christophe Guilluy, parfois à l’excès. Il faut pourtant constater que la thèse de l’auteur est aussi argumentée que confirmée par les faits. Il serait même tentant de l’étendre à d’autres pays d’Europe, notamment l’Angleterre.

Pour schématiser, Christophe Guilluy dit que deux France se feraient désormais face, aussi déconnectées l’une de l’autre que divisées par des intérêts divergents. L’auteur décrit la France des métropoles, où se côtoieraient « cadres et immigrés », et la France périphérique, comprenant 60 % de la population, oubliée de la mondialisation « heureuse ».

Ian Brossat, adjoint communiste d’Anne Hidalgo en charge du logement, semble n’avoir compris que partiellement les analyses de Christophe Guilluy. Il a bruyamment déclaré dans le JDD sa volonté d’en finir avec « les ghettos de riches » de la capitale. Pour atteindre son objectif, monsieur Brossat entend construire « massivement » des HLM dans l’ouest parisien, pour rééquilibrer la capitale. Aujourd’hui, plus de 40 % des HLM se trouvent dans les 13ème, 19ème et 20ème arrondissements.

L’adjoint d’Anne Hidalgo se trompe lourdement sur un point précis : Paris n’est devenue inaccessible qu’à une partie de la population qui n’a pas non plus accès aux HLM. Les classes moyennes ont déserté la capitale avec la hausse des prix du foncier bâti dans les « beaux quartiers », et les autres, moins « beaux,, mais aussi consécutivement à l’arrivée de populations immigrées qui sont ultra privilégiées dans l’obtention de logements sociaux. Le gouvernement compte d’ailleurs, avec le projet de loi Egalité et Citoyenneté, dernier grand texte du quinquennat, accentuer cette tyrannie de la « mixité sociale » ; laquelle n’est, en réalité, que le cache sexe de la mixité ethnoculturelle imposée.

La politique voulue par Ian Brossat fera donc progressivement fuir les classes les plus aisées, et ne fera certainement pas revenir les classes moyennes. C’est très précisément ce qui se passe en ce moment à Londres. Les fameux « cockneys » de l’East End, rendus célèbres par plusieurs romans, films et chansons, sont tous partis, chassés par l’immigration. On appelle ce mouvement le « white flight », c’est-à-dire le départ des blancs de Londres. Les Anglais de souche riches restent quant à eux dans des enclaves protégées de la capitale telles Fulham ou Chelsea.

Selon Michèle Tribalat, près de 600.000 Londoniens de souche auraient quitté la ville entre 2001 et 2011. Certains quartiers ressemblent désormais fort à des Molenbeek britanniques, l’on n’y trouve plus que des boucheries halals et autres magasins communautaires. Preuve que cela inquiète, la BBC diffusera le 24 mai prochain un documentaire consacré à la transmutation de ces anciens quartiers populaires, qui étaient une partie importante de l’identité d’outre-Manche.

Les politiques menées par les pays européens sont suicidaires. Toute notre histoire montre que ce sont les classes moyennes qui font la richesse d’un pays. Elles sont aujourd’hui sacrifiées par deux volontés idéologiques : la mondialisation économique qui leur rend les biens immobiliers hors de prix dans les métropoles, la mondialisation des échanges humains qui les rend étrangères chez elles.

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Source : Boulevard Voltaire

Pau : une statue de Jeanne d’Arc souillée

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Un acte antichrétien et antifrançais – ces deux types de haine vont souvent de pair…

Ce weekend [nuit du 7 au 8 mai], le socle de la statue de Jeanne d’Arc à Pau a été taguée. L’œuvre se situe sur la place devant l’entrée de l’église Notre-Dame sur le boulevard Alsace Lorraine. Des inconnus ont écris [sic] sur une des façades [sic] du socle de la statue : « franchoullards de merde » [avec une belle faute d’orthographe de la part du tagueur] et sur une autre façade [sic : de fait 2 faces du socle ont été taguées d’une faucille et d’un marteau] la faucille et le marteau, l’emblème du Parti Communiste. Un tag sans doute pour protester contre la célébration, tous les 8 mai de la libération d’Orléans par la pucelle de Domremy en 1429. Dès le lendemain, les services de la ville de Pau ont effacé le tag. Et le maire François Bayrou a réagi pour condamner ces dégradations.

Source : christianophobie.fr

Loir-et-Cher : vols profanation et vols dans l’église de Nouan-le-Fuzelier

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Un lecteur (merci F. B. !) me signale une profanation et des vols survenus en l’église Saint-Martin de Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) le 12 mai dernier. Voici ce qu’il me précise :

Savez-vous que l’église paroissiale de Nouan-le-Fuzelier dans le Loir-et-Cher a été profanée jeudi dernier [12 mai] : la porte du tabernacle a été fracturée, le ciboire avec les hosties consacrées et l’ostensoir ont été volés. L’église est fermée jusqu’à ce que l’évêque, Mgr [Jean-Pierre] Batut [évêque de Blois], vienne célébrer une messe de réparation le samedi 21 juin à 18 h.

L’évêque a en effet promulgué un décret le jour même de cette grave profanation :

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Source : christianophobie.fr

Présidentielle en Autriche : des affiches rédigées en turc

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Présent au second tour face au candidat FPO Norbert Hofer, le candidat écologiste est bien d'origine autrichienne mais cela ne semble pas être le cas de tous les électeurs. En effet, ce dernier, Alexander Van der Bellen, n'hésite pas à faire campagne avec des affiches rédigées en turc. Peu de sondages sont publiés sur le deuxième tour qui aura lieu dimanche prochain :

"L'avance de Hofer "est si nette qu'il doit être considéré comme le favori", assure de son côté le politologue autrichien Peter Filzmaier à Politico. Le seul sondage publié à ce jour donne les deux hommes à égalité à 50% des suffrages, avec toutefois une marge d'incertitude supérieure à 5 points. Les bookmakers, eux, donnent le candidat FPÖ largement en tête. "

Philippe Carhon

Source : Le salon beige

 

L'Australie défend son tour de vis migratoire

L'Australie a défendu lundi sa politique très restrictive en matière d'immigration, en dépit de récentes manifestations de réfugiés et de demandeurs d'asile dans le centre de traitement sur l'île de Manus (Papouasie-Nouvelle-Guinée).

Pour les autorités de Canberra, ces protestations n'auront aucun impact sur les discussions qui se sont ouvertes après que la justice papouasienne a jugé inconstitutionnel en avril dernier l'accord autorisant l'Australie à placer les réfugiés et les demandeurs d'asile sur cette île de l'archipel papouasien.

Le week-end dernier, des centaines d'entre eux ont dénoncé la poursuite de leur rétention dans le centre de Manus malgré la décision de la Cour suprême papouasienne, scandant "Liberté! Liberté!" et "Ce site est illégal".

Les autorités papouasiennes ont assoupli les règles la semaine dernière, autorisant les réfugiés à quitter le camp de jour, ce qui a ainsi fait dire aux autorités de Port Moresby qu'ils n'étaient plus en rétention et que la décision de la Cour était respectée.

Mais la Papouasie-Nouvelle-Guinée et l'Australie ne sont toujours pas d'accord sur le fait de savoir qui va reloger ces réfugiés et demandeurs d'asile. Le ministre australien de l'Immigration Peter Dutton a convenu que les discussions sur l'avenir du centre de Manus prendraient des mois, tout en avertissant que tous ceux qui tenteront de gagner son pays par mer n'y seront jamais accueillis.

"Aucune manifestation, aucun acte n'influenceront le gouvernement" du Premier ministre Malcolm Turnbull", a confié M. Dutton à des journalistes à Brisbane.

Source : Xinhua

Metz : comment financer la grande mosquée ?

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Ce week-end, l’Union des associations cultuelles et culturelles des musulmans de Metz a organisé sa kermesse sur le site de la future grande mosquée, à Metz- Borny. Le point sur le projet.

E nsemble pour la réalisation de la construction de la grande mosquée de Metz. Bien visible au cœur du grand Village de la Fraternité, entre les ateliers pour enfants, les stands restauration, les étals de vêtements ou l’initiation à la calligraphie arabe, le message entend donner le ton de la kermesse qui, ce week-end, a pris ses aises au boulevard Solidarité, à Metz-Borny. Pile justement où sera érigé un édifice de 12 000 m² « ouvert à tous et qui s’inscrira dans le patrimoine architectural messin. » C’est en tout cas ce que prédit Raymond Abderahman Beller, président de l’Union des associations cultuelles et culturelles des musulmans de Metz (UACM) en pointant du doigt les esquisses d’un projet de longue date, porté par les cinq associations de l’UACM, dessiné par l’architecte Garmi Sfarski. Coût estimé : 15 M€. Une sacrée somme !

Vingt-sept mois après la signature du bail entre l’UACM et la mairie de Metz, avec l’espoir que le permis de construire soit déposé dans les temps impartis (c’est-à-dire avant février 2017), impossible de dire quelle somme a été récoltée à ce jour. « Nous comptons sur la générosité les fidèles et les aumônes d’œuvres caritatives, mais aussi et en troisième lieu, sur les états du monde arabe qui souhaiteraient nous soutenir. A condition qu’il n’y ait pas de conditions ! Puis, au fur et à mesure des financements, le chantier évoluera en trois phases », poursuit le président en détaillant les parties cultuelles (deux salles de prières pouvant accueillir 1 500 hommes et 500 femmes) et les parties culturelles (self, hammam, garderie, bibliothèque…)

Dans un esprit d’ouverture, au-delà des différences et animée par tout une flopée de jeunes musulmans désireux de lutter contre la stigmatisation, la kermesse de l’UACM a donc vocation à inviter le public à venir à sa rencontre. « Ce week-end préfigure l’état d’esprit de la future mosquée », insiste le vice-président, Joudat Mohamed Hicham. Plus encore depuis les attentats parisiens, en tant qu’imam et aumônier à la maison d’arrêt, il insiste : « Il faut avoir le souci de faire un pas vers l’autre ». Que l’évêque de Metz Mgr Lagleize, les représentants du service diocésain pour les relations avec les musulmans ainsi que le pasteur du Temple Neuf Fabrice Benoît marquent de leur présence la kermesse de l’UACM est logiquement perçu comme une volonté commune de « dialogue et de fraternité. »

Source : Le républicain lorrain

lundi, 16 mai 2016

Quand la BBC s’intéresse au Grand Remplacement

« The last Whites of the East End », autrement dit : « Les derniers Blancs de l’Est londonien », est un documentaire choc que la BBC va diffuser le 24 mai prochain. Les téléspectateurs découvriront que les Blancs sont devenus « une espèce en voie de disparition » dans le district de Newham après que 70 000 immigrés s’y sont installés au cours des quinze dernières années.

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Newham, situé à l’extrémité Est de Londres, comptait autrefois une population composée majoritairement d’ouvriers blancs et de dockers. Cette population blanche s’est désintégrée au fil des années pour laisser place désormais à 73 % de minorités ethniques et noires. Plus de 147 langues étrangères différentes sont parlées rien que dans cet arrondissement de la capitale. Les habitants ancestraux, les Cockneys, sont devenus une espèce en voie de disparition.

En 15 ans, l’immigration de masse a anéanti des décennies de traditions forgées au cours du temps. Newham dispose à ce jour de 66 écoles primaires qui accueillaient il y a seulement 20 ans 50 % d’Anglais de souche. Aujourd’hui, à peine un élève sur trois est anglais et 43 langues différentes sont parlées dans l’enceinte de l’école.

Le Daily Mail a interrogé un habitant de 66 ans, Monsieur Peter Bell : « Je ne veux pas manquer de respect à la communauté musulmane, mais je pense qu’ils ne veulent vraiment pas s’intégrer à nos traditions… »

« Quand j’entends des mots comme multiculturalisme et vivre ensemble, je pense que c’est un non-sens. Nous sommes dans un environnement ayant un chômage record, une densité humaine extrême et où on en arrive à se sentir ostracisés. »

« Que notre Premier ministre ou nos députés viennent vivre ici sur Green Street pendant deux semaines. Ils comprendront mieux. »

« Je n’en reviens pas de ce qui est en train de se passer ici : on se croirait à Bagdad. »

Le district de Newham est l’arrondissement le plus ethniquement diversifié de tout le Royaume-Uni avec seulement 16 % de population blanche aujourd’hui contre 33,8 % il y a encore 10 ans.

Madame Leanne Oakham, dit au journaliste de BBC1 qu’elle a été obligée de déménager pour vivre dans l’Essex : « Ce n’est plus comme le East End d’autrefois où tout le monde se connaissait et on pouvait s’absenter de chez soi en laissant sa porte ouverte. C’est devenu dangereux aujourd’hui… »

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Traduction résumée du Daily Mail par Eurolibertés

Christian Legrand

Christian Legrand a parcouru le monde de nombreuses années (Chine, USA, Afrique noire, etc.) avant de devenir un chroniqueur régulier de nombreux sites internet français et étrangers.

Source : Eurolibertés

Halalissime : la très discrète marque halal du groupe Auchan

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Le groupe Auchan a lancé l’an dernier sa marque halal qu’elle a choisi d’associer à Simply Market.

Halalissime, voilà un nom qui annonce clairement la couleur. Propriété du groupe Auchan, via la société International Supermarket stores, Halalissime a pourtant été lancée au printemps 2015 avec force discrétion.

Discrétion à double titre :
– Auchan n’a pas associé son nom à la marque. Les produits ont été du reste commercialisés seulement dans les Simply Market, chaîne de supermarchés du groupe.
– Le lancement de la marque n’a été accompagné d’aucune campagne de communication.

L’islamophobie est si importante en France qu’elle affecte aussi l’économie. Finance islamique ou halal alimentaire, nombre de sociétés renoncent à se lancer sur le marché des consommateurs musulmans de crainte de subir des campagnes de dénigrement qui affecteraient leur activité.

Nous avons essayé de trouver Halalissime chez Simply Market, en vain. Pourtant, la marque a bel et bien été lancée comme en attestent ces deux tweets.

Source : Al-Khanz

Le Quick de Chenôve ne propose plus que des menus halal

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Selon nos informations, le Quick de Chenôve, situé rue de Longvic, propose uniquement des menus halal depuis mardi dernier. Une affiche est visible sur la porte du restaurant depuis cette date pour prévenir les clients.

En décembre 2015, après le rachat de l'enseigne française par le géant américain Burger King, de nombreuses sources affirmaient que les Quick passeraient tous sous pavillon américain, à l'exception de 10 % des restaurants qui serviraient uniquement de la viande certifiée conforme au culte musulman.

Reste à savoir quelle stratégie sera mise en place pour les trois autres restaurants de l'agglomération (Dijon, Saint-Apollinaire et Quetigny).

Source : Bien public

De Verdun à Macron : le naufrage moral du gouvernement

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La France est un bateau ivre. La gauche a renoncé à gouverner, persuadée que notre pays avait sombré, noyé dans l’océan mondialiste. Jusqu’à présent, nous semblions pris en otages de leur funeste politique, condamnés à assister, impuissants, au naufrage moral d’une nation millénaire, celle qui fut la nôtre, comme, auparavant, elle fut aussi la terre de nos pères. Ivres de leur pouvoir, totalement dénués de sens historique, les équipes de l’Élysée ont cru pouvoir programmer un rappeur, ayant tenu des propos parfois totalement inappropriés pour une telle occasion, aux commémorations du centenaire de la bataille de Verdun, sans que personne ne rechigne.

Fort logiquement, ce qui devait arriver arriva. La décence commune a prévalu. Très rapidement, une union nationale s’est formée, sans moyens particuliers autre qu’une farouche volonté politique, au sens le plus noble du terme. Quatre jours plus tard, le concert était annulé, consécration d’un long travail de ré-information, d’une bataille culturelle. Du site Fdesouche, au Collectif Culture qui a réalisé un visuel devenu viral. Conscients que l’affaire dévoilait crûment les provocations constantes d’une partie du monde politico-médiatique, les têtes d’affiche de la majorité n’ont pas réagi, laissant le petit personnel se ridiculiser.

Le secrétaire d’État aux Anciens combattants, Jean-Marc Todeschini, a vainement tenté d’agiter une « menace fasciste », qui s’étendait pourtant jusqu’à Jack Dion de Marianne, particulièrement remonté. Les anciens combattants seront contents de l’apprendre ! Puis la machine s’est furieusement emballée. Audrey Azoulay, ministre de la Culture, a bafouillé quelques mots absurdes sur une hypothétique « union morale nauséabonde ». Elle a même évoqué sa prétention à vouloir défendre les « libertés d’expression et de création » contre la censure. Ah bon, Black M est interdit de se produire en France ? Ses chansons ne passent pas à la radio ? Il n’est censuré nulle part, madame Azoulay. Il n’avait juste pas sa place à Verdun. Quant à elle, sa place était à Cannes, à se pavaner sur les tapis rouges en buvant du champagne, tout en se dépeignant en « résistante ».

Leur politique culturelle paraphrase Michel Houellebecq, c’est l’extension du domaine de la fête. Partout, tout le temps. La fête, la fête, la fête. Si on ne peut pas danser sur les tombes, sur l’histoire, ce serait parce que le « fascisme » d’un nouvel « ordre moral nauséabond » serait de retour. Quelle indécence. Dans un genre approchant, Fred Musa, animateur de la radio Skyrock, a déclaré sur I-Télé : « Black M c’est du rap pour toute la famille, même les grands-parents. Un peu comme Diam’s ». Les fast-foods américains sont aujourd’hui des restaurants familiaux, est-ce une raison pour en faire la nourriture officielle de l’Élysée quand nous recevons des chefs d’États étrangers ?

Philippe Muray avait prévenu : « Nous lutterons comme des lions pour protéger notre ramollissement ». La droite molle, jamais en retard d’une guerre contre la France historique, ne dément pas l’écrivain. Elle s’est aussi laissée aller à des débordements coupables, parfois délirants, par les voix de Rama Yade et Benoist Apparu. Alain Juppé utilisera-t-il une chanson de Black M pour sa campagne des primaires des Républicains ? Plus rien n’est impossible désormais.

Diaboliser l’opposition est une méthode de perdants. Ils ne savent plus quoi faire, éparpillés façon puzzle entre le libertarisme moraliste des uns, et les luttes personnelles des autres, financées par Goldman Sachs à Londres. Emmanuel Macron, le « renouveau en marche », a levé des millions d’euros pour sa micro formation politique lors d’un voyage officiel pour militer contre le Brexit. Quand d’autres font appel aux forces de l’argent, nous convoquons les forces de l’esprit. Plus difficile, plus ingrat, mais autrement plus noble.

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

La vision ignorante de Trump sur l’islam, selon Sadiq Khan

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Beaucoup de choses ont été dites et écrites sur Sadiq Khan, l’actuel maire de Londres. Ainsi, durant la campagne électorale, des journaux comme The Sun, The Guardian et d’autres, accusaient Sadiq Khan d’entretenir des liens douteux avec des groupes islamistes. Par exemple, Sadiq Khan fut l’ex-avocat de Nation of Islam (lobby politico-religieux américain) et de Zacarias Moussaoui (un des terroristes du 11 septembre 2001).

Aussi, il mena une campagne pour la libération et le retour au Royaume-Uni de Shaker Aamer (islamiste actif en Afghanistan et ex-dernier détenu de la prison de Guantanamo). Également, il participa à un colloque politico-islamique où les femmes et les hommes devaient entrer par des portes séparées… La presse anglaise a-t-elle voulu faire dans la diabolisation ou a-t-elle voulu s’improviser « lanceur d’alerte » ? Seul le temps nous le dira.

Cependant, ce qui est certain, c’est que la première mesure du nouveau maire de Londres fut de s’ingérer dans l’élection américaine. En effet, durant cette campagne le plus que probable candidat républicain, Donald Trump, estimait qu’il était nécessaire d’organiser un moratoire sur l’immigration musulmane, quelle que soit la raison, et cela jusqu’à ce que les responsables gouvernementaux puissent formuler une compréhension face aux incessantes attaques djihadistes, ainsi que mieux intégrer cette violence et cette haine particulière émanant de la communauté musulmane.

En réponse, Sadik Khan a donc lancé : « La vision ignorante que possède Donald Trump sur l’Islam pourrait rendre nos deux pays moins sûrs – il risque d’aliéner la majorité des musulmans du monde entier et jouer le jeu des terroristes. »

Face à cette déclaration, on aimerait alors demander à monsieur le Maire de Londres à quoi pourrait ressembler un politicien non-ignorant de l’islam. Est-ce quelqu’un comme Merkel qui a forcé sur le continent européen une invasion migratoire de plus d’un million de migrants qui, pour la plupart, sont musulmans ? Ou alors ; est-ce peut être quelqu’un comme Trudeau qui a refusé que l’aviation canadienne continue à bombarder l’État islamique ? Aussi, doit-on comprendre que si Trump ne change pas sa rhétorique défensive, les « kouffars » de l’Amérique et du Royaume-Uni devront alors subir encore plus de violence au nom de l’Islam et d’Allah ?

Au final, Trump s’est engagé, si élu, à faire une exception avec le maire de Londres. Ville, qui, comme Bruxelles, est soupçonnée d’héberger des penseurs et des soldats islamistes. Ville où plus de 600.000 Anglais de souche ont fui majoritairement pour cause de « vibrante diversité ». Une ville où les « White British » ne représente plus que, selon le recensement de 2011, 45% de la population londonienne, recevant de fait le titre de « minorité ». Une ville, où l’immigration est incessante. Une ville qui a, certes, un maire musulman, comme ce fut si largement commenté, mais qui est avant tout le maire d’une ville démographiquement non-anglaise.

Xavier Scott

Source : Boulevard Voltaire

 

Londres est hallal - Pierre Vial

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« L’élection d’un fils d’immigrés, s’assumant comme musulman, à la mairie d’une capitale de la Vieille Europe est incontestablement remarquable ». Avec ce constat, le journal Le Monde, la voix de la bourgeoisie cosmopolite, est aux anges : Sadiq (sic) Khan, musulman et Pakistanais devenu un Anglais de papier, est maire de Londres (il a eu la chance d’avoir comme concurrent le milliardaire juif Zac Goldsmith…).

Et Le Monde, qui reconnaît que « certes, Londres, ville-monde, est différente du pays profond », assène son credo : « Mais c’est un message qu’on ne dédaignerait pas de voir exporté Outre-Manche ». Eh oui, bien sûr : à quand, enfin, un(e) maire musulman(e) à Paris ? Etape indispensable pour la salutaire destruction d’une identité française et européenne qui est une insupportable entrave à la réalisation d’un monde idyllique car enfin métissé.

Les quotidiens régionaux ne voulaient évidemment pas être en reste pour la diffusion du message prêché par les zélotes parisiens de la dhimmitude. Donc Le Midi Libre écrit que Sadiq Khan « vient de donner une belle leçon à l’Occident » et qu’on « peut saluer l’ouverture d’esprit des électeurs londoniens » en choisissant un homme qui « incarne des valeurs de fraternité et de tolérance ». En oubliant un « détail » : combien d’électeurs londoniens sont-ils d’origine non-européenne ?

Pour être aussi sur la même ligne ethnomasochiste, La Charente libre assure que le vote des Londoniens est « exemplaire pour le reste d’une Europe tentée par les solutions extrêmes contre l’immigration ». Quant à La Montagne elle voit dans l’élection de Sadiq Khan « un espoir d’émancipation ».

Londres est donc devenu un symbole et tous les musulmans qui campent sur le sol européen l’ont bien compris et savourent l’événement : c’est une étape, importante, dans la guerre de conquête qu’ils ont entreprise. Tous les Européens qui ne comprennent pas ou ne veulent pas comprendre cela sont mûrs pour devenir des proies faciles car consentantes.

Pierre Vial

Source : Terre et Peuple

 

Livre : Philippe Randa : Poitiers Demain

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Philippe Randa, conscient très jeune des menaces islamiste et immigrationniste, a écrit ce roman d’anticipation voilà près d’un quart de siècle… Poitiers demain connut un succès immédiat dans la mouvance nationale française et européenne et plusieurs éditions successives. Cette nouvelle réédition témoigne qu’il n’a rien perdu de son message prophétique et de l’espoir que place l’auteur dans la détermination des Européens à s’opposer à l’islamisme radical et aux dangers d’une immigration-colonisation qui, hélas, n’ont fait qu’empirer depuis quarante ans…

2032, ils reviennent…

« Si le Djihad est le problème,
Poitiers demain est la solution ! »

Au XXIe siècle, la Troisième Guerre mondiale embrase la Terre. Les bombes d’abord, le Sida Foudroyant ensuite, ravagent le Monde en quelques mois. Les populations sont décimées.

En France, une fois la paix revenue, de petites communautés survivent, peureuses et désemparées dans un pays dévasté. Elles doivent se défendre contre les pillards, puis contre la menace du cheikh Akim qui a regroupé les populations africaines et veut conquérir l’ensemble du pays, réduisant en esclavage tous les « infidèles » qui lui résistent.

Un homme va alors rassembler une poignée d’Européens, de ceux qui veulent vivre libres sur leur terre et s’opposer à la formidable armée des envahisseurs. L’affrontement aura lieu à Poitiers en 2032 ! Bis repetita placent !

Poitiers demain est une épopée de la reconquête. Un hymne à l’Europe des Seigneurs de la guerre dont le héros emprunte ses traits aux chevaliers de le Table ronde. La Vouivre, mobilisée pour la bonne cause, entame une nouvelle carrière. Thor et Merlin font bon ménage avec les logiciels les plus perfectionnés. Quant aux Barbares, ils n’ont guère changé depuis la mort de Roland.

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Livre : Norbert Multeau : L’islam chez lui chez nous

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L’islam inquiète la France, embarrasse la démocratie, perturbe la paix civile. Devant cet intrus conquérant, la politique et l’intelligence se soumettent au nom des droits de l’homme, de la démocratie, de la tolérance … Et la crainte d’être «stigmatisés» comme racistes et islamophobes musèle les Français.
Cet essai «colérique» fait fi de la langue de bois et du «politiquement correct» pour constater que la fille aînée de l’église est en passe de devenir la fille cadette de l’islam. Car si nous ne faisons pas la guerre à l’islam, lui nous la fait. Un habitant de la planète sur quatre est musulman. L’objectif est de convertir les trois autres. Sommes-nous indignés ? Révoltés ? Résignés ?

Préface de Péroncel-Hugoz.

Et la crainte d’être «stigmatisés» comme racistes et islamophobes musèle les Français.
Cet essai «colérique» fait fi de la langue de bois et du « politiquement correct » pour constater que la fille aînée de l’église est en passe de devenir la fille cadette de l’islam.

Car si nous ne faisons pas la guerre à l’islam, lui nous la fait.

Un habitant de la planète sur quatre est musulman. L’objectif est de convertir les trois autres. Sommes-nous indignés ? Révoltés ? Résignés ?

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Livre : Dr Jean-Claude Pérez : L’assassinat de l’Algérie française, terreau de la conquête islamiste actuelle

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C’est à un poste de responsabilité dramatique que le Dr Jean-Claude Pérez a évolué en Algérie française à partir du 5 octobre 1955. Responsabilité dans un combat livré pour la Patrie, pour la France. Mais aussi pour l’Europe et pour l’Occident.
Ce fut une aventure totale que, paradoxalement, il continue de vivre aujourd’hui. Après plus de 50 ans. Pourquoi ? Parce qu’il reste imprégné d’une certitude : en Algérie française, ce ne fut pas à « un combat de la fin » qu’il a participé. Ce fut à un combat « de la fin du com­­mence­­ment. »

Du commencement d’une guerre qui, à partir de la Toussaint Rouge, le 1er novembre 1954, fut déclenchée contre la nation française, dont la défaite était nécessaire à ceux qui aujourd’hui aspirent à la « domination finale du monde ». À ceux qui s’expri­ment aujourd’hui en Europe, en Asie occidentale, en Indonésie, en Afrique et en Amérique, à travers la pugnacité d’un nouveau conquérant « l’arabo-islamisme fondamentaliste. »
Dans la rédaction de ce nouveau livre, il a pris soin de ne jamais perdre le contact avec l’Histoire. Parfois même, en affrontant le risque de remonter très loin. C’était d’une nécessité incontournable. « L’assassinat de la France Sud-Méditer­ra­néenne » reste en effet une page d’importance majeure dans l’histoire de France, dans l’histoire de la Chrétienté.
D’un chapitre à l’autre, il offre un parcours attentif et critique au lecteur curieux qui, encore une fois, morceau par morceau, parviendra à se pénétrer ainsi de la signi­fication historique, philosophique et spirituelle de l’assassi­nat de la France Sud-Méditerranéenne.
À propos de l’Algérie française, de la guerre d’Algérie, du combat de l’OAS déclenché dans l’espoir d’éviter à la France gaulliste l’infamie d’une lamentable défaite, il refuse de rejoindre « la triste cohorte des sceptiques, des blasés ou des aigris. »

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Livre : Jean-Claude Giraud, Philippe Randa : D’un uniforme à l’autre. De l’Algérie en guerre à l’insécurité en France

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Préface de Jean-Pierre Rondeau.

Toute sa vie, Jean-Claude Giraud a servi la France. D’abord en Algérie où, engagé volontaire, il découvre la réalité d’une guerre pudiquement baptisée  » maintien de l’ordre  » : les atrocités du FLN, mais aussi le dévouement des harkis, la sincérité des combattants de  » L’Algérie aux Algériens  » comme de  » L’Algérie française « , la camaraderie de la vie dans les douars et la trahison d’un Président de la République française : un immense gâchis qui laisse encore aujourd’hui des plaies à vif parmi tous les acteurs de ce drame.
Ensuite, en France même où il va gravir tous les échelons de la police : entré dans les CRS en… mai 68 (!), il sera ensuite affecté à la garde des Grands Hommes : Charles De Gaulle, Georges Pompidou, André Malraux, Léopold Sedar Senghor, Richard Nixon… Gardien de la paix, puis Inspecteur et enfin Chef Inspecteur Divisionnaire (Commandant 5e Echelon), voici les souvenirs et les remarques au vitriol d’un homme qui a été confronté directement à la montée de la criminalité, au laxisme des différents gouvernements de ces trente dernières années et à ceux qui ont défrayé la chronique des faits-divers.
De Jacques Mesrine au gang des postiches et à la mafia sicilienne, de Patrick Henry aux Zones de non-droit, d’Action Directe aux attentats islamistes des années 90 et à l’arrestation de Carlos, c’est la France des faits-divers et des scandales politiques, du grand banditisme au simple cambriolage, du meurtre crapuleux au coup-de-folie passionnel, du racket organisé aux tueurs en série, de la prévention nécessaire à la répression justifiée… Un grand flic témoigne sur ce qu’il a vu, entendu et vécu sans haine et sans crainte, sans honte et sans mensonge.
Avec l’obsession de porter témoignage pour remettre les pendules à l’heure d’un pays qui pour être certes déboussolé, n’en reste pas moins notre France.
Pour le meilleur et le pire… et pour toujours !
 

Livre : Guillaume Faye : Pourquoi nous combattons

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Politique, économie, géopolitique, démographie, biologie, etc., tous les sujets sont abordés. Il manquait au courant identitaire une véritable doctrine de synthèse idéologique et politique qui, au-delà de tous les partis, tendances, chapelles et sensibilités, rassemble enfin autour d’idées et d’objectifs clairs l’ensemble des forces qui s’opposent au dramatique déclin des Européens.

Manifeste de la Résistance européenne.

Il manquait au courant identitaire une véritable doctrine de synthèse idéologique et politique qui, au-delà de tous les partis, tendances, chapelles et sensibilités, rassemble enfin autour d’idées et d’objectifs clairs l’ensemble des forces qui s’opposent au dramatique déclin des Européens.
Nos peuples affrontent en effet les plus graves périls de toute leur histoire : effondrement démographique, submersion par la colonisation allogène et par l’islam, abârtardissement de la construction européenne, soumission à l’hégémonie américaine, oubli des racines culturelles, etc.
Sous la forme de texte essentiels et surtout d’un dictionnaire fondamental de 177 mots-clés. Guillaume Faye, un des auteurs les plus féconds de la « droite » européenne, établit un diagnostic complet de la situation et propose un programme de résistance, de reconquête et de régénération des valeurs. Il projette une alternative radicale et révolutionnaire à cette civilisation dégénérée. L’objectif de ce manifeste est d’unir par une doctrine commune de combat toutes les volontés désireuses de constituer un Réseau européen de rébellion, oubliant les querelles intestines et les divergences superficielles.
Politique, économie, géopolitique, démographie, biologie, etc., tous les sujets sont abordés.
Comme le fut pour la gauche du xixe siècle le Manifeste du Parti communiste de Karl Max, Pourquoi nous combattons est destiné à devenir le manuel de base des forces identitaires européennes du xxie siècle. Sa possession et sa lecture attentive sont absolument indispensables.
Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et titulaire d’un doctorat en sciences politiques, l’essayiste Guillaume Faye a été l’un des principaux théoriciens de la Nouvelle droite française des années 1970-1980 avant d’évoluer vers la mouvance identitaire. Journaliste au Figaro-Magazine, à Paris-Match, à VSD, à Magazine-hebdo, à Valeurs actuelles et à la radio « libre » La Voix du Lézard. Il a également dirigé le journal, puis la lettre confidentielle J’ai tout compris !

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Livre : Guillaume Faye : Avant-Guerre. Chronique d’un cataclysme annoncé

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Ce livre défend la thèse suivante : la Troisième Guerre mondiale va éclater de manière imminente. Ses formes seront radicalement nouvelles, « archéofutu­ristes ». Elle sera la plus violente, la plus impitoyable, la plus dévastatrice que l’humanité ait jamais connue. Elle n’opposera pas des États entre eux, mais sera un choc titanesque de civilisations, de religions et de races, au cœur duquel il y a la reprise mondiale du djihad islamiste et de sa troisième offensive historique contre l’Europe, mais aussi le risque d’un conflit majeur dans la zone pacifique.
Les attentats du 11 septembre ont été l’élément déclencheur de cette guerre, tout comme l’assassinat de Sarajevo entraîna la Première Guerre mondiale.
L’Europe et la France se trouveront au centre de la ligne de front de ces conflits, dont les deux principales formes seront le terrorisme de masse et la razzia insurrectionnelle. Nous allons vivre simultanément une « guerre globalisée » et une guerre civile à forte connotation ethnique en Europe. Il faut nous attendre aussi à des actes de « giga-terrorisme », notamment nucléaire.
Face au formidable cyclone qui se lève, l’impréparation de la société occidentale est totale, analyse l’auteur : une classe politique aveugle ou indifférente ; des intellectuels plus veules que jamais dans leur tour d’ivoire ; une population autochtone émasculée et ahurie. Pourtant il ne faut pas désespérer : cette guerre totale qui se prépare et va embraser la planète sera non seulement un démenti cinglant au souhait américain de « fin de l’histoire » et de « nouvel ordre mondial » au xxie siècle, mais l’unique moyen de refonder la civilisation européenne dans la douleur et d’opérer la reconquête de notre aire de civilisation.
Le Tribunal de l’Histoire prononcera bientôt son verdict…
Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et titulaire d’un doctorat en sciences politiques,  l’essayiste Guillaume Faye a été  l’un des principaux théoriciens de la Nouvelle droite française des années 1970-1980 avant d’évoluer vers la mouvance identitaire. Journaliste au Figaro-Magazine, à Paris-Match, à VSD, à Magazine-hebdo, à Valeurs actuelles et à la radio « libre » La Voix du Lézard.  Il a également dirigé le journal, puis la lettre confidentielle J’ai tout compris !

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Livre : Dr Jean-Claude Pérez : Attaques et contre-attaques

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En attaquant la France en Algérie, c’est à la conquête de notre pays que se lancèrent en effet, le FLN d’abord, l’islamisme fondamentaliste ensuite.

En attaquant la France en Algérie, c’est à la conquête de notre pays que se lancèrent en effet, le FLN d’abord, l’islamisme fondamentaliste ensuite.

« Vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque », telle fut la prédiction d’un chef FLN, avant sa mort. Mais autre chose est à souligner : il s’est agi d’une véritable guerre, officialisée comme telle, le l8 octobre 1999, par une loi de notre assemblée nationale, à majorité socialiste.

Au nom de cette loi, il sera possible, un jour, de réclamer justice. Contre ceux qui se sont rendus coupables d’intelligence avec l’ennemi en temps de guerre.

Ces renégats, en trahissant leur pays ont assumé un autre risque.

Celui de provoquer un génocide, c’est-à-dire le massacre d’un million de Français d’Algérie, de toutes confessions.

Une poignée de combattants parvint à interdire ce génocide, les armes à la main : les combattants de l’OAS.

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Livre : Roger Tebib : Les services de renseignement dans le monde islamique

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Ce livre a été écrit pour le grand public, mais également pour les services français du renseignement qui sont, quoiqu’en pensent certains, parmi les meilleurs du monde et les plus démocratiques.

Dans les services de renseignement du monde islamique, le militaire a une place importante, en principe pour deux raisons : d’une part, les officiers des pays musulmans sont souvent issus d’une petite bourgeoisie et l’armée constitue pour cette classe sociale une chance de promotion ; d’autre part, les conflits dans le Proche-Orient et l’Afrique du Nord font que renseignement politique et renseignement militaire vont de pair. Certains de ses services sont de haut niveau et ont de bonnes relations avec les pays européens. Mais dans le futur ordre mondial bipolaire, ils risquent d’être utilisés par les impérialistes qui tentent d’asseoir leur puissance sur des États où les communautés étrangères sont importantes. Il convient donc de se protéger contre les tentatives de subversion dues à une diplomatie souvent du gazoduc.

Ce livre a été écrit pour le grand public, mais également pour les services français du renseignement qui sont, quoiqu’en pensent certains, parmi les meilleurs du monde et les plus démocratiques.

L’auteur, Roger Tebib, est docteur en droit, docteur ès sciences religieuses, docteur d’État ès lettres. Il fut d’abord instituteur, élève de l’École normale supérieure de Cachan, inspecteur de l’Éducation nationale, puis professeur des Universités (sociologie). Il est auditeur à l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale, président de la section Champagne-Ardennes du Haut Comité Français pour la Défense civile, président de la même région de l’association Renaissance française et directeur du Centre d’Études de Défense et de Sécurité Civile (à Troyes et Chaumont).

Il a obtenu pour ses travaux les prix de la Société des Arts et Lettres de France, de l’Académie de droit de Toulouse et du Conseil Général de la Haute Marne.

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Livre : Gilbert Sincyr : L’Islam face à la Gaule

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Nous sommes en juin 721, et le duc Eudes d’Aquitaine voit monter devant Toulouse la marée sarrasine. Charles « Martel », qui veut sa perte, l’a abandonné. Après six mois de siège, la bataille sera d’une violence inouïe. 3875 musulmans et 1203 chrétiens y laisseront la vie, ainsi que l’émir Essamh ibn Malik. Les lambeaux de l’armée islamique refluent alors vers Narbonne. Le rêve de la conquête musulmane de la Gaule gît, brisé, sur « La Chaussée des Martyrs ».

— Allah akbar !

5000 poitrines clament ce cri en se lançant à l’assaut de la Gaule.

Nous sommes en juin 721, et le duc Eudes d’Aquitaine voit monter devant Toulouse la marée sarrasine. Charles « Martel », qui veut sa perte, l’a abandonné. Après six mois de siège, la bataille sera d’une violence inouïe. 3875 musulmans et 1203 chrétiens y laisseront la vie, ainsi que l’émir Essamh ibn Malik. Les lambeaux de l’armée islamique refluent alors vers Narbonne. Le rêve de la conquête musulmane de la Gaule gît, brisé, sur « La Chaussée des Martyrs ».

Et Poitiers en 732 ? Ce fut une rude bataille, mais le rezzou arabe de 7 000 fédayins, commandé par le nouvel émir Abder Rahman El Gharifi, fut à son tour détruit par les forces d’Eudes d’Aquitaine et de Charles Martel, alliés pour une fois. Seulement les Mérovingiens devenus « fainéants », allaient être remplacés par les Carolingiens, soutenus par l’Eglise, et le duc Eudes d’Aquitaine ruiné par les ravages des musulmans dû accepter la suzeraineté du royaume Franc. Devenu le sauveur de l’Occident et de la chrétienté, Charles Martel se servit de ce marchepied pour construire son ambition.

Mais cette victoire commune n’a pas eu pour les arabes l’importance qu’on lui attribue, car ce fut à Toulouse et non à Poitiers que la tentative de conquête musulmane fut stoppée, et c’est ce qu’a découvert le Professeur Forado. En effectuant un travail de recherches approfondies dans les archives du Haut Moyen Âge, le Professeur Sydney Forado, mit en lumière ce que les apologistes de Charles Martel avaient travesti. Redonnant un intérêt historique à cette période méconnue.

Intégrant ces découvertes, retraçant la pression musulmane de la Méditerranée à l’Atlantique, l’accord entre le prince Eudes d’Aquitaine et le gouverneur berbère de Narbonne, le traité de 720 imposé à Eudes par Charles « Martel », les batailles de Toulouse et de Poitiers…. Gilbert Sincyr nous fait vivre en direct l’histoire de la tentative islamique de con­quête de la Gaule au viiie siècle, et l’arrivée d’une nouvelle dynastie à la tête du royaume Franc.

Passionnant et instructif.

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dimanche, 15 mai 2016

L’ « ordre moral nauséabond » a bon dos !

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Pas contents d’avoir perdu, nos braves socialistes, dans l’affaire « Poilus » contre Black M.. Pas contents que ce « chanteur » ne puisse se produire lors des commémorations officielles du centenaire de la bataille de Verdun. Pas contents que la mairie ait cédé en annulant le concert du rappeur.

Aujourd’hui tous les lecteurs de Boulevard Voltaire connaissent Black M.. C’est ce chanteur issu du groupe Sexion d’Assaut qui dans la chanson “Désolé”, avait qualifié la France de “pays de kouffars”, terme très péjoratif signifiant “mécréants”, utilisé dans la propagande anti-occidentale de Daech.

C’est dur en effet pour la gauche de voir les réseaux sociaux monter au créneau et la battre à plate couture. Mais au fait, si les réseaux sociaux ont gagné – et il faut saluer ici plus particulièrement FdeSouche et tous les intervenants de Boulevard Voltaire, c’est qu’aujourd’hui ces Français de « la toile » sont majoritaires. Ces Français qui n’en peuvent plus d’être traités de manière méprisante. D’ailleurs, la non venue de ce rappeur n’a pas clos le débat, le gouvernement l’a tellement en travers de la gorge qu’il a fallu que des ministres éructent une dernière fois. Ainsi entre deux petits fours de chez « Lenôtre » et une coupe de champagne millésimé la ministre de la « Culture » Audrey Azoulay qui s’exprimait devant des professionnels du cinéma à l’occasion du Festival de Cannes a fustigé : « un ordre moral nauséabond » :
« Des voix déchaînées ont obtenu l’annulation d’un concert au nom d’un ordre moral nauséabond et décomplexé. N’acceptons jamais cela. Ce n’est pas la première fois que l’autocensure succède à ces coups de forces inacceptables … les démocraties en Europe sont confrontées à la violence, à la montée de l’extrême droite, à la radicalisation d’une partie de leurs enfants, à la radicalisation aussi du débat public« , estimant « qu’il est important, ici à Cannes, de réaffirmer nos valeurs et de défendre la liberté d’expression« .

Toute la féconde pensée progressiste est contenue dans ce terme : « ordre moral nauséabond » Cela fait quarante ans qu’ils ont fait main basse sur le ministère de la Culture, cela fait quarante ans qu’ils nous bassinent avec leurs films engagés, évidemment quand on dit « engagés » c’est toujours du même côté que penche le cinéma français et cela fait quarante ans qu’on en marre de leur immoralité nauséabonde ! Mais le pire est à venir, écoutons en effet sur le même sujet le secrétaire d’État aux Anciens combattants Jean-Marc Todeschini exprimer ce vendredi sa colère. Non pas sa colère de voir que le gouvernement et le maire de Verdun aient pu penser un seul instant à demander au rappeur de tenir la scène le 29 mai au soir mais la colère de voir déprogrammer l' »idole des jeunes des quartiers ».

« Je veux dire ma colère de voir qu’un déferlement de haine, d’injures et de menaces force un élu à annuler le concert d’un artiste dans un pays où la liberté d’expression et de création sont des valeurs et des droits fondamentaux« .

Moi je pense que le droit, ou plutôt, le devoir fondamental d’un secrétaire d’Etat aux Anciens combattants est de défendre exclusivement les anciens combattants et leurs mémoires et de fermer sa gueule sur le reste. Aussi je propose aux délégations d’anciens combattants, eux qui sont le prolongement vivant de nos héros de Verdun, de ne pas honorer la visite de cet individu qui sali leurs drapeaux par de tels propos.

Il faut que monsieur le secrétaire d’Etat, qui porte beau la barbe, sache que notre choix de pilosité n’est pas le sien. Nous, c’est les « poilus » qu’on vénère !

J.-P. Fabre Bernadac

Source : Boulevard Voltaire

 

Black M : au-delà de la « victoire », de nouveaux moyens d’action

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La polémique provoquée par l’invitation de Black M, à la commémoration de Verdun le soir du dimanche 29 mai, avait été étonnamment passée sous silence dans les « grands » médias. En vain : ils n’ont pu contenir l’explosion.

Sur son blog personnel, Maxime Tandonnet -l’un des premiers à s’exprimer en ligne sur le sujet – confessait un sentiment de solitude devant ce silence. Et pourtant, les résistants étaient bien là et leurs efforts viennent de payer.

Face à un tel évènement, une attaque qui touche profondément les cœurs et les mémoires, la toile s’est mobilisée. Des flots de protestation se seraient abattus sur la mairie de Verdun ainsi que la préfecture de la Meuse, dont les coordonnées étaient relayées sur les réseaux sociaux.

Pour ne pas perdre la face, le maire de Verdun annule, en vociférant, le fameux concert. Pour « céder » sans renier ses valeurs républicaines, il ne pouvait pas alléguer d’autres prétextes que sa propre victimisation. C’est à regret, mais non sans fierté, annonce-t-il dans L’Est républicain, qu’il renonce à un « programme d’une grande diversité culturelle » ainsi qu’à la transmission d’un « message universel ». La crainte se lit dans ses propos. Jusqu’au bout, il élude les véritables raisons qui ont soulevé une telle vague d’indignation à travers le pays.

Surgit, en revanche, le traditionnel chapelet d’injures et d’accusations généralement brandies par la gauche comme un bouclier, dès qu’elle rencontre une opinion contraire à la sienne, surtout lorsqu’elle se montre soucieuse de l’honneur de notre pays : tout se résume, encore, à « un déferlement de haine et de racisme ». La « dissidence » n’est pas écoutée et le contenu de ses revendications n’a clairement pas été considéré.

Le maire ou les autorités qui ont daigné s’exprimer sur le sujet ne remettent pas en question l’idée que « s’amuser » n’est pas la vocation d’une telle cérémonie. Ils n’y voient qu’une opposition forcément raciste puisque le chanteur était noir ; une contradiction imbécile et violente, à l’image, sans doute, du regard qu’ils portent sur les 30 % d’électeurs votant pour le FN, que le candidat Juppé espère remettre dans le droit chemin.

Qu’ils crachent leur venin ! Le résultat est là. Quels que soient les qualificatifs attribués, la victoire de la « nouvelle opinion publique » démontre que persévérance et détermination bien dirigées portent leurs fruits : l’union des voix est une force capable d’exercer une certaine pression via les réseaux sociaux. Les protestations massives ne peuvent être individuellement condamnées, ainsi que le gouvernement s’est récemment plu à faire, pour évincer ceux qui le dérangent.

Le gouvernement cède ainsi sur un point symbolique, mais essentiel.

En inspirant de nouveaux moyens d’action, signes de résistance, il faut espérer que cette victoire préfigure d’autres changements.

Virginie Vota

Source : Boulevard Voltaire

L’ « ordre moral nauséabond » a bon dos !

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Pas contents d’avoir perdu, nos braves socialistes, dans l’affaire « Poilus » contre Black M.. Pas contents que ce « chanteur » ne puisse se produire lors des commémorations officielles du centenaire de la bataille de Verdun. Pas contents que la mairie ait cédé en annulant le concert du rappeur.

Aujourd’hui tous les lecteurs de Boulevard Voltaire connaissent Black M.. C’est ce chanteur issu du groupe Sexion d’Assaut qui dans la chanson “Désolé”, avait qualifié la France de “pays de kouffars”, terme très péjoratif signifiant “mécréants”, utilisé dans la propagande anti-occidentale de Daech.

C’est dur en effet pour la gauche de voir les réseaux sociaux monter au créneau et la battre à plate couture. Mais au fait, si les réseaux sociaux ont gagné – et il faut saluer ici plus particulièrement FdeSouche et tous les intervenants de Boulevard Voltaire, c’est qu’aujourd’hui ces Français de « la toile » sont majoritaires. Ces Français qui n’en peuvent plus d’être traités de manière méprisante. D’ailleurs, la non venue de ce rappeur n’a pas clos le débat, le gouvernement l’a tellement en travers de la gorge qu’il a fallu que des ministres éructent une dernière fois. Ainsi entre deux petits fours de chez « Lenôtre » et une coupe de champagne millésimé la ministre de la « Culture » Audrey Azoulay qui s’exprimait devant des professionnels du cinéma à l’occasion du Festival de Cannes a fustigé : « un ordre moral nauséabond » :
« Des voix déchaînées ont obtenu l’annulation d’un concert au nom d’un ordre moral nauséabond et décomplexé. N’acceptons jamais cela. Ce n’est pas la première fois que l’autocensure succède à ces coups de forces inacceptables … les démocraties en Europe sont confrontées à la violence, à la montée de l’extrême droite, à la radicalisation d’une partie de leurs enfants, à la radicalisation aussi du débat public« , estimant « qu’il est important, ici à Cannes, de réaffirmer nos valeurs et de défendre la liberté d’expression« .

Toute la féconde pensée progressiste est contenue dans ce terme : « ordre moral nauséabond » Cela fait quarante ans qu’ils ont fait main basse sur le ministère de la Culture, cela fait quarante ans qu’ils nous bassinent avec leurs films engagés, évidemment quand on dit « engagés » c’est toujours du même côté que penche le cinéma français et cela fait quarante ans qu’on en marre de leur immoralité nauséabonde ! Mais le pire est à venir, écoutons en effet sur le même sujet le secrétaire d’État aux Anciens combattants Jean-Marc Todeschini exprimer ce vendredi sa colère. Non pas sa colère de voir que le gouvernement et le maire de Verdun aient pu penser un seul instant à demander au rappeur de tenir la scène le 29 mai au soir mais la colère de voir déprogrammer l' »idole des jeunes des quartiers ».

« Je veux dire ma colère de voir qu’un déferlement de haine, d’injures et de menaces force un élu à annuler le concert d’un artiste dans un pays où la liberté d’expression et de création sont des valeurs et des droits fondamentaux« .

Moi je pense que le droit, ou plutôt, le devoir fondamental d’un secrétaire d’Etat aux Anciens combattants est de défendre exclusivement les anciens combattants et leurs mémoires et de fermer sa gueule sur le reste. Aussi je propose aux délégations d’anciens combattants, eux qui sont le prolongement vivant de nos héros de Verdun, de ne pas honorer la visite de cet individu qui sali leurs drapeaux par de tels propos.

Il faut que monsieur le secrétaire d’Etat, qui porte beau la barbe, sache que notre choix de pilosité n’est pas le sien. Nous, c’est les « poilus » qu’on vénère !

J.-P. Fabre Bernadac

Source : Boulevard Voltaire

 

Une banderole anti-Estrosi déployée dans le centre de Nice

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Des membres d'un groupe d'extrême droite "Génération Identitaire" ont déployé une banderole contre Christian Estrosi. L'action s'est déroulée vendredi 13 mai vers 19 heures, sur l'avenue Jean Médecin, au-dessus de la permanence du parti Les Républicains.

Sur la banderole rouge ont pouvait lire : "Mosquées, Estrosi complice des islamistes". La police a rapidement interpellé sept personnes suspectées d’avoir participé à l’opération. Tous ont été relâchés samedi 14 mai dans l'après-midi sans faire de déclaration.


Une banderole anti-Estrosi déroulée à Nice

Christian Estrosi, président de la région Paca et maire de Nice a décidé de porter plainte pour "outrage à personne dépositaire de l’autorité publique". Un fait passible de 6 mois à un an d’emprisonnement et d'une amende de 15.000 euros.

Quelques heures plus tard, Philippe Verdon a répondu au maire de Nice par un tweet. Le Conseiller Régional FN  affirme qu'il n'est pas "le grand ordonnateur" de cette action.


Une banderole anti-Estrosi déployée dans le centre de Nice

Source : Francetvinfo