vendredi, 13 mai 2016
Brabant: une mosquée en projet à Baulers
La mosquée de la Paix fait partie des candidats acquéreurs de l’ancienne gare.
Ce n’est pas une rumeur mais un vrai projet… qui pourrait toutefois ne pas se réaliser. En tout cas, une mosquée pourrait bien s’implanter sur le site de l’ancienne gare de Baulers, qui est à vendre pour l’instant.
Le bâtiment est à l’abandon depuis un bout de temps, il a été squatté, les murs intérieurs sont tagués et les vitres ont été explosées par des vandales, mais il y a de beaux espaces à mettre en valeur après une rénovation complète. La société immobilière de la SNCB a affiché sur la façade qu’elle attendait des offres à partir de 140.000 €.
Très gros travaux à prévoir, c’est clair, mais cela n’effraie visiblement pas les responsables de la mosquée de la Paix, pour l’instant installée dans la rue Henri Pauwels. Leur projet à Baulers n’est pas un secret : il est annoncé sur le site internet (www.cicn.be/site) du centre islamique et culturel de Nivelles. Notre Future Mosquée, annonce le titre au-dessus de la photo de l’ancienne gare dont la surface est de 343 m2, bordée par un terrain de 1.518 m2.
Voeu pieux à ce stade puisque, pour acquérir le site, un appel aux dons est en cours. Un mètre carré pour 500 €, et le dernier décompte de la collecte indique que l’équivalent de 32 m2 est déjà financé. Un peu moins de 10 %, donc. Soulignons que le CICN n’est pas le seul candidat acquéreur, et que le choix final de la SNCB se fera cet été.
Autant de raisons pour lesquelles, à ce stade, les responsables restent très prudents sur le sujet. "C’est vraiment prématuré", a répondu hier un de ceux-ci à notre demande d’interview.
Le bourgmestre, Pierre Huart, de son côté, confirme avoir été mis au courant du projet par l’architecte, venu en toute transparence faire part des intentions de ses clients. La nouvelle implantation permettrait notamment de résoudre le problème du parking, qui manque aux abords de la mosquée actuelle. "Nous n’avons pas d’avis à ce stade : la Ville entretient de bons rapports avec la mosquée de la Paix, qui ne pose aucun problème", précise le maïeur.
11:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'affaire Piquemal questionne le rapport entre armée et extrême-droite
Le procès du général Christian Piquemal commence ce jeudi. Le 6 février, il avait participé à une manifestation antimigrants interdite à Calais.
Qui est le général Christian Piquemal ?Le général Christian Piquemal, 75 ans, a eu une belle carrière. Nommé conseiller militaire du Premier ministre en 1989, il a travaillé successivement avec Michel Rocard (PS), Édith Cresson (PS) et Pierre Bérégovoy (PS). Il a ensuite été commandant de la Légion étrangère, de 1994 à 1999, et est officier de la Légion d'Honneur depuis 1996.
Samedi 6 février, il a été arrêté alors qu'il participait, microphone à la main, à une manifestation antimigrants à Calais. Autour de lui, les manifestants scandaient : « On est chez nous ! », « État dictateur ! » ou « Migrants dehors ». Alors qu'il devait être jugé en comparution immédiate à Boulogne-sur-Mer, son procès avait été reporté en raison de son état de santé. Il commence finalement ce jeudi.
Christian Piquemal est poursuivi pour « organisation d'une manifestation interdite sur la voie publique » et « participation sans arme à un attroupement qui ne s’est pas dissous après sommation de se disperser ». Les deux délits sont passibles de, respectivement, six mois de prison et 7 500 euros d'amende et un an de prison et 15 000 euros d'amende.
De source judiciaire, l'ancien militaire est considéré comme le leader de la manifestation. Mais pour son avocat, Dominique Mattéi, si « monsieur Piquemal a bien participé à la manifestation », il est n'en est pas l'organisateur. « Pour le condamner là-dessus, il faudra le prouver et on ne pourra pas se réfugier derrière sa prétendue notoriété. »
Pourquoi la manifestation était interdite ?Les organisateurs de la manifestation voulaient dénoncer « l'insécurité générée par la présence de nombreux migrants » à Calais. De 3 000 à 5 000 réfugiés d'Afrique de l'Est, du Moyen-Orient et d'Afghanistan, y vivent dans un bidonville ou dans le camp aménagé à proximité, dans l'espoir d'atteindre l'Angleterre.
Mais la préfecture avait estimé qu'« une contre-manifestation était hautement prévisible », à l'appel notamment de « mouvements extrémistes de Gauche, comprenant des militants connus pour leur violence ». Craignant des « confrontations violentes entre ces deux groupes », la préfète du Pas-de-Calais, Fabienne Buccio, avait donc interdit « toute manifestation ou rassemblement ayant trait à la situation migratoire à Calais ».
Des militaires prennent sa défenseLa prise de position de Christian Piquemal n'a pas plu au ministre de la Défense. Depuis 2000, Piquemal est officier de la deuxième section, ce qui signifie qu'il n'est plus en activité mais peut être rappelé. Et qu'il est toujours soumis au devoir de réserve. Or, selon l'entourage du ministre, Christian Piquemal ne l'a « visiblement pas respecté ». Début mars, Jean-Yves Le Drian a saisi l'armée de terre pour qu'un conseil de discipline le mette à la retraite.
Le 4 mars, trois autres généraux avaient interpellé le président de la République, dans les colonnes du quotidien Le Figaro, pour soutenir Christian Piquemal « et s'indigner de la situation à Calais ». Or Pierre Coursier, Antoine Martinez et Jean du Verdier sont, eux aussi, officiers de la deuxième section et soumis au même devoir de réserve. Menacé de sanctions par le ministère de la Défense, le général Martinez persiste ce jeudi dans Le Figaro. Selon lui, on ne peut pas demander à un soldat « de se taire face à l'inconséquence de décisions ou de non-décisions qui mettent en danger l'existence même de son peuple ».
Willy Destierdt, 59 ans, ancien militaire de la Légion étrangère, avait organisé une manifestation de soutien à Piquemal, le 20 février à Calais, malgré une autre interdiction de la préfecture. Il a été condamné en mars par le tribunal de Boulogne-sur-Mer à trois mois de prison avec sursis, un stage de citoyenneté et l'interdiction de se rendre dans le Pas-de-Calais pendant deux ans.
50 % d'intentions de vote pour le FN à la présidentielle 2017Christian Piquemal est-il un cas isolé dans l'armée, ou le symptôme d'un penchant pour les valeurs de l'extrême-droite ?
Selon une étude du Cevipof, centre de recherches de Sciences Po, 53 % des policiers et militaires ont voté pour le Front national au premier tour des élections régionales de 2015. Au premier tour de l'élection présidentielle de 2017, 55 % auraient l'intention de voter pour Marine Le Pen, si Nicolas Sarkozy est le candidat Les Républicains.
Si Alain Juppé était le candidat Les Républicains, il attirerait plus de votes que le précédent président de la République et les intentions de vote des militaires et policiers pour Marine Le Pen descendrait, un peu, à 52,5 %.
Après l'arrestation de Christian Piquemal, les ténors du Front national, Florian Philippot, Marion Maréchal - Le Pen et Gilbert Collard l'avaient soutenu. « Un grand serviteur de la France traité plus durement qu'un délinquant : une cruelle preuve de l'inversion totale des valeurs », avait écrit Marine Le Pen sur Twitter.
Julie Durand
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Anduze : séance de cinéma sur le thème de l'immigration pour deux classes de 3e
Dans le cadre du 15e Festival international du documentaire en Cévennes dont le but est de relier les territoires et les habitants autour du documentaire, deux classes de 3e du collège Florian ont eu la chance de rencontrer Pierfrancesco Li Donni, réalisateur du beau film "Loro di Napoli" qui a obtenu le prix Télérama au Fipa 2016.
Cette projection s'inscrit dans un objectif culturel proposé par le collège afin de permettre aux jeunes de s'ouvrir sur le monde extérieur et d'échanger avec des créateurs.
La découverte du film a été précédé d'un travail scolaire sur le thème de l'immigration, sujet d'actualité, encadré par les professeurs de français.
Le club de l'Afro Napoli United présenté par le réalisateur a une particularité unique au monde, il est majoritairement composé d'étrangers et de jeunes napolitains nés de parents étrangers et donc considérés comme tels puisque l'Italie applique encore le droit du sang.
Tous ont un commun le même rêve d'arriver un jour à régulariser leur situation et face aux exigences de l'administration, le chemin est long pour arriver à s'intégrer.
C'est au prix de nombreux efforts, du respect de la discipline, d'une grande exigence sur le plan personnel, que ces joueurs très particuliers peuvent accéder au championnat national.
Si les filles semblent moins sensibilisées à l'univers footballistique, dans le film documentaire de Pierfrancesco Li Donni le football est un support qui amène à une réflexion beaucoup plus large sur l'immigration et l'intégration.
A l'issue de la projection, le réalisateur a répondu aux questions des jeunes par l'intermédiaire de Béatrice Tavan qui accompagnait ses élèves et qui a servi d'interprète.
11:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Black M à Verdun : la colère de l'extrême droite
La polémique enfle sur internet depuis l’annonce d’un concert de Black M pour la commémoration de Verdun. Ce choix de l’Elysée est loin de plaire à certains élus comme le Maire de Béziers qui voit en le rappeur un « Anti-Français, homophobe, antisémite ».
Et c’est plus particulièrement l’extrême droite qui s’indigne de ce choix pour commémorer les soldats morts à la bataille de Verdun. Certain qui y voient une « provocation » ont interpellé François Hollande directement pour lui demander de retirer cette programmation. Marion Maréchal Le Pen a dans un communiqué rappelé les paroles d’une chanson de Black M « Désolé » dans laquelle « Il qualifie la France de pays de Kouffars, terme très péjoratif signifiant mécréant utilisé dans la propagande anti-occidentale de Daesh. ». Ce que Marine Le Pen soutien en qualifiant ses propos d’ « extrêmement injurieux à l’égard des Français ».
Face à ces critiques, le maire de Verdun oppose que le chanteur est « Tout simplement un enfant de la Republique. Plébiscité actuellement par les jeunes comme aucun autre artiste français, et s’est vu décerner le Kid’s Choice Awards de l’artiste international de l’année 2016 ».
D’autres soulignent que pendant la guerre, toutes les religions et toutes les nationalités étaient présente pour soutenir la France et combattre pour sa liberté. Une polémique qui ne serait selon certain qu’alimentée par l’extrême droite et n’aurait pas lieu d’être.
11:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un nouveau pas vers la construction de la mosquée rue des Alpins
Fin janvier dernier, le maire de la ville signait un nouveau permis de construire pour le projet de reconstruction de la mosquée rue des Alpins. Après cette première étape, l’association Nouvel Avenir, qui est en charge du dossier, organise une cérémonie de lancement de chantier samedi 23 avril.
Ce n’est pas les deux recours gracieux qui vont freiner l’association Nouvel Avenir. Depuis 12 ans maintenant, la communauté musulmane du bassin annécien attend avec impatience la reconstruction de son lieu de culte, situé depuis la fin des années 70 rue des Alpins. Après l’incendie de cette mosquée, perpétrée par un groupe de néonazis, les fidèles souhaitaient reconstruire un lieu digne de ce nom.
Le chemin n’a pas été simple, de l’aveu même du nouveau président, Ahmed Kerboua. Alors qu’il a repris les rênes du projet il y a deux ans à peine, il a très vite reconnu que l’ancienne version, proposée par le précédent bureau, était bien trop dense. C’est pourquoi, rappelle-t-il, qu’il a souhaité lancer une grande concertation avec les riverains du quartier afin que le projet s’insère au mieux dans l’environnement.
Pendant un an, l’association a alors organisé plusieurs rencontres avec les riverains. « Tout le monde était invité, même les opposants au projet », souligne Ahmed Kerboua. « On a pris en compte leurs avis et on a même modifié le projet selon leurs demandes ». Ce qu’il fallait a été fait, répond-il en substance. « C’est pour cela que nous avions espoir que les choses bougent ». Le 4 février dernier, le maire avait également convié les riverains pour parler du projet. La majorité du public a montré son soutien.
Malgré tout, quelques opposants persistent. Une pétition, aux relents racistes, avait même circulé. « Cela nous a blessés », commente Ahmed Kerboua, « on a toujours été sincère, on a montré notre volonté de travailler ensemble, d’apporter des solutions sur le stationnement. Ce qui me blesse le plus, c’est que ces personnes sont jusqu’au-boutistes ». Deux recours gracieux ont donc été envoyés à la mairie.
L’un signé par la même vingtaine de riverains, opposés depuis le départ. Et l’autre signé par plusieurs personnes, donc de nombreux n’habitant ni la rue, ni le quartier, ni le bassin annécien, mais émanant de trois associations, dont Avenir paroissial et une autre représentée par l’ancien conseiller municipal de l’opposition de droite, Emmanuel Jules. Des signatures venant de Thonon, Annemasse, Tours, Paris. Il y a même parmi les noms des opposants l’ancien vicaire de la paroisse de l’église des Fins entre 1952 et 1963, le père Jacques Fournier qui vit aujourd’hui à La Roche-sur-Foron.
Trop, c’est trop. Et les fidèles en ont assez de patienter. Et samedi 23 avril, l’association a décidé de faire un pas supplémentaire dans son projet. Elle organise une cérémonie de lancement du début des travaux de la nouvelle mosquée Émir Abd-El-Kader.
Sont invités à cet événement, qui marque donc une nouvelle étape, le maire d’Annecy mais aussi celui de Seynod (où a été transférée, dans une salle, la mosquée, ndlr), le groupe interreligieux avec qui l’association Nouvel Avenir entretient des liens forts, et un représentant du préfet. Les travaux devraient ensuite intervenir dans les prochaines semaines.
10:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Centenaire de Verdun: la ville prend la défense de Black M
Accusé par l'extrême-droite de "salir" la mémoire des poilus en invitant Black M pour le centenaire de la bataille de Verdun, le maire de la ville a pris la défense du chanteur.
La polémique continue de grandir. Invité par la municipalité de Verdun à chanter pendant les commémorations du centenaire de la bataille de 1916, le chanteur Black M est devenu la cible de toutes les critiques, notamment de la part du Front national. Les élus du parti de Marine Le Pen estiment en effet que le choix de Black M est une "insulte" aux poilus tombés à Verdun. Le maire de la ville a décidé de prendre la défense de l'artiste.
"Peiné de cette polémique"
Pour Samuel Hazard, le maire de Verdun qui accueillera les cérémonies d'hommage, la polémique est l'oeuvre "d'un parti d'extrême-droite, le Front national". Interrogé par France Bleu, l'élu explique que François Hollande souhaitait "que ces cérémonies du centenaire soient placées sous le signe de la jeunesse".
"Peiné de cette polémique", le maire précise également que ce choix s'est fait "collectivement" avec le département et la région. Selon lui, Black M est "plébiscité par les jeunes parce qu'il est un enfant de la République. Il est Français d'origine guinéenne. 80 nationalités ont combattu à Verdun, c'est une façon de rendre hommage à ces soldats coloniaux" estime l'élu.
La gronde ne faiblit pas
Malgré les explications et les justifications, nombreux sont ceux qui ne comprennent pas ce choix, et critiquent l'invitation faite à Black M en cette occasion historique. Certains reprochent ainsi au chanteur certaines paroles de chanson qu'ils estiment insultantes pour la France.
Des critiques reprises en boucle depuis quelques jours par les élus Front national qui demandent officiellement l'annulation du concert de Black M le 29 mai prochain, en présence de 4.000 adolescents français et allemands.
P.A.
10:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Centenaire de Verdun: la ville prend la défense de Black M
Accusé par l'extrême-droite de "salir" la mémoire des poilus en invitant Black M pour le centenaire de la bataille de Verdun, le maire de la ville a pris la défense du chanteur.
La polémique continue de grandir. Invité par la municipalité de Verdun à chanter pendant les commémorations du centenaire de la bataille de 1916, le chanteur Black M est devenu la cible de toutes les critiques, notamment de la part du Front national. Les élus du parti de Marine Le Pen estiment en effet que le choix de Black M est une "insulte" aux poilus tombés à Verdun. Le maire de la ville a décidé de prendre la défense de l'artiste.
"Peiné de cette polémique"
Pour Samuel Hazard, le maire de Verdun qui accueillera les cérémonies d'hommage, la polémique est l'oeuvre "d'un parti d'extrême-droite, le Front national". Interrogé par France Bleu, l'élu explique que François Hollande souhaitait "que ces cérémonies du centenaire soient placées sous le signe de la jeunesse".
"Peiné de cette polémique", le maire précise également que ce choix s'est fait "collectivement" avec le département et la région. Selon lui, Black M est "plébiscité par les jeunes parce qu'il est un enfant de la République. Il est Français d'origine guinéenne. 80 nationalités ont combattu à Verdun, c'est une façon de rendre hommage à ces soldats coloniaux" estime l'élu.
La gronde ne faiblit pas
Malgré les explications et les justifications, nombreux sont ceux qui ne comprennent pas ce choix, et critiquent l'invitation faite à Black M en cette occasion historique. Certains reprochent ainsi au chanteur certaines paroles de chanson qu'ils estiment insultantes pour la France.
Des critiques reprises en boucle depuis quelques jours par les élus Front national qui demandent officiellement l'annulation du concert de Black M le 29 mai prochain, en présence de 4.000 adolescents français et allemands.
P.A.
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jeudi, 12 mai 2016
Allemagne : le ministre de la justice interrompu et conspué jusqu’à sa voiture
Heiko Maas, le ministre fédéral allemand de la Justice, a été incapable de terminer son discours de célébration de la journée du travail le 1er mai dernier à Zwickau en Saxe dans l’est de l’Allemagne. Il a été bruyamment interrompu, hué et chassé hors de la scène par le peuple allemand en colère qui lui reproche ses positions pro-immigrationnistes forcenées. La foule le traitait de « traître ! », de « rat gauchiste ! », scandant encore « nous sommes le peuple » et « Maas doit dégager ! », « dehors ! ». Le ministre a été ainsi contraint d’annuler son discours et de fuir vers son véhicule blindé escorté par son armée de gardes du corps le protégeant du peuple allemand.
Maas est considéré comme l’un des plus grands partisans de l’extension des lois de restriction de la liberté d’expression. Il s’est déclaré favorable aux persécutions, aux amendes et à la prison pour tout propos prétendument « haineux » sur les médias sociaux.
Il a également déclaré ne pas reconnaître l’existence du peuple allemand, affirmant avec le soutien de son parti le SPD que l’Europe a toujours été composée d’immigrants et que la seule chance de rédemption de l’Allemagne pour sa culpabilité éternelle dans les événements de la seconde guerre mondiale est de faire venir le plus grand nombre d’immigrés musulmans possible…
Ce n’est pas la première fois que les institutions sont contestées dans cette partie orientale de l’Allemagne à cause de la politique migratoire. Un épisode semblable s’est produit à Heidenau en Saxe, quand la chancelière Merkel s’y était rendue pour condamner les actes de violence ciblant les centres d’accueil…
Pierre Olivier
20:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Allemagne : le ministre de la justice interrompu et conspué jusqu’à sa voiture
Heiko Maas, le ministre fédéral allemand de la Justice, a été incapable de terminer son discours de célébration de la journée du travail le 1er mai dernier à Zwickau en Saxe dans l’est de l’Allemagne. Il a été bruyamment interrompu, hué et chassé hors de la scène par le peuple allemand en colère qui lui reproche ses positions pro-immigrationnistes forcenées. La foule le traitait de « traître ! », de « rat gauchiste ! », scandant encore « nous sommes le peuple » et « Maas doit dégager ! », « dehors ! ». Le ministre a été ainsi contraint d’annuler son discours et de fuir vers son véhicule blindé escorté par son armée de gardes du corps le protégeant du peuple allemand.
Maas est considéré comme l’un des plus grands partisans de l’extension des lois de restriction de la liberté d’expression. Il s’est déclaré favorable aux persécutions, aux amendes et à la prison pour tout propos prétendument « haineux » sur les médias sociaux.
Il a également déclaré ne pas reconnaître l’existence du peuple allemand, affirmant avec le soutien de son parti le SPD que l’Europe a toujours été composée d’immigrants et que la seule chance de rédemption de l’Allemagne pour sa culpabilité éternelle dans les événements de la seconde guerre mondiale est de faire venir le plus grand nombre d’immigrés musulmans possible…
Ce n’est pas la première fois que les institutions sont contestées dans cette partie orientale de l’Allemagne à cause de la politique migratoire. Un épisode semblable s’est produit à Heidenau en Saxe, quand la chancelière Merkel s’y était rendue pour condamner les actes de violence ciblant les centres d’accueil…
Pierre Olivier
20:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Royaume-Uni : premier acte du nouveau maire, aller au Mémorial de l’Holocauste
Sadiq Khan, le nouveau maire de Londres, élu avec 57 % et devenu ainsi le premier édile musulman d’une grande capitale européenne, a prêté serment samedi matin. Ce musulman qui se dit partisan du multiculturalisme, a eu l’outrecuidance d’organiser sa prestation de serment dans la cathédrale de Southwark, comme pour bien signifier la victoire de la colonisation rampante, du changement de population et de culture qui s’opère à Londres. Ainsi ce bâtiment gothique le plus ancien de Londres, aura du supporter le discours de Sadiq Khan dans lequel il s’est proclamé « le représentant de toutes les communautés » et a promis de « faire en sorte que tous les Londoniens puissent bénéficier des opportunités que la ville offre » (comprendre évidemment les pseudo-londoniens qui ont fait son élection notamment les 37 % d’origine étrangère).
Mais des accointances de Sadiq Khan avec le fondamentalisme islamique avaient aussi été dénoncées pendant la compagne et ses premiers mots à la tribune trahissaient quand même une certaine satisfaction de prendre le pouvoir à Londres au nom de l’islam : « Je suis Sadiq Khan, et je suis maire de Londres ! ».
On se rassure à Tel Aviv et à la City en apprenant que la première sortie publique de Sadiq Khan a été pour assister à une cérémonie du souvenir au Mémorial de l’holocauste du Royaume-Uni, samedi après-midi, aux côtés du Grand Rabbin « britannique » Ephraim Mirvis…
Les préséances sont respectées…
Pierre Olivier
20:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Royaume-Uni : le bikini banni de trois plages anglaises
Les dirigeants de l’office du tourisme de Southend-on-Sea sur la côte est de l’Angleterre ont annoncé que le bikini sera interdit sur trois plages du front de mer. Ces « zones pudiques de baignade », comme ils les nomment, seront mises en place pour attirer les touristes de tout le Royaume-Uni, qui pour des raisons d’ordre culturel ou religieux, pourraient être offensés à la vue d’une « anatomie féminine trop visible ». Comme justification de cette capitulation face aux revendications islamistes, Diane Verss, qui dirige le groupe de travail pour l’intégration et l’égalité à l’office de tourisme, déclare que « 500 personnes de l’est et du nord de Londres ont été interrogées sur leur volonté de se rendre à la plage de Southend et 37 % auraient répondu qu’elles préféraient Brighton ou Eastbourne afin de ne pas être exposées à la vue de femmes de l’Essex trop dévêtues ».
On apprend avec effarement que des voix de militantes de leurs « droits de l’homme » sont venues critiquer le projet, non pas au nom du libre accès aux plages publiques ou du refus d’assouvir des revendications islamistes mais, au contraire, au nom du risque de mettre à l’écart les frustrés islamiques et de les ghettoïser sur 3 plages…
À quand le « burkini » obligatoire comme en Arabie saoudite ?
Pierre Olivier
19:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Marseille : un jeune homme tué par balle dans le centre-ville
Un jeune homme d'une vingtaine d'années a été tué par balles ce jeudi matin à Marseille (Bouches-dur-Rhône). La victime aurait été touchée mortellement de plusieurs projectiles dans une fusillade survenue vers 6 heures du matin boulevard National, non loin de la gare Saint-Charles, rapporte le journal La Provence.
«Un homme a été mortellement blessé par balles alors qu'il regagnait avec sa concubine un véhicule en stationnement», a expliqué une source judiciaire. «Deux hommes sont arrivés et ont fait feu dans sa direction, au niveau de la bouche de métro de la station National», a poursuivi cette source. Malgré les soins prodigués sur place par les marins-pompiers, la victime n'a pas pu être réanimée.
Le 2 avril dernier, trois hommes avaient été tués par balles vers 22 h 30 au cours d'une fusillade dans la cité Bassens des quartiers nord de la ville. Trois individus avaient été également légèrement blessés. Suite à ce drame, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait réaffirmé «la détermination absolue du gouvernement à éradiquer la criminalité organisée, alors qu'une fusillade a provoqué le décès de trois personnes». «La République rattrapera et jugera les auteurs de ces crimes», avait précisé le ministre dans son communiqué.
Douze morts depuis début 2016 dans l'agglomération
La justice et la police élucident régulièrement ces règlements de compte. Mi-avril, dix personnes ont été mises en examen et écrouées dans le cadre d'une enquête sur plusieurs homicides et tentatives, liés à la rivalité entre deux clans pour le contrôle de trafics de stupéfiants dans des cités du 13e arrondissement.
Cette fusillade porte à douze le nombre de morts dans l'agglomération, dont dix à Marseille, survenus depuis le début de l'année, la plupart de ces homicides étant considérés comme des règlements de comptes liés au trafic de drogue. Dans l'ensemble du département des Bouches-du-Rhône, 22 règlements de comptes avaient été déplorés en 2013, 26 en 2014 et 21 en 2015, provoquant la mort de 17 personnes en 2013, 18 en 2014 et 19 en 2015.
V.F.
09:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Syrie : Palmyre encerclée par Daech
A peine libérée, déjà menacée. Alors que la ville syrienne de Palmyre a été reprise fin mars au groupe de l'Etat islamique (EI) et qu'un concert y a même été organisé la semaine dernière dans les ruines de son théâtre antique, elle se retrouve ce jeudi sous la pression de Daech, acronyme arabe de l'EI.
Daech est parvenu mardi «à couper la route entre Homs et Palmyre près de l'aéroport militaire de Tiyas après une attaque lancée à partir de l'Est de Homs», selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une organisation non gouvernementale (ONG). Homs et Palmyre, cité antique inscrite par l'Unesco (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture) au patrimoine mondial de l'humanité, sont contrôlées par le régime du président syrien Bachar al-Assad.
La coupure de cette route représente l'attaque la plus importante de l'EI depuis la reconquête de Palmyre par le régime avec l'appui de l'aviation russe, a déclaré le directeur de l'OSDHH, Rami Abdel Rahmane, faisant état de «violents combats» entre régime et EI. Le groupe djihadiste «encercle Palmyre de tous les côtés sauf au Sud-Ouest», selon lui. Ses combattants sont positionnés à 40 km à l'ouest de la ville, à 25 km à l'est, à 10 km au nord et à 12 km au sud. Ses combattants sont positionnés à 40 km à l'Ouest de la ville, à 25 km à l'Est, à 10 km au Nord et à 12 km au Sud. La route coupée est une «route principale», mais pas la seule entre Homs et Palmyre, a-t-il précisé.
Toujours dans la même région, l'aviation du régime a bombardé les positions de l'EI autour du champ gazier de Chaer, au Nord-Ouest de Palmyre, capturé la semaine dernière par les djihadistes, selon une source militaire. Dans la province de Homs, un soldat russe a succombé à ses blessures infligées il y a deux jours par des tirs de rebelles, selon l'armée russe.
La guerre est devenue extrêmement mouvante dans le désert syrien où l'EI mène une tactique de harcèlement contre l'armée en attaquant ses points faibles puis en se retirant lorsque le régime contre-attaque, pour lui infliger des pertes ailleurs. Le conflit sera au centre d'une nouvelle réunion le 17 mai, à Vienne (Autriche), du Groupe international de soutien à la Syrie (GISS), coprésidé par la Russie et les Etats-Unis, qui se sont engagés à «redoubler d'efforts» pour aboutir à un règlement politique.
08:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nantes : un collège catholique vandalisé deux fois en deux semaines
Deux bureaux vandalisés fin avril 2016. Six salles de classe vandalisées au cours du dernier week-end (7-8 mai). Le collège privé catholique sous contrat Notre-Dame-de-l’Abbaye, s’interroge sur les raisons de ces actes de vandalisme à répétition, qui ne semblent pas d’origine interne…
Au cœur d’un domaine de 15 000 m², le collège Notre-Dame de l’Abbaye reste, avec ses 150 élèves, un établissement discret du quartier Chantenay, à Nantes. Ce qui ne l’empêche pas, depuis quinze jours, d’être la cible de vandalismes.Il y a deux semaines, deux bureaux, dont celui du directeur adjoint, avaient été visités et dégradés. Une faible somme d’argent avait été dérobée. Bis repetita le week-end dernier : portes arrachées, tiroirs fouillés, tableaux arrachés, peinture projetée… Un vidéoprojecteur a été cette fois-ci été volé. « Six salles de classe ont été vandalisées », expose Jean-Philippe Thoiry, le chef d’établissement. Celles qui abritaient les cours d’arts plastiques, musique, technologie et les locaux du CDI sont concernées. Dans les laboratoires de physique et des sciences de la vie et de la terre (SVT), un robinet a été ouvert, provoquant une inondation. « L’eau s’est mélangée à des produits et à de la poudre utilisés pour les cours. Par précaution, nous avons décidé de ne pas nettoyer nous-mêmes », détaille le chef d’établissement. Une entreprise spécialisée doit intervenir dans la semaine. « Dans notre malheur, nous avons de la chance, les cours ne sont que peu perturbés, poursuit Jean-Philippe Thoiry. Les salles visitées sont fermées. On utilise d’autres classes. » Le personnel du collège et les élèves sont selon le directeur « très affectés. C’est à leur outil de travail que l’on touche ». Ces actes, le chef d’établissement ne se les explique pas. « Nous n’avons pas eu de relations conflictuelles avec des élèves ces derniers mois, il n’y a pas eu de conseils de discipline… Je ne comprends pas. » Jean-Philippe Thoiry va porter plainte dans la semaine.
08:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pakistan : un garçonnet chrétien de 2 ans tué par un musulman
C’est une histoire abominable mais très révélatrice du statut ou plutôt de l’absence de statut de tant de misérables chrétiens au Pakistan, dont la vie n’a aucune espèce de valeur pour nombre de leurs concitoyens musulmans.
Un riche propriétaire terrien musulman, qui a de nombreux chrétiens à son service, expression de strates sociales pauvres et défavorisées, a tué un garçonnet chrétien de deux ans et demi. Ainsi que l’a appris Fides, le jeune Ayaan a été tué le 3 mai dernier dans le district (chrétien) de Nazimabad, à Faisalabad. Sa famille a été contactée par l’organisation The Voice, qui s’occupe de la protection légale et de l’assistance aux minorités, laquelle a déposé plainte auprès des autorités de police. L’homicide, Haji Rasheed, avait conclu un accord avec Samsoon Masih, ouvrier chrétien père d’Ayaan, afin de repeindre son habitation. Samsoon Masih, qui était sur le point de finir le travail, a demandé la somme convenue pour ce dernier mais le paiement lui a été refusé. Après la controverse, Samsoon Masih a déclaré qu’il n’irait plus travailler chez Haji Rasheed. Ce dernier, en compagnie de son fils Bahsrat, a fait irruption au domicile du chrétien, commençant à ouvrir le feu à l’aveuglette. Samsoon Masih et son père, Ishaq Masih, ont été blessés alors que le plus jeune des enfants, Ayaan, atteint d’une balle à la tête, est mort sur le coup. Suite au dépôt de plainte, les deux musulmans ont été arrêtés par la police qui a ouvert une enquête. Me Aneeqa Maria Anthony, avocate et coordinatrice de The Voice, commente ainsi la situation à Fides : « Nous sommes effondrés : un enfant innocent tué à deux ans et demi à cause d’un contrat mesquin portant sur la peinture d’une maison. C’est inhumain. Le gouvernement pakistanais devrait aider à développer au sein de la société un sens de la patience et de l’égalité. Les musulmans ne devraient pas considérer les membres d’autres religions comme des insectes ou des animaux qu’il est possible de tuer impunément. Nous ferons de notre mieux pour obtenir justice ».
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Centenaire de Verdun : nous ne laisserons pas nos morts être déshonorés !
Pas un jour ne passe sans que notre patrimoine commun ne soit attaqué frontalement par les mémoricides. Hier, ils changeaient les programmes d’enseignement de l’histoire, les expurgeant de ses pages les plus glorieuses. Avant-hier, ils niaient les racines chrétiennes de l’Europe. Aujourd’hui, ils déshonorent le souvenir des poilus de Verdun, en organisant le concert du rappeur Black M pour les commémorations du centenaire de cet épisode dramatique de notre passé.
Ils entendent remplacer les mythes héroïques qui animent notre inconscient collectif par l’utopie mortifère du festivisme multiculturel. Certains penseront peut-être que ce nouvel affront n’est qu’anecdotique en comparaison du lent déclin que nous vivons. Ils auront tort. Le cas est hautement symbolique. Mais, plus encore, dangereux. Quand François Hollande, et ses équipes, déshonorent nos morts, ils déshéritent nos enfants. Dénaturer ainsi la réalité de la Première Guerre mondiale est une preuve de soumission à l’égard de l’infraculture, de la débilité généralisée.
Il est hautement révélateur que les instances nationales soient obligées de mélanger le rap des quartiers dits « populaires » à l’histoire millénaire du peuple de France. Ils souhaitent, en premier lieu, faire croire à la population qu’il n’y a pas de rupture entre la France historique et la France contemporaine. Le second objectif est plus pernicieux : intéresser une frange de la jeunesse qui, autrement, n’aurait même pas su ce qu’était la bataille de Verdun. Ils se trompent lourdement. De la sorte, ils n’attireront que le mépris des uns et la haine des autres.
Comment qualifier un tel choix ? Démagogie ? Non, c’est bien plus que cela, il s’agit tout simplement d’une trahison. Les gens qui nous gouvernent ne sont que des traîtres. Ni plus, ni moins. Ils se fichent complètement de la France, de son peuple, de sa culture, de sa tradition. Le pays pourrait bien disparaître dans le néant, s’africaniser complètement qu’ils continueraient à fermer les yeux. Pis : ils l’encourageraient. C’est d’ailleurs ce qu’ils font présentement.
Les plus de 160.000 « kouffars », selon le mot de Black M, morts au combat à Verdun doivent se retourner dans leur tombe. S’ils avaient su qu’ils se battaient pour que la France devienne ce qu’elle est aujourd’hui, ils auraient probablement rangé les fusils. François Hollande nous indique que ces jeunes ouvriers, paysans et bourgeois du vieux pays de France sont morts en vain. La France est aujourd’hui gouvernée économiquement par l’Allemagne, et envahie par des civilisations étrangères. Les poilus criaient « On ne passe pas ! » pour défendre les frontières de l’Hexagone, désormais ouvertes aux quatre vents.
Mobilisons-nous partout. Ce concert ne doit pas avoir lieu, il doit être déprogrammé. Montrons que nous sommes dignes de nos ancêtres. Une fois notre honneur perdu, il ne nous restera plus rien.
Gabriel Robin
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Yannick Moreau : 500.000 travailleurs détachés en France : vive la concurrence déloyale !
Yannick Moreau, député de Vendée, est le porte-parole du collectif Franc-Parler, qui propose aujourd’hui un amendement Molière à la loi Travail. Cet amendement vise à imposer aux travailleurs détachés de parler français. Explications.
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Être islamiste, c’est avoir une motivation « politique » ou être cinglé !
Avec France 3, pas de surprise, il y a toujours une part de politiquement correct. Le journal du 12/13 heures du 10 mai n’a pas failli à sa tradition…
Un reportage était consacré à l’attaque, en Allemagne, de voyageurs par un homme armé d’un couteau :
Un mort et trois blessés. Un homme a poignardé, mardi 10 mai à l’aube, des passants dans la gare de Grafing, une petite ville située à une trentaine de kilomètres au sud-est de Munich (Bavière, Allemagne). L’agresseur, un Allemand de 27 ans, a été arrêté. « Il a fait des déclarations sur place qui renvoient à une motivation politique, a priori islamiste », a expliqué le parquet. Des témoins, cités par des médias locaux, racontent en effet que l’agresseur a crié « Allahou akbar » (« Allah est le plus grand »). Mais cette hypothèse n’est pas la seule. Selon le correspondant en Allemagne de France 2, Amaury Guibert, des médias allemands rapportent que l’homme qui a attaqué au couteau des voyageurs en gare de Grafing était suivi en psychiatrie et se droguait.
Il y a deux actes de pure désinformation dans ce reportage…
Le premier : « Une motivation politique, a priori islamiste. » J’ignorais qu’une motivation islamiste relevait du domaine politique, pensant naïvement qu’elle était du domaine du religieux… Pourquoi cette omission ? Car, en évoquant le religieux, ils se trouvaient dans l’obligation de mentionner le mot islam… Or, ce mot est tabou en Europe. Rappelez-vous notre Président bien aimé qui parle, lors des attentats, de terrorisme sans mentionner l’islamisme.
Le deuxième a déjà beaucoup servi dans notre pays pour cacher l’intention confessionnelle : « L’homme était suivi par un psychiatre. » Vous ne pouvez pas avoir oublié l’attentat de Saint-Quentin-Fallavier, lorsqu’un terroriste islamiste, Yassin Salhi, avait voulu perpétrer le 26 juin 2015 un attentat dans une usine de production de gaz industriel. Ce jour-là, il avait fait monter son employeur dans sa camionnette, l’avait assommé d’un coup de cric puis, après l’avoir étranglé d’une seule main, selon ses dires, il l’avait tranquillement décapité en arrivant à l’usine d’Air Product. Puis, toujours aussi tranquillement, il avait posé la tête de sa victime sur la clôture du bâtiment à coté d’un drapeau de Daech.
Dans ce cas comme dans de nombreux autres, les données psychiatriques furent privilégiées. Le professeur Daniel Zagury, expert psychiatre, exposa : « Son geste est celui d’un timoré, d’un employé solitaire, susceptible et peu assuré, qui a accumulé les tensions et se sent humilié par ses supérieurs… C’est une explosivité émotionnelle qui s’est brutalement manifestée. » Circulez, il n’y a rien à voir ! Six mois plus tard, Yassin se suicidait en prison.
Il sera important d’étudier, dans les prochains jours, comment va évoluer l’affaire en Bavière, mais il ne serait pas étonnant que le « surmenage » de l’agresseur soit, pour le parquet allemand, l’élément déclencheur de ces attaques. Et s’il était impossible de mettre sur le compte de la démence l’acte lui-même, il resterait la solution, pour le gouvernement allemand, de la prise de drogue, un moyen, là aussi, de minimiser son statut de musulman. « Allahou akbar » reviendrait alors à exprimer un mal-être, une addiction à la drogue ou un banal mobile politique.
Merci à France 3 ! Grâce à cette chaîne, je réalise que l’horrible extermination des Arméniens par les Turcs n’était qu’une simple action politique.
J.-P. Fabre Bernadac
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Colonel Xavier Pierson : « Si la France est un pays de mécréants, qu’il aille chanter ailleurs ! »
Le colonel Xavier Pierson a été directeur du Mémorial de Verdun de 2005 à 2015. Il réagit au choix du rappeur Black M – qui, dans un de ses textes, traite la France de « pays de kouffars (mécréants) » – pour chanter à la commémoration de la bataille de Verdun.
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Mantes-la-Jolie : la police enquête sur la future mosquée du Val-Fourré
Une lettre anonyme adressée au procureur de Versailles pourrait agiter le Val-Fourré à Mantes-la-Jolie. Ce jeudi, des responsables de l’association musulmane Othmane sont convoqués à la brigade financière de la PJ de Versailles.
Les enquêteurs travaillent sur de possibles malversations au sein de l’association, qui gère la construction de cette imposante mosquée située dans la cité sensible. Selon plusieurs sources policières, c’est un courrier anonyme qui a permis de déclencher l’ouverture d’une enquête. Les investigations ont été confiées à la police judiciaire en raison de la complexité de ce sujet très sensible.
Avec une capacité estimée de 4 000 à 5 000 fidèles, la mosquée Othmane sera, à terme, l’une des plus grandes de France. Mais son chantier traîne en longueur depuis des années ce qui a fini par exaspérer les musulmans et les élus de Mantes-la-Jolie, conscients du caractère explosif du dossier.
Et rapidement, aux interrogations sur l’inertie du chantier, a succédé une certaine suspicion quant à l’utilisation des millions d’euros de dons des fidèles. C’est ce point précis qui intéresse les enquêteurs. Ces derniers mois, le Maroc a fini par se mêler à l’affaire, proposant de racheter la mosquée afin d’accélérer les travaux. En contrepartie, le royaume souhaiterait récupérer l’association Othmane. Une situation qui suscite, depuis, de très vives tensions au sein même de l’association. Des empoignades physiques et verbales qui ont entraîné plusieurs signalements aux autorités. Et peut-être l’envoi de ce fameux courrier…
Mehdi Gherdane
06:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ecquevilly : la mosquée, sous surveillance depuis des années, perquisitionnée
« Au fil des ans cette mosquée est devenue une vitrine salafiste au niveau régional. On est passé d’une petite salle de prière à un hub salafiste dans l’ouest parisien. » Selon un musulman qui connaît bien le dossier, c’est bien sa supposée orientation salafiste qui est à l’origine de la perquisition administrative de la mosquée Malik Ibn Anas d’Ecquevilly qui a eu lieu mardi soir.
En effet, la mosquée Tariq Ibn Ziyad des Mureaux et le siège de l’association musulmane El Feth de Mantes-la-Ville ont été également perquisitionnés ces derniers mois.
Contactés les représentants de la mosquée n’ont pas donné suite à nos demandes et la préfecture n’a pas souhaité s’exprimer sur le résultat de ces perquisitions.
Hendrik Delaire
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Manifestation anti-migrants à Calais: le général Piquemal jugé jeudi à Boulogne-sur-Mer
Le général en retraite Christian Piquemal, qui avait été interpellé après avoir bravé le 6 février l’interdiction par les autorités d’un rassemblement hostile aux migrants organisé par l’extrême droite à Calais, sera jugé jeudi à Boulogne-sur-Mer.
Agé de 75 ans, l’ancien grand patron de la Légion étrangère de 1994 à 1999 est poursuivi pour «organisation d’une manifestation interdite sur la voie publique» et «participation sans arme à un attroupement qui ne s’est pas dissout après sommation de se disperser».
Les deux délits sont passibles de, respectivement, six mois de prison et 7.500 euros d’amende et un an de prison et 15.000 euros d’amende.
Organisé à l’appel du mouvement islamophobe Pegida, le rassemblement avait attiré une centaine de personnes, qui avaient scandé des slogans tels que «on est chez nous!» ou «migrants dehors!». Après plusieurs appels à la dispersion, les gendarmes avaient chargé les manifestants. Vingt personnes avaient été interpellées.
De source judiciaire, l’ancien militaire, qui comparaîtra libre, est considéré comme «l’organisateur de fait» et le «leader» de la manifestation. Pour son avocat Me Dominique Mattéi, si «M. Piquemal a bien participé à la manifestation», il est «évident» qu’il n’en est «pas l’organisateur». «Pour le condamner là-dessus, il faudra le prouver et on ne pourra pas se réfugier derrière sa prétendue notoriété», a-t-il dit à l’AFP.
L’arrestation de l’ex-militaire avait suscité de nombreuses réactions venues principalement de l’extrême droite. «Un grand serviteur de la France traité plus durement qu’un délinquant: une cruelle preuve de l’inversion totale des valeurs», avait notamment écrit la présidente du Front National Marine Le Pen sur son compte Twitter.
Quelques jours après son interpellation, une manifestation de soutien organisée par les milieux d’extrême droite, également interdite, avait été organisée et s’était soldée par quatre interpellations.
Dans un communiqué, l’ex-militaire, s’est dit «ému et touché» par «les nombreuses marques de sympathie» qu’il a reçues depuis son arrestation. «Aussi sensible que je puisse être à ces témoignages de soutien (...) je dois rappeler que je me présenterai à cette audience en ma qualité de +simple citoyen+», a-t-il écrit.
M. Piquemal devait initialement être jugé en comparution immédiate le 8 février, mais son procès avait été reporté en raison d’un état de santé «incompatible avec une comparution immédiate», selon le parquet.
Sur Facebook, quelque 300 personnes ont déjà prévu de participer à un événement intitulé «mobilisation le 12 mai en soutien au général Piquemal» devant le Palais de justice de Boulogne-sur-Mer, créé par David van Hemelryck, le meneur du collectif «Hollande démission».
06:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Melun : projection-débat du film sur l’immigration maghrébine
Venez assister ce jeudi soir à la projection du documentaire « Les marcheurs, chronique des années beurs », de Samia Chala, qui animera ensuite un débat avec le public autour de ce mouvement collectif, « la marche pour l’égalité », constitué pour beaucoup des enfants issus de la 1re vague d’immigration maghrébine.
Une initiative du service démocratie de proximité et vie associative de Melun, dans le cadre des Cinés-débats (après « Mémoire d’immigrés » diffusé le 21 avril dernier).
Ce jeudi à 19 heures au Conservatoire des Deux Muses, avenue Pompidou à Melun. Réservations au 01.64.52.95.67. ou sur democratieproximite@ville-melun.fr
06:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Metz : les propos de l’imam sèment le trouble au Printemps des religions
Président du conseil régional du culte musulman, l’imam Amine Nejdi était l’un des six invités du Printemps des religions à Metz. Les Profanes, opposés à ce débat, ont diffusé certaines de ses déclarations ultraconservatrices.
« La pornographie favorise directement ou indirectement la recrudescence des divorces, l’augmentation de l’homosexualité, de la bisexualité, de la sodomie, de la prostitution, du sida. » Ces propos sont tirés d’un article sur l’érotisation de la société, issu du site alwassam, nourri par des proches de la mosquée de Tomblaine. Amine Nejdi en est l’imam. Il est aussi président du conseil régional du culte musulman de Lorraine depuis 2003. Dans une autre citation, il rappelle « la prééminence masculine » sur la femme.
Ils ont été relayés dès lundi soir par Vincent Morel, au nom des Profanes, à la veille du second Printemps des religions organisé par la préfecture de Moselle à l’hôtel de ville de Metz. Mardi après-midi, ils avaient fait le tour des réseaux et enflammé la blogosphère. Pour Vincent Borel, il s’agissait de protester contre l’invitation de l’imam par l’État.
• ET LES JEDIS ? — Il a d’ailleurs diffusé, dans son communiqué, d’autres citations ultraconservatrices du même tonneau, de responsables d’autres religions, pour ne pas prêter le flanc à une critique envers l’islam. Dans la foulée, un groupe de Profanes a manifesté gentiment devant l’hôtel de ville de Metz, pour rappeler l’État à son devoir de neutralité. Les mêmes, déguisés en Jedis, ont rappelé l’existence de leur Ordre, inspiré de Starwars, pour protester contre les critères de choix des invités. « Pourquoi, dans ce débat, aucun athée, aucune femme, aucun agnostique ? »
• QUI D’AUTRE ? — Dans le Grand Salon, la polémique autour de l’imam a fait chou blanc. Certains élus messins sont montés au créneau. Les proches du maire et le préfet ont promis de vérifier les sources des Profanes. « Si nous ne l’avions pas invité, il y aurait eu un malaise » , confie un proche du maire.
Amine Nejdi, lui, répond d’abord par une pirouette. « C’est un texte d’une rédactrice, il y a huit ans, remis à jour en 2012, inspiré d’un livre de Jean-Claude Guillebaud. » Il finit par en assumer la responsabilité. « Il y a écrit "directement ou indirectement". Les sources de l’homosexualité sont multifactorielles… »
• ET LA FRATERNITÉ ? — Avant de trouver une meilleure défense : « Cela fait vingt-huit ans que je suis sur le terrain, vingt ans que je fais des vidéos… » sans que personne n’ait, jusque-là, trouvé à redire. « Il faut distinguer ce genre de déclaration et l’homophobie, qui est de l’intolérance. J’ai des fidèles homosexuels, je n’ai aucun jugement de valeur à porter sur eux. » Il invite les Profanes à en discuter autour d’un thé, dans sa mosquée, près de Nancy.
Et le Printemps des religions dans tout ça ? La fraternité, le thème de 2016, n’a pas fait le plein. L’évêque de Metz, le doyen des prêtres orthodoxes de l’Est, un pasteur parisien, le grand rabbin de Moselle, un moine bouddhiste et… l’imam ont parlé durant deux heures devant une petite centaine de personnes.
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mercredi, 11 mai 2016
Autisme, Dogmes, Mensonges & Utopies !
Durant des décennies, le Royaume-Uni avec l’IRA et l’Espagne avec l’ETA ont connu un terrorisme ayant pour obectif essentiel l’avènement d’Etats indépendants.
Si les attentats commis par ces deux organisations avaient pour cibles des objectifs militaires dans leur grande majorité, nombreux furent les civils, victimes innocentes de tueries ou d’explosions aveugles dont le but était de mettre en péril les institutions des états.
La France a été confrontée elle aussi à d’innombrables attentats durant la période 1956-1963 lors de la guerre d’Algérie et ensuite 30 ans plus tard à ceux commis par le FIS et le GIA.
On ne peut donc pas prétendre que ces Etats et leurs gouvernements successifs ignorent les causes et les conséquences du terrorisme, d’autant plus que les services de renseignements, de l’armée et de la police avaient été mobilisés de longues années contre ce fléau. En outre, et depuis longtemps, différents systèmes de protection et de sécurité ont été installés dans le domaine public.
Tout ceci n’a pas empêché les attentats de Madrid à la gare Atocha en 2004, ni ceux du métro de Londres en 2005, capitale qui comptait plusieurs dizaines de milliers de caméras.
Le mensonge et la crédulité s’accouplent pour former l’opinion
Alors, malgré ces mesures prétendues « sécuritaires », la France a vécu les assassinats de Mohammed Merah en 2012, puis à Bruxelles ce fut la tuerie du musée juif par Medhi Nemmouche en juillet 2014, ensuite le massacre de Charlie Hebdo à Paris en janvier 2015, suivi de différents assassinats en province, pour aboutir au vendredi « noir » 13 novembre 2015 à Paris qui totalisa 130 victimes et des centaines de blessés.
Pourtant, des dizaines de milliers de policiers, CRS et militaires étaient mobilisés par les plans « Vigipirate » et « Sentinelle », sans compter les milliers de vigiles chargés de fouiller les sacs et colis suspects. Et que dire de la multitude de caméras installées partout entre 2005 et 2015 ? Tout ça pour ça ?
Le point d’orgue de cette succession macabre fut atteint le 22 mars 2016 à Bruxelles avec les attentats à l’aéroport et dans le métro : 35 morts et plus de 300 blessés, dont 25 sont toujours en soins « intensifs ».
Mais comment expliquer cette litanie de massacres d’innocents civils, alors même que ni l’armée ni la police présentent en tous lieux n’ont pu empêcher ceux-ci ?
A quoi servent toutes ces caméras, yeux virtuels de Big Brother ?
Quel fut le rôle des services de renseignements et d’espionnage ? Où est donc resté le principe de « précaution » ?
A posteriori, on pourrait dire : « Police partout, sécurité nulle part ! » et un observateur attentif de l’évolution de la délinquance et de la criminalité de conclure : « la Justice baisse les bras, la Police ferme les yeux… »
Niqabs, burqas, qamis et tutti quanti
On remarquera que les assassinats, les tueries et les attentats commis ces dernières années en Espagne, au Royaume-Uni, en France et en Belgique (où 23 suspects sont encore dans la nature) ont été revendiqués au nom de « Allah le Tout-Puissant ».
Pas de revendication pour l’indépendance de la Catalogne, de l’Ecosse, de la Bretagne ou de la Flandre….
Ces massacres sont destinés à répandre la terreur parmi les populations décadentes, afin qu’elles fassent pression sur leurs gouvernements respectifs pour faire cesser les actes hostiles et les campagnes militaires en terre d’ISLAM.
Et la réponse à ces attentats, des ministres qui nous gouvernent, se résume à des marches imbéciles au nom de « Charlie », à des attroupements de moutons en larmes, aux dépôts de gerbes répétitives, à des manifestations graphiques et à l’implantation de milliers de bougies (face au temple bruxellois du capitalisme apatride)….. Toutes sortes d’expressions de peuples en déclin, soumis et incapables de sursaut, car décérébrés et manipulés par un Pouvoir impotent et incompétent.
Une nation qui se respecte, venge ses morts et ne pleurniche pas !
On ne fait pas la guerre en dentelle, ni avec des Kleenex
Cela fait déjà de nombreuses années que des criminologues et des experts du terrorisme rédigent des notes de synthèse à l’usage des ministres et des administrations en charge de la sécurité publique. Des milliers de rapports ont été transmis depuis les attentats du RER en 1995. Différents diagnostics ont été établis. Des décèlements précoces et des « modus operandi » ont été proposés.
Malgré tous ces avertissements, les Pouvoirs (de droite ou de gôche) n’en ont pas tenu compte, ont opéré des bouleversements dans les services concernés, ont multiplié les strates administratives et opérationnelles au point d’en arriver –en France comme en Belgique- à un véritable mille-feuille pour ce qui concerne la sécurité intérieure, impliquant des dizaines de hauts responsables pour chaque réunion majeure.
Et ces politiciens abrutis voudraient maintenant créer un organe regroupant l’ensemble des 28 pays d’Europe, ce qui pour un Etat-Major ayant « déclaré la guerre à DAESH », reviendrait à convoquer des centaines de participants pour chacune de leurs palabres ! Les djihadistes doivent en pleurer de rire.
Ces pourriticards n’ont pas pu, pas su ou pas voulu anticiper, prévenir et déjouer ces massacres, dont le sang tache leur conscience. Leur suffisance n’égale que leur impéritie.
Les terroristes ont de beaux jours devant eux, d’autant plus que la majorité des chefs d’Etats et de gouvernements européens évoluent encore dans leur bulle droits-de-l’hommiste, persuadés que les chimères multiculturelles de la société du « Vivrensemble » et du « Padamalgam » sont l’alpha et l’oméga de notre société ! Totalement déconnectés de la réalité, ces éminences qui nous dirigent nous conduisent vers le chaos et un choc sanglant de civilisations.
Il est grand temps de porter le fer et le feu dans les tanières de l’Islam des wahhabites et des takfiristes, de rétablir l’ordre public dans les Zones de Sécurité Prioritaires et de stopper l’immigration/invasion.
Il n’est pas trop tard pour modifier une législation inadaptée à l’état de guerre et de réinstaurer une Cour de Sûreté de l’Etat.
Il est urgent de réactiver des services de contre-terrorisme et de rétablir la peine de mort.
Sinon, on n’en terminera pas avec le cancer islamiste qui propage ses métastases de plus en plus mortelles au fil du temps qui passe.
La mort pour les assassins. La vie pour les innocents !
Pieter Kerstens
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Un record de 40 millions de personnes déplacées par la guerre dans le monde
Un record de 40 millions de personnes étaient déplacées en 2015 dans le monde à cause de la guerre, dont plus de la moitié en Syrie, Yémen et Irak, selon un rapport publié mercredi. En 2015, il y a eu 8,6 millions de nouveaux déplacés en raison de conflits armés, dont 4,8 millions au Moyen Orient et en Afrique du Nord, pour atteindre un total de 40,8 millions, indique l’Observatoire des situations de déplacement interne (IDMC).
« Ce chiffre est le plus élevé jamais enregistré et représente le double du nombre de réfugiés dans le monde », déplore Jan Egeland, secrétaire général du Conseil norvégien pour les réfugiés qui a cosigné le rapport de l’IDMC, un observatoire basé à Genève.
La tendance « s’est accélérée depuis le début des printemps arabes fin 2010 et l’émergence du groupe État islamique », aussi appelé Daesh, note le rapport annuel. C’est la quatrième année consécutive que le nombre de déplacés en interne atteint un nouveau record.
La Syrie, le Yémen et l’Irak comptabilisent plus de la moitié des personnes déplacées par les conflits en 2015. Viennent ensuite l’Afghanistan, la Centrafrique, la Colombie, la République démocratique du Congo, le Nigeria, le Sud Soudan et l’Ukraine.
Le rapport indique par ailleurs que 19,2 millions de personnes étaient déplacées en 2015 à cause de catastrophes naturelles avec l’Inde, la Chine et le Népal en première ligne. En cumulé, les conflits et les catastrophes naturelles ont fait 27,8 millions de nouveaux déplacés en interne en 2015.
« Ce chiffre équivaut aux populations de New York, Londres, Paris et du Caire réunies, emportant dans leur fuite et souvent dans la panique, le peu de choses qu’elles peuvent transporter, et se lançant dans un périple teinté d’incertitude. Autrement dit, environ 66.000 personnes ont dû abandonner leur foyer chaque jour en 2015 », souligne Jan Egeland.
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Nigeria: des enfants meurent dans les geôles des islamistes présumés selon Amnesty
Amnesty International a demandé mercredi aux autorités nigérianes de fermer un centre de détention réservé aux membres présumés du groupe islamiste Boko Haram après la mort en détention de 150 personnes, dont des enfants et des bébés.
Dans un nouveau rapport publié mercredi, Amnesty dénonce la mort d'au moins 149 personnes dans ce centre de détention, dont 12 enfants, presque tous de moins de cinq ans, le plus jeune ayant cinq mois.
"La découverte de la mort de bébés et de jeunes enfants dans des conditions atroces, alors qu'ils se trouvaient dans un centre de détention militaire, est à la fois poignant et horrifiant", a déclaré Netsanet Belay, le directeur Afrique d'Amnesty.
"Nous avons déjà dénoncé à plusieurs reprises le taux de mortalité alarmant parmi les détenus des casernes de Giwa. Ces nouvelles révélations démontrent que cet endroit est associé à la mort, autant pour les adultes que pour les enfants", a-t-il poursuivi.
"Il ne peut y avoir ni excuses ni délais. Le centre de détention des casernes de Giwa doit fermer immédiatement, et tous les détenus doivent être libérés ou remis aux autorités civiles", a-t-il insisté.
Selon le nouveau rapport d'Amnesty, intitulé "Ce que vous allez voir va vous faire pleurer: Vie et mort dans les casernes de Giwa", d'anciens détenus et des témoins rapportent que des détenus sont morts de faim, de maladie, de déshydratation ou des suites de blessures.
Quelque 1.200 personnes, dont 120 enfants, étaient détenus dans ce centre en mars. Les conditions de détention, dans ce centre surpeuplé, ont empiré, malgré les critiques formulées par le passé, dénonce le rapport, à cause notamment de l'insurrection armée en cours contre Boko Haram, qui a entraîné des arrestations de masse.
- Des corps dans des bennes à ordures -
Les maladies, telles que la varicelle et la diarrhée, se propagent rapidement dans les trois cellules pour femmes, où celles-ci sont entassées avec leurs enfants et leurs bébés, rapportent des témoins cités.
Le nombre de détenus par cellule est passé de 25, l'année dernière, à 250 cette année, poursuit le rapport.
"Il y a beaucoup d'enfants avec nous dans les cellules, âgés d'un mois à un an. La cellule est tellement bondée qu'on ne peut pas se tourner de droite à gauche en dormant", décrit une femme.
L'armée nigériane n'a pas nié détenir des enfants. Le 12 février, l'armée a annoncé avoir relâché 275 détenus dont 50 enfants qui avaient été soupçonnés de "terrorisme ou insurrection".
Amnesty dénonce le manque de procès, pour les suspects, et le fait qu'aucun d'entre eux n'aient accès à un avocat pendant leur détention, ce qui représente une violation des lois nigériane et internationale.
Des fossoyeurs de Gwange, le plus grand cimetière de Maiduguri, avaient déjà rapporté à l'AFP, en février, avoir enterré sur place des civils morts dans les casernes de Giwa.
Selon ce nouveau rapport, 136 hommes sont morts, en plus des 12 enfants, depuis janvier, et les corps des morts de Giwa ont été transportés à Gwange dans des bennes à ordures, "deux ou trois fois par semaine".
Amnesty a déjà dénoncé l'exécution, par l'armée, de plus de 600 détenus qui avaient fui Giwa en mars 2014 après une attaque de Boko Haram.
En juin dernier, l'organisation a considéré que certains commandants de l'armée nigériane étaient passibles de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, dans la lutte contre Boko Haram.
Le président nigérian Muhammadu Buhari a promis de se pencher sur ces accusations et il a assuré que son gouvernement "ne tolèrerait pas l'impunité et les violations des droits de l'homme".
Mais selon Amnesty, "aucune mesure n'a été prise pour l'instant afin de mettre en place des enquêtes indépendantes, impartiales et efficaces ou de lancer des poursuites pour les crimes commis".
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« Gloire à Allah » sur les bus londoniens… Et ça ne fait que commencer !
Et ce qui devait arriver arriva : à peine les Londoniens viennent-ils d’élire un maire musulman que promotion de l’islam et interrogation sur la liberté de mouvement de la femme musulmane battent leur plein.
Promotion de l’islam, d’abord. Sous couvert de campagne humanitaire envers les réfugiés syriens, le lendemain même de l’élection de Sadiq Khan, l’association Islamic Relief, une ONG d’aide internationale, avec l’accord de la société londonienne, va placarder les flancs de 640 bus d’un énorme « Subhan Allah ». En français : Gloire à Allah. Pendant deux mois, c’est-à-dire durant toute la durée du ramadan. Aucun risque, dans ces conditions, d’échapper aux nouveaux repères…
Prosélytisme islamique, vous dit votre bon sens ? Pas du tout. « Transport for London » se défend de tout motif religieux. Son de cloche identique pour le président de Relief en personne, Imran Madden, selon lequel il s’agit seulement de « changer le climat ambiant autour de la société musulmane britannique et la perception négative de l’aide internationale ». Indiquant au passage l’incroyable générosité de la communauté en question, laquelle, durant le ramadan, vient en aide aux pauvres (mais du monde entier), versant 126 millions d’euros aux organismes de bienfaisance. On ne demande pas lesquels.
Des bus islamisés à Londres, mais pas seulement… Manchester, Leicester, Birmingham, Bradford ne seront pas en reste. Quand on sait que le père du nouveau maire exerçait le métier de conducteur de bus, la démarche revêt (belle ironie) « une résonance particulière ». Ainsi l’analyse The Independent. Et ce ne sont pas les révélations du site canadien Point de bascule qui rassureront. En effet, l’organisation Islamic Relief a vu ses comptes fermés il y a quelque temps par UBS (banque suisse) en raison de ses liens avec des structures terroristes et de la proximité du président du conseil de direction avec les Frères musulmans. Bref, la publicité de Islamic Relief « signe le début d’une nouvelle ère d’expression pour la foi chrétienne devenue non grata », analyse Simon Calvert (Christian Institute), s’exprimant dans le Daily Mail. Pour tout dire, le début de la fin de l’Europe chrétienne.
La liberté de mouvement de la femme musulmane, ensuite. Le 8 mai, jour de l’élection de Sadiq Khan, les Anglais n’en ont pas cru leurs oreilles. Edward Stourton, dans son émission de BBC Radio 4 consacrée à l’éthique et aux faits religieux, posait à ses auditeurs cette incroyable question : « Les femmes musulmanes doivent-elles être autorisées à se déplacer à plus de 80 km de chez elles sans un chaperon homme ? » Quel progrès, au XXIe siècle, de demander aux citoyens ce qu’ils pensent d’un phénomène qui n’a plus cours en Occident depuis des lustres ! Quelle parfaite conscience, aussi, de la condition inférieure de la femme dans la religion musulmane quand, par ailleurs, les mêmes médias ne tarissent pas d’éloges à son égard…
Enfin, l’élection d’un musulman à la tête de Londres change-t-elle vraiment la donne, les dirigeants anglais pratiquant, depuis bien longtemps, une politique immigrationniste et communautariste ? Non, changement et régression de civilisation s’avèrent simplement… beaucoup plus rapides.
Caroline Artus
11:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lutte contre le terrorisme : Manuel Valls n’a toujours rien compris…
La France a de l’argent à perdre, chacun le constate devant la folle amélioration du niveau de vie de nos compatriotes. Du moins, c’est ce que semble croire le gouvernement socialiste et son sémillant Premier ministre Manuel Valls. Ainsi, le croisé de la laïcité offensive a décidé de s’occuper prioritairement d’un sujet religieux : la radicalisation. Entendons bien, d’ailleurs, qu’il se refuse à lutter contre l’islamisme. Certainement quelques fanatiques hindous ont-ils envahi le territoire national.
Mais au-delà de ces pudeurs sémantiques, certes révélatrices, il faut indiquer que les 40 millions d’euros que le gouvernement veut dépenser pour « déradicaliser » n’auront d’autres conséquences que de renforcer une noria d’experts douteux dont l’efficacité et l’idéologie sont constamment mises en doute. Un plan national de lutte contre le terrorisme, dont l’annonce majeure revient à viser la réinsertion sociale d’anciens des fronts syriens et irakiens, prête à confusion. Et ajoutons, à notable injustice, que les militaires français abandonnés par l’État auraient certainement apprécié une telle attention, tant pécuniaire que médiatique.
Allons plus loin. En proposant une telle mesure, Manuel Valls indique qu’il n’a décidément rien compris au phénomène djihadiste puisqu’il le considère sous l’angle des inégalités sociales voire territoriales. L’islamisme n’aurait rien à voir là-dedans, et l’invasion de personnes issues d’une civilisation en tout point opposée au génie européen non plus. Fermez le ban et croisez les doigts pour que les maisons des jeunes et de la culture transforment d’anciens bourreaux du peuple syrien en sympathiques artistes. Voilà l’équation à laquelle les Français devraient croire.
Il faut le dire clairement : les jeunes gens partis au Proche Orient rejoindre les rangs de l’État islamique, d’Al-Qaïda ou d’autres excroissances des Frères musulmans participent à des massacres de masse. Et l’on se demande comment les « experts » veulent calculer l’horreur : ont-ils décapité, traîné des cadavres, torturé des soldats ou des civils, participé à l’embrigadement des enfants des zones pauvres ? Ce sont des dizaines d’année en prison que doivent passer ces fossoyeurs de l’image de la France dans la région, pour notre propre sécurité, mais aussi pour le mal qu’ils ont fait subir à toute notre nation et à nos alliés historiques dans la région.
La question de leur nationalité doit aussi être posée. Il faut pour cela que la France se dégage enfin de conventions internationales qui disposent de la nationalité comme d’un contrat juridique en niant toute dimension de reconnaissance de la nation. En somme, le législateur ne peut pas, à lui seul, octroyer aussi facilement la nationalité française sans accord de la communauté nationale. Cette dernière rejette les djihadistes sans s’émouvoir de leurs excuses avariées : quartiers, réseaux sociaux, etc. Il y a urgence à prendre la mesure de la guerre qu’ils nous mènent.
Yann Bompard
11:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Chute des actes antisémites et antimusulmans. Pour les chrétiens, on repassera
C’est une dépêche AFP. Comme toutes ses consœurs, elle a sauté de site en site, par ricochet, dupliquée à la virgule près parce qu’il ne faudrait quand même pas trop se fouler : « Le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a annoncé, lundi soir, que les actes antisémites et antimusulmans ont baissé de 80 % au premier trimestre 2016, par rapport à la même période, l’an dernier. »
« La vigilance […] commence à porter ses fruits », a précisé Bernard Cazeneuve. Voilà une bonne nouvelle. On applaudit des deux mains. Mais comme le lycéen anxieux qui ne se trouve pas sur la liste le jour des résultats du bac, on reste là, bras ballants, vaguement interdit : Bah… oukonest ? et les actes antichrétiens, alors ?
On a dû perdre la feuille. Ou bien on l’a laissée dans la photocopieuse. Maryse, tu vas voir ?
Pourtant, Bernard Cazeneuve semblait avoir prévu la colonne, à côté de celle des autres, sur son grand tableau Excel : « À chaque fois qu’il y a un acte antisémite, raciste, antimusulman, antichrétien, les préfets déposent plainte auprès des procureurs de la République. Il y a donc une fermeté absolue. »
Mais in fine… rien. Nada. Peau de balle. Pffft, tellement négligeables qu’il ne les a même pas évoqués ?
On serait tenté, évidemment, de parler des 130 « croisés » du 13 novembre, comme les ont appelés, dans leur revendication, les islamistes. Si les malheureux ne se sentaient pas tous franchement « chrétiens », leurs bourreaux eux, les ont ciblés comme tels.
Alors là, soyons très clairs, inutile de bassiner Cazeneuve : le 13 novembre ne fait pas partie du premier trimestre 2016. Quand on fait des stat’, il faut être précis.
On pourrait, naturellement, lui glisser que le préfet et le procureur sont superflus pour se faire une idée. Qu’il suffit de lire la presse locale. Lorsque l’on rentre le mot « vandalisée », « incendiée » ou « profanée » à côté de celui d’« église », Google ne sait plus où donner de la tête : Saint-Martin à Aubière, Saint-Didier à Bruyères-le-Châtel, Notre-Dame à Quézac, Saint-Louis à Fontainebleau, Saint-Jacques à Montauban, Sainte-Croix à Saint-Lô, Sainte-Marie-Magdeleine à Plan-de-Cuques, Notre-Dame à Goupillières… la liste, en ce début d’année, est loin d’être exhaustive. Départs de feu, jets de pierre, portes fracturées, tabernacles forcés, hosties jetées à terre, vitraux brisés, murs tagués, statues renversées, les « actes » sont d’inégale intensité, et leurs auteurs divers. Mais on aimerait, eux aussi, les comparer à ceux de l’an passé. Alors quoi ? Pourquoi Bernard Cazeneuve reste-t-il coi ? Parce qu’il fait la méthode Coué – celle de Pierre Moscovici, autrement appelée « prophétie autoréalisatrice » – « Toute idée qui se grave dans notre esprit tend à devenir une réalité dans l’ordre du possible », dixit Wikipédia – et qu’il y croit.
Si les racines chrétiennes sont niées, ces églises anciennes n’ont donc pas droit de cité, hé hé, puisqu’elles n’ont jamais existé. Encore fallait-il y penser.
À moins que Bernard Cazeneuve n’en ait tout simplement rien à cirer. Attendu qu’électoralement, cela n’a pour lui aucun intérêt.
Gabrielle Cluzel
11:01 | Lien permanent | Commentaires (0)