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jeudi, 26 mai 2016

Jean-Yves Le Gallou : « Le vrai problème c'est l'immigration »

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L’immigration est une catastrophe sur tous les plans et je vais prendre trois exemples.

Les hommes politiques aiment beaucoup parler de la lutte contre l’insécurité, parce qu’elle préoccupe à juste titre les Français, en présentant tout un tas de solutions qui, selon eux, vont régler ce problème – et bien sûr ne le règlent jamais. Ils ne peuvent pas le régler parce qu’ils ne s’attaquent pas à la cause. Pour dire clairement les choses, l’erreur – je dirais même la faute – est de croire qu’il y a juste un problème d’insécurité. Or il n’y a pas de problème d’insécurité : il y a un problème d’immigration ! Quand la quasi-totalité des bandes criminelles sont issues de l’immigration et quand 70 % des détenus sont étrangers ou issus de l’immigration, parler d’insécurité et ne parler que d’insécurité, c’est une manière de ne pas parler de ce sujet qui en est la source : l’immigration.

Deuxième exemple : la communautarisation de la société française, qui alimente le discours d’un certain nombre d’hommes politiques, à droite comme à gauche, avec ce qui est présenté comme son corollaire, le problème de la laïcité. Là encore, il est faux de prétendre qu’il y a un problème avec la laïcité, et de vouloir travailler sur le sens qu’il faut lui donner et sur son champ d’application. Il n’y a pas de problème avec la laïcité : il y a un problème avec l’immigration, et plus précisément avec l’islamisation.

Troisième exemple, avec le chômage et le montant des salaires, particulièrement du salaire minimum. Evidemment qu’il faut l’augmenter. Evidemment que le salaire minimum ne permet pas de vire dans des conditions décentes, notamment en région parisienne. Mais il est impossible d’augmenter le Smic quand, dans le même temps, les frontières sont ouvertes au point de permettre l’arrivée permanente d’une main-d’œuvre abondante et bon marché. Sur le Bon Coin – vous savez, le site que ne connaît pas Nicolas Sarkozy... –, on vous propose des services de ménage pour la moitié du Smic. Quand on parle d’emploi et de salaire, le vrai problème derrière, c’est aussi l’immigration.

Jean-Yves Le Gallou

Source : Le blog de Thomas Joly

Roubaix : Ramzan al-Hajiri, interdit de séjour en France mais reçu à la mosquée

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Le 8 mai, la mosquée Abou Bakr, dans le quartier du Pile à Roubaix, a accueilli pour la troisième fois en deux ans le cheikh Mohammed Ramzan al-Hajiri. Ce cheikh saoudien n’est pourtant, en théorie, pas autorisé à pénétrer sur le territoire français au moins jusqu’en 2050. Il fait en effet l’objet d’une fiche « TE » d’opposition à son entrée sur le territoire, délivrée par la Direction générale de la sécurité intérieure car il serait un « individu susceptible de troubler l’ordre public en raison de ses prêches islamistes radicaux ». Tous les pays de l’espace Schengen en sont informés et ne doivent en principe pas lui laisser franchir leur frontière mais il aurait légèrement modifié son nom en Alhajri sur son visa et les douaniers italiens n’auraient pas détecté le stratagème.

Ainsi, comme en août 2013 et en avril 2014, mais cette fois-ci en plein état d’urgence, ce Saoudien jugé indésirable par la DGSI a passé le week-end prolongé du 8 mai dans la mosquée Abou Bakr Essedik…  

Pierre Olivier

Source : Jeune Nation

Immigration à Roscoff. « Qu’on ne prenne pas le risque d’avoir un mini Calais ici »

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Depuis quelques semaines (mars 2016), entre vingt et trente immigrés clandestins se trouvent à Roscoff, en Finistère Nord. Leur objectif ? Passer en Angleterre. Roscoff est en effet, avec Saint-Malo, l’un des deux chemins d’accès à la Grande Bretagne, depuis notre région. Un chemin d’accès plus difficile que la région de Calais, mais plus discret aussi. C’est ce qui a poussé ces familles qui se disent pour la plupart Kurdes (d’Irak et de Syrie) à venir s’échouer ici,  derrière un bunker, à quelques centaines de mètres du port du Bloscon.

Ces immigrés clandestins – que certains journalistes subventionnés et militants associatifs appellent « migrants » – ont tout d’abord occupé un bâtiment abandonné appartenant au président de la CCI de Morlaix, Jean-Paul Chapalain. Ce dernier a déposé plainte pour se protéger en cas d’accident (l’état du bâtiment laissant à désirer), tout en refusant de réclamer leur expulsion.

Par ailleurs, il est à noter que des militants associatifs, soutiens de ces immigrés en situation irrégulière sur le territoire français (ils n’ont pas demandé l’asile) ont raccordé l’installation de fortune à une ligne ErDF appartenant à des particuliers, sans les consulter. Ces derniers s’en sont plaints et ont réussi à obtenir gain de cause. Le Secours Populaire et les Restos du Coeur, à qui de nombreux Bretons donnent de la nourriture en pensant qu’elle ira à leurs compatriotes dans le besoin, s’activent pour aider ces familles à survivre ici, dans la misère.

Des familles dont la perspective est très limitée de passer en Angleterre. « A moins de complicité trouvée sur la Brittanny Ferries, ce que je ne peux pas croire, c’est impossible d’embarquer clandestinement ici. Roscoff n’est pas Calais » nous confie un agent portuaire  qui ne souhaite qu’une chose : « qu’on ne prenne pas le risque d’avoir un mini Calais ici». Les contrôles des autorités sont en effet importants, et l’accès à Roscoff n’est pas le plus simple pour des candidats à la grande traversée.

Comme plusieurs Roscovites avec qui nous avons pu être mis en contact, Marie-Anne est inquiète que la situation perdure: « c’est bien normal de ne pas les laisser mourir de faim dans l’urgence. Mais la première chose à faire, ça devrait être des les contrôler et de les expulser. Là ça fait un appel d’air ». Elle ne comprend pas : « Pourquoi sont-ils là depuis deux mois maintenant pour certains ? Pourquoi on les laisse dans une telle situation ? Pourquoi la gendarmerie ne fait-t-elle rien hormis les contrôler de temps à autre ? ». Nous n’obtiendrons pas de réponse des autorités, qui n’acceptent manifestement de donner des informations sur ces vagues migratoires qu’à une certaine presse ou à un public bien précis.

Dans le pays de Morlaix en tout cas, il n’en aura pas fallu beaucoup plus pour que quelques militants politiques de gauche et d’extrême gauche lancent leur collectif de soutien aux migrants . Des collectifs qui se multiplient dans toute la Bretagne et qui font de l’humanitaire leur « fond de commerce idéologique», selon un processus parfaitement rôdé et accepté par la plupart des élus locaux et collectivités. « Ils aident des personnes qui sont des délinquants aux yeux du droit de la République française, et quand vous protestez, vous êtes forcément un raciste ! » nous adresse Luc, un internaute de Loguivy-Plougras (22) qui insiste : « on devrait expulser les membres des collectifs de soutien aux sans papiers avec leurs protégés, ça nous ferait de l’air ! Si ils en veulent tant, qu’ils partent avec eux» et qui conclut : « La Bretagne est une des régions qui se mobilise le plus en faveur des migrants . C’est pas un honneur, c’est une honte. On aide les mafias là… ».

Difficile de savoir si – comme l’affirme Luc – la région est en pointe dans la collaboration avec les réseaux d’immigration clandestine. Le tissu local associatif très développé (et largement subventionné) et particulièrement mobilisé sur la question, ainsi que le souhait affiché d’élus locaux d’accueillir des « réfugiés » ou des « migrants » sont toutefois significatifs.

A Séné, petite commune de 8000 habitants dans le Morbihan, un logement municipal a été récemment totalement réhabilité, au terme d’un travail en commun entre militants associatifs et employés communaux (au nombre de 5) , pour accueillir là encore une famille de réfugiés Afghans. Nul doute que des locaux auraient été heureux de pouvoir bénéficier d’une telle solidarité …

Source : Breizh-info

mercredi, 25 mai 2016

Allemagne : l’AFD et Pegida contre la mosquée d’Erfurt et l’islam

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L’invasion de l’Allemagne par les migrants provoque une forte réaction populiste : l’AFD et Pegida, qui ont tous deux le vent en poupe, unissent leurs efforts contre l’islam, particulièrement en Thuringe, land de l’Est, contre une mosquée projetée à Erfurt.
 
Après les déclarations lénifiantes du coprésident de l’AFD Jörg Meuthen ces dernières semaines à la Frankfurter Allgemeine Zeitung, l’autre coprésidente, Frauke Petri, plus radicale, reprend la main en s’attaquant bille en tête à l’islam. Mettant fin brutalement hier à une rencontre organisée avec le Conseil central des musulmans d’Allemagne, la direction de l’AFD (Alternativ für Deutschland) a estimé que le conseil n’arrivait pas à « renoncer à des croyances qui s’opposent à la constitution allemande ». Et Frauke Petri a ajouté que l’islam restait « collé au septième siècle ». En précisant bien qu’elle ne visait pas le terrorisme ni l’islamisme, mais bien la religion concrète de plus de quatre millions d’immigrés en Allemagne : « L’islam, tel que la majorité d’entre eux le pratiquent, n’appartient pas à l’Allemagne démocratique ». 

A Erfurt, l’AFD se rapproche de PEGIDA contre la mosquée

 C’est la conviction de plus en plus d’Allemands depuis la submersion de l’Europe par les migrants, et notamment depuis l’affaire de Cologne pour la Saint Sylvestre et cela entraîne un durcissement de la tactique de l’AFD. Jusque-là, l’AFD se gardait comme de la peste d’avoir des relations avec PEGIDA (Patriotische Europäer gegen die Islamisierung des Abendlandes, Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident), à cause des liens supposés de ceux-ci avec l’extrême droite. Désormais, sur l’affaire de la mosquée d’Erfurt, le leader local de l’AFD, Björn Höcke se reconnaît des « buts communs » avec eux. 

La présence de l’islam en Allemagne est le problème

 La communauté de l’Ahmadiyya, forme d’islam reconnue par la république fédérale et habilitée à lever l’impôt du culte sur ses membres, projette de construire une mosquée à Erfurt pour ses soixante-dix fidèles : l’AFD a déposé une loi pour s’y opposer. Les partis du système s’y opposant, estimant que « l’extrême droite joue sur les peurs », l’AFD a fait appel à PEGIDA pour manifester dans la rue. Höcke est déterminé : « L’AFD de Thuringe fera tout ce qui est légalement possible pour éviter la construction de ce bâtiment ».
 
De manière tout à fait classique, Aiman Maziek, le président du Conseil central des musulmans d’Allemagne, a estimé que la position de l’AFD lui rappelait « le passé sombre de l’Allemagne nazie ». Et les médias locaux ont trouvé un étudiant, nommé Roman Guschel, pour proclamer devant leurs micros : « J’ai plus peur de ces gens-là que des islamistes, car empêcher la construction d’une mosquée revient à interdire aux musulmans de s’intégrer dans notre société ». 

Pauline Mille

Source : Reinformation.tv

Enquête : Juppe soutient-il la création d’une Grande Mosquée et l’Islam ?

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L’extrême droite scande depuis plusieurs mois déjà la proximité prétendue d’Alain Juppé avec l’Islam radical et son éventuel soutient à une grande mosquée à Bordeaux. Qu’en est-il vraiment ? Est-il visé par l’extrême droite qui voit en lui le futur adversaire de Marine le Pen en 2017 ?

Qu’en est-il de la construction de la mosquée ?

  • Il y bien un projet de construction approuvé en 2005 par le Conseil Municipal de Bordeaux. Il n’est pas abouti et les travaux n’ont pas commencé, l’argent nécessaire n’étant pas encore rassemblé par l’association qui désire la construire.
  • Le lieu n’est pas seulement une mosquée, le projet souhaite y associer des restaurants, salles d’exposition, de cours qui n’ont aucun rapport avec la culture musulmane.
  • Contrairement aux rumeurs propagés par l’extrême droite, il n’y a pas de minaret prévu dans le projet, Alain Juppé s’y oppose.
  • La Mairie de Bordeaux n’apporte pas d’argent public à ce projet. Pas un euro n’est versé au projet. Alain Juppé est de plus très exigeant sur les conditions de ce financement : transparence et traçabilité des financements, légalité, inconditionnalité.
  • Plus de 300 villes en France sont confrontés à des projets de construction de mosquées, Bordeaux y est confronté comme les autres et y a apporté la même réponse en acceptant la construction d’une mosquée tout en vérifiant son financement, son contenu.  La construction de ces mosquées est essentielles pour toutes ces villes (De Paris à Marseille en passant par Lille et donc Bordeaux) afin de lutter contre l’islam des rues et des caves. Les trois communautés (Juive, musulmane, catholique) soutiennent la construction de la mosquée de Bordeaux. 

En Conclusion, il existe bien un projet de construction de mosquée à Bordeaux. Mais contrairement aux rumeurs, la ville ne finance pas ce projet, et il n’y aura pas de minaret.  Ce projet ne verra probablement jamais le jour, faute de financement. 

 

Alain Juppé est-il proche de l’Islam ?

  • L’extrême droite reproche enfin à Alain Juppé sa proximité avec l’Islam. Le candidat aux primaires  est cependant bien loin de cette vision. Il est tout d’abord catholique et ne s’est jamais converti contrairement aux rumeurs
  • Le recteur de la mosquée de Bordeaux Tarek Obrou est un modéré et affirmait au Vatican suite aux attentats « Les musulmans et la société, mais les musulmans en premier doivent manifester leur colère face à cette succession de violence. Il faut vaincre ce complexe des musulmans qui disent « je n’ai pas à me justifier ». La paix civile est menacée. Les musulmans de France doivent sortir massivement dans les rues pour exprimer leur dégoût face à ce crime. »

Alain Juppé s’est également exprimé sur BFMTV sur la condamnation par les musulmans des actes terroristes :


Juppé: "Il faut que les français musulmans... par BFMTV

Source : Voselus.fr

Une église chrétienne deviendra la propriété de la Mosquée d'Ottawa

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L'église unie Northwestern, située dans l'ouest de la capitale nationale, sera vendue à la Mosquée d'Ottawa pour 1,5 million de dollars au cours d'une transaction qui devrait se concrétiser le mois prochain.

Les deux établissements religieux, situés sur l'avenue Northwestern près de la rue Scott, sont voisins et ont des liens qui remontent à une cinquantaine d'années.

Avant la construction de la mosquée, le sous-sol de l'église était utilisé par les fondateurs de la communauté musulmane d'Ottawa comme lieu de prière à la fin des années 60. Les deux communautés ont continué à entretenir des relations après la construction de la mosquée.

L'église unie a reçu plusieurs offres d'achat, selon Scott MacCrimmon, membre du comité responsable de la mise en vente, mais celle de la mosquée était la plus intéressante en raison des liens qui unissent les deux groupes.

« Nous voulions établir une sorte de reconnaissance patrimoniale pour l'édifice. Et la mosquée répondait à ça. [...] Ils veulent reconnaître la relation historique entre la mosquée et l'église [traduction libre] », explique M. MacCrimmon.

Nous avons tenu compte du bien commun pour la communauté d'Ottawa. [traduction libre]

Scott MacCrimmon, membre du comité responsable de la mise en vente de l'église

L'entente prévoit qu'une partie de l'hypothèque est sans intérêt afin d'accommoder la loi religieuse islamique, qui défend de payer ou de demander des intérêts.

Les deux parties espèrent concrétiser la vente en juin.

La fréquentation est toujours en hausse à la Mosquée d'Ottawa, qui avait agrandi son édifice il y a 10 ans pour répondre à la demande. Quelque 10 000 fidèles s'y rendent lors des grandes fêtes.

Source : Radio Canada

Le grand Sud-Ouest et le Limousin, terres atypiques d'immigration

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Selon une récente étude de l’INSEE*, les immigrés représentent moins de 6 % de la population de l’ex région Limousin. Limoges reste la ville la plus cosmopolite.

Que l’on raisonne à l’échelle de l’ancienne région Limousin, ou à celle de la nouvelle région ALPC l’écart reste minime (0,3 %). Des variations plus importantes apparaissent cependant lorsqu’on s’intéresse à la population des aires urbaines où se concentrent davantage les immigrés.

Source : Le Populaire

Les violences d’extrême droite explosent en Allemagne

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Confronté à un afflux de migrants sans précédent, l’Allemagne a vu le nombre des crimes violents commis par des radicaux d’extrême droite augmenter de 40% en 2015.

L’Allemagne a ainsi enregistré 1.485 de ces crimes l’an dernier contre 1.029 l’année précédente. Plus largement, le ministère de l’Intérieur note une explosion (+77%) des «crimes de haine», des infractions à caractère raciste ou antisémite et des infractions ciblées par la religion des victimes.

Les foyers de demandeurs d'asile ciblés

Dans le même temps, les actes de violences ciblant les foyers de demandeurs d’asile ont quadruplé avec 923 crimes et délits recensés, d'après les chiffres cités par ABC News. 

Les autorités allemandes s’étaient déjà émues en février dernier d’une dérive xénophobe, amplifiée avec l’arrivée des migrants et aiguillonnée par des mouvements islamophobe et d’extrême droite comme Pegida.  

Source : Direct Matin

La mosquée du Bourget, réputée salafiste, en cours de fermeture

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L'établissement ne peut poursuivre ses activités pour des raisons de normes de sécurité non respectées, selon les autorités.

La mosquée Al Imane du Bourget en Seine-Saint-Denis, considérée comme salafiste, était en cours de fermeture mardi matin sur décision de justice car le bâtiment ne répond pas aux normes de sécurité, a-t-on appris de sources concordantes.

"Expulsion locative". "L'expulsion est en cours depuis 7h. Il n'y avait qu'une personne à l'intérieur, on est en assistance d'un huissier qui exécute la décision de justice après plusieurs injonctions de mise aux normes qui sont restées sans effet", a indiqué une source policière. La préfecture de Seine-Saint-Denis a confirmé qu'une "opération d'expulsion locative faisant suite à une décision de justice était en cours".

Jusqu'à 1.500 fidèles. La mosquée Al Imane, qui abrite aussi une école, est installée depuis 2010 dans un bâtiment industriel en tôle, à deux pas du RER. Fréquentée par des fidèles du Bourget et de la commune voisine de Drancy ainsi que des habitants de tout le département, elle peut réunir jusqu'à 1.500 personnes à l'occasion de la prière du vendredi. Vincent Capo-Canellas, le maire UDI du Bourget, avait pris un arrêté de fermeture dès 2010, considérant que les conditions de sécurité n'étaient pas réunies pour accueillir du public.

Un foyer de radicalité ? La mosquée, qui a la réputation d'être un foyer de radicalité, a accueilli des prêches et des conférences du prédicateur populaire Nader Abou Anas, dont des propos sexistes avaient suscité la controverse. Sur la page d'accueil du site internet de l'association cultuelle, les responsables de la mosquée indiquent qu'ils "tiennent à exprimer leur condamnation la plus ferme contre l'attentat diabolique perpétré sur Paris et sa région", dans un billet non-daté.

Source : Europe1

La Belgique débusque 1.500 immigrés qui se faisaient passer pour des mineurs non accompagnés

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Quelque 1.500 demandeurs d’asile ont perdu leur statut de mineur étranger non accompagné (Mena) à la suite d’un test osseux.

La tromperie sur l’âge est intéressée : les mineurs étrangers non accompagnés bénéficient d’une prise en charge plus avantageuse et ne peuvent être renvoyés dans leur pays. La Belgique en a accueilli environ 5.000 en 2015.

Mais l’Office des étrangers émet régulièrement des doutes sur l’âge déclaré par le demandeur d’asile. Un test osseux, portant sur la clavicule, le poignet et la dentition est alors effectué. Dans environ 1.500 cas des 2.099 tests réalisés entre janvier 2015 et mars 2016, les résultats indiquaient que l’immigré était en réalité majeur, selon le SPF Justice.

Pierre-Alain Depauw

Source : Mpi



Multiculturalisme : des snacks syriens attaqués par des Marocains à Bruxelles En savoir plus sur http://www.medias-presse.info/multiculturalisme-des-snacks-syriens-attaques-par-des-marocains-a-bruxelles/54883#D30Wf4T5MlfVPow4.99

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Dans la nuit de jeudi à vendredi, à Anderlecht, chaussée de Mons, deux snacks appartenant à des Syriens ont été attaqués par une vingtaine d’individus cagoulés et armés de pierres, de cocktails Molotov, de barres à mine et de pistolets.

Le patron de l’un des deux snacks syriens explique :

« Ils nous terrorisent. Ce sont des jeunes de la communauté marocaine qui nous attaquent. Tout a commencé il y a deux jours lorsqu’on a refusé de donner à l’un d’eux une cuillère pour qu’il puisse réchauffer sa drogue. Il nous avait prévenus qu’il reviendrait plus tard. »

« Lorsque l’un de mes frères a voulu les empêcher de rentrer à l’intérieur pour tout casser et de mettre le feu comme dans le snack de notre cousin, ils ont fait feu dans sa direction à travers la vitrine. La balle n’a heureusement qu’effleuré son visage. Juste avant, ils avaient déjà tiré plusieurs coups de feu en l’air. »

« On a fui la Syrie pour être en sécurité. On ne pensait pas se retrouver à la merci de petits voyous qui font preuve d’une violence totalement gratuite et contre lesquels on ne peut rien faire parce qu’ils répliquent toujours à plusieurs et savent qu’ils ne craignent rien. On se demande si vos lois sont faites pour les protéger, si on est bien en Belgique ou dans la jungle… »

Arrivée rapidement sur place, une patrouille de police a été encerclée par les voyous. Des renforts de police ont été nécessaires mais aucune interpellation n’a eu lieu. Une impunité qui ne peut que révolter.

Ce quartier bruxellois très multiculturel est aussi multi-criminel. Le 9 mars dernier, dans une rue perpendiculaire à la chaussée de Mons, un jeune d’origine marocaine avait été tué. « Des Albanais l’ont mis à la porte de leur café parce qu’il posait problème. Ils l’ont massacré juste devant à coups de couteau et de batte de baseball », raconte un témoin. « Quatre jours plus tard, le 13 mars, des Marocains ont bloqué tout le quartier avec des voitures qui venaient d’un peu partout en Europe : France, Espagne, etc. Ils cherchaient les meurtriers du jeune de 25 ans. Ils ont fini par brûler le café des Albanais. »

Le parquet de Bruxelles se borne à confirmer qu’une instruction judiciaire est en cours. Les violences inter-ethniques restent un sujet tabou.

Pierre-Alain Depauw

Source : Mpi



Suède : chrétiens persécutés par des musulmans dans des centres de réfugiés

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Ce n’est pas un phénomène nouveau, mais un phénomène qui se poursuit… Selon la Swedish Evangelical Alliance, un réfugié chrétien à Kalmar dans le sud-est du pays a été menacé d’être égorgé par un musulman qui a prétendu, par ailleurs, avoir combattu aux côtés de groupes djihadistes en Syrie. Ce personnage devrait être, évidemment, immédiatement expulsé de Suède. Un couple de chrétiens pakistanais a du trouver refuge dans une église quand il a été découvert que le nom du mari avait été peint sur un mur du foyer suivi de la mention « À mort ! ». Un autre groupe de chrétiens demandeurs d’asile, toujours à Kalmar, a du être installé dans un autre centre d’asile tellement les conditions de vie dans le premier étaient devenues impossibles à cause de la pression des musulmans. L’administration suédoise ne comprend pas et se refuse à héberger les chrétiens minoritaires dans des refuges spécifiques car « ce serait contraire aux principes et aux valeurs qui sont centraux dans la société suédoise et dans notre démocratie » profère doctement Anders Danielsson, directeur général du Conseil suédois des migrations. Quand un ou deux chrétiens auront été égorgés, Anders Danielsson réfléchira peut-être à frais nouveaux à ses sacro-saints principes et valeurs…

Source : islamisation.fr

Nadine Morano : « Certains quartiers sont des zones de non-France ! »

Ses propos ont créé, une fois de plus, la polémique. L’ancienne ministre Nadine Morano a en effet affirmé, ce dimanche, « Vous arrivez dans la Gare du Nord, c’est l’Afrique. Ce n’est plus la France. On n’a pas le droit de le dire ? C’est vrai ! ». Explications au micro de Boulevard Voltaire.

Source : Boulevard Voltaire

Désarmer les Français qui voudraient se défendre face aux kalachnikov !

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Patrick Calvar est le directeur général de la Sécurité intérieure. Il a été nommé en mai 2012. Il était auditionné, ce 10 mai, par la Commission de la défense et des forces armées.

Il a expliqué que la France était le pays le plus menacé par Daech et Al-Qaïda. Il a tenu ces propos : « Si les attentats de novembre dernier ont été perpétrés par des kamikazes et par des gens armés de kalachnikov ayant pour but de faire le maximum de victimes, nous risquons d’être confrontés à une nouvelle forme d’attaque : une campagne terroriste caractérisée par le dépôt d’engins explosifs dans des lieux où est rassemblée une foule importante, ce type d’action étant multiplié pour créer un climat de panique. »

Il a expliqué que la piste des migrants était utilisée par les terroristes. Ne laissant aucune ambiguïté sur ce qui nous attend, il a affirmé : « Pour finir, la question relative à la menace n’est pas de savoir si, mais quand et où. »

On aurait donc pu attendre d’un tel homme que, s’adressant à la représentation nationale, il pose quelques questions incontournables.

Après le Bataclan et Bruxelles, peut-on continuer à avoir des frontières ouvertes, et donc laisser entrer de possibles futurs terroristes ? Doit-on laisser en liberté sur le territoire national des adeptes de la charia, qui peuvent passer à l’action à tout moment ? Peut-on continuer à laisser des mosquées prêcher la haine contre les infidèles, au nom des textes coraniques ? Ne doit-on pas avoir une réflexion sur des forces politiques hostiles à notre pays et à ses forces de l’ordre ?

Manifestement, ce ne sont pas les priorités de celui qu’on présente comme le « patron » de la Sécurité intérieure. Ainsi, il conclut son audition par ces propos ahurissants :

« Cela d’autant que l’Europe est en grand danger : les extrémismes montent partout et nous sommes, nous, services intérieurs, en train de déplacer des ressources pour nous intéresser à l’ultra-droite qui n’attend que la confrontation. Vous rappeliez que je tenais toujours un langage direct ; eh bien, cette confrontation, je pense qu’elle va avoir lieu. Encore un ou deux attentats et elle adviendra. Il nous appartient donc d’anticiper et de bloquer tous ces groupes qui voudraient, à un moment ou à un autre, déclencher des affrontements intercommunautaires. »

Calvar a compris que « Je suis Charlie », les bougies et les fleurs ne survivront pas à un, voire deux prochains attentats. Mais sa hantise est une révolte du peuple de France contre les assassins, ce qu’il appelle des affrontements inter-communautaires.

Il va donc retirer des effectifs utilisés jusqu’à ce jour contre les terroristes pour les mobiliser contre ce qu’il appelle « l’ultra-droite », autrement dit les groupes patriotiques qui refusent l’immigration de masse, celle qui entraîne l’islamisation, et ensuite le terrorisme.

Devons-nous comprendre que la priorité du « patron » de la Sécurité intérieure va être de traquer les sites de la réinfosphère, de demander de nouvelles dissolutions d’organisations patriotiques et de désarmer les Français qui, anticipant « la guerre civile qui vient », comme l’écrivait Ivan Rioufol dans son dernier livre, se sont équipés en conséquence pour faire face aux kalachnikov ?

Devons-nous comprendre que le message de Calvar est : « Français, nous ne sommes plus capables de vous protéger, beaucoup d’entre vous vont mourir, mais nous vous interdirons de vous défendre » ?

J’ai bien peur que oui…

Pierre Cassen

Source : Boulevard Voltaire

 

Pour Bernard Cazeneuve, un bon policier est celui qui n’utilise pas son arme

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Pour Bernard Cazeneuve, une bonne police, c’est celle qui ne dégaine surtout pas. C’est ce que l’on déduit de son discours de remise de médaille de la Sécurité intérieure à Kevin Philippy et quatre de ses collègues.

Attaqués dans leur voiture balisée à coups de barres de fer, c’est certain, Kevin et sa coéquipière en ont réchappé de justesse. Il faut dire que les casseurs s’en sont donné à cœur joie, pulvérisant les vitres, donnant des coups de pied et lançant un cocktail Molotov à l’intérieur, les contraignant alors à sortir du véhicule. Parant les coups de ses agresseurs à mains nues, le jeune policier finira par s’éloigner, laissant derrière lui les racailles en furie.

« Solide, grand, fort, mais fort simplement de lui-même et de ses valeurs, non pas fort de son arme », dixit le ministre de l’Intérieur. Il va bien, Cazeneuve ? Non mais, il s’est déjà demandé ce qu’il ferait, lui, armé face à un fou furieux aux intentions très clairement exprimées ? Et que nous chante-t-il là, à parler de « valeurs » quand un policier se trouve aux prises avec des casseurs ? À quoi doit penser le bon flic en situation de danger ? À philosopher, selon le ministre ? C’est cela, le respect du premier flic de France envers les forces de l’ordre qui, chaque jour, risquent leur vie sur le terrain et ne savent que trop bien ce qui les attend, même en cas de légitime défense avérée ?

M’enfin, de quelles valeurs parle-t-il ? Quelles sont donc ces fichues valeurs, au nom desquelles un flic doit bien sagement laisser son arme dans son étui ? Serait-ce celles qui consistent à protéger la vie des criminels en puissance au détriment de la sienne ? À entendre la satisfaction et le soulagement de Bernard Cazeneuve lors de la cérémonie, énoncer qu’« à aucun moment, on ne vous voit porter la main à votre arme », on peut s’interroger. Entre porter une arme et être fortement incité à ne pas s’en servir ou ne pas en porter, quelle différence ?

Car, enfin, un flic sans son arme, c’est comme un pêcheur sans sa canne, un plombier sans ses clefs, un intellectuel sans ses bouquins : comment s’y prendra-t-il pour faire régner l’ordre, confronté, lui, aux armes disproportionnées des racailles gauchistes ? Parce que les policiers morflent sur le terrain. Quelqu’un lui a rapporté, à Cazeneuve, que depuis le début de la chienlit généralisée partout dans le pays, 500 policiers ont été blessés, certains grièvement ? C’est en faisant « un exemple » de la non-utilisation de son arme par un policier qu’il compte les protéger et nous rassurer ? Le policier décoré le sait bien, qui rend hommage à ses collègues qui, « sur le terrain, prennent plus cher que moi. Ce sont eux les héros et pas moi. »

Une chose est sûre, le héros, ce n’était pas le président de la République, invité surprise de ce moment. « La justice passera. La justice doit passer. » C’est beau comme du Hollande. En attendant, les « fils de bonne famille » qui ont attaqué Kevin et son équipière ont sûrement de très bons avocats…

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire

Politique de l’Autriche ? Le Système a encore la tête dans le sable

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Une fois de plus, voilà qui n’est pas passé loin du fatal couperet. Avec tout juste 50,3 % des voix, l’écologiste Alexander Van der Bellen sera donc le prochain président autrichien, juste devant – à 31.000 voix près – le populiste du FPÖ, Norbert Hofer.

Après, le rôle d’un président n’est pas le même là-bas qu’ici. En Autriche, le chancelier détient le véritable pouvoir, semblant de IVe République oblige, tandis que le rôle du président, donné pour celui d’un « géant endormi », à en croire le défunt juriste Maurice Duverger, demeure des plus flous. Il n’empêche, ce symbole aurait pu être fort si un autre lapin était sorti du chapeau électoral. Malgré les espoirs des uns et les craintes des autres, le sort des urnes en a décidé autrement, quoique ce même symbole nous dit aussi qu’un parti hors système parvient à faire jeu quasiment égal contre une coalition électorale aux dimensions quasi planétaires.

Un peu comme chez nous, lors des dernières élections régionales, à l’occasion desquelles le Front national n’a perdu que de peu, en PACA comme dans le Nord-Pas-de-Calais, contre pareille alliance, bien souvent contre-nature.

À quelques jours du Rendez-vous de Béziers, visant à faire s’entendre entre elles des droites n’y ayant pas toujours vocation, qu’en conclure ?

Que devant un front de droite – les deux scrutins régionaux plus haut évoqués –, il faudrait aller puiser dans le réservoir électoral de gauche ? À quelques autres milliers de voix près, cela n’a pas fonctionné.

Que devant un autre front, autrichien et de gauche, le même électorat de droite se reporterait de manière quasi automatique sur un candidat dissident ? La martingale ne fut pas plus gagnante. À croire que ce n’est pas plus à gauche qu’à droite que se concluent les alliances, mais tout simplement au cœur du peuple.

Après, il sera toujours licite de se défouler sur les médias dominants qui ne trouvèrent rien à redire quand, de 1983 à 1986, les élus du FPÖ conclurent une alliance gouvernementale avec les sociaux-démocrates du SPÖ, avant d’aujourd’hui pousser des cris de cochons écorchés vifs.

Alors, en finir avec un système de plus en plus sclérosé, auquel plus personne ne croit vraiment et qui ne survit encore que par des réflexes « antifascistes » d’un autre âge, bien sûr. C’est un peu dans le vent de l’Histoire, comme disaient les communistes de naguère. Il est vrai que, partout dans le monde, triomphent les populismes ; en Russie hier, aux USA aujourd’hui, et même en Angleterre entre-temps…

Il en est encore une autre évidence : quand un candidat inattendu fait jeu égal avec le reste de l’échiquier, que le faible emporte quasi match nul contre le fort, c’est toujours le faible qui gagne. Et le fort qui ne recule que pour mieux sauter. Quitte à ces médias dominants de négliger l’affaire et de pratiquer la politique de l’Autriche, juste histoire de sauver leurs plumes. Pour l’instant.

Rendez-vous en 2017…

Nicolas Gauthier

Source : Boulevard Voltaire

Xavier Raufer : « Avec les islamo-gauchistes, désigner l’ennemi devient difficile… »

Durant son audition, le 10 mai dernier, devant la commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale, Patrick Calvar, le patron de la direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), a exprimé ses craintes d’un nouvel attentat terroriste sur le sol français. Mais, chose étonnante, il a conclu sur la nécessité de combattre « l’ultra-droite » qui n’attendrait, selon lui que « la confrontation ». Réaction de Xavier Raufer.

Source : Boulevard Voltaire

En Autriche, les Turcs ne comprennent que le turc mais votent écolo

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Source : Le salon beige

mardi, 24 mai 2016

Ribéry : « Ce n’est pas évident de trouver du jambon hallal ! »

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Si toutes les interviews des convertis étaient de ce tonneau, on rirait un peu plus : une perle par phrase ! Même s’il s’agit d’une parodie, on peut ne pas bouder son plaisir car Ribéry est tellement sot que cela paraît plausible. Et puis, quelqu’un qui appelle son fils « Glaive de l’islmam » ne mérite ni considération ni égards.

Franck Ribéry : « Je suis devenu musulman mais ça me manque de ne plus manger de poulet »

Entretien exclusif avec Franck Ribéry. Pour FootballFrance.fr, le joueur du Bayern Munich est revenu sur son parcours. Extraits.
C’est la première fois depuis de longs mois que Franck Ribéry accepte de répondre aux questions d’un journaliste français. L’ancien international tricolore s’est livré dans un entretien vérité sans langue de bois à paraître en mai prochain dans les kiosques.
En exclusivité, FootballFrance.fr vous dévoile quelques extraits de l’interview qui a été enregistrée le weekend dernier à Munich, au domicile de Franck Ribéry.
Franck Ribéry est revenu sur les raisons qui l’ont poussé à couper les ponts avec la France :
« Le traitement médiatique français m’a beaucoup blessé. Cela a même blessé mon entourage qui m’entoure. Je suis un grand joueur respecté dans tous les pays du monde sauf en France, c’est comme si Messi n’était pas aimé au Brésil. »
Franck Ribéry : « Je fais beaucoup de fautes d’orthographe à l’oral »
Pour l’ancien joueur de l’OM, les personnes le jugent sur ses choix de vie et non sur ses performances sur les terrains :
« Beaucoup de personnes me critiquent souvent à cause de mes fautes de français. C’est vrai que je fais beaucoup de fautes d’orthographe à l’oral, mais moi mon métier c’est footballeur, pas dictateur. Sinon j’aurais été Bernard Pivot. Dernièrement j’ai confondu des perles de bains avec des Dragibus, j’ai fini à l’hôpital et pendant ce temps-là on se moquait de moi en France. »
Le milieu de terrain bavarois veut être jugé pour ses performances sur les terrains :
« Certaines personnes me jugent même sur mes choix de vie, sur le fait par exemple que je me sois reconverti à l’Islam. Quel est le rapport avec mes performances dans le football ? Qui sont-ils pour me juger ? Ce sont juste des convictions personnelles, la religion est un choix de vie basé sur les concessions. Etre Musulman c’est ne plus manger de poulet, ce n’est pas évident pour moi, ancien fan du KFC. Et cerise sur le pompon, j’adore les croque-monsieur, et je dois avouer que ce n’est pas évident de trouver du jambon halal. »
Franck Ribéry souhaite revenir encore plus fort en 2016 :
« Je suis blessé depuis plusieurs mois, les matchs me manquent. Je vais revenir encore plus fort. Je fais beaucoup d’exercices individuels tout seul, je vais nager tous les matins à la pisciculture et je fais des pompes. Je souhaite apporter le maximum au Bayern Munich et ainsi terminer ma carrière dans ce grand club. »

Source : Résistance républicaine

Une « révolte populiste » contre l’immigration est prédite par l’ancien directeur du Secret Intelligence Service

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Sir Richard Dearlove est l’ancien chef du MI6, service secret britannique.

Lors de l’émission « World On the moove » de la BBC, cet officier de renseignement a annoncé que l’Europe fera face à une «révolte populiste» si elle ne met pas fin à l’afflux d’immigrés. Or, au stade actuel, les prévisions considèrent que des millions de nouveaux immigrés vont affluer en Europe au cours des cinq prochaines années.

« Si l’Europe ne peut pas agir de concert pour convaincre une majorité importante de ses citoyens qu’elle peut maîtriser sa crise migratoire alors l’UE se trouvera à la merci d’un soulèvement populiste, qui est déjà en gestation » a-t-il déclaré.

Sir Richard Dearlove a également mis en garde contre le fait de dispenser les ressortissants turcs de l’obligation de détenir un visa pour voyager en Europe. L’ancien directeur des services secrets britanniques a comparé cet accord avec la Turquie au fait de stocker de l’essence à côté d’un feu.

Source : MPI

Les Suisses toujours plus attachés aux Bilatérales

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Selon un sondage, 63% des Suisses sont favorables à une mise en œuvre flexible de l’initiative UDC.

S’ils votaient aujourd’hui, seuls 36% des Suisses soutiendraient l’initiative «Contre l’immigration de masse» (47% contre, 17% d’indécis). Pour mémoire, 50,3% des citoyens l’avaient acceptée en février 2014. Depuis, le vent a tourné, si l’on en croit un sondage de GfS.Bern mandaté par Interpharma.

Cette étude est la troisième du genre. «La majorité en faveur de l’initiative baisse depuis 2014, lentement mais de façon continue», précise Claude Longchamp, de l’institut GfS.Bern. Le chercheur ajoute dans la NZZ am Sonntag, qui publie l’enquête: «Les arguments économiques prennent davantage de poids dans l’évaluation des Bilatérales.» Plus de 80% des sondés s’expriment ainsi pour une collaboration avec l’Union européenne (UE) sur la base des accords actuels. Conséquence, 63% privilégient une application flexible de l’initiative UDC. Seuls 31% soutiendraient une mise en œuvre stricte, qui risquerait de compromettre les Bilatérales. En ce qui concerne l’extension de la libre circulation à la Croatie, 60% la soutiennent. Rappelons que celle-ci a été acceptée au Conseil national, mais que la commission compétente des Etats hésite, alors que son plénum doit se prononcer en juin.

Soutien romand

Ce sondage confirme une tendance mise en évidence à plusieurs reprises. Au début du mois, l’analyse Vox montrait encore que, s’ils devaient choisir entre les accords bilatéraux et la mise en œuvre de l’initiative UDC, deux tiers des Suisses privilégieraient les premiers. Ce soutien est plus marqué côté romand. Et, précise le politologue Pascal Sciarini, il est davantage important chez les sondés les plus âgés et chez ceux qui font confiance au Conseil fédéral.

Le Genevois appelle à la prudence, estimant que l’opposition à l’initiative UDC est certainement surestimée. «Mais les gens ont une perception plus claire des conséquences de ce vote. Ses effets sur les programmes Erasmus et Horizon 2020 ont montré que Bruxelles ne bluffe pas.»

Proposition tessinoise

«Le discours des milieux économiques commence à être entendu», se réjouit pour sa part le conseiller national Laurent Wehrli (PLR/VD). Une application flexible de l’initiative? Le PLR cite le modèle proposé par le Tessin, qui prévoit des mesures spécifiques aux régions et aux secteurs économiques plutôt qu’une mise en œuvre homogène.

Pour son collègue Carlo Sommaruga (PS/GE), le Conseil fédéral peut désormais se montrer plus offensif. Et même retourner devant le peuple avec une solution «qui pourrait en partie effacer le premier vote». Dans l’immédiat, le conseiller aux Etats Filippo Lombardi (PDC/TI) voit dans ce sondage un appel à ce que la Chambre haute ratifie l’accord d’extension de la libre circulation avec la Croatie. Et au-delà? «Il y aura toujours plus d’initiatives difficiles à appliquer de façon littérale. Dans de tels cas, il est du devoir du parlement et du Conseil fédéral de trouver une solution. Ensuite, les initiants peuvent lancer un référendum s’ils ne sont pas satisfaits.»

«Ce que je vois, c’est que le peuple a accepté notre initiative en 2014. Et que les gens expriment toujours plus un besoin de maîtriser l’immigration», réplique Yves Nidegger (UDC/GE). Les relations avec l’UE? «L’UDC y est elle aussi attachée. Mais la question est de savoir si la libre circulation est acceptable ou pas. Quant à la souplesse dans l’application de notre initiative, il en faudra des deux côtés.»

Caroline Zuercher

Source : 24heures.ch

L'avertissement viennois

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Après la Hongrie, la Slovaquie, la Pologne, l’extrême droite autrichienne vient d’enregistrer hier un score historique à l’occasion de la présidentielle. Au moment où ces lignes étaient imprimées, le suspense n’était pas encore terminé. Mais quel que soit le résultat final publié aujourd’hui, le score de Norbert Hofer, le candidat du FPÖ autrichie, constitue, en soi, un tournant dans le paysage politique européen.

Depuis quinze ans, les spécialistes de la science politique scrutent et annoncent, élection après élection, la montée de forces nouvelles dites « populistes » ou « d’extrême-droite ». Ces forces n’ont pas toutes une histoire enracinée dans les mouvements totalitaires du XXème siècle. Mais elles ont une série de thématiques en commun, que les récentes crises économiques, terroristes  et migratoires ont rendu séduisantes. Le rejet de l’immigration, de l’islam, du multiculturalisme. Le refus de la mondialisation, de Bruxelles, de la finance. Le culte du référendum et une vision ethnique de la nation. Ce qui leur permet d’ailleurs de jongler habilement entre l’autonomisme régional et le patriotisme national.

L’annuaire de ces partis est de mieux en mieux connu. Du Front National aux Vrais Finlandais, de la Ligue du Nord italienne aux Parti Populaire Danois en passant par l’UDC de Suisse, le PVV hollandais ou le Jobbik hongrois, la liste est longue.

Certains de ces partis gouvernent déjà, dans les anciens pays communistes. A Varsovie, Budapest, Bratislava. Certains ont rejoint des coalitions de gouvernement, en Finlande, en Norvège. D’autres conditionnent fortement l’agenda politique (Pays-Bas, France, Italie). Même l’Allemagne, depuis la percée de l’Alternativ für Deutschland aux dernières régionales, n’est plus épargnée. La poussée autrichienne n’est donc pas isolée.

Populisme, le mot magique

Elle n’en est pas moins très préoccupante. Certes, cette poussée se nourrit pour une bonne part d’une colère des électeurs, justifiée à bien des égards. Certes, le vote viennois confirme, de manière éclatante, un effondrement des partis traditionnels de gouvernement, à gauche comme à droite, au profit de forces plus radicales. C'est d'ailleurs le principal défi que pose ce signal, il est lancé aux formations démocratiques qui n'ont manifestement pas su se rénover suffisamment, ou agir avec suffisamment d'efficacité, pour mériter l'onction populaire.

Mais ce qui est en cause à Vienne, et dans plusieurs autres capitales européennes, ce n’est pas la validité du vote populaire, condition nécessaire, bien que non suffisante, de la vie démocratique. C’est le sentiment diffus, et pour une part fondé, que ces partis émergents ne constituent pas seulement un renouvellement de la classe politique, ils seraient potentiellement porteurs d’un agenda autoritaire caché. Est-ce le cas? Pourquoi ?

D’abord, parce que l’Histoire du XXème siècle pèse encore. Voir l’Autriche dirigée par le représentant d’un parti fondé en 1955 par d’anciens nazis crée un profond malaise. Le FPÖ, un parti néonazi ? Bien sûr que non ! C’est trop grossier comme ficelle. Tellement grossier que cela exonère le FPÖ de renier ses origines, et les partis traditionnels d’apporter les réponses aux questions posées par les électeurs sur les sujets qui fachent, notamment l’immigration.

Ensuite, ce sentiment est fondé parce que certaines droites radicales menacent déjà les fondements de la démocratie parlementaire, libérale et constitutionnelle. C’est le cas de Viktor Orban en Hongrie, et du nouveau gouvernement polonais.

Enfin, parce que le mot « populisme » est un piège habilement récupéré par ces formations anti-élites. Ce mot, en les nommant, les sert. Qui, en démocratie, peut prétendre se positionner contre le peuple ? Or, aplatir la démocratie au seul rendez-vous électoral ou référendaire, comme le font ces nouvelles forces, c’est prendre le plus sûr chemin vers la démocratie autoritaire. Poutine et Erdogan en sont l’illustration parfaite. Avant eux il y eut même pire en Europe. A Vienne, notamment.

Source : Ouest Fance

Eagles of Death Metal : la bien-pensance a encore frappé

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Le massacre du Bataclan n’a pas fini de faire partie de lui. Jesse Hughes, le leader du groupe Eagles of Death Metal dont les membres avaient échappé à la tuerie, vient de déclencher l’ire de deux festivals français de musique. Rock en Seine et le Festival du Cabaret Vert de Charleville-Mézières viennent purement et simplement d’annuler leurs concerts. C’est un tweet de François Missionnier, le créateur de Rock en Seine, qui nous le confirme : « En désaccord total avec les récents propos tenus à un média américain par Jesse Hughes, le chanteur des Eagles, les deux festivals ont décidé d’annuler les concerts du groupe. »

Claude Askolovitch vient d’en rajouter une couche en tweetant : « C’est en allant écouter un vieux con que des dizaines d’innocents ont rencontré leurs assassins. » Il est vrai que ce polémiste a largement pris une positon pro-islamiste dans son livre Nos mal-aimés. 

Mais qu’a donc déclaré le chanteur pour déclencher un tel séisme ? Je vous le donne en mille : Jesse Hughes s’est permis de critiquer l’islam. Il a osé accuser l’islam d’être responsable du carnage parisien.

Que l’on ose inviter un rappeur anti-français dont l’ancêtre « poilu » fait polémique et qui n’hésite pas à insulter la France et ses mécréants, rien n’est plus normal pour notre Président et ses médias. Mais que l’on ose signer un contrat avec un Jesse Hughes islamophobe dépasse tout entendement. Et pourtant, ce qu’il a déclaré au webmagazine libertaire Takimag.com n’a rien de scandaleux, à moins de mépriser la vérité. Car qui assassine chaque jour à travers le monde, souvent dans des conditions abominables (on l’a encore vu cette semaine avec 25 Irakiens plongés vivants dans des bacs d’acide !) ? De braves athées ? Des catholiques un peu trop vertueux ? Des bouddhistes ? Et au nom de quel prophète ? Moïse ? Élie ? Ézéchiel ? Jérémie ?

Jesse Hughes n’a donc énoncé que la vérité de ce qu’il a vu et vécu. Missionnier et ses amis auraient-ils préféré que les musiciens des Eagles of Death Metal tombent sous les balles des fous d’Allah ?

Voici quelques phrases extraites de l’entretien que Jesse Hughes a accordé à Takimag.com. Un entretien très intéressant sur le déroulé du massacre. Jesse avait repéré les assassins dans l’après-midi au cours des répétitions. Il pense même qu’ils avaient des complices parmi le personnel pour avoir eu accès aussi facilement à la salle du Bataclan.

« La crainte d’offenser les musulmans est la meilleure arme des terroristes… Nous préférons mourir que d’être considérés comme intolérants. Le politiquement correct tue ! ». Puis Jesse parle de l’argent arabe qui agit comme un polluant. Sur nos stades, dans les films. « George Clooney ne baise pas le cul des Arabes sans raisons. Les films américains sont la meilleure façon d’influencer les cœurs et les esprits. Vous ne voyez jamais les méchants dans les films qui sont des terroristes arabes. Ils sont toujours allemands ou français. »

« Les Français sont tellement préoccupés par le racisme qu’ils se laissent assassiner par les musulmans ! Le lendemain, au stade, les musulmans ont hué la minute de silence. La presse en a à peine parlé. J’ai vu des musulmans célébrer les attentats dans la rue alors qu’ils étaient en train de se produire. Je l’ai vu de mes propres yeux. En temps réel ! »

Et de conclure : « L’islam crie au loup sur l’islamophobie, pour nous anesthésier et faire de nous une proie plus facile. Les musulmans savent que nos gamins blancs sont stupides et aveugles, gavés depuis la maternelle par un environnement libéral. » 

Curieusement, Hollande l’islamophile n’a pas déclaré qu’il ferait tout pour sauver le soldat Jesse Hughes afin qu’il réintègre Rock en Seine.

Floris de Bonneville

Souce : Boulevard Voltaire

 

Rome : des dizaines de milliers de jeunes italiens dans les rue aujourd'hui à l'appel de la Casa Pound

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Une énorme manifestation a rassemblé un nombre impressionnant de jeunes néo-fascistes dans les rues de Rome samedi 21 mai. Parmi les nombreuses banderoles, signalons-en une rendant hommage à Dominique Venner. Cette marche était organisée par Casa Pound , elle s'inscrit dans le vaste mouvement de prise de conscience nationale et identitaire des peuples d'Europe.

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Rappelons aussi que notre camarade Gabriele Adinolfi sera samedi prochain 28 mai à Paris

Source : Synthèse Nationale

A Madrid samedi, ils étaient des milliers pour défendre l'identité de l'Espagne...

Plusieurs milliers de Madrilènes ont manifestés hier samedi pour défendre l'identité espagnole à l'appel du Hogar social, mouvement comparable à Casa Pound à Rome

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Souce : Synthèse Nationale

A Ouistreham (14) les militants du Parti de la France disent non à l'ouverture d'un centre pour clandestins...

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Suite à l'annonce de l'ouverture d'un centre pour clandestins dans la petite ville de Ouistreham, les militants de Parti de la France du Calvados ont organisé en quelques jours une riposte qui n'est pas passée inaperçue. Samedi, ils ont manifesté dans le centre de la commune et entrainé ainsi l'approbation de nombreux habitants qui n'ont pas envie de voir leur cité transformée en Calais local.

Il y a quelques semaines le PdF avait mené une action similaire à Buzancay dans l'Indre, commune confrontée au même problème.

Le parti de Carl Lang fait preuve d'un dynamisme certain depuis son congrès national du 7 mai dernier . Il s'impose ainsi comme une force crédible d'opposition à l'immigration incontrôlée.

Source : Synthèse Nationale

La nouvelle mosquée El-Moustapha du quartier de Montreynaud de Saint-Étienne

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Le quartier de Montreynaud à Saint-Étienne a désormais sa mosquée. Les fidèles y viennent prier depuis juillet 2015, mais ce samedi, c'était le jour de l'inauguration en présence des élus comme le maire Gaël Perdriau et les représentants de l'Église dans la Loire également.

C'est l'association cultuelle des musulmans de Montreynaud Saint-Étienne qui a financé l'édifice à 100% dans un quartier de 8.000 habitants dont la majeure partie sont des musulmans. La mosquée El-Moustapha a coûté 1 million 400.000 euros et l'ACMMSE a pu bénéficier des dons de certains habitants du quartier. "Ils ont donné plus que leur capacité" souffle Radouane un fidèle. "Parfois des mois de salaire, parce qu'ils ont vraiment voulu voir naître ce projet" termine Radouane.

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Avant l'ouverture de la mosquée El-Moustapha (voir galerie-photos ci-dessous) dans le quartier à deux pas de l'église, les musulmans allaient prier dehors ou dans d'autres salles plus loin de chez eux. Aujourd'hui Hocine prie dans sa mosquée. Des prières en arabe et en français. "La plupart des gens ici sont francophones. Ce qui est profitable pour eux, c'est qu'ils puissent comprendre ce que l'Imam souhaite faire passer comme message. Donc le sermon se fait en arabe mais est traduit en français tout de suite après" explique celui qui prie une fois par semaine à la mosquée, le vendredi. Dans un petit bureau de la mosquée, une télévision diffuse les images des caméras de surveillance. Contexte oblige. Rachid Belhadj est le trésorier de l'association : "Nous avons 5 caméras extérieures et une à l'intérieur qui ne filme que l'Imam. Les caméras filment pratiquement tout le tour de la mosquée".

Source : iislammessage

Mosquée d'Hénin-Beaumont : les militants du Parti de la France dénoncent la trahison du maire FN !

Vendredi 20 mai, les militants du Parti de la France, emmenés par Jean-François Vendeville, membre du Bureau Politique du PdF, ont collé des affiches anti-islamisation et distribué plusieurs milliers de tracts dénonçant la trahison du maire FN d'Hénin-Beaumont (62), Steeve Briois, qui a accordé sans tenter aucun recours le permis de construire à la mosquée Ennsar le 7 mars dernier .

Cette trahison prouve que le néo-FN de Marine Le Pen pratique le clientélisme politique et islamique au même titre que les autres partis politiques, alors même que les Héninois et Beaumontois lui ont accordé leurs suffrages afin de préserver leur identité française. Ceux-ci ont d'ailleurs réservé un excellent accueil à nos militants et ils se disent « dégoutés » de l'attitude de leur municipalité face à l'islamisation de leur ville.

Le Parti de la France entend dénoncer toutes les impostures, en particulier celles qui visent à mentir aux patriotes français pour obtenir leurs suffrages et ensuite pratiquer la même politique de collaboration avec l'invasion migratoire et islamique que ceux qu'ils feignent de combattre en période électorale.

Nous avons le droit et le devoir, en tant que Français, de défendre nos traditions, notre culture et notre mode de vie. Avec le Parti de la France, refusons la colonisation migratoire et l’islamisation de la France !

Voir les images ici

Immersion dans le "Hofer Land", l'Autriche qui vote extrême-droite

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De Vienne, la capitale, au Burgenland, région d’origine du candidat d’extrême droite Norbert Hofer, plongée dans cette Autriche qui s’apprête à porter un populiste à la présidence.

Trois cicatrices. Fines et blanches. Deux sous la joue gauche, une autre au-dessus de ses lèvres finement dessinées. Conséquences de rituels élitistes pratiqués par la fraternité d'extrême droite très fermée de l'Olympia dont la devise est "Allemand, uni, fidèle et sans crainte". "Des jeux stupides et infantiles", rien d'autre, selon Dietbert Kowarik, désormais cadre du Parti autrichien de la liberté (FPÖ), à Vienne. Le responsable du 15e arrondissement de la capitale est joli garçon. Grand, mince, le teint pâle, la coupe de cheveux quasi militaire. Costume gris cintré, cravate bleue à pois blancs et chemise blanche. Allure irréprochable, élégance naturelle. Le double juvénile, et sans la canne, de Norbert Hofer, arrivé en tête du premier tour de la présidentielle autrichienne.

L'assistance, regroupée autour de lui comme tous les mois depuis dix ans chez Bieriger, une auberge populaire du quartier de Rudolfsheim, est sous le charme. Une trentaine de convives dont un tiers de femmes. "On est fier que les gens simples qui votaient pour le Parti socialiste, alors qu'il ne l'est plus depuis longtemps, viennent désormais vers nous." Dietbert Kowarick a la victoire modeste et prudente. L'écart entre Hofer et son rival, le vert Alexander Van der Bellen s'est resserré tout au long de la semaine, suscitant une sourde inquiétude chez les militants du FPÖ. "Ça va être juste mais on va gagner", souligne tranquillement Dietbert Kowarik.

Pas de questions taboues pour ce clerc de notaire, d'ascendance bohême, fils d'un député FPÖ, petit-fils du premier secrétaire général du parti dans les années 1960. "La politique n'est pas un métier mais mon destin." L'animal politique dénonce les "atteintes injustes" de la presse internationale et "son traitement partial" du scrutin. Tout juste ses joues s'empourprent-elles quand est mentionné l'Olympia, cette corporation estudiantine ouvertement pangermanique, et le racisme ambiant en Autriche en ce moment. "C'est justement le contraire, ce sont les Autrichiens qui le subissent. Les femmes ne peuvent même plus aller au square."

La prestance de Kowarik, la facilité à éviter les chausse-trapes collent parfaitement à cet objectif que le FPÖ est en passe d'atteindre après des années de toilettage : être un parti comme les autres. Pour se débarrasser de l'image d'épouvantail d'extrême droite "que certains s'obstinent à lui coller". "Je ne suis pas pour ces distinctions gauche droite, poursuit l'élu, ce sont des frontières qui s'estompent. La preuve : dans notre programme, nous avons des propositions jugées très à gauche et d'autres non." Le public de cette soirée à connotation plus populiste que réellement d'extrême droite est, à lui seul, une victoire. Il y a là un médecin, des retraités, des artisans, des cadres ou encore des entrepreneurs. "Le FPÖ touche tous les segments de la population, nous sommes au pouvoir dans certains Länder, nous avons prouvé notre compétence."

"L'Autriche d'aujourd'hui est terriblement clivée"

Parmi les participants, le plus jeune, Riccardo, 16 ans, venu tout seul comme un grand. En apprentissage dans une entreprise d'informatique, le jeune homme ne veut pas se contenter de mettre son premier bulletin de vote dans les urnes dimanche, mais demande aussi à être assesseur. Son voisin, un monsieur de 77 ans, passé de la gauche à la droite classique, vote désormais FPÖ. Le père de Charles Bohatsch s'est battu sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale, finissant même sur le plus meurtrier, le front russe. "Notre région a été libérée par les Russes. Toutes les femmes ont été violées et puis on a eu à subir les bombardements des alliés." Soupirs. Il est clair que cet ancien journaliste se souvient de cette époque avec souffrance et amertume. Mais sans hostilité envers les Allemands. C'est sans doute là que réside la force du FPÖ, cette capacité à surfer sur une fibre nationaliste qui joue sur les ambiguïtés d'un passé mal digéré. "Je veux que l'avenir de mes petits-enfants soit assuré, c'est la raison pour laquelle, je vote FPÖ." Le fils de Charles votera comme lui mais sa fille donnera sa voix à Alexander Van der Bellen, le candidat vert. "L'Autriche d'aujourd'hui est terriblement clivée."

Sauf dans le Burgenland, le fief de Norbert Hofer. Les résultats du premier tour en sa faveur ont de quoi faire tourner les têtes. Plus de 60 % dans certaines communes. Le Burgenland, région de vignobles, où la collaboration avec les nazis pendant la guerre fut intense. Comme à Rechnitz, où 600 juifs furent contraints aux travaux forcés. Où, dans la nuit du 24 au 25 mars 1945, peu de temps avant l'arrivée de l'Armée rouge, les nazis massacrèrent quelque 200 juifs hongrois. Un massacre précédé d'une grande fête dans le château de la ville, désormais détruit. Le Burgenland, une région frontalière où la population parle allemand, hongrois, slovène et croate. Sans oublier la communauté rom extrêmement présente. C'est à Oberwart, une ville de moyenne importance, et qui a voté pour Hofer, qu'en 1995, un attentat raciste causa la mort de quatre Roms. Il y a dix ans, Francis Papai, 67 ans, a frappé à toutes les portes des partis politiques. Seul le FPÖ a répondu. "Ils sont tous venus me voir, Hofer et les autres, chez moi!" Une sœur morte au camp de Ravensbrück, une mère à Auschwitz, et pourtant sa voix ira au FPÖ. Mieux, il est encarté et a raté un poste de conseiller municipal du parti de Hofer, à une voix, en 2015. Le Burgenland est une région à l'identité mélangée où le désir de ne faire qu'un est palpable, où le patriotisme local est exacerbé.

Revirement historique de la gauche sociale-démocrate

Au prix d'une alliance avec le diable. Comme à Pinkafeld, à 120 km de Vienne, la ville natale de Hofer. Le SPÖ (social-démocrate) a brisé un tabou, l'an dernier, lors des élections régionales. Arrivé en tête, il a choisi néanmoins de s'allier avec le FPÖ qui n'avait pourtant obtenu que 15 % des suffrages. Ce revirement historique de la gauche sociale-démocrate sera présenté comme une "expérience". Pinkafeld, un an plus tard, 5.400 habitants, 90 demandeurs d'asile, dont 20 mineurs non accompagnés a voté à 61% Hofer. Wiesfleck, le hameau d'à côté, 649 habitants, a explosé le compteur avec 64% en faveur de Hofer. Kurt Maczek, 61 ans, descendants de grands-parents polonais et maire SPÖ de Pinkafeld se retranche derrière le choix du peuple pour justifier une alliance pointée du doigt. Il n'a donné aucune consigne pour la présidentielle d'aujourd'hui mais son propos est sans ambiguïté. "Le monde en est resté à une lecture de fin 1945 sur l'Autriche. C'est une erreur parce que le FPÖ n'est pas nécessairement un parti d'extrême droite."

Que s'est-il passé? Une insécurité fantasmée face à un taux de criminalité quasi inexistant. Les voilà donc au banc des accusés ces "Asylanten", un mot intraduisible, extrêmement péjoratif et utilisé par Maczek pour désigner les demandeurs d'asile (Asylbewerber). Héritage lexical direct de feu Jörg Haider, l'ancien patron du FPÖ. Le terme est à usage exclusif du FPÖ ou de ceux qui sont hostiles à cette vague de demandeurs d'asile. Tous les acteurs locaux, y compris les partisans d'un accueil des migrants, concèdent que leur arrivée massive l'année dernière et la gestion chaotique, voire inexistante, de la coalition au pouvoir, a quelque chose à voir avec le score vertigineux du FPÖ. "Il y a beaucoup de femmes seules qui subsistent avec 800 € par mois, poursuit le maire de Pinkafeld, et le ressentiment est grand, lorsque les nouveaux arrivants touchent, eux, 2000 €." Un faible taux de chômage, mais la disparition des usines textiles a poussé bon nombre d'habitants de la région à aller travailler à Vienne. Accepter les nouveaux venus, c'est craindre de se faire prendre le peu d'emplois qui reste ou de voir son niveau de vie encore baisser. Le maire, Kurt Maczek, comprend le vote FPÖ.

Face à la mairie, se dresse un magnifique cabinet médical tenu par le docteur Rainer Oblak. Lui et 16 personnes ont monté l'association Pink-up. Un îlot de résistance, le bastion de ceux qui disent "oui" aux étrangers et qui leurs apportent de l'aide. On devine à leurs mines que les rapports sont tendus avec la mairie, que le score du FPÖ est mal vécu. Alors embarrassés le docteur Oblak et ses amis par la perspective d'avoir demain un président d'extrême droite? "Oui, mais si je suis embarrassé, ce n'est pas parce que je suis autrichien mais parce que je suis un être humain et le citoyen d'un pays respectable."

Karen Lajon

Source : Le Jdd

La France avant et après l'islamisation.

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