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samedi, 07 mai 2016

Autriche. Interpellé pour des têtes de porc déposées devant une mosquée

Soupçonné d'avoir déposé deux têtes de porc sur le site d'une mosquée en construction jeudi soir, un homme de 46 ans a été interpellé à Graz en Autriche.

Le témoignage de passants serait à l'origine de l'arrestation de cet homme de 46 ans. Il « a déposé les têtes de porc sur le chantier et souillé le minaret avec du sang », a indiqué un porte-parole de la police locale, alertée par des passants au moment des faits. 

« Il ne s'agit pas seulement d'une attaque contre notre mosquée mais d'une attaque contre toute notre communauté religieuse, ses fidèles et la liberté de religion », a déploré le Centre islamique de Graz sur sa page Facebook.

Propagation des préjugés Les délits racistes recensés par la police ont augmenté de moitié en Autriche durant l'année 2015, au cours de laquelle le pays a été en première ligne des flux migratoires, selon un récent bilan du ministère de l'Intérieur.  La chancelier social-démocrate Werner Faymann a mis en garde vendredi contre le « risque d'une polarisation croissante de la population et la propagation des préjugés ».

Deux crimes -un viol et un homicide- récemment commis à Vienne et dont les auteurs présumés sont étrangers ont concentré l'attention médiatique et politique en pleine campagne électorale pour l'élection présidentielle.  En réaction à ces faits, la coalition gouvernementale entre sociaux-démocrates (SPÖ) et conservateurs (ÖVP) veut présenter dans les prochains jours des mesures visant les demandeurs d'asile auteurs d'infraction et les personnes en séjour irrégulier en Autriche.

Le candidat d'extrême droite (FPÖ) à la présidentielle Norbert Hofer est arrivé, avec 35% des suffrages, en tête du premier tour le 24 avril et est favori pour succéder au social-démocrate Heinz Fischer (SPÖ). Il affrontera un écologiste se présentant sous l'étiquette d'indépendant, Alexander Van der Bellen, au second tour le 22 mai.  Les candidats SPÖ et ÖVP ont été éliminés.

Source : Ouest France

Hauts-de-Seine: trois blessés dans une fusillade à Colombes

Trois personnes ont été blessées par balle ce jeudi après-midi dans un quartier populaire de Colombes (Hauts-de-Seine) par le conducteur d’un deux-roues qui a pris la fuite, a-t-on appris de source policière. La fusillade s’est déroulée en fin d’après-midi, boulevard Charles-de-Gaulle, dans un quartier de la ville connu pour abriter d’importants trafics de stupéfiants.

Deux voitures et un deux-roues se sont arrêtés devant un groupe de jeunes et le conducteur du deux-roues a mis pied à terre, tirant sur le groupe. Les trois blessés, qui présentaient des blessures légères par balle, se sont présentés d’eux-mêmes à l’hôpital Louis-Mourier de Colombes, selon une source proche de l’enquête.

La fusillade s’est déroulée dans le quartier populaire de Petit-Colombes, classé en zone de sécurité prioritaire et en pleine rénovation urbaine.

Source : Boulevard Voltaire

Arabie saoudite: une cellule "terroriste" démantelée près de La Mecque, 4 morts

Les forces de sécurité saoudiennes ont démantelé jeudi près de La Mecque une cellule « terroriste », dont quatre membres ont trouvé la mort, a annoncé le ministère de l’Intérieur. Deux autres suspects, liés à cette cellule, ont été arrêtés dans la région de Jeddah, sur la mer Rouge, a ajouté le porte-parole du ministère dans un communiqué publié par l’agence officielle SPA.

Les forces de sécurité, engagées dans une chasse aux « terroristes », ont lancé jeudi un raid contre un repaire de la cellule « terroriste » près de La Mecque, a indiqué le porte-parole. Mais les membres de la cellule ont ouvert le feu contre les policiers, qui ont répliqué tuant deux d’entre eux, alors que deux autres ont péri en actionnant leurs ceintures d’explosifs. Cet échange n’a pas fait de victimes parmi les forces de sécurité ou les civils.

Source : Boulevard Voltaire

Deux cellules terroristes démantelées en Tunisie

Deux « cellules terroristes » liées à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), dont l’une préparait des attaques contre des centres commerciaux ou encore des locaux de partis politiques, ont été démantelées dans le nord-ouest de la Tunisie, a annoncé ce jeudi le ministère de l’Intérieur. Neuf personnes au total ont été arrêtées à la faveur du démantèlement de ces cellules ayant prêté allégeance à la phalange Okba Ibn Nafaâ, un groupe lié à Aqmi, selon le communiqué du ministère. L’opération s’est déroulée à une date non précisée dans la région du Kef, frontalière de l’Algérie.

L’une des cellules effectuait des repérages dans le but de perpétrer des attaques contre des « centres commerciaux », des « installations militaires et sécuritaires », des « personnalités » ou encore des « locaux de partis » politiques, a-t-on ajouté. Une « quantité d’explosifs » a été saisie.

La seconde cellule, de cinq membres, procurait « une aide financière » et faisait parvenir « des provisions » à un « groupe de terroristes » retranchés dans la zone montagneuse du Kef, selon la même source.

Source : Boulevard Voltaire

Elections: les indépendantistes revendiquent une victoire "historique" en Ecosse

La dirigeante du Parti national écossais (SNP, indépendantiste) Nicola Sturgeon a revendiqué vendredi une victoire « historique » pour son parti lors de l’élection du nouveau Parlement écossais. Tous les votes ne sont pas encore dépuillés « mais ce qui est clair déjà, c’est que le SNP a remporté une troisième élection consécutive au Parlement (écossais) », a-elle déclaré. « C’est historique pour le SNP », a-t-elle ajouté.

Source : Boulevard Voltaire

Un cadre FN du Var juge les migrants "lâches" et "égoïstes"

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L'ancien directeur de campagne de Marion Maréchal-Le Pen aux élections régionales a publié un message sur sa page Facebook pour réagir à un article de Var-Matin, estimant que les migrants sont "lâches" et "égoïstes". 

Frédéric Boccaletti ne partage pas l'analyse de Var-Matin, c'est le moins que l'on puisse dire. Pour réagir à un dossier sur la situation des migrants publié dans le quotidien régional mercredi, le secrétaire départemental du Front national a dit ce qu'il pensait des hommes qui arrivent en France depuis le début de la crise migratoire : "ces hommes, que beaucoup de médias présentent avec complaisance comme des victimes, voire des héros, sont animés d'un égoïsme exacerbé doublé d'une lâcheté honteuse", affirme-t-il.

Et le cadre FN de prendre un exemple précis en citant l'article, et le cas d'Ehsanullah. Ce migrant "a dû vendre sa maison et sa voiture afin de payer les passeurs. Il se dit fatigué par toute cette violence et cette folie meurtrière. Mais pour cela, il n'a pas hésité à laisser dans son pays d'origine sa mère, ses frères et sa femme... d'autre peut quitter son pays en guerre en abandonnant parents, femmes et enfants ?"

Source : Valeurs actuelles

Sciences Po formera les « ministres du culte » dès septembre 2016

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Dès septembre 2016, prêtres, pasteurs, rabbins, imams et moines bouddhistes pourront s’inscrire au nouveau programme de « formation interreligieuse » de Sciences Po, intitulé « Emouna, l’Amphi des Religions ». Fondée par le rabbin Moché Lewin, la formation regroupe sans distinction « le judaïsme, le christianisme, l’islam et le bouddhisme » dans l’objectif de valider « l’excellence de ses représentants ». Face aux récentes tensions, l’État sonne le glas et rappelle les religions à l’ordre : il faut les soumettre aux « lois de la République ». Le loup entre dans la bergerie !

Et pour cause : la présentation de ce programme réduit d’emblée les religions à des « forces civilisatrices, porteuses d’humanité et d’éthique ». En somme, de simples facteurs culturels. Dépossédées de leurs dogmes, elles s’inscrivent désormais dans un préfabriqué passé, commun à toutes les patries ou les peuples. Et surtout, le rôle indéniable du christianisme dans l’histoire de la France est dissous. « Ça va mieux », de mieux en mieux, en effet, pour le mondialisme et son cortège de fléaux. Comme s’il ne suffisait pas que les programmes scolaires soient épurés des grandes figures historiques de notre pays, afin que les « futurs Montaigne » ne s’y sentent pas trop dépaysés !

« Mobiliser un socle de connaissances utiles à l’exercice de ses responsabilités dans le cadre de communautés religieuses », tel est l’objectif. Or, le rôle des religieux n’est-il pas de servir Dieu, et non l’homme ou ses institutions ? D’étudier les textes sacrés et les langues anciennes, grâce à la théologie (« science de Dieu »), afin de transmettre Sa parole aux fidèles, d’élever leurs âmes, d’assurer leur salut et de cultiver leur foi ? Ici, Sciences Po soumet la religion à des « modalités pédagogiques », une sauce républicaine aromatisée de spiritualité ; une leçon destinée à se propager au cœur des communautés, par le biais d’agents for(ma)tés. Ainsi, les grands prêtres de la République distilleront aux « ministres du culte » toutes leurs compétences pour diriger leurs fidèles grâce aux notions de « management », de « leadership », et de « négociation » infusées par l’institution.

Écarté de la société, le sacré se trouve désormais empoisonné. Dans L’Enracinement: Prélude à une déclaration des devoirs envers l’être humain

, Simone Weil constatait déjà que la religion, reléguée au domaine privé, était devenue « une affaire de choix, d’opinion, de goût, presque de fantaisie, quelque chose comme le choix d’un parti politique ou même comme le choix d’une cravate ; ou encore qu’elle est affaire de famille, d’éducation, d‘entourage ». Comprenant qu’elle ne pourrait jamais s’en débarrasser, la République tente alors d’y instiller directement son venin de « laïcité à la française », en lavant elle-même le cerveau des religieux.

Virginie Vota

Source : Boulevard Voltaire

Le nouveau marché aux esclaves

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Ainsi donc, la Commission européenne veut mettre à l’amende les pays qui refuseraient leur quota de migrants. Solution un peu fruste qui manque d’élégance. Mais la Paris School of Economics (PSE) – ou PES, en anglais dans le texte bien évidemment – a une autre proposition autrement plus raffinée qui n’a pas connu, à ce jour, la notoriété qu’elle mérite. PES est la sœur de Toulouse School of Economics du prix Nobel Jean Tirole, qui s’est érigé en gardien absolu de l’orthodoxie économique en refusant toute intrusion des sciences sociales dans la discipline au profit des seuls modèles mathématiques, une discipline appelée « économie industrielle » dont le regretté Bernard Marris avait pu écrire que c’était « une secte, dont l’obscurantisme et le fanatisme donnent froid dans le dos. Il n’est pas difficile de repérer le taliban sous l’expert, et le fou de Dieu sous le fou de l’incitation. »

À Paris, PES, c’est l’école de la gauche bien-pensante de Thomas Piketty qui a produit une nouvelle génération d’économistes « de gauche » dont Julia Cagé qui, avant d’épouser ledit Piketty, avait créé une espèce de fondation Terra Super Nova dont les recommandations encore plus délirantes que le think tank du P « S » proposaient de taxer les propriétaires ayant achevé de rembourser leur emprunt…

Là, elle fait mieux. Hillel Rapoport, chercheur à PSE, qui précise qu’il parle « du strict point de vue de l’économiste » et qu’il ne fait pas de politique, propose d’instaurer un marché des quotas de migrants, comme il fut instauré un marché des droits à polluer… qui a donné naissance à la gigantesque escroquerie à la TVA sur les quotas de carbone actuellement devant la justice.

De quoi s’agit-il ? Il s’agit de faire un « matching » entre les souhaits des migrants et ceux des pays. Une sorte de Gault et Millau de la migration qui enregistrerait les souhaits des migrants et ceux des pays d’accueil et les mettrait en rapport par le biais d’algorithmes mathématiques et définissant, par là, le prix à payer par ceux qui n’accepteraient pas leur quota : « Je tiens ici à préciser un élément essentiel : il ne s’agit en aucun cas d’une marchandisation de la personne humaine », déclare notre chercheur qui ne fait pas de politique, tout en précisant que l’addition serait beaucoup plus élevée pour les pays « qui maintiennent une vision sécuritaire et identitaire » sur l’immigration que les amendes que prétend infliger la Commission européenne. Rien de politique dans l’algorithme, donc.

Jamais en retard d’une « innovation sociétale », le groupe des Verts au Parlement européen a accueilli favorablement sa proposition. Et le gouvernement suédois, dont le succès de la politique d’immigration éclate de jour en jour, lui aurait confié une mission.

On est rassurés de voir ainsi les algorithmes mathématiques – qui ne font pas de politique – s’emparer du problème. On ne sait pas encore si ces droits à migrants seront soumis à TVA ! Tout comme on est rassurés des productions de ces écoles qui bénéficient de financements abondants des grandes entreprises et versent des salaires exorbitants à leurs professeurs, qui ne font pas de politique. Rien que des algorithmes.

Claude Rochet

Source : Boulevard Voltaire

Ces manuels scolaires qui accentuent la grande déculturation

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Les nouveaux manuels scolaires sont proprement sidérants. En me promenant sur la Toile, j’ai découvert quelques extraits de ces ouvrages qui servent à instruire nos enfants. Propagande pro-immigration massive, œuvres mal écrites, « revues de presse » orientées… Est-ce ainsi que Najat Vallaud-Belkacem, actuel ministre de l’Education nationale, entend faire des jeunes esprits les citoyens « conscients » de demain ? Ou est-ce ainsi que le ministère rééduque des esprits qui ne sont pas encore formés ? Je penche pour la deuxième solution.

Citons en exemple les manuels de sixième et de cinquième de la collection Colibris, éditée par les Éditions Hatier pour l’enseignement du français. Dans la catégorie « expression orale », les élèves étudieront une chanson de l’artiste belge Stromae, adaptation de Carmen dont je me permets de vous livrer quelques extraits : « Prends garde à toi/Et à tous ceux qui vous like/Les sourires en plastique sont souvent des coups d’hashtags. » Il y a pire, certes. Mais s’agit-il vraiment d’un texte qui mérite d’être étudié en classe, sachant, en outre, que la majorité des élèves écoutent ce chanteur à la maison ? Non. Rajoutons que la chanson est truffée de mots d’anglais, ce qui (vous en conviendrez) est assez étrange pour un cours censé traiter de la langue de Molière.

Autres œuvres d’envergure évoquées dans ces manuels : Le Ventre de l’Atlantique, de Fatou Diome, L’Extraordinaire Voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikéa, de Romain Puértolas ou bien encore Faire l’amour, de Mikaël Ollivier (issu du recueil Des filles et des garçons, de Thierry Magnier, en partenariat avec le collectif Ni putes ni soumises). Les extraits des deux premiers romans mentionnés racontent des histoires de personnes venues en France, immigrés illégaux présentés de façon positive, voire sous les traits de victimes. L’objectif paraît évident : convaincre les enfants du bien-fondé de l’immigration de masse pour qui aurait un cœur. Que les ouvrages soient mineurs et assez mal écrits doit indifférer les « pédagogues ».

Faire l’amour relate un dialogue entre des « jeunes », Tommy et Leïla. Nous sommes loin de la grande littérature quand Tommy, gêné et enamouré de Leïla, déclare : « J’te trouve… Enfin, je t’trouve bonne, quoi ! » Les élèves sont si méprisés par le ministère qu’on leur donne à lire des textes d’une abyssale vacuité. Pourtant, je suis convaincu que les plus modestes auraient tout à gagner à lire de vrais textes et, mieux, qu’ils apprécieraient de les lire si on savait les leur expliquer correctement.

Parmi les exercices proposés, les collégiens sont aussi invités à imaginer l’histoire d’amour de Karim et Léa à travers les âges, « dans l’Antiquité, sous Louis XIV et en l’an 3000 ». No comment. Au moins, les professeurs ne doivent pas s’ennuyer en lisant les copies !

Moins amusants, les désormais fameux exercices de « décryptage des médias ». La revue de presse sur les « migrants » propose un petit jeu des sept erreurs entre deux couvertures, l’une de Valeurs actuelles, l’autre de Télérama. Bien évidemment, tout est fait pour que les collégiens s’indignent du manque d’humanité de Valeurs actuelles. Excusez du peu, même Boulevard Voltaire est cité (preuve que nous sommes lus en haut lieu ?) ! Probablement pas pour être vanté comme étant un des seuls médias libres, n’appartenant ni à l’État, ni à une grande fortune…

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

vendredi, 06 mai 2016

Sortie prochaine du n°9 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jean Mabire

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En hommage à un éveilleur de peuple

Il y a dix ans, le 29 mars 2006, décédait l'écrivain et historien normand Jean Mabire. Homme d'une immense culture et aux convictions affirmées, Jean Mabire fut sans doute l'un des écrivains les plus prolifiques du XXe siècle.

Dans les années 60 et 70, il était encore possible d'aborder certains sujets historiques qui sont aujourd'hui tabous ou sous la haute surveillance des censeurs de l'idéologie dominante. C'était le cas par exemple de la Seconde Guerre mondiale qui fut l'une des matières de prédilection de Jean Mabire.

Mais Jean Mabire était aussi un militant. Très jeune, il s'intéressa à la politique et, dès l'après guerre, il prit fait et cause pour la Normandie, région sacrifiée de ce que l'on appelle "la Libération", dans laquelle sa famille avait ses racines. Déjà, avant l'heure, Jean Mabire était un identitaire.

Son attachement à la Normandie le rapprocha évidemment de la cause européenne. En fait, il fut l'un des premiers à imaginer un nationalisme qui dépasserait le cadre strict de la nation française pour se rallier à la dimension civilisationnelle européenne. Ce n'est pas par hasard que Mabire collabora à Défense de l'Occident, la revue de Maurice Bardèche. Plus tard, il sera le rédacteur en chef d'Europe Action, la revue de Dominique Venner, qui marqua une véritable rupture au sein du mouvement nationaliste et qui donna plus ou moins naissance, au lendemain de mai 1968, à ce que l'on appelle aujourd'hui "la nouvelle droite".

Voilà au moins une des raisons pour lesquelles nous ne pouvions pas laisser passer ce dixième anniversaire sans consacrer un Cahier d'Histoire du nationalisme à cet infatigable éveilleur de peuples qu'était Jean Mabire.

Avec des contributions de :

Pierre Vial, Francis Bergeron, Alain Sanders, Georges Feltin-Tracol, Philippe Randa, Eric Lefevre, L-Ch Gautier...

Sortie le 29 mars 2016

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Source : Les cahiers d'histoire du nationalisme

Plusieurs rendez-vous dimanche à l'occasion de la Fête nationale de Jeanne d'Arc

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Source : Synthèse Nationale

Samedi 7 mai : 3e congrès du Parti de la France à Bagnolet (93)

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Samedi 7 mai, au Novotel de Bagnolet (1, avenue de la République à Bagoolet - 93), se tiendra le 3e Congrès du Parti de la France. Profitez de cet événement pour venir découvrir le Parti de la France et ses cadres. Le matin sera consacré aux élections et aux travaux internes du PdF et à partir de 14h, le Congrès est ouvert à tous.

Afin de faciliter l'organisation, merci d'annoncer votre présence au 06 38 73 25 61

Un stand de la revue Synthèse nationale

sera ouvert sur place

Source : Synthèse Nationale

Le sondage sur l’immigration que les médias veulent faire taire

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Il y a peu de temps, à la sortie d’une réunion politique, républicaine et citoyenne, et alors que les débats avaient tourné autour de l’immigration sans qu’aucun des intervenants n’ait pris le soin d’appeler un chat, un chat, je disais à un ami: Ils n’ont rien compris, le problème n’est pas tant l’immigration, le problème, c’est l’Islam, les muzz, radicalisés ou pas. Les Français, ceux qui ne sont pas muzz, en ont marre des muzz, de l’Islam et du clientélisme de nos politiques vis à vis de cette  » communauté « , c’est aussi simple que cela !

L’ami en question, nul n’est parfait, juppéiste convaincu et donc adepte du Vivre-ensemble, se gratta la tête un instant et me dit le plus sérieusement possible: tu as fort probablement raison.

Et ce matin, ce sondage relayé par le Figaro avec les même questions que celles posées régulièrement par l’IFOP depuis 1989:

  • En 1989, 33% des Français étaient favorables à la construction de mosquées, 20% en 2010, ils ne sont plus que 13% aujourd’hui (-20 vs 1989).
  • En 1989, 31% des Français étaient opposés  » au port du voile ou du foulard dans la rue pour les musulmanes qui le souhaitent « , 59% en 2010, ils sont aujourd’hui 63% (x2 vs 1989).
  • La présence d’une communauté musulmane, une menace ? Oui pour 47% des Français (+5). Seulement, a-t-on envie de dire…
  • L’influence et la visibilité de l’Islam est-elle trop importante ?: Oui à 63% ( + 8 vs 2010 ).
  • Les personnes d’origine musulmane bien intégrées dans la société ? Non pour 68% des Français.
  • Et pour quoi donc mal intégrées ?: De par leur propre refus à s’intégrer pour 67% des Français ( +6%), à cause de différences culturelles trop importantes pour 45% des Français ( ben oui, quoi, y a des Français qui ont encore de la …. dans les yeux ). A cause du racisme ou du manque d’ouvertures des Français ? Oui, pour seulement 14% des Français.

Mais ce qu’il y a de plus caustique, voire d’amusant, dans ce sondage, c’est que les progressions constatées pour ce désamour sont essentiellement dues aux personnes de sensibilité socialiste.

Ainsi, en 2010, 39% des électeurs PS pensaient que la place de l’Islam étaient trop importante, ils sont aujourd’hui 52% à le penser (+13 !). L’élection éventuelle d’un maire musulman choquait 18% des sympathisants socialistes en 2010, elle en irriterait 28% en 2016.

Vous me direz, ouais, mais attention, les attentats, Daesh, les migrants, toussa, … Ben même pas si j’en crois le gars de l’Ifop:  » La dégradation de l’image de l’islam en France n’a pas été dopée par les attentats même si ces événements l’ont confortée. On observe bien un raidissement continu de la société française vis à vis de l’Islam. Ce raidissement était bien installé chez les électeurs de droite et du FN, une nouvelle étape s’ouvre car il atteint largement l’électorat socialiste « . Le phénomène de rejet des muzz et de l’Islam s’inscrit donc dans la durée et il progresse chaque année un peu plus.

Et oui, y en a marre de l’Islam, de plus en plus, et ça ne date pas d’hier. Le problème, c’est qu’ils sont, selon les sources, entre 4 et 7 millions à être de culture musulmane en France. 2 500 mosquées répertoriées ! Le clash, le gros clash, le gros, gros clash est donc à redouter entre cette  » communauté  » et les Français car rien, à court ou moyen terme, laisse penser que ces courbes puissent s’inverser, bien au contraire. Aux politiques d’arrêter les conneries et de prendre leurs responsabilités ! Faute de quoi, ça va forcément swinguer violent à un moment ou un autre. Est-ce ce que nous voulons ?

Corto74 Blogueur corto74.blogspot.fr/
 

Londres, ville monde, devrait élire Sadiq Khan, un maire issu de l'immigration

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Sadiq Khan. Ce nom pourrait devenir célèbre le 5 mai, jour de l'élection municipale à Londres. Il est candidat du parti travailliste à la mairie d'une capitale de plus de 8 millions d'habitants. Sadiq Khan est né à Londres dans une famille venue du Pakistan. Un symbole pour cette ville qui accueille une population venue du monde entier.

Image d’Epinal de l’intégration réussie, Sadiq Khan, qui caracole en tête des sondages, né dans une famille pakistanaise immigrée, pourrait devenir le 5 mai le prochain maire de Londres, sous l’étiquette travailliste. Au-delà du cliché de «premier maire musulman d'une capitale européenne» dont se sont emparés de nombreux médias, la candidature de ce fils d'immigrés est une vraie bouffée d'air dans la vie politique britannique.

Ses origines, mais aussi son col ouvert (on le voit rarement en cravate) détonnent dans un milieu où les diplômés des grandes écoles privées trustent de nombreuses places, à commencer par celle de Premier ministre avec David Cameron, ou le flamboyant maire de la capitale avec Boris Johnson, qui ne se représente pas.

Fils d'un chauffeur de bus
Non, Sadiq Khan n'est pas diplômé d'Eaton ou d'Oxford et n'est pas issu d'une famille richissime comme le candidat conservateur Zac Goldsmith, qui lui est opposé. Il est né en 1970 à Londres dans une famille émigrée du Pakistan, dont le père est chauffeur de bus (la ligne 44 selon le site de campagne) et la mère couturière. «Ma maman cousait des robes pour 50 pence pièce pour apporter de l'argent supplémentaire pour notre famille. C'était difficile, précaire et mal payé. Je veux que mes filles  et toutes les femmes à Londres  aient un avenir meilleur et ne pas avoir à faire les mêmes sacrifices que ma mère a fait pour nous», a-t-il raconté lors de sa campagne. 

Cinquième enfant d'une famille de huit, il grandit dans une HLM d'un quartier populaire de la capitale britannique.

A l'école, il veut d'abord étudier les sciences pour devenir dentiste. Mais un de ses professeurs a repéré son envie d'en découdre verbalement et l'oriente vers des études de droit. Mais l'homme ne manie pas que les mots puisqu'il a aussi fait de la boxe pour se défendre des attaques qu'il pouvait subir en tant que «paki».

Il sera donc avocat, spécialisation droits de l'Homme. Il a d'ailleurs présidé pendant trois ans l'ONG Liberty (pour la défense des droits fondamentaux et les libertés).

Au cours de sa carrière juridique, il a défendu de nombreux cas liés à l'emploi et la discrimination mais aussi plaidé dans de nombreux dossiers contre la police. 

Député, ministre puis candidat


Membre du parti travailliste, il se fait élire député en 2005 dans un quartier de Londres, siège qu’il a conservé jusqu’à aujourd’hui. Il a été ministre en 2008 dans le gouvernement de Gordon Brown. Aujourd'hui, Sadiq Khan est devenu un homme politique reconnu. C’est en 2015 qu’il annonce sa candidature pour la mairie de Londres au nom du parti travailliste, dont il gagne la primaire. 

Dans sa campagne, il met surtout l'accent sur le logement et les transports dont il propose le gel des tarifs et la possibilité de changer de bus avec le même ticket.

Un maire musulman ? Un maire féministe !

Sadiq Khan se définit comme un musulman modéré. Il a d’ailleurs affirmé avoir reçu des menaces pour son vote en faveur du mariage pour tous.
 
«Je n’ai jamais cessé de dénoncer les extrémistes de façon très ferme, avait-il affirmé sur la BBC. J’ai même une fatwa contre moi pour mon combat en faveur du mariage homosexuel. C’est difficile. Mais mon expérience, en tant que musulman britannique, est que Londres est la seule ville au monde ou je veux élever mes filles. Et mon histoire est celle de nombre d’immigrés, d’enfants et de petits-enfants depuis des milliers d’années.» 

Dans de nombreux discours, il a défendu une vision féministe de son mandat, affirmant vouloir lutter contre toutes les discriminations et menaces pesant sur les femmes. «Je serai un fier féministe à la mairie», affirme-t-il en mettant en avant le fait qu'il est père de deux filles.
 

Mais M.Khan est cependant accusé de jouer sur la corde des minorités et pour son appartenance à l'islam. «Ce serait un message phénoménal» envoyé au monde si un musulman était élu à la tête de Londres, a-t-il en effet affirmé. Une position qui lui a valu des critiques car considérée comme communautariste. «Si vous étiez battu, cela signifierait-il que Londres est intolérant?», lui a rétorqué un polémiste.

La presse a tenté aussi de le faire passer pour un islamiste. Des journaux comme le Sun ou l'Evening Standard l'attaquant sur ce thème.

En réponse à de mauvais sondages pour le candidat conservateur, la campagne s'est corsée à l'approche du scrutin. Les accusations contre le potentiel vainqueur se sont faites plus basses. Les conservateurs n'ont pas hésité à reprendre l'idée que derrière le musulman pourrait se cacher l'islamiste: sur ce thème le Premier ministre conservateur, David Cameron, a affirmé que l'on trouvait le candidat travailliste à une réunion au côté d'islamistes, provoquant une jolie tempête politique en Angleterre. Des attaques qui surviennent dans un climat de tension au sein du parti travailliste, plusieurs de ces membres ayant été accusés d'antisémitisme.

Sadiq Khan est «clairement un musulman moderne, progressiste» et les attaques soulevant des questions sur sa religion risquent «de se retourner» contre ceux qui les ont lancées, estime Tony Travers, de la London School of Economics, cité par France 24.

Londres ville-monde
Au-delà des polémiques, l'élection de ce fils d'immigrés, musulman modéré, consacrerait Londres, symbole de la ville-monde dans laquelle les enquêtes montrent la présence d'habitants venus de tous les continents au point, selon certaines études, que les «Blancs» seraient devenus minoritaires. «La proportion de Britanniques blancs a ainsi perdu 13 points en dix ans (45% en 2011 contre 58% en 2001). La part des minorités s’est donc fortement accrue et pas seulement à Londres», notait la démographe, parfois contestée, Michèle Tribalat sur Atlantico. Dans cette capitale qui abrite aussi le plus grand nombre de milliardaires au monde, plus d’un tiers des Londoniens sont nés à l’étranger, confirme Courrier International. Sans compter les «les Britanniques d'origine étrangère, par exemple les enfants ou petits-enfants d'immigrés pakistanais nés au Royaume-Uni», ajoutent Les Echos.

«Un maire de Londres, fils d'un immigré chauffeur de bus, et de foi musulmane, un tel maire serait une réponse sans appel à ceux qui voulaient, il y a 10 ans, détruire notre mode de vie», affirmait-il en présentant sa campagne en référence aux attentats islamistes de 2005 à Londres.
 
Pierre Magnan
 

Mozart censuré pour complaire à la Turquie

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La Turquie serait- elle devenue la nouvelle maîtresse de l’Europe ?

L’air dit « du catalogue » est l’un des plus célèbres du Don Giovanni de Mozart. Rappel de la situation : Donna Elvira, séduite et abandonnée par Don Giovanni, le cherche pour se venger. Don Giovanni s’enfuit, laissant son valet Leporello lui dire la vérité. Pour ce faire, le valet se réfère à une liste des noms des conquêtes de son maître. Il propose à Donna Elvira de la lire avec lui. Donna Elvira découvre qu’elle n’est qu’un élément de la longue liste de femmes séduites et abandonnées. Le texte chanté par Leporello ne contient aucun nom propre, mais des noms collectifs ou des catégories : « En Italie six cent quarante, en Allemagne deux cent trente, une centaine en France, en Turquie quatre-vingt-onze « .

Or, la dernière partie de la phrase vient d’être censurée à Berlin, au Komische Oper qui programme actuellement Don Giovanni. La « Turquie » a été remplacée par la « Perse ». Cette initiative de la direction a été prise pour ne pas offenser la sensibilité des millions de citoyens turcs vivant en Allemagne, mais surtout pour ne pas créer de malentendus diplomatiques avec Erdogan, qui ces derniers mois a exercé de fortes pressions auprès des autorités allemandes et des médias en ce qui concerne l’image de la Turquie dont il convient de ne pas se moquer publiquement.

L’ordre de modifier le texte du livret écrit par Lorenzo da Pont, et donc de censurer le chef d’œuvre de Mozart (ou plutôt, est venu des responsables du théâtre en question, mais la demande émane directement du gouvernement fédéral. Comme si les négociations en cours avec le gouvernement turc pour la gestion des flux migratoires impliquaient l’obligation de ne pas créer une source de tension avec Erdoğan. Même au prix de la censure. La demande du gouvernement était d’effacer complètement la partie « fautive » l’opéra, le théâtre a négocié un compromis, en remplaçant la Turquie par la Perse.

La priorité du gouvernement allemand est, en ce moment, de satisfaire les demandes de la Turquie et la « diplomatie » de Madame Merkel est prête à tout. Même à censurer notre patrimoine culturel.

Cette initiative est choquante a priori et rappelle des souvenirs nauséabonds. Mais le côté ridicule de l’affaire devrait l’emporter et recadrer les auteurs d’une telle décision dans les limites étroites de leur champ de vision, car si les autres chefs d’état sont aussi médiocres, il faut s’attendre à des conséquences tragiques :

  • L’Italie, la France et les mouvements féministes allemands vont demander la suppression du début de la phrase.
  • L’Iran va faire valoir que tout le monde sait que la Perse, c’est eux et qu’une fois de plus l’occident a choisi le camp des Sunnites contre les Chiites.
  • Les Lettres Persanes de Montesquieu vont remplacer « turqueries » dans le Bourgeois Gentilhomme de Molière.
  • Les atlas devront être refondus car La Marche Turque va devenir le Marché Persan.

« Le respect que tu veux obtenir, c’est toi qui en décideras ». Proverbe turc.

Jeussey de Sourcesûre

Source : Riposte catholique

Invasion migratoire organisée : 250.000 euros d’amende par « migrant » refusé

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Pour obliger les pays d’Europe à participer à l’invasion organisée du continent, la Commission européenne a proposé d’instaurer une « contribution de solidarité », dans le cadre de la révision du règlement de Dublin, prévoyant une amende de 250.000 euros par « migrant » refusé.

L’objectif affiché par l’instance supranationale non élue est simple : appliquer de force la mesure de répartition automatique des demandeurs d’asile dans l’Union européenne. Qui pourra donc refuser ? Par exemple, si la France décidait, demain, de ne pas recevoir son quota de référence de 30.000 « migrants », elle devrait payer une amende de 7,5 milliards d’euros. Colossal.

Nul récalcitrant ne sera toléré, tant les pays d’Europe centrale que l’Autriche. Signal a été envoyé aux velléitaires d’accepter le viol de leurs frontières par les cohortes de réfugiés, souvent munis de faux papiers, parfois envoyés par l’État islamique pour commettre des attentats.

La mesure, prise à la va-vite, sans consultation préalable des différents Parlements nationaux des États membres, témoigne de la volonté idéologique de l’Union d’installer durablement des multitudes extra-européennes supplémentaires, sans considération aucune pour l’équilibre identitaire, économique et social des pays concernés. Pis : cette politique ne retiendra pas les candidats potentiels à l’émigration venus du sud, qui seront inévitablement attirés vers une terre promise bientôt condamnée à l’enfer de la récession et à l’atomisation multiculturelle.

Peter Szijjártó, chef de la diplomatie magyare, a déclaré que le projet envisagé par la Commission constituait un « chantage ». Un chantage auquel il ne faut surtout pas céder. Il n’est pas excessif de dire que les États membres de l’Union ont été dépossédés de leurs souverainetés politiques. Qui peut nier que le contrôle des entrées et des sorties d’un territoire national est consubstantiel à la souveraineté ? Personne. Il n’y a donc plus de véritables États-nations en Europe, hors les pays qui refusent de céder aux délires bruxellois.

En outre, comme on pouvait s’y attendre, le pacte germano-turc commence à produire ses effets tragiques. Nous sommes quelques-uns à annoncer depuis plusieurs mois que l’Europe se comporte en dhimmi de la Turquie, payant sa « jizya ». Nous avions raison.

Ahmet Davutoğlu, deuxième cerveau du sultan Erdoğan, était ravi le 4 mai au soir. Il a tout obtenu. Nonobstant les quelques protestations d’usage de la droite européenne, Bruxelles a accepté que les Turcs soient libres de circuler en Europe. Il n’y a même plus de mots pour décrire cette trahison historique qui a conduit les autorités européennes à permettre aux 79 millions de Turcs, musulmans, à la culture éloignée de la nôtre, de pouvoir s’installer sur le continent, tout en essayant de nous faire croire que la décision était prise pour lutter contre l’afflux massif de « migrants ».

Pensez donc que pour diminuer le nombre de nouveaux arrivés en Europe, nous donnons aux Turcs, eux aussi immigrés, la possibilité de venir. Il faut l’écrire deux fois pour réaliser. Nous sommes au bord du précipice, gouvernés par des traîtres. Il faudra un jour les juger.

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

Immigration : branle-bas de combat !

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Le piège infernal de l’immigration-invasion est en passe de se refermer : le 4 mai, la Commission européenne présentait un plan qui signe, sans autre forme de procès, la mort de l’Europe et des peuples qui la composent.

Après l’assouplissement des règles pour l’obtention des visas turcs, celle proposée pour les visas kosovars, voici donc la taxation pour tout pays de l’Union européenne qui aurait l’outrecuidance de refuser son quota de migrants imposé : 250.000 euros par tête de pipe en guise d’une « contribution de solidarité » versée au pays qui, lui, acceptera les réfugiés à sa place ! Autant dire que d’est en ouest et du nord au sud, chaque pays européen se trouve devant un non-choix : continuer de se laisser envahir et à payer quitte à se ruiner, ou ne pas y souscrire et se ruiner. Mais, dans les deux cas, mourir s’avère la finalité.

Alors, l’Europe, dans sa grande mansuétude, peut bien préciser que « ce quota de répartition de référence théorique » prendra en compte la taille et le PIB de chacun des pays membres ainsi que ses efforts déjà fournis en accueil des demandeurs d’asile, elle fixe néanmoins un dépassement de 150 % des demandes d’asile par rapport au quota imposé avant de répartir le trop-plein d’un pays dans d’autres… Natifs comme assimilés sont à bout, la Commission (envers et contre tous) continue.

Qui, en toute honnêteté, devant cet envahissement-engloutissement programmé, peut encore croire aux arguments de « solidarité » et autre gestion de « crise migratoire » ? Les peuples européens, de moins en moins endormis, ne risquent-ils pas, cette fois, de se réveiller et de s’insurger ? Cela serait à même d’expliquer le financement, par la Commission, d’exercices d’entraînement menés par 600 membres parmi les diverses polices de l’Union européenne et des forces militaires « en vue de l’agitation sociale et même de guerre », le dernier ayant eu lieu en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le 15 avril. C’est ce que rapporte le site Breitbart, le 29 de ce mois. Trois du même genre datent, d’ailleurs, de 2008.

En outre – fait pour le moins inquiétant et surprenant -, en 2014, on comptait dans ces exercices de préparation des forces spéciales du Kenya, du Cameroun, du Rwanda, de l’Ouganda et du Soudan. Le plus, cette année, est la présence de gendarmes… turcs et tunisiens. Le but de ces EUPST (European Union Police Services Training/Entraînement des services de police de l’Union européenne) est bien d’« augmenter les qualifications des policiers à se déployer en cas de situation de conflit », aussi bien qu’« en vue de situation de crise internationale ». La guerre, en effet. La devise du l’EUPST ? « Une langue, une procédure commune ». Un avant-goût d’un Ordre mondial, en quelque sorte…

En Angleterre aussi, c’est le branle-bas de combat. Le 15 avril dernier, dans des casernes abandonnées, des troupes de policiers et de militaires se sont préparées à leurs « futures missions », à savoir le « maintien de l’ordre de la communauté et répression des émeutes ». Et dans cette perspective parfaitement prévue, donc, un pays de l’Union européenne victime d’une attaque armée pourra demander de l’aide à ses voisins. Lesquels, de toute façon et compte tenu du traité de Lisbonne, seront obligés d’y répondre. Et dire que l’Europe devait nous apporter « la paix » !

« Nous allons vers une armée de l’Union européenne beaucoup plus rapidement que les gens ne le croient », déclarait le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, en octobre 2015. À comparer les traitements réservés aux réfugiés, qui ne semblent avoir que des droits, avec celui des autochtones qui n’auraient que des devoirs, la concomitance des décisions ci-dessus apparaît, disons… doublement préoccupante !

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire

Communiqué suite à la décision de justice de fermeture de la mosquée de Saint Gratien

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La décision judiciaire du 22 avril ordonnant la fermeture de la mosquée de Saint Gratien assortie d’une astreinte de 800 euros pour chaque violation n’est pas définitive. Le combat continue.

1./ Pour obtenir des décisions de justice favorables, Jacqueline Eustache Brinio a produit des faux Fax

Pour criminaliser l’association des musulmans de Saint Gratien, Jacqueline Eustache-Brinio a produit 3 fax que le service urbanisme nous aurait envoyé pour nous donner rendez-vous. 3 fax, 3 avis de réception en surlignant le numéro où ils ont été envoyés. Ce numéro ne correspond pas à notre fax puisque nous n’en avons pas mais à celui de l’accueil de la mairie ! (voir page contact du site Internet de la mairie) !

2./ La commission de sécurité annulée qui permet à Jacqueline Eustache Brinio de lancer sa procédure de fermeture

Le 17 décembre 2015 une commission de sécurité devait se réunir dans nos locaux. Sans que nous ne sachions pourquoi, elle ne s’est pas déplacée. Les locaux étaient parfaitement aux normes et ne présentaient aucun risque comme l’a d’ailleurs reconnu le Préfet du Val d’Oise Yannick Blanc le 12 octobre 2015. La mise en conformité des lieux n’a pas été prise en compte par le magistrat.

3./ Le nombre de places de stationnement : pas pour les autres cultes !

Après le dépôt du permis de construire, Jacqueline Eustache-Brinio s’est empressée de modifier le règlement d’urbanisme pour motiver ses refus. Les autres cultes de la commune ne sont pas soumis à ces contraintes en termes de stationnement. Ils sont toujours ouverts aujourd’hui.

Lorsque nous étions en négociation pour acheter la propriété voisine (au 3 rue Massenet) et ainsi pallier à ce nouvel obstacle, le maire s’est précipité d’acheter le bien et de signer un acte définitif pour empêcher toute contestation.

4./ L’huissier anti date une notification

L’huissier mandaté par le maire avait jusqu’au 11 février pour notifier la procédure. Il est passé le matin du 12 et a daté son avis de passage au 9 sans envoyer de correspondance par voie postale qui pourrait le trahir.

Conformément à la loi de 1905 sur la Laïcité, « la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes ».

Le maire qui est le premier magistrat de la ville ne peut pas créer les conditions de l’illégalité pour ensuite dire que nous ne respectons pas les règles. Jacqueline Eustache-Brinio ne doit pas non plus faire abstraction de ces condamnations dans ce dossier (et dans d’autres d’ailleurs).

Jacqueline Eustache-Brinio : « Qu’est ce que c’est que ce pays où on oblige à avoir une mosquée dans chaque ville, ils n’ont qu’à aller prier ailleurs ? »

Source : islametinfo

Château-Gontier. La mosquée a déménagé

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Nichée impasse Garnier, à Château-Gontier, depuis 2008, la mosquée est désormais installée avenue de La Libération, dans un bâtiment plus grand et plus sûr.

La mosquée de Château-Gontier vient de déménager. « Impasse Garnier, notre lieu de culte de 60 m2 était assez exigu. Et il ne répondait pas à toutes les normes de sécurité, explique Nadia Hachami-Lemercier, vice-présidente de l’association culturelle Mosaïque. L’association a donc cherché un lieu plus grand. »

Depuis le 30 avril, la mosquée est donc installée au 44 de l’avenue de la Libération, dans la zone d’activités de la Mulonnière. Le local, qui abritait auparavant l’entreprise Dormet, dispose d’une surface de 400 m2, « dont 80 m2 pour la salle de prière ».

On y trouve aussi une grande cuisine, deux salles de réunion et des sanitaires hommes et femmes. Et surtout plusieurs portes de sortie, contrairement à l’ancien lieu qui n’avait que la porte d’entrée.Des peintures ont été refaites et l’isolation devrait être renforcée avant l’hiver. « Le lieu est aussi plus accessible pour les voitures, avec un parking devant le bâtiment. »

« C’est l’association qui a acheté ce lieu avec les fonds des fidèles », ajoute Nadia Hachami-Lemercier. L’ancien local, dont l’association est également propriétaire, devrait être mis en location ou vendu.

Tatiana Guesdon

Source : Ouest France

« Jungle » : les rassemblements interdits à Calais le week-end du 7 mai

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Les rassemblements « ayant trait à la situation migratoire » seront interdits à Calais et dans les communes voisines de Coquelles et de Fréthun du « samedi 7 mai 2016 à minuit jusqu’au dimanche 8 mai 2016 à minuit », a fait savoir jeudi 5 mai la préfecture du Pas-de-Calais.

L’arrêté pris par les autorités « fait suite à l’appel au rassemblement devant le centre de rétention administrative de Coquelles ce samedi lancé par le collectif Calais migrant solidarité [proche de l’ultragauche] et au contre-rassemblement lancé par les collectifs Calais libre et Reprenons Calais [dont certains membres sont proches de l’ultradroite] », argumente la préfecture.

Le camp de fortune de Calais, baptisé « la jungle », accueille deux mille à deux mille cinq cents migrants, selon les estimations. Plusieurs manifestations d’extrême droite se sont déroulées depuis le début de l’année malgré l’interdiction de la préfecture. Elles s’étaient soldées par des interpellations, dont celle d’un général de réserve, Christian Piquemal, qui doit comparaître le 12 mai devant le tribunal de grande instance de Boulogne-sur-Mer.

Source : Le Monde



Feu vert de la municipalité FN de Hénin-Beaumont pour la construction de la mosquée Ennasr

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C’est un projet de longue date qui se concrétise. À Hénin-Beaumont ville dirigée par un maire FN et fief de Marine Le Pen, la communauté musulmane locale n’est pas confrontée comme à Fréjus ou Mantes-la-Ville à l’islamophobie de leurs maires, prêts à tout pour les empêcher d’avoir des mosquées dignes de ce nom.

Steeve Briois a choisi l’apaisement, une ligne radicalement différente de celle de la présidente du parti d’extrême-droite qui appelle pourtant depuis janvier 2015 au « gel de construction de toute nouvelle mosquée ». Un avis que ne partage pas la municipalité frontiste qui a délivré le permis de construire pour la nouvelle mosquée Ennasr le 7 mars dernier.

UN MAIRE ISLAMOPHILE ?

Une nouvelle qui surprend mais pas tellement si l’on suit de très près les rapports entre la municipalité FN et les représentants musulmans héninois.

Dès le 9 janvier 2015 soit deux jours après les sanglants attentats de Charlie Hebdo, Steeve Briois et un de ses adjoints s’étaient rendus à la mosquée Ennasr pour rassurer ses administrés musulmans, les invitant à se joindre à un rassemblement organisé deux jours plus tard par la municipalité.

Une ligne que semble aussi suivre le maire FN du Pontet (Vaucluse) Joris Hebrard puisqu’en avril 2014, lui et une partie de son conseil municipal assistaient à la pose de la première pierre d’une mosquée de sa ville.

Source : des domes et des minarets

Angela Merkel appelle à protéger les frontières de l'UE pour lutter contre les nationalismes

 

Angela Merkel et François Hollande à Bruxelles, à la Commission européenne, le 23 avril 2015.

Deux jours après sa sortie sur le Front National en France, Angela Merkel persiste sa croisade contre les partis d’extrême droite et tous les nationalismes européens. Ce jeudi, a chancelière allemande a appelé à Rome ses homologues européens à « défendre les frontières externes de l’Union européenne », afin d’éviter un « retour aux nationalismes ».

« De la Méditerranée au pôle Nord », cette défense des frontières de l’UE constitue un « défi pour l’avenir de l’Europe », a ajouté la chancelière lors d’une conférence de presse commune avec le chef du gouvernement italien Matteo Renzi.

La question migratoire au cœur de la rencontre

Elle a souligné que l’enjeu en question était « la libre circulation » en Europe telle que l’UE l’a connue avec les accords de Schengen. M. Renzi a pour sa part insisté sur la nécessité d’avoir « une stratégie pour l’Afrique » comme cela a été le cas pour régler le problème de « la route des Balkans », qui portait des centaines de milliers de réfugiés depuis la Turquie vers la Grèce.

« Nous ne sommes pas d’accord sur les formes de financement » du « Migration Compact » proposé par l’Italie, a reconnu M. Renzi, « l’Allemagne refusant les euro-bond » pour financer les pays africains d’origine et de transit des migrants.

Pour le chef du gouvernement italien, « l’important est d’investir en Afrique », alors que les migrants en provenance de ce continent forment l’essentiel du contingent des arrivées dans la péninsule. « L’Italie est favorable à une stratégie à long terme et c’est l’Union européenne qui doit prendre le leadership », a-t-il ajouté.

Les Autrichiens fustigés

L’Italie est favorable à une stratégie à long terme et c’est l’Union européenne qui doit prendre le leadership «, a-t-il ajouté. Dans ce contexte, M. Renzi a critiqué » nos amis autrichiens" pour leur volonté d’installer un dispositif anti-migrants à la frontière commune avec l’Italie, au col du Brenner.

« Ce serait une attitude erronée même s’il y avait une crise migratoire, elle l’est d’autant plus qu’il n’y a pas de crise », a insisté le chef du gouvernement italien, dénonçant « une position anachronique ».

Mme Merkel et M. Renzi ont évoqué de nombreux autres sujets, notamment la préparation des sommets du G7 et du G20 l’année prochaine, le chef du gouvernement italien concluant la conférence de presse en disant : « soit nous gagnerons, soit nous perdrons ensemble » avec l’Allemagne.

20 Minutes avec AFP

Source : 20 minutes

Italie : assurance-auto gratuite pour les migrants

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L’employé d’une agence d’assurance a fait une déclaration choc : « Pour les migrants, l’assurance-auto est gratuite, c’est Caritas qui la leur paye ».

« Je travaille depuis 15 ans dans les assurances et je n’ai jamais vu une chose pareille ».

C’est avec cette phrase que commence la lettre d’un assureur de la province de Pesaro et Urbino qu’il a envoyée au journal “Il Resto del Carlino”.  Cet homme a voulu signaler que, depuis quelques jours, certains réfugiés viennent dans son agence pour demander un devis de police d’assurance auto. Jusque là, pas de problème, mais après, ça se corse : les devis doivent être envoyés à Caritas qui payera l’assurance des requérants.

« Dernièrement il m’est arrivé quelque chose de vraiment bizarre – écrit l’assureur – Depuis quelques jours, des clients extra-européens viennent demander des devis pour renouveler leur RC. Jusque là ok, mais ces assurances seront payées par le Caritas de Fano. Il y a 15 ans que je travaille dans les assurances et une chose pareille ne m’est jamais arrivée. Je pense que tout le monde doit savoir où va la fameuse taxe de 8 pour mille (taxe sur les migrants).

La réponse de Caritas ne s’est pas fait attendre : « Nous payons l’assurance à beaucoup de personnes ayant besoin d’une voiture pour aller travailler. Quand quelqu’un en a besoin, nous ne regardons pas s’il est Italien ou non et nous ne regardons pas la couleur de sa peau ni sa religion. Donc, cette lettre est hors de propos. Si ce monsieur ne veut pas payer les 8 pour mille pour les étrangers, alors qu’il garde son argent ».

Dans la lettre de l’assureur, la situation décrite est une anomalie jamais vue en 15 ans de carrière. Evidemment, le service de Caritas est là pour tout un chacun, mais, certainement, très peu d’Italiens connaissent cette possibilité et peuvent donc en profiter. Par contre, les migrants eux n’ont pas laissé échapper l’occasion.

Traduction D. Borer pour Lesobservateurs.ch

Source ImolaOggi

 

Mosquée incendiée à Mezzavia une plainte et plusieurs pistes

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Le bailleur social Adoma a déposé plainte pour dégradation de bien alors que la police judiciaire poursuit son enquête axée sur trois pistes. Celle de l'acte islamophobe en fait partie mais semble de plus en plus "improbable"

Les enquêtes judiciaires évoluent au gré des éléments recueillis durant les investigations.

S'agissant de celle de l'incendie de la salle de prière de Mezzavia, exploitée par l'association des musulmans de Corse-du-Sud, les mobiles suivent ces avancées.

"Les", car pour l'heure, difficile de privilégier une hypothèse plutôt qu'une autre.

Pour autant, le procureur Éric Bouillard confirme que la piste "crapuleuse est sérieuse".

Se voulant prudent, il se refuse à affirmer qu'il s'agit de celle privilégiée par les enquêteurs de la police judiciaire en charge de l'enquête.

"Trois voire quatre sont toujours exploitées".

Une source proche du dossier le confirme à son tour et voudrait presque lâcher qu'elle est bien privilégiée.

"Il y a par ailleurs d'autres objets, en plus de l'argent qui se trouvait dans la mallette, qui ont été dérobés ce soir-là. Ces vols ne sont pas marginaux", selon lui.

"Il faut également préciser qu'il n'y a pas encore eu le retour des analyses scientifiques et techniques, cela prend du temps", cadre une source judiciaire.

"Pour autant, l'enquête avance grâce à des témoignages, des informations sur le contexte et sur la vie de quartier", poursuit-elle.

Source : Corsematin

Lagny-sur-Marne Les musulmans espèrent la réouverture de la mosquée

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Où prieront les centaines de musulmans pendant le Ramadan, début juin, si la mosquée reste fermée ? Leur avocat a lancé une procédure pour sa réouverture et la mairie négocie avec l'État. En attendant, certains sont obligés de prier dans la rue.

« Le mois du Ramadan est le mois du pardon », lance le président l’association des musulmans de Lagny-sur-Marne, Sidi Mohammed Ramdane. Il souhaite que l’État autorise les fidèles à prier dans la mosquée de manière définitive. « Nous sommes toujours dans l’incompréhension de cette fermeture de mosquée. Notre avocat a lancé une procédure pour obtenir sa réouverture. »

«  Il n’y a plus de danger »

Fermé depuis une perquisition en décembre, le lieu de culte se trouve toujours sur le parking, rue Jean-Mermoz, appartenant à la Ville. Les musulmans n’ont pas le droit d’y pénétrer et la mairie ne peut rien faire des préfabriqués puisqu’ils appartiennent à l’association des musulmans de Lagny dont les avoirs sont gelés.

Des prières de rue à Orly Parc

Sidi Mohammed Ramdane estime que tout est réuni pour que cette situation se débloque. « Il n’y a plus de danger. Des personnes sont assignées. Lors de la perquisition de la mosquée, ils n’ont rien trouvé. Nous devons trouver un terrain d’entente. »

Actuellement, sans mosquée, une poignée de fidèles se réunit tous les jours pour prier à Orly Parc, à l’extérieur, sur un terrain appartenant au bailleur social Opievoy. « Ils sont une vingtaine. Ce sont uniquement des hommes du quartier. Ils ne font pas de bruit. Ils restent uniquement 30 minutes », relate un habitant.

Opievoy nous a confirmé être au courant de la situation mais ne pas vouloir communiquer sur ce sujet. La police nationale ne peut pas intervenir tant que le bailleur social n’aura pas porté plainte et il n’aurait pas l’intention de le faire.

Florence Mallégol

Source : Journaldelamarne

jeudi, 05 mai 2016

Antoine Griezmann, l’anti-Ribéry

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Ce mardi soir, sur le terrain du Bayern de Munich, se déroulait la première demi-finale de la Coupe d’Europe des clubs, que les « modernes » appellent la « Champions League ». Il y avait, au départ, un Français dans chaque équipe : Franck Ribéry pour les Allemands, et Antoine Griezmann pour les Espagnols de l’Atlético Madrid.
 
Tout le monde connaît le premier, et ses nombreux « exploits ». Un langage de racaille qui fait le bonheur des imitateurs, la grève en Afrique du Sud, en 2010, en solidarité avec son coreligionnaire Anelka, les prières musulmanes sur le terrain, l’affaire Zahia, un fils appelé « Glaive de l’islam », et même la construction d’une mosquée à l’intérieur du stade du Bayern… Bien évidemment, comme son complice Benzema, il n’a jamais daigné desserrer les dents au moment des hymnes nationaux. Il est aujourd’hui en fin de carrière, à 33 ans.
 
Peu de personnes connaissent Antoine Griezmann. Il a juste 25 ans, et c’est un rescapé du football français version multiculturelle. Il est blanc, plutôt frêle, beau, intelligent, bien élevé, et surtout talentueux. Pourquoi un rescapé ? Parce que, dans le football formaté qu’impose la direction technique nationale (DTN), il faut d’abord avoir un gabarit impressionnant pour intéresser les détecteurs de jeunes talents.
 
Rappelons la sordide polémique déclenchée par l’inévitable Plenel, relayée par « l’antiraciste » Thuram, en 2011. Le directeur technique national de l’époque, François Blaquart, s’était ému. À cause des problèmes de double nationalité, l’équipe de France formait de nombreux jeunes d’origine africaine qui, une fois la majorité atteinte, choisissaient leur pays d’origine pour devenir internationaux, au détriment des intérêts de notre équipe nationale.

D’autre part, le DTN s’était interrogé, à une époque où Barcelone dominait le football européen avec ses petits gabarits (Messi, Iniesta et Xavi), de l’importance donnée, dans les clubs de formation, aux joueurs d’origine africaine, sélectionnés essentiellement à cause de leurs qualités physiques. Le lynchage médiatique avait suivi ces déclarations pourtant empreintes de bon sens.
 
Antoine Griezmann est pourtant la preuve vivante de ce que disait Blaquart en 2011. Aucun club français n’a voulu le prendre, il y a 10 ans, dans son centre de formation, car il était jugé trop frêle. La mode, comme le disait Guy Roux, c’était « 80 % Africain, 10 % Maghrébin et 10 % Gaulois ». Pourtant, le Real Sociedad le repère, à 14 ans, et le fait venir en Espagne. Il devient à 20 ans la vedette du club et franchit un nouveau palier en signant au prestigieux Atlético de Madrid. En deux années, Antoine est devenu la vedette de l’équipe, l’homme qui respire le football qu’on aime. Il a une technique exceptionnelle, voit le jeu plus vite que les autres et a toujours le geste juste.
 
Le contraste était saisissant, ce mardi, entre la classe d’Antoine et sa bonne éducation, et l’attitude d’un Ribéry, surexcité, qui n’arrêtait pas d’engueuler ses partenaires, de protester auprès de l’arbitre, et d’être bien évidemment au centre de tous les points chauds du match.
 
Et que croyez-vous qu’il arriva ? Archi-dominé, l’Atlético de Madrid n’a eu qu’une seule occasion. Antoine Griezmann se retrouva seul devant Neuer, considéré comme le meilleur gardien au monde. La tête bien haute, sans trembler, il le fixa intelligemment et marqua le but, qualifiant son équipe.
 
Antoine était qualifié pour la finale, et Franck, malgré ses cinq prières par jour, était éliminé…

Pierre Cassen

Source : Boulevard Voltaire

 

Oise : les pompiers portent plainte après une violente agression à Beauvais

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Des sapeurs-pompiers du département de l'Oise ont été victimes d'une violente agression lors d'un intervention pour un feu de scooter mercredi soir, peu avant 22 heures, au coeur de la ville préfecture de Beauvais.

Les pompiers ont notamment été la cible de jets de pierres, d'insultes et leur véhicule a même reçu un parpaing, rapporte le site de France Info. Le service départemental d'incendie et de secours (Sdis) de l'Oise a décidé de porter plainte après ces faits jugés très graves.

Selon un communiqué du président du Sdis de l'Oise, Eric de Valroger, publié sur Facebook et Twitter, les faits sont survenus mercredi soir vers 21 h 40 lorsque les « sapeurs-pompiers de Tillé ont été appelés rue des Pervenches à Beauvais pour fumée suspecte. A leur arrivée sur les lieux, ils ont constaté qu’il s’agissait d’un feu de scooter. Immédiatement, ils ont été pris à partie par un groupe d’une dizaine d’individus.» Insultés, visés par des projectiles et après avoir reçu un parpaing «contre la calandre du fourgon pompe tonne, les soldats du feu ont été dans l'obligation de se replier avant de revenir escortés par la police pour achever leur mission». Un individu, auteur des insultes, a au même moment été arrêté par la police et placé en garde à vue.

Eric de Valroger indique dans son communiqué qu'«il est intolérable de s’en prendre à celles et ceux qui, de jour comme de nuit, ont pour mission de secourir les personnes et les biens. Ce soir, j’exprime mon entière solidarité et mon total soutien» aux sapeurs-pompiers victimes de cette agression. Il précise que le Sdis portera systématiquement plainte après de telles agressions.

De nombreux précédents

Ce n'est pas la première fois que les soldats du feu sont pris à partie lors d'une intervention dans ce département. Dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 octobre 2015, un camion des sapeurs-pompiers de Nogent-sur-Oise a été pris au piège dans le quartier Saint Exupéry. Appelés pour un feu de poubelle les pompiers avaient été piégés par une barrière au sol pour bloquer leur camion. Un groupe d'individus a entouré leur camion et un cocktail Molotov a été lancé en direction du réservoir du véhicule. Il n'y a pas eu de blessés mais les six pompiers en intervention ont eu très peur.

Victor Fortunato avec l'édition de l'Oise

Source : Le Parisien

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Source : hallal mosquée lyon

Visas : l'Europe cède aux exigences de la Turquie

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La Commission européenne a recommandé mercredi l'exemption de visas pour les Turcs dans le cadre de l'accord sur les migrants, malgré de très fortes réserves au sein de l'Union.

La décision n'était pas facile, tant elle suscite de réserves au sein de l'Union européenne. Mais Ankara l'attendait avec impatience. La Commission européenne s'est donc exécutée. Elle a recommandé mercredi aux États membres et au Parlement européen d'accepter d'exempter de visas les 75 millions de ressortissants turcs souhaitant effectuer des séjours limités à 90 jours dans les pays de l'espace Schengen, soit 22 des 28 pays de l'UE. Le Royaume-Uni, l'Irlande, la Grèce, Chypre, la Roumanie et la Bulgarie sont restés en dehors. Cette dérogation est considérée à Ankara comme un brevet de démocratie, ce qui fait grincer des dents au Parlement européen. Le plus combatif est l'ancien premier ministre belge Guy Verhofstadt, président de l'Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe, qui dénonce un chantage.

Le gouvernement turc ne souhaite pas polémiquer. Son ministre des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a préféré louer «un tournant» dans les relations entre la Turquie et l'Union européenne. Mais personne à Ankara n'est dupe. L'accord des gouvernements et du Parlement européen n'est pas acquis. La Turquie maintient donc sa menace. «Si les États ou le Parlement européen disent non, c'est la fin de l'accord de réadmission», avertissent ses dirigeants. L'exemption de visas est le prix politique de l'accord conclu avec la Turquie pour endiguer l'exode des réfugiés syriens vers la Grèce. Les États membres de l'UE ont cherché à verrouiller la mesure, avec un mécanisme de suspension de cette libéralité en cas d'abus. L'Allemagne et l'Autriche, où sont installées d'importantes communautés turques, redoutent en effet une multiplication des séjours irréguliers de ressortissants turcs qui ne rentreraient pas dans leur pays. Ainsi qu'une vague de demandes d'asiles introduites par les Kurdes fuyant les violences et les affrontements entre l'armée et le PKK. Ces deux éventualités ont été évoquées dans la proposition franco-allemande qui a servi de base pour la formulation des conditions permettant de rétablir l'obligation de visas.

Encore 5 critères non remplis

La machine est désormais sur les rails. La Commission a formulé sa recommandation dans les délais impartis pour permettre aux Vingt-Huit et au Parlement européen de se prononcer pour la fin du mois de juin. «La Turquie a réalisé des progrès impressionnants», a plaidé le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, artisan de l'accord avec Ankara. Les Turcs devaient satisfaire à 72 critères. Il leur en reste 5, notamment la lutte contre la corruption et la lutte contre le terrorisme, très importantes pour les Européens. Mais Ankara doit aussi convaincre de sa volonté de respecter l'accord. «Il ne s'agit pas seulement d'un exercice mathématique. Il ne suffit pas de cocher des cases. La question est beaucoup plus large», a commenté un diplomate européen. «L'exemption de visas n'est pas un chèque en blanc accordé aux autorités turques pour leur permettre de bafouer la démocratie et la liberté d'expression», a averti plus explicitement le groupe du Parti populaire européen (PPE), première force politique au Parlement européen.

Le pragmatisme devrait toutefois l'emporter. L'accord est vital pour les Européens. Sa mise en œuvre doit permettre de surmonter la pire crise des réfugiés depuis la Seconde Guerre mondiale. Le conflit en Syrie et l'exode de sa population ont fait voler en éclats le système d'asile de l'Union européenne et menacent la libre circulation dans Schengen, l'un des acquis de l'UE. Les Européens cherchent à réparer les dégâts et à renforcer leurs défenses aux frontières extérieures. La tâche est compliquée, car les États refusent toutes les solutions communautaires, considérées comme un abandon de souveraineté. «Les frontières extérieures ne sont pas un bien commun», soutient le représentant d'un grand pays de l'UE.

250.000 euros de pénalité

La Commission européenne est donc contrainte de composer avec les règles existantes et de proposer des ajustements. La réforme des dispositions du règlement de Dublin pour l'asile, présentée mercredi, est l'illustration de cet exercice d'équilibriste. La règle demeure inchangée: l'accueil et le traitement des demandes d'asile incombent au pays d'entrée dans l'Union européenne. Mais Dublin n'a pas été conçu pour faire face à un afflux massif de réfugiés. En première ligne, l'Italie et la Grèce ont laissé filer les arrivants sans les enregistrer. Furieux, les pays traversés par les réfugiés et les migrants ont rétabli les contrôles à leurs frontières nationales. La Commission préconisait de «communautariser» la prise en charge des demandeurs d'asile en cas de crise. L'idée a été rejetée. Sa proposition prévoit bien un mécanisme de solidarité et préconise d'infliger une amende de 250.000 euros par réfugié pour punir les États «égoïstes» qui refuseraient de prendre en charge leur quote-part de demandeurs d'asile. Mais elle a peu de chances d'être acceptée. «L'idée de la pénalité a déjà été soumise aux États il y a quelques mois, et elle a été recalée», a confié un diplomate.

La solidarité ne sera en outre pas totale, car le Royaume-Uni, l'Irlande et le Danemark peuvent refuser cette nouvelle mouture du règlement et demander l'application des anciennes dispositions. «Nous aurions souhaité une autre donne, mais le jeu a été distribué et nous devons en tirer le meilleur parti», a commenté Frans Timmermans.

Christian Lemenestrel

Source : Le Figaro

 

La préfecture de gironde demande un abattoir halal “au nom du service public” selon le vétérinaire Peretti

Alain de Peretti (photo) est vétérinaire et président de l’association Vigilance Halal. Après les scandales à répétition dans les abattoirs français, il dénonce le tabou autour de l’abattage rituel où la souffrance animale est annihilée et les conditions sanitaires régulièrement bafouées. Face à cette situation, Alain de Peretti a plusieurs objectifs. Le premier est d’informer les citoyens sur les risques potentiels qu’ils encourent en consommant de la viande halal… souvent à leur insu… L’exactitude de la traçabilité est également un combat de l’association Vigilance Halal, d’autant qu’une taxe sur ces produits rituels revient au culte musulman. Fort de toutes ces constatations, Alain de Peretti et son association s’inscrivent dans une démarche positive en recensant les abattoirs ne pratiquant pas l’abattage rituel. Ils proposent également aux bouchers d’adhérer à une forme de charte pour garantir aux consommateurs que leur viande n’est pas issue d’abattage confessionnel. C’est un peu la naissance d’un nouveau label “Boucherie traditionnelle”.

Source : islamisation.fr