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vendredi, 12 août 2016

Florian Philippot: "Nous n'avons pas à organiser l'islam de France"

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Florian Philippot, l'un des vice-présidents du Front national, était l'invité de France Inter ce matin. Il s'est notamment exprimé sur la place de la religion musulmane en France. 

"Nous n'avons pas à organiser l'islam de France, de toute façon nous n'organiserons jamais l'islam de France".
"Il n'y a pas de clergé (...) dans l'islam notamment sunnite, d'ailleurs il y a plusieurs islams, (...) il y a des influences aussi étrangères, on voit bien la catastrophe du CFCM (Conseil Français du culte musulman), qui a été organisé par Nicolas Sarkozy, qui a créé une concurrence entre le Maroc, l'Algérie, la Tunisie parce que les critères notamment c'était: qui a le plus de mètres carrés de mosquées pour être représentatif ? On voit que c'est un jeu délétère".
Florian Philippot n'a pas hésité à attaquer l'État et à demander un durcissement des mesures autour de l'encadrement des mosquées en France. "L'État est là pour faire respecter la loi de la République c'est-à-dire l'interdiction du financement public ou du financement étranger, demander à ce que les prêches soient en français, expulser les imams étrangers qui prêchent la haine (...) fermer ces moquées radicales, ces mosquées terroristes, il y en a plus de 100". Il a aussi réagi aux déclarations de Bernard Cazeneuve à propos de la fermeture de mosquées depuis décembre 2015, "est-ce que vous avez la liste des 20 mosquées fermées ? Moi je ne la trouve pas (...) et même si c'est vrai, ça ne fait que 20."

Source : jeanmarcmorandini

Migrants : la France sous pression

Le nombre de demandeurs d’asile en France a augmenté de 19 % sur les sept premiers mois de l’année. Les associations dénoncent un dispositif d’accueil sous-dimensionné. La ministre du Logement annonce 3000 places supplémentaires partout en France.

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Cet été, la France peine à faire face à un afflux de migrants en hausse constante. Les arrivées de réfugiés se poursuivent à un rythme élevé, malgré l’accord entre l’Union européenne et la Turquie. Beaucoup de migrants continuent en effet de traverser la Méditerranée depuis la Libye, puis passent d’Italie en France.

Sur les sept premiers mois de l’année, environ 47 000 migrants ont demandé l’asile en France, soit une hausse de 19 % par rapport à 2015, selon Pascal Brice, directeur général de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). « La même tendance de hausse modérée depuis plusieurs mois », précise-t-il.

Les structures d’accueil sont saturées. La situation est très tendue à Paris et à Calais, les deux villes qui concentrent le plus grand nombre de réfugiés. En un an, la préfecture de police de Paris a fait évacuer 26 campements sauvages dans la capitale.

Lors du dernier démantèlement, le 22 juillet, 2 600 migrants ont été conduits dans les centres d’accueil et d’orientation (CAO) répartis partout en France. Les pouvoirs publics ont même été obligés d’ouvrir en urgence quatre gymnases.
Une assiette de riz et de haricots

Depuis, l’État tente d’empêcher la reconstitution de tout nouveau campement à Paris. « La police intervient tous les jours. Mardi, elle a embarqué 200 Soudanais et aujourd’hui une cinquantaine d’Afghans », raconte un bénévole qui participe à une distribution de nourriture près de la place de Stalingrad près de la gare de l’Est.

Cette assiette de riz et de haricots sera le seul repas de la journée pour les migrants arrivés à temps. La marmite était de toute façon beaucoup trop petite pour les 400 à 500 réfugiés qui dorment sur des cartons et des matelas de récupération entre le canal Saint-Martin et le bassin de la Villette. Les tentes n’y sont plus tolérées. La plupart des migrants interpellés ressortent du poste de police avec une simple obligation de quitter le territoire. Quelques-uns sont conduits en centre de rétention. « Il y a une volonté en les dispersant de les rendre invisibles », dénonce Christophe, un informaticien de 27 ans membre d’un collectif qui donne des cours de français aux réfugiés.
Caché dans le porte-bagages

Gadisa, un jeune Éthiopien de 16 ans, fait partie des rares migrants qui ont la chance d’être hébergés dans un hôtel. Un privilège qu’il doit à son jeune âge, mais d’autres mineurs restent à la rue, faute de pouvoir prouver qu’ils ont moins de 18 ans. Gadisa qui a fui les persécutions dont sont victimes les Oromos en Éthiopie a traversé la frontière franco-italienne en se cachant dans le porte-bagages du train Vintimille-Nice.

Il a failli mourir de soif en Méditerranée. « La traversée entre Alexandrie en Égypte et la Sicile a duré 12 jours. On n’avait plus d’eau douce. On a dû boire de l’eau de mer », raconte-t-il.

Pour Pierre Henry, directeur général de l’association France Terre d’Asile, la réponse policière à la crise des migrants est vouée à l’échec. « Les disperser ne résout rien. Le dispositif d’accueil est sous-dimensionné. Il a été calculé sur les flux de fin 2014, alors que le nombre de réfugiés a augmenté de 50 %. Il faut des centres temporaires d’hébergement dans les grandes agglomérations pour soulager Paris et Calais », préconise-t-il.
Deux mois d’attente pour demander l’asile

Actuellement, un réfugié doit attendre au moins deux mois avant de pouvoir déposer une demande d’asile à Paris. « L’État nous donne 80 rendez-vous par jour, alors que 200 à 300 migrants arrivent quotidiennement », explique Pierre Henry, qui pense que le nombre de demandeurs d’asile en France dépassera les 100 000 cette année, contre 75 750 en 2015.

« La France est dans une situation de déni. Le nombre de réfugiés ne va pas diminuer, bien au contraire », réagit Geneviève Jacques, la présidente de la Cimade. « Notre pays peut et doit se mobiliser à hauteur de ce défi. Les réfugiés très mal accueillis aujourd’hui auront plus de mal à s’intégrer par la suite ».

Pour répondre à la crise actuelle, Emmanuelle Cosse, la ministre du Logement, annonce que la capacité des CAO va être portée de 2 000 à 5 000 places avec l’ouverture de 3 000 places supplémentaires d’ici fin septembre, pour un coût de 126 millions d’euros. L’État a également rénové plus de 600 logements sociaux vacants situés en zone « détendue » pour y loger les réfugiés accueillis en France dans le cadre du plan de relocalisation européen. « L’objectif est de passer rapidement à un rythme de 500 réfugiés accueillis chaque mois », explique le ministère.

Luc Chaillot

Source : L'alsace.fr

Un islam de France ? Bon courage, M. Valls !

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Chaque jour qu’Allah crée nous amène son lot de voluptés diverses. Après la phase des menus halal, la « polémique » du port du voile, la burka, le burkini, dans les hôpitaux, les crèches, les écoles, les piscines, l’administration, après le ramadan et les territoires perdus de la République, voici venue la phase débutante des massacres et autres joyeusetés à commettre au nom de la religion d’amour et de paix, en république multiculturelle : c’est « de plus en plus belle la vie ».

Quelle place, dans cette République laïque, devraient prendre les signes ostentatoires à caractère politique liés à l’islam, fussent-ils d’ordre vestimentaire, alimentaire ou sanguinaire ?

Suite aux attentats perpétrés par des « islamistes », Manuel Valls, dans une tribune récente du JDD, souhaite « reconstruire l’islam de France » et signale l’« urgence » à « bâtir un véritable pacte » avec l’islam, en revoyant notamment les règles autour de ses financements extérieurs, la formation des imams tout en arguant que la deuxième religion de France a « trouvé sa place dans la République ». Une place de choix, cela va sans dire.

« Si l’islam n’aide pas la République à combattre ceux qui remettent en cause les libertés publiques, il sera de plus en plus dur pour la République de garantir le libre exercice du culte », explique-t-il. Et d’ajouter : « L’époque impose, plus que jamais, un devoir de lucidité face à la montée de l’islamisme et du djihadisme mondialisé avec sa vision apocalyptique. »

Sauf que, si tous les attentats sont commis par des déséquilibrés terroristes, des islamistes qui n’ont strictement rien à voir avec l’islam, si l’amalgame est perpétuellement honni, quelle est l’utilité d’un pacte avec l’islam, de surcroît si celui-ci a « trouvé sa place dans la République » ? Sommes-nous en guerre contre l’islam où l’islamisme, en fin de compte ? Valls serait-il un nauséabond islamophobe qui s’ignore ? Ne devrait-on pas plutôt investir dans des hôpitaux psychiatriques que dans des centres de déradicalisation où les chances de réussite sont autant significatives que celles de guérir un cancer métastatique par de l’homéopathie ?

Bien avant Manuel Valls et ses gesticulations sémantiques bienveillantes, Mahmoud Taha, théologien soudanais, a essayé de rouvrir l’interprétation du Coran, en particulier sur sa violence intrinsèque et la condition de la femme. Celui-ci considérait que seules les sourates de La Mecque (celles qui datent d’avant 622, année de l’Hégire) avaient une portée universelle, contrairement aux sourates médinoises, avec leurs caractéristiques historiques dépassées. Mahmoud Taha fut d’abord déclaré apostat par l’université Al Azhar, principale université d’étude islamique, et exécuté en 1985 car refusant de se rétracter.

Pour l’information de notre lucide Premier ministre, l’islam est une idéologie qui se base sur une lecture littérale du Coran, incréé et immuable, dont les strictes et intégrales applications sont le devoir de tout musulman afin de le faire triompher. Un être humain ne peut en aucun cas en modifier les préceptes et ce n’est pas apprendre à trancher une gorge dans la langue de Molière qui rendra ceux-ci compatibles avec les « valeurs de la république ».

L’objectif de l’islam est toujours le même. Seule la nature des moyens diffère. Ce qui se passe de nos jours se passe depuis plus de 1.400 ans, depuis l’avènement de la religion du prophète Mahomet, promoteur par excellence du djihadisme et modèle parfait à suivre pour tous les musulmans sans exception. Monsieur Valls, nous vous souhaitons donc bonne chance et beaucoup de courage dans votre entreprise.

Pierre Mylestin

Source : Boulevard Voltaire



C’était le bon temps ! L’été 1956

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En cet été 1956, les attentats terroristes du FLN sont devenus le lot quotidien dans nos départements d’Algérie – au nombre de huit désormais, depuis un décret du 28 juin – car « l’Algérie, c’est la France », comme l’a proclamé à l’Assemblée, il y a deux ans, l’actuel garde des Sceaux, François Mitterrand. Un François Mitterrand pour qui c’est sans doute le bon temps : ministre pour la onzième fois en moins de 10 ans, il dirige un petit parti charnière, l’Union démocratique et socialiste de la Résistance (UDSR), qui sait se rendre indispensable en ce temps béni du régime des partis.

Depuis six mois, le socialiste Guy Mollet est à la tête du vingtième gouvernement depuis la Libération. Au final, il détiendra le record de durée de la IVe République : 16 mois à Matignon ! En mars, il a obtenu que le gouvernement dispose « en Algérie des pouvoirs les plus étendus pour prendre toutes les mesures exceptionnelles commandées par les circonstances, en vue du rétablissement de l’ordre, de la protection des personnes et des biens et de la sauvegarde du territoire ». Curieux chassé-croisé de l’Histoire. En 1956, un gouvernement socialiste prend des mesures exceptionnelles pour faire face à ce qu’on se refuse d’appeler une guerre – les « événements d’Algérie » – et, en 2016, un autre gouvernement socialiste proclame chaque matin que nous sommes en guerre et hurle au loup lorsque l’opposition évoque l’idée de mesures exceptionnelles…

Plus de 400.000 soldats, dont une majorité d’appelés et rappelés, sont maintenant déployés en Algérie. Ils étaient 200.000 en janvier.

Durant cet été, donc, les actions et exactions du FLN se multiplient dans les campagnes (incendie de fermes, saccage de vignes, abattage de bétail, etc.) et dans les villes. On égorge, abat au coin des rues. Explosion de bombes, cars attaqués sur les routes. En juin, le FLN ordonne : « Descendez n’importe quel Européen, de 18 à 54 ans. Pas de femmes, pas d’enfants, pas de vieux. » Un ordre non appliqué, évidemment, lorsqu’on jette des grenades dans les lieux publics, comme le 2 juillet sur la terrasse du casino de Constantine. Un attentat qui fait 45 blessés et trois morts : deux femmes âgées de 44 et 60 ans et un petit musulman de 11 ans. Le 15 juillet, l’explosion d’une bombe à El Arrouka, dans le Constantinois, fait 19 morts. Et l’on pourrait noircir des pages entières…

Cependant, le train-train de la vie politique poursuit son chemin en métropole. Du 28 juin au 1er juillet, la SFIO tient son congrès à Lille. Une résolution est votée à une large majorité en faveur d’une « large autonomie de gestion » pour l’Algérie. Le 30 juin, dans une interview, Ferhat Abbas pour le FLN et Messali Hadj pour le Mouvement national algérien (MNA) reçoivent favorablement cette proposition d’ouverture. Avec l’arrestation de Ben Bella et l’affaire de Suez à l’automne, on en restera là. Pour l’instant…

Car les ennuis viennent aussi d’Égypte. Élu président de la République le 23 juin, le colonel Nasser nationalise le 26 juillet le canal de Suez. Fin octobre, ce sera l’expédition franco-britannique et l’invasion de la bande de Gaza et du Sinaï par Israël.

Durant cet été de guerre qui ne dit pas son nom, Dario Moreno renoue avec la chanson de conscrit en chantant « Je vais revoir ma blonde », un titre qui aura moins de succès que son futur « chef d’œuvre » « Brigitte Bardot ». Une Brigitte Bardot qui, au début de cet été, enflamme la plage de Saint-Tropez lors du tournage du film Et Dieu… créa la femme.

C’était le bon temps ? Laissons juges ceux qui vécurent cet été 56.

Georges Michel

Source : Boulevard Voltaire



Quand l’Algérie se retrouve malgré elle au cœur du dernier attentat de Daech en Belgique

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Un terroriste algérien, une victime algérienne et des critiques officielles. Depuis samedi, l’Algérie se retrouve au cœur du dernier attentat terroriste perpétré en Belgique. L’attaque contre deux policières, revendiquée par Daech, a en effet été perpétré par Khaled Babouri, un ressortissant algérien qui vivait en Belgique en situation irrégulière. Il a été visé à deux reprises par un ordre de quitter le territoire qui n’a pas été exécuté.

Selon les autorités belges, si l’homme n’a pas été reconduit à la frontière, c’est à cause d’un manque de coopération de l’Algérie en matière d’immigration clandestine. « Les retours forcés vers l’Algérie restent problématiques, malgré des années de négociations européennes et bilatérales », a affirmé Theo Francken, secrétaire d’État belge à l’immigration.

Des accusations que réfute Amar Belani, ambassadeur d’Algérie en Belgique. Mardi après-midi, le diplomate algérien a rendu visite à la famille de l’une des deux policières blessées dans l’attaque. Hakima, dont il a rencontré le papa et la famille, est en effet d’origine algérienne. À cette occasion, il a répondu aux critiques.

« La coopération entre l’Algérie et la Belgique existe : elle est pragmatique, elle est constructive. On n’a pas besoin d’accords bilatéraux de réadmission. Avec tous les pays, nous avons une très bonne coopération en matière de réadmission de ceux qui séjournent de manière irrégulière », a-t-il expliqué, selon des propos rapportés par La Libre Belgique.

« L’année dernière, 155 Algériens qui étaient en situation irrégulière en Belgique ont été rapatriés vers l’Algérie avec la bonne coopération des services consulaires algériens parce que, dans ces cas-là, on avait été saisi et il y avait un travail qui avait été fait avec l’Office des Étrangers », a-t-il affirmé.

Selon Amar Belani, la Belgique n’a fourni aucune demande concernant le rapatriement de Khaled Babouri : « Nous n’avons reçu strictement aucune demande, aucune sollicitation de la part de l’Office des Étrangers quant à son identification comme étant un Algérien et, à plus forte raison, nous n’avons rien reçu quant à l’exécution de la mesure d’éloignement vers l’Algérie ».

Source : Tsa-algerie

jeudi, 11 août 2016

Hillary Clinton, ses livraisons d’armes aux djihadistes en Syrie, son financement par l’Arabie Saoudite,…

Julian Assange, fondateur de Wikileaks, dévoile différents documents au sujet d’Hillary Clinton qui montrent comment elle a utilisé la Libye pour fournir des armes aux djihadistes en Syrie lorsqu’elle était secrétaire d’Etat.

« Les liens entre l’Arabie Saoudite et Hillary Clinton, entre l’Arabie Saoudite et Clinton Foundation sont très étroits. Il se peut même que l’Arabie Saoudite soit le plus gros donateur de cette fondation. Regardez donc quelle politique en matière d’exportations d’armements était menée par Mme Clinton quand elle était secrétaire d’État durant le premier mandat Obama », a également déclaré M.Assange à la chaîne RT qui propose différents extraits sous-titrés en français de cet entretien.

Source : Mpi

 

Le calife de l’Etat Islamique et le fondateur de Boko Haram s’invectivent

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Abubakar Shekau, fondateur de Boko Haram, avait en mars 2016 fait allégeance à l’Etat Islamique et à son calife auto-proclamé. Mais cette union de djihadistes n’aura pas duré longtemps.

Dans le dernier numéro d’Al-Nabaa, magazine en langue arabe de l’Etat Islamique, figurait un entretien avec Abu Musab Al-Barnawi, désigné par Abou Bakr al-Baghdadi, le calife de l’EI, comme le nouveau chef de Boko Haram. Shekau, fondateur de Boko Haram, étant considéré par l’Etat Islamique comme… trop « extrémiste » !

Dimanche soir, Shekau a réagi via une vidéo diffusée par le GSPJ, organisation de propagande de Boko Haram. Le message est adressé avec solennité à l’Etat Islamique. Shekau s’y déclare seul chef de « Jama’atu Ahlissunnah Lidda’awati Wal Jihad » (la Communauté des compagnons du prophète pour la propagation de l’islam et la guerre sainte), nouvelle dénomination officielle de Boko Haram après son allégeance à l’EI, et appelle le « calife » Abou Bakr al-Baghdadi à le reconnaître. Shekau se proclame également imam et promet d’intensifier son combat djihadiste en lançant au passage quelques nouvelles menaces à la France et aux Etats-Unis.

Source : Mpi

« L’État Islamique est derrière l’immigration massive »

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Hongrie, Budapest – Selon le conseiller en chef de la sécurité intérieure de Viktor Orbán, György Bakondi, Bruxelles fait preuve de faiblesse alors que les gens sont effrayés par les attaques terroristes. Il est temps d’agir fermement envers la migration.

György Bakondi a déclaré que les menaces politiques et sécuritaires complexes développées en Europe, doivent être pris en charge par des actions résolues. Malgré cela, les institutions de l’Union européenne font preuve de faiblesse et n’utilisent pas la force. Le conseiller en chef a ajouté qu’au-delà des mauvaises décisions, le deuxième plus grand problème est que beaucoup aident la migration au lieu de s’y opposer.

«La migration est massive, organisée, agressive et illégale », a souligné György Bakondi.

Selon le conseiller en chef de la sécurité intérieure hongroise, les gens ont peur et se sentent en danger en raison des attaques terroristes, ce qui a des conséquences néfastes sur la société, la politique et l’économie.

« Derrière l’organisation de l’immigration massive se tient l’État islamique, qui a déclaré la guerre à l’Europe. Les partisans de l’idéologie veulent déchirer l’Union », a ajouté Bakondi.

Bakondi a ajouté que, fort heureusement, les État-nations reconnaissent de plus en plus la lutte contre le terrorisme comme un intérêt fondamental.

Les autorités hongroises ont introduit le 5 Juillet la surveillance dite de frontière profonde. Les migrants attrapés et ne pouvant être accusés de délit sont raccompagnés à la porte la plus proche et envoyés à la zone de transit la plus proche.

« Depuis lors, 4.900 franchissement illégaux de la frontière ont eu lieu à la frontière entre la Hongrie et la Serbie, plus de 3.100 d’entre eux ont été appréhendés et 1.800 personnes ont été raccompagnées à la frontière », a souligné György Bakondi.

Selon les autorités hongroises, plusieurs milliers de personnes qui attendent actuellement du côté serbe de la frontière ont déjà fait des tentatives de franchissement de la clôture, et / ou envisagent de le faire. Pour sécuriser cette situation, la présence de la police et des soldats hongrois est encore nécessaire.

Source : Visegradpost

Les musulmans d’Athènes auront enfin leur mosquée !

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250.000 musulmans vivent à Athènes et c’est seulement le 4 aout 2016, que le parlement grec a voté en faveur de la construction de la première mosquée dans la ville.

Selon slate.fr, “le lieu choisit pour la construction de cette mosquée est une partie inoccupée de la base navale de Votanikos, située dans une longue allée de gravats poussiéreuse entre deux bâtiments aux vitres brisées et aux murs délabrés”.

Source : Direct info

Allemagne: arrestation d'un membre présumé de Daesh

Un Syrien de 24 ans soupçonné d’appartenir au groupe Daesh (l’acronyme en arabe de l’Etat islamique) a été arrêté vendredi dernier dans l’ouest de l’Allemagne, ont annoncé mardi les autorités locales, évoquant une menace sur le championnat allemand de football.

« Il existe des informations selon lesquelles quelque chose était prévu pour le début de la Bundesliga », a déclaré à l’AFP un porte-parole du ministère de l’Intérieur de Rhénanie-Palatinat, Etat-région de l’ouest de l’Allemagne. 

Le ministère de l’Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie, Etat-région voisin également impliqué dans l’enquête, a précisé qu’il n’y avait eu « aucune situation concrète de menace », mais qu’un témoin avait alerté les enquêteurs sur un projet d’attaque islamiste. 

Le suspect a été interpellé par les forces spéciales à Mutterstadt (ouest) et placé en détention provisoire, puis les enquêteurs ont perquisitionné un appartement à Duisbourg, à 300 km au nord-ouest du lieu de l’arrestation, selon la police. 

Demandeur d’asile venu de Syrie, il était arrivé en Allemagne au début de l’année et était logé en Rhénanie du Nord-Westphalie, selon le système allemand de répartition des réfugiés entre Etats-régions, selon la chaîne locale Südwestrundfunk.

Source : Boulevard Voltaire



La Rochelle : une famille convertie radicalisée arrêtée

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Islamisation. Plusieurs membres d'une famille radicalisée ont été arrêtés à la Rochelle, alors qu'ils s'apprêtaient à quitter le pays pour rejoindre la Suisse, a rapporté Sud Ouest.

Convertie à l'islam et radicalisée, une famille s'apprêtait à quitter le pays, a rapporté Sud Ouest. Repérés par la police, les parents, accompagnés de leurs deux ou trois enfants (scolarisés dans une école primaire non loin du quartier de Mireuil où ils résidaient), ont été arrêtés avant leur départ. Un important dispositif de police avait été engagé pour permettre cette arrestation, a précisé le quotidien local. Selon certaines sources du journal, ils prenaient la direction de la Suisse.

Source : Valeurs actuelles

A la frontière franco-italienne, Vintimille voit les arrivées de migrants augmenter

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 Ce matin, environ 60 personnes sont venues. Il y a quelques jours, ils n’étaient même pas 20. » Depuis son poste de responsable de l’ONG Caritas à Vintimille, Christian Papini observe la fluctuation des arrivées de migrants dans cette petite ville italienne à la frontière avec la France, sur la route migratoire vers le nord de l’Europe. Tous les matins, Caritas propose de l’information, des vêtements et de la nourriture aux personnes de passage. La plupart arrivent en provenance de l’île de Lampedusa, point d’entrée de l’Europe depuis la Libye. « Ce sont majoritairement des Soudanais et des Erythréens », poursuit M. Papini.

L’été, inexorablement, le nombre des arrivées augmente. Conséquence du rétablissement des contrôles à la frontière franco-italienne depuis juin 2015, Vintimille a pris des allures de cul-de-sac. Et, même quand les migrants parviennent à traverser la frontière, ils sont en majorité interceptés par la police française et renvoyés en Italie, où leurs empreintes ont été enregistrées. Les autorités italiennes tentent alors de dispatcher les migrants dans des camps d’identification ailleurs dans le pays, comme à Tarente, dans les Pouilles. En vain. Ils refont le chemin jusqu’à la frontière.

Camp reconstituté

Après avoir fermé un centre d’accueil à Vintimille en mai, sur décision du ministre de l’intérieur italien, la Croix-Rouge italienne a donc dû, dès la fin juillet, reconstituer un camp sur un ancien site ferroviaire. Entre-temps, pour pallier l’absence d’accueil organisé, la paroisse locale de San Antonio avait ouvert ses portes fin mai, appuyée par Caritas. Et, malgré la montée en puissance du nouveau camp de la Croix-Rouge, qui est vite passé de 180 à 360 places, elle continue aujourd’hui d’accueillir des familles. « Leur nombre varie beaucoup, entre 50 et 80. Actuellement, il y a une centaine de personnes, constate Alessia Mariotti, une bénévole. Nous avons deux grands dortoirs, mais beaucoup dorment dehors parce qu’ils ont peur d’être enfermés. Tout est géré par des volontaires, donc, même si on fait du mieux que l’on peut, les conditions sont difficiles. »

 Pour M. Papini, « la réponse de l’Etat italien n’est pas proportionnée. Les arrivées vont continuer d’augmenter et, même si les réfugiés n’arrivent pas à passer en France, ils ne vont pas retourner en arrière. Après la Libye et la Méditerranée, ils en ont traversé, des endroits où ils auraient pu mourir. Ils sont trop près du but maintenant ». Dans la nuit du lundi 8 au mardi 9 août, ils étaient 530 à dormir au camp de la Croix-Rouge. Une partie, donc, à la « belle étoile ».
 
Julia Pascual
 

L'Allemagne veut durcir sa législation antiterroriste après les attentats

Le ministre allemand de l'Intérieur prépare une batterie de mesures pour renforcer ses outils de lutte contre le terrorisme après les deux attaques du mois de juillet revendiquées par le groupe Etat islamique, a indiqué la presse allemande mercredi.

Le ministre Thomas de Maizière, qui a prévu une conférence de presse jeudi, veut en particulier introduire une procédure accélérée d'expulsion de réfugiés et demandeurs d'asile "représentant un danger pour la sécurité publique", selon le quotidien populaire Bild citant des sources sécuritaires.

Cette mesure fait suite aux deux attentats commis dans le sud du pays fin juillet dans le pays qui a accueilli plus d'un million de migrants en 2015. Une attaque à la hache commise dans un train par un adolescent de 17 ans, probablement originaire d'Afghanistan, a fait cinq blessés, et un attentat a tué son auteur syrien et blessé 15 personnes à l'entrée d'un festival de musique.

Par ailleurs, le ministre veut obtenir, toujours selon Bild, un assouplissement du secret médical pour que les médecins puissent "informer à temps les autorités des crimes planifiés par leurs patients". Toujours en juillet, un déséquilibré inspiré par le tueur norvégien d'extrême-droite Anders Behring Breivik, a abattu neuf personnes avant de se donner la mort à Munich.

M. de Maizière compte aussi parapher en août une "déclaration de Berlin" avec les ministres de l'Intérieur des Etats régions issus du parti conservateur CDU et de sa branche bavaroise CSU appelant entre autres à une procédure de déchéance de nationalité et une interdiction du voile intégral, selon le groupe de presse RND.

Cette déclaration appelle aussi au recrutement de 15.000 fonctionnaires de police entre 2015 et 2020 et à la création d'un centre de lutte contre la cybercriminalité au sein de la police criminelle allemande pour combattre le trafic d'armes sur le "Darknet", cet ensemble de sites secrets et préservant l'anonymat utilisé pour des transactions illégales.
Le document appelle aussi à des mesures pour empêcher le financement de mosquées par des organisations extrémistes et réclame l'expulsion de responsables religieux étrangers "prêchant la haine".

La police allemande a par ailleurs perquisitionné mercredi matin les appartements et lieux de travail de trois hommes soupçonnés d'avoir oeuvré en 2015 au recrutement de membres et de soutiens de l'organisation Etat islamique, selon le parquet fédéral. L'un d'eux est également soupçonné d'avoir apporté à l'EI un soutien logistique et financier, précise la même source.
Aucun de ces suspects vivant en Basse-Saxe (nord-ouest) et en Rhénanie du Nord-Westphalie (ouest) n'a été arrêté.

Dans une autre affaire, un Syrien de 24 ans soupçonné d'appartenir au groupe EI a lui été arrêté vendredi dernier dans l'ouest de l'Allemagne, ont annoncé mardi les autorités locales.

Source : L'Orient le jour

La réponse très claire de Daech au pape François

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Dans l’avion qui le ramenait, il y a quelques jours, de Pologne, le pape François a de nouveau déclaré son amour pour l’islam et répété la doctrine de Vatican II selon laquelle toutes les religions sont, par définition, des religions d’amour, vouées à dialoguer et à s’entendre.

L’organisation État islamique, dans un article intitulé « Par l’épée », publié par son organe de propagande Dabiq, vient de répondre aux déclarations du souverain pontife. Le moins qu’on puisse dire est que les guerriers de Daech ne font pas dans la dentelle. Pas plus là qu’ailleurs.

L’article s’en prend, notamment, à la « naïveté » du pape qui croit, par ses propos lénifiants, « pacifier » la nation islamique. « Le Pape combat contre la réalité quand il s’efforce de présenter l’islam comme une religion de paix, alors que celui-ci enjoint aux vrais croyants de tirer l’épée du djihad. C’est même leur plus grand devoir : imposer la loi d’Allah par l’épée est une obligation fondée sur le Coran, parole de notre Seigneur. »

C’est pourquoi taxer la violence islamiste de « violence insensée », comme fait le pape, c’est insulter Allah lui-même, qui ne peut renier sa parole. L’article réfute également l’idée que les guerriers de Daech combattraient pour de l’argent ou pour des raisons économiques. « Même si vous arrêtiez de nous bombarder, de nous jeter en prison, de nous torturer, de nous abêtir et d’usurper nos terres, nous continuerions de vous haïr ; même si vous nous payiez le jizyah [l’impôt pour les infidèles, ndlr] et viviez humiliés sous l’autorité de l’islam, nous continuerions de vous haïr. Pourquoi ? Parce que le Coran nous commande de le faire. Nous ne cesserons donc de vous haïr que lorsque vous aurez embrassé l’islam. »

On peut rejeter ces propos en les qualifiant de fondamentalistes ou de fanatiques, mais ils ont le mérite d’être clairs, logiques et cohérents. N’en déplaise aux « modérés » et aux « pacifistes » qui s’en offusquent. Mais ceux-ci ont-ils jamais lu le Coran ?

Raoul de Gerrx

Source : Boulevard Voltaire

Culpabilité occidentale et violence islamique

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Ce n’est plus à l’islam de s’adapter à la République mais à la République de s’adapter à l’islam. En quelques décennies, le chemin parcouru est impressionnant. Nous sommes passés de l’assimilation à l’intégration, et nous voilà aujourd’hui à la phase ultime : l’organisation du communautarisme. Petit rappel historique.

Le modèle français d’accueil des immigrés est traditionnellement assimilationniste. Cela signifie simplement que les étrangers voulant vivre sur notre territoire doivent en respecter, non seulement les institutions et le droit, mais aussi les coutumes, par exemple en matière vestimentaire. Ils doivent aussi, progressivement, se familiariser avec notre culture. Mais il n’est pas possible de créer une communauté distincte de la nation d’accueil, ayant ses propres valeurs.

L’assimilation des étrangers fut une réussite jusqu’aux années 1960-70. Il n’était pas question, par exemple, d’accepter des femmes voilées dans les rues dans les années 1960. Mais la culpabilisation de l’Occident par certains intellectuels, abondamment relayés par les médias, allait tout changer. La décolonisation, l’anticapitalisme, les réticences face au progrès technique ont conduit une partie des élites européennes, classées à gauche, à élaborer un discours de dévalorisation de notre culture. Nous sommes coupables ! Coupables d’avoir colonisé l’Afrique et l’Asie, coupables d’avoir organisé l’esclavage des Noirs, coupables d’avoir exploité les richesses des autres continents, coupables, enfin, d’avoir détraqué le climat par notre absurde obsession à produire.

Les immigrés d’origine extra-européenne deviennent alors des victimes de l’Occident dominateur. Il est hors de question de leur demander de faire le moindre effort pour assimiler la culture honnie.

Dans les années 1980, sous la présidence de François Mitterrand, le concept d’assimilation fut remplacé par celui d’intégration. L’intégration est beaucoup moins exigeante que l’assimilation. Il suffit de respecter formellement le droit du pays d’accueil. Il n’est pas nécessaire d’en adopter la culture. L’immigré peut donc se vêtir de manière traditionnelle, refuser qu’un médecin examine son épouse, lui imposer le voile, exiger des heures d’ouverture des piscines réservées aux femmes, etc. Le pays d’accueil doit faire beaucoup de concessions pour intégrer les immigrés, mais ceux-ci n’ont plus l’obligation d’adhérer à ses valeurs.

Chacun comprend que l’intégration conduit tout simplement au communautarisme. Des groupes sociaux aux modes de vie totalement distincts se forment peu à peu puisque la société globale n’impose aucune exigence. L’Europe assiste, ainsi, à la régression vers la violence de toute une jeunesse de culture musulmane qui a été laissée seule aux prises avec les simplismes du totalitarisme de Daech.

Patrick Aulnas

Source : Boulevard Voltaire



mercredi, 10 août 2016

En France, la guerre civile viendra si l'Etat continue à "se mettre la tête dans le sable"

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Le fantôme de la guerre civile ne cesse d'énerver l'Etat français. Il peut vraiment y avoir une guerre civile si l'Etat est faible et si cela pousse certains à l'autodéfense et à l'autoprotection, explique l'auteur de l'essai "La guerre civile qui vient" et éditorialiste au Figaro Ivan Rioufol dans un entretien à Sputnik.

En l'espace de ces derniers mois, Patrick Calvar, le patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), a mis en garde contre une guerre civile à plusieurs reprises: "Les extrémismes montent partout et nous sommes, nous, services intérieurs, en train de déplacer des ressources pour nous intéresser à l'ultra-droite qui n'attend que la confrontation".

Le mouvement clandestin Corse du 22-Octobre (FLNC) a mis de son côté le feu aux poudres des polémiques anti-terroristes en mettant en garde les "islamistes radicaux de Corse" qu'une attaque déclencherait "une réponse déterminée sans aucun état d'âme". La réponse du président nationaliste de l'assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, a été aussi déterminée. Il a appelé les Corses à "repousser toute tentation de réponse individuelle ou d'initiative désordonnée" en cas d'attentat islamiste dans l'île.

Ivan Rioufol, éditorialiste au Figaro et auteur de l'essai "La guerre civile qui vient", n'est pas hostile à l'idée que ces confrontations reflètent certaines tendances sous-jacentes.

"Il peut y avoir une guerre civile, si l'Etat est faible et si cela pousse certaines individualités à l'autodéfense, à l'autoprotection. Il y a aussi le deuxième risque de guerre civile: que l'Etat lui-même se décide à prendre les armes face à un ennemi intérieur qui porte la nationalité française. Ces deux hypothèses de guerre civile sont à examiner aujourd'hui. Je ne dis pas qu'elles sont imminentes, mais en tout cas la première, celle d'une irritation d'une partie de la population, est à prendre en compte. Et le FLNC a révélé cet état d'exaspération", a affirmé à Sputnik M. Rioufol.

Par ailleurs, il a pointé du doigt les "endormissements" et "somnambulismes" face à ce qu'il appelle la "défrancisation de l'Hexagone" et qu'il considère comme frein au combat lucide de l'islamisme radical. Pourtant, la réaction des nationalistes corses peut paraître communautaire:

"La réaction du FLNC est une réaction identitaire, d'une défense d'une identité. Je ne vois pas matière à faire grief à ceci. La menace islamiste est moins grave que notre propre prétention à savoir nous défendre, nous aimer, à ne plus vouloir récupérer nos racines, notre mémoire, notre passé", a-t-il estimé ajoutant que les Corses étaient forts "précisément de ce qui nous a rendu faibles sur le continent".

Il y a un vrai travail de reconstruction, de reconquête de soi-même du peuple français avant qu'il ne puisse envisager d'affronter ce totalitarisme islamiste. Sans se couper bien sûr de la grande majorité des Français musulmans qui aussi subissent, naturellement, ce totalitarisme. Il n'est pas acceptable qu'une idéologie puisse vouloir imposer la charia — la loi de Dieu dans une démocratie — la loi du peuple.

Donc, il y a une incompatibilité qui n'est pas posée pour l'instant dans le débat public, a poursuivi M. Rioufol.

"La guerre civile viendrait si l'Etat continuait à se mettre la tête dans le sable et à ne pas vouloir interdire les prêches incendiaires ou fermer les 150 mosquées salafistes (il parait qu'il n'y en a eu que 10 de ferme, pourquoi pas et les autres?) et de mettre sous surveillance ou interdire le salafisme dans ces prêches qui attisent la violence. Tous ces éléments de logique qui n'ont rien de stigmatisant pour les musulmans français".

En fin de compte, que ça soit en Corse ou ailleurs, c'est à l'Etat qu'incombe la responsabilité de la lutte anti-terroriste. Alors qu'on met en garde contre le gouvernement qui ne veut pas ouvrir les yeux sur cette menace-là et qui par la voix du président de la république encore le 14 juillet a déclaré "Ce qui nous menace, c'est la montée des populismes", la menace n'est pas là.

"Non, ce qui nous menace, ce n'est pas la montée des populismes, la montée de l'extrême-droite, de l'ultra-droite où que sais-je encore", a signalé l'interlocuteur de Sputnik. "Nous n'avons pas vu l'ultra-droite mener des ratonnades comme certains l'avaient prédit. Au contraire, le peuple français se tient parfaitement responsable et n'entre pas dans cette course à la violence, dans cette course mimétique".

Mais en revanche, il faut s'attendre à ce que les islamistes radicaux poursuivent leur offensive, leurs tentatives de conquête à travers la multiplication d'actes de terreur. Il ne suffit pas, de son point de vue, d'une mobilisation sécuritaire de l'Etat français qui n'est pas à la hauteur des événements. Ils peuvent craindre qu'il puisse avoir des initiatives des gens excédés qui se sentant isolés et désarmés, décident par eux-mêmes d'assurer leur propre sécurité. C'est naturellement quelque chose qui peut très bien se comprendre et qu'il faut éviter à tout prix.

L'important est ainsi que l'Etat assume ses responsabilités, qu'il s'affronte et soit plus violent encore que la violence qui lui est imposée.

"Il ne peut pas se dérober à la guerre qui lui est déclarée. S'il se dérobe à cette guerre-là, cela voudrait dire qu'il renonce et qu'il se soumet", a résumé M. Rioufol.

Source : Sputniknews

Serbie : au Kosovo une nouvelle mosquée est construite chaque mois alors que la société kosovare se scinde entre séculaires et religieux

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(…) l’appel du muezzin pour la prière du vendredi raisonne de la principale mosquée de Pristina. Des centaines d’hommes et de jeunes garçons affluent dans la mosquée Sultan Mehmet Fatihdans du XVème siècle dans le vieux quartier de la capitale kosovare. En dehors de la mosquée des dizaines de fidèles (…) se mettent à genoux sous la pluie. D’autres débordent sur ​​les trottoirs environnants en raison d’un manque d’espace. La scène à la mosquée de l’époque ottomane, la plus grande de la ville, est en train de devenir la norme au Kosovo – un état ​​traditionnellement laïque avec une population musulmane libérale, où l’islam conservateur prend racine. « Plus de gens, en particulier la jeune génération, viennent pour prier» dit Hakif Sikirocha, le gardien de la mosquée Sultan Mehmet Fatih (…) « De plus en plus de « Kosovars se tournent vers l’ islam, dit-il.

Le Kosovo, où 96 pour cent de ses 2 millions d’habitants sont musulmans, est encore un pays occidental et en grande partie pro-américain où les bars sont situés dans les mêmes rues que les mosquées. Beaucoup de rues de Pristina rendent hommage aux anciens présidents des États-Unis, en raison de la campagne de 1999 de bombardement de l’OTAN dans l’ex-Yougoslavie (…) et aussi pour le soutien de Washington pour l’indépendance du Kosovo. Mais il y a des signes croissants que l’islam conservateur prend pied dans la société. Il y avait environ 200 mosquées après la guerre en 1999. Aujourd’hui, il y a plus de 800. Une nouvelle mosquée est construite chaque mois.

Dans les rues de Pristina, de plus en plus de femmes se promènent entièrement couvertes en noir (….) Il est plus fréquent de voir des hommes avec des barbes et des pantalons à mi-mollet, une caractéristique des conservateurs musulmans.

(…) « Il y a un élément de la société et certaines parties du Kosovo qui sont de plus en plus religieux», dit Naim Rashiti, analyste au Balkan Policy Research Group, un think-tank basé à Pristina. «[Les gens deviennent] plus religieux (…) Ceci est une nouvelle expérience pour nous. »

(…) De nombreux Albanais du Kosovo ne sont pas attachés émotionnellement au drapeau bleu et jaune du Kosovo – qui est remarquablement similaire au drapeau de l’Union européenne. A Pristina, même dans les édifices gouvernementaux, le drapeau rouge albanais avec l’ aigle noir bicéphale est largement utilisé. Beaucoup ici se considèrent comme les Albanais – et souhaitent être réunis avec leurs frères ethniques – mais aussi se sentent séparés des Albanais d’Albanie. Pour beaucoup de Kosovars l’ Islam a rempli cette lacune d’identité et offert une idée claire de l’appartenance (…)

Le conservatisme religieux croissant au Kosovo est particulièrement visible dans les villes rurales comme Kacanik et Gjilan, où les organismes de bienfaisance islamiques du Golfe (…) ont radicalisé les communautés pauvres. Les organismes de bienfaisance ont pénétré les communautés qui ont été négligés par le gouvernement et où le chômage est d’environ 50 pour cent, ce qui rend les jeunes hommes des cibles faciles pour l’endoctrinement.

(…) Plus de 300 personnes du Kosovo sont allés se battre pour des groupes extrémistes au Moyen-Orient, ce qui en fait le plus gros contributeur par habitant en Europe (…)

En 2009, le gouvernement du Kosovo a interdit l’habit religieux dans les écoles primaires et secondaires, ce qui incite les protestations des musulmans pieux. Le gouvernement a défendu la décision en disant qu’il était conforme à la constitution laïque du pays. Certains Kosovars sont d’accord en disant que les femmes couvrant leurs têtes en public sont contre les traditions séculaires du pays.

« Il y a une certaine influence radicale parce que vous pouvez voir des gens dans la rue avec de longues barbes, des pantalons longs, et les filles totalement couvertes de leurs têtes à leurs orteils» dit Nora Bezera, un traducteur de 28 ans à Pristina. «Le Kosovo a toujours eu une population à majorité musulmane, mais au cours des dernières années, l’islam radical a augmenté. En tant que jeune, femme orientée vers l’Occident, je suis préoccupé par cette influence (…)

En bas de la rue de la mosquée Sultan Mehmet Fatih se trouve Baristas Coffee, un café animé grouillant de travailleurs gouvernementaux, de jeunes hommes barbus et de femmes voilées. Hisen Krasniqi, un jeune homme souriant avec une queue de cheval blonde, possède le café (…) il dit que son café ne sert pas d’ alcool, un récent changement de politique. « Nous ne voulons pas prendre parti» , dit Krasniqi, se référant à la scission de plus en plus visible dans la société entre séculaires et religieux. « Par respect , nous ne servons que du café» , dit-il (…)

Source : CivilwarinEurope

Les extrémistes gagnent encore en popularité en Slovaquie

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Le néonazi Marian Kotleba, fraîchement élu député au Parlement slovaque, a fait retirer récemment le drapeau européen lors d’une de ses conférences de presse. "Seul notre Seigneur trône au-dessus du drapeau slovaque", a-t-il lancé à l’occasion. Lui et ses bras droits n’en sont pas à leur première provocation. Depuis l’élection surprise de quatorze de ses hommes en mars dernier, le parti d’extrême droite, raciste et antieuropéen Notre Slovaquie (L’SNS) se sent pousser des ailes.

En l’espace de cinq mois à peine, ce microparti a organisé, dans la capitale Bratislava, une contre-manifestation à la Gay Pride rebaptisée "Parade des déviants". Ses membres ont défilé "contre le diktat de Bruxelles" et les réfugiés; un événement qui s’est terminé par le procès soi-disant improvisé des hommes politiques que les manifestants voulaient "pendre". Et ce n’est pas tout : un des députés du parti a été intercepté alors qu’il s’apprêtait à entrer dans l’enceinte du Parlement avec un pistolet 9 mm.

Des milices très actives

Marian Kotleba, le chef du parti, a en outre officiellement déclaré qu’il envisageait d’utiliser 5 des 5,2 millions d’euros, versés par l’Etat à la suite de son succès électoral, pour créer des milices qui patrouilleraient en uniforme afin de "faire régner l’ordre là où la police n’y parvient pas".

Le quotidien slovaque "Sme" relève d’ailleurs que les milices paramilitaires créées par des groupuscules d’extrême droite sont plus actives ces derniers mois. "Le fait d’être représenté au Parlement renforce leur popularité et leur confiance en eux", assure Jaroslav Nad, spécialiste des questions de défense et sécurité. Depuis le début de l’année, la police slovaque a enregistré une hausse du nombre d’actes criminels perpétrés par des groupes extrémistes. Et sur Internet, les autorités observent un déferlement de haine à l’encontre des Juifs, des Roms et des migrants, les cibles privilégiées de L’SNS.

Une contribution politique nulle

En fait, "c’est à l’extérieur du Parlement que les fascistes restent les plus actifs et les plus agressifs", explique Grigorij Mesežnikov, directeur de l’Institut slovaque des affaires publiques. Pourquoi ne se démènent-ils guère dans l’hémicycle, alors que 8 % des électeurs slovaques leur ont confié un mandat ? D’après le politologue, ils en seraient bien incapables. "La plupart de leurs membres n’ont aucune expérience politique et ont reçu peu d’éducation. Leur contribution pour l’heure est absolument nulle. Ils n’ont aucun impact sur les réformes en cours." De fait, sur les quatorze extrémistes élus, aucun n’est un professionnel de la politique, ils sont vendeur, policier municipal, enseignant, charpentier ou électricien.

Et leurs collègues parlementaires leur mettent volontiers des bâtons dans les roues. Une seule personne a voté pour que Marian Kotleba devienne vice-président de la commission de défense et de sécurité, tandis que l’un de ses bras droits a lui aussi échoué à prendre la tête de la commission économique faute de soutiens. Que pense le leader du parti de l’isolement dans lequel ses pairs le tiennent ? "Cela changera au fil du temps", croit-il savoir.

En attendant, les élus de Notre Slovaquie ne parviennent pas à imposer leurs idées. Ainsi leur proposition d’instaurer une minute de silence en mémoire de Josef Tiso, le président de la Slovaquie amie de l’Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale, a été sèchement refusée.

Malgré leur relatif silence au Parlement, "ils font désormais partie du paysage politique et je pense qu’ils sont partis pour y rester longtemps", poursuit Grigorij Mesežnikov. En outre, les extrémistes sont plus visibles dans les médias, et de plus en plus populaires. Selon un sondage récent, si les élections législatives avaient eu lieu fin juin, 10,7 % des Slovaques auraient voté pour le parti néonazi, soit près de trois points de plus que lors des élections de mars dernier…

Laure de Charette

Source : Lalibre.be

Pakistan: plus de 70 morts dans un attentat revendiqué par les talibans

Au moins 70 personnes ont été tuées et des dizaines ont été blessées lorsqu’un kamikaze a fait détonner sa charge explosive au milieu d’une foule en deuil devant un hôpital de Quetta, capitale de la province instable du Baloutchistan dans le sud-ouest du Pakistan. L’attaque a été revendiquée par les talibans dans la journée.

« Le bilan a atteint 70 morts et 112 blessés, » a indiqué le Dr Masoood Nausherwani, chef des services de Santé de la province.

Environ 200 avocats et journalistes étaient rassemblés à l’occasion d’une manifestation contre l’assassinat du président du barreau de la province. Il s’agit du deuxième attentat le plus meurtrier au Pakistan cette année.
 

Khaled Babouri, le terroriste algérien de 33 ans qui a frappé deux policières à coups de machette, fréquentait une mosquée de Farciennes

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Khaled Babouri, le terroriste algérien de 33 ans qui a frappé deux policières à coups de machette, samedi, à Charleroi, fréquentait une mosquée de Farciennes. Deux perquisitions ont été menées dans la maison du frère de Khaled, Atef Babouri. La maison est aujourd’hui sous scellés. Dans le quartier, les voisins ne connaissent pas vraiment la famille Babouri. «Elle est assez discrète. On a juste remarqué beaucoup de va-et-vient la journée et la nuit.»

À deux reprises, dans la nuit de samedi et dimanche, ainsi que dimanche en soirée, les policiers fédéraux ont effectué des perquisitions à Farciennes, au domicile du frère de Khaled Babouri, Atef. On sait en effet que le terroriste résidait dans cette maison située à la rue du Ry de la Glacière.

Devant des riverains curieux, toutes les pièces ont été fouillées minutieusement par les enquêteurs. Toutefois, ces derniers n’ont pas trouvé la moindre trace d’explosif ou d’arme. «Du matériel informatique a toutefois été emporté», précise-t-on auprès du parquet fédéral.

Hier, le quartier semblait retrouver sa quiétude. L’habitation, quant à elle, porte encore les traces des opérations policières. C’est désormais une planche en bois qui remplace la porte d’entrée et devant celle-ci, un bidon de 20 litres qui a sans doute alarmé les enquêteurs avant d’être jugé inoffensif.

«Des gens discrets»

Atef Babouri est propriétaire de cette maison depuis plusieurs années. L’habitation appartenait autrefois à la société de logement social «Sambre et Biesme». Atef est père de trois petites filles et actuellement en instance de divorce. Sa femme n’habitait plus avec lui depuis près d’un an.

A.W et O.Pâq.

Source : La nouvelle gazette

La France fait-elle tout pour lutter contre le terrorisme ?

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Qui oserait, en effet, prétendre que le gouvernement ne fait pas tout pour lutter contre le terrorisme, alors même que le président Hollande vient de faire la démonstration magistrale, à Rio où il n’a même pas eu le temps de monter là-haut, devant les caméras du monde entier, que la France est rodée, plus que tout autre pays, pour organiser des compétitions sportives internationales en ambiance terroriste ? Qui oserait une telle incongruité alors qu’on apprenait, samedi, par un communiqué du ministère de l’Intérieur, vite, très vite relayé par la presse, qu’il « a été procédé à l’expulsion de M. Moussa Keita, ressortissant malien, vers ce pays, portant à 81 le nombre d’expulsion prises depuis 2012 »?

Ce communiqué poursuit : « Élargi ce matin du centre de détention après avoir purgé une lourde peine d’emprisonnement pour des faits de délinquance de droit commun, il a fait l’objet d’un arrêté ministériel d’expulsion prononcé le 1er août 2016 en raison de son appartenance à la mouvance islamiste pro-jihadiste. Compte tenu de la menace grave que faisait peser sur l’ordre public le maintien de cet individu sur le sol français, a été engagé (sic) à son encontre une procédure d’expulsion, selon la procédure de l’urgence absolue. » Un communiqué qui tombe en ce mois d’août assoupi de façon tout aussi fracassante que l’annonce à Paris d’une victoire de l’Empereur sur l’Europe coalisée ! Les communiqués de M. Cazeneuze sont, en quelque sorte, les bulletins de la Grande Armée, version « État de droit », de M. Hollande…

Deux remarques, tout de même, sur cette expulsion. La première : si l’on avait des éléments sur le risque que faisait courir cet individu, que n’a-t-il été présenté à un juge pour être mis en examen ? La seconde : comment ne pas être admiratif devant un tel optimisme gouvernemental ? 81 expulsions depuis 2012 (on notera comment est assumé le bilan), une vingtaine par an, 1,62 par mois, pour être tout à fait précis. Et l’on voudrait nous faire croire que l’on ne peut pas vider la mer avec une petite cuillère !

Alors, je répète ma question : qui oserait dire que le gouvernement ne fait pas tout pour lutter contre le terrorisme ? Eh bien, les Français. Un sondage – encore un sondage, me direz-vous -, réalisé par ELABE pour Atlantico, nous apprend que 65 % des Français estiment que François Hollande et Manuel Valls ne « mettent pas en œuvre tous les moyens nécessaires à la lutte contre la menace terroriste ». Ils n’étaient que 46 % en janvier. Il y aurait donc comme l’ombre d’un doute, une ombre portée par les événements. 77 % des personnes interrogées estiment que la lutte menée contre le terrorisme n’est pas efficace. Un point rassurant, tout de même, pour François Hollande et Manuel Valls : 55 % des sympathisants socialistes jugent que la politique conduite par le gouvernement est efficace. On imagine aisément que 100 % des membres du gouvernement, M. Macron exclu (de la statistique, pas du gouvernement), jugent leur politique efficace. Le contraire serait inquiétant.

François Hollande et Manuel Valls ont dit et répété qu’ils ne changeraient rien à leur politique pour éliminer le terrorisme islamiste. Rien à l’extérieur, rien à l’intérieur. Circulez, y a rien à voir, rien à revoir, disait en substance Manuel Valls à la tribune de l’Assemblée, le 19 juillet dernier, en demandant la prolongation de l’état d’urgence qui a, depuis longtemps, cessé d’être un état de grâce aux yeux des Français.

Rien à revoir ? C’est tout vu, semble-t-il, car ce nouveau sondage, s’il en était encore besoin, confirme que François Hollande et Manuel Valls sont définitivement disqualifiés vis-à-vis des Français pour prétendre plus longtemps à gouverner ce pays.

Georges Michel

Source : Boulevard Voltaire



Du vivre ensemble au vivre séparément : un phénomène irréversible ?

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Tous les étés, la même rengaine : commissariats et gendarmeries sont attaqués dans les zones de non-France. Souvent au moment de la fête nationale, date choisie par certains individus pour exprimer leur haine de la France. Pas plus les attentats que l’état d’urgence n’ont pu y changer quelque chose. Au contraire, peut-être, l’islamisme prospérant là où se trouve la racaille.

Un article de Paris Match témoigne de l’état de délabrement de certains quartiers administrativement français, rongés par l’islamisme, la délinquance de droit commun et l’assistanat. Les « jeunes » interrogés pour les besoins du reportage sont un peu confus, souvent portés sur les théories du complot, mais ils ont quelques certitudes. Ils vivent à Toulouse, dans le Grand Mirail. De leur point de vue, la loi d’Allah est supérieure aux lois de la République. D’ailleurs, ils ne se sentent français que pour vivoter grâce aux aides sociales qu’ils cumulent souvent aux profits générés par de menus larcins. Samir déclare ainsi : « Pour moi, l’islam est incompatible avec la République, […] C’est à la laïcité, à vous, de vous adapter à notre culte, pas l’inverse. […] La communauté musulmane pourrait se rebeller. Vous êtes loin de la réalité. Pour moi, la guerre civile est inévitable. » Un message reçu cinq sur cinq par les politiciens arrangeants, clientélistes et lâches qui nous gouvernent.

J’aimerais adresser deux réflexions au charmant Samir : si ce pays lui déplaît, il est tout à fait libre de le quitter, nous ne lui en voudrions pas, car la France n’a pas à s’adapter à lui ; en outre, pour qu’il y ait une guerre civile, il faudrait considérer que Samir est un Français, ce qui me paraît discutable puisque son assimilation à la communauté nationale a manifestement échoué dans les grandes largeurs. Samir n’est pas le seul dans ce cas. L’échec de l’intégration des populations immigrées est patent. Pensez donc qu’en 2016, des islamistes louent un centre aquatique pour des femmes qui s’y baigneront en « burkini » (néologisme formé par la contraction de « burka » et « bikini »). Français de papiers, ils entendent vivre selon leurs propres lois, éloignées de nos mœurs nationales. Il leur faut donc songer à plier bagages.

Nous ne devrions pas prendre à la légère ces exemples. Ils s’ajoutent à un contexte catastrophique : la démographie du Sud explose, le monde musulman subit des changements politiques majeurs, l’islam de combat s’est durablement réveillé, l’Occident est en pleine crise identitaire (ce qui entraîne une crise institutionnelle, les institutions politiques occidentales étant consubstantiellement liées à son identité historique). En sus de ces problématiques majeures, les apprentis sorciers du marxisme culturel tentent de créer une lame de fond insurrectionnelle, nourrie par la haine des forces de l’ordre et un racisme anti-blancs latent chez les personnes d’ascendance extra-européenne. L’affaire Adama Traoré est symptomatique de cet état de fait, de même que les marches organisées pour la mort du pitbull AK-47 lors d’une intervention de la gendarmerie dans le quartier de La Courneuve.

Contrairement à ce qu’avancent quelques penseurs, sortir de l’impasse présente passera par la réconciliation entre la France historique et son incarnation temporelle : l’État. Fermeté, ordre, souveraineté totale, c’est-à-dire souveraineté enracinée. La souveraineté, c’est d’abord être à soi-même sa propre norme. Ceux qui vivent en France doivent vivre avec la France éternelle, ou s’effacer. Autrement, il n’y aura plus de « nous », mais des « ils » séparés par des grillages et des fils barbelés. Faute d’avoir fermé nos frontières naturelles, nous en recréerons à l’intérieur du pays. Cela a déjà commencé. Vous ne le voyez pas ?

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

Annulations en cascade : les maires crèvent de trouille

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Des annulations de festivités comme s’il en pleuvait ! Du nord au sud, d’est en ouest en passant par le centre et Paris, cette année, Français ou touristes seront privés de feux d’artifice, de démonstrations aériennes ou de festivals de cinéma au grand air. Et Lille, la ville de Martine Aubry, « suspend » sa grande braderie commerciale.

« Une décision extrêmement douloureuse pour moi à prendre, je dirai même effrayante, dure », dit-elle, l’air mal à l’aise. Et de mettre en avant sa « responsabilité morale » pour éviter qu’« il puisse y avoir des blessés, voire des morts dans cette braderie ». Autrement dit : dans notre ville ou venus d’ailleurs existent de dangereux individus en liberté prêts à tuer et, étant incapable d’assurer votre sécurité, à vous honnêtes citoyens, je vous prie de rester chez vous. Martine Aubry, qui n’a jamais caché sa grande sympathie pour son électorat musulman, se couche ainsi devant la partie extrémiste de celui-ci. Elle avoue, d’ailleurs, clairement et sans honte ne pas « réussir à réduire les risques »… alors que l’État n’utilise même pas les 90 % de l’arsenal juridique à sa disposition, comme le soulignait récemment Marion Maréchal-Le Pen.

Ah, ils ont l’air fin, à présent, tous ces maires Charlie ! Après avoir dit aux Français de ne pas avoir peur, de continuer de s’amuser, de consommer, ils crèvent de trouille à l’idée que le prochain attentat se produise dans leur ville ! Mais ce n’est pas seulement cela, l’annulation des festivités. Par exemple, la suppression de la braderie, en plus d’être traditionnelle, s’avère aussi un cruel manque à gagner pour les commerçants. 40.000 euros pour un petit restaurant comme le mien, disait un propriétaire, sur BFM TV, effondré. Et que dire des touristes qui, cette année comme pour les autres qui s’annoncent aussi sombres, renonceront à venir dans notre pays ?

Ah, comme ils sont beaux, ces maires qui n’ont eu de cesse de courtiser l’électorat musulman, maintenant que plusieurs dizaines de milliers d’individus potentiellement terroristes s’apprêtent à passer à l’attaque aux cris d’Allah Akbar ! C’est la même Martine Aubry qui, dans une bouffée délirante, s’exclamait, il n’y a pas si longtemps, devant un parterre de voilées, de burqas et de djellabas, qu’elle s’emmerdait « quand on est tous pareils ». Force est de constater que, depuis, les différences tuent beaucoup.

C’est donc cela, liberté et « vivre ensemble », de rester gentiment cloîtrés chez nous parce que, dehors, tout près, l’État se révèle impuissant à assurer notre sécurité ? Aujourd’hui, on annule les manifestations estivales, demain, on impose chaque soir un couvre-feu ? « Daech ne nous impose rien », vient de dire le résident de l’Élysée en goguette, à Rio. En fait, après avoir pactisé, donné, accordé à l’islam de plus en plus conquérant, l’État a capitulé.

Ah, elle peut être fière, Martine Aubry ! Avec son militantisme quasi pathologique des immigrés, des clandestins, sa culture de l’excuse à l’égard des petits voyous des banlieues, avec sa vision communautariste de la société et ses liaisons dangereuses avec le sulfureux Amar Lasfar, cela a bel et bien abouti à ce qui lui tenait à cœur : une « nouvelle civilisation ». Qui ne peut plus rien fêter ou célébrer. Ce ne sont pas les socialistes qui nous serinent le progressisme ?

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire

Suède, Islam et immigration

Suède, Islam et immigration - Extrait du documentaire un oeil sur la planète diffusé sur France 2 le lundi 13 septembre 2010 à 22h40


Suède, Islam et immigration par abder_rahman

Philippot (FN) : « Condamner un homme pour des lardons devant une mosquée est une application de la loi islamique »

Le vice-président du Front national a défendu l’homme condamné à de la prison avec sursis pour avoir déposé des lardons devant une mosquée de Meurthe-et-Moselle au lendemain de l’attentat touchant une église de Normandie. «C’est l’application de la loi islamique» a carrément tranché Philippot.

Un homme se disant « choqué » et « perturbé » par l’assassinat d’un prêtre près de Rouen par des jihadistes a été condamné à six mois de prison avec sursis à Nancy pour avoir, en réaction à cet attentat, déposé des lardons devant une mosquée en Lorraine. Le prévenu, un charcutier-traiteur au chômage, âgé de 38 ans, était jugé vendredi devant le tribunal correctionnel de Nancy, en comparution immédiate, pour « violences commises en raison de l’appartenance de la victime à une religion ».

Florian Philippot, vice-président du FN et chef de file du parti dans la région Grand-Est a apporté son soutien ce jeudi 4 août à cet homme condamné par la justice. Ce matin, sur RMC, il a assuré «c’est certes un acte crétin, un acte qu’il faut condamner (…) par une amende, un rappel à la loi» mais «six mois de prison avec sursis pour avoir déposé des lardons dans une boîte aux lettres de mosquée, je ne sais pas ce qu’il peut motiver une condamnation aussi lourde si ce n’est l’application de la justice islamique» a osé le bras droit de Marine Le Pen.

«Le procureur demandait même six mois ferme avec détention immédiate pour des lardons dans une boîte aux lettres» a fustigé M. Philippot. «C’est une sorte de délit de blasphème» assure-t-il. «A Bayonne, pour apologie du terrorisme, un homme a été condamné à un mois de prison avec sursis pour avoir menacé d’égorger des Français» a dénoncé le frontiste.

Source : Fdesouche

Allemagne: cinq personnes agressées au couteau à Magdebourg

Selon la presse allemande, un homme armé d'un couteau aurait fait cinq blessés dans la ville de Magdebourg, près de Leipzig. Selon le quotidien Rheinische Post, une femme de 64 ans ferait partie des blessés.

Les forces de police se sont rapidement rendus sur les lieux du drame. Le suspect serait toujours en fuite. Les recherches seraient suspendues pour la nuit, et reprendraient demain matin, selon une source proche de l'enquête citée par les médias allemands.

Source : Le Figaro

mardi, 09 août 2016

Les policiers maitrisent un arabe hurlant « Allah Akbar ! » sur les Champs-Élysées

La scène s’est déroulée sur l’avenue des Champs-Élysées samedi matin à 11h40. Un homme s’est présenté devant le 84 Galerie des Champs-Élysées et a commencé à crier une série d’ « Allah Akbar » (Dieu est le plus grand). L’intervention de la police fut très rapide, maîtrisé l’individu a été embarqué et conduit au commissariat. 

Source : islamisation.fr

A Paris, la police disperse quotidiennement les groupes de migrants

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Orhan Majidi et Hamid Ahmadzai, deux jeunes Afghans, campent tant bien que mal, depuis deux mois, avec une dizaine de leurs compatriotes, sur la même rampe du parking de l’immeuble de France terre d’asile, boulevard de la Villette, dans le 19e arrondissement de Paris. A chaque voiture qui veut entrer ou sortir, il faut déménager un matelas, des affaires… Etudiant, arrivé par la Turquie, Orhan ne veut pas s’éloigner, fût-ce de quelques mètres, du local de l’association qui lui a donné rendez-vous le 17 août pour lui fournir le précieux récépissé de dépôt d’une demande d’asile qui lui ouvrira probablement les portes d’un centre d’accueil. Hamid, lui, attendra dix jours de plus.

A deux pas, près du bassin de la Villette, et de l’autre côté, rue Pajol, ce sont plutôt de petits groupes de Soudanais, Erythréens, Ethiopiens qui viennent compléter cette cartographie de l’exil du monde vers Paris. Les conditions sont précaires, sans toilettes, autour d’un point d’eau unique, et les migrants sont condamnés à l’errance. Presque chaque jour, vers midi, la police les déloge, les emmène au commissariat pour identification et, parfois, délivre des obligations de quitter le territoire, avant même qu’ils aient pu formuler la moindre demande d’asile.

Ce qui a changé, depuis juillet, c’est que les évacuations ne s’accompagnent plus, comme auparavant, du travail d’encadrement d’associations spécialisées et encore moins de propositions d’hébergement : « Face à eux, les migrants n’ont plus que des policiers », constate Loïc Horellou, riverain et bénévole dans un collectif de soutien protéiforme qui prodigue repas, couvertures et tentes, et aide dans les démarches administratives. Les forces de l’ordre ont, en effet, pour mission de prévenir toute formation de nouveau regroupement.

 « Chasse à l’homme »

Les pouvoirs publics n’ignorent pas que la route venant de Libye via l’Italie jusqu’à Paris est très empruntée, comme en témoigne la tension à la frontière de Vintimille et Menton (Alpes-Maritimes), où, vendredi 5 août, à l’issue d’une manifestation, 140 migrants ont tenté de franchir : « C’était la chasse à l’homme dans les rues de Menton », témoigne Martine Landry, militante locale d’Amnesty International. Treize militants de No Border ont été placés en garde à vue.

« Entre 50 et 60 personnes arrivent chaque jour à Paris, les rassemblements se forment très vite et il n’est pas question, pour la ville, de revivre le scénario de l’été 2015, avec ses campements indignes », plaide Dominique Versini, adjointe à la maire de Paris chargée, notamment, de la solidarité.

« Voilà un an que notre quartier, entre la gare de l’Est où débarquent les Afghans, la gare du Nord, chemin vers Calais, et l’unique point d’enregistrement de France terre d’asile, boulevard de la Villette, accueille de multiples campements et c’est difficile à vivre pour tout le monde, habitants, commerçants et, surtout, migrants », explique Loïc Horellou. Chaque évacuation de campement se traduit, pour en empêcher la reformation, par l’édification de grilles toujours plus hautes et robustes, entravant la circulation dans le quartier. Entre les stations de métro Jaurès et La Chapelle, l’espace sous la ligne aérienne, refuge commode, est désormais totalement condamné.

5000 places d’accueil temporaires créées

Depuis août 2015, la préfecture de la région Ile-de-France – l’accueil des migrants est une compétence d’Etat – a démantelé 26 campements et mis à l’abri près de 15 000 personnes, un véritable tour de force, apprécié des migrants puisque seulement 80 d’entre eux en sont partis.

La rumeur d’une évacuation, qui signifiait jusqu’à récemment la promesse d’un toit, attire les candidats : « Lors de la dernière mise à l’abri, le 22 juillet, nous avions, la veille, recensé 1 500 personnes et trouvé, avec beaucoup de difficultés, autant de places, mais ce sont 2 600 personnes que nous avons découvertes le matin », raconte Sophie Brocas, préfète de Paris, qui s’avoue à court de lits et a dû, en toute hâte, réquisitionner cinq gymnases. La préfecture cherche des solutions pérennes : entre 80 et 100 migrants partent, chaque semaine, vers des hébergements en province.

En 2016, 5 000 nouvelles places d’accueil temporaire ont été créées, dont 2 000 en Ile-de-France, et 216 millions d’euros ont été débloqués. « L’Etat fait des efforts, mais notre système est engorgé et absurde tant qu’il n’y a pas de solidarité entre villes. Bien accueillir 15 000 réfugiés par an est pourtant à notre portée, estime Pierre Henry, directeur général de France terre d’asile, mais il faut des centres d’accueil dans une trentaine de grandes villes, après un recensement et une identification indispensables. ». « Notre projet d’ouvrir, fin septembre, un lieu humanitaire de premier accueil, à Paris, est en marche, avec l’accord de l’Etat, mais il en faut d’autres, partout en France », suggère Mme Versini.

 Isabelle Rey-Lefebvre
 


Attentat de Charleroi : la convergence (annoncée) des catastrophes ! (+ vidéo)

A Charleroi, l’auteur de l’attaque à la machette qui a défiguré deux policières est :

  • un Algérien, en séjour illégal
  • toujours présent en Belgique après deux ordres de quitter le territoire
  • en liberté malgré le fait qu’il était connu pour plusieurs faits de délinquance
  • radicalisé sans que les services de renseignement ne l’aient identifié.

L’énumération de ces faits est une tragique illustration que RIEN mais RIEN ne fonctionne dans ce pays : les lois, la justice, les services de renseignement ! C’est une faillite totale !

Il n’y a plus rien à améliorer ou à changer « un peu ». Il faut tout changer de fond en comble !

Pour y arriver, il faut qu’aux prochaines élections, la population sache qu’elle pourra exprimer toute sa déception, sa colère et sa volonté de changement au travers d’un seul vote : celui en faveur de NATION !

Et ce sera la seule priorité de nos membres et militants : faire savoir au plus grand nombre que NATION existe, expliquer nos propositions et faire comprendre que le vote NATION est la seule manière pour qu’on puisse enfin faire pression sur les partis traditionnels et qu’ils inversent leurs politiques absurdes et dangereuses pour l’avenir de ce pays.

Plus que jamais, NATION est la seule alternative, l’unique opposition !

Source : Nation.be

Le Danemark veut interdire de sortie les réfugiés

Les mineurs à risques pourraient être consignés dans les centres d'accueil.

L'hiver dernier, le Danemark avait attiré l'attention internationale avec l'adoption d'une loi permettant la saisie de biens et d'argent des demandeurs d'asile arrivant dans le pays. Tout réfugié est désormais censé ne pouvoir conserver, au maximum, que l'équivalent de 1.340 euros en liquide, ainsi que les objets ayant « une valeur sentimentale ». Le cash d'un montant supérieur et les autres objets de valeur doivent être saisis pour couvrir les dépenses engagées par l'Etat durant le séjour de leurs propriétaires. Dans les faits, il a fallu attendre près de cinq mois après l'entrée en vigueur de la loi pour que la police débusque des réfugiés y contrevenant. Le 28 juin, près de 10.700 euros étaient confisqués à l'aéroport de Copenhague, auprès d'un groupe de cinq Iraniens tentant d'entrer avec de faux papiers. Face aux critiques, le gouvernement libéral réitéra alors son message : « S'ils en ont les moyens, les demandeurs d'asile doivent payer. »

A peine cette controverse retombée, la classe politique réfléchit à d'autres moyens de régler certains problèmes suscités par l'augmentation, en 2015, du nombre de demandeurs d'asile (21.000 pour 5,6 millions de Danois). Le débat porte désormais sur la liberté de mouvement des jeunes réfugiés masculins. A l'origine, des plaintes déposées pour viol contre deux mineurs et attentat à la pudeur contre trois autres, à l'occasion d'un festival de musique. Ces jeunes sont âgés de 14 à 17 ans.

La fermeté prônée

Blâmée, la direction du centre les hébergeant a rétorqué que l'appel était fait trois fois par jour et qu'elle ne pouvait exiger plus. A moins d'interdire de sortie tous les jeunes réfugiés masculins susceptibles de comportements répréhensibles. C'est en tout cas l'idée avancée par les deux principales formations politiques : le Parti social-démocrate (opposition) et le Parti du peuple danois (DF), qui soutient le gouvernement minoritaire au Parlement. La ministre de l'Immigration, la libérale Inger Støjberg, y est également favorable. Selon elle, « la pédagogie n'est pas la bonne voie à suivre, il faut plus de fermeté ».

Les partis vont maintenant définir le profil de ceux qui seraient soumis à cette interdiction (a priori, les mineurs seulement), comment la mettre en place et la faire respecter. S'il existe une majorité au Parlement pour l'adopter, ce n'est pas le cas, à l'heure actuelle, d'une autre proposition de DF (21 % dans les sondages) : geler l'immigration en provenance des pays musulmans pendant cinq à six ans.

Antoine Jacob
Source : Les Echos