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lundi, 22 août 2016

Le burkini, une arme au service de l’islamisation de la France

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L’islam n’est pas une religion de paix et d’amour comme le prétendent ceux qui maudissent les Juifs et les Chrétiens dix sept fois par jour en priant mais celle du mensonge, de la falsification et du chaos organisé. Il s’est imposé au cours des siècles grâce aux torrents de sang, car sans sa violence sacrée, il serait passé depuis longtemps dans le domaine du folklore…
C’est une religion de haine et d’exclusion, c’est un apartheid voulu par Allah et son Envoyé contre tout non musulman, contre tout apostat et contre les femmes qui sont désignées comme les symboles de l’impureté et les alliées du diable ( El chaytane).
En cette période estivale propice à la détente et aux loisirs, une tempête médiatique est sciemment entretenue en France par les mahométans purs et durs ( c’est à dire les islamistes) qui tentent de faire passer le burkini comme étant un choix personnel des femmes musulmanes qui le portent pour ‘ bronzer’ et profiter ainsi des plaisirs de la mer comme si l’islam le recommandait.
Pourtant, au temps du beau modèle de Médine, il n’y avait pas de congés payés et encore moins les joies de la mer dont on pouvait profiter en famille. Il y avait uniquement une économie basée sur le bazar et les razzias où les femmes étaient une marchandise qui rapportait gros surtout lorsqu’elles étaient jeunes et esclaves sexuelles, comme le sont actuellement certaines filles et femmes yazidies aux mains de DAESH, que les médias du système mondial ignorent car ces malheureuses n’habitent pas dans une contrée qui regorge de pétrole comme en Arabie Saoudite.
Prétendre que le burkini est un choix de vie de la femme musulmane est une hérésie, c’est un mensonge éhonté que seuls les adeptes d’Allah savent produire en quantité industrielle dès qu’ils se sentent acculés, en jouant sur les fibres de la victimisation pour endormir les idiots utiles.
Il est bon de rappeler que selon l’orthodoxie musulmane, la femme musulmane doit se voiler intégralement et sous aucun prétexte se montrer en publique sans son khimar ( le voile intégral).
Par conséquent, le burkini est une innovation ( une bidâa) que l’islam condamne fermement, d’après ses textes fondateurs (coran, sunna, fiqh) .
Et toute bidâa est blâmable et ses initiateurs ou initiatrices sont voués à l’enfer, selon les quatre écoles sunnites (malékite, hanafite, chafiite, hanbalite).
Le burkini ne fait pas partie des accoutrements islamiques mais par contre le voile intégral (burqua) est un ordre d’Allah.

Dans la sourate 24 ( An-Nur) verset 31, il est écrit :
« Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté et de ne montrer de leurs atours que ce qui est paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines ; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, où à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu’elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu’elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l’on sache ce qu’elles cachent de leurs parures. Et repentez-vous tous devant Allah, ô croyants, afin que vous récoltiez le succès ».

Et dans la sourate 33 ( al-ahzab) versets 33 et 59, il est écrit aussi :
« Restez dans vos foyers ; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes d’avant l’islam ( Jahiliyah). Accomplissez la salat (la prière), acquittez la Zakat(l’aumône) et obéissez à Allah et son Messager. Allah ne veut que vous débarrasser de toute souillure, ô gens de la maison (du prophète), et veut vous purifier pleinement ».
« Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants de ramener sur elles leurs grands voile : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux ».

D’après le coran, la femme musulmane n’a pas le droit de quitter son foyer sans sa burqua et sans l’autorisation de son tuteur.
Et ceux qui disent le contraire, n’ont qu’à apporter des preuves coraniques.
En vérité, les islamistes savent ce qu’ils font mais en conquérants pernicieux et fourbes, ils claironnent que la musulmane est libre pour obtenir le soutien des islamo-collabos afin d’islamiser la France sans faire de vagues.
Les idéologues de l’islamisme mènent le djihad conformément aux recommandations d’Allah et de son Prophète et ils ne sont pas aussi naïfs comment on essaye de les faire passer. Car contrairement à ceux en Occident qui permettent à l’islam de s’étendre, eux sauront utiliser sa violence sacrée au moment opportun pour créer le désordre et la peur.
En attendant, ils profitent des bienfaits de la démocratie et de la liberté, tout en continuant à propager le virus islamique en Occident. Mais ils n’oublieront jamais les hadiths de Mahomet qui considèrent la femme comme une éternelle mineure, incapable de réfléchir et qui doit avoir un tuteur (wali), son maître incontesté ici-bas et dans l’au-delà.
Et pour la bonne cause, certains dignitaires religieux musulmans essayent de vendre l’égalité homme-femme.
Faut-il les croire ?

En réalité, ils créent une tempête médiatique pour se faire passer comme étant des victimes du racisme gaulois. Leur mensonge ne pourra pas durer une éternité parce qu’un jour viendra, à ce moment-là, les non musulmans se lèveront pour dire stop à la terreur islamique. Ce n’est qu’une question de temps.
Selon la sunna, les croyantes doivent impérativement porter le khimar (ou niqab, djilbab), ce voile intégral qui ne doit laisser rien transparaître de leur corps afin qu’elles ne soient pas souillées par le regard des hommes. Dans le cas contraire, elles désobéissent à Allah et son Envoyé et elles savent ce qui les attend, le jour du jugement dernier.

Porter le burkini sur une plage au milieu des hommes, n’est-ce pas désobéir à Allah et son Envoyé?
Selon Muslim, Mahomet a dit : « toute femme qui se met du parfum et qui passe devant les hommes est une fornicatrice ».
Et celle qui se met en burkini sur une plage, n’est-elle pas une provocatrice ?

Dans sahih Bukhari, Mahomet a dit :
« Toute femme qui enlève son khimar (voile intégral) dans une autre maison que la sienne ou celle de son époux ôte l’enveloppe qui la protège devant Dieu ».
Une femme en burkini sur la plage, ne se montre-t-elle pas nue devant Allah et son Messager?

Mahomet a averti les musulmanes en leur disant : « Vous les femmes, vous n’avez pas le droit de marcher au milieu des hommes en sortant de la mosquée. Restez sur les côtés ».

Où est donc passée l’égalité homme-femme que les féministes islamistes  chantent à tue-tête ?
L’Apôtre d’Allah avertit aussi ses ouailles en les prévenant : « Il ne peut pas y avoir de tête-tête entre un homme et une femme sans que le diable ne s’en mêle et ne provoque le pire ».

Au moins, c’est limpide alors attention à la fornication, messieurs-dames du monde musulman.
Selon Abou Daoud, un hadit de Mahomet rapporté par Aïcha, la femme favorite de Mahomet, et mère des croyantes  dit :
«  Asma entra chez l’Apôtre d’Allah, avec des vêtements transparents, le prophète se détourna en disant : « Il y aura dans ma communauté des femmes habillées mais en réalité, elles sont nues. Sur leur tête, il y a comme des bosses de chameaux, maudissez-les car elles sont devenues maudites ; elles n’entreront pas au paradis et ne sentiront pas son odeur, bien qu’on puisse sentir son odeur de très loin ».

Et les femmes en burkini, les musulmans, doivent-ils les maudire ?
Une femme en burkini dès qu’elle est dans l’eau, son burkini devient moulant et ses rondeurs (qui sont parfois généreuses) sont visibles à un kilomètre à la ronde.
Où est donc passée la pudeur que les imams ressassent chacun vendredi dans leurs prêches ?
Mais pour eux, le burkini est licite parce qu’il participe activement à l’islamisation de la France au même titre que le ramadan, le voile islamique, la nourriture halal, la construction des mosquées, l’aïd al-adha et les accoutrements ostentatoires dans l’espace public.

Désormais, l’islam avance à visage découvert et aucun obstacle ne le gêne, à l’exemple de cette auto-école de Villefranche-sur-Saône, dont la gérante veut ouvrir une salle de cours réservée exclusivement aux femmes.
Hamdoulillah ! Machâa Allah ! Ina Allah âala kouli chayine kadir (Allah est capable de tout) !

Hamdane Ammar

Source : Riposte laique

Toutes en burkini !

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Dans la presse étrangère c’est la stupéfaction et la risée devant les arrêtés municipaux interdisant le burkini sur des plages françaises. On marche sur la tête, en quoi une tenue de plage dont le visage n’est pas couvert porte t-il atteinte à la sécurité du territoire ou aux valeurs de la république. Est-ce du repli identitaire que des femmes choisissent de ne pas se balader sur les plages en bikinis, les seins nus, en strings voire carrément nues. Il est évident que ce n’est pas la tenue qui est visée mais celles qui la portent parce qu’elles sont musulmanes.

Sur fond d’attentats et d’état d’urgence, les ruées racistes contre les musulmans
se multiplient : après la peur du grand remplacement idéologisé par Eric Zemmour et le Front National, le fichage des élèves musulmans proposés par le scandaleux maire de Beziers, on interdit aux femmes musulmanes de porter des burkinis. Et pourquoi ne pas interdire la barbe des musulmans tant qu’on y est ?

Créer un lobby pro arabo-musulman

Face à cette spirale islamophobe, il faut que les français arabo-musulman s’organisent en lobby afin de peser dans le débat publique trop souvent accaparé par la droite et l’extrême droite. Ce n’est pas en propulsant Jean Pierre Chevènement à la tête de la Fondation pour l’ Islam de France que l’on va régler les problèmes, d’autant qu’à peine installer il a enjoint les musulmans à la discrétion.Ce qui à provoqué bien des moqueries sur Twitter. Il est scandaleux qu’un premier ministre, de gauche de surcroît, Manuel Valls apporte son soutien aux maires - majoritairement de droite - qui ont interdit le port du burkini sur les plages.

Le Conseil contre l’islamophobie en France (CCIF) a déposé à juste titre un recours contre l’arrêté de la ville de Cannes qui interdit aux femmes de porter des burkini sur la plage.L’association féministe Ni pute Ni Soumise dirigée par l’ancienne ministre Fadela Amara( qui pantoufle bien tranquillement dans un ministère) est bizarrement totalement absente du débat. Il faut que nos élites françaises d’origine arabo-musulmane investissent davantage le champ des médias, de la politique nationale afin de peser dans le débat. Que les pays du Golfe sanctionnent la France pour ses dérapages répétées contraire aux valeurs de la république en gelant leurs investissements ou en stoppant leurs achats d’armes et de produits de luxe.
Le burkini a été inventé il y a une dizaine d’années par le designer australien Aheda Zanetti, qui a repéré un business prometteur dans le marché des vêtements de sport islamique.

Source : France-moyenorient

Grèce. Débat sur la construction d’une mosquée à Athènes

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La décision de construire une mosquée à Votanikos, un quartier d’Athènes – la première mosquée moderne érigée dans le pays –, est importante pour des raisons historiques et politiques. Trente-trois ans après la première demande, les musulmans du pays, qui sont plus de 100’000 selon le Ministère des affaires étrangères grec, auront enfin droit à une vraie mosquée dans la capitale. C’est un pas important en termes d’égalité des cultes en Grèce. Pourtant, la décision a donné lieu à une polémique violente et les représentants d’ANEL (Grecs indépendants), parti de la droite extrême populiste qui participe au gouvernement, ont voté contre la motion. L’Aube dorée, le parti nazi, a aussi voté contre et ses députés ont attaqué un député musulman à l’intérieur du parlement. Thanasis Kourkoulas, membre de DEA [Gauche ouvrière internationale], du Réseau Rouge et de KAR [Mouvement « Déportez le racisme »], écrit ici en faveur de la création de la mosquée.

*****

L’islamophobie ne caractérise pas seulement les fascistes et l’extrême droite. Il s’agit d’une large campagne idéologique conduite par les médias, les politiciens nationalistes et les partis au pouvoir à une échelle d’ensemble et avec des appuis internationaux.

Après le 11-Septembre, les Etats-Unis et leurs alliés ont commencé une croisade incroyable contre « l’axe du mal », une croisade qui a pris la forme de deux guerres impérialistes en Afghanistan et en Irak, de la création des prisons illégales pour les musulmans dans divers pays et de la montée de la répression policière contre les musulmans et les Arabes dans les pays de l’Ouest.

En même temps, le fondamentalisme chrétien à l’Ouest a été renforcé par les « croisés » de l’extrême droite, qui ne permettaient pas la création de mosquées à New York, qui interdisaient les minarets en Suisse et le voile intégral en France. En Grèce, un des slogans fondamentaux d’Aube dorée est « Pas de mosquée à Votanikos ». Les plus importants « arguments » des islamophobes sont que la civilisation chrétienne et la civilisation musulmane sont incompatibles, que l’islam est une religion réactionnaire et une source de terroristes, que le caractère « gréco-chrétien » du pays sera déformé, etc. Il s’agit d’arguments réactionnaires grotesques, lesquels – s’ils étaient avalisés par la majorité parlementaire (du gouvernement Tsipras) – pourraient créer ce qu’elle veut éviter : la réaction et le repli des musulmans sur une base religieuse, comme réponse à leur marginalisation et au refus d’’être intégrés égalitairement à la société.

Et quel est danger pour la religion dominante en Grèce quand il y a une église orthodoxe à chaque coin de rue ? Quand l’Eglise orthodoxe est le plus grand propriétaire de terre et d’immeubles du pays ; une machine gigantesque qui – au lieu d’être taxée – est financée par l’Etat ? Quand les salaires des prêtres sont payés par l’Etat ? Quand chaque jour les classes des écoles commencent par la « prière » ?

Il s’agit en fait d’un fondamentalisme orthodoxe tellement profondément ancré dans le système qu’il a le culot de renier la liberté de culte même dans sa forme constitutionnalisée, de refuser aux autres cultes tout droit démocratique d’expression religieuse.

Les femmes

Un argument central de la propagande anti-islamique concerne la position de la femme dans le monde musulman. Mais, à ce propos, les Eglises chrétiennes ne sont pas nécessairement plus progressistes. Selon la Bible, la première femme a été créée à partir d’une côte du premier homme. La « chute du paradis » a été la faute d’Eve, qui a entraîné Adam dans le péché. Lors des mariages orthodoxes les prêtres disent à la femme « d’avoir peur de l’homme ».

Jusqu’au XIXe siècle, dans les pays développés de l’Ouest, les rapports sexuels avant le mariage étaient défendus pour les femmes, les femmes devaient être couvertes jusqu’aux chevilles, les enfants conçus en dehors du mariage étaient stigmatisés, la propriété était héritée par le fils aîné et la femme n’avait pas le droit de demander le divorce.

Les différences entre « l’Est » et « l’Ouest » résultent du fait que l’Est est aujourd’hui moins développé économiquement que l’Ouest. Mais la raison n’est autre que l’exploitation de ces pays par les puissances impérialistes de l’Ouest au XIXe siècle comme au XXe siècle. Il ne s’agit pas ici d’un quelconque gouffre éternel entre civilisations « progressistes » et « réactionnaires » créé par la religion.

Des libertés religieuses

La concession des libertés religieuses aux musulmans va dépolariser les « différends religieux » et faciliter les luttes communes des travailleurs locaux et immigrés / réfugiés sur les problèmes que nous avons en commun et que nous devons affronter en commun : les mesures d’austérité barbares, la pauvreté et le chômage, les politiques des capitalistes et de leurs gouvernements.

C’est une grave erreur de manifester de l’indifférence pour ce qui a trait aux droits religieux des immigré·e·s et des réfugié·e·s en adoptant l’argument selon lequel les religions en général sont réactionnaires. C’est une erreur encore plus grave de soutenir les interdictions religieuses des gouvernements au nom du « progrès », comme une partie de la gauche est encline à le faire.

La défense des libertés religieuses des immigré·e·s et des réfugié·e·s crée la possibilité de former des relations spécifiques de confiance et facilite notre communication au sein du mouvement social et des salarié·e·s. Aujourd’hui, en particulier, au moment où leurs conditions de vie dans les camps de concentration sont déplorables, cette prise de position est plus nécessaire que jamais. Le « snobisme » ou le soutien à l’oppression religieuse dominante ne font que faciliter les ambassadeurs et les cliques religieuses réactionnaires d’agir au milieu des immigrés / réfugiés et de se présenter en tant que défenseurs de leurs droits. Aussi, ils renforcent parmi les immigrés / réfugiés l’opinion qu’ils n’ont pas seulement contre eux les gouvernements et les fascistes, mais toute la population locale. Cela crée ainsi une polarisation religieuse accentuée entre les exploité·e·s et les opprimé·e·s. (Article publié dans le bimensuel de DEA, le 9 août 2016, traduction Sotiris Siamandouras, édition A l’Encontre)

Thanasis Kourkoulas

Source : Alencontre

Ces Allemands qui quittent l’Allemagne pour fuir les migrants

Nos confrères d’Alsace Actu ont découvert un reportage de la chaîne allemande ZDT (télévision) à propos de ces Allemands qui commencent à fuir leur pays pour échapper à l’invasion migratoire. La politique migratoire initiée par Angela Merkel, et qui a abouti en 2015 à l’arrivée de plus d’un million de migrants, ne fait en effet pas que des heureux en Allemagne, ni en Europe de l’Ouest en général.

« Cette arrivée massive a engendré depuis un certain nombre de problèmes, parmi lesquels les agressions sexuelles de masse de Cologne et d’autres villes au Nouvel An, ou les attaques terroristes commises par des terroristes infiltrés parmi les masses de migrants. En outre, elle semble inciter un nombre croissant d’Allemands à quitter l’Allemagne pour des pays moins concernés par l’immigration extra-européenne. Si ce phénomène est connu parmi les populations retraitées, il commence également à toucher les jeunes. C’est à ce sujet que la chaîne de télévision allemande ZDF a réalisé un court reportage sur un couple de jeunes Allemands qui prépare son émigration en Hongrie, sur les bords du lac Balaton.» écrivent nos confrères.

La politique protectrice menée par Orban notamment en Hongrie, mais aussi celle menée en Slovaquie, en République Tchèque, en Autriche, en Pologne, incite de plus en plus d’Européens à se rendre dans ces pays. Et à songer, éventuellement, à s’y installer plus tard : « si la Bretagne venait à être touchée comme le reste de la France par l’immigration – et c’est déjà pratiquement le cas dans les grandes villes – alors nous choisirions de partir à l’Est » nous explique Laurent, un breton père de 5 enfants qui « le ferait la mort dans l’âme ». « Mais si c’est nécessaire pour assurer un avenir à mes enfants dans une société harmonieuse et réellement européenne, alors je le ferai. Nos parents et nos grands parents ont laissé faire cette situation et nous ont offert un cauchemar multiculturel, à nous de protéger nos enfants et de leur offrir un avenir meilleur ».

Source : Breizh-info

Sous les pavés, l’islam

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Les idiotes utiles de l’islamisation – entendez, par là, les féministes de tous bords -, ne savent plus comment décrêper le chignon, fût-il sous un voile ou une burka.

Depuis presque un demi-siècle, l’Internationale féministe nous broie les tympans menu avec le droit acquis de disposer de son corps, témoin (nous dit-on) de « la libre expression de la volonté et de la responsabilité individuelle » de celles qui y souscrivent. Cet apostolat est, en fait, le jumeau de celui de l’Internationale multiculturaliste, qui milite pour le droit à la différence et celui des minorités dites visibles. Ces deux combats sociétaux sont, d’ailleurs, souvent menés de front et de pair par les mêmes thuriféraires du progrès.

Des musulmanes voilées abreuvées de valeurs républicaines, tout récemment dévoilées féministes, se sont donc judicieusement réappropriées ce droit à disposer de leur corps selon leurs convenances. À l’instar des soixante-huitardes qui ont su se libérer à leur façon, ces bâchées – partiellement ou intégralement- se targuent désormais de faire ce qu’elles veulent de leur corps et de décider, légitimement, des parties de leur anatomie qu’elles souhaitent dévoiler et de celles qu’elles préfèrent occulter aux rétines masculines concupiscentes. Hier, à la plage, c’était « Aujourd’hui, j’enlève le haut », aujourd’hui, sur cette même plage c’est « Demain, j’enfile mon burkini »… et je vous emmerde parce que je suis une femme libérée !

En 68, le soutien-gorge était l’objet emblématique de la libération, pour la femme occidentale, du joug patriarcal ; de nos jours, le voile, la burka, le burkini seront probablement considérés (moyennant une plaidoirie, une démographie, une soumission et un électoralisme de circonstance) comme le signe emblématique de l’émancipation de la femme musulmane, qui use elle aussi de plein gré du droit de « disposer de son corps ». Et tous ceux qui, comme Manuel Valls, crieront à la provocation islamiste et à l’« apartheid » vestimentaire n’y feront strictement rien car, à ce jeu, les musulmans ont déjà prouvé qu’ils sont les plus forts, comme en témoigne la stricte non-application de la loi républicaine contre le voile intégral.

Et puis, pourra-t-on parler de provocation, de pratique « archaïque », de « symbole d’un projet politique hostile à la mixité et à l’émancipation des femmes », comme le piaillait récemment le ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol, alors que les minorités dites visibles bénéficient d’une protection juridique, médiatique et de leur droit acquis à la différence ? Il n’est pas interdit à d’autres « minorités visibles » de s’accoutrer comme bon leur semble. A-t-on jamais entendu les trémolos républicains de Manuel Valls à la vue d’une plume entre les fesses d’un adepte de la Gay Pride, une muselière dans la gueule, vêtu intégralement d’une combinaison en latex et se faisant fouetter en public ? Est-ce de la provocation ou le droit à la différence ?

Main dans la main, le prosélytisme politico-religieux et le prosélytisme sociétal, les féministes et les progressistes, voilées et emburkinées : sous les pavés, la plage, la plage en burkini. Ou, plus succinctement : sous les pavés, l’islam.

Pierre Mylestin

Source : Boulevard Voltaire



L’Allemagne se déciderait-elle à lutter sérieusement contre l’islamisme ?

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Les Allemands auraient-ils enfin pris conscience de l’ampleur du danger causé par le terrorisme islamiste en Europe ? Certains indices pourraient a priori le laisser espérer. Deux nouvelles montrent que l’Allemagne a décidé d’agir : tout d’abord, le ministre de l’Intérieur allemand, Thomas de Maizière (descendant de huguenots, comme son nom l’indique), songe à une interdiction partielle de la burqa ; ensuite, l’Allemagne envisage la possibilité de déchoir les terroristes binationaux de leur nationalité allemande. Diverses mesures complémentaires, relatives aux moyens des forces de l’ordre, sont aussi en chantier.

Au cours d’une conférence de presse, Thomas de Maizière a déclaré :

« Les Allemands qui participent aux combats à l’étranger pour une milice terroriste et qui possèdent une autre nationalité doivent à l’avenir perdre leur nationalité allemande. »

Si cette position relève simplement du bon sens, elle ne va pas de soi dans l’Allemagne des droits de l’Autre d’Angela Merkel. Un temps, le gouvernement français avait envisagé une mesure similaire, avant d’y renoncer sous la pression de l’aile gauchiste de la majorité. Comme l’a rappelé M. de Maizière, la législation allemande permet déjà de priver de leur nationalité allemande les binationaux engagés dans les forces régulières de pays étrangers. Cet argument d’une logique implacable suffira-t-il à convaincre la puissante bobocratie outre-rhénane ? Pas si sûr.

Pour ce qui concerne le port de la burka, le gouvernement allemand semble vouloir l’interdire partiellement. Thomas de Maizière estime que l’interdiction générale du voile intégral serait « inconstitutionnelle », mais qu’il faudrait introduire

« le principe de montrer son visage là où [ce serait] nécessaire : au volant, lors de procédures administratives, dans les écoles et les universités, dans le service public, devant les tribunaux ».

Pour très largement insuffisante que soit cette déclaration, elle démontre une évolution positive dans l’appréhension du phénomène islamique par les autorités germaniques. De toute façon, l’Allemagne sera bien obligée, à plus ou moins long terme, d’interdire purement et simplement burqas et niqabs sur son territoire national.

Dernière chose, le ministère de l’Intérieur allemand proposera une batterie de mesures destinées à permettre au pays de mieux lutter contre les attaques terroristes : création d’un motif d’arrestation de « mise en danger de la sécurité publique » visant à placer rapidement en détention les étrangers soupçonnés de préparer des attentats ; accélération des procédures d’expulsion, direction unique des forces spéciales, augmentation importante des effectifs de police, investissement dans les technologies de reconnaissance faciale…

Ces bonnes décisions laissent pourtant un goût amer. Le gouvernement allemand, à l’identique du nôtre, n’entend pas lutter contre l’immigration massive, matrice du terrorisme islamiste en Europe. Le chef du renseignement bavarois avertissait, dernièrement, que des groupes liés à l’État islamique avaient pénétré en Allemagne, déguisés en « réfugiés ». Angela Merkel a ouvert la boîte de Pandore. Plutôt que de la fermer instamment, elle tente d’en limiter l’impact. Cruelle erreur historique…

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire



dimanche, 21 août 2016

L'extrême droite allemande milite pour le port d'arme

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Tous les citoyens respectueux de la loi devraient pouvoir détenir des armes afin de se protéger ainsi que leurs familles, a déclaré la chef du parti populiste d'extrême droite Alternative for Germany (AfD) samedi.

"Nous savons tous combien de temps cela prend pour que la police arrive, surtout dans les zones peu peuplées", a dit Frauke Petry, co-présidente du parti AfD, dans une interview accordée aux journaux du groupe Funke Medien.

Ce n'est pas un souci quand les habitants sont armés, a-t-elle ajouté.

Frauke Petry a rejeté l'idée de renforcer les lois sur le port d'arme, affirmant que cela n'aurait d'impact que sur "les honnêtes citoyens et non sur ceux qui se procurent des armes via le darknet", du nom d'un réseau informatique nécessitant un logiciel spécial pour y accéder.

Un nombre croissant de personnes en Allemagne détient des licences pour de petites armes à feu, avec environ 402.000 titulaires de permis dans la première moitié de 2016 (+49%), a rapporté le journal allemand Welt am Sonntag en juillet, citant des informations du ministère de l'Intérieur.

Un tel permis peut s'obtenir sans avoir besoin de démontrer de connaissances spécialisées ou une nécessité. Il permet au titulaire de porter des pistolets au gaz et des pistolets de détresse en public.

Toutefois, le nombre de permis pour des armes plus lourdes a chuté dans la première moitié de l'année à 1,894 million de personnes, selon les chiffres du ministère.

Source : 7sur7.be

Des députés belges avaient milité pour la libération d’un djihadiste !

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Cela ne s’invente pas : en Belgique, berceau du terrorisme moderne, quatre députés, tous de gauche – qui l’eût cru ? -, ont appuyé, à grands coups d’accusations contre l’État belge, la libération d’un… djihadiste.

Les faits remontent à 2010. Oussama Atar est, à l’époque, emprisonné dans une geôle irakienne et souffre, selon sa famille, abondamment relayée par les bonnes âmes, d’un cancer du rein nécessitant une opération urgente. Il en guérira, en réalité, dès son retour dans le plat pays… dont on ignorait tout des vertus guérisseuses.

L’homme possédait déjà alors un fameux pedigree : connu des services de renseignement depuis 2000, l’apprenti djihadiste est spécialisé dans le trafic d’armes à destination de groupes terroristes et ne présente en rien les traits du citoyen pacifiste qui se serait retrouvé, par hasard, dans la prison d’Abou Ghraib.

À l’époque, Zoé Genot – archétype, jusque dans le style vestimentaire et capillaire, de l’écologiste bobo toujours prompte à aider son prochain… s’il est étranger -, Ahmed Mouhssin – archétype du communautariste dont le principal fait d’armes parlementaire est d’avoir déposé une proposition de résolution relative à la lutte contre l’islamophobie -, les… Molenbeekois Jamal Izkaban – archétype du militant pro-palestinien et pro-Hamas, qui écrivit un jour, de sa plume ignorante, que Verdun signifiait… la fin du nazisme -, et Ahmed El Khannouss – archétype du politicien sans talent que l’origine a réussi à faire élire – ont donc appuyé les ONG, dont Amnesty International, pour le faire libérer.

Les partis respectifs des quatre dirigeants politiques impliqués – Ecolo, Parti socialiste et Centre démocrate humaniste – mènent, depuis des années, une politique communautariste faite de clientélisme, d’aveuglement volontaire et de renoncements, afin de profiter de la manne de voix des musulmans au cœur d’une région bruxelloise où il naît plus de Mohammed que de Pierre.

Aussitôt revenu en Belgique, Oussama Atar s’engage dans des groupes terroristes et serait impliqué dans les attentats de Bruxelles qui ont, pour rappel, causé la mort de trente-deux personnes. L’homme actuellement recherché n’est ni plus ni moins que le cousin des frères El Bakraoui, qui se sont fait exploser le 22 mars dans la capitale belge.

Le député libéral, et souvent en rupture avec son parti très timoré, Alain Destexhe a demandé qu’une commission d’enquête sur les attentats diligente une investigation sur les informations dont disposaient Amnesty International et les députés en question.

C’est pourtant au tribunal de l’Histoire que devront paraître les quatre députés. Ils auront été, certes involontairement, complices du terrorisme qui ronge nos sociétés. En temps de guerre, il s’est toujours trouvé des responsables politiques pour pactiser avec l’ennemi.

Gregory Vanden Bruel

Source : Boulevard Voltaire



Hillary Clinton, championne des deux charias

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Hillary Clinton est aujourd’hui la déléguée commerciale de deux sponsors qui l’ont abondamment financée : les mondialistes et les islamistes. Deux commanditaires, vecteurs de deux charias : celle des droits de l’homme et celle du salafisme. Deux charias pour un pacte transitoire : l’annulation du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Fidel Castro disait qu’avant de seriner ad nauseam les droits de l’homme, on ferait mieux de s’occuper des droits de l’humanité. Du concret, en somme… et c’est là que le pacte clintonien devient contradiction. La charia des droits de l’homme, qui fait se retourner dans leur tombe les maçons originels des républiques américaine et française, alors conçues unes et indivisibles, ne fera pas le poids face à celle du salafisme.

Les droits de l’homme, arrogante abstraction, sont en perpétuelle quête de confirmation ; les droits de Dieu sont immanents, intuitivement compris… même si l’on n’y croit pas. La première charia, celle des punaises de sacristie de la raison universelle, est inculquée, abstraite ; la seconde, celle des soldats de Dieu, est consentie, concrète. On meurt facilement pour Dieu, mais pas pour une équerre, un marteau ou une faucille. Les Cristeros mexicains l’ont démontré. Staline, ancien séminariste, aussi, transformant aux forceps le marxisme en « communisme sacerdotal », avant-garde de la grande guerre patriotique.

Les masses musulmanes fournissent aujourd’hui l’ingrédient d’un cocktail explosif entre « l’esprit cristero » et la conduite « sacerdotale » staliniste. Riches ou pauvres, respectueux des lois ou non, ils ne voient pas l’utilité de s’intégrer à une société décadente, corrompue, qui se bat pour des idoles mais pas pour sa survie. Et qui n’a rien à leur offrir au plan psychologique, encore moins spirituel. La question pour eux n’est pas d’être modérés ou non, mais d’être excédés ou pas par la veulerie du pays « hôte ». Passé ce stade, c’est le Bataclan. Trop tard…

Le jour où les amis mondialistes de madame Clinton auront détruit les peuples, la Constantinople occidentale, malgré tous les byzantinismes dont elle sera capable, malgré tout son argent, tombera sous les coups des soldats de Dieu cachés derrière les commanditaires de la fondation Clinton, ceux du Proche-Orient ou d’Asie Mineure.

Quant à Trump, il résiste et joue la carte du respect, celui d’un peuple indivisible : les immigrés, de quelque origine qu’ils soient, ne s’assimilent jamais quand ils méprisent le pays d’accueil, lequel devient fatalement pays de conquête. Trump lance donc les 15 et 16 août son offensive identitaire, prenant le taureau par les cornes sur le terrorisme comme sur la résurgence des désordres raciaux, offrant une main tendue à tous les musulmans ainsi qu’à tous les électeurs afro-américains afin de « refaire » l’Amérique, le politiquement correct en moins. Les machos parlent aux machos… Il semble avoir été entendu : Zuhdi Jasser, responsable de l’American Islamic Forum for Democracy, tout comme Harris Zafar, porte-parole de l’Ahmadiyya Muslim Community, soutiennent la proposition trumpienne de criblage « idéologique » des immigrants ou réfugiés, avec la charia pour note éliminatoire. Les deux groupes, minoritaires, se veulent une force de contre-feu idéologique au djihadisme et à la charia salafiste.

Clinton commence à s’inquiéter pour ses protectorats. À voir la tête des journalistes… elle a raison !

André Archimbaud

Source : Boulevard Voltaire

Un député travailliste veut négocier avec Daech !

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En 1938, France, Italie et Angleterre négociaient lâchement avec Hitler les accords de Munich, avec les suites que l’on connaît. En 2016, un député socialiste anglais veut « négocier » avec l’État islamique.

Dans l’esprit éclairé d’Owen Smith, qui s’exprimait sur la BBC,

Toutes les solutions à ce genre de crises internationales passent par le dialogue. Pour résoudre ce problème, tous les acteurs doivent être impliqués.

Et, osant comparer, en quelque sorte, cette « négociation » avec le terrorisme islamique à la résolution du conflit en Irlande du Nord, dans laquelle il aurait joué, évidemment, un rôle bénéfique, notre député émet l’idée délirante de se « mettre autour de la table » avec les représentants de l’État islamique !

L’Angleterre accepte le port d’accoutrements islamiques, ordonne la réduction du carillon des cloches des églises, ne trouve rien à redire à l’exercice de près d’une centaine de tribunaux islamiques, et maintenant un élu de gauche envisage de négocier avec Daech ! « Propos hâtifs et irréfléchis », selon l’actuel chef du parti Labour, brigué par le Owen en question : semblable proposition, c’est « ne pas comprendre le défi posé par Daech ».

En effet, est-ce qu’on négocie avec des terroristes ?

Est-ce qu’on négocie avec des terroristes islamistes ?

Est-ce qu’on négocie avec des individus qui lapident les femmes, exécutent pour blasphème, apostasie, espionnage, homosexualité, qui pratiquent l’esclavage et décapitent ?

Est-ce qu’on négocie avec des tueurs sanguinaires qui vendent, noient, crucifient, ou enterrent vivants les enfants non musulmans ?

Est-ce qu’on négocie avec un État qui, dès 1996 – comme le relate le journaliste Andrew Hosken dans Empire de la peur : à l’intérieur de l’État islamique -, a planifié l’invasion de l’Europe entière, du Proche-Orient, de l’Afrique du Nord, de la Chine, la déstabilisation de l’Irak et de la Syrie ou encore l’utilisation d’armes chimiques et biologiques ? Qui, depuis, a perpétré plus de 30.000 attentats partout dans le monde ?

Bref, est-ce qu’on négocie avec un État qui sème la terreur partout où il passe et qui enjoint de « massacrer les infidèles » ? Smith s’imagine vraiment nous faire croire que ces fous d’Allah rêvant de califat se rangeraient, comme ça, bien gentiment, à des desseins plus cléments ? Surtout, des négociations entraînant ipso facto des tractations, quelles contreparties projetterait-il de leur accorder, aux terroristes, pour qu’ils nous laissent tranquilles ? De leur céder le pouvoir contre la promesse « de faire de ce pays un havre de paix si la charia est appliquée », comme le réclamait le porte-parole du Conseil musulman d’Angleterre, en 2008, interviewé par le Daily Telegraph ? Crétin ou dément ou traître corrompu, peut-être tout cela à la fois, ce socialiste gallois ! Et déçu, aussi, l’État islamique n’étant « pour le moment clairement pas intéressé par la question »

Alors, au vu du tollé généré par aussi extravagante idée, le bonhomme tempère. Négocier, oui, mais après que l’État islamique – dont le Code pénal, tout juste rédigé, applique strictement la charia – aura « renoncé à la violence, cessé tout acte de terreur et se sera engagé à un règlement pacifique ». Pire encore que l’état d’esprit munichois : si Mein Kampf n’avait jamais eu de précédent, le Coran et son application, si. En 1938, hier, en 2016, aujourd’hui, il se trouve toujours, chez les politiques, des socialistes pour pactiser avec le diable.

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire



Rixe de Sisco : une vision trop « ethnicisée » de l’affaire, selon SOS Racisme !

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À l’heure du bilan, il y a une association qu’il ne faudra pas oublier de démanteler : vous l’avez deviné, SOS Racisme fait encore des siennes après la rixe de Sisco. Les médias ont parlé de « communauté corse » en Corse (heureusement, ils n’ont pas parlé de minorité corse), ce n’est pas pour autant que SOS Racisme est venu prendre leur défense. C’est même, d’ailleurs, plutôt le contraire : SOS Racisme blâme les autorités corses ainsi que le traitement médiatique de l’affaire. En bref, l’association continue de nous jouer du pipeau !

L’association dénonce tout particulièrement une « vision très ethnicisée » de la rixe de Sisco : les faits sont capricieux et, quand des Maghrébins agressent des Corses, l’analyse en devient nécessairement ethnique. À ce propos, Mesdames et Messieurs de SOS Racisme, que pensez-vous du meurtre d’Aubervilliers, pourtant un crime raciste d’une communauté envers une autre ? On ne vous entend pas prendre la défense des travailleurs chinois… Et pourtant, eux auraient besoin d’une association pour les défendre des criminels que vous protégez à tout instant, invoquant la pauvreté, l’exclusion et le racisme de la société pour seule excuse (chose que la communauté chinoise ne connaît absolument pas, comme chacun le sait) !

SOS Racisme est une association faite par et pour les communautés noire et maghrébine. SOS Racisme était, à ses débuts, composé de quelques jeunes qui tentaient de pénétrer dans des boîtes de nuit dans le but d’être refoulés pour ensuite attaquer en justice ladite boîte de nuit au motif du racisme, si bien que la situation d’aujourd’hui est cocasse. SOS Racisme nous demande de ne pas « ethniciser » le débat alors que ça fait 30 ans qu’ils le font pour protéger les communautés noire et arabe et culpabiliser les « sales babtous ». Et quand ils tombent sur un os, de type corse aujourd’hui, ils viennent pleurer sur le maire de Sisco qui a pris un arrêté anti-burkini…

SOS Racisme s’est aussi offusqué de la réaction des nationalistes corses qui ont pris le parti des deux Corses placés en garde à vue avec les trois agresseurs maghrébins. Bienvenue : dans l’île de Beauté, la Corse est aux Corses et ils sont chez eux !

À l’heure du bilan, il existe une association qu’il ne faudra vraiment pas oublier de démanteler : SOS Racisme est typiquement l’association qui gangrène la France et qui empêche les Français de bouger par son discours culpabilisant et en répétant sans cesse l’absence de responsabilité de l’islam dans les boucheries modernes. Et pourtant, en paraphrasant la pensée du général de Gaulle, si les problèmes viennent d’une seule communauté, ce n’est pas la majorité qui est raciste mais bien la minorité qui ne s’intègre pas. Et tous les défenseurs de cette minorité, lui cherchant des excuses et participant à son communautarisme, devront, eux aussi, être punis pour avoir fait croire au peuple français que c’était lui le foutu méchant de cette mauvaise fable !

Henri d'Aramis

Source : Boulevard Voltaire



Les Français sont-ils si lâches ?

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Dans le camp « patriote », après chaque attentat, nous pouvons lire une avalanche de critiques sur la lâcheté française : notre peuple se laisserait massacrer, consciemment, et sans réagir. Pourtant, il ne faut pas penser que la majorité désire la paix à tout prix. Nombreux sont ceux qui seraient joyeux de prendre les armes et d’entrer en guerre. Mais pas une guerre sur deux fronts, à la fois contre les islamo-racailles et contre l’État français.

Il est facile de condamner la passivité des Français d’aujourd’hui, qui feraient piètre figure face au courage des hoplites grecs, des légionnaires romains et des poilus. C’est oublier qu’ils étaient tous appuyés, commandés, par leurs dirigeants politiques. Ils n’étaient pas pris en étau entre l’ennemi étranger et leurs propres institutions. Certes, c’était la situation des résistants durant la Deuxième Guerre mondiale, à ceci près qu’il n’ont jamais été éduqués par une idéologie transformant l’envahisseur allemand en une chance pour la patrie.

Car des Français, on exige l’impossible. On demande à des individus ayant grandi dans une société dévirilisée et pacifiste de montrer davantage de ferveur que leurs ancêtres, forgés dans le monde de la guerre. Si le courage est l’aptitude à surmonter sa peur, le Français qui osera brandir le glaive en aura bien davantage que le soldat s’élançant à l’assaut des tranchées allemandes. Le premier doit réapprendre la guerre, étant à lui-même son propre général, et de surcroît criminel au regard de l’État ; le second n’est qu’un pion au milieu d’une marée humaine, encadré par une discipline de fer. Ce ne sont pas les Français que nous devons juger, mais le monde qu’ils habitent.

Les seuls individus susceptibles de passer à l’acte seront des marginaux, qui n’ont que peu à perdre, des dépressifs aux tendances suicidaires, mais choisissant de quitter ce monde en entrant dans l’Histoire. Des déséquilibrés qui, pour une fois, joueront en notre faveur.

Leurs représailles pourraient hâter la guerre civile, ce qui serait heureux car, au regard des évolutions démographiques, le temps joue contre nous. Mais la priorité reste la reconquête des commandes de l’État, afin qu’à nouveau il serve le vrai peuple, plutôt que de le combattre. Nous ne saurions nous satisfaire d’un scénario où l’État arbitrerait un affrontement entre Français. De la même façon que l’État islamique préfère s’en prendre à l’ennemi proche (les régimes militaires mécréants) plutôt qu’à l’ennemi lointain (les attentats sur sol européen sont pensés comme des ripostes aux bombardements aériens en Irak et en Syrie), les Français doivent évincer l’ennemi proche : les collabos qui, depuis trop longtemps, nous gouvernent.

C’est la première bataille, et la plus difficile : celle pour la reconquête de l’Élysée. La seconde bataille – la reconquête territoriale – sera, elle, une promenade de santé.

Romain d’Aspremont
 

Farouk Ben Abbes indemnisé par la justice : dame République est bien généreuse

Farouk Ben Abbes est un islamiste notoire, connu des services de renseignement depuis l’année 2009, date de son signalement par leurs homologues égyptiens qui avaient alors indiqué que l’homme projetait un attentat contre… le Bataclan. Cette année-là, une école française avait été la cible d’une attaque. Une jeune femme, arrêtée puis envoyée en France par la police égyptienne, avait révélé qu’un proche, Farouk Ben Abbes, voulait « se faire exploser » dans la salle de concert car le patron était « un juif [finançant] l’armée israélienne » (aucune mesure particulière de protection n’avait été mise en place avant le drame de novembre 2015). Peu de temps après, l’islamo-racaille était appréhendée à son retour de Gaza.

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Ami des frères Clain (les voix françaises des vidéos de l’État islamique), l’islamiste belge réside actuellement au cœur d’une zone de non-France à Toulouse : Le Mirail. Placé en détention provisoire le 20 juillet 2010 dans le cadre d’une information judiciaire, Farouk Ben Abbes a été emprisonné jusqu’au 9 décembre 2011 pour cette affaire, purgeant un mois supplémentaire en prison dans le cadre d’un autre dossier. Bref, il s’agit d’un habitué des prétoires. Un non-lieu fut prononcé en septembre 2012, faute de preuves…

Peu au fait de l’honneur, l’islamiste réclama immédiatement une indemnisation au titre du préjudice subi, comme le droit français le lui permettait. Au terme de la procédure judiciaire, la Cour de cassation finit par concéder à monsieur Ben Abbes une indemnisation pour le préjudice moral, s’élevant à la somme de 6.000 euros. Inexplicablement, l’État a versé 21.950 euros à ce voyou en 2016, soit le montant initialement prévu par la cour d’appel (majoré des intérêts de retard), qui avait pourtant été largement revu à la baisse devant la juridiction la plus élevée de notre ordre judiciaire !

Comme le rappelle Philippe Bilger dans les colonnes du Figaro, c’est par pure démagogie que l’État a facilité l’indemnisation en réparation d’une détention suivie par un non-lieu, une relaxe ou un acquittement à partir de l’année 1996. Auparavant, il fallait démontrer l’existence d’un préjudice « anormal et d’une particulière gravité », ce qui n’est manifestement pas le cas dans l’affaire Farouk Ben Abbes.

Ces gens interrogent l’État de droit, dont les contours sont flous et mal définis, et auquel certains auteurs, comme Carré de Malberg, préféraient l’État légal. D’ailleurs, et sans rapport avec le droit positif, une question un peu provocatrice mérite aujourd’hui d’être posée : puisque les islamistes ne reconnaissent pas les lois des hommes, celles de la République française, faut-il leur accorder des droits ? Pour contradictoire avec nos principes que soit cette interrogation, elle fait sens.

Nous devons bâtir un arsenal juridique qui nous mette en mesure d’éviter ces situations déplorables, ubuesques et choquantes. Les terroristes et leurs soutiens ne doivent plus bénéficier de l’État de droit qu’ils espèrent ardemment abattre pour instaurer la charia. En premier lieu, il convient d’appliquer à la lettre le droit en vigueur. Dans un second temps, il ne faut pas se priver d’un droit d’exception à même de répondre à une situation exceptionnelle : la guerre.

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire



L’islam en France 3 La vraie question est celle de l’immigration.

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La véritable question, c’est que la présence dans un pays de migrants porteurs d’une autre religion et d’une autre culture est un fait qui doit être observé de près et contrôlé. Les discours politiques et religieux qui n’en voient pas le danger sont irresponsables. L’immigration est un phénomène considérable. Il a un aspect quantitatif qui est lié à son importance démographique. Il a un aspect qualitatif dont va dépendre l’identité même du pays d’accueil. Certaines nations sont en quasi totalité constituées d’immigrants. Lorsqu’une large majorité de ceux-ci appartient à la même culture, la mentalité nationale, le patriotisme ne subissent pas d’obstacle insurmontable. Les communautés anglaise, irlandaise, italienne, chinoise, et d’autres encore, aux Etats-Unis ont leur particularité, leurs fêtes, leurs quartiers. Les vagues d’immigrants ont fait se succéder des confessions différentes mais majoritairement chrétiennes. Des frictions se sont produites. La criminalité a prospéré sur les solidarités des minorités. Des problèmes persistent : celui des noirs qui forment un groupe par défaut, non pas fondé sur une origine culturelle commune, mais sur le statut historique de l’esclavage ; celui des hispaniques dont le nombre modifie l’identité culturelle « wasp » et dont la situation comporte une légère similitude avec celle des anciens colonisés immigrés en Europe. Mais, l’immense majorité de la population est chrétienne. La minorité juive joue un rôle important et positif dans la vie et la politique du pays. La prudente ségrégation imposée durant la guerre aux Japonais est oubliée. Les immigrés qui ont choisi l’Amérique, le Canada ou l’Australie en retirent pour beaucoup une certaine fierté, celle d’être devenus les citoyens de pays riches, respectés dans le monde et qui offrent à leurs capacités des chances de s’épanouir assez librement. Plusieurs attentats commis par des musulmans, étrangers le 11 Septembre 2001, américains depuis, comme à Fort Hood, Boston, San Bernardino et Orlando soulignent toutefois la difficulté particulière posée par l’islam et les immigrés qui s’en réclament. Les musulmans ne représentent cependant que 1% de la population américaine et beaucoup sont des Afro-Américains convertis, non des migrants. Donald Trump a été jusqu’à envisager l’interdiction de toute immigration musulmane en raison de cette dangerosité spécifique. Ni les Allemands, ni les Italiens n’ont choisi leur nation d’origine contre leur nation d’accueil durant la seconde guerre mondiale. Des membres de « l’oumma » islamique choisissent manifestement son camp contre les Etats-Unis qui d’après eux lui font la guerre.

On voit immédiatement qu’un pays qui n’est pas essentiellement issu de l’immigration mais qui comprend une proportion importante d’habitants qui sont d’origine musulmane court un risque infiniment plus grave dont les dirigeants européens semblent inconscients. Le péril est d’autant plus aigu pour un Etat que ses frontières sont des passoires, que la présence et l’accès à la nationalité des immigrés sont facilités, et que l’histoire coloniale suscite avec eux des sentiments mélangés. La France est donc particulièrement exposée. Depuis la fin de la dernière guerre mondiale, l’Europe a connu une évolution considérable à des vitesses différentes suivant la situation politique des Etats. Le nationalisme a été rejeté. Un individualisme hédoniste et narcissique a envahi l’idéologie dominante d’une société de consommation doublée d’une montée de l’Etat-Providence. La course aux droits a supplanté le parcours des devoirs. Le recul de la famille à travers la progression des divorces et la diminution des mariages a traduit ce phénomène dans la structure de la société. L’ensemble a conduit à un hiver démographique freiné ici et là par des politiques familiales dynamiques, comme dans notre pays. Mais les exigences légitimes de niveau de vie se sont conjuguées avec les revendications d’égalité entre les sexes pour faire croître le travail féminin. Le déficit ou la stagnation démographiques qui entraînent un vieillissement de la population et un déséquilibre catastrophique à terme, notamment pour assurer les revenus et les soins des plus âgés, ont amené à trouver dans l’immigration la sortie de l’impasse. L’arrivée des migrants sur le marché du travail permettait à la fois de rééquilibrer la pyramide des âges, d’occuper des emplois délaissés par les autochtones et d’exercer une pression sur le coût du travail. C’est pourquoi les bons sentiments et les intérêts se sont mêlés pour appeler les Européens à accepter le regroupement familial des étrangers, l’accueil des réfugiés, la régularisation des clandestins en plus de l’immigration régulière fondée sur le travail devenue très minoritaire. Les Français avaient intégré les Italiens, les Polonais, les Espagnols et les Portugais. Il en irait de même pour les populations maghrébine et subsaharienne. Une véritable machine à fabriquer des Français s’est mise à tourner, avec efficacité puisque la France parvenait à peu près à renouveler sa population quand des pays comme l’Allemagne se voyaient disparaître à terme. C’est ce qui explique la frénésie de Mme Merkel pour ouvrir généreusement les portes de la Germanie aux « réfugiés ». Sans eux, ce sera la retraite à 70 ans !

La France a en fait entamé le processus depuis plus longtemps et de façon plus subtile. Le droit du sol permet à ceux qui naissent sur le territoire national d’être français à terme, même à Mayotte ou en Guyane, et immédiatement si leurs parents sont nés en Algérie avant 1962. Le droit du sang permettait aux Allemands de la Volga de regagner leur ancienne « patrie », mais ne facilitait pas l’acquisition de la nationalité par les Turcs. Le droit du sol l’a donc emporté sous le masque de la générosité juridique. Il n’est que l’ersatz de la démographie. L’Allemagne s’est engouffrée avec son excès habituel sur le chemin emprunté depuis longtemps par la France. La gauche française pas mécontente de voir arriver de futurs électeurs endort l’opinion publique en lui serinant que le nombre des étrangers reste stable. Juridiquement, oui, mais politiquement, non. Les acquisitions de nationalité automatiques ou par naturalisation compensent l’arrivée des nouveaux étrangers et augmente évidemment le nombre des double-nationaux. Le nombre d’enfants des familles issues de l’immigration africaine étant plus important, la proportion de la population musulmane croît sensiblement. Derrière cette évolution quantitative masquée, comme l’a montré Michelle Triballat, un changement qualitatif profond se produit avec la présence massive d’habitants de notre pays qui ne partagent pas notre culture. Or l’intégration des immigrés dépend évidemment de leur proximité culturelle. Hugues Lagrange avait souligné ce phénomène. Jean Paul Gourévitch estimait au 1er Janvier 2015 qu’il y avait entre 6 et 9 millions de personnes en France qui étaient d’origine musulmane dont entre 2,5 et 4 millions pratiquaient plus ou moins. Impossible d’être plus précis et de quantifier les islamistes radicalisés potentiels. Notre République qui a horreur des chiffres déplaisants a cassé le thermomètre sous prétexte de vie privée et de laïcité. Il est évident que cet aveuglement technique et idéologique nos prépare des problèmes communautaires dont le terrorisme sera le plus douloureux, mais non le seul.

Christian Vanneste

Source : Le blog de Christian Vanneste

samedi, 20 août 2016

La Slovaquie interdira les patrouilles d'extrême droite anti-Roms dans les trains

Le gouvernement slovaque interdira les patrouilles anti-Roms dans les trains, lancées par un parti d’extrême droite entré au Parlement à la faveur des élections législatives en mars, a annoncé vendredi le ministère slovaque de la Justice.

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Les membres du Parti Populaire Notre Slovaquie-Kotleba (LSNS, opposition) ont commencé à patrouiller dans les transports ferroviaires slovaques en avril, après qu’un garçon de 16 ans eut agressé une jeune femme de 21 ans pour lui voler son portefeuille dans un train. Le président de ce parti et député Marian Kotleba, considéré par ses opposants comme un néonazi, avait alors traité l’agresseur d’«extrémiste tsigane».

Le gouvernement de coalition du Premier ministre de gauche Robert Fico a préparé un amendement à la loi sur les Chemins de fer, qui interdit dans les rames «toute sorte de protection ou de surveillance autre que celle de la police», a indiqué à l’AFP le porte-parole de ministère de la Justice, Peter Bubla.

400 000 Roms dans le pays

«L’objectif est d’éliminer la situation injustifiée où des patrouilles paramilitaires errent dans les rames publiques», a précisé à l’AFP Abel Ravasz, chargé au sein du gouvernement des affaires relatives à la minorité Rom, estimée à 400.000 dans ce pays de 5,4 millions d’habitants.

«Ces patrouilles sont controversées, principalement parce qu’elles visent à intimider une minorité, les Roms», a-t-il souligné. Un député de LSNS, Milan Uhrik, s’est élevé contre l’interdiction proposée de ces patrouilles, en déclarant sur son profil Facebook qu’on «ne discute pas avec les ivrognes et les extrémistes tsiganes antisociaux».

Le projet d’amendement devrait être approuvé sans difficultés par le Parlement où la coalition de Robert Fico dispose de 81 sièges sur 150. LSNS y détient 14 sièges.

Source : sudinfo.be

Burqa: Merkel cède aux revendications de sa base

Face à l’émergence de l’extrême droite, les conservateurs allemands tombent à leur tour dans le piège du débat sur le voile.

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Il n’existe aucun chiffre officiel sur le voile intégral en Allemagne. Même à Berlin, ville très cosmopolite, il est extrêmement rare d’en voir. Il y en a sur les avenues commerçantes du quartier chic de Charlottenburg, mais il est porté par des touristes saoudiennes. Quant à la burqa, qui cache aussi les yeux, personne n’en a jamais vu. A l’approche d’une année électorale importante, qui s’achèvera dans un an avec les législatives, la proposition des ministres conservateurs des Länder présentée ce vendredi à Berlin sonne donc comme une mesure électoraliste. Elle ne reste d’ailleurs qu’une «proposition» du camp conservateur, ont précisé les trois ministres présents.

Ce n’est pas un hasard si ce sont deux ministres de l’Intérieur actuellement en campagne électorale dans le Mecklembourg-Poméranie-Occidentale et à Berlin qui ont présenté ce document hier avec Thomas de Maizière, le ministre fédéral de l’Intérieur (les élections ont lieu le 4 et le 18 septembre). Ils veulent bannir la burqa des écoles, des administrations, des tribunaux et au volant des voitures. «Le voile intégral ne correspond pas aux valeurs de notre pays ouvert sur le monde», a résumé Thomas de Maizière.

Le ministre a répété que cette interdiction partielle était un problème d’intégration. «Le voile intégral n’a rien à voir avec la sécurité», a-t-il répété alors que le document propose parallèlement une série de mesures concernant 15 000 policiers supplémentaires et plus de surveillance vidéo.

Les propositions sont donc interprétées par les experts comme une réaction à l’émergence de l’AfD (Alternative pour l’Allemagne), le parti d’extrême droite désormais ancré dans le paysage politique. «Les conservateurs veulent se réapproprier le thème de la sécurité», analyse Volker Kronenberg, politologue à l’Université de Bonn.

Le ministre a fait une autre concession à ses amis en campagne électorale en acceptant le principe d’une déchéance de nationalité pour les djihadistes avec un double passeport. «Quelqu’un qui se bat contre l’Allemagne ne peut pas être Allemand», a-t-il résumé.

Même certains ténors du Parti chrétien-démocrate (CDU) s’inquiètent de cette dérive populiste. «La situation en matière de sécurité est suffisamment préoccupante pour qu’on arrête de se focaliser sur des mesures symboliques. On va finir par faire croire aux gens que la double nationalité est le signe d’un manque de loyauté envers l’Allemagne. Ce genre de débat surréaliste ne peut que profiter à l’AfD», prévient Armin Laschet, vice-président de la CDU, qui demande qu’on cesse ce débat sur la burqa et la déchéance de nationalité.

L’AfD est déjà présente dans la moitié des parlements régionaux. Ouvertement islamophobe, elle est en mesure d’entrer au Bundestag en automne 2017, créditée de 10% des voix, et de devenir la troisième force politique en Allemagne.

«Les conservateurs nous offrent un spectacle estival navrant», ajoute Irene Mhalic, porte-parole du groupe parlementaire écologiste de l’Assemblée fédérale (Bundestag). «Nous n’avons pas besoin de propositions racoleuses pour notre sécurité. Après la tuerie de Munich, les conservateurs devraient nous faire plutôt avancer sur la législation des ventes d’armes sur Internet», ajoute-t-elle.

Christophe Bourdoiseau

Source : Tdg.ch

Mahométans, soyez « discrets » : chaque chose en son temps !

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Dans un entretien accordé au quotidien La Provence publié ce mercredi, et tout comme Jean-Pierre Chevènement quelques jours avant lui, Manuel Valls recommande aux conquérants de se faire plus discrets. S’agit-il d’une coïncidence ou aurait-il compris, lui aussi, tout benêt qu’il est, que la discrétion est la condition d’une substitution ethnique réussie, que, comme l’auteur du Lion et le Rat le dirait, « patience et longueur de temps font plus que force ni que rage » ?

En effet, et sauf l’infini respect dû à l’infinie douleur des proches et aux victimes, que font les petits excités à la kalachnikov ou au « burkini », sinon attirer l’attention, de manière intempestive, irréfléchie, totalement irresponsable et totalement contre-productive, sur le processus en cours, tourner les regards vers les ténèbres qui montent à l’horizon, alerter ceux qui ne le sont pas encore, les tirer de leur funeste torpeur ? Le tapage que font les petits excités à la kalachnikov ou au burkini n’a-t-il pas fini par réveiller certains parmi les plus endormis ? Avec leur inconséquente frénésie, leur irrépressible autant que déplorable envie de précipiter les choses, ce besoin imbécile et forcené d’aller plus vite que la musique, les Mehri, les frères Kouacha, les Koulimachin et cætera, ne sont-ils pas les plus efficaces adversaires de leur cause, cette cause qu’ils prétendent défendre et, par défaut, les plus fiables alliés, sinon les seuls, de ceux qu’ils haïssent et prétendent anéantir ?

Comment, d’un côté, espérer surprendre, pour les détruire, une langue, une culture, des traditions et tous ceux qui se sont endormis dessus comme sur des lauriers, comment, surtout, anéantir une race et des gènes rivaux si, d’un autre côté, de sombres abrutis au QI d’animateur télé se mêlent de les réveiller en sursaut par le fracas de leur impatience, éclaboussant de sang leurs rêves les plus doux ?

Notre dénatalité contre leur fécondité, notre pilule et notre avortement contre le « ventre de leurs femmes », leur opportunisme contre nos renoncements, leur ahurissante cruauté contre notre ahurissante naïveté, leur soif de conquête contre notre lâcheté : faut-il que nos petites crapules encapuchonnées soient stupides, faut-il qu’ils soient confits, pourris, de jeux vidéo, de collège unique, de publicité, de jeu de ballon et de télé-réalité, nos Merhi, nos Kouacha et nos Koulimachin, leurs quelques neurones restant micro-ondés par les ondes radio et télé, pour ne pas comprendre qu’ils ont gagné, depuis longtemps gagné, et que s’ils ont gagné, ces sombres abrutis, nos involontaires alliés, si les mahométans ont gagné, ce ne sera vraiment pas grâce à eux, les Merhi, les Kouacha et les Koulimachin en burkini, mais bien grâce à ceux qui ont su, qui savent et qui sauront, le temps qu’il faudra, « accepter la discrétion » !

Maxime Sentence

Source : Boulevard Voltaire

Cachez ce burkini que je ne saurais voir !

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La confusion entre religion et culture conduit à une inversion surprenante entre la tolérance théoriquement impliquée par la laïcité et l’obligation stricte revendiquée par la religion. Depuis quelques jours, le maillot de bain intégral qui correspond à la pudeur féminine exigée par les textes et la tradition islamiques, le « burkini », fait l’objet d’arrêtés d’interdiction sur les plages de plusieurs stations balnéaires. C’est donc la laïcité qui contraint et la religion qui proclame le droit de s’habiller comme on le veut.

La France détient le secret de ces débats vestimentaires qui cachent son incapacité d’affronter le véritable problème, qui est celui de l’immigration. Il y a eu, dans les années 90, la question du voile à l’école. La « burka », en fait le « niqab », fut l’étape suivante de cette guerre du vêtement. Le troisième acte de la comédie est donc le « burkini ».

Entre la satisfaction un peu primaire de dire bien fort « On est chez nous » et le ridicule d’une situation qui fait rire une bonne partie de la planète, l’opinion tangue. Est-il normal que, dans un pays libéral, on puisse empêcher les gens de se vêtir comme ils le désirent ? Il est grotesque de parler, ici, des valeurs de la France comme le fait Manuel Valls. L’impudeur serait-elle une valeur, dès lors que les seins nus deviennent plus admissibles que le burkini ? Il est trop facile, à une musulmane, de répondre qu’elle ne souhaite pas s’offrir aux regards comme une marchandise et que tel est son choix.

En fait, de façon implicite, la réaction de rejet répond à une intention de provocation parfaitement identifiée, même si elle se camoufle en exigence pudique. La tenue ample et sombre d’un seul tenant, des pieds à la tête, ne cache pas, elle provoque, et agace à juste titre. Le paradoxe de l’interdiction vient de la très grande liberté qu’il y a de se déshabiller, qui légitime mal qu’on empêche de se couvrir. Le monokini, les seins nus, le nudisme marginal pratiqué ici et là parce que la police a autre chose à faire que de défendre la pudeur offensée, fournissent aux musulmans un argument de poids : « Ces corps dénudés nous choquent, mais nous sommes bien obligés de les tolérer. Pourquoi voudriez-vous stigmatiser notre correction vestimentaire ? » On se rend compte à quel point nous sommes loin de la religion, car la plupart des chrétiens souhaitent également une certaine rigueur du vêtement. Alors, comme le Premier ministre, on se réfugie dans les plis de la République laïque : le voile exhibe l’inégalité des sexes et la servitude féminine.

Chacun sait que cet argument est de mauvaise foi. Cette tenue est, en fait, insupportable parce qu’elle nous jette à la figure la présence, chez nous, de gens qui n’aiment pas notre façon de vivre et affichent de manière ostentatoire leur différence, voire leur hostilité. Le costume n’est pas qu’une coutume, mais un message. Il dit qui vous êtes, et en l’occurrence se fait signal, un signal d’affrontement délibéré. C’est là toute la question que l’on n’ose pas nommer, parce qu’elle remet en cause la litanie du « vivre ensemble » et qu’elle dévoile la guerre en gestation entre les « communautés ».

Christian Vanneste

Source : Boulevard Voltaire



Angleterre : les cloches interdites de carillonner

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Depuis plusieurs années, en Angleterre, musulmans et chrétiens se livrent une bataille rangée. Les uns pour interdire le son des cloches des églises et autoriser celui des minarets, les autres pour interdire le second et autoriser le premier à perdurer.

Le carillon des cloches des églises, un son millénaire jugé « irrespectueux » par des familles musulmanes, donc. Outre-Manche, comme le rapporte medias-presse.info, les plaintes pour le faire cesser se multiplient. La dernière en date vient du quartier de Kensington, à Londres, où des musulmans ont demandé « que cesse immédiatement l’activité du clocher de l’église parce que cela ne respecte pas les coutumes des voisins non chrétiens ». Message reçu cinq sur cinq par les autorités locales, qui ont ordonné la réduction du bruit émis sans préavis ni possibilité de réplique. Dans une banlieue de Londres, une demande similaire est même allée plus loin : que les chants à l’intérieur de l’église soient inaudibles de l’extérieur et que les fidèles rassemblés sur le parvis… parlent à voix basse !

Bref, tout signe religieux non musulman, pour partie de cette communauté, doit disparaître de son champ d’écoute et de vision. Disparaître tout court. Elle entend régner en maître partout où on la laisse s’implanter. En 2008, Munir Christi déposait, d’ailleurs, une demande pour que puisse être diffusé l’appel à la prière. Un brave monsieur, cet imam d’Oxford, car, soucieux d’éviter un choc des cultures, il se ravisera aimablement en ne proposant plus que l’appel du vendredi – « qui n’imposera pas quoi que ce soit à quiconque » puisqu’il « ne sera pas entendu sur la totalité d’Oxford », affirmait-il à Reuters – au lieu des… cinq par jour initialement proposés. Oxford, 150.000 habitants dont 7.000 de confession islamique. Londres, 1,5 million de musulmans en 2001, 2,7 millions en 2011. Des revendications portant de plus en plus atteinte à l’âme d’un pays chrétien parce que le nombre de musulmans augmente. Mathématiquement, démographiquement, et tristement logique. Comme l’élection du maire musulman de Londres au printemps dernier.

Et pourtant, regardez aux États-Unis. Eh bien, avec seulement 1 % de musulmans, à Phoenix (Arizona), un prêtre de l’Église du Christ-Roi a été reconnu coupable et condamné à 3 ans de probation et 10 jours de prison pour les avoir fait sonner, les cloches ! Sur la plainte d’une seule personne.

Si l’Angleterre et les États-Unis semblent, sans aucun état d’âme, décidés à renier leurs racines chrétiennes, en Turquie musulmane, c’est un tout autre son de cloche ! En 2014, suite à la plainte insolite auprès de son agence de voyages d’un couple de touristes allemands dérangés par le bruit du muezzin à 6 h du matin, la Cour a déclaré : « L’appel à la prière est de coutume en Turquie et est comparable avec les cloches de l’église dans un pays chrétien. » Et, très drôle, la conclusion du site ajib : « Lorsqu’on entreprend de passer des vacances dans un pays musulman, il faut bien s’attendre à entendre l’appel de la prière, cet appel faisant partie intégrante des pratiques religieuses du pays… »

Et lorsqu’on décide de s’installer dans un pays chrétien ?

« Afin de détruire un pays, il faut d’abord détruire ses racines », disait Alexandre Soljenitsyne. Minarets contre clochers, la guerre est déclarée.

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire



Le burkini : une rigolade ?

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Le burkini est-il une provocation islamiste, une régression de la liberté des femmes ou un accoutrement ridicule pour aller faire trempette ? Les trois, mon capitaine. C’est une question de point de vue.

Provocation fondamentaliste, sans aucun doute. Les pauvres femmes-cobayes victimes du burkini ne sont que les instruments dociles de militants du totalitarisme islamiste plus ou moins déguisés. Il s’agit de l’aspect culturel de l’offensive de nos ennemis. Tenter de mille façons d’imposer l’image de l’islam du VIIe siècle et la faire passer pour la normalité. Quelques gauchistes, crachant en permanence leur haine de l’Occident, tombent dans le panneau et y voient un acte de liberté. Par exemple Edwy Plenel.

Deuxième interprétation : le burkini symbolise une régression de plusieurs siècles pour les femmes. Les baigneuses occidentales de la fin du XIXe siècle, dont le corps ne pouvait être vu, étaient moins couvertes que les burkiniennes du début du XXIe. Les machos de l’époque autorisaient un bras ou une mèche de cheveux. Avec les petits barbichus de Daech, rien ou presque. Mais certains, à gauche, prétendent qu’une femme est libre de s’habiller comme bon lui semble. C’est vrai, il faut quand même défendre la liberté des femmes !

Enfin, troisième interprétation : le burkini est un nouveau vêtement plutôt raté, ressemblant à une combinaison de plongée sans en avoir la fonctionnalité. Il ne doit pas être trop moulant quand la naïade islamique sort de l’eau, sinon, évidemment, Dieu s’en offusquerait. Il faut donc un tissu épais, masquant les formes, vraiment inconfortable. Double punition divine : ne pas pouvoir séduire les hommes et souffrir dans une carapace textile de couleur sombre.

Si notre liberté était encore celle qui prévalait voici quelques décennies, la presse se serait amusée de cette pitoyable mascarade, aurait tourné en ridicule la parure islamique de la baignade féminine et les barbus seraient illico presto rentrés à la niche. Mais voilà, les temps ont changé : la presse se garde bien de se moquer des archaïsmes de l’islam comme elle savait si bien le faire des pudeurs des cathos coincés, les gardiens de l’islamophobie veillent et vitupèrent, et les barbus n’ont pas du tout l’intention de rentrer à la niche. Comme disait Philippe Meyer, « nous vivons une époque formidable ».

Patrick Aulnas

Source : Boulevard Voltaire



Au-delà du burkini, la complexité du halal et du haram

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Pour certains musulmans, une femme n’a pas le droit de se baigner sans burkini (apparu il y a peu), l’alternative étant la plage réservée aux femmes. Impossible en Occident !

La vie des fidèles du Prophète est régie par le halal (licite), le haram (illicite), le makrouh (répréhensible mais possible). Pour déterminer la catégorie dans laquelle entre un acte, il faut se reporter au Coran ou aux hadith (commentaires ou actions de Mahomet rapportés oralement). On ne peut pas contester le Coran, tandis que les hadith ont des gradations d’authenticité. Certains sont sûrs, d’autre considérés avec plus ou moins de suspicion. Il existe nombre de contradictions, entre hadiths, entre versets du Coran (par exemple, sur la mise à mort d’un apostat). C’est le verset le plus récent qui prime. Mais, parfois, on ignore totalement la chronologie et, du coup, chacun a son opinion ! On est censé trouver dans le Coran un avis sur l’intégralité de la vie d’un fidèle, même sur des inventions qui n’existaient pas du temps de Mahomet ! Les « sages musulmans » triturent donc les versets et les hadiths afin d’en tirer une opinion sur un problème moderne. D’où une cacophonie générale. On trouve tout et son contraire. Par exemple, des muftis libéraux (très peu nombreux !) affirment qu’une musulmane peut épouser un mécréant du moment qu’il n’est pas polythéiste (ce qui n’exclut même pas les hindous !), boire de l’alcool (sans s’enivrer), voire manger du porc !

L’opinion majoritaire interdit de manger de la main gauche (pour ne pas imiter Satan). Le fait d’être gaucher n’est pas une excuse. Seule la perte d’un membre ou la paralysie permet de passer outre. Boire un verre d’eau debout plonge les savants dans un abîme de perplexité. En effet, un verset du Coran l’interdit mais, dans des hadith, Mahomet se désaltère debout ! On ignore laquelle des deux attitudes est la plus récente, d’où des discussions sans fin ! L’épilation est haram (verset coranique !) mais les libéraux l’autorisent si la femme a des sourcils trop épais, de la moustache ou de la barbe, au grand dam des traditionalistes. Il est haram, selon le Prophète, de posséder un chien, sauf pour la chasse et garder son troupeau. Le poil du canidé est pur mais sa bave est impure. Des extrémistes pensent que regarder la météo est illicite car faire des prédictions est interdit. Néanmoins, nombre de fatwas décrètent que prévoir le temps est scientifique, donc permis. Comme représenter des visages est haram, dessiner est interdit ; mais certains vont plus loin : faire des photos, lire des BD, regarder des dessins animés, voire la télévision sont proscrits ! Assurer sa maison ou sa voiture serait illicite car on prend un pari (interdit en islam) et on doute d’Allah. Si une catastrophe arrive, Dieu pourvoira à vos besoins ! Et, pour finir, selon un livre édité par la grande université (réputée modérée) al-Azhar, il est halal de manger un apostat mort, du moment que vous ne le faites pas cuire ou griller !

Christian de Moliner

Source : Boulevard Voltaire

vendredi, 19 août 2016

La Suède connaît une forte croissance démographique principalement liée à l’immigration

La population suédoise connaît depuis quelques temps une croissance accélérée, principalement liée à l’immigration, et approche à présent les 10 millions d’habitants, selon des chiffres publiés mercredi.


La population suédoise s’est accrue de 55 300 personnes dans la première moitié de l’année 2016, soit 9 500 personnes de plus que pendant la même période l’an dernier, ont montré de nouveaux chiffres publiés par Statistics Sweden.


L’immigration représente la principale cause de cette croissance démographique, dans la mesure où 62 200 personnes se sont installées en Suède au cours des six premiers mois de l’année.


Bien que l’immigration en provenance des autres pays scandinaves et de l’Union européenne reste importante, le nombre de réfugiés extra-européens a également augmenté par rapport à la première moitié de l’année 2015.


Selon Statistics Sweden, environ 18 000 réfugiés se sont à ce jour installés en Suède cette année. La plupart d’entre eux sont originaires de Syrie.
Cependant, un grand nombre de réfugiés ayant effectué une demande d’asile l’an dernier attendent encore de recevoir une réponse à leur requête. Ils n’ont donc pas été inclus dans l’étude menée par Statistics Sweden.

Xinhua

Source : Yaclo

Pourquoi les tensions communautaires sont si fortes en Corse

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La rixe de Sisco n'est que l'énième épisode d'une série d'incidents opposant les communautés. L'Île de beauté est le laboratoire des fractures françaises.

Après la rixe qui a opposé habitants de Sisco et population d'origine maghrébine, tous les regards se tournent vers la Corse. Mais ce n'est pas la première fois que l'Île de Beauté est le théâtre privilégié des fractures françaises. Tout le long de l'année, les incidents opposant les communautés se sont multipliés. En janvier 2015, c'était un drapeau français brûlé et remplacé par celui du Maroc à l'école maternelle des Jardins de l'Empereur à Ajaccio. En décembre 2015, des pompiers avaient été agressés dans cette même cité sensible. Mais les actes contre les musulmans sont aussi nombreux : une boucherie halal mitraillée en février 2016, une mosquée incendiée en avril 2016, sans compter les restes de sangliers déposés devant les lieux de culte et les «arabi fuora» tagués sur les murs. Comme le relève Le Monde, un rapport de la CNCDH fait de la Corse la région la plus affectée par le nombre d'actes anti-musulmans par rapport au nombre d'habitants. Pourquoi la Corse est si sensible, et est devenue une sorte de laboratoire exacerbé des fractures françaises?

• Une communauté musulmane importante et de longue date

Les liens entre la population maghrébine et la Corse sont anciens: n'est-ce pas le Maure aux yeux bandés qui est devenu le symbole de l'île de Beauté? La tête de Maure, témoignage de la domination aragonaise sur les îles méditerranéennes était un symbole de la «reconquista» de la péninsule ibérique par les Aragon, qui chassèrent la civilisation musulmane de l'Espagne. La Corse avait auparavant subi de sévères incursions maures durant des siècles, et il se peut que la tête de maure ait été adoptée sous influence espagnole. On lui a depuis débandé les yeux en signe de libération du peuple corse.

Autrefois terre d'émigration (notamment dans les colonies), la Corse est devenu au XXe siècle une terre d'accueil, avec une forte immigration, surtout en provenance du Maroc. Aujourd'hui, il y a, selon les chiffres officiels, 42.000 musulmans sur l'île, soit environ 13 % de la population. «Auparavant, les gens ne se mélangeaient pas, mais il y avait moins de tensions qu'il n'y en a aujourd'hui entre jeunes issus de l'immigration et jeunes issus de familles corses», constate Laurent Marcangeli, député-maire (LR) d'Ajaccio.

• Une société organique et traditionnelle

Le caractère insulaire de l'île l'a longtemps protégé du multiculturalisme. Mais depuis plusieurs dizaines d'années, l'immigration a changé la donne. Et est venue bousculer une société familiale, où tout le monde se connait dans les villages, et qui repose sur des lois traditionnelles non écrites. «Les Corses ont une identité forte, ils sont attachés à un cadre de vie et à une manière de vivre», explique Laurent Marcangeli. «Pour eux, la métropole, ce sont les banlieues. Ils ont la phobie de voir arriver des zones de non-droit sur leur île. Les gens me disent “On ne veut pas devenir la Seine-Saint-Denis ou les quartiers Nord de Marseille”.»

«On assiste depuis quelques années à une libération des tensions raciales. Mais ici, à la différence d'ailleurs, les gens passent à l'acte. Je suis inquiet que ça monte crescendo. Ça devient compliqué d'être musulman en Corse, il y une suspicion généralisée vis-à-vis de l'islam», s'inquiète le député. Le regain des milices identitaires, comme la «Vigilenza Naziunale Corsa», qui prétend lutter contre l'islamisation de l'île, en atteste. Dans un communiqué publié peu après la mort du père Hamel, le FNLC l'a assuré: les Corses ne se laisseront pas faire par les islamistes. «Sachez que toute attaque contre notre peuple connaîtrait de notre part une réponse déterminée sans aucun état d'âme», ajoute encore le groupe indépendantiste. S'adressant, plus généralement «aux musulmans de Corse», le Front les appelle aussi à «prendre position» en dénonçant l'islamisme radical.

• Une tradition de la vengeance privée

C'est un cliché, mais le passé l'a montré: la tradition de la vendetta reste vivace en Corse. La vendetta est une tradition de vengeance personnelle, sans passer par l'intermédiaire de la justice ni recourir à la puissance étatique. Défiant envers les pouvoirs politiques, certains préfèrent régler eux mêmes leurs contentieux, comme ce qui s'est passé à Sisco.

• Une région pauvre

«N'oublions pas que la Corse est l'une des régions les plus pauvres de France», rappelle le député. En effet, avec un habitant sur cinq en dessous du seuil de pauvreté, la Corse est la lanterne rouge des régions françaises. Or les tensions sociales exacerbent souvent les tensions ethniques et raciales et l'immigration est vécue beaucoup plus difficilement dans un contexte économique tendu.

• Conséquence: un FN fort

Les prises de parole mesurées comme celle de Talamoni n'ont pas satisfait les plus radicaux. «Je ne serai pas surpris que la situation profite à Marine Le Pen», dit Laurent Marcangeli. Si le Front national ne fait pas de très bon scores aux scrutins locaux, éclipsé par les indépendantistes, il est à un niveau très élevé aux élections nationales: en 2012, Marine Le Pen était arrivée deuxième, à 24,5%, au premier tour derrière Nicolas Sarkozy. Insulaire et montagneuse, réplique miniature et bouillonnante de l'Hexagone, la Corse est le miroir exacerbé des fractures françaises.

Eugénie Bastié

Source : Le Figaro

 

Le débat sur le burkini gagne la Belgique

Alors que la polémique sur le burkini enflamme les plages françaises, la Belgique se pose la question de l’interdiction. Le parti nationaliste flamand N-VA réfléchit à une interdiction générale sur la côte flamande. "Je ne pense pas que les femmes veuillent porter une telle tenue sur la plage au nom d’une croyance", a déclaré Nadia Sminate, député du premier parti belge, qui veut porter la question au Parlement. Selon La Libre Belgique, le parti du Mouvement Réformateur (MR, de droite), principal allié du N-VA serait est « prêt à ouvrir au parlement fédéral le sensible dossier d’une interdiction légale du port des burkini ».

Source : Boulevard Voltaire

De quoi le burkini est-il le signe ?

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Dans cette pseudo-histoire de maillot de bain qu’est le burkini, le Premier ministre Manuel Valls a décidé de se mouiller. Soutenant les maires qui en ont interdit le port sur leurs plages, il a déclaré :

Le burkini n’est pas une nouvelle gamme de maillots de bain, une mode. C’est la traduction d’un projet politique, de contre-société, fondé notamment sur l’asservissement de la femme.

Manuel Valls a tort et raison à la fois. Tort quand il évacue l’effet de mode, raison quand il pointe le désir de modifier la société française dans ce qui fonde depuis des siècles sa culture profonde.

Pour la petite histoire, le burkini est bel et bien une mode récente dont la création, en 2004, reviendrait à une dénommée Aheda Zanetti, Australienne d’origine libanaise. C’est Le Monde qui rapporte ses propos :

J’ai fait des recherches et je n’ai pas trouvé de tenues convenables pour les femmes sportives et pudiques.

Elle crée donc cette combinaison, « le “hijood”, contraction de “hijab” et “hood” (capuche, en anglais), un survêtement adapté à la “pudeur” religieuse ».

On a envie de lui répondre bullshit, mensonge et fumisterie. Qu’est-ce que cette notion de « pudeur religieuse » ? Qu’est-ce qu’elle cache, que dit-elle au juste ?

Deux choses essentiellement :
1) Que l’image de la femme doit être totalement abolie.
2) Que tout regard que porte un homme sur une femme est impur et porteur de souillure.

Sous le voile intégral, et par extension dans sa combinaison de plage, la femme n’a de montrable qu’un visage, parfois seulement le regard, et parfois rien du tout. Pas de formes visibles, pas de chevelure, pas un carré de peau pour prendre l’air et le soleil. Elle est hors identité, non identifiable. L’islam interdit la représentation, l’image : la femme est non représentative et non représentée.

Enfin, comme chacun peut le constater – il faut bien écouter à ce sujet les professeurs des écoles –, les mâles dans l’islam sont éduqués à régner sans partage dès le berceau. Couvés par des mères qui les traitent comme des dieux, les petits garçons peuvent tout faire quand leurs sœurs ne sont que des bonniches à leur service. La culture phallocratique, dans ce qu’elle a de plus stérile, est entretenue par les femmes au nom du respect de « la place » dévolue à chacun, et ses contraintes emballées dans un fumeux concept de « pudeur ».

Ce monde-là n’est pas le nôtre. Ce n’est pas notre histoire, pas notre culture. Nous sommes les héritiers de la Grèce et de Rome qui magnifiaient le corps des femmes ; le Moyen Âge chrétien a sculpté les Vierge à l’Enfant, la Renaissance a peint la gorge des courtisanes, le Grand Siècle les a rendues éblouissantes, et même s’il a fallu deux siècles pour qu’elles accèdent à l’égalité des droits, elles ont toujours tenu le devant de la scène.

Le danger est que nous prenons tout cela pour acquis. Or, rien n’est acquis face à une culture d’importation d’autant plus prosélyte qu’elle est régressive. C’est notre tolérance qui nous rend vulnérables. Là-dessus, Manuel Valls a raison : le burkini traduit un véritable « projet politique, de contre-société »»

Alors, pour nos filles et nos petites-filles, et surtout pour toutes ces fillettes qui sont nées ici et qu’on entend faire vivre comme là-bas, refusons cette guerre des signes qu’on nous impose.

Marie Delarue

Source : Boulevard Voltaire

Infiltration terroriste parmi les migrants et réseau djihadiste à Milan

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C’est ce que semblent confirmer les services secrets libyens, entrés dans Syrte la semaine dernière, libérant la ville de l’État islamique.

Dans l’immeuble du centre des congrès Ouagadougou qui servait de base logistique à Daech, les soldats de l’armée gouvernementale libyenne auraient, en effet, retrouvé plusieurs documents – de la feuille volante manuscrite au file informatique – exposant des plans d’attaques de l’Italie et contenant des noms de djihadistes présents sur son territoire.

Plusieurs dizaines, voire une centaine d’entre d’eux auraient rejoint notre continent, mêlés aux migrants, profitant de la désintégration de fait de nos frontières. Rappelons que ce fut le cas d’au moins trois des terroristes qui ont semé la terreur en France et en Allemagne depuis le 13 novembre dernier.

Ces informations sont prises très au sérieux par Rome, et leur bien-fondé ne semble pas être remis en question puisque y figure Moez Ben Abdelkader Fezzani, alias Abou Nassim, immigré tunisien expulsé en 2012, bien connu des services de police pour avoir été, entre autres, à la tête d’une cellule de recrutement de djihadistes particulièrement active dans le Milanais. Les documents retrouvés confirmeraient que son activité a repris ou n’avait jamais cessé.

L’enquête étant en cours, aucun commentaire officiel n’a été émis. Mais ce silence des autorités peut aussi être interprété comme une tentative de faire l’impasse sur l’incompréhensible laxisme judiciaire dont l’énergumène a pu profiter.

De la Bosnie à l’Afghanistan, des attentats de Bruxelles et du Bardo à l’enlèvement des quatre techniciens italiens en Tripolitaine, du front Al-Nosra au récent État islamique, partout son nom est associé au djihad international. Et malgré un passage par Guantánamo et plusieurs procès pour ses liens avec le terrorisme islamique depuis 1998, il sera constamment acquitté par la justice italienne. La dernière fois en 2012, le tribunal de Milan jugeant nécessaire sa remise en liberté, attendu qu’il n’était « pas un combattant, mais un idéologue » ! C’est grâce à cette sentence qu’il pourra aller gonfler les rangs des milices islamiques au Moyen-Orient puis en Libye.

Les renseignements fournis par Tripoli officialisent ce que nombre d’opposants au chaos migratoire dénoncent depuis le début de la crise, à savoir que le travail des forces de l’ordre est vain sans le rétablissement de nos frontières, puisque à l’heure actuelle, les criminels expulsés peuvent se réintroduire dans nos territoires sans être contrôlés.

Un travail sapé aussi de l’intérieur par la prépotence des juges 1, qui ont élevé les criminels au rang de victimes, érigeant leurs convictions personnelles au-dessus de la sécurité collective.

Notes:

  1. Comme le démontrent l’affaire Abou Nassim mais aussi, en France, les Kouachi, Merah, Coulibaly, etc.

Audrey D’Aguanno

Boulevard Voltaire



Dans les gros « stocks » de migrants, quelques « stocks » de terroristes

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Chers produits, chères choses, et chers déchets, bonjour !

Je m’explique :

« Stock », d’après le dictionnaire de français en ligne Larousse, signifie :

Ensemble des marchandises disponibles sur un marché, dans un magasin, etc. ; Ensemble des marchandises, des matières ou fournitures, des déchets, des produits semi-ouvrés, des produits finis […] qui sont la propriété de l’entreprise ; Grande quantité de choses recueillies et que l’on tient en réserve.

Le mot « stock » se réfère donc aux marchandises, produits, choses, matières, voire aux déchets. Sur le site officiel « Eurostat », au chapitre « Statistiques sur la migration et la population migrante », c’est en ces termes qu’une étude se présente :

Cet article présente les statistiques de l’Union européenne sur la migration internationale et les stocks de population de citoyens nationaux et étrangers.

Vous avez bien lu : « les stocks de population » !

Pour peu qu’il ouvre les yeux, le citoyen européen a beaucoup de raisons de se sentir méprisé par cette petite caste eurocrate, ce que reflète assez bien la formulation de cette étude, mais également, par exemple, cet ex-patron de l’Union européenne, Manuel Barroso, qui passe sans coup férir de l’Union européenne à Goldman Sachs. Pas même une certaine discrétion chez ce grand homme : le stock humain est suffisamment euro-lobotomisé. Nous devinons tous plus ou moins que cette « construction européenne » n’est, pour l’heure, qu’une vaste « déconstruction » : frontières-passoires, multiculturalisme, expansion de l’islam, invasion migratoire, braderie péripatéticienne entre eurodéputés et lobbyistes et multinationales haïssant les frontières, etc. Cerise sur le gâteau : l’importation de la guerre civile islamique sur le continent européen sous le double effet migratoire (extérieur) et multiculturel (stupidité intérieure).

Chers concitoyens, les trente dernières années vont être payées par vos enfants durant les trente prochaines années : promesse de Valls. Cerise sur la cerise du gâteau : de nos jours, les meurtriers peuvent même porter un bracelet électronique et égorger un prêtre si ça leur chante… Le désordre a beaucoup progressé depuis Al Capone, qui aurait adoré notre époque et ses kalachnikov : Saint-Valentin, travail d’amateur ! Qu’il aille faire un tour au Bataclan !

Enfin, cerise sur la cerise de la cerise du gâteau : nous nous souvenons tous que seuls des nazillons pouvaient prédire l’infiltration de l’Europe par des assassins de l’État islamique cachés parmi les migrants. C’est officiel : le ministre de l’Intérieur italien, Andrea Orlando, est un nazillon ! Il a annoncé en effet, dès le 3 août, l’existence d’une enquête en cours visant à « déterminer si des membres de l’État islamique pourraient avoir un rôle crucial dans le contrôle et la gestion des flux migratoires vers l’Italie » (RFI, 13 août). « L’Italie craint que des combattants de l’État islamique venus de Syrte traversent la Méditerranée sur des bateaux de migrants » […] « Les autorités libyennes ont prévenu l’Italie de l’existence présumée d’une cellule djihadiste près de Milan en lien avec un commandant aguerri du groupe État islamique selon les médias italiens » (Le Figaro, 14 août).

En conclusion, comme dirait notre gauche, toujours aussi perspicace : de tous côtés le populisme gagne du terrain !

Silvio Molenaar

Source : Boulevard Voltaire

L’Europe, futur tombeau des islamo-racailles ?

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Il est à la fois probable et souhaitable que les derniers événements en Corse soient un avant-goût de ce qui attend les « continentaux ». Des accrochages répétés entre remplaçants et remplacés – ces derniers, espérons-le, étant de moins en moins disposés à se soumettre.

Pour la première fois dans l’Histoire, une minorité qui n’est pas indépendantiste au sens propre (tels les catholiques d’Irlande du Nord) témoigne une hostilité décomplexée envers une majorité apathique. Jusqu’ici, les minorités ont le plus souvent filé doux et, lorsqu’elles ont pris les armes, c’était sous la forme d’un affrontement de nature politique ; pas d’agressions ni d’insultes laissées impunies.

Ainsi, les guerres de religion en France, entre catholiques et protestants, ne peuvent servir de référence. D’abord, la majorité catholique sut réagir avec vigueur, allant jusqu’à déborder un État royal jugé trop mou. Ensuite, chacun des deux camps prétendait incarner la France ; il s’agissait bien d’une guerre civile. Or, la guerre actuelle nous est livrée par une communauté irréductiblement étrangère : ne lui faisons pas l’honneur de la baptiser guerre « civile ».

Pour l’instant, l’Europe de l’Ouest apparaît à nos ennemis pour ce qu’elle est : au mieux, une plaisante cour de récréation, au pire, un « agrégat inconstitué de peuples désunis » (Mirabeau) à assujettir. Notre léthargie (cet au-delà du pacifisme) s’explique par le traumatisme des deux guerres mondiales et par le fait que les États européens se sont tournés contre leur peuple, les dissuadant de se défendre par eux-mêmes, annihilant tout instinct de survie.

Or, les mentalités peuvent évoluer brutalement, et les musulmans non-francisés se retrouver piégés dans un guêpier européen, assiégés par une majorité hostile et confortée par un État régénéré. Alors, malgré nous, nous les aurons piégés. Nous avons ouvert nos portes à des peuples historiquement hostiles. Nous leur avons fait partager notre mépris de la France, coloniale puis collabo. Nous leur avons affirmé que s’ils conservaient leur culture d’origine, ce serait un enrichissement pour tous, et que les Français qui penseraient l’inverse seraient racistes. Or, à notre plus grande surprise, ils n’ont de cesse de nous mordre la main, légitimant les plus sévères représailles.

Certains signes démontrent que le piège est prêt à se refermer : la percée des partis souverainistes partout en Europe, le fait que certains Français décident de s’armer et souhaitent s’organiser en milices patriotes. Une donnée à opposer aux appels, faussement encourageants, lancés par le gouvernement pour nous inciter à rejoindre la réserve nationale. La véritable motivation de Cazeneuve est d’étouffer l’incendie pour repousser les vraies solutions : arrêt de l’immigration musulmane, déchéances massives de nationalité et remigration – leur seule échappatoire.

Car la situation de la communauté musulmane pourrait fort bien devenir comparable à celle des juifs allemands, durant l’entre-deux-guerres ; à la différence près que ces derniers ne témoignaient aucune hostilité envers la majorité chrétienne.

Romain d’Aspremont

Source : Boulevard Voltaire

Paris : ses monuments, ses migrants qui rackettent les touristes…

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Si Paris attire plus de 30 millions de visiteurs par an, dont 14 millions entrent dans Notre-Dame et 7 millions montent sur la tour Eiffel, on peut estimer que ce sont donc trente millions de touristes qui empruntent chaque année le pont d’Iéna pour photographier la grande dame. Qui viendrait à Paris sans immortaliser l’œuvre monumentale de Gustave Eiffel ?

Et que voient ces millions de personnes ? Des dizaines de migrants, des dizaines de sans-papiers, africains pour la plupart, les agresser pour leur vendre tours Eiffel de toutes tailles, perches de selfies et autre babioles. Étalés sur un morceau de tissu (pour un remballage rapide) ou accrochés à leurs bras, ces objets leur sont proposés par des réseaux mafieux qui utilisent ces malheureux pour assaillir le touriste.

Y a-t-il effectivement, en France, un endroit plus fréquenté par d’innocents touristes prêts à se faire racketter pour une babiole sans valeur, pour un jeu d’argent truqué (le jeu du bonneteau) ? J’ai vu, hier, une touriste menacée se sentir obligée de mettre un billet de cent euros sous l’un des trois gobelets renversés où le Turc ou le Roumain savait qu’il ne cachait pas la carte rouge du vainqueur. Le pont d’Iéna est tellement connu pour ce racket qu’un film sur YouTube le dénonce. Et je ne parle pas des pickpockets qui pullulent aux alentours. Ni même des burqas dont j’ai vu deux exemplaires débarquer d’une voiture au pied de la tour Eiffel.

Apercevant deux CRS qui commençaient leur ronde sur le pont, je leur signalai que ce trafic de tours Eiffel, ce racket au bonneteau étaient une honte à l’égard des touristes. Que voir autant de clandestins faire leur trafic au grand jour n’était pas donner une très belle image de la France.

Que voulez-vous, Monsieur, nous sommes que trois ici. Dès qu’ils nous voient, ils décampent. Que pouvons-nous faire ?

En état d’urgence absolue, près du monument le plus visité du monde !

Un peu plus tard, j’allai aux Tuileries, devant l’Arc de Triomphe du Carrousel. Même scène. Sans présence policière, mais avec une horde d’Africains, là aussi, sans doute hébergés par un réseau de mafieux parfaitement identifié par nos services de police.

Voilà notre bel État de droit. Voilà où le laxisme d’une politique migratoire de droite comme de gauche nous a menés. Une situation hors de contrôle. M. Cazeneuve, Mme Hidalgo, M. le Préfet de Police, est-ce vraiment votre volonté de faire fuir les touristes qui sont déjà 3 millions, cette année, à avoir annulé leurs vacances en France ? M. Hollande, comment avoir approuvé les dispositions que M. Cazeneuve et Mme Cosse viennent de prendre pour ouvrir encore plus les vannes de l’immigration clandestine ?

Votre fin de mandat prend des allures provocatrices, comme si avant de partir vous vouliez à tout prix laisser à vos successeurs, quels qu’ils soient, une France exsangue, une France divisée, une France qui n’est plus la France mais un ramassis de la misère du monde…

Balayez-nous le pont d’Iéna de sa racaille et tous les lieux emblématiques du tourisme avant que nous ne le fassions nous-mêmes. Avec plus de trois malheureux CRS qui n’en peuvent plus !

Floris de Bonneville

Source : Boulevard Voltaire



Le burkini : un destin pour Chevènement ?

Interrogé sur Europe 1 à propos de la récente (?) déferlante de burkinis sur les plages de France, Jean-Pierre Chevènement marque des points auprès du système. Sa position ? Elle est d’une originalité foudroyante : « La liberté sauf nécessité d’ordre public » ; décalque laborieux de l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, version 1789 (« La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui »). Pas surprenant de la part d’un homme qui connaît tous les couplets de « La Marseillaise ». Si vous me passez ce jeu de mots d’une nullité hollandesque, l’ancien ministre ne se mouille pas.

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Là où Chevènement est meilleur, c’est sur le développement de sa position : « Les gens sont libres de prendre leur bain costumés ou non. » D’abord, saluons un trait d’humour involontaire : les oripeaux mahométans sont-ils un costume, de ceux que portent les enfants pour se faire remarquer, comme celui de clown, de maréchal d’Empire ou de cosmonaute ? C’est l’avis de beaucoup, depuis fort longtemps, mais généralement pas celui du camp du bien, qui voit une liberté là où il n’y a qu’une méprisante provocation. Et par « costumés ou non », faut-il entendre que Jean-Pierre l’inflexible tolérerait, sur le même sable, cinquante nuances de costume : la jeune femme en burkini, la poufinette en string ficelle, la vieille prolétaire topless avec ses tatouages bleus et la naturiste de stricte obédience ? Voilà quelle serait la vraie diversité ! Toutefoisb on ne peut s’empêcher de frémir à l’idée de ce que donnerait ce choc des civilisations par épiderme interposé. Il faudrait un peu plus que des musulman(e)s avec des armes blanches, en train de s’acharner sur des adolescents ou de crever les pneus de voiture des kouffars, pour régler cette guerre civile aux relents de monoï et d’huile moteur (« nauséabonde », donc).

Enfin, nous culminons dans le flou avec cette supercherie aporétique : « Il faut que chacun cherche à s’intégrer à la société française. L’intégration n’est pas un gros mot, ça veut dire avoir accès aux codes sociaux qui permettent l’exercice des libertés », a poursuivi Jean-Pierre Chevènement. « L’identité française est mouvante », a-t-il reconnu. (Le Parisien). Outre le mot orwellien du journaliste (pour qui se prononcer sur une « identité mouvante », c’est « reconnaître » quelque chose qui existe déjà), comment peut-on demander à des immigrés d’avoir accès aux « codes sociaux » d’une « identité mouvante » ? Involontairement, M. Chevènement dresse le constat juste : nous savons tellement peu qui nous sommes, on nous l’a tant fait oublier, qu’il nous est impossible d’exiger la mise en conformité des autres à une identité désapprise ou méprisée. Chevènement ne manie pas l’aporie comme Platon ni le koan comme les moines zen : en politique, si un raisonnement a l’air absurde et irréaliste, il l’est. Depuis le temps, la gauche devrait l’avoir appris.

On dit Chevènement pressenti pour prendre la direction de la Fondation pour l’islam de France ; lui ne se dit « pas candidat » mais « disponible ». Attitude de diva qu’on n’avait pas vue depuis Jospin ou de Gaulle, et qui le classe illico, pour la presse, dans la catégorie des grands hommes, traverseurs de désert et porteurs de destin.

À ce propos, un gestionnaire des « ressources humaines » avait dit un jour à l’un de mes amis : « Écoute mon vieux, y a trois catégories : ceux qui ont un destin, ceux qui ont une carrière et ceux qui ont un parcours professionnel. Toi, t’as un parcours professionnel. » Le « Che » qui s’imagine un destin a-t-il les yeux plus gros que le ventre ? N’a-t-il pas acquis cette lâche résignation des vieux ratés, à force de gages donnés à l’ennemi ? « Un ministre », avait-il dit, « ça ferme sa gueule ou ça démissionne. » Cette fois, s’il dirige ladite fondation, je pense qu’il ne démissionnera pas.

Arnaud Florac

Source : Boulevard Voltaire