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vendredi, 19 août 2016

Le débat sur le burkini gagne la Belgique

Alors que la polémique sur le burkini enflamme les plages françaises, la Belgique se pose la question de l’interdiction. Le parti nationaliste flamand N-VA réfléchit à une interdiction générale sur la côte flamande. "Je ne pense pas que les femmes veuillent porter une telle tenue sur la plage au nom d’une croyance", a déclaré Nadia Sminate, député du premier parti belge, qui veut porter la question au Parlement. Selon La Libre Belgique, le parti du Mouvement Réformateur (MR, de droite), principal allié du N-VA serait est « prêt à ouvrir au parlement fédéral le sensible dossier d’une interdiction légale du port des burkini ».

Source : Boulevard Voltaire

De quoi le burkini est-il le signe ?

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Dans cette pseudo-histoire de maillot de bain qu’est le burkini, le Premier ministre Manuel Valls a décidé de se mouiller. Soutenant les maires qui en ont interdit le port sur leurs plages, il a déclaré :

Le burkini n’est pas une nouvelle gamme de maillots de bain, une mode. C’est la traduction d’un projet politique, de contre-société, fondé notamment sur l’asservissement de la femme.

Manuel Valls a tort et raison à la fois. Tort quand il évacue l’effet de mode, raison quand il pointe le désir de modifier la société française dans ce qui fonde depuis des siècles sa culture profonde.

Pour la petite histoire, le burkini est bel et bien une mode récente dont la création, en 2004, reviendrait à une dénommée Aheda Zanetti, Australienne d’origine libanaise. C’est Le Monde qui rapporte ses propos :

J’ai fait des recherches et je n’ai pas trouvé de tenues convenables pour les femmes sportives et pudiques.

Elle crée donc cette combinaison, « le “hijood”, contraction de “hijab” et “hood” (capuche, en anglais), un survêtement adapté à la “pudeur” religieuse ».

On a envie de lui répondre bullshit, mensonge et fumisterie. Qu’est-ce que cette notion de « pudeur religieuse » ? Qu’est-ce qu’elle cache, que dit-elle au juste ?

Deux choses essentiellement :
1) Que l’image de la femme doit être totalement abolie.
2) Que tout regard que porte un homme sur une femme est impur et porteur de souillure.

Sous le voile intégral, et par extension dans sa combinaison de plage, la femme n’a de montrable qu’un visage, parfois seulement le regard, et parfois rien du tout. Pas de formes visibles, pas de chevelure, pas un carré de peau pour prendre l’air et le soleil. Elle est hors identité, non identifiable. L’islam interdit la représentation, l’image : la femme est non représentative et non représentée.

Enfin, comme chacun peut le constater – il faut bien écouter à ce sujet les professeurs des écoles –, les mâles dans l’islam sont éduqués à régner sans partage dès le berceau. Couvés par des mères qui les traitent comme des dieux, les petits garçons peuvent tout faire quand leurs sœurs ne sont que des bonniches à leur service. La culture phallocratique, dans ce qu’elle a de plus stérile, est entretenue par les femmes au nom du respect de « la place » dévolue à chacun, et ses contraintes emballées dans un fumeux concept de « pudeur ».

Ce monde-là n’est pas le nôtre. Ce n’est pas notre histoire, pas notre culture. Nous sommes les héritiers de la Grèce et de Rome qui magnifiaient le corps des femmes ; le Moyen Âge chrétien a sculpté les Vierge à l’Enfant, la Renaissance a peint la gorge des courtisanes, le Grand Siècle les a rendues éblouissantes, et même s’il a fallu deux siècles pour qu’elles accèdent à l’égalité des droits, elles ont toujours tenu le devant de la scène.

Le danger est que nous prenons tout cela pour acquis. Or, rien n’est acquis face à une culture d’importation d’autant plus prosélyte qu’elle est régressive. C’est notre tolérance qui nous rend vulnérables. Là-dessus, Manuel Valls a raison : le burkini traduit un véritable « projet politique, de contre-société »»

Alors, pour nos filles et nos petites-filles, et surtout pour toutes ces fillettes qui sont nées ici et qu’on entend faire vivre comme là-bas, refusons cette guerre des signes qu’on nous impose.

Marie Delarue

Source : Boulevard Voltaire

Infiltration terroriste parmi les migrants et réseau djihadiste à Milan

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C’est ce que semblent confirmer les services secrets libyens, entrés dans Syrte la semaine dernière, libérant la ville de l’État islamique.

Dans l’immeuble du centre des congrès Ouagadougou qui servait de base logistique à Daech, les soldats de l’armée gouvernementale libyenne auraient, en effet, retrouvé plusieurs documents – de la feuille volante manuscrite au file informatique – exposant des plans d’attaques de l’Italie et contenant des noms de djihadistes présents sur son territoire.

Plusieurs dizaines, voire une centaine d’entre d’eux auraient rejoint notre continent, mêlés aux migrants, profitant de la désintégration de fait de nos frontières. Rappelons que ce fut le cas d’au moins trois des terroristes qui ont semé la terreur en France et en Allemagne depuis le 13 novembre dernier.

Ces informations sont prises très au sérieux par Rome, et leur bien-fondé ne semble pas être remis en question puisque y figure Moez Ben Abdelkader Fezzani, alias Abou Nassim, immigré tunisien expulsé en 2012, bien connu des services de police pour avoir été, entre autres, à la tête d’une cellule de recrutement de djihadistes particulièrement active dans le Milanais. Les documents retrouvés confirmeraient que son activité a repris ou n’avait jamais cessé.

L’enquête étant en cours, aucun commentaire officiel n’a été émis. Mais ce silence des autorités peut aussi être interprété comme une tentative de faire l’impasse sur l’incompréhensible laxisme judiciaire dont l’énergumène a pu profiter.

De la Bosnie à l’Afghanistan, des attentats de Bruxelles et du Bardo à l’enlèvement des quatre techniciens italiens en Tripolitaine, du front Al-Nosra au récent État islamique, partout son nom est associé au djihad international. Et malgré un passage par Guantánamo et plusieurs procès pour ses liens avec le terrorisme islamique depuis 1998, il sera constamment acquitté par la justice italienne. La dernière fois en 2012, le tribunal de Milan jugeant nécessaire sa remise en liberté, attendu qu’il n’était « pas un combattant, mais un idéologue » ! C’est grâce à cette sentence qu’il pourra aller gonfler les rangs des milices islamiques au Moyen-Orient puis en Libye.

Les renseignements fournis par Tripoli officialisent ce que nombre d’opposants au chaos migratoire dénoncent depuis le début de la crise, à savoir que le travail des forces de l’ordre est vain sans le rétablissement de nos frontières, puisque à l’heure actuelle, les criminels expulsés peuvent se réintroduire dans nos territoires sans être contrôlés.

Un travail sapé aussi de l’intérieur par la prépotence des juges 1, qui ont élevé les criminels au rang de victimes, érigeant leurs convictions personnelles au-dessus de la sécurité collective.

Notes:

  1. Comme le démontrent l’affaire Abou Nassim mais aussi, en France, les Kouachi, Merah, Coulibaly, etc.

Audrey D’Aguanno

Boulevard Voltaire



Dans les gros « stocks » de migrants, quelques « stocks » de terroristes

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Chers produits, chères choses, et chers déchets, bonjour !

Je m’explique :

« Stock », d’après le dictionnaire de français en ligne Larousse, signifie :

Ensemble des marchandises disponibles sur un marché, dans un magasin, etc. ; Ensemble des marchandises, des matières ou fournitures, des déchets, des produits semi-ouvrés, des produits finis […] qui sont la propriété de l’entreprise ; Grande quantité de choses recueillies et que l’on tient en réserve.

Le mot « stock » se réfère donc aux marchandises, produits, choses, matières, voire aux déchets. Sur le site officiel « Eurostat », au chapitre « Statistiques sur la migration et la population migrante », c’est en ces termes qu’une étude se présente :

Cet article présente les statistiques de l’Union européenne sur la migration internationale et les stocks de population de citoyens nationaux et étrangers.

Vous avez bien lu : « les stocks de population » !

Pour peu qu’il ouvre les yeux, le citoyen européen a beaucoup de raisons de se sentir méprisé par cette petite caste eurocrate, ce que reflète assez bien la formulation de cette étude, mais également, par exemple, cet ex-patron de l’Union européenne, Manuel Barroso, qui passe sans coup férir de l’Union européenne à Goldman Sachs. Pas même une certaine discrétion chez ce grand homme : le stock humain est suffisamment euro-lobotomisé. Nous devinons tous plus ou moins que cette « construction européenne » n’est, pour l’heure, qu’une vaste « déconstruction » : frontières-passoires, multiculturalisme, expansion de l’islam, invasion migratoire, braderie péripatéticienne entre eurodéputés et lobbyistes et multinationales haïssant les frontières, etc. Cerise sur le gâteau : l’importation de la guerre civile islamique sur le continent européen sous le double effet migratoire (extérieur) et multiculturel (stupidité intérieure).

Chers concitoyens, les trente dernières années vont être payées par vos enfants durant les trente prochaines années : promesse de Valls. Cerise sur la cerise du gâteau : de nos jours, les meurtriers peuvent même porter un bracelet électronique et égorger un prêtre si ça leur chante… Le désordre a beaucoup progressé depuis Al Capone, qui aurait adoré notre époque et ses kalachnikov : Saint-Valentin, travail d’amateur ! Qu’il aille faire un tour au Bataclan !

Enfin, cerise sur la cerise de la cerise du gâteau : nous nous souvenons tous que seuls des nazillons pouvaient prédire l’infiltration de l’Europe par des assassins de l’État islamique cachés parmi les migrants. C’est officiel : le ministre de l’Intérieur italien, Andrea Orlando, est un nazillon ! Il a annoncé en effet, dès le 3 août, l’existence d’une enquête en cours visant à « déterminer si des membres de l’État islamique pourraient avoir un rôle crucial dans le contrôle et la gestion des flux migratoires vers l’Italie » (RFI, 13 août). « L’Italie craint que des combattants de l’État islamique venus de Syrte traversent la Méditerranée sur des bateaux de migrants » […] « Les autorités libyennes ont prévenu l’Italie de l’existence présumée d’une cellule djihadiste près de Milan en lien avec un commandant aguerri du groupe État islamique selon les médias italiens » (Le Figaro, 14 août).

En conclusion, comme dirait notre gauche, toujours aussi perspicace : de tous côtés le populisme gagne du terrain !

Silvio Molenaar

Source : Boulevard Voltaire

L’Europe, futur tombeau des islamo-racailles ?

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Il est à la fois probable et souhaitable que les derniers événements en Corse soient un avant-goût de ce qui attend les « continentaux ». Des accrochages répétés entre remplaçants et remplacés – ces derniers, espérons-le, étant de moins en moins disposés à se soumettre.

Pour la première fois dans l’Histoire, une minorité qui n’est pas indépendantiste au sens propre (tels les catholiques d’Irlande du Nord) témoigne une hostilité décomplexée envers une majorité apathique. Jusqu’ici, les minorités ont le plus souvent filé doux et, lorsqu’elles ont pris les armes, c’était sous la forme d’un affrontement de nature politique ; pas d’agressions ni d’insultes laissées impunies.

Ainsi, les guerres de religion en France, entre catholiques et protestants, ne peuvent servir de référence. D’abord, la majorité catholique sut réagir avec vigueur, allant jusqu’à déborder un État royal jugé trop mou. Ensuite, chacun des deux camps prétendait incarner la France ; il s’agissait bien d’une guerre civile. Or, la guerre actuelle nous est livrée par une communauté irréductiblement étrangère : ne lui faisons pas l’honneur de la baptiser guerre « civile ».

Pour l’instant, l’Europe de l’Ouest apparaît à nos ennemis pour ce qu’elle est : au mieux, une plaisante cour de récréation, au pire, un « agrégat inconstitué de peuples désunis » (Mirabeau) à assujettir. Notre léthargie (cet au-delà du pacifisme) s’explique par le traumatisme des deux guerres mondiales et par le fait que les États européens se sont tournés contre leur peuple, les dissuadant de se défendre par eux-mêmes, annihilant tout instinct de survie.

Or, les mentalités peuvent évoluer brutalement, et les musulmans non-francisés se retrouver piégés dans un guêpier européen, assiégés par une majorité hostile et confortée par un État régénéré. Alors, malgré nous, nous les aurons piégés. Nous avons ouvert nos portes à des peuples historiquement hostiles. Nous leur avons fait partager notre mépris de la France, coloniale puis collabo. Nous leur avons affirmé que s’ils conservaient leur culture d’origine, ce serait un enrichissement pour tous, et que les Français qui penseraient l’inverse seraient racistes. Or, à notre plus grande surprise, ils n’ont de cesse de nous mordre la main, légitimant les plus sévères représailles.

Certains signes démontrent que le piège est prêt à se refermer : la percée des partis souverainistes partout en Europe, le fait que certains Français décident de s’armer et souhaitent s’organiser en milices patriotes. Une donnée à opposer aux appels, faussement encourageants, lancés par le gouvernement pour nous inciter à rejoindre la réserve nationale. La véritable motivation de Cazeneuve est d’étouffer l’incendie pour repousser les vraies solutions : arrêt de l’immigration musulmane, déchéances massives de nationalité et remigration – leur seule échappatoire.

Car la situation de la communauté musulmane pourrait fort bien devenir comparable à celle des juifs allemands, durant l’entre-deux-guerres ; à la différence près que ces derniers ne témoignaient aucune hostilité envers la majorité chrétienne.

Romain d’Aspremont

Source : Boulevard Voltaire

Paris : ses monuments, ses migrants qui rackettent les touristes…

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Si Paris attire plus de 30 millions de visiteurs par an, dont 14 millions entrent dans Notre-Dame et 7 millions montent sur la tour Eiffel, on peut estimer que ce sont donc trente millions de touristes qui empruntent chaque année le pont d’Iéna pour photographier la grande dame. Qui viendrait à Paris sans immortaliser l’œuvre monumentale de Gustave Eiffel ?

Et que voient ces millions de personnes ? Des dizaines de migrants, des dizaines de sans-papiers, africains pour la plupart, les agresser pour leur vendre tours Eiffel de toutes tailles, perches de selfies et autre babioles. Étalés sur un morceau de tissu (pour un remballage rapide) ou accrochés à leurs bras, ces objets leur sont proposés par des réseaux mafieux qui utilisent ces malheureux pour assaillir le touriste.

Y a-t-il effectivement, en France, un endroit plus fréquenté par d’innocents touristes prêts à se faire racketter pour une babiole sans valeur, pour un jeu d’argent truqué (le jeu du bonneteau) ? J’ai vu, hier, une touriste menacée se sentir obligée de mettre un billet de cent euros sous l’un des trois gobelets renversés où le Turc ou le Roumain savait qu’il ne cachait pas la carte rouge du vainqueur. Le pont d’Iéna est tellement connu pour ce racket qu’un film sur YouTube le dénonce. Et je ne parle pas des pickpockets qui pullulent aux alentours. Ni même des burqas dont j’ai vu deux exemplaires débarquer d’une voiture au pied de la tour Eiffel.

Apercevant deux CRS qui commençaient leur ronde sur le pont, je leur signalai que ce trafic de tours Eiffel, ce racket au bonneteau étaient une honte à l’égard des touristes. Que voir autant de clandestins faire leur trafic au grand jour n’était pas donner une très belle image de la France.

Que voulez-vous, Monsieur, nous sommes que trois ici. Dès qu’ils nous voient, ils décampent. Que pouvons-nous faire ?

En état d’urgence absolue, près du monument le plus visité du monde !

Un peu plus tard, j’allai aux Tuileries, devant l’Arc de Triomphe du Carrousel. Même scène. Sans présence policière, mais avec une horde d’Africains, là aussi, sans doute hébergés par un réseau de mafieux parfaitement identifié par nos services de police.

Voilà notre bel État de droit. Voilà où le laxisme d’une politique migratoire de droite comme de gauche nous a menés. Une situation hors de contrôle. M. Cazeneuve, Mme Hidalgo, M. le Préfet de Police, est-ce vraiment votre volonté de faire fuir les touristes qui sont déjà 3 millions, cette année, à avoir annulé leurs vacances en France ? M. Hollande, comment avoir approuvé les dispositions que M. Cazeneuve et Mme Cosse viennent de prendre pour ouvrir encore plus les vannes de l’immigration clandestine ?

Votre fin de mandat prend des allures provocatrices, comme si avant de partir vous vouliez à tout prix laisser à vos successeurs, quels qu’ils soient, une France exsangue, une France divisée, une France qui n’est plus la France mais un ramassis de la misère du monde…

Balayez-nous le pont d’Iéna de sa racaille et tous les lieux emblématiques du tourisme avant que nous ne le fassions nous-mêmes. Avec plus de trois malheureux CRS qui n’en peuvent plus !

Floris de Bonneville

Source : Boulevard Voltaire



Le burkini : un destin pour Chevènement ?

Interrogé sur Europe 1 à propos de la récente (?) déferlante de burkinis sur les plages de France, Jean-Pierre Chevènement marque des points auprès du système. Sa position ? Elle est d’une originalité foudroyante : « La liberté sauf nécessité d’ordre public » ; décalque laborieux de l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, version 1789 (« La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui »). Pas surprenant de la part d’un homme qui connaît tous les couplets de « La Marseillaise ». Si vous me passez ce jeu de mots d’une nullité hollandesque, l’ancien ministre ne se mouille pas.

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Là où Chevènement est meilleur, c’est sur le développement de sa position : « Les gens sont libres de prendre leur bain costumés ou non. » D’abord, saluons un trait d’humour involontaire : les oripeaux mahométans sont-ils un costume, de ceux que portent les enfants pour se faire remarquer, comme celui de clown, de maréchal d’Empire ou de cosmonaute ? C’est l’avis de beaucoup, depuis fort longtemps, mais généralement pas celui du camp du bien, qui voit une liberté là où il n’y a qu’une méprisante provocation. Et par « costumés ou non », faut-il entendre que Jean-Pierre l’inflexible tolérerait, sur le même sable, cinquante nuances de costume : la jeune femme en burkini, la poufinette en string ficelle, la vieille prolétaire topless avec ses tatouages bleus et la naturiste de stricte obédience ? Voilà quelle serait la vraie diversité ! Toutefoisb on ne peut s’empêcher de frémir à l’idée de ce que donnerait ce choc des civilisations par épiderme interposé. Il faudrait un peu plus que des musulman(e)s avec des armes blanches, en train de s’acharner sur des adolescents ou de crever les pneus de voiture des kouffars, pour régler cette guerre civile aux relents de monoï et d’huile moteur (« nauséabonde », donc).

Enfin, nous culminons dans le flou avec cette supercherie aporétique : « Il faut que chacun cherche à s’intégrer à la société française. L’intégration n’est pas un gros mot, ça veut dire avoir accès aux codes sociaux qui permettent l’exercice des libertés », a poursuivi Jean-Pierre Chevènement. « L’identité française est mouvante », a-t-il reconnu. (Le Parisien). Outre le mot orwellien du journaliste (pour qui se prononcer sur une « identité mouvante », c’est « reconnaître » quelque chose qui existe déjà), comment peut-on demander à des immigrés d’avoir accès aux « codes sociaux » d’une « identité mouvante » ? Involontairement, M. Chevènement dresse le constat juste : nous savons tellement peu qui nous sommes, on nous l’a tant fait oublier, qu’il nous est impossible d’exiger la mise en conformité des autres à une identité désapprise ou méprisée. Chevènement ne manie pas l’aporie comme Platon ni le koan comme les moines zen : en politique, si un raisonnement a l’air absurde et irréaliste, il l’est. Depuis le temps, la gauche devrait l’avoir appris.

On dit Chevènement pressenti pour prendre la direction de la Fondation pour l’islam de France ; lui ne se dit « pas candidat » mais « disponible ». Attitude de diva qu’on n’avait pas vue depuis Jospin ou de Gaulle, et qui le classe illico, pour la presse, dans la catégorie des grands hommes, traverseurs de désert et porteurs de destin.

À ce propos, un gestionnaire des « ressources humaines » avait dit un jour à l’un de mes amis : « Écoute mon vieux, y a trois catégories : ceux qui ont un destin, ceux qui ont une carrière et ceux qui ont un parcours professionnel. Toi, t’as un parcours professionnel. » Le « Che » qui s’imagine un destin a-t-il les yeux plus gros que le ventre ? N’a-t-il pas acquis cette lâche résignation des vieux ratés, à force de gages donnés à l’ennemi ? « Un ministre », avait-il dit, « ça ferme sa gueule ou ça démissionne. » Cette fois, s’il dirige ladite fondation, je pense qu’il ne démissionnera pas.

Arnaud Florac

Source : Boulevard Voltaire



À quand un maire interdisant voiles et djellabas dans sa ville ?

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C’est David Lisnard, maire LR de Cannes, qui, le premier, le 28 juillet dernier, a osé prendre un arrêté municipal interdisant le burkini sur les plages de sa ville. Les arguments mis en avant paraissent fort pertinents.

Une tenue de plage manifestant de manière ostentatoire une appartenance religieuse, alors que la France et les lieux de culte religieux sont actuellement la cible d’attaques terroristes, est de nature à créer des risques de troubles à l’ordre public (attroupements, échauffourées, etc.).

Le CCIF et la LDH ayant décidé de faire appel contre cet arrêté, jugé discriminatoire, le tribunal administratif a rendu son verdict dans des termes très clairs :

Dans le contexte d’état d’urgence et des récents attentats islamistes survenus notamment à Nice il y a un mois […], le port d’une tenue vestimentaire distinctive, autre que celle d’une tenue habituelle de bain, peut en effet être interprétée comme n’étant pas, dans ce contexte, qu’un simple signe de religiosité.

Après le maire de Cannes, le 28 juillet, le maire de Villeneuve-Loubet a pris un arrêté semblable, le 5 août dernier, et celui de Sisco, petite ville de Corse où des musulmans ont agressé à coups de couteau et de hachoir de jeunes Corses, suite à un différend sur le burkini, encore, s’apprête à faire de même.

Si on peut se réjouir, après l’annulation de la journée burkini de Plan de Campagne, près de Marseille, que des élus – fort peu nombreux – prennent leurs responsabilités, on ne peut que constater que, comme en 1989 sur l’affaire du voile islamique dans l’école de Creil, ils sont abandonnés par l’État. C’est au gouvernement, au lieu de laisser les maires se débrouiller localement, de légiférer, et d’interdire cette tenue, sur toutes les plages de France. Comme cela s’est fait pour le voile à l’école, en 2004, et pour la burqa dans l’espace public, en 2009.

Mais à lire de près l’arrêté du maire de Cannes, et la réponse du tribunal administratif, on ne peut que s’interroger : pourquoi le seul burkini, et pas le voile islamique et la djellaba ? En quoi les caractéristiques de ce que nous appelons des uniformes de l’islam sont-elles différentes de celles du burkini ? En quoi, en période de guerre, le voile, qui agresse les combats féministes, et renvoie un message raciste et sexiste – la voilée ne pourra appartenir qu’à un musulman, et l’homme serait incapable de contrôler ses pulsions –, est-il tolérable en France ? En quoi les djellabas, qui sont l’uniforme des salafistes, devraient-elles être acceptées ?

Ces tenues ne renvoient-elles pas, elles aussi, après les attentats de Nice, du Bataclan et de Charlie, autre chose qu’une simple fantaisie vestimentaire ? Ne sont-elles pas des marquages de l’espace public, qui expriment très clairement un message hostile à la France, à ses valeurs, à sa culture, à sa laïcité et à sa civilisation ? Ne marquent-elles pas, de la part de celles et ceux qui les portent, un refus d’assimilation, d’intégration, et un message clair : « Nous sommes musulmans avant d’être français. »

N’incitent-elles pas, elles aussi, à des troubles à l’ordre public ? Alors, à défaut, là encore, d’un gouvernement qui prenne ses responsabilités, à quand le premier maire qui osera émettre un arrêté interdisant, au nom de la sécurité publique, tout uniforme de l’islam sur sa commune ?

Il y a un précédent historique : en 1905, dans un contexte tendu, le maire du Kremlin-Bicêtre, Eugène Thomas, avait interdit la soutane dans sa ville.

111 ans plus tard, il attend un courageux successeur, sachant que dans la France de 2016, il n’y a plus de soutanes mais beaucoup de voiles et de djellabas…


Pierre Cassen
 

Sisco : la vérité éclate enfin !

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Pour des raisons encore indéterminées, des Corses s’en sont pris à deux familles marocaines.

C’est ainsi que BFM TV présentait les violences survenues samedi aux abords des plages du village de Sisco, en Haute-Corse. Comme à l’accoutumée, les médias se sont emparés de l’affaire, donnant la parole aux associations subventionnées pour cracher leur haine de la France, notamment l’officine de lobbying islamiste appelée CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), grassement financée par le milliardaire américain George Soros. Marwan Muhammad, son « directeur exécutif », a été invité sur tous les plateaux, dénonçant « l’islamophobie » des affreux fachos corses, lesquels devraient être considérés comme une « communauté » en France et sur leur île… Bref, les bobards médiatiques se sont succédé pour que les Français ne connaissent pas la vérité.
 
Que s’est-il réellement passé à Sisco, samedi dernier ? Selon Nicolas Bessone, procureur de la République à Bastia, l’origine des incidents incombe « à l’évidence » à des « membres d’une famille maghrébine », ayant voulu, « dans une logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser ». Le procureur est allé plus loin, expliquant que ces Maghrébins avaient « multiplié des incidents avec un certain nombre de personnes : jets de pierre à proximité d’autres personnes pour les intimider, tensions très fortes, insultes, menaces ». Parlons clairement : des islamo-racailles ont foutu la pagaille sur fond de revendications communautaires. Ils ont privatisé la plage comme ils entendent un jour privatiser le pays ; ou, plus précisément, le conquérir.
 
Visage raffiné du conquérant, Marwan Muhammad utilise pourtant la même rhétorique que ses coreligionnaires violents qui ont sévi à Sisco : victimisation, lutte contre un arbitraire supposé… De la même façon, le Comité français du culte musulman a osé dire que le « burkini » (terme de novlangue pour désigner une burka de baignade) n’était pas un vêtement islamiste, témoignage d’un prosélytisme étranger incompatible avec nos mœurs. Peut-être parce que le Conseil français du culte musulman, créé par Nicolas Sarkozy, est aussi infiltré par les Frères musulmans que le Collectif contre l’islamophobie en France ?
 
Les Corses ont été salis par tous les médias qui les ont dépeints en monstres alors qu’ils se sont contentés de protéger un village, et trois de ses jeunes habitants sauvagement agressés par des personnes plus âgées équipées d’armes blanches qui n’ont normalement pas leur place sur les plages. Des femmes voilées, accompagnées de proches – à l’évidence des voyous -, ont voulu s’approprier une crique, terrorisant les badauds et les touristes. Comment peut-on supporter cela ? La réaction villageoise n’a pas été inadaptée, contrairement à ce qu’affirme le procureur qui cherche à faire bonne mesure. Bien au contraire, elle était légitime, proportionnée et rafraîchissante.
 
Si la France est un pays liberticide, où les musulmans ne se sentent pas à l’aise, ils sont toujours libres de quitter l’Hexagone pour rejoindre des contrées plus tolérantes, comme l’Arabie saoudite ou l’État islamique. Qu’ils sachent une chose : les Français veulent rester maîtres chez eux et ne toléreront pas longtemps ces provocations haineuses, sectaires et violentes.

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire



Calvados : la sous-préfecture de Bayeux a été taguée

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La sous-préfecture de Bayeux (Calvados) a été taguée. On ignore pour le moment la date exacte du graffiti mais selon plusieurs sources, elle remonterait au week-end des samedi 13, dimanche 14 et lundi 15 août 2016. Les services de l'Etat ne communiquent pas pour le moment.

Mauvaise surprise pour les employés de la sous-préfecture de Bayeux (Calvados), ce mardi 16 août 2016. Un des murs du bâtiment a été tagué par un ou plusieurs individus. Jointe par téléphone, la sous-préfecture de Bayeux indique que des employés "ont vu le tag et ont été surpris", d'autres "ne l'ont pas vu". Elle ne communique pas plus pour le moment. En tout cas, le tag de couleur rouge, ne passe pas inaperçu.

Un signe anarchiste ou identitaire ?

Que signifie ce graffiti ? A priori, trois hypothèses se dessinent… De l'extrême-gauche à l'extrême-droite. Mais dans deux des trois cas, à l'envers !
Primo, il pourrait ressembler à un "A, cerclé", - ou "A dans l'O" -. Un symbole associé au mouvement anarchiste qui remonterait à 1964 en apparaissant pour la première fois dans le Bulletin des jeunes libertaires. Ce serait un signe de ralliement de l’ensemble du mouvement anarchiste. Pour rappel, ce mouvement est pour un Etat sans gouvernement, où il n'y a pas d'autorité unique et pas de chef.
Secundo, le tag pourrait également faire référence au "V" du film réalisé par James McTeigue, "V pour Vendetta" (V for Vendetta), qui raconte l'histoire d'un anarchiste. En fait, le héros du film se fait appeler "V". Il cherche à mettre en place un changement politique et social. Pour cela, il va mener une violente vendetta personnelle contre son gouvernement fasciste en place.

Tertio, à l’inverse, ce graffiti représenterait plutôt un sigle d’êxtrême droite, et plus exactement celui de la mouvance identitaire. Ce pourrait être en effet un "lambda" à l'envers, incarnant les Identitaires, un mouvement anti-immigrés, qui revendique la défense des "Européens de race blanche", et une vision ethnique de la politique. Une hypothèse qui n'est pas à exclure dans le climat actuel.

Tags interdits dans les lieux publics

Toujours est-il que la pratique du graffiti dans les lieux publics est interdite. Si les dommages sont légers, la peine maximale pour avoir fait un tag est de 3 750 euros d'amende et un travail d'intérêt général. En cas de dommage important, un acte de vandalisme est puni jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende, selon le ministère en charge de la Justice.

Source : La Manche libre

jeudi, 18 août 2016

«Le burkini doit être proscrit» (M.Le Pen)

La présidente du Front national Marine Le Pen a apporté aujourd'hui son soutien aux maires -majoritairement de droite- qui ont interdit le port du burkini sur les plages de leur commune. "Bien sûr le burkini doit être proscrit des plages françaises, où il n'a strictement rien à faire. C'est une question de laïcité républicaine, d'ordre public, assurément ; mais bien au-delà, c'est de l'âme de la France dont il est question", a-t-elle écrit sur son blog.

"La France n'enferme pas le corps de la femme, la France ne cache pas la moitié de sa population, sous le prétexte fallacieux et odieux que l'autre moitié craindrait la tentation", a ajouté Marine Le Pen pour qui "les plages françaises sont celles de Bardot et Vadim, pas celles de lugubres belphégors".

"Les Françaises, les Français, et je le sais un très grand nombre de Françaises musulmanes qui rejettent de toutes leurs forces l'islamisme, attendent qu'on tienne bon sur cette question de principe et de coeur", a-t-elle encore souligné. Ainsi, selon la présidente du FN, il est "bien" que "quelques maires UMP et PS interdisent le burkini dans leur commune".

Source : Le Figaro

Marine Le Pen contre les « lugubres belphégors » des plages

Pour la présidente du FN, le vrai problème n’est pas le burkini mais l’immigration

« Les plages françaises sont celles de Bardot et Vadim, pas celles de lugubres belphégors ». Sur son blog, la présidente du Front national s’est attelée à la figure imposée de cet été 2016, ce débat que le monde entier ne nous envie pas : pour ou contre le burkini. La réponse de Marine Le Pen est claire et sans surprise : elle est contre. « Bien sûr, écrit-elle, le burkini doit être proscrit des plages françaises, où il n’a strictement rien à faire. C’est une question de laïcité républicaine, d’ordre public, assurément ; mais bien au-delà, c’est de l’âme de la France dont il est question : la France n’enferme pas le corps de la femme, la France ne cache pas la moitié de sa population, sous le prétexte fallacieux et odieux que l’autre moitié craindrait la tentation. »

Mais pour Marine Le Pen, le problème n’est pas tant le burkini que l’immigration : « Quelques maires UMP et PS interdisent le burkini dans leur commune, c’est bien. Mais ces maires là auront-ils la cohérence, et le courage, de reconnaître que c’est la politique d’immigration et de clientélisme communautaire de leurs partis respectifs qui les a conduits un jour à devoir prendre un tel arrêté ? », qu’elle qualifie de « rustines » avant de conclure que « l’immigration de masse, ça suffit ».

La présidente du Front national, qui fera comme d'habitude son discours de rentrée le 3 septembre à Brachay (Haute-Marne), dans cette « France des oubliés » où le burkini est uniquement un sujet de journal télévisé, met en cause un certain nombre d’associations mais surtout la politique de François Hollande, qui était « déjà celle de Nicolas Sarkozy avant lui ». Une manière de mettre un pied dans la campagne présidentielle.

Béatrice Houchard

L'Opinion

Des politiciennes danoises poursuivies pour avoir abrité des migrants

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Des poursuites contre deux femmes politiques danoises ont été engagées pour avoir violé les lois sur l'immigration du Royaume.

Les accusations ont été portées contre la députée du conseil de la ville danoise d'Aarhus Maria Sloth et son homologue et voisine Anne Hegelund. En septembre 2015, les femmes ont hébergé deux réfugiés clandestins en provenance d'Afrique et, le lendemain, elles leur ont acheté des billets pour un ferry pour la Norvège.

 

Quand Mme Sloth a partagé son histoire avec le journal local Aarhus Stiftstidende, le membre du conseil de la ville Marc Perera Christensen a déposé un rapport de police en indiquant que les femmes avaient violé les lois sur l'immigration en aidant des personnes qui se trouvaient dans le pays illégalement.

"Nous avons affaire à une facilitation intentionnelle de transit et de séjour illégal et donc nous insistons sur la détention", a déclaré le procureur dans l'affaire Jakob Nielsen Dalsgaard.

Les femmes ont pour leur part noté qu'elles faisaient ce que dictait leur conscience, et ne connaissaient pas l'illégalité de cet acte.

"Je pense qu'il est très étrange que nous ayons une loi interdisant d'aider les gens", a indiqué Mme Sloth.

Source : Sputniknews

Aude: le maire de Leucate va interdire le burkini sur les plages

On prétend que ces mesures portent atteinte à la «liberté individuelle». Mais, sauf sur des plages spécifiques, on ne peut se baigner nu. Le fait de déambuler en ville en maillot de bain constitue dans de nombreuses communes un délit. En fait la «liberté individuelle» s’accompagne de la nécessité de respecter des règles, et en particulier celles qui concernent la notion d’ordre public.

Violences intercommunautaires en Corse: après Sisco, une deuxième rixe sur l'île

Dans un climat particulièrement tendu après les violences intercommunautaires qui se sont produites samedi à Sisco, en Haute-Corse, une seconde bagarre a eu lieu dimanche après-midi cette fois-ci au pont de Carbuccia, a appris BFMTV, confirmant une information de Corse-Matin. L’altercation s’est déroulée près de la rivière Gravona.

Tout serait parti d’un échange de regards qui a mal tourné entre un groupe de jeunes originaires de l’île et un père de famille d’origine maghrébine vivant en Corse, d’après le procureur de la République d’Ajaccio. Eric Bouillard précise toutefois, qu’à ce stade de l’enquête, « le mobile raciste n’est pas établi ». Après l’altercation, les deux parties ont porté plainte réciproquement.

Tous ont été entendus par les enquêteurs mais personne n’a été placé en garde à vue. Le père de famille, qui a eu le nez cassé, évoque des propos racistes. Le jeune, qui serait à l’origine du coup, mineur, porte lui aussi des marques de lutte correspondantes à des traces légères données par un objet coupant.

« On est chez nous »

Depuis samedi, les tensions entre communautés se sont accrues en Corse après une violente rixe qui a fait cinq blessés sur une plage de Sisco. Le parquet de Bastia a ouvert une enquête de flagrance pour « violence en réunion » afin d’établir les motifs de l’altercation entre les membres de trois familles, d’origine maghrébine, et des jeunes de la région qui ont reçu des renforts des proches. Une affaire de burkini pourrait en être la cause.

Plusieurs femmes se baignant avec ce maillot couvrant aurait été prise en photo par des touristes. De quoi attiser les tensions sur la plage. Les hommes de la famille seraient revenus avec des hachettes, selon des témoins. Dimanche, des manifestants ont été reçus à la préfecture de Bastia. A la sorite, la foule a crié « Aux armes, on va monter parce qu’on est chez nous ».

Source : Boulevard Voltaire



Un jeune Suisse de retour du djihad arrêté à l'aéroport de Zurich

Un Genevois de 29 ans de retour du djihad a été arrêté à l'aéroport de Zurich le 9 août dernier, rapporte mercredi la Tribune de Genève. Il est accusé d'être en lien avec une organisation terroriste.

Le jeune homme avait quitté la Suisse 9 mois auparavant pour faire le chemin du djihad, précise le quotidien. Le Ministère public de la Confédération (MPC) a confirmé l'information.

"Le MPC a procédé, à l’aéroport de Zurich, à l’arrestation d’un homme de 29 ans disposant de la double nationalité suisse et tunisienne et résidant en Suisse romande, qui est entré sur le territoire suisse en provenance de Turquie. Il a été placé en détention préventive", a-t-il indiqué à la Tribune de Genève.

Proche des milieux de l'extrême droite

Le Genevois est le fils d'un opposant tunisien aujourd'hui décédé, précise le quotidien, qui dresse le profil d'un jeune homme intelligent, musulman pratiquant, fréquentant les milieux de l'extrême droite et antisémites.

Une enquête pénale avait été ouverte en février à l'encontre du Suisso-Tunisien. Une procédure visant également un autre résident genevois, second cas de retour du djihad dans le canton. Les deux hommes risquent jusqu'à 5 ans de prison.

Source : Rts.ch

Des vacances halal financées par la CAF !

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Le séjour, prévu du 21 au 28 août, affiche complet. 80 personnes ont ainsi choisi d’aller se ressourcer, en famille, à Pelvoux, dans les Hautes-Alpes.

Sur le dépliant, un portrait barbu voisine curieusement avec la photographie d’une jolie petite Heidi à la tresse blondinette. C’est que figurent au programme de ces vacances « baignade-rafting-randonnée », mais aussi « repas halal » et « spiritualité », sous la conduite de l’« invité d’honneur » Aammi Hassen Bounamcha.

Ce camp de vacances, on l’aura compris, est destiné aux musulmans (à moins – ce qu’à Dieu ne plaise – que la petite Heidi ne serve une intention prosélyte à destination de Français de souche déchristianisés et en mal de spiritualité). Si l’on peut regretter ce repli communautaire de la part de gens dont on nous serine qu’il faut « vivre ensemble » avec eux, il n’y a pas de quoi s’indigner qu’ils aspirent à des vacances quelque peu spirituelles au sein d’une nature enchanteresse. Mais pour qu’à la fois un député radical de gauche, Joël Giraud, et la secrétaire nationale de ce même Parti radical de gauche, Laurence Marchand-Taillade, peu suspects de discrimination anti-musulmane, s’en émeuvent, on peut gager qu’il y avait bien dans cette affaire matière à s’indigner. Et, de fait, on reste sans voix.

D’abord, l’« invité d’honneur » de ce camp, Haami Hassen, imam à Aubervilliers, avait été, selon Mme Marchand-Taillade, « désigné par Manuel Valls, alors qu’il était ministre de l’Intérieur, comme dangereux et destiné à être reconduit dans son pays ». Ayant d’ailleurs « visionné, sur YouTube, nombre de ses prêches », elle-même estime qu’« on peut considérer que c’est du lavage de cerveau contre notre culture et nos valeurs ». Ces « vacances éthiques » (c’est le nom de l’association musulmane qui organisait le séjour) seraient donc bien plutôt, pour reprendre l’expression du Figaro, des « vacances salafistes ».

Est ensuite dénoncé le financement scandaleux de ce séjour.

Vacances éthiques, explique Le Figaro, disposait indirectement de subventions de VACAF (organisme qui gère les aides aux vacances des CAF) […] Ce sont les centres de vacances qui sont agréés, sur des critères sanitaires principalement. C’est donc le centre de vacances qui bénéficiait […] de cet agrément. […] Or, le centre de vacances avait été privatisé pour l’occasion, ce qu’il n’aurait pas dû accepter, au regard de son engagement avec la CNAF l’obligeant au respect de la laïcité. […] les parents réservent le séjour, le centre de vacances donne un justificatif qui sert de base pour demander le subventionnement à la CAF. Ce sont les familles qui font la démarche, il est donc très difficile de faire les recoupements…

Ce tour de passe-passe permettait donc à une association musulmane d’obtenir des subventions publiques pour ses vacances halal. Or, Mme Marchand-Taillade rappelle fort justement qu’il « semblerait déplacé que [l’État finance] les JMJ », « déplacé » étant à l’évidence un doux euphémisme.

On reste sans voix, mais Mme Marchand-Taillade, elle, ne s’étonne pas :

Lorsque l’on saisit « vacances halal » sur le Net, on trouve un nombre impressionnant de séjours similaires. Nous n’avons désigné qu’une partie infime du système.

Un « système » qui dépasse d’ailleurs largement le cadre des séjours de vacances, et qu’il devient urgent de « systématiquement » démonter.

Christine Célérier

Source : Boulevard Voltaire



Les dessous du burkini

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Ce qui est désolant, dans ces histoires d’interdiction de burkini sur nos plages, c’est que nous sommes désormais obligés de restreindre, pour protéger notre liberté, ce qui pourrait être perçu comme une liberté (celle de porter un burkini), mais qui est en fait un acte politico-civilisationnel (sous couvert de liberté de culte).
 
C’est ici que, d’une certaine manière, résident l’incompréhension et le cafouillage ambiants. En vérité, le débat ne se situe pas au niveau du taux de couverture du corps ni de la pudeur qui serait vertueuse – la pudeur n’étant pas l’apanage de l’islam -, ni d’ailleurs vraiment une question religieuse ou automatiquement sexuelle, ni encore une question éthique.
 
La seule vraie question qui vaille est celle de la présence, sur notre sol, de personnes hostiles à notre civilisation et à notre mode de vie, et qui le manifestent en provoquant et en mettant en contradiction nos propres valeurs – la liberté individuelle, notamment.

Ces gens hostiles (même quand ils sont tout à fait aimables) se croient, pour certains, et selon leur mode de pensée culturel totalement différent du nôtre- même s’ils sont nés sur notre sol -, investis d’une mission de « purification » des Occidentaux. Certains sont sincèrement convaincus que leur religion-civilisation (et tout ce qui va avec) est une réponse, voire une thérapie, à l’Occidental qu’ils perçoivent forcément comme décadent et dégénérescent. Image que véhiculent, malheureusement, trop souvent nos médias et notre sous-culture Internet.

Une fois qu’on a compris cela, on a enfin compris que gloser sur la religion n’a aucun sens dans cette affaire.
 
Notre unique mais énorme erreur est notre autoflagellation et notre génuflexion permanentes, provenant de relents de catéchisme mal compris, qui se déclinent tant dans la politique étrangère française que dans nos comportements individuels.

Cette faiblesse constitue une occasion, pour ceux qui nous sont hostiles, d’accentuer leurs pressions comminatoires.
 
La solution est l’intelligence à la française. Celle qui n’est pas manichéenne, celle qui a soif de nouvelles découvertes et de compréhension du monde et du « cosmos », parce que c’est cela qui nous permet, à nous Français, de nous aimer nous-mêmes, d’aimer ce que nous avons de plus cher : notre propre mode de pensée lié à notre propre mode de vie, qui n’est réductible ni à l’Occident ni à autre chose.

Se connaître soi-même, pour s’aimer soi-même, est la condition pour se faire respecter et apprécier de l’Autre. Et donc un rempart contre les attaques de toute nature.
 
Heureusement, ici et là, nous constatons que nous, Français, restons malgré tout nous-mêmes, ou cherchons à le redevenir, sous la pression des événements. Reste à cesser de voter pour ces dirigeants qui nous gouvernent depuis quarante ans et qui, eux, ont oublié ce que c’était que d’être et de vouloir rester… français.

Pour enfin reprendre notre liberté d’affirmer, tout naturellement, que nous aimons qui nous sommes, chez nous.

Louise Windstein

Source : Boulevard Voltaire

Mme Cosse : toujours oui aux réfugiés, jamais aux Français à la rue !

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Mme Cosse, pourquoi déranger tous les Français pour accueillir 1.000 réfugiés ? Vous disposez d’un vivier de plus de 82.000 élus de gauche. Ils vont se faire un plaisir — à commencer par vous, comme vous y a invitée Marion Maréchal-Le Pen — pour les recevoir tous chez eux… D’autant que tous les Français en régleront les frais : 1,5 million d’euros ! Mais rien pour les Français sdf, comme le dénoncent les sapeurs-pompiers humanitaires…

Lors de son appel, notre ministre du Logement a précisé que ces personnes « seront logées à titre gratuit, sur tout le territoire national et dans des logements comportant au moins une chambre privative. » Sachant que la France compte 82 647 élus de gauche 1 — quelle qu’en soit la couleur : rose bonbon (clair) ou cuisse de nymphe (foncé), rouge feu ou sang, vert perroquet ou caca d’oie —, il s’en trouvera bien 1 sur 82 pour accueillir à bras ouverts ces réfugiés avec en tête les 500 ministres et parlementaires : 50% de l’opération assurée !

Notons que l’appel de la belle sans label sera périmé le 20… septembre ! Encore un dossier bâclé avant mai 2017 ?

Remarquons par ailleurs que, si Emmanuelle Cosse — tendance « vert d’eau » — larmoie et couine en faveur d’étrangers, certains Français ne l’intéressent pas du tout : les « primo-arrivants à la rue », ces Français qui, souvent par la faute de nos gouvernants, se retrouvent en 24 heures sous un pont suite à une perte d’emploi ou un drame familial. Et les jeunes en errance seraient, selon le Laboratoire de la Gouvernance, « entre 10.000 et 30.000 (dont) environ 40% de femmes, 15% il y a 20 ans (…). Jeunes inadaptés, fruits d’une maltraitance institutionnelle involontaire (foyers, maisons d’accueil…) ; jeunes qui passent mal le cap de l’adolescence (revendication de la liberté) ; d’autres errant sur le tard, suite à des problèmes durant leur insertion dans la vie d’adulte… »

Ces jeunes Français, Mme Cosse, comme ses prédécesseurs, n’en a cure au grand dam du président-fondateur du Groupe de Secours Catastrophe Français, Thierry Velu, qui, dès le 11 août, a rappelé par écrit à Mme Cosse :

« Si votre idée semble intéressante et humaine, il est à regretter que ceci ne soit pas mis en place pour les personnes SDF —notamment primo-arrivant à la rue qui pourraient éviter de se retrouver à dormir dehors—, projet que nous avions déjà proposé à votre gouvernement. Votre annonce créée de nouveau des différences, engendrant une incompréhension des Français. »

« Depuis quatre années, nous essuyons des réponses bateau du gouvernement, assurant que la prise en charge des personnes à la rue est correctement assurée. Ceci est bien entendu faux et je vous propose de partager avec nous une action pour les personnes qui vivent dans la rue, ce qui vous permettra de mieux quantifier la dure réalité de notre société. »

Mme Cosse va-t-elle accepter ? Peu probable : des Français sdf, par définition, ne peuvent avoir de carte d’électeurs alors que des réfugiés, une fois naturalisés, oui…

Notes:

  1. Nombre d’élus du président de la République au plus humble conseiller municipal depuis les régionales de 2015 : Gauche : 82.647 (71.856 PS et proches, 10.327 FG et 464 écolos) et Droite : 103.733 (101.746 LR et proches et 1.987 FN). Entre les deux, 7.760 UDI/Modem…

Jacques Martinez

Source : Boulevard Voltaire



Hypocrisie républicaine : qu’on laisse les burkinis tranquilles !

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Le maire (LR) de Cannes a donc pris un arrêté interdisant le port du burkini sur les plages de sa ville.

En Corse, une violente rixe a opposé des musulmans à des autochtones pour de simples photographies de femmes en burkini.

La droite dans son ensemble, mais également une partie de la gauche laïcarde et républicaine, hurle au scandale, à l’asservissement de la femme, au retour à des valeurs rétrogrades, quand ça n’est pas à la complicité avec l’État islamique. Leurs propositions : de lourdes brimades pour les musulmans de France au prix d’une assimilation forcée. Assimilation impossible pour des musulmans dont la foi et la religion sont bien plus fortes que les « valeurs républicaines ». Ces dernières – vidées de tout leur sens et rappelant à beaucoup le sang versé – laissent de marbre chacun d’entre nous, Européens de souche compris.

D’un autre côté, les islamophiles patentés estiment, comme le féministe Edwy Plenel, que le burkini est un vêtement comme les autres, presque un symbole de liberté pour la femme musulmane (un symbole interdit, tout de même, dans certains pays musulmans qui ont compris depuis longtemps comment se passe l’arrivée des islamistes au pouvoir). Ces ayatollahs de l’immigration et du multiculturalisme veulent en finir, à tout prix, avec la civilisation européenne de « mâles, blancs, hétérosexuels ».

En quelques jours, une tenue vestimentaire et religieuse est ainsi devenue le symbole de l’hypocrisie républicaine française.

Ne serait-il pas plus honnête, pourtant, de demander aux citoyens de se prononcer, définitivement, sur leur souhait de voir, ou pas, ces populations si différentes des nôtres religieusement et culturellement rester sur notre territoire ?

Ne serait-ce pas salutaire, en ces périodes troublées où le moindre incident peut se révéler explosif ?

Ne serait-ce pas plus respectueux, y compris des communautés n’ayant plus vocation à rester sur notre sol pour des questions d’incompatibilité ?

N’avons-nous pas vocation à vivre dans la paix, séparément, chacun selon nos traditions, nos principes et nos identités ?

Nos apprentis Frankenstein aux manettes ne voient-ils pas qu’à force d’être devenus esclaves des « valeurs républicaines », de « l’État de droit » ou de « l’idéologie Terra Nova », ils ont semé les graines d’une guerre civile qui va ensanglanter le pays et les communautés pendant qu’ils seront tranquillement cachés dans leurs résidences surveillées ?

Il est temps d’en finir avec l’hypocrisie républicaine en France.

La seule alternative humaine, pacifiste à ces conflits communautaires ne réside ni dans l’assimilation forcée et impossible, ni dans la société multiculturelle et multiraciste, mais bien dans la remigration, dans le Grand Rembarquement.

Ils sont là-bas chez eux, nous sommes ici chez nous !

Yann Vallerie

Source : Boulevard Voltaire



Fondation pour l’islam de France : le Che ne se dérobera pas !

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À 77 ans, celui que ses amis surnommaient « le Che » n’a plus la fougue d’antan, mais il a encore des idées. Dans un entretien au Parisien, le lundi 15 août 2016, Jean-Pierre Chevènement explique qu’il serait prêt, sous certaines conditions, à accepter de présider la Fondation pour l’islam de France, que le gouvernement veut relancer. Revenant sur certaines critiques formulées à son encontre, il présente sa vision de l’islam et de son intégration dans la République.

D’aucuns objecteront a priori que cette entreprise est vaine, que l’islam ne peut être compatible avec les principes républicains puisqu’il fait passer la loi religieuse avant la loi civile – contrairement au christianisme, qui n’a pas attendu le ralliement des catholiques à la République, sous l’impulsion de Léon XIII, pour accepter, selon le précepte de l’Évangile, de « rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ».

Mais, si on le lit entre les lignes, on constate que l’ancien ministre de l’Intérieur juge qu’« il faut empêcher [les musulmans] de tomber dans l’impasse suicidaire dans laquelle les poussent Daech et les salafistes à la vue courte ». Même s’il reste prudent dans la formulation, il considère donc que les dérives islamiques sont liées à une interprétation intégriste de l’islam et ne découlent pas d’une idéologie qui lui serait étrangère – ce que tente de faire croire le gouvernement.

Pour lui, cette fondation serait « une bonne réponse à la poussée du terrorisme, conforme à l’intérêt des musulmans, aussi bien qu’à l’intérêt de la France ». Il invite donc les musulmans, à commencer par ceux qui font office de « cadres », à se réformer. Les 4,1 millions de musulmans que compte la France doivent pouvoir exercer leur culte, « mais dans le respect de la laïcité et des principes de la République ». Ce qui laisse entendre que c’est loin d’être toujours le cas.

Jean-Pierre Chevènement reconnaît que c’est « une œuvre de longue haleine ». Pour les pratiques extérieures, il conseille même la « discrétion », ce qui a provoqué quelques remous. La mission première de cette fondation serait la formation profane des imans : « Leur enseigner ce qu’est la citoyenneté française, le cas échéant la langue française, les principes généraux du droit, en tout cas ceux régissant les rapports entre le culte musulman et les pouvoirs publics. »

Peut-être fait-il preuve d’optimisme en la matière. Les imans, fussent-ils modérés, estiment que l’État n’a pas à intervenir en quoi que ce soit dans leur domaine, que c’est l’affaire des seuls musulmans. De plus, il paraît évident qu’il ne suffit pas de suivre une formation pour effacer des convictions ou des préjugés ancrés par des siècles de tradition.

Deux conditions à sa présidence éventuelle : prohiber tout financement étranger ; conserver sa liberté d’expression en tant qu’homme politique. Sur ce point, il a fait ses preuves, même si la volonté de sauver quelques places de député a pu le conduire, dans le passé, à des compromis de circonstance. On note son indulgence pour Bernard Cazeneuve, qu’il apprécie beaucoup « pour sa modération, sa détermination, sa parole toujours maîtrisée » : portrait qui tient plus de l’hagiographie que de l’objectivité.

Jean-Pierre Chevènement souhaiterait aussi que les musulmans comprissent que, dans l’espace public où se définit l’intérêt général, « tous les citoyens doivent faire l’effort de recourir à la “raison naturelle” ». Propos attendu chez un laïc convaincu, qui méconnaît sans doute que la foi et la raison, comme l’ont montré Jean-Paul II, puis Benoît XVI, loin de s’opposer, peuvent se compléter et s’enrichir mutuellement. À condition, pour la première, de ne pas sombrer dans le dogmatisme et, pour la seconde, de ne pas nier la possible rationalité de la foi.

Jean-Michel Léost

Source : Boulevard Voltaire



Racisme et guerre des « communautés » : va-t-on se décider à ouvrir les yeux ?

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En ce week-end du 15 août, la Corse a tenu le devant de la scène médiatique avec ses bagarres « ethniques ». Mais pour certains (France 2 et France Info, notamment), il aura fallu 48 heures pour que la vérité soit enfin lâchée du bout des lèvres. Et évacuée en 7 secondes chrono. Pour éviter les choses qui fâchent, ces gens-là nous ont en effet servi un conte selon lequel une rixe aurait éclaté à Sisco après qu’un homme eut pris en photo une fillette à la baignade. Alors, quand il a fallu expliquer l’arrêté d’interdiction du burkini pris par le maire, ça s’est un peu compliqué, forcément.

Dans un autre genre, plus moralisateur, Le Monde titre sur le racisme des Corses : « Les dernières données disponibles de la Commission nationale consultative des droits de l’homme [PDF] (CNCDH) font état sur l’île de Beauté d’un niveau de violence à caractère raciste supérieur à celui des autres régions françaises. » Qui, quoi, pourquoi, comment, pour quelles raisons, dans quel contexte ? On n’en dit évidemment rien.

Et personne, d’ailleurs, ne veut dire que le problème de fond – parce que le plus visible, en Corse comme ailleurs – est la situation d’infériorité des femmes dans l’islam. Une infériorité de droit et de fait que l’on tente d’instiller par tous moyens dans la société française. Alors oui, le burkini et le voile, ressentis comme des provocations, deviennent insupportables et constituent, de fait, un « trouble à l’ordre public ».

À propos de racisme, un autre événement a eu lieu dimanche, et celui-là n’a rencontré aucun écho. C’était à Aubervilliers, où plusieurs milliers de Chinois se sont rassemblés devant la mairie en hommage à Zhang Chaolin, assassiné en pleine rue pour le voler. Le maire Meriem Derkaoui n’a pas hésité à dénoncer un crime au « mobile crapuleux » et au « ciblage raciste ».

Dans un communiqué, un comité de soutien à la famille interpelle le gouvernement : « Les habitants de la Seine-Saint-Denis et plus particulièrement ceux d’origine chinoise […] sont les victimes quotidiennes d’agressions, de vols de plus en plus violents à leur encontre […] Aujourd’hui, devant l’inefficacité des mesures prises par les autorités, la colère des habitants monte, la tension entre les communautés est palpable. »

Les Chinois se font tuer par des crapules des cités environnantes, mais ils ne cassent pas les vitrines, n’incendient pas les voitures. Alors, l’État s’en fout. Le Monde aussi. Pourtant, des faits similaires avaient déjà poussé les Chinois de Belleville à manifester en 2010 et 2011. Même scénario, même conséquences : agressions hyper-violentes, morts…

La presse, déjà, tentait de biaiser: « La communauté chinoise serait ciblée car ses membres transporteraient de l’argent en liquide. Le président de l’association de l’amitié chinoise en France aurait recensé une centaine de cas [d’agressions]. » Marianne y allait sur la pointe des babouches : « Et pourquoi ces incidents arrivent-ils dans le XXe arrondissement et non dans le XIIIe, où réside aussi une forte communauté chinoise ? Pour certains, c’est parce que des personnes d’origine africaine et maghrébine résident aussi dans ce quartier, les agresseurs étant issus de ces communautés. » Sans blague ?

Et le magazine de conclure alors : « Le risque : faire passer cette affaire comme un dossier ne concernant que les Chinois, attisant encore plus les replis communautaires et les préjugés sur les origines des agresseurs. Des tensions qui ne pourront qu’engendrer d’autres violences. »

L’objectif est atteint : on y est ! Et ça ne fait sans doute que commencer…

Marie Delarue

Source : Boulevard Voltaire



mercredi, 17 août 2016

Neuf migrants irakiens incarcérés après un viol collectif à Vienne

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Ce n'est pas la première fois que des réfugiés sont mis en cause dans ce genre de crimes sexuels, notamment en Autriche et en Allemagne.

Un tribunal autrichien a placé mardi neuf demandeurs d'asile irakiens en détention provisoire. Ces hommes sont accusés d'avoir violé une jeune Allemande à Vienne lors de la nuit de la Saint-Sylvestre.

Les agresseurs présumés de la jeune femme sont âgés de 21 à 47 ans et ont été arrêtés dans différents foyers du centre et de l'est de l'Autriche, lors d'un coup de filet de la police, ce week-end. Ils devront répondre du viol collectif de l'Allemande âgée de 28 ans, qui était fortement alcoolisée lors des faits survenus dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier 2016.

Les cas de viols par des réfugiés se multiplient

Cet événement, en particulier à cette date-là, n'est pas sans rappeler les centaines d'agressions sexuelles qui ont été commises à Cologne, en Allemagne. Des réfugiés étaient déjà mis en cause dans cette affaire. Le Parlement allemand a depuis renforcé sa législation dans le domaine. En Autriche, les mises en cause de réfugiés dans des cas d'agressions sexuelles et de viols se sont multipliées depuis l'arrivée massive de migrants, il y a un an. Cela a notamment alimenté une poussée de l'extrême droite qui est arrivée au second tour de l'élection présidentielle en mai.

Source : Le Point

 

 

Autriche: neuf migrants incarcérés pour viol

Un tribunal autrichien a placé aujourd'hui en détention provisoire neuf demandeurs d'asile irakiens, accusés d'avoir violé une jeune Allemande à Vienne lors de la nuit de la Saint-Sylvestre.

Les agresseurs présumés, âgés de 21 à 47 ans, ont été arrêtés dans différents foyers du centre et de l'est de l'Autriche, lors d'un coup de filet ce week-end. Ils doivent répondre du viol collectif de la jeune femme, âgée de 28 ans, qui était fortement alcoolisée lors des faits survenus dans la nuit du 31 décembre.

Les mises en cause de réfugiés dans des affaires d'agressions sexuelles et de viols se sont multipliées en Autriche depuis l'arrivée massive de migrants il y a un an, alimentant une poussée de l'extrême droite. En Allemagne voisine, la nuit de Nouvel An avait été marquée par des centaines d'agressions sexuelles à Cologne (ouest).

Le Parlement allemand a depuis renforcé sa législation dans le domaine.

Source : Le Figaro

Des filles entièrement voilées à la plage à Marseille, leur mère fait l’apologie du terrorisme islamique…

Deux gamines voilées et masquées intégralement, baignaient leurs burqas dans la mer sur une plage de Marseille lorsque deux gendarmes sont intervenus pour leur expliquer qu’elles étaient en infraction, mais la mère en véritable furie s’en est pris aux gendarmes, il faudra l’intervention des CRS pour en venir à bout. Conduite au poste de police elle sera jugée pour « outrage, menaces et apologie du terrorisme ». 

« La scène se joue vendredi soir, plage de l’Huveaune, avenue Mendès-France, à Bonneveine (8e). Deux mineures complètement voilées se baignent, mais les forces de police leur expliquent qu’elles sont en infraction. Les deux jeunes filles sortent de l’eau et ne font pas de difficultés, mais c’est leur mère qui s’agace de la situation et va s’en prendre de façon virulente aux policiers qui interviennent.

Les forces de l’ordre tenteront de ramener le calme, mais ce sera difficile. Face à l’outrance de la situation, la mère, âgée de 38 ans, a été interpellée et conduite au poste de police. Même les CRS ont dû intervenir. La mise en cause fait l’objet d’une procédure pour « outrage, menaces et apologie du terrorisme ». Elle a été interpellée et entendue. Elle fera finalement l’objet d’une convocation devant le tribunal correctionnel de Marseille où elle sera jugée prochainement. La loi du 11 octobre 2010, parfois appelée loi sur la burqa, interdit de « dissimuler son visage » dans l’espace public. » (La Provence)

Pas d’amalgame ni de stigmatisation, sauf contre les autochtones!

On apprend par ailleurs aujourd’hui qu’une autre rixe a eu lieu entre communautés dimanche à Carbuccia en Corse du Sud, mais là, il est impossible de trouver un témoignage. Les deux parties ont porté plainte de part et d’autre, selon Corse-Matin, tandis que BFMTV ajoute que l’altercation s’est déroulée près de la rivière Gravona sur le pont de Carbuccia:

Tout serait parti d’un échange de regards qui a mal tourné entre un groupe de jeunes originaires de l’île et un père de famille d’origine maghrébine vivant en Corse, d’après le procureur de la République d’Ajaccio. Eric Bouillard précise toutefois, qu’à ce stade de l’enquête, « le mobile raciste n’est pas établi ». Après l’altercation, les deux parties ont porté plainte réciproquement.

Tous ont été entendus par les enquêteurs mais personne n’a été placé en garde à vue. Le père de famille, qui a eu le nez cassé, évoque des propos racistes. Le jeune, qui serait à l’origine du coup, mineur, porte lui aussi des marques de lutte correspondantes à des traces légères données par un objet coupant.

« Eric Bouillard précise toutefois, qu’à ce stade de l’enquête, « le mobile raciste n’est pas établi », rapporte BFMTV !!! Comme si dans le contexte actuel en France, de massacres et agressions diverses d’origines islamiques, les soupçons ne pouvaient que se diriger contre les Français de souche

… Sans compter qu’un jeune qui riposte à une attaque « d’un objet coupant » avec son poing, ne peut être qu’un « raciste »… Quand à chaque fois ces rixes opposent des musulmans d’âge mûrs armés face à des adolescents ou des femmes désarmés…

Une histoire qui ressemble donc beaucoup à celle de Sisko, où des maghrébins d’âge mûr, aux cris d' »Allah akbar »,  s’en sont pris à des baigneuses avant de s’attaquer à des adolescents à coups de hachettes et de couteaux, pour des histoires vestimentaires d’ordre musulman, avant que des habitants de Sisko -eux-mêmes violemment agressés- aient pris la défense des jeunes et des touristes au cours d’une violente bagarre.

L’affaire de Sisko a pu être révélée grâce aux témoignages-vidéos des personnes agressées, lesquels ont échappés à la vigilance des autorités  et médias camoufleurs qui eux, tentent de faire reporter la faute sur du racisme insulaire, alors que les agresseurs s’écriaient « allah akbar! »… 

Une tentative renouvelée aujourd’hui-même à I-Télé où un petit reportage a tenté de faire porter le chapeau à l’extrême-droite, ce qui va dans le même sens que le soupçon de racisme évoqué par le parquet pour l’affaire de Carbuccia, alors que le soupçon premier devrait naturellement se porter sur la partie musulmane dans le contexte des attentats affreusement meurtriers, du meurtre du père Jacques Hamel, de l’affaire de Sisko et de celle des Hautes-Alpes au cours de laquelle un Marocain de 38 ans a agressé au couteau trois jeunes-femmes pour de semblables questions vestimentaires musulmanes. Et de combien d’autres affaires ? On n’arrive plus à en tenir le compte.

Mais le parti politiquement correct est plus que jamais déterminé à pactiser avec l’ennemi… La trahison est aujourd’hui pire que le danger encouru et l’aggrave amplement.

Emilie Defresne

Source : Mpi

Serbie : un Serbe du Kosovo arrêté après qu’il ait dégradé le minaret d’une mosquée près de Gnjilane.

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La mosquée est située à Donje Velikince, la municipalité de Gnjilane, au Kosovo et Metohija.

Le diffuseur RTV a déclaré que «après une heure de négociations avec le suspect, qui a ignoré les demandes des fonctionnaires et a continué à démolir le minaret la police a réagi et ont arrêté l’agresseur. » (…)

Source : Civilwarineurope

Les intellectuels face à l’islamisme : le déni continue

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Un lien de complicité unit le refus de « voir » et celui de « nommer ». Mais quand arrive le moment où l’on ne peut plus ne plus voir ? Eh bien, on en rajoute une bonne couche ! Après Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice et enfin Saint-Étienne-du-Rouvray, le déni peut bien s’offrir un ultime supplément pathologique en proposant de ne plus mentionner le nom des assassins… S’il suffisait de gommer celui de Hitler des manuels pour qu’il cesse d’en inspirer certains, nous l’aurions su… Comment ? Imposer une lecture « modérée » de Mein Kampf ? Hum, hum…

Notre déni s’obstine, plus droit que jamais dans ses pathologiques bottes : contraint et forcé d’admettre la réalité islamiste des récentes et successives boucheries, que peut-il faire sinon en extorquer, ces jours-ci, par la voix de divers spécialistes, voire de certains politiques, une genèse… populiste ? Suivez mon regard : à (l’extrême) droite toute !

Exemple de ce contorsionnisme sémantique (pas le premier ni le seul) dans le magazine Society du 5 au 18 août : Marc Crépon, CNRS et département philosophie de l’École normale supérieure. Si, selon Rémi Brague, entre « islam et islamisme […] il n’y a qu’une différence de degré, non de nature », Marc Crépon, lui, voit la même affiliation entre islamisme et populisme. Leur ressort commun serait celui du discours identitaire visant à « diviser les populations ». C’est sûr, la meilleure façon de ne pas « diviser » une population est encore d’y multiplier les musulmans… Applaudissant les « grandes autorités musulmanes [qui] ont raison de dire que dans la propagande de l’État islamique il n’y a rien qui relève de l’islam », il souligne, comme facteur aggravant (concernant les jeunes djihadistes ?), une « faillite de la religion ». Résumons : l’État islamique ne relève en rien de l’islam (une religion), mais il y a une faillite de « la religion ». Mais alors, de quelle religion en « faillite » peut-il bien s’agir ? Mystère et boule de gomme. (Indice : quand un prêtre pédophile fait la une des manchettes, s’agit-il d’une faillite de l’Église catholique ou bien d’une faillite de « la religion » ? Réponse : lisez vos journaux de gauche préférés.)

Marc Crépon peut bien souligner, également, l’aspect profondément paradoxal de « notre rapport à la liberté », voici comment, selon moi, cet aspect se traduit concernant l’islam. Tout le monde aura noté la multiplication, dans notre espace public, de jeunes adeptes de l’autocensure capillaire (voile), qui est précisément un de ces pieds de nez « identitaires » que Marc Crépon semble tant redouter. Ce bras d’honneur communautaire se réclame, bien sûr, de « la liberté ». Au même moment, en terre d’islam, (l’Iran, pour ne pas le nommer), des hommes se voilent sur les réseaux sociaux, en soutien à leurs compagnes courageuses qui réclament de pouvoir tomber le leur. Toujours au nom de « la liberté ». Je me demande pour qui le paradoxal cœur de Marc Crépon penche.

Silvio Molenaar

Source : Boulevard Voltaire



mardi, 16 août 2016

Quand les partis traditionnels aident à rapatrier des terroristes !

C’est avec colère mais sans vraie surprise que NATION a appris que Oussama Atar, soupçonné d’être une pièce maîtresse de la cellule « franco-belge » responsables des attentats de Paris en Novembre et de Bruxelles en Mars, a été rapatrié en Belgique grâce à l’appui de plusieurs élus de partis traditionnels.

Détenu dans une prison irakienne pendant six ans, Atar a côtoyé personnellement le calife de l’Etat islamique Abu Bar Al Baghdadi. Alors qu’il disait acheminer du matériel médical et des médicaments en Irak, Atar avait été soupçonné de livrer clandestinement des armes aux rebelles qui combattaient les Américains et à des groupes djihadistes.

Malgré sa réputation douteuse, une vaste campagne de soutien avait été lancée en Belgique. L’Etat belge, Amnesty International, différents membres du parti Ecolo et des élus CDH et PS ont tout mis en œuvre pour obtenir son rapatriement pour raisons médicales.

Il est plus que temps que ce genre de délires ne cesse ! Aidez-nous à les faire cesser en soutenant NATION !

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Source : Nation

Isère : tentative d’incendie contre une mosquée à La Tour du Pin

Rapidement maîtrisé, le feu a causé peu de dégâts.

L’information est rapportée par le Dauphiné libéré.

Très tôt ce matin, peu avant 1h du matin, une tentative d’incendie a eu lieu contre une des mosquées de La Tour du Pin, bourgade de 8 000 habitants entre Lyon et Grenoble.

Le feu a été rapidement maîtrisé, les dégâts sont moindres. La piste criminelle serait « somme toute probable », même si pour l’heure « très peu d’éléments permettent de l’étayer ».

Source : Al-kanz

L’immigration extra-européenne vous coûte 1000€ par an

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L’année passée, Le Peuple avait publié le résumé d’une étude de l’Institut pour la Démocratie Directe en Europe (IDDE) sur les coûts de l’immigration (lire notre article). Selon celle-ci, l’immigration coûterait 8,6 milliards par an à l’État belge, dont près de la moitié (4 milliards) pour l’immigration extra-européenne. Mais cette étude n’avait pas intégré un grand nombre de coûts importants.

Plus de 11 milliards pour l’immigration extra-européenne

En effet, l’étude de l’IDDE se limitait à faire le calcul des recettes que les immigrés nés étrangers amènent à l’État belge, moins les dépenses que ceux-ci lui occasionnent. Elle ne prend ainsi pas en compte les personnes issues de l’immigration extra-européenne qui sont nées avec la nationalité belge.

Or, même si ces allochtone nés belges ne peuvent légalement pas être recensés, il est très vraisemblable qu’ils soient fort nombreux, vu le laxisme avec lequel nos gouvernants bradent notre nationalité. En en tenant compte, le coût total attribuable à totalité de la population d’origine extra-européenne serait donc nettement plus élevé.

De plus, on sait qu’il y a plus de 600.000 chômeurs en Belgique[1]. Chaque chômeur coûte environ 20.000 euros par an à l’état, en allocations de chômage et en aides diverses[2]. Il y a en Belgique autour d’un million de personnes issues de l’immigration extra-européenne[3], dont environ un tiers occupe un emploi. Considérant que la plupart de ces emplois auraient pu être occupés par des chômeurs belges, cela rajoute un coût pour le contribuable d’environ 6,6 milliards d’euros[4] !

A ces montants, il faut rajouter le coût des attentats islamistes[5]. Comme l’a révélé une étude mandatée par le SPF Économie, les seuls attentats islamistes du 22 mars à Bruxelles auront coûté près d’un milliard d’euros à la Belgique. Mais ce chiffre n’inclut que les pertes d’activité économique : pour être complet, il faudrait y rajouter les coûts occasionnés aux victimes et aux bâtiments, ainsi que les coûts des mesures préventives à prendre, dont les renforts de sécurité, etc. (voir notre article).

On arrive ainsi à un coût annuel total de l’immigration extra-européenne qui dépasse largement les 11 milliards d’euros. Soit plus de 1000 € par habitant, nouveau-né inclus… et plus de 2500 € par personne occupant un emploi !


Une spirale infernale…

Tous ces coûts sont in fine supportés par les entreprises, lesquelles génèrent toute la richesse économique du pays. Cela réduit leur compétitivité et, à son tour, affaiblit l’économie et diminue les recettes fiscales… une spirale infernale qui ne peut mener qu’au déclin économique du pays et à la faillite de l’État !

Si cette immigration extra-européenne est favorisée par nos dirigeants, c’est non seulement parce que ceux-ci sont aveuglés par des mythes « humanitaristes », mais surtout parce qu’ils craignent comme la peste d’être la cible de critiques d’activistes immigrationnistes.

Bien sûr, nos dirigeants n’ont jamais consulté leurs concitoyens. Or, ceux-ci sont très largement défavorables à cette immigration, comme l’indique un récent sondage (lire notre article). Pire, tous les partis traditionnels francophones sont opposés au référendum… par crainte de ne plus pourvoir diriger le pays à leur guise ! En effet, si vous pouviez choisir, ne dépenseriez-vous pas autrement ces 1000 euros que l’état dépense chaque année au bénéfice de l’immigration extra-européenne ?

Ainsi, avec VOTRE argent qu’ils dilapident, ces partis subsidient l’arrivée massive de populations trop différentes pour s’intégrer… lesquelles conquièrent petit à petit des fractions croissante de notre autrefois beau pays.

Il est grand temps que cela cesse. Comment ? Il n’y a qu’une seule manière : voter pour le Parti Populaire : c’est le seul parti francophone à refuser cette immigration indiscriminée dont VOUS ne voulez pas… et à vouloir instaurer le référendum afin que VOTRE voix puisse enfin se faire entendre !

J.S.

[1] Selon Le Soir, il y avait 630.806 chômeurs en 2014.

[2] En 2012, l’allocation de chômage était en moyenne de 11.176 €. Pour le coût total d’un chômeur, il faut rajouter ses soins de santé et ceux de sa famille (en moyenne 2.500 € par habitant), ainsi que les aides au logement et divers autres avantages en nature (estimés à 6.000 € par an) – soit un total d’environ 20.000 € par an.
Remarquons que si on y rajoute le manque à gagner fiscal, un chômeur « coûte » 33.443 EUR par an à l’État.
Source : étude citée par hrmagazine.be et auditcitoyen.be.

[3] Parmi ces étrangers extra-européens, il y a près de 800.000 musulmans en Belgique…

[4] Estimation du coût du chômage causé par l’immigration extra-européenne : 1 million de personnes issues de l’immigration extra-européenne x 1/3 de travailleurs x 20.000 €/an = 6,6 milliards d’euros par an.

[5] Vu que 100% des auteurs d’attentats islamistes sont des musulmans issus de l’immigration extra-européenne, on ne peut qu’imputer le coût de ces attentats à l’immigration extra-européenne : sans celle-ci, il n’y aurait strictement aucun attentat islamiste !

Source : Lepeuple.be