Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 08 avril 2016

L'UE envisage une réforme en profondeur de son système d'immigration

L'Union européenne envisage une réforme en profondeur de son système d'immigration, puisque le régime actuel exerce une pression inacceptable sur des pays comme la Grèce et l'Italie après l'arrivée de plus d'un million de migrants au cours de la dernière année.

La Commission européenne a annoncé mercredi qu'elle veut abolir l'obligation pour les migrants de présenter une demande d'asile dans le premier pays où ils posent les pieds. Cette politique, qui se trouve au coeur du système européen, a échoué lamentablement depuis un an, a dit le vice-président de l'Union européenne, Frans Timmermans.

Il a ensuite ajouté que le système actuel est insoutenable.

La Commission propose plutôt que les migrants soient répartis à travers l'UE, ce qui signifie que chaque pays membre serait contraint d'accueillir un nombre de demandeurs d'asile déterminé par le bloc.

Cela étant dit, un système de répartition des demandeurs d'asile qui se trouvent déjà en Europe a généré des frictions importantes entre plusieurs pays européens, et la proposition formulée mercredi par la Commission risque de ne rien y changer dans l'immédiat.

La Commission prévient dans un document transmis aux institutions européennes que le système actuel est criblé de «problèmes structuraux et de défaillances (qui) placent une responsabilité disproportionnée» sur certains pays — tandis que d'autres, surtout les membres d'Europe de l'Est, tentent d'éviter de devoir accueillir un trop grand nombre de réfugiés.

L'incapacité de l'Union européenne à gérer la pire crise de migration à toucher le continent depuis la Deuxième Guerre mondiale renvoie de l'UE l'image d'une institution démodée et inefficace. Même le président français François Hollande, qui compte parmi les plus farouches défenseurs de l'UE, a dû admettre mercredi que le plus gros problème du bloc est la lenteur de son processus décisionnel — qu'il s'agisse d'une crise financière, de la guerre au terrorisme ou d'une réponse commune à cette vague de migrants.

M. Hollande a déclaré au quotidien allemand Bild que «éventuellement, (l'Europe) finit toujours par trouver une solution (...) mais nous payons le fort prix pour le temps perdu».

Plus de 53 000 personnes sont coincées en Grèce depuis que les frontières ont été fermées le long du corridor des Balkans que des milliers de personnes ont emprunté pour rejoindre l'Europe occidentale.

Une entente intervenue entre l'UE et la Turquie prévoit que les migrants qui arrivent après le 20 mars peuvent être arrêtés et déportés, s'ils ne demandent pas l'asile ou si leur demande est jugée inadmissible. Leur dossier doit toutefois être traité par les responsables des demandes d'asile avant leur renvoi. Les premiers migrants déportés sont ceux qui n'ont pas soumis de demande d'asile ou dont la demande a été jugée inadmissible.

Quelque 200 personnes ont été déportées lundi. En échange, des dizaines de Syriens déjà en Turquie ont été envoyés en Allemagne, en Finlande et aux Pays-Bas lundi et mardi.

La Presse Canadienne

Source : Huffpost Québec

jeudi, 07 avril 2016

Grèce : Le gouvernement d’extrême-gauche accélère la construction d’une grande mosquée à Athènes par peur des djihadistes

7b5b6900ba90f_427011.jpg

Le gouvernement d’extrême-gauche grec a décidé d’accélérer la construction d’une mosquée au cœur d’Athènes de peur de subir des attentats islamistes, rapporte la presse britannique.

 Mail on line (source)

Un officiel du ministère de l’Éducation et des Affaires Religieuses a déclaré que les autorités doivent avancer rapidement sur la construction de la mosquée qui été annoncée en 2006 mais qui a été retardée par des recours.

“C’est précisément en raison des récentes attaques terroristes que nous devons avancer rapidement sur la construction de la mosquée d’Athènes. Chaque jour sans mosquée et imams officiels à Athènes, nous payons pour un risque accru de radicalisation des musulmans agissant dans l’ombre ou dans des lieux non officiels de culte” a t-il déclaré.

Source : Breizatao

Le Japon fait contre mauvaise fortune immigration

15037239.jpg

Le nombre de travailleurs étrangers au Japon franchira la barre du million d'individus cette année. Mais à tous égards, l'Archipel demeure extraordinairement strict et circonspect sur la question.

Historique: le nombre de travailleurs étrangers au Japon franchira la barre du million d'individus cette année, a calculé le gouvernement. Depuis 2009 cette population a crû de 49%. Une poussée exponentielle, visible surtout dans le grand Tokyo, où est concentrée 30% de la main d'œuvre étrangère: il suffit de pousser les portes d'un konbini, une des épiceries de proximité qui quadrillent le pays, pour se retrouver devant des caissiers généralement chinois. Serait-ce le signe d'une tolérance nouvelle du Japon à l'immigration? Pas encore. A tous égards, l'Archipel demeure extraordinairement strict et circonspect sur la question. Le Premier ministre ne manque jamais une occasion de rappeler que la troisième économie du monde n'a pas de politique d'immigration, à la grande joie de l'opinion publique et des syndicats nippons, qui n'ont jamais été bercés par l'"Internationale" quand on leur parlait d'ouvriers étrangers. Même si le nombre des étrangers augmente, il est au même niveau qu'en 2008, avant le terrible choc Lehman et la catastrophe de Fukushima, qui ont provoqué énormément de retours aux pays.

Les critères d'obtention de visas professionnels demeurent drastiques.

« Le problème d’accepter des étrangers est qu’ils risquent d’acquérir la nationalité japonaise. Nous ne voulons pas nous retrouver dans la situation de la France », déclare crûment Akira Morita, directeur général de l’institut national de la population IPSS avant d’opposer des arguments définitifs à une ouverture du pays  « le Japon n’est de toute façon pas attirant pour les travailleurs immigrés. Ils peuvent aller partout sur la planète, où ils seront mieux payés qu’au Japon. Et leur propre pays leur offrira bientôt le même salaire que le nôtre ».

Seuls les milieux patronaux se prononcent prudemment en faveur d’une politique d’immigration. Car eux connaissent leurs comptes de résultats. « Il n’y a pas d’alternative: le Japon doit utiliser davantage la main-d’œuvre étrangère », martèle Hiromichi Shirakawa, économiste en chef de Crédit Suisse. Pour répondre à la pénurie actuelle de main-d'œuvre le gouvernement doit soit augmenter la taille de la population active, soit encourager la mobilité professionnelle, rappelle-t-il. Mais aucune de ces options n’est satisfaisante: sur les quatre millions de personnes qui pourraient rejoindre la population active, seul 1,2 million (en majorité des femmes de 45 à 64 ans) pourraient travailler. Quant à la mobilité professionnelle, elle demeure bloquée par un régime du licenciement très strict. « Les seules personnes professionnellement mobiles sont celles qui ont pris leur retraite », résume l'économiste. « À ma grande surprise les bureaucrates du ministère du Travail commencent à parler d’une politique d’immigration. Mais ils sont terrorisés à l’idée d’évoquer le sujet ouvertement. Car s’ils le font, les médias leur tomberont dessus à bras raccourcis », explique le grand démographe japonais Naohiro Ogawa.

Régis Arnaud

Islam : Benoît XVI fut prophétique à Ratisbonne mais il n'est pas suivi

69e201bb08d39773970d-800wi.jpg

L'ancien président du Sénat Marcello Pera, proche de Benoît XVI avec qui il avait écrit un livre, dénonce le silence de l'Occident face à l'avancée de l'Islam. Entretien traduit par Benoît-et-moi :

"Président Pera, le pape émérite, dont vous êtes proche, dans le discours désormais historique de Ratisbonne, a lancé l'alarme sur l'Islam. Mais il ne fut pas écouté, au contraire ...

« Vous êtes bien bon, parce que non seulement il n'a pas été écouté, mais il a même été insulté. Ce discours, qui devrait être étudié, fut prophétique. Il a été durement attaqué par le monde musulman, avec des manifestations violentes et c'était prévisible. Mais il y eut un silence honteux de la part de ceux qui comptent en Europe, ils l'ont laissé seul et l'on est déconcerté par un certain profil bas de l'Eglise catholique qui ne l'a pas défendu comme cela aurait été juste. Bref, Ratzinger n'a pas été protégé».

On peut dialoguer avec l'Islam?

« Il faut le faire, ça oui. Mais en restant ferme dans la vérité sans renoncer à nos racines et à notre identité, solides dans nos positions, auxquelles peu à peu, il semble que nous renoncions sans coup férir. Retomber dans le "buonisme" ne sert à rien, et même de nombreux musulmans le prennent pour de la peur ou de la soumission. Bien sûr, tous les musulmans ne sont pas des terroristes et tout l'Islam n'est pas violent, mais après les attentats de Paris et de Bruxelles, je n'ai pas vu de manifestations vives, ni d'indignation réelle des soi-disant musulmans modérés. En un mot, je n'ai pas assisté à des prises de positions qui laissent bien espérer».

Prophétique, Benoît XVI ?

« Il le fut. Il a eu la force de parler clair, chose qu'il a toujours fait et c'est une qualité qui parfois fait défaut aux hommes d'Eglise, dans de nombreuses circonstances. J'ai entendu après Paris et Bruxelles beaucoup de discours d'évêques, et pas seulement d'évêques, dans aucun d'eux le mot Islam n'apparaît, comme si c'était un gros mot. Alors de quoi sont-ils mort à Paris et à Bruxelles? De mort naturelle, ou dans une catastrophe? Ou bien l'Islam est derrière?. Je suis désolé de le dire, mais même le Pape n'a pas mentionné le terrorisme islamique, probablement que c'est un tabou».

L'évêque Polonais Pieronek parle d'islamisation de l'Occident, vous êtes d'accord?

« Je suis d'accord. L'Occident, au nom d'une tolérance feinte et erronée, renonce à défendre ses valeurs et ses principes, alors que nous devrions plutôt faire le contraire et en être fiers. Les musulmans prient, manifestent leur foi, nous sommes timides et absents. L'Eglise s'occupe de forages et d'écologie, mais la doctrine est laissée de côté. Un exemple? L'attitude ambiguë de l'Eglise sur Cirinnà (l'auteur du projet de loi sur les unions gays, ndt). Sauf exceptions louables, et je pense à Bagnasco, l'Eglise catholique italienne a peu parlé, peut-être résignée à la défaite et n'a pas voulu risquer de perdre la face, connaissant le résultat, mais de cette façon, on ne fait pas de témoignage, seulement du calcul. À l'heure actuelle en Europe, je ne vois que l'Eglise polonaise, les paroles de Pieronek le prouvent, courageuse et prophétique, décidée. Mais elle ne plaît pas à (celui/ceux) qui commande(nt)».

Vous êtes en contact avec le pape émérite, il est préoccupé?

« Je lui téléphone souvent, mais je ne peux pas révéler ce qu'il me dit. Il est très lucide et suit tout»

Source : Le Salon Beige

Quel remède pour ces territoires perdus qui font le lit du banditisme… et du terrorisme ?

banlieue.jpg

À Marseille, les règlements de comptes se succèdent au rythme des rafales de kalachnikov. « 2016 part sous de mauvais auspices », déclare Brice Robin, le procureur de Marseille. Pour qui ? Après les revolvers calibre 38 d’avant-guerre et les pistolets 9 mm ou 11,43 d’après-guerre, place aux fusils d’assaut. Aux tirs ciblés, les truands des quartiers Nord préfèrent maintenant « l’arrosage systématique », et peu importe les victimes collatérales. Quand il s’agit du trafic de drogue et des millions d’euros qu’il génère, l’élimination de masse s’impose. Pas de sentiments. Pas de pitié.

Cependant, pour qui connaît l’histoire criminelle de la cité phocéenne, ces tueries entre bandes rivales ne datent pas d’aujourd’hui. Elles sont le résultat d’une ville laissée entre les mains du « milieu » depuis les années 1930, de politiques urbaines aléatoires, d’une police qui, déjà au début des années 1920, se plaignait de manquer d’effectifs et de moyens dans sa lutte contre le crime. À cela, il convient d’ajouter les comportements, au fil des années, d’élus, de fonctionnaires, d’entrepreneurs, etc., dont les rapports avec le milieu marseillais n’ont pas toujours été très clairs.

Mais ne nous y trompons pas, Marseille n’est que le symptôme révélateur d’une société en pleine dérive. Même si la poudre y parle moins souvent, nombreux sont les quartiers, en France – n’en déplaise à M. Juppé -, où les trafics prospèrent et dont les bandes ont pris le contrôle. Le problème, c’est que la police n’y entrant plus depuis longtemps en vertu du sacro-saint principe de la paix sociale, il est aujourd’hui impossible de mesurer l’effectivité du mal. Tout ce que l’on sait, c’est qu’il est profond.

Une chose est toutefois certaine : des pans entiers du territoire échappent au contrôle de la République. Ils font le lit de la criminalité organisée mais aussi – l’actualité récente le prouve – du terrorisme. Prétendre le contraire relève ou du mensonge éhonté ou de l’incompétence crasse.

Alors quelles sont les solutions ? Envoyer l’armée dans ces quartiers, comme le suggèrent certains élus ? Pour quoi faire ? Avec quelles missions ? Comptent-ils que l’on reprenne le contrôle de nos villes les armes à la main ? Ce n’est pas sérieux.

Des moyens, il y en a. D’abord, dénoncer les narco-États – dont certains sont très proches de la France – et prendre à leur encontre des mesures draconiennes s’ils n’agissent pas pour éradiquer le phénomène. Ensuite, reprendre le contrôle de nos frontières dont on sait qu’elles sont devenues de véritables passoires pour les trafiquants en tous genres (drogue, armes, traite des femmes). Appliquer la loi française dans toute sa rigueur. Criminels et trafiquants doivent être écartés, pour longtemps, des endroits qu’ils gangrènent. Enfin, donner davantage de moyens aux services répressifs et à la justice. Mais dans ce pays où l’on sanctionne plus facilement le policier que le délinquant, qui aura le courage de prendre de telles mesures ?

Olivier Damien

Source : Boulevard Voltaire

 

Condamnation de Riposte Laïque Suisse par le TGI de Paris : vers une police mondiale de la pensée

justice.jpg1_.jpg

Alain-Jean Mairet, citoyen helvétique et directeur de Riposte Laïque Suisse, vient d’être condamné par la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris à verser 8000 euros dont 2000 euros de dommages et intérêts à la LICRA. La 17e Chambre s’était estimée compétente pour juger un citoyen suisse, et a donc admis que la LICRA, association française, avait le droit de traîner un résident suisse devant la justice française, arguant que les textes, publiés sur sur un site suisse, étaient accessibles en France.

Boulevard Voltaire a recueilli les réactions de Maître Jean-Luc Addor, avocat d’Alain-Jean Mairet.

Source : Boulevard Voltaire

 

Le président du CFCM à Valls: attention aux paroles "clivantes" et "anxiogènes"

Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Anouar Kbibech, a mis en garde mardi contre les prises de position « clivantes » et « anxiogènes », après les propos offensifs de Manuel Valls sur le voile et la « bataille identitaire » à mener contre le salafisme. « Je considère que le Premier ministre est dans son rôle quand il s’agit d’alerter sur un certain nombre de risques », a déclaré le dirigeant de l’instance considérée comme représentative de l’islam en France, pays où vivent quatre à cinq millions de musulmans.

Mais « sur le terrain, nous ne voyons pas de signaux qui confortent cette hypothèse d’un raz-de-marée de la pensée extrémiste et salafiste », a poursuivi Anouar Kbibech, estimant même qu' »on ne peut pas dire que ces groupes ont le monopole de la communication et de l’action sur les réseaux sociaux ». 

Le CFCM oppose le « travail de fond » aux « effets d’annonce »

Lundi soir, lors d’une table ronde organisée au théâtre Déjazet, le Premier ministre s’était inquiété d' »une forme de minorité agissante, des groupes (salafistes) qui sont en train de gagner la bataille idéologique et culturelle ». « Les salafistes doivent représenter 1% aujourd’hui des musulmans dans notre pays, mais leur message, leurs messages sur les réseaux sociaux, il n’y a qu’eux finalement qu’on entend », avait-il tranché. Quant au voile, sans soutenir explicitement son interdiction à l’université, il a jugé que la question était « posée ». « Ce que représente le voile pour les femmes, non ce n’est pas un phénomène de mode, non, ce n’est pas une couleur qu’on porte, non : c’est un asservissement de la femme », a-t-il lancé.

Pour Anouar Kbibech, « on a plus besoin maintenant d’apaisement et de travail de fond, et pas tellement d’effets d’annonce et de prises de position un peu clivantes, qui pourraient être perçues comme stigmatisantes et donneraient du grain à moudre à ces groupuscules ». Evoquant la prévention de la radicalisation jihadiste, dans laquelle certains responsables musulmans sont engagés, le président du CFCM, réputé proche de l’ancien maire d’Evry, a fait valoir que « le contexte est déjà assez compliqué pour ne pas véhiculer des thèses anxiogènes qui ajouteraient à la complexité de la situation ».

Source : Boulevard Voltaire

Arabie saoudite: Daesh revendique d'assassinat d'un colonel de police

Un colonel de la police saoudienne a été assassiné par des inconnus ce mardi près de Ryad, a annoncé le ministère de l’Intérieur, une attaque aussitôt revendiquée par le groupe jihadiste Daesh, actif dans le royaume.

Le colonel Kattab Majed al-Hammadi, un officier du département des investigations criminelles, a été tué par des tirs d’inconnus, a déclaré un porte-parole du ministère sans donner plus de précisions sur l’attaque, revendiquée par Daesh dans un communiqué.

Source : Boulevard Voltaire

Salafisme: Florian Philippot "pourrait presque donner la carte du Front national" à Manuel Valls

Florian Philippot, invité ce mardi soir de News & Compagnie sur BFMTV, a réagi aux propos tenus par Manuel Valls lundi sur la mouvance salafiste, qu’il juge comme « en train de gagner la bataille » de l’islam en France.

Pour le vice-président du Front National, le Premier ministre « a parfois des moments de vérité ». « On aurait presque pu lui donner sa carte du Front National », a-t-il plaisanté. Perdant très vite le sens de l’humour, Florian Philippot a reproché à Manuel Valls son manque d’action. « Il y a une centaine de mosquées radicales salafistes en France. Pourquoi sont-elles encore ouvertes? », a-t-il critiqué.

Le député européen a par ailleurs estimé son exaspération de la peur des mots face à la mouvance salafiste. « Maintenant on va créer la ‘salafismophobie’? L »islam-radicalophobie’? Arrêtons d’avoir cette pudeur indécente sur les mots, sur les réalités de ce qu’est aujourd’hui l’horreur qu’est l’islam radical », s’est-il emporté.

Source : Boulevard Voltaire

Migrants: l'Allemagne pourrait lever le contrôle frontalier le 12 mai

L’Allemagne pourrait lever temporairement mi-mai les contrôles frontaliers instaurés en septembre, si le flot de migrants continue de diminuer, a déclaré mardi le ministre allemand de l’Intérieur Thomas de Maizière. « Nous ne prolongerons pas les contrôles frontaliers au-delà du 12 mai si le nombre (de migrants) reste aussi faible », après la fermeture de la « route des Balkans », a déclaré M. de Maizière à la télévision nationale autrichienne ORF.

Source : Boulevard Voltaire

16 avril : formation sur l'islam avec l'abbé Pagès

A Paris de 9h à 17h.

Source : Renseignements ici

Salafisme : le message ambigu de Manuel Valls

muezzin-rené-le-honzec.png

Le salafisme prive le PS de voix décisives pour 2017 ET Manuel Valls, comme d’habitude, en perd ses nerfs.

Selon une étude du corps électoral menée par OpinionWay et Fiducial le 6 mai 2012 pour Le Figaro sur 10 000 votants, 93% des musulmans pratiquants ont glissé un bulletin « François Hollande » dans leur enveloppe. Seuls 7% d’entre eux ont voté pour Nicolas Sarkozy. Ce qui confirmait les recommandations du think Tank Terra Nova, prêt-à-penser du PS tendance : les prolos et les petits-blancs ont abandonné les rivages souriants marxistes pour les sombres côtes couleur bleu-marine-qui-nous-rappellent-les-pires-moments-etc. Il faut envoyer les remplacer par des troupes fraîchement arrivées.

D’où toutes ces Molenbeek français dénoncés, maintenant, par le ministre socialiste de la ville Kanner. Un comble, on est toujours trahis par les siens. La gestion complaisante des populations musulmanes (Jusqu’à Martine qui autorisa la non-mixité dans des piscines lilloises), les pressions pour ne pas déranger les chouffeurs (guetteurs) des cités territoires des djeunes ont abouti aux tirs de loisir en 7,62 kalachnikov qui défraient régulièrement la chronique médiatique parisienne par les cartons regrettables, par exemple, marseillais.

Si le libéral se réjouit de ces volontés forcenées de non-interventions de l’État dans l’exercice du libre-marché, le citoyen s’inquiète de certaines dérives. Ainsi des trekkings organisés dans des pays à risque où, visiblement, les djeunes se laissent aller en ne se rasant plus.

Eh bien, houlà ! Je ne suis pas le seul à m’inquiéter : Manuelito Valls Confetti -non, Galfetti, je confonds toujours- Premier Ministre, vient de déclarer « Le salafisme est en train de gagner la bataille idéologique et culturelle de l’Islam de France ». Hou !

Mais, rassurez-vous les salafistes ne représentent que 1 % des Musulmans de France. Oui, mais ils sont en train de saloper la belle mécanique mise au point pour récupérer le vote communautaire convoité en y agitant pensées et idées – 1 500 volontaires au djihad en Syrie – ce qui n’est pas le fort des socialos, parce que un socialo, ça ne sait pas- mais aussi, à l’autre bout, en confortant les discours du Front qui dénoncent, en gros, la même chose depuis des lustres. Marine Le Pen avait décidé de se faire discrète : ses ennemis politiques tonitruent pour elle. Et les fuites Pampers-Panama ne vont rien arrangé dans la dialectique « tous pourris ».

Le salafisme prive le PS de voix décisives pour 2017 ET Manuelito, comme d’habitude, perd ses nerfs.

Le regard de René Le Honzec.

Source : Contrepoints

Refus de serrer la main à une prof à Therwil: le signe d’une dérive?

file6p6h993bmfpdzccyej2.jpg

L’un des deux garçons musulmans dispensés de poignée de main partage des vidéos de l’Etat islamique sur son profil Facebook

Deux garçons musulmans vivant en Suisse depuis plusieurs années refusent soudain de serrer la main de leur enseignante. Est-ce le signe d’une interprétation stricte de leur religion, une simple provocation d’adolescent, ou un symptôme de radicalisation?

Cette question s’est posée à la direction de l’école secondaire de Therwil. L’établissement bâlois a accordé une exception à deux jeunes élèves de 14 et 15 ans qui ne veulent plus toucher la main de leur professeure – un salut usuel dans cet établissement – au nom leurs convictions religieuses.

Contacté lundi, le recteur, Jürg Lauener affirmait qu’il avait estimé «très faible» la probabilité que les deux jeunes ne soient concernés par une dérive fanatique. Cette question revient toutefois sur le devant de la scène. Sur son profil Facebook, l’un des deux garçons montre des affinités avec l’univers guerrier de l’Etat islamique.

«Pas de fondamentalistes dans notre mosquée»

Leur père, un Syrien qui travaille dans une entreprise de transport, officie en tant qu’imam les vendredis au centre islamique du roi Fayçal de Bâle. Avant de s’installer en Suisse il y a quatorze ans, il aurait œuvré dans des mosquées aux Emirats Arabes Unis.

D’après l’administrateur du centre Fayçal, Nabil Arab, ce n’est toutefois pas le prédicateur qui aurait dicté à ses enfants le comportement à adopter à l’égard de leur enseignante. «Cet homme n’a rien d’un radical. Ce n’est pas chez nous qu’on enseigne un islam fondamentaliste. Ces jeunes font leurs propres choix», dit-il.

D’où tirent-ils alors leur enseignement religieux? Sur son profil Facebook, l’un des deux Bâlois a publié une vidéo du prédicateur islamiste Pierre Vogel. Star dans les milieux salafistes allemands, il avait été invité en Suisse par le Conseil central islamique de Nicolas Blancho, en 2009. Interpellé à la frontière, il s’était vu notifier une interdiction d’entrée sur le territoire.

A côté des discours de Pierre Vogel et d’images de mangas, le garçon partage aussi des vidéos montrant des soldats rampant dans une rivière ou pointant un kalaschnikov sur le visage d’un ennemi. Pas de violence explicite. Mais un drapeau noir, identique à ceux brandis par le groupe Etat islamique. Simple attirance adolescente pour l’univers martial, ou premier signe d’une dérive? Seule une enquête approfondie permettrait de le dire.

Le responsable de la fondation Fayçal, Nabil Arab, lui, n’a pas cherché à le savoir. Il temporise: «Partager ces vidéos ne signifie rien». Pour Hafid Ouardiri, en revanche, «c’est très grave». «Un jeune qui diffuse ce type d’imagerie doit susciter notre plus grande vigilance». Le Genevois a fondé le centre Fayçal dans les années 1980.

Atterré, Hafid Ouardiri a convoqué une réunion du conseil de fondation de la mosquée pour discuter de cette affaire. «Nous devons prendre ce cas très au sérieux. Que ces jeunes réclament le droit de ne pas serrer la main de leur enseignante au nom de l’islam est inadmissible. En leur accordant une dispense pour avoir la paix, l’école encourage un comportement qui nuit aux musulmans. Notre religion prône avant tout le respect».

Selon le Genevois, il y a bel et bien un problème avec les sermons délivrés au sein de la mosquée bâloise, comme dans d’autres lieux de culte islamique en Suisse: «La majorité des musulmans estiment que les prédicateurs sont en décalage avec leur réalité. Nous devons faire ne sorte que les imams transmettent les valeurs de citoyenneté et de civisme».

Dès lors, pour Hafid Ouardiri, il est urgent de «mettre en place un discours pédagogique qui empêche ce type de comportements». C’est à ses yeux le rôle de tous: mosquées, parents et en premier lieu de l’école.

Avant d’octroyer une dispense au nom du respect de la liberté religieuse, l’établissement de Therwil a-t-il cherché à connaître les motivations de leurs élèves? Nous n’avons pas pu leur poser la question. Hier, un message vocal indiquait que le secrétariat ne répond plus aux appels «pour cause de maladie».

Source : Letemps.ch

Pays-Bas: large victoire des eurosceptiques lors d’un référendum

distribue-des-tracts-pour-le-non-au-referend.jpg

Les électeurs néerlandais ont dit massivement non mercredi à l’accord d’association entre l’Ukraine et l’Union européenne après un référendum devenu un vote symbolique sur l’UE, affirme l’agence de presse néerlandaise ANP, dans une projection basée sur plus de 99% des votes.

Le vote a été salué comme une victoire par les mouvements eurosceptiques néerlandais, et la classe politique du pays, dont le Premier ministre libéral Mark Rutte, a rejeté une ratification de l’accord sous sa forme actuelle.

Selon l’ANP, le non l’emporte avec 61,1%, et le taux de participation s’élève finalement à 32,2%. Des estimations initiales le plaçaient sous les 30%, ce qui l’aurait invalidé.

Les résultats définitifs seront publiés mardi par la commission électorale mais si le référendum est bel et bien validé, «l’accord ne peut être ratifié tel qu’il est actuellement», a affirmé M. Rutte.

Les partis politiques, dont ceux qui avaient mené campagne en faveur du oui, ont secondé cette déclaration et rejeté une ratification de l’accord, qui vise à renforcer le dialogue politique ainsi que les échanges économiques et commerciaux entre l’UE et l’Ukraine.

Selon la loi sur le référendum, le texte doit être représenté au Parlement et au Sénat.

«Il semble que les Néerlandais ont dit non à l’élite européenne et non au traité avec l’Ukraine, le début de la fin de l’UE», a réagi le député d’extrême-droite Geert Wilders, qui avait activement mené campagne pour le camp du non.

Il s’agit pour lui d’une «motion de défiance du peuple contre les élites de Bruxelles et de La Haye» (Pays-Bas).

Les résultats de ce référendum, dont les organisateurs admettent qu’il ne concerne pas l’Ukraine mais répond à une animosité plus large envers l’UE, seront examinés à la loupe en Grande-Bretagne, quelques mois avant un vote en juin sur une sortie de l’Union européenne, le «Brexit».

«Ce rejet humiliant de l’accord avec l’Ukraine prouve que les gens n’ont pas besoin de supporter l’Union européenne pour se sentir européens», a affirmé dans un communiqué Brian Monteith, le porte-parole de la campagne en faveur du Brexit.

Les Pays-Bas sont le dernier pays de l’UE à ne pas avoir ratifié l’accord, qui a cependant reçu le feu vert du Parlement. Le vote n’est pas contraignant mais une victoire du non peut «ouvrir la voie à une crise européenne», avait prévenu le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.

-«Une chose à la fois»-

Les Européens et Moscou suivent attentivement ce scrutin, tout comme l’Ukraine où la volte-face en 2013 de l’ancien président Viktor Ianoukovitch, qui avait renoncé au dernier moment, sous la pression de Moscou, à signer cet accord, avait provoqué le soulèvement proeuropéen du Maïdan.

Pour Kiev, qui a envoyé des ministres faire campagne aux Pays-Bas, cet accord représente une «nouvelle ère» pour l’Ukraine, tandis que Moscou le considère comme un empiètement des Européens dans sa sphère d’influence.

Des associations eurosceptiques avaient collecté plus de 300.000 signatures pour demander ce vote, sur la base d’une nouvelle loi autorisant les Néerlandais à s’exprimer sur des décisions législatives.

Cet accord n’est qu’un exemple de plus, assure un de ces groupes, d’une UE bureaucratique et technocratique ayant perdu le contact avec ses citoyens.

«Une chose à la fois», a néanmoins tempéré le Premier ministre: «d’abord avoir les résultats définitifs, ensuite en discuter au sein du gouvernement et avec nos partenaires à Bruxelles et au Parlement».

«Cela va prendre des semaines», a-t-il ajouté.

Selon des analystes, le gouvernement, qui assure la présidence tournante de l’UE jusque fin juin, pourrait négocier afin de se désengager de certaines parties du traité.

Le camp du non avait notamment évoqué comme arguments la corruption en Ukraine et la guerre dans l’est du pays. Si ces arguments ont été entendus dans la majorité du pays, Amsterdam a choisi de les ignorer.

Dans la capitale néerlandaise, le oui l’emporte à 52,5%. Alex, chauffeur de taxi, a voté oui: «les Ukrainiens se sont battus pour cet accord, on ne va pas les prendre en otage dans une bataille contre Bruxelles alors qu’on peut les aider».

Nik Tam, 65 ans, a de son côté voté contre l’accord d’association. «L’Ukraine ne peut pas entrer dans l’Union européenne, ça fait trop de monde», a-t-il déclaré.

Source : Libération

Un site d'extrême droite dirigé par un Suisse condamné pour une "diatribe violente" contre les musulmans

Le directeur de la publication du site d'extrême droite Riposte laïque, le Suisse Alain Jean-Mairet, a été condamné mercredi en France à 5.000 euros d'amende pour provocation à la haine envers les musulmans, pour avoir publié en octobre une "diatribe violente" contre les musulmans.

Intitulé "Et si l'islam était le culte de la perversion sexuelle et morale?", le texte avait été signalé au parquet par la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra).

Signé Salem Bennamar, le texte énumérait en introduction une foule d'abjections, "abuser sexuellement d'enfants pré-pubères", "terroriser, racketter, décapiter" et accusait les "gouvernements occidentaux et musulmans" de silence voire de complicité active.

Le tribunal correctionnel de Paris a estimé que "sous couvert d'expliquer les faits qu'il dénonce par la supposée déviance morale de l'islam, l'auteur impute ensuite aux musulmans, de manière explicite, sans aucune réserve et sans distinction entre eux, une perversion morale et des comportements abjects".

Pour les juges, le texte procède à une "stigmatisation généralisée et systématisée des musulmans", en évoquant "leurs supposées +pratiques zoophiles, pédophiles, incestueuses et nécrophiles, voire démoniaques+".

Loin de se livrer à une critique de l'islam, son auteur "s'adonne à une diatribe violente contre les musulmans, auxquels il prête des perversions inhérentes à leur seule appartenance religieuse", ont estimé les juges, pour qui "les propos poursuivis ont amplement excédé les limites admises à la liberté d'expression".

Alors que la défense considérait que la justice française n'était pas compétente pour juger M. Jean-Mairet, présenté comme le président de Riposte laïque Suisse, pays où s'est établi le site internet, le tribunal a rejeté cet argument, estimant être compétent dès lors que les propos litigieux étaient accessibles en France.

Le parquet avait estimé que l'établissement du siège social de l'association en Suisse constitue en fait une manœuvre pour tenter d'échapper aux poursuites. Mercredi, le site de l'association renvoyait vers le nom d'un responsable domicilié en Thaïlande, tout en indiquant être basé à Genève.
Riposte laïque s'était fait connaître en voulant organiser en juin 2010 un "apéro saucisson-pinard" dans le quartier multiethnique de la Goutte d'Or à Paris, qui a été interdit.

Source : L'Orient le jour

Prison de Ré (17) : Falorni dénonce encore "le scandale de la mosquée salafiste"

ministre-de-la_3716035_1000x500.jpg

Interpellé par Olivier Falorni, député de Charente-Maritime, le ministre de la Justice a assuré que la maison centrale pratiquait "une tolérance zéro".

Olivier Falorni, le député de Charente-Maritime, a interpellé, ce mercredi, le ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas, sur la situation de la maison centrale de Saint-Martin-de-Ré. Un établissement pénitentiaire où il a découvert, en octobre dernier dans un préfabriqué, une mosquée salafiste clandestine.

Alors qu'il avait déjà prévenu Christiane Taubira sur l'existence d'un tel lieu, un endroit plus connu sous le nom de "casino", il a donc renouvelé son alerte. Et son agacement.

"Le 24 novembre j'avais enfin obtenu de Mme Taubira l'engagement de supprimer ces casinos. Mais depuis, malgré mon harcèlement constant, c'est le triste jeu de la patate chaude. Un jour, on nous renvoie à des travaux lointains, peut-être en 2017. Un autre jour, hier en l'occurrence, un membre du gouvernement mal informé répond (...) que ces casinos ont été fermés par la directrice de l'établissement. Ce qui est totalement faux. Tout cela a assez duré. Il est insupportable qu'une pépinière de jihadistes puisse exister plus longtemps."

En réponse, Jean-Jacques Urvoas lui a assuré que le problème était désormais réglé.  Expliquant qu'"une inspection des services pénitentiaires s'est rendue" à cette maison centrale de St-Martin-de-Ré "les 25,26 et 27 janvier", le ministre de la Justice a indiqué : "Depuis votre passage, l'établissement pratique une tolérance zéro. Les deux détenus identifiés, qui sont les deux prosélytes, ont été placés à l'isolement depuis fin 2015. Les préfabriqués que vous évoquez font l'objet de visites bi-quotidiennes des surveillants."

Et de poursuivre :

"Le bâtiment va être détruit, mais il nous faut un appel d'offres. Je ne peux pas envoyer un pelleteuse comme ça... Il va y avoir un gymnase qui sera construit à la place. Comme vous l'avez demandé il y a un officier a été dédié au renseignement pénitentiaire qui travaille à plein temps depuis janvier 2016 et un certain nombre de détenus font l'objet d'une attenttion particulière."

Pour appuyer son propos, le ministre de la Justice lui a proposé de venir constater par lui-même, accompagné de journalistes, s'il disait vrai. 

Source : Sud Ouest

Une riposte laïque condamné à une amende pour une "diatribe violente" contre les musulmans

c412194f00b4fb47671e0eb8d1ea5.jpg

mercredi, 06 avril 2016

Le prisonnier - Liberté pour tous (extrait 1).mov

Des élections libres au Village ? Tout comme dans la vie réelle, tout a été décidé et planifié en amont, vous n'aurez pas le choix ! Votez pour le n°6 ! ^^ (Et bonjour chez vous ! ^^)

Syrie: avion du régime abattu, un groupe proche d'Al-Qaïda revendique

Un groupe rebelle syrien allié à Al-Qaïda a affirmé mardi avoir abattu un avion militaire du régime au-dessus de la localité d’al-Eis, dans le nord de la Syrie, une opération auparavant attribuée aux jihadistes du Front al-Nosra.

Dans un communiqué sur Twitter, le groupe salafiste Ahrar al-Cham qui se bat aux côtés du Front al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda, affirme « avoir abattu un avion qui menait des raids » sur la localité.

Auparavant, une source rebelle et l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) avaient indiqué que l’appareil avait été abattu par les jihadistes d’Al-Nosra près de la localité d’al-Eis, dans la province d’Alep, et que le pilote avait été capturé.

Ce « sont des jihadistes du Front Al-Nosra » qui avaient conquis al-Eis la semaine dernière après en avoir chassé l’armée, avait affirmé l’OSDH.

La source rebelle avait elle précisé que l’avion avait été abattu « au moyen de la DCA » (défense anti-aérienne).

Une vidéo diffusée par les militants sur internet montre une multitude d’hommes armés entourant un corps gisant au sol. « Il est Syrien! il est Syrien! », crient-ils.

OMAR HAJ KADOUR, AFP – Débris d’un avion abattu, une attaque revendiquée par un groupe rebelle allié à Al-Qaïda au dessus de la localité d’al-Eis le 5 avril 2016, dans le nord de la Syrie, une opération auparavant attribué aux jihadistes du Front al-Nosra

Source : Boulevard Voltaire

L’immigration massive produit des djihadistes radicalisés

maxresdefault-600x360.jpg

Les observateurs du terrorisme sont frappés par l’origine sociale des jeunes gens qui décident, ou sont décidés par d’autres barbus, à se transformer en bombes humaines : une majorité d’entre eux sont nés en Europe, et ont grandi à l’intérieur du système scolaire et médico-social des démocraties occidentales. Leur ascendance culturelle marquée par l’Islam explique t-elle tout ? Ce n’est pas certain.

Le moins qu’on puisse dire est que les démocraties occidentales sont dans le brouillard depuis trop longtemps. Devant la barbarie qui se déchaîne à ciel ouvert, alors que, ne nous cachons pas la face, d’autres barbaries qui nous sont propres, notamment contre les enfants privés de vie ou plus récemment interdits de leurs parents naturels, couvent dans le même berceau. Face aux actes terroristes donc, comment pouvons nous comprendre l’enchaînement des causes ?

Adoptons trois échelles d’observation : tout d’abord l’échelle des individus-terroristes qui sont les acteurs visibles de ces drames. Ces individus, les Merah, les Coulibaly, les Abdeslam, sont-ils réellement des éléments déterminants du système terroriste ? Ont-ils agi sous l’empire aveugle de certains versets du Coran ? ou bien ces jeunes sots ont-ils été simplement instrumentalisés au profit d’un objectif masqué ?

Ensuite, à l’échelle des opinions publiques occidentales. S’il y a manipulation du terrorisme, l’objectif n’est-il pas simplement d’empêcher les opinions publiques occidentales de réagir aux décisions anti-nationales ou liberticides des «élites» politiques dans notre propre pays ? Cela se serait déjà vu, et les décisions à l’emporte-pièce d’une Union Européenne «hors-sol» qui commence à se méfier des peuples récalcitrants à se laisser plumer, tendraient à le suggérer. Les démagogues moqueront une «théorie de complot», mais il serait irresponsable de ne pas l’envisager, au moins comme une hypothèse à explorer, car les attitudes des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France, de l’Allemagne et de la Turquie, pays de l’OTAN, apparaissent de plus en plus ambiguës dans le conflit syrien, sans oublier leurs alliés et clients, l’Arabie Saoudite et le Quatar.

Enfin, envisageons l’échelle géopolitique de la carte des États, carte qui mélange des intérêts multiples et indiscernables, idéologiques et religieux, économiques et politiques. La déstabilisation organisée des États du proche-Orient et de l’Afrique du Nord est-elle à l’origine du terrorisme ? ou bien le terrorisme n’est-il pas seulement un des aspects de la grande manipulation géo-stratégique dans laquelle les États-Unis ont entraîné avec eux les pays de l’OTAN ? Le terrorisme ne serait alors qu’un instrument parmi d’autres.

La juste réponse est probablement dans la synthèse de ces trois analyses, mais quelle qu’elle soit, la situation actuelle dans laquelle la démocratie réelle a été confisquée par un super-système d’États européens baptisé «Union Européenne», sous contrôle d’une administration corrompue et d’une Amérique manipulatrice, et pour tout dire «pas claire» dans ses mensonges et revirements multiples, est insupportable.

Or, s’il est un fait indiscutable, parce que démontré par les chiffres de l’immigration depuis les années 1970, c’est bien la corrélation entre l’importation massive de populations culturellement marquées par l’Islam, et l’exportation des djihadistes qui forment aujourd’hui les milices armées et criminelles du terrorisme. Cette semaine, Valeurs Actuelles fait état d’une étude parue aux Pays-Bas, selon laquelle la France est le pays européen qui fournit le plus de combattants à l’État islamique en Syrie et en Irak.

La Belgique, l’Allemagne et le Royaume-Uni suivent, mais la France domine clairement ce classement. Plus de 900 Français ont pris le départ pour la Syrie ou l’Irak selon cette enquête. La statistique permet même de prédire la suite, puisqu’un million d’habitants génère 41 départs pour le djihad chaque année. Faites le comptes. Mais plus démonstratif encore est ce fait indiscutable : la grand majorité de ces combattants ont grandi dans les périphéries des grandes villes européennes, dites «les banlieues». Molenbeek est le parfait archétype de l’usine à djihadistes. La quasi-totalité des terroristes des 13 novembre et 22 mars en sont issus, une quasi-marque de fabrique.

Autrement dit, les démocraties occidentales ont inventé un système à produire des terroristes. Que certains petits malins sachent en tirer profit pour alimenter leur sale guerre, qu’elle soit économique ou hégémonique est une chose, mais que les populations occidentales continuent à le supporter en est une autre. Or, l’Union Européenne ne semble toujours pas comprendre, que les peuples européens ont enfin compris qu’elle est LA source du problème.

Oui, l’Union Européenne est LE problème, parce que le calcul économique fondé sur l’importation massive d’une main d’œuvre bon marché, en plus d’être amoral, ne fonctionne plus. Oui ce système injuste ne fonctionne plus, tout simplement parce qu’après 40 années d’immigration massive, les équilibres sociaux élémentaires des démocraties occidentales sont maintenant rompus par l’insolubilité des cultures, la dissolution du lien social, et les tensions paralysantes qui en découlent. Si les évolutions actuelles durent encore, les tensions ne pourront que s’aggraver. C’est probablement le but recherché par nos ennemis.

Aujourd’hui, Il nous faut de toute urgence démembrer les usines à terroristes que le mercantilisme d’inspiration américaine a installé dans nos territoires. Il nous faut cesser de faire confiance aux technocrates de Bruxelles qui veulent à n’importe quel prix nous imposer encore et toujours la continuation de ce système inique et mortifère. Comme le Chrétiens d’Orient, disons nous bien, sans nous voiler la face : «C’est une question de survie», pour nos enfants.

Source : 24heures.ch

Montpellier : la conférence de Houria Bouteldja dénoncée par la Ligue du Midi

devant-la-cimade_1859380_667x333.jpg

Manifestation des militants d'extrême droite devant la Cimade, ce mardi 5 avril.

Cible régulière des militants d'extrême droite, la porte-parole du Parti des Indigènes de la République, Houria Bouteldja, a été indirectement prise à partie, mardi 5 avril, en début de soirée, devant les locaux de la Cimade. Une vingtaine de militants du groupuscule extrémiste de la Ligue du Midi se sont rendus devant l'association d'entraide protestante où la militante donnait une conférence dans le cadre de la sortie de son livre Les Blancs, les Juifs et nous.

Les propos tenus ont stupéfait passants et riverains

Face à certains manifestants ayant le visage dissimulé et devant l'hostilité des slogans et discours tenus contre Houria Bouteldja et la Cimade, les organisateurs ont préféré abaisser le rideau de fer du local associatif. L'action de la Ligue du Midi, conduite par son leader, Richard Roudier, et les propos tenus ont stupéfait plusieurs passants et riverains de la rue du Faubourg-Boutonnet, qui ont signalé les faits au commissariat.

Dans la semaine, le groupuscule avait écrit au préfet pour demander... l'interdiction de la conférence de Houria Bouteldja, accusée, selon eux, de pratiquer un "racisme anti-blanc". Un courrier resté sans conséquence. Les militants d'extrême droite reprochent à la militante politique d'avoir utilisé, en 2007, à la télévision, le néologisme de "souchien", pour qualifier les Français de souche. Une polémique close judiciairement par une relaxe de l'intéressée mais qui n'a pas purgé toutes les rancunes.

Source : Midi libre

Le concert de Laibach à Bruxelles (09 02 2016)

Source : Synthèse Nationale

Burkini, transports séparés : accommodements raisonnables ou islamisation ?

burkinis_2.jpg

Voile, burkini, dîners et transports où hommes et femmes sont séparés : les manifestations ostentatoires de l’islam se multiplient dans l’espace public.

Pour la journaliste Eloïse Lenesley, les politiques et la société doivent obligatoirement prendre position :

"L’économie musulmane, en plein essor, draine 1,8 milliard de consommateurs. Ils seront 2,4 milliards en 2030, à raison d’une démographie se situant entre 2,5 et 3% par an. Le marché du halal représente entre 5,5 et 7 milliards d’euros en France (premier consommateur d’Europe, avec une progression de 17% dans les grandes surfaces), 700 milliards de dollars dans le monde (2000 milliards de dollars en 2025) ; le marché de la mode musulmane devrait, lui, atteindre 500 milliards de dollars d’ici à 2019. L’Europe devra-t-elle sacrifier ses valeurs, sa culture sur l’autel des intérêts pécuniaires et géopolitiques ?"

Source : Novopress

 

Bangladesh – chrétiens, citoyens de 3ème zone

Chrétiens-persécutés-1000x600.png

La référence à l’islam ajoutée à la constitution fait l’objet de contestations croissantes.

Des responsables des minorités ont déploré l’utilisation faite ces derniers mois de cette religion afin de « justifier » des actes de violence et de discrimination à l’égard des chrétiens, des hindous et des chiites – sans compter les athées. Violences contre les personnes et attaques contre la propriété privée se conjuguent au Bangladesh avec des attentats plus ciblés contre des églises chrétiennes ou des prêtres hindous, au nom de l’islam radical.

Ce dernier point n’a pas entamé la détermination des minorités bangladaises qui voient dans l’islam, religion d’Etat, un danger spécifique qui facilite les atteintes à leurs droits. Peu importe qu’il soit « fondamentaliste » ou non !

La source catholique Asianews.it soulignait ainsi la semaine dernière que les minorités du Bangladesh ont le sentiment d’être « des citoyens de troisième zone, abandonnés par les autorités ». Rosaline Costa, coordonatrice de Hotline Human Rights Bangladesh expliquait alors : « Dans un Etat, une religion ne doit pas prévaloir. Je crois qu’il doit y avoir des droits égaux pour toutes les croyances. Si la Haute Cour se penche sur le fait de savoir s’il faut éliminer l’islam de la constitution, cela signifie que nous pouvons tous demander des droits égaux au gouvernement. Notre peuple ne peut plus être attaqué par des musulmans radicaux et il sera plus facile de rendre justice, car dans ce cas nous serons considérés comme victimes de crimes. »

L’islam, religion d’Etat, c’est la mise en place d’un totalitarisme

Cet aspect des choses ne semble pas soucier les juges de la Haute Cour de Dhaka.

On peut évidemment s’interroger sur la laïcité, voire l’athéisme de l’Etat et sa capacité à garantir les droits des personnes – l’histoire a montré combien cela est illusoire, voyez la France, voyez l’Union soviétique et tant d’autres… On peut aussi parfaitement concevoir un Etat confessionnel qui ne commette ni ne favorise d’injustices à l’égard de ceux qui ne croient pas (car on ne peut obliger personne à adhérer à une foi).

Sur le plan pratique, on comprend cependant le souci de ces chrétiens, hindous, bouddhistes… aux prises avec une religion qui punit de mort l’apostasie, persécute les infidèles et ne reconnaît pas les droits de la conscience, au nom de son totalitarisme radical qui ne distingue pas entre le spirituel et le temporel.

Source : Riposte catholique

Le Bangladesh refuse l’abandon de l’islam comme religion d’Etat

abandon-islam-religion-Etat1-e1459260560637.jpg

Il a fallu à peine deux minutes aux juges de la Haute Cour du Bangladesh pour rejeter une pétition vieille de 28 ans contre la définition de l’islam comme religion d’Etat. Trois juges ont enterré l’espoir des minorités de voir imposer l’abandon de la référence à l’islam par un jugement d’illégalité de l’amendement par lequel elle avait fait son entrée dans la constitution bangladaise, en affirmant de manière lapidaire que les pétitionnaires n’avaient pas le droit d’agir.

Source : Reinformationtv

Royaume-Uni : le référendum sur le Brexit oblige le gouvernement à révéler les vrais chiffres de l’immigration

référendum-Brexit-e1459879585621.jpg

Le gouvernement britannique s’est engagé à donner les vrais chiffres de l’immigration quelques semaines avant le référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l’Union européenne, puisqu’il s’agit d’un des thèmes majeurs du débat sur le Brexit. Il faut dire que le décalage abyssal entre les chiffres officiels de l’immigration et les inscriptions réelles au registre de sécurité sociale ont suscité une vive polémique. C’est ainsi qu’en 2014-15, le Gouvernement reconnaissait le chiffre de 53.000 migrants en provenance de Roumanie et de Bulgarie, tandis que le nombre d’inscriptions à l’assurance maladie s’élevait à 214.000…
 
Jonathan Portes, figure de proue du National Institute of Economic and Social Research, s’est servi de ces chiffres pour déposer une requête en Droit à l’Information auprès du gouvernement, pressant celui-ci de vérifier le nombre exact d’assurés sociaux afin de fournir une image précise de l’étendue de l’immigration dans le pays.

Le référendum sur le Brexit se jouera certainement sur l’immigration

Etonnamment, les fonctionnaires de cette administration ont refusé d’obtempérer, « non parce qu’ils ne disposaient pas des chiffres, ni même par crainte de trop de travail » explique Portes, mais parce que cela aurait « interféré » avec certains aspects des renégociations entreprises par David Cameron au sujet de la place du Royaume-Uni dans l’Union européenne.
 
En décembre dernier, Nigel Farage, leader du UKIP (UK Independence Party) commentait : « Il est déjà fort regrettable que le gouvernement accepte une immigration de plus d’un tiers de million de personnes chaque année, mais il est parfaitement honteux qu’il semble couvrir un chiffre qui pourrait se révéler bien supérieur. (…) Le Gouvernement doit maintenant révéler les vrais chiffres en sa possession plutôt que de chercher à masquer ses résultats pitoyables pour permettre à M. Cameron d’apaiser Mme Merkel à Bruxelles… »

Le gouvernement du Royaume-Uni acculé : dira-t-il les vrais chiffres de l’immigration ?

Selon Farage, le gouvernement a laissé l’immigration européenne devenir totalement incontrôlable. Une vision partagée au sein du parti conservateur de David Cameron, les derniers chiffres du Bureau des statistiques nationales faisant état de 919.000 migrants en provenance de l’Europe entre 2010 et 2014, tandis que 2,25 millions de numéros de sécurité sociale était attribués à la même période.


Le gouvernement britannique vient donc d’accepter de saisir le HMRC (Her Majesty’s Revenue and Customs, organisme chargé notamment des cotisations à la sécurité sociale) afin d’obtenir les chiffres nécessaires à l’établissement de statistiques crédibles. David Cameron a enfin décidé de jouer la carte de la transparence plutôt que de laisser enfler une suspicion dévastatrice quelques semaines avant le référendum. Ce faisant, il prend tout de même un risque : que la reconnaissance officielle de l’ampleur migratoire ne pèse lourdement dans la balance, alors qu’entre les partisans du maintien dans l’UE et ceux qui souhaitent la quitter, la victoire se jouera sur le fil du rasoir (51 % contre 49 % actuellement, avec une personne sur cinq encore indécise)…

Source : Réinformationtv

Le Pakistan cède devant les islamistes

pmp.jpg

Le gouvernement aurait cédé à sept des dix requêtes présentées par les groupes radicaux islamiques pour mettre fin à leurs manifestations de colère après l’exécution le 29 février dernier d’un de leurs chefs, Mumtaz Qadri qui avait assassiné en 2011 Salman Taseer, le gouverneur du Pendjab, en raison de sa condamnation de la loi pakistanaise sur le blasphème.

Le gouvernement pakistanais a cédé aux islamistes en libérant des manifestants arrêtés durant le sit-in, mais surtout en s’engageant d’abord à ne pas modifier l’article 295 a, b, et c du Code pénal qui porte sur la répression du blasphème et ensuite, à ne pas faire preuve de clémence envers les condamnés pour blasphème.

« Ces concessions mettent en évidence l’incapacité du gouvernement à résister aux pressions des extrémistes et soulèvent des doutes sur son engagement à garantir les droits de l’ensemble des citoyens pakistanais et à mettre un terme aux abus d’usage de la loi sur le blasphème », souligne l’ONG Christian Solidarity Worldwide

Source : Riposte Catholique

M. Boussouf : « l’immigration est une grande chance »

338a939db1a9876f9f631a7976161ec_L.jpg

M. Abdellah Boussouf, Secrétaire général du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME), a reçu, mardi 5 avril 2016 au siège du Conseil à Rabat, une délégation d’élus bordelais.

Ont pris part à cette délégation des élus de la Mairie de Bordeaux, de la Mairie de Parempuyre, de la Mairie de Bergerac et le Grand Rabbin de Bordeaux.

Mme Anne Brezillon, adjointe au maire de Bordeaux, a indiqué lors de cette réunion que « les associations marocaines à Bordeaux sont une chance pour la ville et ont permis des réalisations précieuses au profit de la communauté bordelaise ».

Le Grand Rabbin de Bordeaux a pour sa part exprimé ses vifs remerciements au CCME, qui a été à l’origine de l’organisation de sa visite à son pays d’origine, le Maroc, auquel il n’est plus revenu depuis 45 ans. Il a en outre affirmé que le Maroc est une terre de fraternité ou musulmans et juifs ont toujours cohabité dans la paix et la tolérance.

M. Abdellah Boussouf a quant à lui exposé à la délégation les différentes missions du CCME et ses réalisations. Il a également mis le point sur les mutations que connait l’immigration marocaine et les attentes des Marocains du monde :

« Le CCME a pour mission d’évaluer les politiques publiques migratoires afin que ces dernières puissent être en phase avec les attentes des Marocains de monde », a-t-il affirmé, ajoutant que « pour ce faire, le CCME adopte une démarche participative, ou il invite les gouvernements du Maroc et des pays d’accueil, les associations au Maroc et à l’étranger et les personnalités des domaines de l’art et du culte à contribuer et à enrichir ses évaluations ».

« L’immigration marocaine est mondialisée, car elle existe dans plus de 108 pays et dans les cinq continents. Elle est principalement existante en Europe, notamment en France ou vivent près 1,5 millions de Marocains. Elle est de plus en féminisée : dans certains pays d’Europe l’immigration féminine représente plus de 50% de la communauté d’origine marocaine, et de plus en plus jeune », a-t-il declaré.

M. Boussouf a par ailleurs indiqué que « l’immigration est une grande chance que ce soit pour les pays d’accueil ou les pays d’origine et que la double culture est une valeur ajoutée pour les sociétés », concluant que « le terrorisme s’est nourri de l’ambiguïté et de l’ignorance et que nous avons assurément les moyens de le vaincre en mettant tous la main dans main et en privilégiant le dialogue, le savoir et l’amour ».

Source : Ccme

Charte des mosquées de Béziers : Robert Ménard inflexible

robert-menard-informe-les-clande-1280x660.jpg

Juste après les attentats de novembre, Robert Ménard avait soumis aux représentants des moquées de Béziers une charte visant à clarifier leurs activités. Plutôt que de répéter les mêmes fariboles en boucle, Robert Ménard a décidé d’agir, anticipant les déclarations de Manuel Valls sur la progression fulgurante du salafisme dans les Molenbeek français. Le rôle d’un maire est de tout faire pour éviter que ne prospèrent des zones de Non-France dans sa commune.

Les six points proposés à la signature dans la charte des mosquées de Béziers étaient tous de bon sens et respectueux de la croyance religieuse des principaux concernés. En résumé, les responsables des mosquées devaient s’engager à : donner leurs prêches en français ou assurer une traduction en français ; ne pas faire d’appels à la prière dans la rue ; ne pas établir de liens avec des courants extrémistes ; ne pas diffuser ou faire la promotion d’imams salafistes ; ne pas promouvoir les textes et livres appelant au djihad et demandant, par exemple, la peine de mort pour les homosexuels, les apostats ou les athées ; ne recevoir aucun financement d’une collectivité, d’une association ou d’un État étrangers. Des demandes limpides qui évitaient la novlangue politico-médiatique en vigueur, de nature à apaiser les relations entre les représentants du culte musulman et le reste de la population. Pas de repentance, pas de contorsions intellectuelles stériles, pas de sociétalisme destructeur, pas de discrimination positive. La mairie de Béziers appelait à la responsabilité des musulmans vivant en France.

Deux mosquées biterroises, sur les cinq que compte la ville, ont accepté de signer la charte. Cheik Omar Mamoune, représentant de l’association cultuelle El-Houda, a expliqué son geste au journal Midi libre : « Je n’adhère pas à l’idée de certains musulmans qui entendent que tout le monde partage leur religion. Non, il ne le faut pas pour que nous puissions dialoguer et échanger. »

Comme l’a indiqué Robert Ménard, l’État s’est montré défaillant à discipliner le culte musulman en France, dépassé par les radicaux de l’UOIF avec lesquels Bernard Cazeneuve posait encore récemment sur un « selfie » du plus mauvais effet. Nicolas Sarkozy, versatile politiquement et inculte en matière religieuse, a laissé les clés de l’islam en France aux mains des Frères musulmans. Peut-être faut-il alors tout reprendre à la base, à l’échelon local ? C’est ce que semble proposer l’édile biterrois.

Il est inquiétant de constater que trois mosquées ont refusé de signer une charte qui les enjoignait simplement à respecter les lois de la République et à se détourner clairement des éléments dont les idées sont incompatibles avec notre façon de vivre. Il faut dire qu’ils ont été confortés dans leur point de vue par une campagne de presse mensongère en novembre dernier. Les abonnés de la page Facebook des « Musulmans de Béziers » s’étaient ainsi déchaînés suite à la publication de la charte, parlant de « charte de la honte » et réclamant « l’internement de Robert Ménard ».

Tentant de salir la mairie de Béziers, la chaîne M6 avait donné la parole à Linda Mendy-Hamdani, militante tiers-mondiste appartenant à la gauche radicale, dans l’émission « Enquête exclusive ». Ce petit marigot d’associations anti-France, choyées par le pouvoir, témoigne à sa façon d’une volonté de désintégration, d’un racisme inversé. C’est là que se trouvent aussi les opposants à une charte qui n’avait rien d’indigne. Au contraire. Bravo à Robert Ménard qui ne recule pas !

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

Mosquée clandestine de la prison de Ré : le gouvernement va faire quelque chose

islam-carceral.jpg

La dissimulation (en arabe taqiya) semble être parfaitement maîtrisée par le gouvernement socialiste. Interpellé mardi par le député LR Georges Fenech au sujet de la mosquée salafiste clandestine de la maison centrale de l’île de Ré, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’État chargé des Relations avec le Parlement, en l’absence de M. Urvoas, garde des Sceaux, a fait une réponse qui ne manque pas de sel.

Une affaire qui ne date pas d’hier. En novembre 2015, Olivier Falorni, député non inscrit de Charente-Maritime, membre de la commission d’enquête sur les filières djihadistes, avait visité cette prison. Il avait alors découvert qu’un baraquement préfabriqué, pudiquement ou ironiquement appelé « casino », abritait en fait une « mosquée salafiste clandestine », un « centre de formation pour apprentis djihadistes à l’attention de détenus condamnés à de très lourdes peines », selon ses propres mots.

Il avait alors écrit au ministre de la Justice de l’époque, Christiane Taubira, pour lui demander la destruction de ces préfabriqués. Voici ce que fut la réponse du ministre à la question du député, selon le journal Sud-Ouest du 24 novembre 2015 : « L’alarme que vous avez souhaité déclencher a fonctionné. Une autorisation d’engagement a été mise en place afin de supprimer les casinos et de créer des locaux d’activité et d’audience au sein même des bâtiments. » Ou l’art de se foutre du monde avec des mots choisis. Traduisez : « Votre correspondance a fait l’objet de toute l’attention qu’elle méritait ; elle a directement terminé au panier ! »

Cet Olivier Falorni, qui semble être une personne assez obstinée – souvenez-vous, en 2012, il avait refusé de s’effacer devant Mme Royal, qui rêvait de devenir députée de La Rochelle -, avait doublé sa question écrite d’une interpellation à l’Assemblée, le 13 octobre 2015. « Nos prisons ne peuvent pas, ne doivent pas être des pépinières à djihadistes, car c’est la sécurité de tous les Français qui est en jeu », avait-il déclaré. Mme Taubira avait embouché le petit bout de la lorgnette pour répondre au député et avait égrainé quelques mesures, comme par exemple l’acquisition d’un logiciel de détection et de contrôle, la mise en place d’une cellule de veille H24… Évidemment, Mme Taubira se garda bien d’évoquer le devenir du « casino » de l’île de Ré.

Et ce casino revient aujourd’hui sur le tapis, non pas vert mais rouge, de l’Assemblée à travers la question du député du Rhône Georges Fenech. Car, semble-t-il, depuis l’an passé, rien n’a changé, le « casino » serait toujours là et servirait toujours de mosquée. Au moment où Manuel Valls nous fait croire qu’il serait un nouveau Cid Campeador en déclarant que le salafisme est « en train de gagner la bataille », que M. Urvoas veut nous la jouer cartes sur table, quelle a été la réponse de M. Le Guen, jouant les utilités au palais Bourbon ? Devant la consternation et sous les huées de l’opposition : que des crédits avaient été débloqués pour construire de nouveaux bâtiments, ce qui permettra de détruire ces préfabriqués (je cite de mémoire).

Nous voilà donc rassurés…

Georges Michel

Source : Boulevard Voltaire