lundi, 20 juin 2016
Emigration clandestine : 19 corps de clandestins éthiopiens découverts dans un container en RDC
Dix-neuf corps sans vie de clandestins éthiopiens ont été découverts par les services d'immigration de la province du Haut Katanga, dans le sud-est de la République démocratique du Congo lors d'un contrôle ciblé, a déclaré samedi à l'AFP un responsable local d'immigration.
«Nous avons intercepté jeudi ce véhicule avec immatriculation zambienne, à 7 km du poste frontière de Mwenda, à cause de l'odeur nauséabonde que dégageait le container qu'il traînait. En l'ouvrant, nous avons découvert la présence de 95 personnes dont 19 décédées par asphyxie», a précisé Jean-Pierre Lubosha, chef local de la Direction générale de migration (DGM) de la RDC.
Les deux chauffeurs et le convoyeur avaient déclaré transporter des poissons «mais l'odeur dégagé nous a convaincus qu'il faisait une fausse déclaration», a-t-il ajouté.
«Les cadavres ont été remis aux autorités zambiennes jeudi. Nous avons interrogé les survivants, qui ont tous déclaré être de nationalité éthiopienne», a ajouté M. Lubosha, qui a précisé les avoir aussi remis à ses collègues zambiens vendredi.
Selon l'officier congolais d'immigration, toutes ces personnes ont expliqué avoir fui leurs pays à destination de l'Afrique du sud, en transitant par le territoire kényan, «à la recherche du bien-être».
Un accord de 1968 signé par les autorités congolaises et zambiennes interdit à l'immigration congolaise de contrôler des véhicules zambiens qui traversent un tronçon de 70 km en territoire congolais, considéré comme un raccourci pour relier Shembe à Kitwe, deux villes de Zambie à cheval sur la partie sud de la RDC.
«Nous félicitions les autorités congolaises pour leur vigilance ayant permis de découvrir ce trafic scandaleux d'êtres humains impliquant trois Zambiens», a déclaré le vice-consul de Zambie, David Nyangulu, interrogé par l'AFP. Il a ajouté qu'une enquête internationale avait été lancée pour démanteler l'ensemble du réseau.
C'est pour la première fois qu'un tel coup de filet est réussi par la DGM, s'est félicité l'officier congolais d'immigration.
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Nous sommes tous des mécréants !
Hollande, Valls, Cazeneuve, les trois petits singes de la sagesse : ne pas voir le MAL, ne pas entendre le MAL, ne pas dire le MAL.
Cela suffit, arrêtez de tenter de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Arrêtez de VOUS mentir, de NOUS mentir !
Ceux qui se font exploser, ces terroristes qui commettent des attentats meurtriers, qui massacrent à la kalachnikov, qui assassinent à coups de couteau, ne sont pas des Français, ne sont pas des Belges, ne sont pas des Américains, ce sont des « musulmans ».
Ce ne sont pas des déséquilibrés, ni des dingues, ni des fous, ce sont des « musulmans ».
Ils tuent au nom du Prophète et sur les ordres dictés par le Coran. Le djihad armé est permis par l’islam, il est même préconisé, et il est impie de lui désobéir.
Tous les attentats, tous les massacres, tous les assassinats, jusqu’à aujourd’hui, ont été commis par des « musulmans » radicalisés, que cela vous plaise ou non. Vous ne trouverez pas un seul nom qui ne soit pas d’origine islamique.
Tous les musulmans ne sont pas radicalisés, fort heureusement pour l’humanité, mais nombreux sont ceux qui, en sourdine, les approuvent et certains même les applaudissent en apprenant leurs exploits. Ils sont des héros pour eux.
Quand, à Marseille, surgit un drapeau algérien au milieu d’une bagarre entre Russes et Anglais sur le Vieux-Port, ne vous méprenez-pas, c’est uniquement parce qu’ils n’ont pas, chez eux (ou n’ont pas osé arborer), un drapeau de l’État islamique. J’en veux pour preuve les déclarations de certains imams, dans l’entourage même du recteur de la Grande Mosquée de Paris, adhérents de la fédération chère à Dalil Boubakeur :
– le Coran ordonne aux musulmans de combattre et de soumettre les juifs et les chrétiens ;
– les valeurs et les mœurs de la République ne sont pas les valeurs et les mœurs que nous a données le Prophète. Ce ne sont pas les valeurs et les mœurs des musulmans ;
– combattez les mécréants, capturez-les, assignez-les et guettez-les dans toutes embuscades jusqu’à ce que la religion soit entièrement à Dieu ;
– l’islam doit s’étendre partout, il doit exister partout, pour permettre les conversions consenties. Nous sommes envoyés pour convertir toute l’humanité ;
– l’islam n’est pas une religion de paix. Le djihad armé est pour apporter la lumière de Dieu aux peuples mécréants.
Et il termine en ajoutant « qu’il n’est pas le seul à être hostile, au sein de la fédération, à promouvoir un véritable islam de France ».
Un porte-parole de l’État islamique, Abou al-Adnani, ordonne de tuer tous les mécréants au nom du Prophète, ajoutant « qu’il n’y a pas d’innocents ». Et c’est la vérité du Prophète : pour l’islam, il n’y a pas d’innocents, nous sommes tous des « mécréants » !
Manuel Gomez
06:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Terroriste : c’est pas sa faute à lui mais à son arme…
Durant ces derniers jours, les médias se sont livrés à une thèse ahurissante qui suppose que le massacre d’Orlando n’aurait pas eu lieu si le port d’armes à feu, autorisé en Floride, était interdit. Ce drame américain vient donc relancer un débat sans frontières sur la détention d’armes par le citoyen.
Notre gouvernement, qui lutte contre le terrorisme à coups de Numéro Vert, voit dans cette question l’occasion d’exercer un semblant de fermeté en manifestant sa volonté de restreindre la détention d’armes afin de minimiser les risques d’attaques terroristes.
L’actualité dramatique qui entache notre communauté nationale vient néanmoins démasquer cette supercherie et affirmer l’évidence. Avec un peu d’honnêteté intellectuelle, il devient facile de comprendre que ce n’est pas l’amateur de ball-trap qui utilise son arme pour massacrer des innocents au cri d’« Allah Akbar ». Tout criminologue sérieux sait pertinemment que la détention d’une arme à feu déclarée en préfecture n’a strictement aucun rapport avec le terrorisme dans notre pays. Les islamistes de Charlie Hebdo ou du Bataclan n’ont pas acheté leurs armes en règle chez l’armurier du coin. Ces armes proviennent d’un trafic parallèle et illégal, qui ne sera absolument pas affecté par cette éventuelle mesure de restriction gouvernementale.
Ce nouvel enfumage politique ne fera que désarmer les honnêtes gens qui s’adonnent à un loisir tandis qu’un terroriste pourra toujours débarquer chez eux avec une kalach’ achetée sous le manteau, dans la cave d’une cité sensible.
Fort avec les faibles et faible avec les forts, le gouvernement affiche une nouvelle fois à travers ce débat son incompétence en matière de politique sécuritaire. S’il voulait sérieusement affronter la bête qu’il a laissée prospérer sur notre sol, il s’attaquerait directement au marché noir pour obtenir son démantèlement plutôt qu’aux honnêtes citoyens. Mais il n’est peut-être pas judicieux de bousculer la clientèle électorale des banlieues à la veille de la présidentielle.
Pierre-Louis Mériguet
06:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
Salah Abdeslam en soirée, ou l’islamo-racaille la plus typique
Médias et journalistes n’en reviennent toujours pas : Salah Abdeslam aurait passé la nuit du 13 au 14 novembre dans une cage d’escalier de la cité Vauban à Châtillon (Hauts-de-Seine). Daphné Bürki y a même consacré une partie de « La Nouvelle Édition » du 16 juin, jugeant l’anecdote incroyable.
Que se serait-il donc passé ce soir-là, en plus des funestes attentats islamistes ? L’Obs nous révèle que Salah Abdeslam serait arrivé aux alentours d’une heure du matin au 9e étage d’une tour de la susmentionnée cité Vauban, cherchant « un endroit calme pour manger et se reposer ». Il aurait alors fait la rencontre de trois jeunes adolescents, dont un certain « Tom », lycéen rebaptisé par le journaliste qui a recueilli son témoignage. Les quatre hommes auraient rapidement sympathisé autour d’un dîner improvisé constitué de produits de la marque américaine McDonald’s, et de quelques joints de cannabis pour la digestion.
Le dénommé « Tom », interrogé par L’Obs, admet même que Salah Abdeslam « avait l’air d’un mec normal, qui n’a rien à faire. On a commencé à discuter, il était sympa, alors il est resté avec nous. » Le récit de cette petite sauterie, typique des nuits d’errance de la jeunesse des quartiers dits « populaires », a plongé en émoi toute la sphère médiatique. Pour les amateurs de complots, ce serait la preuve qu’on nous ment, que Salah Abdeslam ne serait qu’un leurre.
Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam aurait attendu d’être exfiltré vers la Belgique en mangeant des frites et en fumant des joints de cannabis, après les attentats du Bataclan ? Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam serait passé pour un mec normal parmi des squatteurs quotidien de cages d’immeuble ? Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam aurait trouvé refuge dans son milieu naturel, une zone de non-France connue pour être un bastion de l’économie parallèle générée par le trafic de drogue ? Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam n’aurait montré aucune émotion en regardant, sur un téléphone mobile, les images des attentats ? Impossible, vous n’y pensez pas.
Pour le journaliste lambda, cela n’est pas possible qu’un meurtrier de masse puisse être une banale racaille, comme on en croise tous les jours en allant faire ses courses ou en empruntant les transports en commun. Ceux qui me lisent régulièrement savent que les terroristes qui ont frappé en France correspondent pourtant très précisément à ce portrait-robot. Ils sont quasiment tous des islamo-racailles issues des quartiers « populaires », déculturées et transformées en véritables États dans l’État.
Ils se ressourcent en l’islam des origines pour se purifier, retrouver ce qu’ils pensent être au plus profond d’eux-mêmes, essentiellement. Ils sont des déracinés qui ne connaissent que l’infraculture la plus crasse et la religion. Ils entendent nous soumettre, conquérir cette terre qu’ils pensent leur revenir de droit. Oui, ils aiment le McDonald’s, le rap, le foot et fumer du shit. Allez faire un tour dans la rue, vous les verrez. Des centaines de milliers de personnes ressemblent à Salah Abdeslam.
Certains ne commettront, fort heureusement, jamais d’actes terroristes. D’autres resteront de simples rieurs, amusés par la terreur que suscitent ces attaques. Parmi eux, quelques-uns, plus convaincus, plus haineux, plus méchants, franchiront le pas de la révolte armée.
Je n’ai rien appris avec cette anecdote. Vous non plus. Espérons que les « sachants » officiels en tireront une leçon : un jour, le lumpenprolétariat immigré fera plus que nous mener une guerre de basse intensité, il souhaitera en finir totalement avec l’ère coloniale.
Gabriel Robin
06:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Hommage aux deux policiers assassinés devant leur enfant à Magnanville
06:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 19 juin 2016
Encore des attaques contre le site, le compte et la page Facebook de l’abbé Guy Pagès
Voici un communiqué reçu cette nuit (23 h 55) de l’équipe de Islam & Vérité.
Alors que ce lundi [13 juin] le site a subi une grave attaque informatique qui l’a complétement détruit et fait disparaître des radars pendant quelques heures seulement, et ce grâce au système de récupération des données que nous avons mis en place suite aux précédentes attaques, voilà qu’aujourd’hui [18 juin] c’est au tour de la page Facebook du site et du compte Facebook de l’abbé Pagès d’être bloqués pour un mois… Nous remercions nos amis de leur soutien et de leurs prières.
Si vous voulez assurer l’abbé Guy Pagès de votre sympathie et/ou de vos prières, faites-lui un petit courriel, adressez-le moi ici et je m’empresserai de lui faire suivre…
07:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mireille Vallette : « L’islam est une religion de conquête que personne ne semble vouloir arrêter »
Le Point posait récemment la question : « Mosquée de Genève, nid de djihadistes ? » Y répondriez-vous positivement ?
Non, mais je peux me tromper. C’est une mosquée construite et financée par l’Arabie saoudite via la Ligue islamique mondiale. Elle propage donc — comme celle des Frères musulmans, d’ailleurs — un islam littéraliste. Et c’est cet islam qui peut être le terreau du djihadisme.
Pourquoi en parle-t-on ?
Après des révélations fracassantes, il y a neuf mois, sur le radicalisme de cette mosquée et le départ en Syrie de deux fidèles, une délégation de la Ligue islamique mondiale conduite par son secrétaire général Al-Turki vient de passer quelques jours au bord du Léman. Le but, suggèrent les médias, était de « faire de l’ordre ». Ce qui est cocasse, c’est que Al-Turki est lui-même le président du conseil de fondation de cette mosquée dans laquelle il vient « mettre de l’ordre » ! Et c’est un adorateur du régime saoudien qu’il cite en modèle.
Deux imams de cette mosquée sont français et fichés S en France… Avez-vous l’impression que les renseignements suisses ou français font suffisamment attention à ce qui s’y passe ?
Non. Cette mosquée a été inaugurée en 1978 par le roi Fahd avec le gratin suisse et local et, depuis, elle vit sa vie sans que personne ne se préoccupe une seconde de savoir ce qui s’y passe. Pourtant, ce n’est pas — et de loin — la première fois qu’elle attire l’attention par son obscurantisme et sa gestion nébuleuse. La communication est très opaque. Jusqu’à nouvel avis, les deux imams, tout fichés qu’ils sont, y officient toujours.
En France, Alain Juppé a affirmé qu’il fallait relire l’islam pour l’adapter et l’intégrer à la République… Vous adhérez ?
Relire, très bien, mais qui va relire ? Lui ? Je ne cesse de dire que ce qui nous empêchera toujours de faire confiance aux musulmans (je parle des pratiquants et des autorités religieuses, les autres ne servent à rien dans ce débat), c’est le refus obstiné, absolu de débattre de leurs textes. Tant qu’ils ne se décideront pas à reconnaître, par exemple, la violence ou la misogynie qu’ils contiennent, ils sont et doivent être suspects et même combattus. Les déclarations à la Juppé sont du bouillon pour les morts.
Ils sont aussi piégés par le statut du Coran censé avoir été dicté par Dieu — alors que de multiples recherches historiques montrent comment il a été « fabriqué ». Comment voulez-vous que ces musulmans imputent à Dieu des erreurs, des injonctions inhumaines ou une violence condamnable ? Et même la nécessité de placer les mots de « l’Omniscient », lorsqu’ils sont trop choquants, dans un contexte ? « L’Omniscient » ne savait donc pas que le contexte allait évoluer ?
Mais personne n’exigera d’eux qu’ils nous disent ce qu’ils enseignent. Les journalistes ne posent pas de questions pointues, et ceux qui ont lu le Coran doivent se compter sur les doigts d’une main. Les médias relaient de beaux discours sur la tolérance, l’amour et la paix. Et l’on s’empresse d’affirmer que les atrocités, les persécutions des minorités, l’asservissement des femmes, ce n’est pas l’islam, sans en avoir la moindre idée.
Qu’attendez-vous des hommes politiques suisses et, plus largement, européens sur cette question ?
J’attends qu’ils se fondent sur nos valeurs afin d’exiger des comportements qui leur soient fidèles, qu’ils cessent d’accepter des revendications bigotes et obscurantistes. J’attends qu’ils surveillent ces mosquées, leurs sites et leurs prêches parce que rien de cela n’est fait ; c’est même légalement interdit. Au-delà de la question des djihadistes, il y a aussi un discours de haine de ce que nous sommes qui est régulièrement tenu dans les mosquées.
Actuellement, la confusion est totale sur l’islam et ses revendications. À Lucerne, un établissement scolaire a ouvert des salles de prière pour ses élèves musulmans. L’émotion a été faible. Notre « Cour suprême » a récemment admis le port du voile à l’école, presque tous les médias s’en sont félicités. Une émission nous avait présenté quatre imams qui occupent des fonctions importantes en Suisse. Sur les quatre, un seul (par ailleurs salafiste qui avait toujours refusé de la condamner) avait accepté de condamner la lapidation. Aucun ne rejetait la polygamie. Cette émission n’a fait aucune vague, contrairement au refus de deux adolescents de serrer la main de leur enseignante, qui a récemment créé un tollé.
Et je ne parle pas d’un élu Vert de Montreux, porte-parole d’une mosquée, qui avait refusé de serrer la main à une journaliste. Le groupe « égalité » des Verts, interrogé sur ce point, n’avait rien trouvé de gênant, puisqu’il était dans sa mosquée…
L’islam est une religion de conquête que personne ne semble vouloir arrêter. La Suisse n’est pas dans la situation effrayante de la France, mais elle marche lentement et sûrement dans la même direction.
Entretien réalisé par Charlotte d’Ornellas
07:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
06:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bistro Libertés : Martial Bild reçoit Gabrielle Cluzel
Martial Bild et les sociétaires de Bistro Libertés recevront Gabrielle Cluzel, écrivain et journaliste pour Boulevard Voltaire. Ils débattront des attentats terroristes aux Etats-Unis et en France, de l’identité nationale comme possible marqueur de la primaire à droite, du hooliganisme et des derniers soubresauts du féminisme.
06:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lettre à un petit orphelin de Magnanville : parce qu’il y en aura d’autres…
Tu es à l’âge où l’on ne réalise pas. C’est mieux comme ça.
L’âge où les images s’estompent de la mémoire mais laissent des gouffres émotionnels et des carences affectives sans fin.
Tes parents ont été assassinés chez eux et ce n’est pas un fait divers. C’est le résultat de notre soumission. Pardon.
L’addition est pour toi. L’incurie de 40 ans de politique migratoire, 40 ans d’inconscience collective, de soumission de la France en repentance d’État.
Et aujourd’hui encore, nos politiques ne veulent pas mettre de mots sur ce qui a dévasté ta vie. Tes parents ont été assassinés, parce qu’ils représentaient l’État français, par un islamiste radical qui n’a respecté ni l’uniforme de ton père, ni le sanctuaire de ta maison, ni la femme qu’était ta mère.
Dégueulant sa haine sur ce qui fonde notre nation.
Larossi Abballa est né en France, il a grandi dans des banlieues subventionnées à coups de millions, il est le transfuge d’une intégration rêvée par nos dirigeants pour répondre à une immigration de masse voulue.
Et comme ces Français du sol n’ont plus de sang français, notre ministre de l’Éducation nationale, à la double nationalité franco-marocaine, a décidé d’intégrer l’apprentissage de l’arabe, langue du Coran, dès l’âge de 6 ans. Séance d’hypnose collective.
Nous sommes en état d’urgence, mais dans le discours officiel prononcé dans nos commissariats le 15 juin, jamais les mots « islam radical » n’ont été prononcés.
C’est l’arlésienne des cérémonies d’hommage qui s’enchaînent depuis des mois. Flouter la réalité comme remède contre l’amalgame.
Petites bougies, « Let It Be », chrysanthèmes mais pas d’écho aux « allah Akbar » qui tuent à l’arme blanche les mécréants, rappelant à d’autres plus conscients les méthodes employées lors des « événements » (!) d’Algérie.
Nos politiques ne nomment pas le coupable, ils le protègent donc par omission. Et s’en font les complices. Pardon.
Tu apprendras plus tard que le bourreau de tes parents était connu de la justice et fiché S depuis 2011.
Condamné pour participation à une filière d’acheminent de djihadistes, il a profité de son (court) séjour en prison pour y faire l’apologie du djihadisme. Les services de probation ont pointé « un discours lisse vis-à-vis des faits et une pratique assidue de la religion. »
Sa voisine de palier, interrogée par un média complaisant, le qualifie de « normal » : « Normal : il disait bonjour à mes fils et à mon mari, pas à moi, mais normal. »
Voilà, cher petit Mathieu, ce qu’est aujourd’hui une France normale.
L’assassin de ton père et de ta mère était pressé de nettoyer du kouffar. On dirait du black M.
Anne-Sophie Désir
06:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Orlando, Magnanville : après le tragique de répétition, la vérité nue, enfin ?
Les choses avancent. Les yeux s’ouvrent. Les autruches relèvent la tête, attentat islamiste après attentat islamiste.
Les diversions grossières, les écrans de fumée ne tiennent plus que quelques heures avant que la vérité, l’âpre vérité, ne s’installe, simple, froide, impitoyable, dans l’esprit des peuples occidentaux : il y a bien une guerre mondiale menée par l’islamisme contre toutes les valeurs des sociétés occidentales, contre chacun d’entre nous.
Le « tragique de répétition » dont parlait Alain Finkielkraut pour cette montée inexorable de la terreur islamiste s’accompagne malheureusement d’un comique de répétition dans les réactions.
Des présidents qui ne nomment pas le mal ni l’ennemi : ce fut le cas de MM. Hollande et Valls jusqu’en janvier et novembre 2015. Ce fut le cas du président Obama qui disait à son peuple, quelques heures après la tuerie, ne pas savoir s’il y avait des liens entre l’acte de Omar Mateen et l’État islamique. Il n’avait pas fini de parler que l’État islamique revendiquait l’attentat, et le FBI révélait qu’il avait « suivi » cet individu. Tristement comique, M. Obama. Et discrédité.
On pourrait encore citer la nouvelle bourde des tweets de M. Hollande qui, face à l’horreur islamiste, s’empêtre dans la question d’une homosexualité innée ou pas… Tragi-comique, et hors sujet. Discrédité, lui aussi. Une fois de plus.
Dans ce triste comique de répétition, il y a toute la communication larmoyante et compassionnelle, les « Je suis Charlie« , les « I Love Orlando », les bougies. Il y a aussi les « fausses routes » (Valérie Toranian) que l’idéologie des autruches tente d’imposer pour faire diversion. Insistance sur le statut de certaines victimes (les homos, les Charlie et leur liberté d’expression) aux dépens d’autres (les chrétiens, les juifs, les policiers, nettement moins « porteurs » en termes d’émotion médiatique façon « tour Eiffel illuminée »).
Insistance sur le cas particulier des terroristes : jeune de banlieue, petit délinquant ici, bipolaire là-bas.
Tout est fait pour éviter de voir le mal et ses racines, dans les médias et au sommet du pouvoir.
Mais dans le peuple, dans toutes les classes de la société, la vérité avance et, désormais, elle se dit, ici et ailleurs.
Après tous ces mensonges et tous ces artifices, le roi est nu. Ou plutôt les rois sont nus.
Il y a d’abord le visage hideux de l’islamisme, de ses méthodes, de son idéologie, de ses relais multiples au sein du monde musulman, et aussi des complaisances anciennes et actuelles de nos sociétés, de nos gouvernants.
Et il y a aussi le visage pitoyable de nos gouvernants, coupables de n’avoir rien prévu avant, coupable de ne pas nous avoir protégés, ni même prévenus, mis en garde, coupables d’avoir ménagé la bête, coupables de ne toujours pas prendre les mesures fortes qui s’imposent, même quand ils sont face à l’horreur.
Il en fut de même face au nazisme et au communisme. La vérité sur le mal fut longue à émerger, tant les partisans de l’entente avec eux dans nos sociétés étaient nombreux. Si nombreux, aussi, les gouvernants complices, collaborateurs ou complaisants avec le mal.
Avant que, sous la pression des faits – la guerre menée par ces idéologies de terreur – et des peuples, ces gouvernants incapables et coupables soient balayés.
Roosevelt, Churchill, de Gaulle furent d’abord des éclaireurs, incompris, sur la vérité du mal, avant que leurs peuples ne leur permettent, certes tardivement, d’être les acteurs du bien.
Face à l’islamisme, nous en sommes encore à la première phase. Et les éclaireurs de vérité sont encore loin du pouvoir.
Pascal Célérier
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Nuit debout Toulouse rompt le jeûne du ramadan par un « couscoussoulet »
Nuit debout n’est pas un mouvement suspect d’une religiosité extrême. C’est même un euphémisme. Mercredi 8 juin dernier, des militants violents de Nuit debout ont chassé les Veilleurs qui souhaitaient se réunir place de la République à Paris au motif, notamment, que ces derniers se revendiquent pour la plupart comme étant de confession catholique, ou au moins animés d’une foi chrétienne.
Ce soir-là, plusieurs personnes avaient été blessées par ces militants, renforcés par la présence des casseurs professionnels appelés « antifas ». Parmi les victimes de ces milices gauchistes, un jeune journaliste de TV Libertés, quelques jeunes femmes ou bien encore Joseph Thouvenel, vice-président de la CFTC. Le syndicaliste a témoigné dans Le Figaro : « Le problème, c’est que ces gens fassent régner la terreur en toute impunité dans la capitale. Ces pratiques relèvent d’un véritable totalitarisme rouge. Et place de la République, on est en train de recréer une cour des Miracles, c’est-à-dire une zone de non-droit en plein Paris. »
Pour les sympathisants de Nuit debout, la tentation de la violence est grande. On peut même soupçonner que se soit créée, au sein du mouvement donné à voir aux médias, une minorité dominante inspirée par les méthodes d’Action directe et les théories insurrectionnelles formulées par les anarchistes autonomes. Mediapart le cache à peine, relayant régulièrement les appels de Julien Coupat, des antifas et des « interdits » de manifestations.
Chose intéressante, ce même Julien Coupat est aussi l’auteur, avec le Comité Invisible, de deux ouvrages importants de la pensée anarcho-autonome des dernières années : L’insurrection qui vient et À nos amis. Dans L’insurrection qui vient, le Collectif Invisible fantasme sur la jeunesse immigrée du pays, louant les émeutes de 2005. Les auteurs espèrent une convergence des luttes pour détruire le « système ». Au même titre que le Parti des indigènes de la République, l’essentialisme en moins, le Comité Invisible n’est pas loin de penser que les luttes consécutives à la décolonisation ne se sont pas encore achevées.
Dans ce contexte, il n’est guère surprenant que la haine antireligieuse de Nuit debout ne soit dirigée qu’à l’encontre de l’Église catholique, vue comme une survivance paternaliste, rétrograde et conservatrice. A contrario, l’islam est vu comme la religion des damnés de la Terre, des éternelles victimes de l’homme occidental, à la manière de ce que pensait le boxeur Cassius Clay, devenu Mohamed Ali (surnom du terroriste Abballa sur Facebook, soit dit en passant).
Nuit debout Toulouse a, d’ailleurs, rompu le jeûne du ramadan, le jeudi 16 juin 2016, en investissant le quartier Arnaud-Bernard, connu pour sa forte communauté musulmane et ses rixes entre trafiquants de drogue. Point de cassoulet toulousain pour les participants toulousains de la Nuit debout, mais un couscous. Ou, pour rester dans l’air du temps multiculturel, un « couscoussoulet ». Sous les discours de Nuit debout, les vieux classiques gauchistes sont à peine recyclés : haine de la France, négation de notre identité, amour immodéré de l’« autre » et, in fine, dhimmitude. Un discours porteur à Toulouse, rose à l’extérieur et rouge à l’intérieur.
Gabriel Robin
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Terrorisme : Manuel Valls nous invite au suicide collectif
À propos de l’assassinat du couple de policiers, au micro de France Inter, Manuel Valls affirme d’une voix grave adaptée à la situation qui est grave : « D’autres innocents vont perdre leur vie. »
Une déclaration qui donne du baume au cœur. Quel battant ! Quel gagneur ! Une telle intuition des drames à venir épate l’auditeur. Peut-être connaît-il l’adresse du prochain attentat ? La date ? L’heure ? Les noms et numéros de téléphone des terroristes ? Il a l’air de savoir. Et puis quels innocents ? Moi ? Ma sœur ? Mon collègue de bureau ? Allez, dites-le-nous. Nous sommes pendus à vos lèvres. « D’autres innocents vont perdre leur vie » est une phrase de djihadiste. Un avertissement qui pourrait être proféré d’Irak par les instances de Daech. Dans la bouche d’un décideur censé mettre un terme aux attaques terroristes, c’est de l’art moderne.
Certains, légèrement plus combatifs, auraient déclaré : « Nous allons tout mettre en œuvre pour que d’autres innocents ne perdent pas la vie. » Pas lui. Manuel le perdant avoue son renoncement. En filigrane, le message est clair : « Nous sommes en guerre et nous allons la perdre. » La défaite est en lui. Et puis il affine sa prédiction grâce au marc de café mis à sa disposition par la rédaction de France Inter : c’est très difficile à dire et on peut m’accuser de rendre la société encore plus anxiogène, mais malheureusement, c’est la réalité, c’est l’affaire d’une génération. En gros, il suffit d’attendre que ça passe. Et il sait combien de temps ça va durer : un risque auquel la France devra faire face pendant au moins 10 ou 20 ans. D’accord. Pour échapper à cette menace, il suffit simplement de partir très loin – au Bhoutan ou sur l’île de Pâques – puis de revenir d’ici 10 ou 20 ans.
Manuel Valls est le Léo Ferré de la politique : « Avec le temps, va, tout s’en va… » Quelques notes de piano pour accompagner ses déclarations seraient les bienvenues… L’absence de musique est le drame de Manuel Valls. Les Français comprendraient mieux. Les Français aiment la poésie. Allez, Manuel, chante ! « Avec le temps, avec le temps, va, tout s’en va… La guerre, les attentats… Le cœur, quand ça bat plus, c’est pas la peine d’aller chercher plus loin, faut laisser faire et c’est très bien. » Les paroles de cette chanson ont été écrites pour lui. Son potentiel pour gagner les primaires de « The Voice » est évident. Un tel talent ne doit pas rester inexploité plus longtemps.
Rien ne viendra perturber l’idéologie des tâcherons de ce « vivre ensemble » niaiseux tout droit sorti des livres de coloriage pour classe de maternelle. Aucun mort, aucun carnage, aucun chaos. Au travers de ces propos pointe un jusqu’auboutisme effrayant. À ce stade, ce n’est plus un gouvernement, c’est une secte ! « Le temps solaire » les habite. L’invitation au suicide est palpable. A l’écoute de ces paroles insensées, l’auditeur de France Inter continue à préparer son café. Puis il part rejoindre son bureau en sifflotant… Après tout, 10 ou 20 ans c’est vite passé… Ne prend pas la pleine mesure de ce qu’il vient d’entendre. Il est déjà mort.
Jany Leroy
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Angoisse : demain, Astérix sera-t-il toujours français ?
Mort aux clichés du journalisme ! « Il faut que tout change pour que rien ne change », phrase tirée du Guépard de Luchino Visconti, en est un. Mais ce cliché, certes usé jusqu’à la corde, peut encore se révéler pertinent. La preuve par Astérix.
Car Astérix n’est pas seulement le premier satellite français envoyé dans l’espace, en 1965, à l’époque du gaullo-communisme triomphant, mais également une bande dessinée qui, forte de 107 versions différentes, demeure celle ayant été la plus traduite au monde. Astérix, c’est donc l’irréductible petit Gaulois que l’on sait. C’est même une certaine vision de la France, pourrait-on ajouter.
Mais Astérix est-il si français que ça ? Au pinceau, Albert Uderzo, un enfant d’immigrés italiens. Dans les bulles, un juif polonais, René Goscinny, petit-fils de rabbin. Mais attention, pas n’importe quel juif, Goscinny ayant politiquement toujours été plus Zemmour que Minc. Trois de ses oncles sont morts en déportation. Sa famille, même si réfugiée en Argentine, le laisse rejoindre la France, là où il veut faire son devoir de patriote. En 1946, c’est un peu tard. Il n’empêche qu’il sert sous les ordres du maréchal de Lattre de Tassigny, illustrant le journal du 14 1e bataillon d’infanterie alpine. Ses « petits Mickeys », tel qu’on disait alors, font beaucoup rire le maréchal en question, qui le propulse tôt sergent. Pour le reste, René Goscinny apprend le métier à New York, avec Harvey Kurtzman, légendaire fondateur du mythique mensuel Mad, lointain ancêtre de notre Pilote national.
Et l’actualité immédiate ? Celle de sa fille Anne Goscinny qui, veillant d’une main de fer sur l’œuvre de son père, entend remettre les adaptations cinématographique de cette dernière au goût du jour. Ainsi, « Astérix doit plonger dans le XXIe siècle et plaire de la Pagode à Rosny-sous-Bois. Le dernier film (Au service de Sa Majesté) était trop cérébral. Il n’a pas traversé le périphérique. » En ligne de mire, le Mission Cléopâtre d’Alain Chabat, qu’Anne Goscinny cautionne à 200 %, tenant même le dernier représentant de « l’esprit Canal+ » pour « héritier naturel » de son défunt père.
Alors, Astérix en sweat à capuche ? Obélix en rappeur, façon Notorious Big ? Panoramix en dealer de potion magique ? Et Assurancetourix en Christophe Maé ? L’équation s’annonce des plus velues à résoudre.
De son temps, René Goscinny avait toujours su coller au sien : blagues sur les Beatles, clins d’œil appuyés aux célébrités de l’époque : Eddy Merckx, Guy Lux, Lino Ventura, Bernard Blier, Jacques Chirac et autres Pierre Tchernia. Est-il encore possible de perpétuer cet humour référencé ? Nul doute que l’affaire fera débat, mais pourquoi pas ? La blonde Lepénix contre le vilain Attalix ? Le gentil petit Debbouzix contre le grand méchant Dieudonnus ? Et, juste histoire de coller à l’histoire du siècle dernier : l’affreux Mitterrandus dans le rôle du maréchal Francix…
Il n’y a décidément qu’en France que l’on perd – de manière délicieuse, il va de soi – un temps paraît-il précieux. Irréductibles Gaulois que nous sommes…
Nicolas Gauthier
06:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Musulmans de France, il est temps de montrer quel camp vous avez choisi !
Chers compatriotes, pourquoi un tel silence médiatique de la part de votre communauté, pourtant première concernée par les événements dramatiques qui frappent la France ? Il est certain que les Français non musulmans méconnaissent les différents courants et les antagonismes qui traversent votre religion. Wahabbisme, salafisme, soufisme sont des catégories bien exotiques pour celui qui, élevé au roman républicain, ne sait déjà plus différencier un protestant d’un catholique. On ne saurait les en blâmer.
S’il existe différents courants au sein de l’islam, c’est au nom d’un certain islam que les « déséquilibrés » nous attaquent. Mais, s’il ne s’agit pas de l’islam véritable, de quel islam s’agit-il ? Et, plus précisément, par quels peuples est-il porté, par quelles nations ? Par quels régimes est-il soutenu ? Toutes ces informations font défaut et vous conviendrez qu’une clarification s’impose. Aussi, je vous demande : qui d’autres que vous, musulmans de France, pourraient fournir cette clarification ?
Vos instances représentatives principales, UOIF et CFCM, ont chacune dénoncé dans un communiqué les derniers crimes commis au nom de l’islam. Mais ce qu’elles ont dénoncé, ce n’est pas l’islamisme, ni le djihadisme, c’est le terrorisme, sans même qu’il soit qualifié d’islamiste. Aussi, en ne dénonçant que le terrorisme, qui n’est qu’un moyen d’action, le CFCM et l’UOIF semblent dénoncer la forme de l’action sans en condamner le fond, à savoir le djihad par les armes.
Voici donc la question lancinante qui vient m’agacer lorsqu’on débat sur les méthodes à employer pour lutter efficacement contre les attaques terroristes islamistes. Comment se fait-il que les représentants de la religion la première mise en cause ne soient pas plus impliqués dans la lutte ? Comment se fait-il que, dans le débat public, personne ne leur demande de clarifier leurs positions ? Et de condamner fermement et ouvertement le djihadisme ? Comment se fait-il que si peu d’espace médiatique soit accordé au dialogue et à la recherche d’une méthode de lutte concertée ?
Amis et compatriotes musulmans, votre silence médiatique n’est ni complice, ni coupable, mais il vous rend ambigus. Or, il est grand temps de lever toute ambiguïté car nous l’avons dit : les Français méconnaissent l’islam et leur patience est à bout. Amis musulmans de France qui n’aspirez qu’à vivre en paix dans la concorde civile, vous devrez toujours vous justifier des crimes commis en votre nom ! Et vous devrez toujours vous en désolidariser ! Car il vous revient d’expliquer à vos compatriotes qu’il existe un islam républicain. Il vous revient de prouver aux Français que l’islam n’est pas cette idéologie totalitaire à laquelle les pseudo-soldats de l’État islamique se raccrochent.
Musulmans de France, il est temps de vous manifester dans les médias ! Car votre silence médiatique est équivoque. La colère gronde. Il est temps de montrer quel camp vous avez choisi !
François Millet
05:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 18 juin 2016
Mali : la missionnaire suisse enlevée en janvier serait toujours vivante
Je n’avais aucune information sur cette missionnaire suisse enlevée à Tombouctou (Mali) le 7 janvier dernier depuis le 28 du même mois . Le quotidien suisse Le Temps signale aujourd’hui une nouvelle vidéo la mettant en scène mais, et j’ai beaucoup de peine à le dire, cette vidéo ne « prouve » pas que la Béatrice Stockly est toujours en vie, mais qu’elle l’était le 17 mai dernier, c’est-à-dire voici un mois ! Dans cette nouvelle vidéo elle dit, en français, que la vidéo a été tournée le 17 mai et précise qu’elle est aux mains d’AQMI depuis 130 jours (entre le 7 janvier et le 18 mai, nous comptons 132 jours auxquels il faut soustraire celui de son enlèvement et celui du tournage, ce qui nous donne bien 130 jours). Les exigences d’AQMI sont tellement excessives pour libérer cette missionnaire – libération de tous les combattants islamistes d’AQMI détenus au Mali et celle de l’un de ses dirigeants en prison à La Haye dans l’attente d’être jugé par la Cour pénale internationale – qu’on ne peut que rester très circonspect sur les chances de sa libération… Prions donc à ses intentions.
Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) a diffusé jeudi [16 juin] une vidéo, prouvant que la missionnaire suisse détenue est en vie, selon le centre américain de surveillance de sites djihadistes SITE. La vidéo diffusée sur Twitter date de mai. Sur les images de deux minutes et 50 secondes, on voit une femme voilée, de type occidental, les yeux clairs et le visage marqué. S’exprimant en français, d’une voix à peine perceptible, elle déclare qu’elle s’appelle Béatrice Stockly. Face à la caméra ou filmée de profil, elle donne la date du mardi 17 mai 2016, précise qu’elle est aux mains d’AQMI depuis 130 jours, avant de remercier sa famille et le gouvernement suisse pour leurs efforts afin de tenter de la faire libérer. La Bâloise précise qu’elle est en bonne santé, mais qu’elle supporte très difficilement la chaleur. AQMI avait revendiqué fin janvier dans une première vidéo l’enlèvement le 7 janvier de cette Suissesse dans le nord-ouest du Mali et avait réclamé pour la relâcher l’élargissement de détenus djihadistes. La Suisse a exigé sa libération « sans conditions ». Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a mis sur pied un groupe de travail qui œuvre de concert dans ce dossier avec l’Office fédéral de la police (Fedpol). La missionnaire, une quadragénaire, protestante convaincue qui ne faisait pas mystère de sa volonté évangélisatrice, avait déjà été retenue en otage en 2012, lorsque la ville de Tombouctou était contrôlée par des groupes djihadistes […]
Source : Le Temps, 17 juin (merci J. F. R. pour ce signalement)
07:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un déséquilibré qui voulait "tuer des mécréants" arrêté à Carcassonne
Selon nos informations, un homme de 22 ans a été arrêté lundi soir à la gare de Carcassonne. Armé d’un marteau et d’un opinel, il avait pour projet de partir en Syrie ou de « tuer des mécréants ». Chez lui, la police a retrouvé un pistolet à air comprimé.
Des problèmes psychiatriques
Appréhendé par la DGSI, il a été placé en garde à vue à Toulouse avant d’être transféré mercredi à Levallois-Perret. Souffrant de problèmes psychiatriques, un médecin a jugé son état compatible avec le régime de la garde à vue. Il pourrait être déféré devant un juge.
Selon l’AFP, le suspect « s’était rendu à Carcassonne en vue de commettre une action violente, visant plus particulièrement des Américains et des Russes », selon une source judiciaire. Une source proche de l’enquête a pour sa part évoqué un projet d’attaque visant des touristes.
07:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
Donald Trump qualifie la politique d'immigration allemande de "catastrophe"
Le candidat républicain à la présidence américaine Donald Trump a intensifié ses critiques sur la crise des réfugiés en Europe et qualifié la gestion allemande de "catastrophe". Lors d'un meeting électoral à Atlanta mercredi, Donald Trump a assuré que les Allemands auraient préféré une zone sécurisée en Syrie plutôt qu'autoriser les réfugiés à venir massivement dans le pays.
"C'était une horrible erreur. C'était une terrible erreur", a affirmé Donald Trump. Il a encore déclaré que les Allemands quittaient leur pays en raison de la criminalité en hausse, en allusion aux harcèlements sexuels commis par des réfugiés à Cologne la nuit du Nouvel An et qui avaient capté l'attention des médias internationaux.
Il a mis en doute la performance de la chancelière allemande Angela Merkel lors des prochaines élections.
Donald Trump a enfin clamé à nouveau son opposition à l'entrée de réfugiés aux Etats-Unis et réitéré ses appels cette semaine pour une interdiction de l'immigration musulmane dans un contexte de menace terroriste.
Donald Trump a également visé la Belgique, à laquelle il a fait référence comme "une ville magnifique et un endroit incroyable", affirmant qu'il avait eu "raison" au sujet de la situation dans le pays avant les attaques terroristes l'an passé.
07:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
À force d’esquiver les faits et la réalité…
Un policier des Mureaux et sa femme sont assassinés à l’arme blanche, aux cris de « Allah akbar ». C’est ce que j’ai appelé du terrorisme de proximité, basé sur la possibilité, pour un kamikaze, de jaillir d’une foule dans laquelle il se fond. Du terrorisme de proximité à double titre, car l’assaillant connaissait probablement ses victimes, pour avoir eu affaire à la police.
Mais la proximité n’exclut pas l’affiliation. Les attaques au couteau se sont dernièrement multipliées en Israël comme en Allemagne, pays où Daech a explicitement conseillé ce modus operandi (faute de disposer de conglomérats pouvant servir de bases arrière à des opérations plus élaborées).
En Israël, il y eut six attaques au couteau en six jours en octobre 2015. Depuis, le procédé a fait école. Citons, par exemple, pour 2016, un soldat tué et un civil blessé en février, un mort et douze blessés en mars, un soldat et un civil blessés en mai.
En Allemagne, en septembre 2015, un assaillant tente de poignarder une policière. En février 2016, une adolescente de 15 ans tente de poignarder au cou un policier. En mai 2016, un homme profère le fameux cri en « distribuant des coups de couteau autour de lui ». Non loin de là, en janvier 2015, à Metz, un individu tente d’étrangler un policier à mains nues.
Auparavant, on peut citer l’attaque au couteau d’un militaire français à La Défense, en mai 2013. Mais l’égorgement — puisque c’est de cela qu’il s’agit — n’était guère répandu en France. Sauf le cas spectaculaire de décapitation en Isère, en juin 2015, qui rappelait la décapitation d’un militaire en civil, à la machette, en pleine rue de Londres, en 2013. On constate que les victimes sont quasiment toujours des serviteurs de l’ordre.
Le silence sur l’Allemagne s’explique par la concomitance de ces actes terroristes avec la question dite des réfugiés. Les grands journaux français ont, par exemple, quasiment tous censuré la tentative d’assassinat de l’adolescente de 15 ans. Au milieu d’un silence assourdissant, l’évidence même sera confirmée par des médias marocains et suisses : 360.ma, en mars, puis 24heures.ch, en avril, confirment : « L’ado qui avait poignardé un policier est liée à Daech. »
C’est également en février 2016 que deux adolescentes arabes de 14 ans tentaient de tuer un agent de sécurité israélien dans un centre commercial, avec des couteaux de cuisine dissimulés dans leurs sacs d’écolières. En esquivant des faits, ne contribue-t-on pas à leur répétition ?
Marc Crapez
07:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le temps de la lâche soumission est terminé !
Il a fallu trop longtemps pour que les yeux s’ouvrent sur l’horrible réalité que les politiciens ont voulu cacher au peuple français. Les bons apôtres du « pas d’amalgame » peuvent mesurer aujourd’hui le prix de leur refus de voir les choses en face. C’est désormais trop clair : les fous d’Allah savent s’inspirer du Coran. Que l’on cesse donc de considérer que les franco-djihadistes sont des Français ! Ce sont les produits du droit du sol, régime d’un autre temps, qui fabrique depuis des années des jeunes, nés par hasard sur notre sol et dont un grand nombre cultivent la haine de la France. Ceux-là ont maintenant vingt ans et sont fiers d’être des soldats d’Allah, à défaut d’être des citoyens français.
Le cas de ce pseudo-Français, assassin de deux policiers, capable d’une barbarie animale exceptionnelle, est suffisamment chargé par de multiples contrôles et condamnations pour que sa situation criminelle appelle une législation d’exception. Comme ses monstrueux congénères, il présente toutes les marques du provocateur arrogant, imprégné de haine contre la France. La réaction politique doit être à la mesure de l’outrage commis envers la France et l’humanité.
Il n’est donc plus possible de continuer à faire l’autruche, à faire profil bas et attendre le drame suivant. Le gouvernement ne peut plus se payer le ridicule de défendre l’indéfendable.
Quelques mesures de sauvetage s’imposent sans délai pour enrayer la déflagration de la France menacée à l’intérieur d’elle-même. L’état d’urgence et l’article 16 de la Constitution autorisent les dispositions nécessaires. Les terroristes comme les casseurs, qui ne respectent même pas les hôpitaux, ne craignent ni les menaces ni les hommages commémoratifs. La foudre républicaine doit s’abattre sur la horde bestiale.
En plus de la démission des ministres responsables, les décisions suivantes correspondent à l’appel de la nation en danger :
– Constitution d’un gouvernement provisoire de salut public.
– Dissolution de l’Assemblée nationale pour rétablir une honnête représentation de la nation et permettre les réformes.
– Organisation d’un référendum pour proposer au peuple français les priorités d’une politique conforme à l’intérêt de la patrie.
– Mise en place d’un moratoire de trois ans, avec un contrôle strict aux frontières pour empêcher l’introduction de migrants. Ce délai doit permettre de faire un état des lieux de la population immigrée sur le territoire.
– Suppression du droit du sol afin de ne retenir, pour l’accès à la nationalité française, que la naissance d’enfants issus de parents français, ainsi que la démarche volontaire de naturalisation. Il est urgent d’arrêter le courant continu de pénétration de nationaux contestables et dont le nombre détruit progressivement l’équilibre de la population.
– Appréhender tous les suspects ayant retenu l’attention de la police, notamment signalés par une fiche S, et les assigner à résidence dans des camps d’internement (comme cela avait été fait pour le FLN puis pour l’OAS).
– Application stricte et sans exception de la loi sur la laïcité par l’interdiction immédiate des tenues et attitudes provocatrices dans l’espace public, en publiant les sanctions infligées.
– Mettre l’armée en réserve d’intervention.
– Rappeler aux médias qu’ils sont tenus de respecter la discipline d’information en temps de guerre.
Dans tous les domaines de l’ordre public, force doit rester à la loi. C’est à ce prix que les gouvernants seront jugés : sur leur courage et leur amour de la patrie.
Paul Bernard
07:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ne dites plus « religion d’amour et de paix », mais « qui aime bien châtie bien »
Pour Omar, citoyen américain de 29 ans, biberonné aux valeurs de l’Oncle Sam et des enseignements d’un père groupie des talibans et activiste politique afghan, pour qui le massacre n’a évidemment « rien à voir avec la religion », la fessée, c’est has been.
Muni de son fusil d’assaut AR-15 et d’un pistolet 9 mm, Omar a admonesté, en pleine période pieuse de ramadan, son châtiment, terme cité à 354 reprises par le prophète de tolérance, une létale branlée au soufre, à une centaine de gais lurons faisant la fiesta dans le sulfureux club Pulse à Orlando.
Omar avait, nous dit-on, acheté son arsenal deux semaines auparavant, selon les us et les coutumes locales, en total respect du deuxième amendement de la Constitution des États-Unis, qui garantit pour tout citoyen américain, fût-il amish, mormon ou musulman, le droit de porter des armes. Pour la loi, Omar était clean, n’étant notamment pas un fugitif, un déficient mental reconnu, déséquilibré, immigré illégal, utilisateur dépendant de substances ou ayant fait l’objet d’une condamnation, par les tribunaux, d’une peine de plus d’un an d’emprisonnement.
Immédiatement, la propagande imputait la faute de cette nouvelle tuerie au plus puissant des lobbies pro-armes et aux défenseurs des armes à feu et à la législation leur en permettant l’acquisition chez l’armurier du coin ou en grande surface. Pourtant, en République apaisée, le contrôle strict des ventes d’armes n’a pas empêché les Omar du terroir, mijotés aux valeurs républicaines, de faire impunément leurs emplettes en armes de guerre et d’en faire un usage adéquat selon les préceptes axiomatiques de la religion de vous savez qui.
Et alors que les dépouilles des Homo festivus étaient encore chaudes, chez nous, un commandant de police et sa femme sont assassinés à coups de couteau dans les Yvelines, par un individu déjà condamné pour radicalisation. Et là, paradoxalement, la Fédération des couteliers de France n’est pas en ligne de mire par les mêmes chiens de garde de la désinformation.
À l’instar des armes à feu, faudrait-il donc, en toute logique, interdire la vente de couteaux pour empêcher les attentats à l’arme blanche commis par des musulmans, prévenir les décapitations, prohiber les carrières pour empêcher les lapidations, les voitures pour les voitures-béliers sur les marchés de Noël ? Faut-il interdire l’existence de la gent féminine pour ne pas éveiller les concupiscences et préserver l’« honneur » ? Faut-il mettre fin au pinard, à la musique et à la charcuterie pour ne pas offenser ?
Et si, en fin de compte, le seul fait de ne pas adhérer aux dogmes de l’islam constituait en soi une légitime et divine raison pour que ses adeptes se sentent systématiquement stigmatisés par notre existence même. Faudrait-il donc, en conséquence, interdire le statut de mécréant pour que ceux-ci soient enfin heureux et sereins partout où ils sont accueillis de par le monde ?
Ou faudrait-il tout simplement interdire les passages sanguinaires contenus dans le Coran ? Et, à défaut, imposer, par principe de précaution, un moratoire sur le Coran et les hadiths ?
Tony Abbott, ancien Premier ministre australien, déclarait que l’Occident doit « être prêt à proclamer la supériorité évidente de notre culture sur une culture qui justifie le fait de tuer des gens au nom de Dieu ». Et de rajouter : « On ne peut pas rester dans le déni au sujet du gigantesque problème au sein de l’islam. »
Posons le bon diagnostic, avant que notre pronostic vital ne soit plus que sérieusement engagé.
Pierre Mylestin
07:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Cazeneuve : l’aveu d’impuissance fait froid dans le dos
Au lendemain de l’assassinat des deux policiers à Magnanville, dans les Yvelines, par le terroriste islamiste Larossi Abballa, la réaction officielle du ministre de l’Intérieur a de quoi inquiéter la population.
En effet, Bernard Cazeneuve s’est exprimé lors d’une conférence de presse largement relayée, en affirmant que la menace terroriste était bien réelle – nous l’avions compris –, que les individus impliqués utilisaient des moyens de communication cryptés et qu’il était impossible de savoir à quel moment les individus susceptibles de passer à l’acte allaient le faire.
En résumé, l’homme chargé de la sécurité des Français a fait en direct un aveu d’impuissance, utilisant une fois de plus le vocable de « résilience », ce terme psychiatrique désignant la faculté d’une personne à surmonter son traumatisme et à vivre avec.
Le message est clair : selon notre exécutif, la France doit passer du « vivre ensemble » au « vivre avec » (la menace terroriste).
Cette hypothèse n’est pas acceptable. D’une part, parce qu’elle balaie d’un revers de la main l’idée selon laquelle on peut agir efficacement contre la menace terroriste, d’autre part parce qu’elle induit que d’autres victimes sont à prévoir, inévitablement, fatalement, et que l’opinion doit s’y préparer calmement.
Il convient, ici, de rappeler la réalité des choses. La mort de Jean-Baptiste Salvaing et de sa compagne Jessica Schneider aurait pu et aurait dû être évitée.
En effet, le nommé Larossi Abballa – condamné, rappelons-le, à trois ans d’emprisonnement en 2013 pour avoir organisé une filière djihadiste entre la France et le Pakistan – était on ne peut plus libre de ses mouvements malgré sa dangerosité avérée et la surveillance dont il était censé faire l’objet. Il y a là deux dysfonctionnements gravissimes qu’il convient de dénoncer : sa remise en liberté précoce et son défaut de surveillance.
Par ailleurs, si Bernard Cazeneuve se refuse obstinément à être comptable de ces graves dysfonctionnements, se réfugiant derrière « l’État de droit » pour justifier l’injustifiable, la problématique des milliers d’individus (environ 4.000, d’après nos services de renseignement) fichés « S » devra tôt ou tard se poser en ces termes : quelles dispositions législatives mettre en œuvre pour les empêcher de nuire ? Car ces « bombes à retardement » ne doivent plus jouir d’une quelconque liberté de mouvement dans notre pays si nous voulons sauver des vies… C’est une question de volonté politique et non « d’État de droit », car il n’y a pas plus précieux que les vies humaines, en particulier lorsqu’ils s’agit de civils innocents.
Par ailleurs, il serait judicieux que Bernard Cazeneuve informe la population sur le nombre d’individus qui foulent notre territoire après avoir séjourné sur des théâtres de guerre dans le cadre du « djihad », y compris ceux qui sont partis via la filière organisée pat Larossi Abballa, et qui sont libres de leurs mouvements. L’opinion en serait stupéfaite.
Enfin, pour lutter efficacement contre le terrorisme, il faut le faire avec des actes et non avec des mots. Une autre politique est possible, il convient plus que jamais de ne pas l’oublier.
Sébastien Jallamion
07:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ayrault est ami avec l’Algérie. Que les pieds-noirs aillent se faire voir !
Il m’avait toujours semblé – mais sans doute étais-je bien naïf – que l’objectif premier d’un ministre des Affaires étrangères était la défense des intérêts de la France et des Français devant les décisions abusives d’un pays étranger !
Or, Jean-Marc Ayrault, devenu ministre des Affaires étrangères par protection et solidarité, doit considérer qu’il y a des Français de seconde zone, pas tout à fait français : les anciens rapatriés d’Algérie de 1962, ceux que l’Algérie actuelle nomme les « anciens pieds-noirs », comme s’ils ne l’étaient plus aujourd’hui.
En effet, voici le titre du quotidien El Watan de ce 16 juin 2016 : « L’État français se désolidarise des pieds-noirs. Le gouvernement français refuse de faire de la réclamation “d’anciens pieds-noirs” de ce qu’ils considèrent comme “leurs biens en Algérie” un casus belli avec le gouvernement algérien. »
Dans sa réponse écrite, adressée au député de droite Élie Aboud (publiée mardi au JO de la République française), Jean-Marc Ayrault estime que l’Algérie et la France ont engagé un dialogue approfondi depuis 2012 et qu’il existe aujourd’hui un esprit d’amitié et d’apaisement que le gouvernement français est attaché à préserver dans sa relation avec l’Algérie.
Il suggère, à ces ressortissants français (les anciens pieds-noirs) « de s’adresser directement aux autorités algériennes pour obtenir d’éventuelles réparations ».
« D’anciens pieds-noirs », donc, ont osé espérer récupérer une partie de leurs biens laissés en Algérie après l’indépendance. Ne savent-ils pas, ces trublions, que les autorités algériennes considèrent ces biens comme autant de biens vacants. Tout dernièrement, le directeur général du Domaine, Mohamed Himour, a indiqué que 250.000 biens vacants, appartenant aux « anciens pieds-noirs », avaient été recensés et qu’ils étaient devenus propriété de l’État algérien. Et que le domaine de l’État ne permet pas aux ressortissants étrangers de posséder des biens immobiliers en Algérie.
Dois-je rappeler à notre ministre des Affaires étrangères, défenseur de nos droits, qu’il était stipulé, dans les fameux « accords d’Évian », « que les droits des Français d’Algérie seraient respectés et qu’aucune mesure de dépossession ne serait prise à leur encontre sans l’action d’une indemnité équitable préalablement fixée » ». Et que ces accords ont été ratifiés par 90,7 % des votants français.
Que Jean-Marc Ayrault se rassure : les « anciens pieds-noirs » n’ont plus rien à espérer d’un gouvernement algérien, quel qu’il soit, mais encore moins à attendre d’être représentés et défendus par le ministre des Affaires étrangères d’un gouvernement français, quel qu’il soit !
Manuel Gomez
06:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
À victime, victime et dhimmi
Une étudiante en hypokhâgne de Toulon a été prise à partie dans un bus par une bande de voyoutes reprochant violemment, à coups de crachats, lazzis et bousculades menaçantes, la tenue vestimentaire de cette dernière, jugée « irrespectueuse ».
À Rennes, une lycéenne de 19 ans a été grièvement blessée de trois coups de couteau par un mahométan ayant déclaré obéir à des voix lui enjoignant des meurtres propitiatoires pour le ramadan.
Le 6 juin dernier, à Nice, Ali E., un Tunisien de 32 ans en situation irrégulière, avait frappé une serveuse de bar accusée de servir de l’alcool pendant le ramadan. Il a été condamné, le 15 juin, par le tribunal correctionnel à huit mois d’emprisonnement ferme.
Trois faits divers qui en disent long sur l’état de décrépitude morale, intellectuelle et politique de notre pays livré à des incompétents par un peuple inconscient du mal qu’il se fait en les reconduisant, d’un mandat à l’autre.
La jeune Varoise a décidé de porter son affaire sur les réseaux sociaux sous le très recherché intitulé-manifeste « Bonjour, je suis une salope ». Sur sa page Facebook, elle narre sa triste mésaventure et, surtout, relate la façon dont elle s’est piètrement défendue contre ses agresseurs qui « n’ont visiblement pas apprécié tous les arguments que j’ai sorti (sic) en faveur de l’égalité homme-femme et de la liberté de disposer de son propre corps ». Propos consternants de naïveté, face à des harpies brandissant manifestement l’islam en étendard, en dépit des silences complaisants de la presse « mainstream » refusant de dévoiler leur identité (silence très éloquent, donc).
Notre candide, parfait surgeon de l’école républicaine, laïque et antiraciste, a bêtement récité son catéchisme féministe sans se rendre compte de la désarmante innocuité de sa mièvre rhétorique. « Maintenant, j’ai la très agréable impression d’avoir fait un bond de quelques siècles en arrière […] Nous sommes en 2016 et, malgré ce qu’en disent certains, le combat féministe est bien loin du compte. » Corrigeons. Ici, la naïveté cède le pas à d’autres substantifs que la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse ne nous autorise guère à employer. Nous nous bornerons à recommander à cette impétrante de la rue d’Ulm la lecture, entre autres, de La femme au temps des cathédrales de Régine Pernoud et du coruscant Adieu Simone ! Les dernières heures du féminisme de notre consœur Gabrielle Cluzel.
Quant à notre victime bretonne, il n’est pas sûr que justice lui soit rendue, son assaillant ayant, aux dires du procureur de la République, des « antécédents psychiatriques lourds » et ayant déjà effectué « plusieurs séjours en hôpital psychiatrique ». La cause est, dès lors, entendue car, en vertu de l’article 122-1 du Code pénal, « n’est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes ». Ce sera donc à la victime de se soigner en avalant ses pilules de PADAMALGAM 500 mg.
Enfin, que dire de notre Tunisien frappeur que le ramadan avait, lui aussi, inspiré, l’amenant à commettre son forfait ? Il ira croupir dans les geôles de Draguignan, aux frais de l’État, sera relâché et ira, derechef, gambader librement et illégalement sur notre sol.
Trois faits divers, parmi des dizaines quotidiens. Dans un climat de permissivité à peu près générale, au nom d’un Code civil religieux d’importation, on s’en prend à nos indigènes, lesquels, ayant tellement biberonné au lait aigre des « valeurs de la République », sont devenus les proies consentantes de prédateurs élevés au rang d’espèces protégées. À victime, victime et dhimmi.
Aristide Leucate
06:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bangladesh : la chasse aux terroristes islamistes est ouverte
OK, on sait. L’actualité aidant, il est un fait que tous les chrétiens sont des gens très bien, alors que tous les musulmans sont des vilains. Pis : ce sont des barbares – le barbare, c’est toujours l’autre : l’Arabe est né fainéant, le musulman est un fourbe programmé. Pas de chance, les Arabes sont minoritaires dans la galaxie musulmane. Peu importe, les clichés ont la vie rude.
Dialogue de sourds. Barbares ils sont, parce qu’ils voilent leurs femmes. Barbares nous sommes, parce que nous les mettons à poil pour vendre des yaourts et des parfums. Heureusement que demeurent des bastions de délicatesse civilisationnelle tels que le Pulse, club homosexuel de Floride, attaqué par un possible gay musulman qui n’était manifestement pas si « proud » de l’être ; gay, pas musulman.
Évidemment, le terrorisme « islamiste », qu’on nomme un jour et l’autre pas… « Nous sommes en guerre » contre ce dernier, paraît-il, à en croire le gommeux de Matignon. Peu importe que l’on torde le cou des mots. En effet, ce vocable recouvre une réalité juridique relevant du droit international. La guerre, ce sont deux États constitués, arborant capitale, uniforme et drapeau. La guerre, c’est une déclaration en bonne et due forme, avec rappel au bercail d’ambassadeurs respectifs. Faire la « guerre contre le terrorisme », voilà qui relève, d’un point de vue sémantique, de la blague de Carambar. Car, pour lutter contre le terrorisme, ce ne sont pas des avions larguant des bombes à l’aveuglette qu’il faut, mais des services de renseignement : Hubert Védrine et Roland Dumas, un peu spécialistes en la matière, ne disent pas autre chose.
Et qui donne, aujourd’hui, l’exemple ? Le Bangladesh, « petit » pays de 168 millions d’habitants, principalement musulmans. Là, ce sont près de douze mille possibles djihadistes qui ont été arrêtés par un pouvoir lui aussi… musulman, mais qui refuse l’intrusion de dingos se revendiquant d’un islam wahhabite, généralement financé par l’Arabie saoudite. Dans un proche registre, il y a plus d’une dizaine d’années, en Indonésie (premier pays musulman du monde), une troupe de théâtre avait eu l’idée incongrue de monter une pièce dans laquelle le Christ n’était que modérément viril et où la Vierge Marie n’était vertueuse que de loin. Les instances chrétiennes du pays (près de 10 % de la population) n’ont même pas eu le temps d’aller se plaindre auprès des autorités islamiques : dès le lendemain de la première, tout ce joli petit monde fut jugé au matin et pendu l’après-midi, éclairagiste et costumière y compris.
Sanction un peu hâtive, certes, mais aux vertus éminemment dissuasives. Alors, à ceux, souvent catholiques, qui annoncent un choc eschatologique entre Occident chrétien (les gentils) et Orient musulman (les méchants), on ne peut que conseiller les journaux ou la fréquentation des bistrots. Car c’est là qu’un proche ami, Maghrébin d’origine et musulman de confession, se lamenta un jour dans mon giron apostolique et romain. C’était en pleine polémique du Piss Christ et du Golgota picnic.
– Nicolas, les Français sont devenus fous. Chez nous, les musulmans, le mec qui insulte le Christ, on lui coupe les couilles…
– Et s’il s’agit de la Vierge Marie ?
– Malédiction ! La mère d’Issa (prénom du Christ chez les musulmans), les couilles, on les lui coupe. Mais il les bouffe après, et les deux, et en les mâchant lentement !
Au même titre que la réaction des autorités du Bangladesh peut paraître des plus viriles, j’avoue avoir trouvé ce cours de théologie de comptoir, certes un brin énervé, pas totalement insensé. Et pour calmer les esprits, prière de se reporter au fameux concert dédié au Bangladesh. C’était en 1971. L’ex-Beatles George Harrison y chantait « My Sweet Lord ». Pauvre Dieu qui, assis sur le rebord du monde, doit voir tout ça de loin, ce jardin terrestre par lui légué, transformé en monceau de turpitudes par les pauvres hommes que nous sommes…
Nicolas Gauthier
06:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 17 juin 2016
Savigny-le-Temple Bientôt une école musulmane face à la mosquée
Le président de l'association culturelle musulmane de Savigny a signé, la semaine dernière, l'achatd'un terrain, face à la mosquée. Le but : construire une école musulmane.
« C’est un grand jour pour nous », s’enthousiasme Mohamed Khain, le président de l’association culturelle musulmane de Savigny-le-Temple. En effet, après de longues négociations avec l’EPA, l’ACMSLT a signé, mercredi 8 juin, une promesse d’achat actant l’acquisition d’un terrain, face à la mosquée.
Un terrain à 156 000 euros destiné à accueillir une école musulmane de trois classes. Le bâtiment de l’école actuelle est situé dans l’enceinte de la mosquée de Savigny. Des bungalows qui ne seraient plus suffisamment fonctionnels pour accueillir un effectif de 450 élèves, chiffre en constante augmentation.
« Nous allons maintenant commencer à rassembler les fonds pour démarrer la construction », a commenté Mohamed Khain.
V.R.
14:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Suède : attaque raciste contre une mosquée
Suède : attaque raciste contre une mosquée
Un groupe de 50 personnes vêtues de noir a insulté les fidèles sortant d’une mosquée et jeté des pierres contre la même mosquée dans la capitale suédoise Stockholm.
Selon le quotidien suédois Aftonbladet, les fidèles musulmans ont affirmé avoir entendu des « propos racistes » précisant que l’attaque n’avait fait ni mort ni blessé.
La police suédoise a entamé une enquête afin de traduire en justice les assaillants.
Le porte-parole de la sûreté de Stockholm a demandé de l’aide aux témoins oculaires et déclaré que personne n’était en garde à vue pour le moment.
14:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
Xavier Raufer : En matière de terrorisme, nos gouvernants sont incompétents !
Après la tuerie d’Orlando et l’assassinat, à son domicile, du couple de policiers à Magnanville, Xavier Raufer s’inquiète que, depuis Mohammed Merah, nos gouvernants réagissent systématiquement « après coup ». Explications.
Xavier Raufer : "En matière de terrorisme, nos... par bvoltaire
14:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Islamophobie en hausse en Allemagne?
Les journaux allemands se penchent sur un sondage qui semble révéler des tensions au sein de la société depuis l'arrivée l'an dernier en Allemagne d'un million de réfugiés et migrants, en grande majorité musulmans.
"Qu'un certain nombre d'Allemands aient de tels ressentiment ne surprend pas vraiment, mais c'est tout de même effrayant !", commente le quotidien régional Landeszeitung de Lüneburg: Comme à l'époque de la République de Weimar entre les deux guerres, le centre de la société allemande ne se radicalise pas d'un seul coup, mais de manière insidieuse. Et c'est cela le plus gros danger ! "…
Des migrants nord-africains à Zirndorf en Allemagne attendant de déposer une demande d'asile. (Photo d'archive)
Le quotidien Die Welt constate : "Les réponses des personnes interrogées montrent que l'antipathie envers les minorités augmente, notamment envers les Musulmans, les Sinti ou les homosexuels qui faisaient partie du catalogue de questions. Mais, souligne le journal, si l'on posait le même genre de questions pour mesurer la sympathie envers les banquiers, les adversaires de l'énergie éolienne ou bien les fêtards nocturnes, on obtiendrait à peu près les mêmes pourcentages négatifs. Ce sentiment d'antipathie est souvent provoqué par une peur diffuse, aux origines complexes. S'agit-il là toujours de pensées d'extrême droite ? Non, répond le quotidien qui estime que de telles peurs ne se limitent pas forcément à telle ou telle classe sociale ou politique. Les responsables politiques doivent prendre ces peurs au sérieux, toutefois ils ne doivent pas en faire la base même de leur stratégie ! "avertit Die Welt.
Le Tagesspiegel estime que: "Depuis longtemps il ne s'agit plus exclusivement de modes de pensée des seuls extrémistes de droite et de néonazis obstinés, mais d'une frange de la population qui s'exprime à voix haute, et manifeste dans les rues pour demander une limitation de l'immigration. Ou bien qui vote pour l‘AfD (Alternative pour l'Allemagne) - un parti, qui est devenu un refuge pour certains patriotes conservateurs. Mais qu'une personne sur cinq ait répondu être prête à faire usage de la force contre des étrangers, cela est un signal d'alarme! ", souligne le quotidien berlinois.
A Bonn, une bénévole allemande (à g.) donne des cours de danse à des réfugiés venus d'Afghanistan, de Syrie, d'Irak et d'Iran. Des pas vers l'intégration.
"Que faire ? " se demande un autre quotidien berlinois, la taz, die tageszeitung face aux résultats du sondage. L'éditorialiste voit lui un signe d'espoir qui se cache derrière ces chiffres: c'est que la majorité des Allemands pense autrement. Ce "milieu démocratique" a une grande confiance dans le système parlementaire. De nombreux citoyens s'engagent avec élan pour aider les nouveaux venus dans le pays, les innombrables bénévoles dans les foyers pour réfugiés en Allemagne en sont une preuve parmi d'autres. Au lieu de reprendre une partie des thèmes de l'extrême droite, les partis politiques établis devraient se concentrer davantage sur la majorité des Allemands qui approuvent clairement une culture d'accueil et qui la pratiquent…
13:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Destination Allemagne: l’économie du pays sous la menace de l’immigration
Le directeur général de l’association économique Germano-africaine, Afrika-Verein, Christoph Kannengiesser, sous l’égide de la Fondation Konrad Adenauer a tenu un point de presse le lundi 13 mai 2016 à Ouagadougou sur le thème : « Quels sont les défis actuels de l’immigration sur l’économie allemande » ? En effet, il s’est agi lors de cette rencontre, d’échanger avec les hommes de médias sur l’immigration en Allemagne.
L’immigration en Allemagne risque de porter un coup à l’économie allemande à l’avenir, selon le directeur général de l’association économique Germano-africaine, Afrika-Verein, Christoph Kannengiesser. En effet, à l’entendre, le immigrés occupent des postes en l’Allemagne et cela est positif à court terme. Mais, malheureusement c’est très négatif à moyen terme car cela augmente les dépenses de l’Etat, élève les risques de taxes et de chômage. C’est surtout ce risque social qui reste un défi pour l’économie allemande car bon nombre de ces immigrés n’ont pas de bases solides de qualification pour répondre au marché de l’emploi.
Christoph Kannengiesser a reconnu que l’Allemagne n’est pas la destination principale des immigrés de l’Afrique Subsaharienne. Cependant, en 2015, elle a reçu environ un million d’immigrés, immigration choisie et réfugiés. Ce boom d’immigrés s’explique en grande partie par les conditions dégradantes dans les camps de réfugiés notamment en Turquie, en Jordanie et la crise en Syrie. En 2016, le nombre d’immigrés a connu une baisse grâce à une protection forte des frontières, a-t-il ajouté.
Il reste à noter que le pays pourra difficilement absorber ce grand nombre d’immigrés qui pour la grande majorité n’a aucune qualification professionnelle ni académique. A cela s’ajoute la barrière de la langue.
A cet effet, « l’Allemagne et l’Union européenne sont en train de travailler à une nouvelle stratégie de coopération avec les pays d’origine des immigrés en majorité de l’Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc) », nous a confié le directeur général de l’association économique germano-africaine. Egalement, des mesures sont prises pour renforcer les capacités de la Turquie afin qu’elle puisse recevoir un plus grand nombre d’immigrés. Ces mesures sont constituées entre autre de transfert de fonds.
Les entreprises privées allemandes contribuent à cet effort national en manifestant leur soutien au gouvernement à travers un programme de qualification pour l’intégration des immigrés. Pour Christoph Kannengiesser, le marché de l’emploi est capable d’absorber un grand nombre d’immigrants hautement qualifié. Il est très restreint pour ceux qui sont peu qualifiés. « Toutefois, il y a une facilitation d’intégration dans le domaine de la santé car le personnel de santé (docteurs, infirmiers) manque à ce niveau en Allemagne », a-t-il martelé.
En rappel, la Fondation Konrad Adenauer est une organisation politique allemande présente dans la sous-région ouest-africaine il y a plus de vingt (20) ans à travers le programme de promotion du dialogue politique en Afrique de l’ouest.
Bernadette Dembélé pour SCI
13:27 | Lien permanent | Commentaires (0)