mardi, 14 juin 2016
Initiative de l’UDC contre les juges étrangers: un coup dans l’eau?
Le texte du parti de la droite dure, actuellement en phase de récolte des signatures, ne tient pas ses promesses et laisse irrésolues d’importantes questions, prévient une étude publiée ce lundi par le laboratoire d’idées foraus
L’initiative de l’UDC contre les juges étrangers ne résout pas les problèmes auxquels elle prétend répondre, selon une étude du laboratoire d’idées foraus – Forum de politique étrangère, qui doit être rendue publique ce lundi à Berne.
Elle n’apporterait pas de réelle clarification à la mise en œuvre, aujourd’hui déjà problématique, d’initiatives telles que celle contre l’immigration de masse acceptée en février 2014, prévoit l’auteur de l’étude, le constitutionnaliste Guillaume Lammers.
L’UDC, qui a lancé son texte en février 2015, a jusqu’au 10 septembre prochain pour déposer les 100 000 signatures nécessaires. L’initiative représente une rupture complète avec des principes largement acceptés du droit international et inquiète déjà les autorités.
Seule la dénonciation d’un traité peut en délier un Etat
Intitulée «Le droit suisse au lieu de juges étrangers (initiative pour l’autodétermination)», elle demande que les initiatives populaires approuvées en votation populaire l’emportent à l’avenir sur le droit international. Au besoin, les traités inconciliables avec le vote sorti des urnes devront être dénoncés.
Pas si simple, détaille Guillaume Lammers. D’abord, il est évident que même si la Constitution prévoit qu’une initiative populaire acceptée par le peuple et les cantons l’emporte sur les accords internationaux, seule la dénonciation en bonne et due forme de ceux-ci peut en délier formellement la Suisse. Par exemple, même si le texte de l’UDC était adopté, les juges de Strasbourg ne pourraient pas en tenir compte pour juger si oui ou non la Suisse respecte la Convention européenne des droits de l’homme.
Il faudrait donc impérativement que Berne la dénonce. Mais l’initiative n’est pas claire sur ce point non plus, dit Guillaume Lammers. En cas de conflit entre une initiative et un traité, les autorités devraient en effet «veiller» à mettre les engagements internationaux en conformité avec la volonté populaire, prévoit le texte, «au besoin en dénonçant les traités concernés».
La volonté populaire difficile à interpréter
Cette clause, avertit l’auteur, ne permettra pas au Conseil fédéral de trancher facilement. Il lui faudra se demander si les citoyens entendaient nécessairement que le traité, s’il ne peut être renégocié exactement dans le sens voulu, devrait être dénoncé. Or il est tout à fait probable qu’une part des électeurs ayant approuvé une initiative n’ont pas souhaité aller jusque-là.
Les «juges étrangers» sont dans le viseur de l’UDC depuis plusieurs années. Le parti critique parfois violemment les juges de la Cour européenne des droits de l’homme et les verdicts qui condamnent la Suisse, en particulier pour l’expulsion de délinquants étrangers.
Avec son initiative d’inspiration souverainiste, la droite dure cherche aussi à influer sur les relations de la Suisse avec l’UE. Bruxelles demande en effet à la Suisse d’accepter des mécanismes institutionnels d’adaptation continue du droit suisse aux normes européennes dans les domaines couverts par des accords bilatéraux.
Les juges de l’UE
Dans ce cadre, l’interprétation des normes européennes devrait être réservée à la Cour de justice de l’UE, cette interprétation s’imposant aux autorités suisses. L’initiative contre les juges étrangers contrecarrerait cet objectif.
Néanmoins, après la défaite le 28 février dernier de l’initiative de «mise en œuvre» pour le renvoi automatique des délinquants étrangers, le parti est tout à coup apparu moins sûr de sa cause sur le thème – très présent dans ce vote –, des juges étrangers et de la primauté de la volonté populaire sur le droit international.
Le nouvel échec de l’UDC sur l’asile, le week-end dernier, a amené plusieurs commentateurs à se demander si le parti allait maintenir son initiative. Sur son blog de L’Hebdo, Johan Rochel, vice-président de foraus, s’est demandé si le parti n’allait tout simplement pas renoncer à déposer son initiative à l’échéance de la date butoir, à la fin de cet été.
Si elle ne croit pas que l’UDC ira jusque-là, Emilia Pasquier, la directrice de foraus, pense que le parti pourrait délaisser son initiative par la suite, pour se rabattre sur les thématiques plus étroitement liées aux relations avec l’UE et aux votations qui pourraient y être liées.
Denis Masmejan
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Un Saoudien nommé directeur de l'Institut du monde arabe à Paris
L'Orient le Jour :
"Un professeur d'université saoudien, Mojeb al-Zahrani, a été nommé directeur de l'Institut du monde arabe (Ima) à Paris, a annoncé samedi l'institution dans un communiqué de presse. Sa nomination, proposée par le Conseil des ambassadeurs arabes à Paris, a été approuvée par le président de l'Ima Jack Lang et son conseil d'administration le 31 mai, indique le communiqué.
De nationalité saoudienne, spécialiste de littérature comparée, M. al-Zahrani dirige actuellement le département des arts libéraux de l'Université al-Yamama, en Arabie Saoudite, après avoir enseigné de nombreuses années à l'Université de Riyad.L'Ima est une fondation de droit privé dont font notamment partie 18 États de la Ligue arabe parmi lesquels l'Arabie saoudite, le Qatar, l'Égypte ou le Yémen. Sa "vocation est de faire connaître – ou mieux connaître –, aux publics français et européen, l'apport du monde arabe à la civilisation universelle" et de "promouvoir le dialogue entre l'Orient et l'Occident".
Et à part ça, quelqu'un a des nouvelles de "l'islam de France", indépendant, comme chacun sait, des monarchies pétrolières coupeuses de têtes adeptes du wahabbisme pur et dur ?
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Le voile est le début de la burqa
Benoît Rayski épingle nos politiques "de droite", soudainement (re)devenus très catholiques, mais peu réalistes quant à l'islam. Atlantico :
[...] "Mais il y a chez nous une religion plus jeune, plus dynamique, plus énergique (je refuse d'employer des mots qui fâchent) que d'autres.
Elle réclame des lieux de culte. De plus en plus grands. De plus en plus nombreux. Elle revendique pour les femmes de son obédience des tenues vestimentaires propres, parait-il, à décourager les convoitises masculines. Elle réclame des repas spécifiques pour les enfants scolarisés. Elle est déjà beaucoup : on la soupçonne de vouloir devenir tout.
Il s'agit là d'un phénomène totalement dévastateur. Il isole et enferme une partie des habitants de notre pays. Il inquiète et angoisse tous les autres qui se demandent, perdant pied, niés dans leur mémoire, piétinés dans leur histoire où cela va s'arrêter. Et surtout qui va l'arrêter. À droite, on ressent ce désir encore confus. Sarkozy, un intuitif, l'a bien compris.
L'épiscopat français regarde cette frénésie amoureuse avec circonspection. La République s'est créée et renforcée contre le catholicisme : nos évêques s'en souviennent. Ils ont payé et se tiennent pour cette raison tranquilles, très tranquilles. Ils se trompent. Car ils devraient savoir, eux qui sont si ouverts à l'islam, que plus on est soi-même, plus il est facile d'accepter l'autre. En un mot, il faut des églises fortes pour que les mosquées ne le soient pas trop.
PS : Quelques mots sur la laïcité qui est brandie à tout bout de champ dans cette affaire. Telle qu'elle se décline, c'est oui au voile et mollement non à la burqa. Foutaises : le voile est le début de la burqa."
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Nigéria : une chrétienne assassinée par des musulmans à Kano
Bridget Agbahime, âgée de 74 ans et épouse de Mike Agbahime pasteur de la Deeper Life Bible Church (une dénomination pentecôtiste parmi les plus populaires au Nigéria), était commerçante en articles fabriqués en matière plastique sur le marché de Kofar Wambai à Kano. Jeudi 2 juin dernier, alors qu’elle vaquait à son commerce, un groupe de jeunes musulmans s’est approché de son étal et a commencé à lui chercher querelle. Comme chrétienne, elle n’a pas perdu son calme mais a fini par répondre vertement à ceux qui lui cherchaient noise. Ces derniers ont prétendu qu’elle avait insulté le “prophète” de l’islam et ils se sont mis à la frapper jusqu’à ce mort s’ensuive ! Puis ils se sont rendus au domicile de la victime dans l’intention de faire subir le même sort à son époux lequel y a échappé car la police, prévenue par téléphone, se rendit immédiatement à son domicile, ce qui le sauva. Cinq suspects ont été arrêtés par la police et déférés devant un juge. Ils ont plaidé non coupable mais le juge les a placés en détention provisoire dans l’attente de leur procès. La réprobation est universelle au Nigéria, d’abord de la part des organisations chrétiennes mais aussi de certaines associations musulmanes et jusqu’au président musulman du Nigéria qui a dénoncé l’assassinat et demandé que ses auteurs soient condamnés par la justice.
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Euro 2016 : Gianluigi Buffon, une légende à prendre avec des gants
Qui mieux que "Gigi" incarne l'âme de la Nazionale ? Considéré comme le meilleur gardien du monde, l'Italien Gianluigi Buffon va disputer son quatrième Euro, à 38 ans. Une histoire débutée il y a bien longtemps, dans sa ville natale de Carrare, en Toscane. Fils de parents lanceurs de poids, l'enfant passe son temps à dribbler "quelques voitures" au milieu d'une rue bordée de platanes. Alors que ses camarades vibrent devant Diego Maradona et Gary Lineker, lors de la Coupe du monde 1990 organisée en Italie, "Gigi" est scotché par le style inimitable du gardien du Cameroun, Thomas N'Kono, au point de donner le même prénom à son premier fils, né en 2007. "Je me suis mis entre trois montants et je n'en suis plus parti, résume-t-il (en italien*). Grâce à mon père, à N'Kono et au titulaire malchanceux de mon club."
Gianluigi Buffon trouve rapidement ses marques. A 13 ans, il est repéré par un observateur de Parme et intègre le club, où il progresse rapidement. Quatre ans plus tard, l'entraîneur de l'équipe première, Nevio Scala, frappe à sa porte, car le gardien n°1, Luca Bucci, est blessé. "Tu te sens de jouer ? Bien sûr, sinon qu'est-ce que je fais ici ?" A 17 ans, le voilà titulaire face au Milan AC, pour son premier match de Serie A, en novembre 1995. Match nul 0-0 ; la carrière du prodige est lancée. "J'ai de belles mains et les doigts longs. C'est un héritage de mon père, a-t-il répondu un jour à La Repubblica." Encore faut-il du tempérament."Je suis devenu gardien par narcissisme [afin d'étouffer] les cris de joie dans la gorge de l'adversaire".
"Je ne savais pas que le nombre 88 était lié au nazisme"
Le gosse est turbulent. En 1997, Il présente un faux diplôme pour valider son inscription à la fac de droit, ce qui lui vaudra une poursuite au pénal. "Tout le monde me voyait comme un fou, un peu déséquilibré." A 18 ans, il se rue vers un virage de supporters et dévoile un tee-shirt flanqué d'une maxime de Benito Mussolini : "Boia chi molla" ("Celui qui abandonne est un bourreau"). A l'époque, il jure en ignorer l'origine : "La phrase correspondait à mon état d'esprit." Rebelote en 2000, quand il choisit de jouer avec un double 8 – comme quatre ballons – au grand dam de la communauté juive. "Je voulais le double zéro, mais ça n'a pas été possible. Et je ne savais pas que "88" était lié au nazisme [la 8e lettre de l'alphabet doublée, "h", signifie "Heil Hitler"]".
Malgré ces casseroles, Gianluigi Buffon rejoint la Juventus en 2001. Mais en décembre 2003, patatras : toujours très marqué par son échec en finale de Ligue des champions quelques mois plutôt face au Milan AC, il sombre dans la dépression. Il continue de jouer mais se retrouve souvent prostré dans son lit, en larmes. Sans énergie, malgré les séances chez le psy. Quelques mois plus tard, dans les rues de Turin, Gianluigi Buffon découvre une affiche pour une exposition du peintre Chagall. Un inconnu le guide au milieu des tableaux, raconte la revue culturelle Serie, dans la galerie d'art moderne de la rue Magenta. C'est un déclic. Gianluigi Buffon fera la visite trois fois dans la même journée. "J'ai commencé à lire, à visiter des expositions, à m'intéresser à l'actualité."
Cette "renaissance personnelle" porte ses fruits. Trois ans plus tard, "Gigi" soulève la Coupe du monde, le 9 juillet 2006 à Berlin (Allemagne). Lors de la fête donnée à Rome, au Cirque Maxime, certains observateurs s'étonnent de la présence d'une petite croix celtique, souvent utilisée par les mouvements d'extrême droite, en bas de la banderole brandie par plusieurs joueurs. Des soupçons, encore et toujours.
La "maladie" du jeu
Autour de la trentaine, Gianluigi Buffon a bien changé. Il achète deux quotidiens par jour – en plus de la Gazzetta dello sport. Au fil des lectures, "Gigi" devient incollable sur les années de plomb et la criminalité italienne. Sans s'interdire la lecture d'un manuel de programmation neurolinguistique. Avec ses premiers salaires, il s'était offert une Porsche jaune, que son père lui avait aussitôt demandé de revendre. Désormais, il ne possède plus de voiture. Pour se rendre de Turin à Milan, le gardien emprunte le train. "Et à la maison, je conduis une Jeep [sponsor du club] prêtée par la Juventus".
Assagi, "Gigi" ? Pas tout à fait. Joueur invétéré, Gianluigi Buffon est dingue de casinos et de jeux de hasard, dont il est parfois l'ambassadeur. Une passion qui excite la curiosité de la presse italienne, depuis le scandale des paris sportifs de 2006, dans lequel son nom est apparu. En 2012, un proche du joueur a qualifié cette passion de "maladie", selon la Gazzetta dello sport, tandis qu'une ex-compagne évoquait des dépenses atteignant deux millions d'euros par an. Interrogé sur ce point, le gardien botte en touche : "C'est un plaisir et un divertissement". Comprenez : pas question d'y renoncer.
"Entre la droite et la gauche, je préfère la droite"
Pour qui roule Gianluigi Buffon ? La question passionne la presse italienne. "Entre la droite et la gauche, je préfère la droite", explique-t-il au Giornale, en 2009. L'année suivante, l'ancien sélectionneur Cesare Prandelli lui prédit un avenir en politique. "Pourquoi pas ?, répond-il un jour au Corriere della sera. Si tout le monde nous tire vers le bas, alors nous sommes tous coupables, moi compris." L'année suivante, le gardien apporte un soutien "inconditionnel et total" à Mario Monti, leader du centre-droit et président du Conseil italien. Aujourd'hui, il vante "la vigueur et le dynamisme" de Matteo Renzi, président du Conseil de centre-gauche, qualifié de "leader courageux". Comprenne qui pourra.
Une chose n'a jamais changé : son amour du drapeau. "Je considère que le patriotisme est une chose importante, explique-t-il sans détour, interrogé par le journal communiste L'Unità. J'apprécie la volonté du président de relancer le sens de l'orgueil national, et de redonner de la valeur à l'hymne et au drapeau. Je ne suis pas un nationaliste stupide, mais tous les autres pays possèdent ce sentiment." Depuis longtemps, ses déclarations sont commentées en ce sens. En mai 2015, par exemple, il rend hommage à Fabrizio Quattrocchi, un employé d'une société de sécurité assassiné en Irak par des islamistes, après les avoir bravés en prononçant : "Je vais vous montrer comment meurt un Italien." Aussitôt, le magazine Oggi publie un édito : "Buffon leader de la droite ?"
A 38 ans, il bat toujours des records d'invincibilité
En attendant, Gianluigi Buffon reste un adversaire respecté, eu égard à son impressionnant palmarès. Les supporters de la Juventus n'ont pas oublié sa fidélité, quand le club a été rétrogradé en deuxième division en 2006, après l'affaire des matchs truqués. En janvier, son absence dans la liste des possibles choix pour le Ballon d'or a heurté la fédération italienne. Laquelle a passé la consigne au gardien et à son sélectionneur, Antonio Conte, de s'abstenir de voter. A 38 ans, "Gigi" vient de réussir l'une des plus belles saisons de sa carrière, parvenant à conserver sa cage inviolée pendant 974 minutes, ce qui représente un nouveau record d'invincibilité en Serie A.
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«La Suisse doit envoyer des gardes-frontière à la gare de Milan»
Une semaine après la défaite de l’UDC sur l’asile, le président national du parti Albert Rösti propose une mesure pour la fermeture des frontières.
Deux votations perdues coup sur coup. Et sur des thèmes chers à l’UDC: le référendum contre la réforme de l’asile dimanche dernier et la mise en œuvre de l’initiative sur l’expulsion des criminels étrangers le 28 février dernier. L’UDC est-il en perte de vitesse? La machine de guerre du premier parti de Suisse est-elle cassée? Albert Rösti, le président national, se veut pourtant combatif et rassurant sur son parti.
Il paraît que vous êtes proche d’Adolf Ogi, vous venez tous les deux de Kandersteg… Il vous a dit quoi après la votation de dimanche dernier?
C’est vrai que nous nous connaissons très bien. Tout le monde sait qu’Adolf Ogi n’est pas toujours content avec la politique du parti. Mais je crois qu’il est assez strict en matière de politique migratoire. Je ne veux pas parler pour lui. Mais j’imagine qu’il va me faire l’une ou l’autre remarque.
Ou alors il vous dirait que deux défaites pour commencer une présidence, c’est une sacrée baffe…
Je ne crois pas. Mais, bon, quand j’ai pris la présidence du parti, je savais que ce ne serait pas une tâche facile. En fait, un nouveau président doit se fixer des buts à long terme. Moi, par exemple, je vise une certaine croissance en Suisse romande. Après, en tant que chef, il faut prendre ses responsabilités et assumer aussi lorsque cela se passe moins bien, même s’il y a beaucoup d’autres facteurs bien plus décisifs que le président de l’UDC dans une votation. L’important pour moi, c’est que je ressens une très grande confiance à l’interne du parti.
Qu’est-ce que vous avez fait de faux?
Aujourd’hui encore, je lancerais le référendum. Mais la grande leçon du vote de ce dimanche c’est que le parti n’a pas réussi à mobiliser suffisamment dans les sections cantonales. Certes, nous avons renoncé à une campagne nationale d’affichage et peut-être que le message sur des points précis, comme les avocats gratuits ou le problème de l’expropriation, était difficile à faire passer. Mais nous avons demandé aux sections cantonales de mener campagne sur le terrain, d’utiliser les champs que les paysans mettent gratuitement à disposition ou d’aller sur les marchés. Les débats auxquels j’ai participé n’ont pas réuni plus de 50 personnes… Là non plus, nous n’avons pas su mobiliser les citoyens.
Vous pourriez faire semblant que cette défaite n’est pas grave…
D’abord, j’aimerais dire que je ne suis pas sûr que l’UDC soit la perdante de cette votation. Premièrement, nous avons obtenu trois grandes promesses de la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga: une accélération des renvois et pas seulement des procédures d’asile, aucune expropriation et une baisse des coûts. Sans le référendum, ces questions n’auraient même pas été débattues. Et puis la loi est prévue pour 24 000 demandes d’asile par année. Nous pourrions rapidement avoir le double, voire encore plus. L’UDC est donc en bonne position. Elle ne sera pas responsable si les choses tournent mal et, si tout se passe bien, elle aura fait son travail en attirant l’attention sur des points précis.
Au fond, cette défaite ne vous sert-elle pas à faire semblant de rester dans l’opposition?
Non! Je rappelle que nous avons déposé 80 demandes pour modifier cette réforme au Parlement, notamment pour réduire l’attractivité de la Suisse pour les réfugiés économiques. Et toutes nos demandes ont été rejetées. Puisque nous n’avons pas été entendus, il était normal de lancer le référendum, ne fût-ce que pour rester crédible, et puis aujourd’hui il n’est pas question d’endosser la responsabilité de cette réforme. Mais cela n’a rien à faire avec l’opposition.
Avec ces deux dernières votations, avouez que la machine de guerre UDC est cassée…
Disons que la machine ne roule pas toute seule. C’est la grande leçon, comme je le disais tout à l’heure, il faut toujours créer la mobilisation. L’UDC a perdu beaucoup plus d’initiatives et de référendums qu’elle n’en a gagné, y compris celle de l’élection du Conseil fédéral par le peuple. Il y a eu deux exceptions: le renvoi des criminels étrangers et l’initiative «Contre l’immigration de masse». Et dans une moindre mesure l’initiative antiminaret issue de milieux proches de l’UDC. C’est comme ça en politique suisse, les instruments populaires servent à corriger le tir. Si on devait mesurer le succès d’un parti aux initiatives qu’il gagne, le PS ne serait plus autorisé à faire de la politique.
Le problème n’est-il pas que tout le monde s’occupe désormais de l’asile? Le PLR s’attaque aux admissions provisoires. Le président du PDC veut accueillir les réfugiés chrétiens. Et le PS, après Simonetta Sommaruga, va proposer ses solutions lundi…
Ce n’est pas un problème, c’est un succès de l’UDC! Un parti politique doit imposer des sujets et trouver des solutions aux problèmes qu’il dénonce. C’est donc une réussite pour nous que tous les autres partis, même si nous n’avons pas tous les mêmes solutions, débattent de l’asile. C’est le même succès que nous avions eu avec les abus dans l’aide sociale. Après, c’est vrai que c’est plus difficile de profiler le parti. Mais je suis sûr que nos électeurs se rendent compte que les autres partis reprennent nos idées avec deux ans de retard. Mais qu’ils sont heureux, comme moi, que des majorités soient désormais possibles.
Mais vous êtes comme les Verts une fois que la sortie du nucléaire a été décidée: sans combat à mener et avec un gros problème d’identité.
Il y a une différence: les Verts n’ont que le thème du nucléaire. Alors que, nous, nous avons trois gros dossiers où il y a encore beaucoup à faire. L’indépendance de la Suisse est une question brûlante avec l’accord institutionnel que veut l’UE et nous devons veiller à l’application stricte de l’initiative du 9 février. Il y a le sujet de la dérégulation qui est important pour l’économie et sur lequel nous travaillons avec les autres partis bourgeois. En matière d’asile, il y a notre proposition de fermer les frontières et pour l’instant, nous sommes seuls, avec des soutiens très mous des autres partis au Parlement.
Fermer les frontières sera donc votre prochain grand combat en matière d’asile?
Oui. Nous espérons trouver une majorité au sein du Conseil fédéral. S’il y a un afflux massif de 60 000 ou 70 000 requérants, je pense que le Conseil fédéral nous écoutera et prendra des mesures. S’il refuse, nous devrons encore nous battre…
… pour mettre un soldat derrière chaque arbre à la frontière tessinoise?
Non. Je sais que la mesure n’est pas si efficace et que la Suisse ne peut pas construire de mur. Nous verrons si l’armée doit être envoyée en renfort. Mais rétablissons déjà des contrôles systématiques aux frontières. C’est une mesure urgente à prendre et le Conseil fédéral a le cadre législatif nécessaire. Ce serait un message fort aux passeurs et aux réfugiés économiques. Je ne parle pas là des réfugiés syriens. Et puis 85% des réfugiés en Suisse arrivent par le train entre Milan et Chiasso. Nous pourrions négocier avec l’Italie pour trouver une solution: des gardes-frontière suisses pourraient monter faire des contrôles dans le train à Milan. Ils pourraient ainsi faire descendre les voyageurs clandestins. C’est désormais le seul moyen de faire réellement respecter l’accord Schengen-Dublin.
Fabian Muhieddine
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Euro: des hooligans parisiens ont attaqué des supporters turcs près du Parc des Princes
Des hooligans s'en sont pris à des supporters turcs à proximité du Parc des Princes avant le début du match Turquie-Croatie qui a débuté à 15h, affirme le journal L'Equipe sur son site internet.
La police serait rapidement intervenue pour disperser les individus. Selon le journal le Parisien, des hooligans d'extrême-droite entièrement vêtus de noir s'en seraient pris à des supporters croates. Les CRS (corps spécial de la police nationale) seraient rapidement intervenus et la situation serait à nouveau calme.
Ambiance détendue dans l'ensemble
Hormis cet incident, les supporters des sélections turque et croate qui s'affrontent dimanche à Paris dans un match classé à risque de l'Euro ont rallié le Parc des Princes dans une ambiance détendue, a-t-on appris de sources concordantes.
Loin des affrontements déplorés la veille en marge d'Angleterre-Russie à Marseille, les supporters de la Turquie et de la Croatie ont contribué à mettre une ambiance festive dans ce quartier résidentiel de l'ouest parisien, entre chants, klaxons de voitures, drapeaux au vent et fumigènes, a constaté un journaliste de l'AFP.
Le tout sous le regard attentif des forces de l'ordre, présentes en très grand nombre : plus de 1.500 policiers et gendarmes mobiles ont été dédiés à la sécurisation du stade, de ses abords et de la fan zone du Champ-de-Mars, sous la Tour Eiffel, selon la préfecture de police. Les consignes de vigilance ont été renforcées après les violences marseillaises.
En outre, 170 sapeurs-pompiers ont été mobilisés pour cette rencontre classée 3 sur une échelle de risque de violences qui compte 4 niveaux.
"Pourquoi y aurait-il des problèmes? Sur une foule de 20.000 fans, il y en aura toujours 5% qui vont foutre le b... Ils n'ont rien à faire là. Ici on répond aux chants de l'équipe adverse, on s'amuse, c'est ça l'Euro", confie Marko Andric, supporter croate venu de Berlin.
Ali Okutucu, supporter turc résidant à Paris, confirme de son côté, en arrivant au stade : "Avec les Croates, il n'y aura pas de problèmes. On est juste deux peuples très fervents". "Par contre j'ai vu quelques hooligans français, crânes rasés et tatoués" à proximité. "Mais ils n'ont pas l'air très nombreux", ajoute-t-il.
Peu avant le coup d'envoi, tout était calme à la fan zone aménagée au pied de la Tour Eiffel, où seules quelques centaines de personnes, dont de nombreux... Suédois, avaient défié un temps maussade, a constaté l'AFP.
Les supporters turcs se sont installés dans les premiers rangs devant l'écran géant, brandissant leur drapeau national frappé d'un croissant, portant quelques maillots de Galatasaray, grand club d'Istanbul, ou fraternisant avec les supporters croates.
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Fusillade d’Orlando : le monde libre en état d’urgence
Un certain Omar serait l’auteur de la plus meurtrière fusillade aux États-Unis : 50 morts dans une boîte de nuit gay, à Orlando, en Floride.
Les autorités américaines ont déclaré l’état d’urgence et le mobile du terrorisme islamiste est désormais officiel. Les États-Unis viennent d’avoir leur Bataclan, leur 13 novembre.
Et ce n’est pas un cow-boy à la gâchette preste, ce n’est pas un ultra-religieux américain qui a déchaîné le feu meurtrier contre la jeunesse américaine, non. C’est Omar, citoyen américain d’origine afghane et de confession musulmane. Ce que nous vivons depuis Charlie, les États-Unis vont devoir l’affronter.
Mais eux, ils s’y attendent et s’y préparent. En témoigne le succès de Donald Trump à la primaire, qui a raflé la mise du parti républicain en axant sa campagne sur le péril islamiste. Il a gagné, il est en lice contre la candidate de « l’ouverture », du “together”. Donald Trump, lui, a fixé des limites au “together”, au vivre ensemble : on ne peut vivre ensemble avec ceux qui veulent vous détruire et détruire votre civilisation.
En France, le peuple attend de l’opposition un courage et des initiatives politiques comparables, mais il ne voit rien venir : une primaire des Républicains qui, elle, ne suscite aucun enthousiasme, et un Front national incapable de prendre d’assaut cette primaire ou d’offrir une grande alternative crédible, en suscitant les ralliements que Trump, lui, a su conquérir.
Gouverner, c’est prévoir. Et nos gouvernants actuels méritent la défaite que le peuple leur prépare car ils n’ont rien prévu. Mais être dans l’opposition, c’est anticiper. Et notre opposition a beaucoup à apprendre de son homologue américaine. Le compte à rebours a commencé.
Par ailleurs, la France de M. Hollande, censée être en état d’urgence, n’aura guère de conseils à donner au grand frère américain, tant la gestion calamiteuse des affaires, et notamment depuis janvier 2015, n’inspire confiance à personne, ni aux Français, ni au reste du monde.
L’état d’urgence en France ? Manifs, casseurs, heurts de supporters quotidiens, forces de l’ordre épuisées à qui on continue de demander l’impossible pour que la fête continue. Dès novembre 2015, on avait compris : il était hors de question d’annuler la COP21 ; donc l’Euro, six mois après, évidemment qu’on allait maintenir.
Si les mots ont encore un sens, s’il leur reste un peu de courage politique, que MM. Obama et Hollande, présidents sortants pendant encore quelques mois, sortent enfin de leur apathie, de leur angélisme et soient à la hauteur de la guerre qu’on a déclarée au monde libre. On ne peut, d’un côté, faire mine d’en prendre acte en déclarant l’état d’urgence et, de l’autre, continuer à ignorer les racines culturelles du mal : les terroristes islamistes ne sont pas des pousses hors-sol.
Il est des moments dans l’Histoire où Français et Américains se retrouvent soudainement frères et dépositaires des valeurs du monde libre et de la civilisation occidentale : ce fut vrai contre le nazisme et contre le communisme. C’est encore aujourd’hui le cas, dans une guerre de civilisation d’un genre nouveau qui va demander à nos dirigeants, et à nous tous, de regarder clairement ce que nous sommes, ce à quoi nous tenons, d’où nous venons, mais aussi qui sont nos ennemis, quelle idéologie, quelle culture les animent et quels sont les relais et les complaisances qu’ils trouvent dans la nôtre.
C’est par cet examen froidement lucide que la riposte doit commencer. On attend un Roosevelt et un de Gaulle pour mener cette longue guerre.
Pascal Célérier
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Le sanglier et la mosquée
De nos jours, sous nos latitudes hexagonales, une paille dans l’œil musulman fait immanquablement s’ébrouer le marécage gauchiste, tandis qu’une poutre dans l’œil chrétien passe inaperçue. Sachant que « les conséquences d’un acte sont incluses dans l’acte lui-même » (Orwell), n’est-ce pas là une forme de négationnisme visant à briser le christianisme, ce rempart culturel gênant la mondialisation aux entournures, quitte à s’acoquiner avec un islam qui s’avérera, à terme, bien plus intransigeant sur la question de son identité ?
Ainsi, dans sa récente déclaration à propos d’une mosquée profanée – restant à déterminer si déposer un sanglier devant ce lieu de culte relève plus de la profanation que de la provocation somme toute inoffensive ! –, Bernard Cazeneuve victimise une fois de plus une religion invasive tandis que cimetières chrétiens et églises sont régulièrement saccagés dans l’indifférence criante de la place Beauvau.
Ainsi, « la détermination du gouvernement à combattre et à sanctionner tous les actes haineux et antireligieux » frappe en réalité aussi sûrement la France chrétienne que le glaive qui, jadis, fit tomber la tête du premier évêque de Paris, saint Denis. Bernard Cazeneuve peut bien affirmer que le principe de laïcité ne vise pas à « pénaliser certains Français en raison de leur religion » (déclaration du samedi 3 octobre 2015 à Strasbourg, aux états généraux du christianisme), la vérité reste accablante : lui et sa formation politique enterrent chaque jour un peu plus le christianisme quand ils adoubent une religion qui, depuis sa naissance dans le désert d’Arabie, n’a eu de cesse de combattre la chrétienté.
Une carcasse de sanglier ébranle donc l’âme sensible des socialistes quand un groupe de rap – Negrescro – peut, en 2012, produire un clip où s’exhibent des armes non factices et un drapeau algérien sur une église de Nice sans les émouvoir outre mesure. A l’époque, Les Inrockuptibles, sigisbée de la gauche, s’étaient d’ailleurs plus focalisés sur le Bloc identitaire, qui avait saisi la justice, que sur cet affront délibéré aux chrétiens : « Une posture qui permet au Bloc de créer régulièrement la polémique, et ainsi de faire entendre sa voix. » Défendre son identité est donc une posture, sauf s’il s’agit de l’islam, vous aurez compris !
Et pendant que le ministre de l’Intérieur et ses comparses assaisonnent la France avec des condiments islamiques, voici quelques faits divers survenus en juin qui auraient dû attirer leur attention médiatique : 25 tombes du cimetière de Neuville (Calvados) vandalisées ; vols en série d’œuvres d’art dans les églises du Doubs ; la chapelle Sainte-Gertrude de Selongey (Côte-d’Or), déjà vandalisée le 11 mars, subit un nouveau vol de dalles en pierre, etc.
Mais il est vrai que la terrible bête déposée devant la mosquée était « un sanglier, monstre énorme et superbe » » (La Fontaine), qui pouvait causer beaucoup de dégâts chez les fidèles d’une religion de paix et d’amour !
Charles Demassieux
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Crise des migrants en Suède : augmentation de la criminalité. La faute à qui ?
Au risque de répéter ce qui, pourtant, devrait être le bon sens même, on n’intègre pas sans assimiler, et on n’assimile pas des peuples mais des individus. À ce propos, la crise des migrants nous offre un superbe point de vue sur les aberrations de notre mentalité pénale et criminelle en Europe !
En Suède, un rapport de police vient de sortir, d’après le site Internet Atlantico, montrant une forte croissance des viols et agressions sexuelles, principalement sur des mineures, depuis le début de la crise des migrants. Ce rapport conclut : « La conclusion est que les responsabilités en incombent à la culture nordique de l’alcool. ». Raisonnement fascinant, dont la logique n’échappe à personne. Des personnes qui ne boivent pas d’alcool arrivent dans un pays où l’on peut boire de l’alcool : ils picolent et violent des jeunes filles. Et celui qui est responsable est, bien évidemment, celui qui a mis ce fameux « verre de trop » entre les mains de ce pauvre hère, qui ne se doutait pas tomber sur la pente fatale qui l’emmenait tout droit au crime : la « culture nordique de l’alcool » est donc coupable d’avoir mis le verre dans la main du criminel…
Merveilleux raisonnement de victimisation du criminel, et particulièrement du criminel migrant, sans doute par souci de « padamalgam ». L’on considère que le criminel est criminel parce que la société l’exclut. Il commet le crime parce que la société ne lui a pas donné toutes les chances de réussite. Il est donc la victime de ceux-là mêmes qui le jugent. Cette pensée qui gangrène la justice des droits de l’homme depuis sa création est néfaste pour tous les participants à l’infraction. Pour le criminel lui-même, qui voit la condamnation comme une oppression et une injustice puisque ce n’est pas de sa faute. Pour la victime aussi, qui n’y verra qu’une parodie de justice, la peine du criminel devant lui apporter une paix relative, mais nécessaire. Pour la société civile, enfin, qui est désignée comme coupable.
D’ailleurs, en poussant le raisonnement, la victime perd manifestement son statut de victime et revêt l’habit du coupable (en tant que membre à part entière de la société) au nom de l’accueil, de la tolérance et de l’amour de l’autre.
Les événements qui traversent l’Europe, de Cologne et d’Allemagne aux camps de Grande-Synthe et de Calais en passant par Malmö en Suède, devraient mettre fin à l’angélisme. Visiblement non. Les conclusions de ce rapport de la police suédoise nous le confirment.
Comprenez-bien, jeunes filles : vous avez subi un viol, mais le véritable problème, c’est l’alcool, pas le violeur ! Quel message envoyé aux criminels-migrants : à ce niveau-là, c’est un blanc-seing…
Henri d'Aramis
00:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 13 juin 2016
Dès maintenant, retenez cette date : Le 2 octobre 2016
05:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mosquée d'Annecy, suite mais pas fin!!
02:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Saisie record de 18 kg d’héroïne chez des dealers Albanais
Dans la nuit de mercredi à jeudi de la semaine dernière, un véhicule est intercepté lors d’un contrôle inopiné des douanes, à Dijon. Les douaniers constatent que l’immatriculation de la voiture a fait l’objet d’un signalement par la police annécienne. En Haute-Savoie, un dispositif d’accueil a d’ailleurs été mis en place pour intercepter la voiture lors de son arrivée à Annecy. La fouille du véhicule va montrer que l’intérêt des fonctionnaires annéciens était plus que justifié. Sous un siège et dans une cache, les douaniers découvrent 4,1kg d’héroïne pure (16,4kg une fois coupée et conditionnée).
Les policiers annéciens lancent alors une série d’interpellations concernant 10 individus, repérés au cours de leur enquête. Avec les éléments recueillis lors des perquisitions, ils vont mettre la main au total sur l’équivalent de 17,8kg d’héroïne prête à la consommation, représentant une valeur à la revente de près de 350 000€.
Les policiers vont également, découvrir 3 kilos de cannabis, 130g de cocaïne et plus de 20 000 € en petites coupures.
Sur la dizaine d’individus interpellés, 8 ont été présentés au parquet d’Annecy dimanche et lundi et placés en détention provisoire dans des maisons d’arrêt de la région. Tous sont de nationalité albanaise et âgés de 20 à 35 ans.
L’homme suspecté d’être à la tête du réseau était par ailleurs bien établi à Annecy. Il se présentait depuis plusieurs mois en tant qu’interprète bénévole pour la Croix-Rouge, et était en contact permanent avec les demandeurs d’asile.
Le trafic représentait une vente de près de 7kg d’héroïne en moyenne chaque mois pour un chiffre d’affaires de 180 000 €.
Pierre Olivier
01:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
Affaire Benzema : Foot et Grand Remplacement
Karim Benzema a déclaré que si Didier Deschamps ne l’avait pas sélectionné c’est parce qu’il avait cédé à la partie raciste de la France. J. Debbouze a ajouté qu’il trouvait anormal qu’il n’y ait aucun maghrébin dans l’équipe de France. E. Cantona, dans le rôle du « dhimmi » islamo-gauchiste, a estimé que si D. Deschamps n’avait pas sélectionné de maghrébin, c’était peut-être « parce que personne dans sa famille n’est mélangé avec quelqu’un, comme les Mormons d’Amérique ».
Cette affaire Benzema et l’évolution du football de façon plus générale, offrent une illustration parlante de ce qui est en train de se produire en France et en Europe.
L’immigration ne débouche pas sur l’intégration, encore moins sur l’assimilation : dans une société multiculturelle et multiraciale, chacun raisonne en fonction d’une logique communautaire. Cette société communautarisée est nécessairement conflictuelle, chaque communauté cherchant à prendre le pas sur les autres. L’évolution du football en France et en Europe illustre cette situation.
On peut ainsi constater que la plupart des joueurs Français issus de l’immigration ne chantent pas la Marseillaise. Il en est de même en Allemagne, où les trois joueurs immigrés (Boateng, Ozil et Khédira) ne chantent pas l’hymne national. De même les supporteurs Français d’origine immigrée montrent qu’ils ne se sentent pas membres de la communauté nationale: ils supportent les équipes de leur pays d’origine, en arborent les drapeaux et les maillots ; lors des matches France-Algérie, les supporteurs Français d’origine algérienne sifflent l’hymne national. […]
Suite et commentaires à retrouver sur le Blog de Paysan Savoyard
Chronique de Paysan Savoyard
01:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mosquée de Nice : deux résistants trainés au tribunal correctionnel
L’information a été révélée dans les colonnes du Figaro le 11/06/2016 : deux hommes soupçonnés d’avoir déposé mercredi 08/06/2016 une dépouille de sanglier devant la mosquée En Nour de Nice, ont été interpellés, placés sous le régime de la garde à vue, déférés au Parquet et renvoyés devant le Tribunal corectionnel en septembre.
Vous l’aurez compris, il n’y a ni dégradation ni violences, juste une carcasse de sanglier déposée devant l’édifice. Autant dire l’expression d’un ras le bol, et ce ras le bol est légitime !
Pour mémoire la mosquée El Nour a pu ouvrir ses portes au début du ramadan (comme par hasard), sur décision du Tribunal Administratif de Nice saisi par l’association Nice La plaine qui gère cet institut. Le maire de la ville, Christian Estrosi, qui s’oppose depuis le début à son ouverture, s’est pourvu en cassation.
Bernard Cazeneuve a aussitôt félicité les policiers de la Sûreté Départementale des Alpes Maritimes et a réaffirmé « la détermination du gouvernement à combattre et à sanctionner tous les actes haineux et anti-religieux inacceptables dans notre République laïque. »
Bien entendu, ils ne fait pas allusion à nos églises qui sont obligées de fermer leurs portes pour éviter les pillages, ni à celles qui sont littéralement dégradées par des individus qui appliquent leur conception de la « laïcité » à la lettre (Lire cet article : http://rhonealpesinfo.fr/racines-chretiennes-souillees-mu...)
Par ailleurs, il convient de souligner le titre tapageur du Figaro, qui parle de « Profanation« . Ce terme mérite que l’on remette les choses au clair. Attardons nous sur ce vocable. Selon le Larousse, profaner consiste à dégrader, avillir ce qui est sacré, précieux.
En ce sens, il convient d’affirmer que l’ouverture d’une mosquée finançée par un Etat Wahhabite (l’Arabie Saoudite), comprenez salafiste puisque c’est la même chose, sur notre sol est un acte de profanation de notre laïcité, qui n’a jamais eu pour définition, n’en déplaise au sieur Cazeneuve, l’égalité de tous les cultes et le rattrapage d’un retard de la représentation de l’islam en France pour des raisons historiques et culturelles.
Ici, en France, ce qui est sacré et précieux, c’est aujourd’hui notre identité.
Il est plus que temps que ce gouvernement, comme tous les autres à venir, entendent la voix du peuple qui crie de plus en plus fort : « NOUS NE VOULONS PLUS DE NOUVELLES MOSQUEES SUR NOTRE TERRITOIRE ! »
C’est certainement le message qu’on voulu faire passer les deux justiciables qui devront répondre de leurs actes comme au temps de l’inquisition, au nom d’une bienveillance insupportable envers celles et ceux qui nous détestent, qui nous envahissent, et qui nous tuent, cette bienveillance étant honteusement camouflée derrière le terme de « laîcité » détourné de son sens réel.
Jamais la problématique de l’islam en France n’aura été aussi prégnante dans notre société qui n’en peut plus de voir les atteintes à son identité se multiplier avec la complicité de nos élites.
La colère gronde. Elle est de plus en plus forte. Il faut l’entendre.
Alors non, messieurs du Figaro, ce n’est pas une profanation. Non, monsieur Cazeneuve, ce n’est pas un acte de « haine ». C’est un acte de résistance !
Sébastien Jallamion
01:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vaucluse confronté à des arrivées massives d’envahisseurs mineurs
« C’est important de s’assurer de la minorité pour ne pas saturer le système d’aide à l’enfance, qui doit aussi répondre à d’autres missions comme l’urgence de la maltraitance », rappelle le procureur Bernard Marchal. Photo Cyril Hiély
Il y a quelques jours, Moussa et Mohamed, deux ressortissants Guinéens – pris en charge par le Conseil départemental de Vaucluse dans le cadre de sa mission d’aide sociale à l’enfance – ont, après une enquête judiciaire, finalement été reconnus comme étant majeurs. Ils avaient utilisé de faux documents, sans doute fournis par des passeurs, pour rejoindre la France.
Depuis plus de deux ans, le Vaucluse est confronté à des arrivées massives de mineurs étrangers qui débarquent seuls, sans leur famille, majoritairement des garçons, venus principalement d’Afrique. « Il y a un peu moins d’une dizaine d’années, ils étaient deux ou trois mineurs étrangers isolés (MIE), ils sont à ce jour, 92 dont 64 mineurs et 28 tout juste majeurs », note Maurice Chabert, président du Conseil départemental. Budget alloué pour leur prise en charge : 3,6 millions d’euros en 2016.
S’ils sont mineurs, ils bénéficieront de l’aide prévue et seront pris en charge, comme l’oblige la loi, par le Conseil départemental jusqu’à leur majorité (l’État prendra ensuite le relais). Ils ne sont pas expulsables, et ce, quelle que soit leur nationalité, rappelle le préfet Bernard Gonzalez.
« Ils sont nourris, logés, scolarisés et ont de l’argent de poche. On se substitue aux parents » reconnaît Maurice Chabert mais qui pointe aussi du doigt les limites de cette prise en charge avec la recrudescence des arrivées.
Et puis, pour ceux dont la majorité est confirmée, la mesure de placement est levée. Ils deviennent étrangers en situation irrégulière, accusés d’escroquerie à l’aide à l’enfance. Depuis l’été 2015, 12 procédures d’éloignement ont été notifiées à des jeunes majeurs mais le retour au pays d’origine est quasi impossible. « En Guinée, il n’y a personne au bout du fil… Le pays ne délivre pas de papiers », lance à titre d’exemple le préfet qui précise alors qu’il était inutile de laisser Moussa et Mohamed dans un centre de rétention.
In fine, le Conseil départemental suivra la décision judiciaire. On est mineur et protégé ou majeur et sans papiers. Ce sera le foyer… ou la rue. Avec ce que cela peut supposer, de vols et de violences…
Les deux Guinéens, Moussa et Mohamed avaient été interpellés et placés, le 30 mai dernier, en centre de rétention à Marseille avant d’être remis dehors le lendemain sur décision du préfet de Vaucluse, faute d’accord avec le pays d’origine qui refuse de délivrer des papiers.
Pierre Olivier
01:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
États-Unis : « L’Amérique obnubilée par Assad au point de s’allier avec Al-Qaïda »
L’ancien ambassadeur britannique en Syrie, Peter Ford, a livré son point de vue sur le la Syrie, les belligérants et les puissances qui sont penchées sur le chaudron syrien. Extraits :
« L’Amérique a perdu sa boussole, elle est tellement obnubilée par [l’idée] de se débarrasser d’Assad et du gouvernement laïque en Syrie, qu’ils sont prêts à s’allier de facto avec son ennemi juré, Al-Qaïda. Ils ont complètement perdu leur boussole morale et pratique ».
« Nous pouvons seulement espérer qu’ils reviendront à la raison et accepteront la demande très raisonnable de la Russie que les ainsi nommées forces modérées se séparent d’al-Nosra et laissent al-Nosra être bombardé. »
« Bien qu’al-Nosra soit officiellement affilié à Al-Qaïda, il est indiscernables de cette nuée de groupes djihadistes, Jaysh al-Islam, Ahrar al-Sham, Fatah al-Islam en termes d’idéologie, de confession religieuse, de méthodes pratiques de massacre et de cruauté Leur seule différence est tactique : les soi-disant groupes modérés font semblant de défendre l’idée que la Syrie devrait conserver un système laïque après les négociations, une fois Assad parti. Ils affirment cela, mais tous ceux qui y croient doivent être stupides. »
« Les Américains s’appliquent apparemment à refaire les mêmes erreurs à Damas que celles qu’ils ont faites à Bagdad ou à Tripoli. Ils sont donc obligés de soutenir ces groupes très douteux, parmi lesquels il n’y a sur le terrain qu’une faible minorité, une poignée d’opposants avec de réelles aspirations laïques et démocratiques. »
Pierre Olivier
01:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mosquée, voile, salafisme… Le plaidoyer de Gérald Darmanin (les républicains) pour "un islam français"
Le maire LR de Tourcoing a publié un plaidoyer pour un nouvel islam de France qu'il a envoyé aux candidats à la primaire.
S'il ne s'engage pas (encore) pour Nicolas Sarkozy, lui-même pas officiellement candidat à la primaire, Gérald Darmanin partage un point commun avec l'ancien locataire de l'Élysée. Il souhaite placer la question de l'identité au cœur du débat. Le maire de Tourcoing a publié un plaidoyer pour un islam français qu'il a fait parvenir à chacun des candidats engagés dans la course à l'investiture. Un plaidoyer qui débute par une phrase choc : "La France couve les principes d'une possible guerre civile".
Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, Gérald Darmanin a justifié le choix de cette formule en ciblant les "tensions communautaires" qui gangrènent le pays. "C'est une guerre civile qui sera d'autant plus terrible qu'elle sera religieuse." L'ancien député veut trouver une alternative aux discours classiques visant à expliquer qu'il n'y a pas de problème avec l'Islam" ou affirmer que "l'Islam est incompatible avec la République". "Il faut qu'il y ait une concorde, il faut que nous ayons conscience du mal et que ce mal doit être adapté à la situation présente. Je remarque que les catholiques, les protestants, les juifs ont tous connu une période où l'État a été autoritaire vis-à- vis d'eux."
"Le salafisme est un danger pour la République"
Dans son plaidoyer, Gérald Darmanin évoque le salafisme, qui représente pour lui, "un danger pour la République, un danger extrêmement profond. Mais il n'y a pas de lien entre le fait que ceux qui vivent traditionnellement soient des terroristes en puissance."
Il y aurait un décalage entre le mode de vie des salafistes et les règles de la République. "Le salafisme pousse à un état d'esprit de division vis-à-vis de la République (...) Je pense qu'il faut couper cette branche dure qu'est le salafisme et en même temps faire attention aux Frères musulmans, qui ne sont pas des salafistes et qui pensent qui jouent le jeu de la République et de la démocratie pour influencer politiquement notre vie. Il faut le refuser."
Quel financement pour les mosquées en France ?
Pour contrer la montée du salafisme, le vice-président de la région Hauts-de-France préconise de s'attaquer au financement étranger des mosquées et des imams. "Il faut que les imams soient Français, parlent français. Lorsque l'Arabie Saoudite finance des mosquées en France, on laisse ceux qui sont wahhabites, salafistes commander sur le sol français." Gérald Darmanin est contre le financement des lieux de culte par l'État. C'est pourquoi, il prône que "les collectivités locales deviennent propriétaires de ceux qui sont sur leur sol (...) Elles peuvent aider à l'indépendance de l'islam de France. Aujourd'hui, c'est l'islam des ambassades, ce n'est pas possible."
"La taxe halal est une taxe communautaire, je suis opposé"
Nathalie Kosciusko-Morizet propose, de son côté, de taxer à un centime le marché de la viande halal (6 milliards d'euros). Gérald Darmanin ne veut pas en entendre parler. "La taxe halal est une taxe communautaire. Vous partez du principe que ceux qui mangent halal sont musulmans. Les enfermer dans une consommation communautaire, c'est accepter le principe de communautarisation."
Des clochers mais pas de minarets pour les mosquées
En France, Gérald Darmanin ne veut plus de minarets. "Et que ce soit inscrit dans le code de l'urbanisme. À Tourcoing, nous avons permis la création d'une mosquée en vendant un terrain municipal et j'ai refusé le permis de construire qui avait le minaret. Nous ne sommes pas une terre islamiste, nous sommes un pays de racine chrétienne."
Oui au port du foulard, non aux vêtements amples dans l'espace public
"Le prosélytisme doit être interdit dans notre pays. Je pense que les femmes qui portent des vêtements très amples qui laisse juste le visage, ce n'est plus tout à fait acceptable dans le République", a répété Gérard Darmanin, qui fait le distinguo entre le port du foulard et du voile. "Le voile est un instrument vestimentaire maghrébin très largement diffusé dans l'Europe pour les musulmans. Mais en Indonésie, les femmes ne sont pas voilées (...) Le foulard discret de la maman qui accompagne ses enfants dans une sortie scolaire ne me gène absolument pas."
Refus du repas de substitution à la cantine: "Nicolas Sarkozy a fait une erreur"
Nicolas Sarkozy s'était prononcé contre les repas de substitution à la cantine. "Il a fait une erreur. Il ne faut pas de repas communautaires mais que l'enfant mange le menu A ou le menu B, ce n'est pas un sujet lié au communautarisme. Il y a des enfants qui mangent un seul repas équilibré et je suis très content que ce soit à l'école de la République."
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Creuse: un pompier agressé et blessé à l'arme blanche dans sa caserne
Par chance, aucun organe vital n’a été atteint. Un pompier a été blessé à l’arme blanche, vendredi soir dans son propre centre de secours de La Souterraine, dans la Creuse, par deux agresseurs, vraisemblablement des cambrioleurs, qui étaient activement recherchés samedi, a-t-on appris de sources concordantes.
L’adjudant-chef de 55 ans, chef de la caserne de La Souterraine, avait fermé et quitté le centre vers 20h30 avant d’y revenir, réalisant qu’il avait oublié son téléphone dans son bureau.
Coups de cutter et de couteau
Rentrant dans les locaux, il est alors tombé nez à nez avec un cambrioleur en train de sectionner les câbles d’un ordinateur, a-t-on appris auprès du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) et du parquet de Guéret.
L’homme, armé d’un cutter, a porté deux coups au visage du pompier, qui a alors vu un deuxième intrus intervenir et lui donner un coup de couteau à l’abdomen. Il est parvenu à se défaire un moment de ses agresseurs – se fracturant la main au passage -, le temps d’actionner la sirène, qui a aussitôt mis en fuite les deux hommes.
Cazeneuve « indigné » par cette « lâche agression »
Transporté au CHU de Limoges, le pompier professionnel, marié et père de deux enfants, a été opéré avec succès dans la nuit et ses jours n’étaient pas en danger, aucun organe vital n’ayant été atteint.
Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a fait part de son « indignation » face à cette « lâche agression » commise à la veille de la Journée nationale des sapeurs-pompiers et exprimé ses « voeux de prompt rétablissement et son entier soutien » au pompier blessé. « Ses deux agresseurs, activement recherchés par la gendarmerie, devront répondre de leurs actes devant la justice », affirme le ministre.
00:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie: un journal offre Mein Kampf en supplément
Question cadeau aux lecteurs, on a déjà vu mieux. Le quotidien italien de droite Il Giornale propose samedi comme supplément un exemplaire de Mein Kampf, le livre d’Adolf Hitler. « Connaître pour rejeter »: c’est ainsi que le journal a justifié l’initiative qui scandalise la communauté juive et Matteo Renzi.
Le président du Conseil a réagi vivement dès samedi matin sur son compte Twitter à la publication en Italie de cette oeuvre programmatique, rédigée en 1925, de celui qui allait commettre le plus grand génocide de l’Histoire:
« Je trouve glauque qu’un quotidien italien propose aujourd’hui Mein Kampf de Hitler. Mon salut affectueux à la communauté juive. Jamais plus! », écrit Matteo Renzi.
Trovo squallido che un quotidiano italiano regali oggi il Mein Kampf di Hitler. Il mio abbraccio affettuoso alla comunità ebraica #maipiù
— Matteo Renzi (@matteorenzi) 11 juin 2016
« C’est un fait sinistre, à des années lumière de toute logique d’approfondissement et d’étude de la Shoah », a réagi de son côté le président des communautés juives italiennes, Renzo Gattegna, jugeant « indécente » l’initiative du Giornale.
Un « antidote » au national-socialisme
« Lire Mein Kampf est un véritable antidote aux toxines du national-socialisme », s’est justifié le journal, qui publie une version de 1937 de l’ouvrage dans une édition commentée par l’historien Francesco Perfetti. Il Giornale a expliqué que Mein Kampf accompagne le premier d’une série de huit livres dédiés à l’histoire du Troisième Reich, qui seront vendus chaque semaine.
Connu pour ses positions de droite, notamment sur la question de l’immigration, le quotidien dirigé par Alessandro Sallusti et propriété de Paolo Berlusconi, frère de l’ancien chef de gouvernement Silvio Berlusconi, tire à 200.000 exemplaires.
Une édition commentée par des chercheurs de « Mein Kampf » avait été publiée début janvier en Allemagne, une première depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, rendue possible par le fait que les droits étaient tombés dans le domaine public en début d’année.
Selon le chercheur italien Frediano Sessi, cité par la chaîne Rainews24, il est regrettable que cette publication ne suive pas l’exemple de cette édition allemande, dans laquelle « 3.500 notes critiques dépassaient en taille le texte du Führer ».
00:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le chef d'Al-Qaïda fait allégeance au nouveau leader des talibans
Le chef d’Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, a prêté allégeance au nouveau leader choisi par les talibans afghans après la mort de leur ancien chef dans une attaque américaine, a rapporté samedi le centre américain de surveillance de sites jihadistes SITE.
Ayman al-Zawahiri a proclamé cette allégeance au mollah Haibatullah Akhundzada, dans un message audio de 14 minutes mis en ligne sur ces sites, selon le centre américain.
« En tant qu’émir d’Al-Qaïda (…), je vous donne mon allégeance, en renouvelant la tradition (instaurée) par notre chef Oussama ben Laden », a déclaré Ayman al-Zawahiri à l’intention du mollah Haibatullah Akhundzada, qui a succédé au mollah Mansour, tué par un drone américain au Pakistan.
Al-Qaïda « invité » des talibans
Il a appelé « la nation musulmane » à suivre son exemple en proclamant « soutien et allégeance à l’émirat islamique » le nom donné par les talibans à leur Etat islamiste en Afghanistan entre 1996 et 2001. Il a daté son message du 27 mai, soit deux jours après la confirmation par les talibans de la mort du mollah Mansour. Le même Zawahiri avait fait allégeance en août 2015 au nom d’Al-Qaïda au mollah Mansour.
Le fondateur d’Al-Qaïda, le Saoudien Oussama ben Laden, tué dans un raid de forces américaines en 2011 au Pakistan, se considérait comme l’invité des talibans. Il avait été le premier à prêter serment d’allégeance à Mollah Omar, le premier chef des talibans après que son mouvement s’est installé dans les années 1980 des deux côtés de la frontière afghano-pakistanaise. Al-Qaïda jouissait de ce fait de la protection des talibans dans cette zone, selon les spécialistes.
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Syrie: 20 morts dans un double attentat revendiqué par Daesh
Les terroristes visaient précisément le sanctuaire. Au moins 20 personnes sont mortes samedi dans un double attentat près d’un mausolée chiite proche de Damas, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
D’après le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane, le bilan « s’élève à 20 morts, dont 13 civils, et plus de 30 blessés » dans les deux attaques près du mausolée de Sayeda Zeinab. Selon lui, le kamikaze qui s’est fait exploser à une entrée du sanctuaire visait « un barrage de miliciens prorégime ».
L’agence officielle Sana a donné un bilan d’au moins 12 morts et 55 blessées, en précisant qu’un kamikaze avait fait sauter sa ceinture d’explosifs à l’entrée du sanctuaire et un autre avait fait exploser une voiture piégée dans une rue de ce secteur de la banlieue de Damas.
Un mausolée très sécurisé
Le groupe jihadiste État islamique a revendiqué les attentats. « Trois opérations martyrs, deux au moyen d’une ceinture d’explosifs et une troisième au moyen d’une voiture piégée, ont été menées par les combattants de l’EI Sayeda Zeinab », a affirmé l’agence Aamaq, liée à l’organisation ultraradicale sunnite.
Le mausolée de Sayeda Zeinab, vénéré par les musulmans chiites car il abrite la tombe de la petite-fille du prophète Mahomet, est protégé par des miliciens chiites, notamment libanais et irakiens, et des soldats de l’armée syrienne. Des points de contrôle protègent ce secteur très sécurisé de la banlieue de Damas, le site ayant été la cible de plusieurs attaques de groupes jihadistes sunnites, dont l’EI, qui considèrent les chiites comme des hérétiques.
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Bruno Mégret : "Il faut cesser d’affirmer que le terrorisme islamique n’aurait rien à voir avec l’islam"
Dans le dernier numéro du Chêne (n°83), Bruno Mégret publie un article dénonçant les responsabilité de la classe politique française quant aux attentats terroristes :
"Le terrorisme est devenu aujourd’hui une préoccupation majeure des Français et de ce fait un enjeu central du débat politique. Et à juste raison car la menace est maintenant claire et durablement installée. Le ministre de l'Intérieur, le premier Ministre et le président de la République expliquent d’ailleurs à longueur d'antenne que la France serait en guerre. Mais il ne s'agit là que de simples paroles. Car, si nous sommes en guerre, il conviendrait de désigner clairement l'ennemi et de prendre les mesures défensives et offensives qui s'imposent. Or, rien de tel n’a été accompli. Il y a certes l'état d'urgence, mais il ne fait que redonner à la police un minimum de moyens d'action que les dirigeants du système lui avaient retiré par l'accumulation de lois prétendument protectrices des libertés. Quant à la politique menée en Syrie et en Irak, elle est timide et ambiguë. Combattre Bachar el-Assad, seul capable de faire reculer l’Etat islamique sur le terrain, revient pratiquement à soutenir Daesch. Et ce ne sont pas les quelques bombardements symboliques que nous lui infligeons qui peuvent avoir une quelconque efficacité stratégique. Si Daesch n’avait que la France comme adversaire, il pourrait prospérer.
Il n’y a cependant pas lieu de s’étonner de cette impéritie car la situation dramatique que nous connaissons est la conséquence directe de la politique voulue par les dirigeants du système. Le terrorisme est en effet le fruit vénéneux de la politique d’immigration qu’ils conduisent depuis quatre décennies. En faisant venir sur notre sol des millions et des millions d'étrangers dont beaucoup sont musulmans, on a installé l’islam dans notre pays. Un islam dont chacun sait qu’il est incompatible avec les valeurs de notre civilisation, avec les principes de la République et avec notre mode de vie européen. Un islam qui véhicule de surcroît un projet hégémonique, offensif et guerrier à l’encontre de ceux qu’il considère comme des «infidèles». Ce sont donc bien les dirigeants du système qui ont semé les germes de la haine et du terrorisme.
Plus grave encore, les gouvernements successifs, refusant de voir le danger, ont tenu à ces populations un discours de faiblesse et d’autoculpabilisation. Au lieu de parler avec fermeté aux étrangers nouveaux venus en les sommant de se soumettre à nos valeurs et à nos lois pour prix des avantages économiques et sociaux qu’ils recevaient, on leur a laissé croire qu'ils n’avaient aucun devoir à notre égard et qu'ils avaient même tous les droits en réparation des prétendues injustices passées et présentes commises à leur encontre. On leur a ainsi instillé l’idée qu'ils étaient victimes de l’action colonisatrice de notre pays et qu’il subissaient aujourd’hui l’intolérance et le racisme de nos compatriotes. Les tenants du politiquement correct ont ainsi délibérément suscité au sein de ces populations un ressentiment profond à notre égard qui prend chez certains la dimension d'une haine agressive et meurtrière. De ce fait, une partie non négligeable de la population musulmane présente sur notre sol considère comme légitimes les actions terroristes lancées contre nous. Aussi faut-il cesser d’affirmer comme le fait encore M. Hollande que le terrorisme islamique n’aurait rien à voir avec l’islam. Il a au contraire tout à y voir puisqu’il se nourrit idéologiquement des sourates les plus agressives du Coran et qu’il trouve ses militants et ses soutiens parmi les adeptes de cette religion.
Face à cette situation profondément dégradée, il est donc illusoire de penser qu’on pourra résoudre le problème par de simples mesures sécuritaires. Il est en effet pratiquement impossible d'empêcher quelques individus inconnus des services de police de se procurer des armes et de se livrer à des exactions meurtrières. En réalité, le terrorisme ne pourra être durablement éradiqué que si l’on accepte d’en comprendre les causes et que l’on s'attaque enfin à la racine du mal. Si le terrorisme vient de la politique d’immigration conduite par nos dirigeants et s’il est lié à l’islam qu’ils ont ainsi installé sur notre sol, il est temps d’en tirer les conséquences par trois mesures d’envergure.
Il faut d’abord stopper toute nouvelle immigration. Chacun sait maintenant que ce phénomène provoque dans notre pays d’innombrables drames dont le terrorisme. Il est dès lors indispensable «d’arrêter les frais» et de cesser d’aggraver chaque jour un peu plus le problème en augmentant le nombre d’étrangers et de musulmans présents sur notre territoire.
Ensuite, il faut changer radicalement le discours officiel des autorités à l’égard des immigrés et exiger d’eux qu’ils respectent nos lois, nos valeurs et notre identité.
Enfin il convient d’être dorénavant très clair à l’égard de la religion islamique sur notre sol. Il faut dire aux musulmans qu’ils sont minoritaires dans une nation européenne et chrétienne et qu’ils doivent donc, comme le Coran les y autorise, renoncer à appliquer les préceptes de la charia contraires aux lois et aux principes de notre pays. Et pour ceux qui refuseraient d’adapter ainsi leur pratique, il est temps d’en revenir à un principe simple : l’assimilation ou le départ. Dans cet esprit, il est nécessaire de fermer les mosquées, d’expulser les imams et de dissoudre les associations qui refuseraient de s’engager dans cette voie, la seule qui permette à l’islam de subsister sur notre sol sans compromettre le maintien de notre nation.
Qui pourra mettre en œuvre une telle politique de sauvegarde de la France ? Sûrement pas ceux qui sont responsables des agressions qu’elle subit."
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Nigéria : un chrétien poignardé pour non respect du ramadan…
Francis Emmanuel Olokpo, un charpentier chrétien de 41 ans, a été poignardé par un groupe de musulmans le 7 juin dernier à Kakuri parce qu’il n’observait pas le ramadan… Ce jour là, le chrétien s’était rendu au marché pour acheter du bois puis il est rentré à son atelier où il a pris son déjeuner. Il raconte : « Alors que j’étais en train de manger, un groupe d’environ six musulman est venu me demander si j’étais musulman ou chrétien, mais je n’ai pas répondu. Ils m’ont ensuite demandé pourquoi je ne jeûnais pas : je leur ai dit que je n’étais pas musulman. Avant que je le réalise, l’un d’entre eux m’a giflé. Comme je me relevais, les autres sont arrivés, ils m’ont entouré et frappé avec des couteaux ». Il se remet de ses blessures à l’hôpital catholique St. Gerald de Kaduna où il fut transporté inconscient : « Avec la grâce du Christ, je quitterai bientôt l’hôpital » a-t-il déclaré à des journalistes venus l’interroger. Nasir El-Rufai, gouverneur de l’État de Kaduna, est venu rendre visite au blessé dès le lendemain. Il a déclaré à la presse : « Le Nigéria est un pays de liberté, ce qui veut dire qu’on ne peut pas imposer à d’autres sa foi ou ses pratiques religieuses […] La décision d’observer une pratique religieuse relève de l’individu seul ».
Rappelons à nos lecteurs musulmans – et peut-être aux autres aussi… – que le mot ramadan vient de l’araméen ramad qui veut dire cendre, la cendre précisément qu’on impose sous la forme d’une croix sur le front des chrétiens le mercredi dit « des Cendres », premier jour du Carême… Intéressant, n’est-il pas ?
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Hollandie : mosquée géante en construction à Tulle
SCANDALEUX !!
Tulle, la ville laboratoire du hollandisme est en train de faire voter un projet de construction d’une mosquée immense, complètement disproportionnée à la taille de la cité. En dehors de l’interrogation légitime des élus de l’opposition locale sur la participation des contribuables corréziens à un tel édifice, la hauteur du minaret et la taille du projet, qui ambitionne d’abriter une école coranique, illustrent l’islamisation de notre pays, dont même les terres rurales sont désormais touchées.
Comme s’en étonnent les opposants locaux dans une brochure qu’ils ont distribuée lorsqu’ils ont réalisé que la mairie (ancien fief de Hollande tenu par Bernard Combes, son conseiller à l’Elysée) ne voulait pas aborder ce sujet et voulait faire passer cette construction dans la pénombre la plus totale, le projet est pharaonique pour une petite ville comme Tulle. Surtout si il doit être financé par les impôts locaux des Corréziens…
La future mosquée tulliste devrait donc faire 1200 m2 et être composée, en plus d’un appartement pour l’imam (salarié par qui ?), de salles de prières séparées pour les hommes et les femmes, mais également de 4 salles de cours qui posent la question légitime de savoir s’il y est également prévu l’installation d’une école coranique.
Bien sûr, le minaret d’une hauteur de 13m96 installé sur cette colline surplombera la ville, comme un symbole de domination, choquant ainsi l’inconscient collectif populaire, qui n’est pas manipulé par les médias et sait encore renifler un mauvais présage… D’ailleurs, cette future mosquée prévoit une possibilité d’accueil pour 500 fidèles, alors que la communauté musulmane de Tulle est composée de moins d’une centaine de musulmans pratiquants. Pourquoi alors un si grand bâtiment ? A moins qu’ils aient prévu des arrivages… Histoire d’entretenir les clientèles électorales ? Ca ne serait pas surprenant venant d’un parti qui est au pouvoir grâce au vote massif des musulmans français.
Dans une petite ville entourée de campagne de 12 000 habitants, au fin fond du Limousin, en Corrèze, la construction d’un minaret à l’entrée de la ville donne raison à ceux qui s’inquiètent de l’influence grandissante de l’Islam en France. Et il ne s’agit pas que d’une anecdote : l’identité nationale se construit aussi autour d’une esthétique et de la projection que l’on a du monde dans lequel on vit. En l’occurrence, la France des clochers veut encore dire beaucoup pour de nombreux Français attachés à notre paysage urbain. Il ne faut pas négliger l’impact psychologique, lié au remplacement de ces clochers, synonymes de notre civilisation occidentale, judéo-chrétienne, héritée de Rome et de la Grèce antique, par de minarets, symboles d’une autre culture, une autre civilisation, qui ont aussi leurs attraits et leurs inconvénients, mais qui ne sont pas les nôtres.
Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées !
Malgré l’indépendance de l’Algérie dont parle le général de Gaulle dans cette célèbre phrase, et à cause de la lâcheté de ses successeurs, nous en sommes arrivés là. Le général pensait surtout qu’une telle situation se terminerait dans un bain de sang si elle devait avoir lieu… Souhaitons qu’il y ait une prise de conscience avant que l’on en arrive là.
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dimanche, 12 juin 2016
Ivry : les policiers écœurés après la libération de leurs agresseurs
Un magistrat qui vient s’expliquer au commissariat devant une vingtaine de policiers furieux. Cette scène rarissime a eu lieu mercredi à Ivry. La raison ? La remise en liberté, pour la deuxième fois en huit jours, de trois jeunes accusés d’avoir agressé des policiers le 31 mai. L’un des fonctionnaires avait notamment reçu un coup de poing. Bilan : 15 jours d’ITT.
Il est 14 heures ce mardi 31 mai quand les policiers de la Brigade anti-criminalité d’Ivry se rendent cité Hoche sur un point de vente de drogue. Une intervention classique qui se solde par la saisie d’un couteau servant à couper le cannabis et de quelques sachets. Les cinq dealeurs, qui n’ont rien sur eux, assistent en habitués à la saisie. Ils remettent même à sa place un petit du quartier venu insulter les policiers. Mais alors que ces derniers regagnent leur voiture, le même petit y va de son « cassez-vous bande de baltringues ». L’insulte de trop pour la Bac qui décide de l’interpeller.
C’est là que tout dégénère. Une quinzaine de jeunes tombent sur les trois policiers qui tentent de se dégager avec la gazeuse et même une grenade de désencerclement. Il faudra l’arrivée des renforts pour que la situation soit sous contrôle. Mais alors que la pression est retombée, un jeune décoche un violent coup de poing à un policier et prend la fuite. Le fonctionnaire s’effondre, pris de convulsions.
p>Deux hommes sont interpellés. L’auteur du coup de poing se rendra plus tard. Le jeudi, à la surprise générale, le parquet lève les trois gardes à vue. « Nous avons eu une panne informatique due aux inondations, explique une source judiciaire. Nous n’avions plus aucune visibilité sur les antécédents des mis en cause. Faute de savoir dans quel délai nous allions être dépannés, on a levé la garde à vue. » Les policiers s’étranglent et relâchent les trois hommes. Ce n’est que partie remise. Car mercredi matin, ils interpellent trois des quatre jeunes mis en cause, dont l’auteur du coup de poing. Mais là encore le parquet décide de les remettre en liberté avec une convocation au tribunal en… avril 2017.
« On ne peut pas saucissonner les procédures, argumente une source judiciaire. Vous ne pouvez pas dire : je vous en présente un et vous jugerez le deuxième plus tard ». Et de promettre des « réquisitions fermes ». « La justice passera », assure-t-il. « Mais il ne se rend pas compte du message qui est envoyé, s’indigne un policier. Là c’est tapez sur les flics, vous serez libéré. On ne demande pas la lune, on veut juste que les gars passent par le tribunal après leur garde à vue. Même l’auteur du coup de poing était surpris. Il avait préparé ses affaires. Le slogan depuis cette affaire à la cité Hoche, c’est un flic, un poing, un KO ».
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L’arrêt de l'abattage rituel serait une "catastrophe économique"
Aveu fait à l’Assemblée nationale par Dominique Langlois (à 1h38′), président de l’interprofession du bétail et de la viande (INTERBEV), dans le cadre de la commission parlementaire sur les abattoirs, sur la problématique de l’abattage rituel :
02:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Marion Maréchal-Le Pen : "Ceux qui refusent de se saisir du sujet identitaire font une erreur"
Malgré son départ médiatisé de Béziers, Marion Maréchal-Le Pen "oz" visiblement "sa droite". Après avoir dit se considérer comme "une femme de droite, souverainiste et identitaire" sur BFM TV, elle vient de déclarer sur Europe 1 :
"J'aimerais appartenir à une vraie droite qui sert la France, et réveiller la droite endormie des Républicains"
Montrant qu'elle a parfaitement compris quel serait l'enjeu principal de la présidentielle de 2017, elle a déclaré au Monde :
"Il y a un besoin de racines, ceux qui refusent de se saisir du sujet identitaire font une erreur. Ce qui fait le plus souffrir les Français, c’est quand l’attachement à leur mode de vie, leur culture, est remis en cause (...)
Le chômage arrive en troisième position des préoccupations des Français, derrière la sécurité et l’identité. Le père de famille a peur que sa fille porte une burqa, il ne se pose pas la question de savoir si elle l’achètera en francs ou en euros."
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Carl Lang : "Nous allons devoir relever le défi de l'International révolutionnaire islamique"
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Marseille : le Parti de la France présent aux côtés de Roger Holeindre
Jeudi 9 juin 2016, s'est déroulée à Marseille la conférence de Roger Holeindre organisée par le Cercle Algérianiste. Des militants de la dynamique section marseillaise du Parti de la France, emmenés par Chloé Khoupiguian, étaient bien sûr présents.
Le Président d'honneur du PdF y a survolé 70 ans d'Histoire de France, multipliant les anecdotes inédites, et insistant particulièrement sur les épisodes douloureux de la guerre d'Algérie et sur celle d'Indochine. Il a distillé une vision des choses aussi originale qu'incontestable. Et si son but était de sauver son auditoire de la propagande de bas étage qui depuis trop longtemps enserre notre passé, le notre était bien, par notre présence à ses côtés, de le soutenir dans cette entreprise.
Nous voulions aussi saluer l'important travail de réinformation mené par ce talentueux écrivain, livre après livre, intervention après intervention. Et ce aussi obstinément qu'inlassablement. Un travail en forme de combat plus que nécessaire en ces temps difficiles...
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